shoot me (hitomi)
Ishan Tsukino
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18 yo
Rang : 85/100
Susanoo
Ishan Tsukino
the words we say to each other are slowly becoming sharper
L’effronterie confie ses pourpres teintes aux joues de l’impudent Tsukino - il s’est défait de ses habituelles responsabilités pour s’effondrer parmi les fleurs roses et le diamant se confond dans le brasier de sa gorge, enflammée par l’alcool qu’il aura sans décence subtilisé aux cuisines. C’était une pulsion vulgaire qui lui vaudrait sûrement un indicible déshonneur mais, lorsqu’à ses yeux s’offre le tendre spectacle de tes pommettes rosées et des lippes forcivement déchirées en sourires incontrôlés, il pense d’une conviction indocile qu’il recommencerait en toute connaissance de cause, si tant est qu’on lui en offrait l’opportunité.
Au lieu de ça, c’est un bien étrange poste de musique qui fait écho au pied impérieux du sakura, les bouteilles entamées et à demi oubliées à ses côtés. Radio archaïque ensorcelée pour en améliorer la portée et ce sont bien les mélodies de dirty dancing qui troublent la quiétude des lieux, l’intimité précaire et pas moins précieuse - enchantements murmurés du bout des lèvres pour en privatiser leurs activités, la lune et ses étoiles en seuls témoins de leurs déboires.
On l’aurait cru ignare à la culture moldue, d’autant plus occidentale - et pourtant c’est bien avec l’entrain d’un ivrogne qu’il s’égosille sur les hymnes qu’il connaît, la curiosité l’ayant poussé bien plus tôt à se pencher sur le phénomène.
Intérêt qu’il avait dissimulé des années durant, pour au final craquer à tes côtés, la pupille dilatée et les épaules singulièrement détendues ; et une idée vicelarde germe dans le creux de son esprit, alimentée par l’agréable acouphène du whisky dans ses veines. Eh, Nishikawa. Apostrophe traînante, le ton nonchalant et assis à deux pas d’une immense racine ; il tire sans mal sur la cape de son uniforme et dégage la trachée prisonnière, inspirations facilitées. J’parie que j’tiens mieux l’alcool que toi.
Le rictus est animal et le défi odieux, il lance une des jarres dans ta direction et décapsule la sienne d’un coup d’ongle arrogant. Alors? On tente? L’adrénaline en amante, enroulée autour du poignet et de la langue ; il pourlèche ses babines en prédateur accompli et te dévore d’un regard sans gêne, les inhibitions abolies par les premières gorgées ardentes.
Au lieu de ça, c’est un bien étrange poste de musique qui fait écho au pied impérieux du sakura, les bouteilles entamées et à demi oubliées à ses côtés. Radio archaïque ensorcelée pour en améliorer la portée et ce sont bien les mélodies de dirty dancing qui troublent la quiétude des lieux, l’intimité précaire et pas moins précieuse - enchantements murmurés du bout des lèvres pour en privatiser leurs activités, la lune et ses étoiles en seuls témoins de leurs déboires.
On l’aurait cru ignare à la culture moldue, d’autant plus occidentale - et pourtant c’est bien avec l’entrain d’un ivrogne qu’il s’égosille sur les hymnes qu’il connaît, la curiosité l’ayant poussé bien plus tôt à se pencher sur le phénomène.
Intérêt qu’il avait dissimulé des années durant, pour au final craquer à tes côtés, la pupille dilatée et les épaules singulièrement détendues ; et une idée vicelarde germe dans le creux de son esprit, alimentée par l’agréable acouphène du whisky dans ses veines. Eh, Nishikawa. Apostrophe traînante, le ton nonchalant et assis à deux pas d’une immense racine ; il tire sans mal sur la cape de son uniforme et dégage la trachée prisonnière, inspirations facilitées. J’parie que j’tiens mieux l’alcool que toi.
Le rictus est animal et le défi odieux, il lance une des jarres dans ta direction et décapsule la sienne d’un coup d’ongle arrogant. Alors? On tente? L’adrénaline en amante, enroulée autour du poignet et de la langue ; il pourlèche ses babines en prédateur accompli et te dévore d’un regard sans gêne, les inhibitions abolies par les premières gorgées ardentes.
Invité
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Invité
(A house made of cards, and stupidly, us Even if you say it’s a useless dream, just stay a little more like this)
Il avait soupiré les mots à la façon d'autre mondes et t'y avais lâchement succombé. Ca avait un goût sucré sur le bout de te lèvres. Omnibulé par les événement du passé, tu t'efforces chaque instant d'oublier la sensation brumeuse de doigts enveloppant ta taille.
T'avais jamais cessé d'y penser sans que tu ne l'admettes. Plaisanteries en poussière d'étoile parsemant tes rictus inégales. La consciences cèdent sur le ton d'autres siècles. Défi raffiné articulé avec un sarcasme candide. Les époques s’éclipsent pour laisser le temps aux exaltation de t'enlacer.
Mélodie comme repère, isolement pour univers. Tendresse incrusté sur les traits de ton visages, faciès fleuri au nom de la rose. C'est l'étoile qui pleure avec joie lorsque ton nom résonne, tu divagues ; Emporté délicatement par les symphonies. Tu n'agis pas en orchestre mais le septième art semble te connaître.
Référence maladroite qui siérait sans doute mal à d'autre sangs. Tu t'étonnes qu'Ishan y soit familier ; a croire que les nobles savaient danser. Il se répète, presque rythmique et c'est le rire qui résonne aux abords des transgressions. 'Bois depuis mes huit ans, Tsukino, jamais tu tiendras. A l'aube de tes paroles, le mensonge en plaisanterie maladroite teinté déjà par les quintessences.
Bien sûr qu'on tente. Compte sur moi pour te dessaouler. Clin d’œil improviser, sans que cela ne te ressembles t'en devenais spontané. Attrapant grossièrement la jarre, tu finis à ton tour par succombé. La boisson épousant sans peine tes ardeurs, mirage à l'encontre de la liqueur. Les regards percutent, se dévoilant à l'égard des nouvelles passions. Et s'il se pare de tant bien de voluptés, il y verrait sûrement des douceurs inconnues, la curiosité s'enflammant alors que tu le détailles. C'est tout ? Te rapprochant alors de sa silhouette parfumée, le bras s'enroulant à l'arrière de sa nuque, imitant les camaraderies. Tu dérobes son contenant pour faire l'alcool tiens. De nouveau tu ris. Dans mes shojos ils appellent ça un baiser indirect tu sais ? T'apportes la bouteille à ses lèvres. Allez bois. A moins que ça soit déjà trop pour toi.
T'avais jamais cessé d'y penser sans que tu ne l'admettes. Plaisanteries en poussière d'étoile parsemant tes rictus inégales. La consciences cèdent sur le ton d'autres siècles. Défi raffiné articulé avec un sarcasme candide. Les époques s’éclipsent pour laisser le temps aux exaltation de t'enlacer.
Mélodie comme repère, isolement pour univers. Tendresse incrusté sur les traits de ton visages, faciès fleuri au nom de la rose. C'est l'étoile qui pleure avec joie lorsque ton nom résonne, tu divagues ; Emporté délicatement par les symphonies. Tu n'agis pas en orchestre mais le septième art semble te connaître.
Référence maladroite qui siérait sans doute mal à d'autre sangs. Tu t'étonnes qu'Ishan y soit familier ; a croire que les nobles savaient danser. Il se répète, presque rythmique et c'est le rire qui résonne aux abords des transgressions. 'Bois depuis mes huit ans, Tsukino, jamais tu tiendras. A l'aube de tes paroles, le mensonge en plaisanterie maladroite teinté déjà par les quintessences.
Bien sûr qu'on tente. Compte sur moi pour te dessaouler. Clin d’œil improviser, sans que cela ne te ressembles t'en devenais spontané. Attrapant grossièrement la jarre, tu finis à ton tour par succombé. La boisson épousant sans peine tes ardeurs, mirage à l'encontre de la liqueur. Les regards percutent, se dévoilant à l'égard des nouvelles passions. Et s'il se pare de tant bien de voluptés, il y verrait sûrement des douceurs inconnues, la curiosité s'enflammant alors que tu le détailles. C'est tout ? Te rapprochant alors de sa silhouette parfumée, le bras s'enroulant à l'arrière de sa nuque, imitant les camaraderies. Tu dérobes son contenant pour faire l'alcool tiens. De nouveau tu ris. Dans mes shojos ils appellent ça un baiser indirect tu sais ? T'apportes la bouteille à ses lèvres. Allez bois. A moins que ça soit déjà trop pour toi.
