— MAHOUTOKORO
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[flashback] Someone like you // Nanami
Yori Hayashi
[flashback] Someone like you // Nanami 190204091233391372
Citation : All is lost again but i'm not giving up
Age : 19 (16 mars)
Orochi
Orochi
Yori Hayashi
https://mahoutokoro.forumactif.com/t85-yori-hayashi-desenchante
https://mahoutokoro.forumactif.com/t287-poker-face-yori
Yori Hayashi


Someone like youWait a minute. Every time you're near, my body's getting reckless. Hope I don't regret this
Wait a minute. The way you make me feel, I can't keep my focus, it's too much to resist.
I'm over being under your spell. It keeps blinding me— Butterflies // Zendaya Coleman

But my heart keeps telling me the perfect lie
You rip me up with every last goodbye
I don't wanna say forever
It's just another now or never
So heart don't let me trust these butterflies
Tu profites que le professeur vous ait laissé sortir plus tôt pour te précipiter dans les couloirs, jusqu’à atteindre la salle de classe souhaitée. Tu as peut-être un peu profité, aussi, de l’absence d’autres élèves pour courir dans l’escalier. Et surement que tu t’es assuré de retrouver, ensuite, un souffle calme et suffisamment de contenance pour que ton débordement ne soit pas soupçonné.
C’est la fin de journée, qui a sonnée. Ainsi, ce n’est pas pour un prochain cours que la pièce t’intéresse, mais bien pour la classe s’apprêtant à en sortir – un emploi du temps, bien que n’étant pas le tien, mémorisé par habitude.

La porte s’ouvre, déversant sa foule et tu t’en écartes juste assez pour laisser les élèves en sortir, tout en t’assurant de rester assez près pour attraper l’objet de tes désirs. Ta main agrippe la sienne et, de l’autre, tu l’attires à toi. Sourire aux lèvres, tu ne tardes pas à te pencher jusqu’aux siennes pour lui voler un baiser.

Les derniers mois t’ont fait gagner de nombreux centimètres, t’offrant la satisfaction de te sentir grand – même Jian n’est pas encore parvenu à te rattraper, malgré votre année de différence. A quinze ans – tout juste obtenus – tu te sens pousser les ailes de la supériorité, pourtant sans cesse brisées par le constant rappel de l’existence de tes parents.
Heureusement, les vacances sont passées.

« « Tu me permet de te kidnapper ? »

La question est à peine posée que tu l’entraîne déjà à ta suite, vous permettant seulement un arrêt par vos dortoirs pour déposer vos affaires et vous armer de manteaux, avant d’aller vous confronter à la fraîcheur du mois de mars.
Le temps est clément, malgré tout, t’ayant donné l’envie d’en tirer parti.

«« Tu me diras si tu as froid. »

Tu relâches finalement sa main, pour t’installer sur un des bancs ornant le jardin japonais.

« Et j’espère que tu n’as rien prévu pour ce soir. »

Parce que j’ai envie de t’accaparer pour le reste de cette journée, de nous occuper, de n’être que tout les deux et, surtout, surtout, que tu me fasses oublier quel jour on est.
Nanami Asakura
[flashback] Someone like you // Nanami TuBwlXw
Citation : elle monte dans la fièvre et j'ai cramé tous ses rêves
Age : 20 ans
Rang : 82
Ryujin
Ryujin
Nanami Asakura
https://mahoutokoro.forumactif.com/t326-n-a-n-a-m-i
https://mahoutokoro.forumactif.com/t426-o-n-a-n-a-m-i
Nanami Asakura
Never pick up, never call me You know we're runnin' out of time Never pick up when you want me Now I gotta draw a line Baby I done, done enough talking Need to know that you're mine Baby we done, done enough talking Gotta be right now, right nowAccoudée à sa table, la jeune demoiselle reste de marbre face au cour qui se déroule devant elle ; pour la première fois, le cours théorique de défense contre les forces du mal ne suscite aucune émotion chez elle. Les yeux rivés sur son cahier, Nanami esquisse des dessins, tous plus abstraits les uns que les autres ; avant que le visage de son tendre aimé ne lui passe devant les yeux. Un fin sourire apparaît alors lentement sur