Ishan Tsukino
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Susanoo
Ishan Tsukino
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Le jour s’est lâchement retiré à l’augure de vos fantaisies et Ishan a hissé la lune en égérie, princière là où les étoiles font office de plèbe. Au diable Orion, c’est dans tes yeux qu’il préfère se perdre. les vides sont enjambés et étirés d’un même ensemble, distances floues dans la brume de l’alcool qu’il engouffre dans sa gorge sans vergogne - finalement le défi (aux allures familières qu’il ignore) est lancé d’un même élan que les bouteilles et tu t’attelles à ta tâche, enjoué.
Plutôt que de suivre tes engouements Ishan s’égare dans la contemplation d’un spectacle offert par tes soins ; le regard suit la ligne du saké qui outrepasse la barrière charnue des lippes et quelques gouttes s’égarent en vicieuses tentatrices, caressent la peau et l’expansion d’une pomme d’Adam qu’il avait bêtement négligé. A l’heure tendre de la nuit elle lui apparaît en salvation de tous ses péchés, comme si la mordre saurait l’expier de son infâme ignorance.
Et lorsque les ruisselets de liqueur trépassent sous le vêtement, par-delà les clavicules, c’est une autre forme d’ardeur qui tire sur le fond de son estomac.
A l’apothéose de tes accomplissements tu le dépasses et l’éprouvé n’a le temps que de se livrer à une brûlante goulée avant que la proximité ne se fasse plus ardente encore que l’alcool, les peaux fiévreuses pressées agrainant les guerres de son esprit et de ses chairs. Tu trépignes et subtilises sa bouteille pourtant fièrement entamée, use des excuses piètres des mangas pour lui arracher le plus pleutre des baisers.
Ses serres s’enroulent autour du poignet tendu pour maintenir la bouteille à hauteur de ses lippes brillantes et il y glisse le goulot sans te quitter un instant des yeux, chaque gorgée prise en provocation muette ; quand bien même l’aigreur en serait désagréable, le brasier qui en naît inéluctablement lui fait honte. Sa prise se raffermit et c’est un pop! obscène qui tire enfin ses lèvres de la bouteille, le regard toujours happé par ton iris d’outre-mer.
Il t’observe encore et les instincts prennent le dessus, esclave de ses désirs il t’arrache la bouteille pour presser contre ta gorge le plus affamé des baisers - la langue collecte les éclats de saké y luisant d’une lascive passivité et laisse sur son sillage les brûlures d’un Tsukino désinhibé.
Rire rauque ponctue l’audace et l’effronté t’attrape la main pour te faire tournoyer sur la cadence effrénée des mélodies rythmant votre nuit ; il s’empare de la bouteille et s’abandonne au courage liquide embrasant sa trachée. Lorsque de nouveau ishan t’attire à lui, c’est pour offrir à ta vue l’oscillation d’un nouveau défi dans son oeil hébété. Un baiser indirect, hein? T’es si lâche que ça, Nishikawa? La voix est un ronronnement traînant et chaque syllabe est étirée à outrance sans qu’il n’y voit le moindre souhait. Ses doigts s’agrippent à la fine taille et lui vous presse sur une valse improvisée.
Probablement que c’est déjà trop pour toi, princesse. Et le voilà dans son infinie splendeur, la bouche pressée contre le lobe d’une oreille brûlante, à murmurer ses plus belles provocations dans le creux d’un tympan qu’il espère convaincu.
Plutôt que de suivre tes engouements Ishan s’égare dans la contemplation d’un spectacle offert par tes soins ; le regard suit la ligne du saké qui outrepasse la barrière charnue des lippes et quelques gouttes s’égarent en vicieuses tentatrices, caressent la peau et l’expansion d’une pomme d’Adam qu’il avait bêtement négligé. A l’heure tendre de la nuit elle lui apparaît en salvation de tous ses péchés, comme si la mordre saurait l’expier de son infâme ignorance.
Et lorsque les ruisselets de liqueur trépassent sous le vêtement, par-delà les clavicules, c’est une autre forme d’ardeur qui tire sur le fond de son estomac.
A l’apothéose de tes accomplissements tu le dépasses et l’éprouvé n’a le temps que de se livrer à une brûlante goulée avant que la proximité ne se fasse plus ardente encore que l’alcool, les peaux fiévreuses pressées agrainant les guerres de son esprit et de ses chairs. Tu trépignes et subtilises sa bouteille pourtant fièrement entamée, use des excuses piètres des mangas pour lui arracher le plus pleutre des baisers.
Ses serres s’enroulent autour du poignet tendu pour maintenir la bouteille à hauteur de ses lippes brillantes et il y glisse le goulot sans te quitter un instant des yeux, chaque gorgée prise en provocation muette ; quand bien même l’aigreur en serait désagréable, le brasier qui en naît inéluctablement lui fait honte. Sa prise se raffermit et c’est un pop! obscène qui tire enfin ses lèvres de la bouteille, le regard toujours happé par ton iris d’outre-mer.
Il t’observe encore et les instincts prennent le dessus, esclave de ses désirs il t’arrache la bouteille pour presser contre ta gorge le plus affamé des baisers - la langue collecte les éclats de saké y luisant d’une lascive passivité et laisse sur son sillage les brûlures d’un Tsukino désinhibé.
Rire rauque ponctue l’audace et l’effronté t’attrape la main pour te faire tournoyer sur la cadence effrénée des mélodies rythmant votre nuit ; il s’empare de la bouteille et s’abandonne au courage liquide embrasant sa trachée. Lorsque de nouveau ishan t’attire à lui, c’est pour offrir à ta vue l’oscillation d’un nouveau défi dans son oeil hébété. Un baiser indirect, hein? T’es si lâche que ça, Nishikawa? La voix est un ronronnement traînant et chaque syllabe est étirée à outrance sans qu’il n’y voit le moindre souhait. Ses doigts s’agrippent à la fine taille et lui vous presse sur une valse improvisée.
Probablement que c’est déjà trop pour toi, princesse. Et le voilà dans son infinie splendeur, la bouche pressée contre le lobe d’une oreille brûlante, à murmurer ses plus belles provocations dans le creux d’un tympan qu’il espère convaincu.
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(A house made of cards, and stupidly, us Even if you say it’s a useless dream, just stay a little more like this)
L'ivresse t'avais légué ses rêves, les étoiles couronné autour de ta tête la faisant tourner. Carrousel enivré de son parfum ; au diable les proximités ! C'est dans ton cœur que tu voulais. L'alcool ouvre la voie aux interdits, comme si tu pouvais formuler l'impensable. Tu te comparerais aux génies maudits, mais les audaces se font absentes en ce soir de printemps.
Et t'aurais voulu boire un peu plus, t'abandonner à jamais aux liqueurs pour te faire roi. La bouteille comme ton règne t'es arraché subitement ; prince légitime, il s'en prend à toi Ishan à l'aube de tout scandale c'est sur ta peau que les blâmes fleurissent.
Que l'alcool te fasse sien ! T'as un rire comme réponse à ses lascivité, une main dans ses cheveux pour le faire sentir aimer. Ça danse dans ta tête et t'as son nom qui se grave sur le rebord de tes lèvres. Tu tournes alors à la façon des anathèmes, valsant tu te joins à lui, cadence erratique contre ton cœur chamboulé.
Quintessence radieuse, défiant les immortels il te ramène à lui comme si c'était ta destiné. Tu te réincarnes au creux de ses bras. Il invoque la luxure à la manière des tendres amies, il te provoque prétextant la lâcheté. Mais ce qu'il ne sait pas c'est qu'elle depuis longtemps abandonné au gré de l'ivresse.
Bal improvisé qui ne cesse de continuer, héros de votre propre tragédie t'as répugné la mort pour le romantisme. Main sur la sienne, tu viens t'emparer de sa bouteille ; buvant à ton tour, laissant la boisson s'emparer de tes délicatesse. Sourire large à l'abri des candeur, c'est un rire de nouveau qui vient rencontrer ses sentences. C'pas parce que t'joues les princes que ça fait de moi une princesse, imbécile. L'inconscience mue tes paroles en vérité auto-proclamée, à la façon d'aliénation, tu te sens délirer remuer par l'écho de tes rires et la distance frustrant qui vous lient.
T'amènes alors tes bras le long de ses épaules enserrant sa nuque dans un geste inespéré. Lâche pourquoi ? Tu veux à ce point m'embrasser ? Moi ? Pas de danse, une main descend joignant ses doigts au sien, t'éloignant quelques instants, tu virevoltes à nouveau pour mieux te rapprocher, le nez plongé dans sa nuque contre laquelle tu viens te poser. T'es réellement bourré, à ce rythme c'est moi qui vais gagné. T'illustres tes paroles d'une énième gorgée.
Et t'aurais voulu boire un peu plus, t'abandonner à jamais aux liqueurs pour te faire roi. La bouteille comme ton règne t'es arraché subitement ; prince légitime, il s'en prend à toi Ishan à l'aube de tout scandale c'est sur ta peau que les blâmes fleurissent.
Que l'alcool te fasse sien ! T'as un rire comme réponse à ses lascivité, une main dans ses cheveux pour le faire sentir aimer. Ça danse dans ta tête et t'as son nom qui se grave sur le rebord de tes lèvres. Tu tournes alors à la façon des anathèmes, valsant tu te joins à lui, cadence erratique contre ton cœur chamboulé.
Quintessence radieuse, défiant les immortels il te ramène à lui comme si c'était ta destiné. Tu te réincarnes au creux de ses bras. Il invoque la luxure à la manière des tendres amies, il te provoque prétextant la lâcheté. Mais ce qu'il ne sait pas c'est qu'elle depuis longtemps abandonné au gré de l'ivresse.
Bal improvisé qui ne cesse de continuer, héros de votre propre tragédie t'as répugné la mort pour le romantisme. Main sur la sienne, tu viens t'emparer de sa bouteille ; buvant à ton tour, laissant la boisson s'emparer de tes délicatesse. Sourire large à l'abri des candeur, c'est un rire de nouveau qui vient rencontrer ses sentences. C'pas parce que t'joues les princes que ça fait de moi une princesse, imbécile. L'inconscience mue tes paroles en vérité auto-proclamée, à la façon d'aliénation, tu te sens délirer remuer par l'écho de tes rires et la distance frustrant qui vous lient.
T'amènes alors tes bras le long de ses épaules enserrant sa nuque dans un geste inespéré. Lâche pourquoi ? Tu veux à ce point m'embrasser ? Moi ? Pas de danse, une main descend joignant ses doigts au sien, t'éloignant quelques instants, tu virevoltes à nouveau pour mieux te rapprocher, le nez plongé dans sa nuque contre laquelle tu viens te poser. T'es réellement bourré, à ce rythme c'est moi qui vais gagné. T'illustres tes paroles d'une énième gorgée.
Ishan Tsukino
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Ishan Tsukino
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Désirs agrainés par tes phalanges enfouies dans ses cheveux et ses propres rires s’échouent contre ta peau, si rauques qu’ils s’en apparenteraient étrangement à des râles. La musique persiste et vos déboires aussi, les genoux tremblants dans des danses maladroites. Les surnoms sont envoyés à la volée et lui chérit particulièrement tes allures précieuses, s’agrippe à l’allégeance royale qu’il te céderait volontiers, si tant est qu’il en ait eu le pouvoir ; au lieu de ça c’est sans couronne que tu le fais prince, tire sur sa lippe un sourire carnassier. Au contraire. C’est précisément parce que je joue les princes, que t’es une princesse.
Les inhibitions se noient sous l’insistance de l’alcool, bonnes manières abandonnées sous les feuilles mortes pour laisser ses doigts se presser contre tes hanches. La prise est possessive, instinctive et Ishan la savoure d’autant plus que tes bras s’enroulent autour de sa nuque, la proximité presque brûlante sous ses mains impies. La tendre question du baiser est posée et les doigts s’enlacent dans une intimité apatride, singularité ancrée entre vous quand le vide se meurt.
Et finalement, c’est le défi sous-tendu qui finit d’écraser ses restrictions.
La main libre se hisse jusqu’à la mâchoire et l’ombre d’un pouce taquin trace la pommette ; l’oeil est sombre et la pupille se dilate de provocation à peine masquée, la paresse d’un rictus dessinée contre les commissures. Pourquoi j’aurais envie de t’embrasser, Hitomi? Syllabes stressées à l’excès, ton visage incliné sous la pression de ses impérieuses phalanges. La pulpe des lèvres cherche sa jumelle sans l’atteindre, il les pourlèche et abreuve l’iris des tiennes sans une trace de honte. Enfin, non. Pourquoi j’aurais pas envie de t’embrasser? Phonèmes dansants le long de sa langue et c’est finalement contre ta joue qu’il presse un chaste bécot, tordu par la courbe de ses sourires.
Je suis pas bourré, qu’il murmure derrière l’oreille - la vérité de la confession juste assez piquante pour le pousser à s’écarter. Il justifie sa couardise en te faisant virevolter sur les mélodies étrangères et ravale ses peurs dans une énième gorgée de saké. L’oeil luit d’une conviction nouvelle lorsqu’il le pose sur toi. Tu veux aller te baigner? La plage à proximité, et les débuts de l’été qui transpirent dans le soleil ; probablement qu’il fuit en balivernes, même accroché à ta main.
Les inhibitions se noient sous l’insistance de l’alcool, bonnes manières abandonnées sous les feuilles mortes pour laisser ses doigts se presser contre tes hanches. La prise est possessive, instinctive et Ishan la savoure d’autant plus que tes bras s’enroulent autour de sa nuque, la proximité presque brûlante sous ses mains impies. La tendre question du baiser est posée et les doigts s’enlacent dans une intimité apatride, singularité ancrée entre vous quand le vide se meurt.
Et finalement, c’est le défi sous-tendu qui finit d’écraser ses restrictions.
La main libre se hisse jusqu’à la mâchoire et l’ombre d’un pouce taquin trace la pommette ; l’oeil est sombre et la pupille se dilate de provocation à peine masquée, la paresse d’un rictus dessinée contre les commissures. Pourquoi j’aurais envie de t’embrasser, Hitomi? Syllabes stressées à l’excès, ton visage incliné sous la pression de ses impérieuses phalanges. La pulpe des lèvres cherche sa jumelle sans l’atteindre, il les pourlèche et abreuve l’iris des tiennes sans une trace de honte. Enfin, non. Pourquoi j’aurais pas envie de t’embrasser? Phonèmes dansants le long de sa langue et c’est finalement contre ta joue qu’il presse un chaste bécot, tordu par la courbe de ses sourires.
Je suis pas bourré, qu’il murmure derrière l’oreille - la vérité de la confession juste assez piquante pour le pousser à s’écarter. Il justifie sa couardise en te faisant virevolter sur les mélodies étrangères et ravale ses peurs dans une énième gorgée de saké. L’oeil luit d’une conviction nouvelle lorsqu’il le pose sur toi. Tu veux aller te baigner? La plage à proximité, et les débuts de l’été qui transpirent dans le soleil ; probablement qu’il fuit en balivernes, même accroché à ta main.
Invité
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La question tombe de la même manière que son pouce contre ta joue. Tendresse cruelle à laquelle tu ne sais plus répondre, avec affliction ton oeil ne distingue plus aucune frontières entre les romances et l'affront. Thanatos sans pitié se moque d'Eros avant d'aller le faire danser.
Et t'as plus la notion de rage incrusté en cristaux dans ton regard, seule les envies baignent, bercées par ses sourires, t'aurais sans doute passé quelques éternités à valser si les liqueurs pouvaient ainsi te l'accorder. Pourquoi aurait-il envie de t'embrasser Hitomi ? Sa question tombe comme un jugement maudit. Tu te laisses emportées par les pensées, son visage s'approche défiant la distance latente. Il affronte l'impensable sur le bout de tes lèvres sans y goûter. Comme si Eve avait toujours su résister.
Cœur en guerre face à tes ignominies. A quoi pensais-tu ? Que voulais-tu ? C'est les peines qui voilent tes caresses tandis que t'en appelle à la boisson. Il reformule sa question sans aucune honte, un instant de plus c'est toi qui l'aurait embrassé mais il t'arrache à tes ivres désirs pour quelque chose de bien plus suave.
Il n'est pas bourré. Déceptions papillon au creux de ton œillade, le tendre sourire en fragments s'efface. Qu'il te fasse encore tourner pour prouver ses dire, plus rien n'importait au moment même. Sans cesser de valser, tu le laisses contempler sa propre rhétorique ; l'alcool coulant le long de la trachée allant enflammer ta cage thoracique. Ça serait presque sarcastique mais il te propose d'aller te baigner.
Les mouvements meurent à l'ombre d'un rictus, l'alcool maître de tes humeurs a voulu fracturé les perles langoureuse de tes yeux. Y'a plein de raisons, Saké en main que tu vides lâchement, tu viens alors le rejoindre de nouveau, parce que j'suis pas foutu de monter un balais tu viens glisser de nouveau ses doigts entre les tiens, parce que j'ai aucun prestige. Tu le guides te faisant une énième fois tourner, d'un rythme bien plus lent la musique couvrant la mélancolie de son silence. parce que je t'ai blessé l'autre fois. T'évoques tes tendres paroles, la genèse te propre chute et tu cèdes à tes envies réduisant de nouveau la distance, tes lèvres arrivant au creux de son oreille.
Et parce que je m'appelle pas Sakurai Hajime, aussi. Tu déclares dans un murmure pénible, t'éloignant finalement, te consacrant à l'alcool comme prétexte, vidant sans gêne une bouteille malgré quelques hoquets. T'as abandonné la raison pour agir autrement, cherchant des excuses au sein du néant. La vérité c'est que rien ne justifie tes dires, ni tes bassesses. Tu l'aimes encore ? Car les murmures ont bien plus d'impact quand il s'agit de Tsukino, comme si à l'appel de la lune tu ne savais plus où porter le regard, de nouveau tu bois, t'aurais du te jeter dans la plage.
Et t'as plus la notion de rage incrusté en cristaux dans ton regard, seule les envies baignent, bercées par ses sourires, t'aurais sans doute passé quelques éternités à valser si les liqueurs pouvaient ainsi te l'accorder. Pourquoi aurait-il envie de t'embrasser Hitomi ? Sa question tombe comme un jugement maudit. Tu te laisses emportées par les pensées, son visage s'approche défiant la distance latente. Il affronte l'impensable sur le bout de tes lèvres sans y goûter. Comme si Eve avait toujours su résister.
Cœur en guerre face à tes ignominies. A quoi pensais-tu ? Que voulais-tu ? C'est les peines qui voilent tes caresses tandis que t'en appelle à la boisson. Il reformule sa question sans aucune honte, un instant de plus c'est toi qui l'aurait embrassé mais il t'arrache à tes ivres désirs pour quelque chose de bien plus suave.
Il n'est pas bourré. Déceptions papillon au creux de ton œillade, le tendre sourire en fragments s'efface. Qu'il te fasse encore tourner pour prouver ses dire, plus rien n'importait au moment même. Sans cesser de valser, tu le laisses contempler sa propre rhétorique ; l'alcool coulant le long de la trachée allant enflammer ta cage thoracique. Ça serait presque sarcastique mais il te propose d'aller te baigner.
Les mouvements meurent à l'ombre d'un rictus, l'alcool maître de tes humeurs a voulu fracturé les perles langoureuse de tes yeux. Y'a plein de raisons, Saké en main que tu vides lâchement, tu viens alors le rejoindre de nouveau, parce que j'suis pas foutu de monter un balais tu viens glisser de nouveau ses doigts entre les tiens, parce que j'ai aucun prestige. Tu le guides te faisant une énième fois tourner, d'un rythme bien plus lent la musique couvrant la mélancolie de son silence. parce que je t'ai blessé l'autre fois. T'évoques tes tendres paroles, la genèse te propre chute et tu cèdes à tes envies réduisant de nouveau la distance, tes lèvres arrivant au creux de son oreille.
Et parce que je m'appelle pas Sakurai Hajime, aussi. Tu déclares dans un murmure pénible, t'éloignant finalement, te consacrant à l'alcool comme prétexte, vidant sans gêne une bouteille malgré quelques hoquets. T'as abandonné la raison pour agir autrement, cherchant des excuses au sein du néant. La vérité c'est que rien ne justifie tes dires, ni tes bassesses. Tu l'aimes encore ? Car les murmures ont bien plus d'impact quand il s'agit de Tsukino, comme si à l'appel de la lune tu ne savais plus où porter le regard, de nouveau tu bois, t'aurais du te jeter dans la plage.
Ishan Tsukino
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18 yo
Rang : 85/100
Susanoo
Ishan Tsukino
the words we say to each other are slowly becoming sharper
La proposition tombe sous l’assaut de tes peines et Ishan les encaisse d’un oeil incrédule, la mâchoire serré d’une incompréhension viscérale. Vol posé à plat sur la table de vos discussions et c’est un vipérin doute qui s’engouffre dans sa gorge pour y atteindre sa colonne vertébrale ; les os s’agitent d’un grandissant malaise et le désir de noyer les accusations sous l’alcool se fait impérieux.
Et Dieu lui soit témoin, il aimerait tant te contredire. Hurler qu’aucune de ces raisons n’est valable - l’inconscient n’aurait pas fait le rapprochement avec Hajime, si t’avais pas craché les quelques syllabes de son nom. Damoclès l’achève d’un coup d’épée et les sentences sont aiguisées ; bouteille vidée sous ses yeux et les lèvres se pincent du mélange âcre de rage et d’injustice. T'es pas le premier à parler de mes parents comme ça. Il bouillonne d'un sentiment ignoré, impossible à nommer. Mais t'es le seul que j'ai pas tabassé juste après. Et les mots sont forcés, dents serrées comme pour protéger ses secrets - il aurait pu (dû, qu'on lui crie dans la tête) te frapper ou pire, te jeter un sort pour l'affront. Mais il n'a rien fait, a préféré la retraite aux dommages ; et au lieu de t'abandonner à ton suffoquant sort, l'inconscient t'a porté jusqu'à l'infirmerie.
Tu l’aimes encore ? qui creuse des sillons carmins entre les côtes, la lâcheté en tendre maîtresse serre la trachée d’une main de fer et aucun gant de velours ne saurait en adoucir la blessure. Il s'énerve.
De quoi tu parles? Deux mains agrippées aux hanches te repoussent et lui te dévisage, désoûlé par ton honnêteté. Tu crois que j’ai couché avec lui parce qu’il peut monter sur un balai? Si absurde qu’il en éclate d’un rire désuet, la maladresse tatouée le long de ses omoplates. Qu’est-ce que ça peut te faire, si je l’aime encore? Et voilà l’humour qui dégouline d’entre ses mots, abandonné pour un orgueil blessé qu’il s’applique encore à consoler. Et puis, si je voulais le ravoir… Je pourrais sans souci. Je l’ai déjà fait. Arrogant prince qui, enhardi par le saké, confesse ses péchés au seul qu’il aurait dû protéger.
Un éclat de raison dans le brouillard de ses pensées, la risette animale lorsqu’il plonge dans tes yeux un regard brûlant d’intérêt. Est-ce que t’es jaloux, Hitomi? Tu veux que je t’embrasse, toi aussi? Les aveux sont mis de côté et sa prise se raffermit assez pour laisser sur la peau blême les traces de ses engouements. Tu veux qu’on fasse la même chose? Je serais partant, te méprends pas. Mais j’ai peur que tu fasses une crise d’asthme au beau milieu des festivités. Connard qui reprend le dessus dans la lueur de l’iris et c’est l’audace qui le pousse à te presser contre lui, vicelard et définitivement compromis. Dis-moi, Hitomi, qu’est-ce que t’attends de moi? Les souffles sont gonflés de tous les vices du monde et Ishan se constate prêt à sacrifier les émotions pour céder aux primaux instincts.
Et Dieu lui soit témoin, il aimerait tant te contredire. Hurler qu’aucune de ces raisons n’est valable - l’inconscient n’aurait pas fait le rapprochement avec Hajime, si t’avais pas craché les quelques syllabes de son nom. Damoclès l’achève d’un coup d’épée et les sentences sont aiguisées ; bouteille vidée sous ses yeux et les lèvres se pincent du mélange âcre de rage et d’injustice. T'es pas le premier à parler de mes parents comme ça. Il bouillonne d'un sentiment ignoré, impossible à nommer. Mais t'es le seul que j'ai pas tabassé juste après. Et les mots sont forcés, dents serrées comme pour protéger ses secrets - il aurait pu (dû, qu'on lui crie dans la tête) te frapper ou pire, te jeter un sort pour l'affront. Mais il n'a rien fait, a préféré la retraite aux dommages ; et au lieu de t'abandonner à ton suffoquant sort, l'inconscient t'a porté jusqu'à l'infirmerie.
Tu l’aimes encore ? qui creuse des sillons carmins entre les côtes, la lâcheté en tendre maîtresse serre la trachée d’une main de fer et aucun gant de velours ne saurait en adoucir la blessure. Il s'énerve.
De quoi tu parles? Deux mains agrippées aux hanches te repoussent et lui te dévisage, désoûlé par ton honnêteté. Tu crois que j’ai couché avec lui parce qu’il peut monter sur un balai? Si absurde qu’il en éclate d’un rire désuet, la maladresse tatouée le long de ses omoplates. Qu’est-ce que ça peut te faire, si je l’aime encore? Et voilà l’humour qui dégouline d’entre ses mots, abandonné pour un orgueil blessé qu’il s’applique encore à consoler. Et puis, si je voulais le ravoir… Je pourrais sans souci. Je l’ai déjà fait. Arrogant prince qui, enhardi par le saké, confesse ses péchés au seul qu’il aurait dû protéger.
Un éclat de raison dans le brouillard de ses pensées, la risette animale lorsqu’il plonge dans tes yeux un regard brûlant d’intérêt. Est-ce que t’es jaloux, Hitomi? Tu veux que je t’embrasse, toi aussi? Les aveux sont mis de côté et sa prise se raffermit assez pour laisser sur la peau blême les traces de ses engouements. Tu veux qu’on fasse la même chose? Je serais partant, te méprends pas. Mais j’ai peur que tu fasses une crise d’asthme au beau milieu des festivités. Connard qui reprend le dessus dans la lueur de l’iris et c’est l’audace qui le pousse à te presser contre lui, vicelard et définitivement compromis. Dis-moi, Hitomi, qu’est-ce que t’attends de moi? Les souffles sont gonflés de tous les vices du monde et Ishan se constate prêt à sacrifier les émotions pour céder aux primaux instincts.
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(A house made of cards, and stupidly, us Even if you say it’s a useless dream, just stay a little more like this)
Rêveries dansantes sur le bout des tes illusions, la bouteille t'as accordé quelques chimère en échange de l'ivresse, t'en serais presque dépendant. La chaleur se répand, asphyxiant ta raison remplaçant les inconnus par de pensées immondes. La jalousie parsemée dans les gouttelette du liquide, c'est insidieux certes mais tu t'en remets à sa merci.
Brouillard dans le regard, tu ne réponds que par tes instincts et comme si c'était dans ta nature de l'écouter tu te tournes vers le silence. Il ne comprend pas plus que toi, les irritations te rongent de la même façon que l'alcool, qu'on te déchire le derme afin de dissiper ses confusion. T'assassinerais son rire, si ce n'était pas pour lui, tu t'emparerais de ses ironies tu te graverais de leur sang sans même que tu puisses distinguer le sens de tes actions.
Désordre et fatras en pétales dans ton regard ; c'est la lumière qui s'y dépose, furieuse, alors qu'il fait appel à sa condescendance. Il manigance au creux de sa main ce qu'il obtient et n'obtient pas jugeant par ses rictus qui sera digne de ses amusements. Il vante ses conquêtes, t'as le regard qui s'abaisse et la question tombe comme un cruel jugement. Est-ce que t’es jaloux, Hitomi ?
Ses doigts ont l'air glacé sur ta peau brûlante. Ses désirs se brisent en pluie de verre contre ton myocarde malmené par les précédents vices. La questions fusent à la même façon que les averses, gorge sèche tu songes fébrilement à l'alcool comme escapade. Mais t'es plus que le prisonnier de vérités à dévoiler.
Entre la jalousie et le vouloir t'aurais presque chuter. T'aurais arraché tes ailes pour ne plus avoir à choisir en espérant que l'alcool fasse office de véritaserum. Dénué d’échappatoire, il te tourmente de vote distance inexistante. Ça veut rien dire pour toi. A imiter les marionnettes t'en serais presque devenue une, esclave des exactitudes, incapable d'articuler le plus simple des consensus c'est ton cœur qui joue le rôle de contemplateur.
T'as en tête ses moqueries et tu te maudirais d'avoir été condamné à l'étouffement perpétuel.Peut-être il t'aurait pris un peu plus au sérieux. J'arrive jamais à savoir à quoi tu penses. T'agrippant à sa nuque, tu l'emmènes de nouveau danser, la cadence est bien plus lente, c'est muet que tu réponds à ses attentes. Tu veux l'emmener valser jusqu'au bout des éternités, voir ce qu'elles cachent de si précieux. T'es ivre mais tu ne sais plus de quoi. Ou c'que tu veux vraiment. Appuie sur sa nuque pour rapprocher vos visage, les fronts s'entrechoquent avec douceur, t'as sans doute l'air désespéré mais tu blâmerais l'alcool pour raviver tes avidités.
Les contrebasses chantent à ton égard. Si tu l'aimes encore retourne le voir, si c'est pour te moquer de moi arrête ça, j'suis pas comme ça. Les dernières bribes de ta lucidité sont soupirées sur le ton de l'inconscience, comme si tu te désignais sage de tes lamentations. Pourtant t'avais de plus en plus de mal à nier vouloir rompre les dernières millimètres pour enfin pouvoir te complaire de ses lèvres.
Brouillard dans le regard, tu ne réponds que par tes instincts et comme si c'était dans ta nature de l'écouter tu te tournes vers le silence. Il ne comprend pas plus que toi, les irritations te rongent de la même façon que l'alcool, qu'on te déchire le derme afin de dissiper ses confusion. T'assassinerais son rire, si ce n'était pas pour lui, tu t'emparerais de ses ironies tu te graverais de leur sang sans même que tu puisses distinguer le sens de tes actions.
Désordre et fatras en pétales dans ton regard ; c'est la lumière qui s'y dépose, furieuse, alors qu'il fait appel à sa condescendance. Il manigance au creux de sa main ce qu'il obtient et n'obtient pas jugeant par ses rictus qui sera digne de ses amusements. Il vante ses conquêtes, t'as le regard qui s'abaisse et la question tombe comme un cruel jugement. Est-ce que t’es jaloux, Hitomi ?
Ses doigts ont l'air glacé sur ta peau brûlante. Ses désirs se brisent en pluie de verre contre ton myocarde malmené par les précédents vices. La questions fusent à la même façon que les averses, gorge sèche tu songes fébrilement à l'alcool comme escapade. Mais t'es plus que le prisonnier de vérités à dévoiler.
Entre la jalousie et le vouloir t'aurais presque chuter. T'aurais arraché tes ailes pour ne plus avoir à choisir en espérant que l'alcool fasse office de véritaserum. Dénué d’échappatoire, il te tourmente de vote distance inexistante. Ça veut rien dire pour toi. A imiter les marionnettes t'en serais presque devenue une, esclave des exactitudes, incapable d'articuler le plus simple des consensus c'est ton cœur qui joue le rôle de contemplateur.
T'as en tête ses moqueries et tu te maudirais d'avoir été condamné à l'étouffement perpétuel.Peut-être il t'aurait pris un peu plus au sérieux. J'arrive jamais à savoir à quoi tu penses. T'agrippant à sa nuque, tu l'emmènes de nouveau danser, la cadence est bien plus lente, c'est muet que tu réponds à ses attentes. Tu veux l'emmener valser jusqu'au bout des éternités, voir ce qu'elles cachent de si précieux. T'es ivre mais tu ne sais plus de quoi. Ou c'que tu veux vraiment. Appuie sur sa nuque pour rapprocher vos visage, les fronts s'entrechoquent avec douceur, t'as sans doute l'air désespéré mais tu blâmerais l'alcool pour raviver tes avidités.
Les contrebasses chantent à ton égard. Si tu l'aimes encore retourne le voir, si c'est pour te moquer de moi arrête ça, j'suis pas comme ça. Les dernières bribes de ta lucidité sont soupirées sur le ton de l'inconscience, comme si tu te désignais sage de tes lamentations. Pourtant t'avais de plus en plus de mal à nier vouloir rompre les dernières millimètres pour enfin pouvoir te complaire de ses lèvres.
Ishan Tsukino
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18 yo
Rang : 85/100
Susanoo
Ishan Tsukino
the words we say to each other are slowly becoming sharper
Les déceptions sont amères sous la brise printanières, Ishan se fantasme Apollon quand le soleil meurt et que les mélodies s’affaissent - tableau que vous auriez dessiné avec soin si vos doigts n’étaient pas tant agités par la hâte, si les alcools n’enflammaient pas le moindre de vos sens. Tragédie qui se déroule en tapis rouge au seuil de vos hérésies et peut-être que les pétales mourants en appelaient à votre logique, que les dieux eux-mêmes s’attelaient à vous prévenir des dangers.
Pour ça, il aurait fallu que nulle déité ne festoie de la bêtise humaine ; qu’on l’accuse de trop de hardiesse, il avait toujours été diablement attiré par ce qui saurait le détruire.
Tu tires des conclusions d’une poignée de mots jetés à la mer et noies ses convictions par tes doutes - vous naviguez à vue et lui se réinvente muet sous la persistance de tes incompréhensions. Ah, quel triste spectacle! Lui démis de ses palabres trompeuses presse les lippes et subis tes discours accusateurs. Si tu l’aimes encore retourne le voir, si c’est pour te moquer de moi arrête ça, j’suis pas comme ça.
C’est une terrible réalité qui s’impose à sa vue embuée ; les jeux s’étaient arrêtés dès lors que ta rage t’avait poussé à le frapper. Ironie doucereuse qui le voit aliéné par ce qu’il ne pourrait atteindre. Alors, et seulement alors, il prend une décision et agite les rouages de la machine infernale - au diable les faiblesses sentimentales, c’est à la colère qu’il a vendu son âme.
Les crocs se serrent. Pour quelqu’un qui sait pas c’que je veux, t’as l’air plutôt confiant sur ce qui a du sens pour moi. Echo à la première tirade et c’est offensé qu’il s’écarte, la mâchoire pressée d’agacement. Toi aussi tu vas tirer tes conclusions sur ce que tu penses savoir de moi? Alors laisse-moi t’apprendre quelque chose. L’index s’enfonce dans le thorax, accablant. Tu sais rien de moi. C’est la réputation qui le précède et le dégoût qui pèse sur sa langue.
Main passée dans la tignasse et la bouteille lui paraît si lourde, si lourde. Regard pour l’arbre, comme pour se repentir. Pourquoi j’me moquerais de toi, hein? Parce que c’est ce qu’ils disent tous. Que je joue, à chaque fois. Les pas sont hagards, la démarche piteuse. Alors ils jouent aussi, tout le monde joue, tout le monde se fout de la gueule de tout le monde, et toi, vide qu’il pourfend du vide d’un doigt accusateur, t’es pas différent, si?
Peut-être est-ce le saké qui délie sa langue, comme il semble le forcer à traverser la distance qui vous sépare et à glisser une main délicate sous ton menton. Centimètres superflus ose encore combler le néant et Ishan souffle, harassé. Est-ce que tu te moques de moi, Hitomi? Prouve-moi le contraire. Montre-moi pourquoi c’est pas un jeu. Finalement les armes s’abaissent et la balle est jetée dans ton camp. Et si le regret terrasse l’extase de l’attente, il aura toujours l’alcool à blâmer.
Pour ça, il aurait fallu que nulle déité ne festoie de la bêtise humaine ; qu’on l’accuse de trop de hardiesse, il avait toujours été diablement attiré par ce qui saurait le détruire.
Tu tires des conclusions d’une poignée de mots jetés à la mer et noies ses convictions par tes doutes - vous naviguez à vue et lui se réinvente muet sous la persistance de tes incompréhensions. Ah, quel triste spectacle! Lui démis de ses palabres trompeuses presse les lippes et subis tes discours accusateurs. Si tu l’aimes encore retourne le voir, si c’est pour te moquer de moi arrête ça, j’suis pas comme ça.
C’est une terrible réalité qui s’impose à sa vue embuée ; les jeux s’étaient arrêtés dès lors que ta rage t’avait poussé à le frapper. Ironie doucereuse qui le voit aliéné par ce qu’il ne pourrait atteindre. Alors, et seulement alors, il prend une décision et agite les rouages de la machine infernale - au diable les faiblesses sentimentales, c’est à la colère qu’il a vendu son âme.
Les crocs se serrent. Pour quelqu’un qui sait pas c’que je veux, t’as l’air plutôt confiant sur ce qui a du sens pour moi. Echo à la première tirade et c’est offensé qu’il s’écarte, la mâchoire pressée d’agacement. Toi aussi tu vas tirer tes conclusions sur ce que tu penses savoir de moi? Alors laisse-moi t’apprendre quelque chose. L’index s’enfonce dans le thorax, accablant. Tu sais rien de moi. C’est la réputation qui le précède et le dégoût qui pèse sur sa langue.
Main passée dans la tignasse et la bouteille lui paraît si lourde, si lourde. Regard pour l’arbre, comme pour se repentir. Pourquoi j’me moquerais de toi, hein? Parce que c’est ce qu’ils disent tous. Que je joue, à chaque fois. Les pas sont hagards, la démarche piteuse. Alors ils jouent aussi, tout le monde joue, tout le monde se fout de la gueule de tout le monde, et toi, vide qu’il pourfend du vide d’un doigt accusateur, t’es pas différent, si?
Peut-être est-ce le saké qui délie sa langue, comme il semble le forcer à traverser la distance qui vous sépare et à glisser une main délicate sous ton menton. Centimètres superflus ose encore combler le néant et Ishan souffle, harassé. Est-ce que tu te moques de moi, Hitomi? Prouve-moi le contraire. Montre-moi pourquoi c’est pas un jeu. Finalement les armes s’abaissent et la balle est jetée dans ton camp. Et si le regret terrasse l’extase de l’attente, il aura toujours l’alcool à blâmer.
Invité
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(A house made of cards, and stupidly, us Even if you say it’s a useless dream, just stay a little more like this)
L'avidité à l'appel de l'alcool, tu t'en mords promptement les lèvres. Tu ne distingues plus rien, seulement tes désirs fanatiques, prêt à délaisser tes croyances premières pour d'autres hérésies. A quel moment les liqueurs t'avaient-elles rendu si pathétique ? Le questionnement n’atteint pas le cheminement de tes pensées, assoiffé et blessé.
Il trouve sens à tes paroles alors il préfère s'écarter, tu trébucherais presque dans l'idée d'aller le rejoindre à nouveau mais t'étais pas assez ivre pour céder à tes fiertés. Il confond excès de confiance à tes paroles désespérées, n'adressant pas un regard à tes véritables vouloir.
La justesse en étoiles filantes s'écrase en éclat à tes propres égards. La vérité est prononcée en quelques syllabes ; tu ne sais rien de lui. Tu sais, tu ne l'avais jamais nier et c'était bien la problème Hitomi, tu ne sais rien et t'es incapables de savoir car les ardeurs t'ont tant bien aveuglé.
Tu ne sais plus rien discerner, si ce n'est que les rages similaires aux tiennes. Tes cils se lamentent dans un battement ; la respiration en suspend, t'envies alors ses quelques gorgées, tu ne sais soudainement plus où te placer.
A la manière des orages, t'as l'impression d'être gronder alors qu'il t'accuse de leur ressembler. Jouant avec la distance, c'est les centimètres qui se réduisent accompagné d'une main qui t'empêche de le fuir. Miséricorde aux allures de tendresses ses mots en paraissent cependant bien différents. A la manière de compte à rendre il te demande des preuves, t'as envie de boire mais t'étais déjà ivre.
Peut-être il a raison finalement, que tu n'as rien de très différent face à ces gens. T'es l'objet de hantise, t'es l'objet de railleries. Tu donnes naissance à l'ironie et tu l'as vu aussi rire. Et il te perd, Ishan, entre sarcasme et pansements, sans le rejeter tu l'as constamment renier. T'accuses l'alcool pour avoir de telle pensées, te perdant par-delà les consensus tu prendrais tes mensonges pour des vérités.
T'as raison, je sais rien de toi. A l'encontre de ses œillades, tu croirais devenir fou. La musique n’apparaît plus comme un bruit sourd que les battements de ton cœur sans aucune pitié étouffe. Y'a une différence être aimer et jouer tu crois pas ? Car il laisse tes questions en suspend et que tu le penses encore amoureux, t'as l'audace de pointer le fait comme si tes pensées à toi te paraissaient claires. Est-ce que j'ai assez d'audace pour jouer ? Dis-le moi Ishan.
Main sur son visage, tu retraces le contour ses pommettes d'un mouvement lascif. Tu sollicites les étoiles que le saké a gravé dans son regard, derme embrassé par le soleil, il en rendrait certes jaloux Icare mais aujourd'hui c'est toi qui a des ailes. Tu sais quoi ? Pense ce que tu veux. Le souffle ivre épouse ses lèvres, tu viens le regagner sur le rythmes des délicatesses, le mouvement à peine visible imitant tes réelles silhouettes. Les secondes à l'image de l'éternité semblent s'étendre sur le long de ton baiser.
T'éloignant alors, tes complaisances se terminent en un fin sourire. T'as gagné. Tu soupires toujours contre lui, la respiration s'indignant de l'ivresse que tu lui infliges.
Il trouve sens à tes paroles alors il préfère s'écarter, tu trébucherais presque dans l'idée d'aller le rejoindre à nouveau mais t'étais pas assez ivre pour céder à tes fiertés. Il confond excès de confiance à tes paroles désespérées, n'adressant pas un regard à tes véritables vouloir.
La justesse en étoiles filantes s'écrase en éclat à tes propres égards. La vérité est prononcée en quelques syllabes ; tu ne sais rien de lui. Tu sais, tu ne l'avais jamais nier et c'était bien la problème Hitomi, tu ne sais rien et t'es incapables de savoir car les ardeurs t'ont tant bien aveuglé.
Tu ne sais plus rien discerner, si ce n'est que les rages similaires aux tiennes. Tes cils se lamentent dans un battement ; la respiration en suspend, t'envies alors ses quelques gorgées, tu ne sais soudainement plus où te placer.
A la manière des orages, t'as l'impression d'être gronder alors qu'il t'accuse de leur ressembler. Jouant avec la distance, c'est les centimètres qui se réduisent accompagné d'une main qui t'empêche de le fuir. Miséricorde aux allures de tendresses ses mots en paraissent cependant bien différents. A la manière de compte à rendre il te demande des preuves, t'as envie de boire mais t'étais déjà ivre.
Peut-être il a raison finalement, que tu n'as rien de très différent face à ces gens. T'es l'objet de hantise, t'es l'objet de railleries. Tu donnes naissance à l'ironie et tu l'as vu aussi rire. Et il te perd, Ishan, entre sarcasme et pansements, sans le rejeter tu l'as constamment renier. T'accuses l'alcool pour avoir de telle pensées, te perdant par-delà les consensus tu prendrais tes mensonges pour des vérités.
T'as raison, je sais rien de toi. A l'encontre de ses œillades, tu croirais devenir fou. La musique n’apparaît plus comme un bruit sourd que les battements de ton cœur sans aucune pitié étouffe. Y'a une différence être aimer et jouer tu crois pas ? Car il laisse tes questions en suspend et que tu le penses encore amoureux, t'as l'audace de pointer le fait comme si tes pensées à toi te paraissaient claires. Est-ce que j'ai assez d'audace pour jouer ? Dis-le moi Ishan.
Main sur son visage, tu retraces le contour ses pommettes d'un mouvement lascif. Tu sollicites les étoiles que le saké a gravé dans son regard, derme embrassé par le soleil, il en rendrait certes jaloux Icare mais aujourd'hui c'est toi qui a des ailes. Tu sais quoi ? Pense ce que tu veux. Le souffle ivre épouse ses lèvres, tu viens le regagner sur le rythmes des délicatesses, le mouvement à peine visible imitant tes réelles silhouettes. Les secondes à l'image de l'éternité semblent s'étendre sur le long de ton baiser.
T'éloignant alors, tes complaisances se terminent en un fin sourire. T'as gagné. Tu soupires toujours contre lui, la respiration s'indignant de l'ivresse que tu lui infliges.
Ishan Tsukino
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18 yo
Rang : 85/100
Susanoo
Ishan Tsukino
the words we say to each other are slowly becoming sharper
Fauve sort les crocs sous les blessures qu’il s’inflige lui-même et le regret pèse sur sa langue lorsqu’elle se meut pour conter ses peurs ; il en blâme l’alcool et c’est l’honnêteté qui dégouline le long de sa prose, les barrages soigneusement élevés affaiblis par la bouteille et ta présence.
Derrière le vitriol se tapit vulnérabilité et peur et pourtant c’est l’affection qui manque de lui faire traverser des frontières immuables. Alors tes mots lui paraissent arides quand lui rêve de s’abreuver - amours chuchotées dans les doutes, là où sa seule sûreté s’impose dans ses désirs de possession.
Les questions tombent et les masquarades suivent leur tendre exemple, la chute d’un héros se couple à celle de sa retenue - caresse en préambule d’un feu d’artifice à la commissure de ses lèvres et homme devient animal sous l’électricité. Et finalement c’était tout ce qui lui fallait ; l’ombre d’un baiser, la délicatesse d’une étreinte avec pour seuls témoins les sujets de sélène.
T’as gagné. Rictus carnassier orne la lippe vorace, et l’effronté rit contre ta joue. Pas encore.
On l’avait souvent accusé d’impatience, et c’est contre toi qu’il se hisse à la hauteur de ses réputations - tendresse cède sa place au prurit de t’avoir. Au diable la gloire, c’est à ton chevet qu’il préfère s’éteindre. Les doigts se pressent contre le derme et c’est en félin qu’il s’ancre à tout ton être, qu’il en mémorise autant les saveurs que les courbes ; il en cherche les secrets dans sa hâte éméchée et s’en abreuve de tout son soûl, pauvre soiffard qu’on aura jeté au Sahara pour lui offrir la rédemption d’un fugace oasis.
A ta lèvre Tsukino goûte le délit et l’infamie, te délecte de ses plus belles danses et si la musique s’efforce de vous offrir l’ombre d’un rythme, c’est à sa merci qu’il te guide. La fosse aux lions s’ouvre sous ses pieds dans l’effroi d’une réalisation, hagarde, qui le pousse à reprendre sa respiration. Ah, soufflerait-il directement contre tes lèvres, je crois que j’y prends goût. La naissance d’un sourire déforme le nouveau baiser qu’il se risque à t’offrir, noyé dans ta contemplation l’orgueilleux ne réalise guère qu’à votre apogée, vous ne pourriez que retomber.
Derrière le vitriol se tapit vulnérabilité et peur et pourtant c’est l’affection qui manque de lui faire traverser des frontières immuables. Alors tes mots lui paraissent arides quand lui rêve de s’abreuver - amours chuchotées dans les doutes, là où sa seule sûreté s’impose dans ses désirs de possession.
Les questions tombent et les masquarades suivent leur tendre exemple, la chute d’un héros se couple à celle de sa retenue - caresse en préambule d’un feu d’artifice à la commissure de ses lèvres et homme devient animal sous l’électricité. Et finalement c’était tout ce qui lui fallait ; l’ombre d’un baiser, la délicatesse d’une étreinte avec pour seuls témoins les sujets de sélène.
T’as gagné. Rictus carnassier orne la lippe vorace, et l’effronté rit contre ta joue. Pas encore.
On l’avait souvent accusé d’impatience, et c’est contre toi qu’il se hisse à la hauteur de ses réputations - tendresse cède sa place au prurit de t’avoir. Au diable la gloire, c’est à ton chevet qu’il préfère s’éteindre. Les doigts se pressent contre le derme et c’est en félin qu’il s’ancre à tout ton être, qu’il en mémorise autant les saveurs que les courbes ; il en cherche les secrets dans sa hâte éméchée et s’en abreuve de tout son soûl, pauvre soiffard qu’on aura jeté au Sahara pour lui offrir la rédemption d’un fugace oasis.
A ta lèvre Tsukino goûte le délit et l’infamie, te délecte de ses plus belles danses et si la musique s’efforce de vous offrir l’ombre d’un rythme, c’est à sa merci qu’il te guide. La fosse aux lions s’ouvre sous ses pieds dans l’effroi d’une réalisation, hagarde, qui le pousse à reprendre sa respiration. Ah, soufflerait-il directement contre tes lèvres, je crois que j’y prends goût. La naissance d’un sourire déforme le nouveau baiser qu’il se risque à t’offrir, noyé dans ta contemplation l’orgueilleux ne réalise guère qu’à votre apogée, vous ne pourriez que retomber.
Rajan Tsukino
Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
Age : 37 ans
Rang : S0
Seimei
Rajan Tsukino
shoot me
Crepuscule. Le temps s’échappe et le soleil vient dorer l’horizon. Bientôt, les dernières lueurs laisseront place à l’obscurité ; propices au secrets et aux fuyards, mais la vérité fini toujours par éclater au grand jour ; n’est-ce pas ?
Dernier tour avant de rentrer. Ce n’est qu’une commodité à laquelle tu es obligé de te plier ; une tournée qui s’instaure dans la routine qui avait plus des allures de balade au bord du lac. Les mains liées dans le dos, tu foules de énième fois le sol où l’herbe avait laissé place à un chemin de terre. Le vent printanier laisse l’odeur des bourgeons florissant s’envoler ; elle porte les odeurs et la musique. Tu laisses tes pas être guidé par la mélodie ; cependant tu étais loin de t’imaginais qu’elle monterait en crescendo. Paysage aigre-doux et souvenir d’antan, ce qui aurait pu être une erreur du passé est amené à se reproduire ; un héritage insoupçonné, celui de la bêtise.
Posture droite, presque militaire. L’échange prend fin sous tes yeux et si cela avait été une représentation, on en applaudirait la prestation, mais elle est loin d’être à ton goût, contrairement à celui de ton cadet.
L’alcool n’échappe pas à ton regard lui non plus. Insouciant voulant devenir trop vite plus grand. Ça va, vous êtes à votre aise ? La question n’en est pas une. Elle est simplement là pour faire entendre ta venue. Je vois que le règlement vous échappe, Monsieur Nishikawa, Monsieur Tsukino. Froideur éloquente et rappel aux grands discours sur les infractions. A ce moment, tu n’es plus le bon ainé sur lequel compter, tu n’es que le professeur Tsukino. Moins dix point pour les Tsuchigumo et, tu marques un temps de pause. Ton regard se plante dans celui de ton cadet. Tu aurais préféré ne pas l’avoir surpris dans cette situation. Il y a tant de choses qui traverse ton esprit, mais si peu de mot capable d’exprimer la déception, si ce n’est celui-ci. Alors, tes yeux et le professeur parlent pour toi, parce que ces mots ne sauraient franchir tes lippes ; moins quinze points pour les Yatagarasu.
Finalement c’était d’une saveur amer.
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(A house made of cards, and stupidly, us Even if you say it’s a useless dream, just stay a little more like this)
Les somptuosités se détendent au creux de son rictus. Annonçant la danse, c'est vos désirs qui viennent valser euphorique de votre rencontrer. Les mains glissent, les corps se rapprochent aux allures de lyrisme qui resplendissent. Baisers alcoolisés, sentiment à la merci de l'ivresse c'est sur ses cheveux, sur sa nuque que tes doigts se complaisent.
L'univers se mue le long de son derme, tu viens en apprendre toutes les misères. En cet instant tu l'aurais glorifié Ishan, pour te sentir tant aimer et ce n'est que par mimétisme que tu essaies de lui rendre la pareille. Les astres comme des âmes réincarnées sont comblées, le printemps à son apothéose ferait danser les cerisier.
Qu'on salue les concupiscences en ce soir car la vérité à son état le plus brut a pu enfin émerger. Les inclinations succombent mais te voilà ambitieux, avidité immonde pourtant t'en as aucune honte, sans doute trop désespéré Hitomi tu ne prends pas la peine de voir s'éteindre le baiser, bien trop animé par la ardeur brûlant les idylles aux côtés de l'alcool.
C'est un rire qui vous arrête, les respirations implorants qu'on accorde de l'importance à leur présence. Sourire, tu chutes à nouveau, remarques saillante, c'est de son visage dont tu t'empares les caresses frivoles. Continue alors. Et tu l'embrasses, tu le voulais encore.
Les instants s'écoulent en étoiles filantes, le sablier annonce la chute et le drame commence aux abords d'une voix stridente. Le moment te saisit dans la rupture de vos tendresses, l'air hébété tandis que tu distingues lentement la silhouette de Tsukino. T'aurais cru voir double pourtant son apparition te fait l'effet de l'hiver.
La sanction tombe, plus lourde pour celle d'Ishan. Les peines s'inscrivent avec grâce contre ton cœur troublé, toujours bourré tu ne sais plus où te placer partager entre l'envie de hurler et celle de pleurer. Le présent ne fait plus sens malgré tout t'as tout de même appui sur un semblant de lucidité. C'pas de sa faute. T'articules honteusement à l'égard de ton professeur. Regard bas, humeur basse, peut-être en ce soir t'étais réellement Icare.
L'univers se mue le long de son derme, tu viens en apprendre toutes les misères. En cet instant tu l'aurais glorifié Ishan, pour te sentir tant aimer et ce n'est que par mimétisme que tu essaies de lui rendre la pareille. Les astres comme des âmes réincarnées sont comblées, le printemps à son apothéose ferait danser les cerisier.
Qu'on salue les concupiscences en ce soir car la vérité à son état le plus brut a pu enfin émerger. Les inclinations succombent mais te voilà ambitieux, avidité immonde pourtant t'en as aucune honte, sans doute trop désespéré Hitomi tu ne prends pas la peine de voir s'éteindre le baiser, bien trop animé par la ardeur brûlant les idylles aux côtés de l'alcool.
C'est un rire qui vous arrête, les respirations implorants qu'on accorde de l'importance à leur présence. Sourire, tu chutes à nouveau, remarques saillante, c'est de son visage dont tu t'empares les caresses frivoles. Continue alors. Et tu l'embrasses, tu le voulais encore.
Les instants s'écoulent en étoiles filantes, le sablier annonce la chute et le drame commence aux abords d'une voix stridente. Le moment te saisit dans la rupture de vos tendresses, l'air hébété tandis que tu distingues lentement la silhouette de Tsukino. T'aurais cru voir double pourtant son apparition te fait l'effet de l'hiver.
La sanction tombe, plus lourde pour celle d'Ishan. Les peines s'inscrivent avec grâce contre ton cœur troublé, toujours bourré tu ne sais plus où te placer partager entre l'envie de hurler et celle de pleurer. Le présent ne fait plus sens malgré tout t'as tout de même appui sur un semblant de lucidité. C'pas de sa faute. T'articules honteusement à l'égard de ton professeur. Regard bas, humeur basse, peut-être en ce soir t'étais réellement Icare.
Ishan Tsukino
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18 yo
Rang : 85/100
Susanoo
Ishan Tsukino
the words we say to each other are slowly becoming sharper
Les drames se succèdent au terme de vos fiévreux baisers et, quelque part, peut-être aurait-il dû s’en douter. Rien d’aussi bon ne saurait s’offrir à lui sans de désastreuses conséquences, et Dieu sait qu’à l’accomplissement de ses péchés la condamnation est impitoyable. Il n’entend ni les branches craquer sous le poids de Damoclès et son épée s’abat en frère aîné dissimulé derrière les rôles des professeurs.
Dans la brume du saké la voix coupe, juste assez aiguisée pour atteindre son esprit enfumé - sobriété forcée par la dureté de l’instant et ses doigts s’enroulent autour des tiens, fausse prise de courage quand les phalanges s’agitent dans l’anxiété. C’est le regard de Rajan qui pourfend le poitrail et y glisse fragments de verre pilé, les entrailles si tordues qu’il en vomirait.
Peine supérieure à la tienne et la rage qui brûle dans son regard n’a d’égal que l’effroi entre les côtes, si vif qu’il en balaye les protestations préparées ; surprise le pousse à lâcher la main si tendrement empoignée et la voix est rauque, tirée d’un surplus d’émotions larmoyantes. Quinze? L’incrédulité et l’injustice sont autant de lames plongées dans le thorax, et l’amertume d’un sourire glacial vient orner la lippe. Courage liquide qui incendie ses veines, l’alcool exhorte à l’audace et le regret n’aura sa place qu’aux premières heures du jour. Pourquoi quinze, et pas dix? Tu me détestes à ce point? Assez pour une déformation professionnelle? Va te faire foutre. Va te faire foutre.
Il crache les venins et c’est la haine d’un million d’années qui prend le dessus, l’or de son iris strié des rougeurs de larmes obstinément retenues. Peu enclin à éclater sous les regards de deux entités trop importantes et encore moins désireux de laisser la rage l’emporter, il s’élance vers le palais d’un pas impérieux, aveuglé par la liqueur et son propre coeur.
Dans la brume du saké la voix coupe, juste assez aiguisée pour atteindre son esprit enfumé - sobriété forcée par la dureté de l’instant et ses doigts s’enroulent autour des tiens, fausse prise de courage quand les phalanges s’agitent dans l’anxiété. C’est le regard de Rajan qui pourfend le poitrail et y glisse fragments de verre pilé, les entrailles si tordues qu’il en vomirait.
Peine supérieure à la tienne et la rage qui brûle dans son regard n’a d’égal que l’effroi entre les côtes, si vif qu’il en balaye les protestations préparées ; surprise le pousse à lâcher la main si tendrement empoignée et la voix est rauque, tirée d’un surplus d’émotions larmoyantes. Quinze? L’incrédulité et l’injustice sont autant de lames plongées dans le thorax, et l’amertume d’un sourire glacial vient orner la lippe. Courage liquide qui incendie ses veines, l’alcool exhorte à l’audace et le regret n’aura sa place qu’aux premières heures du jour. Pourquoi quinze, et pas dix? Tu me détestes à ce point? Assez pour une déformation professionnelle? Va te faire foutre. Va te faire foutre.
Il crache les venins et c’est la haine d’un million d’années qui prend le dessus, l’or de son iris strié des rougeurs de larmes obstinément retenues. Peu enclin à éclater sous les regards de deux entités trop importantes et encore moins désireux de laisser la rage l’emporter, il s’élance vers le palais d’un pas impérieux, aveuglé par la liqueur et son propre coeur.
Rajan Tsukino
Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
Age : 37 ans
Rang : S0
Seimei
Rajan Tsukino
shoot me
Impartial ; c’est un bien cruel précepte à appliquer lorsque l’on fait partie des concernés ; c’est un bien cruel mot, lorsqu’il est si injustement appliqué. Ce n’est pas de votre faute, après tout ce sont les sentiments bien trop complexes qui vous guident et forment les décisions ; aussi lâchent soient-elles.
Le regard planté sur les deux coupables désignés ; la sentence tombé et la honte mêlée à la rage. L’un baisse le regard et l’autre te confronte ; enragé il brûle, mais le bloc de glace derrière lequel tu te préserves y est insensible ; tu ne lui accorderais pas le moindre souffle. Puisse sa braise s’éteindre après s’être consumée.
Vous me rangerez tout votre bazar. Finalement, tu ignores les complaintes comme si elles n’étaient que celles d’un étranger. Parce qu’il devait comprendre par lui-même que ses actes avaient plus de portées que celles d’un simple né-moldu ; que le fossé entre ses erreurs et celles d’hitomi aussi identiques soient-elles se fait à l’image d’un trou béant. Parce que ce qui compte ce ne sont pas ses actes ; mais les conséquences. Tu lui adresses à ton cadet un dernier regard ; il est un Tsukino et n’y échappera jamais.
Et tu te détournes de cette scène tragique ; laissant tes espoirs retrouver leur raison. Il n’y a rien que tu puisses faire, s’il ne décide pas de se sauver.
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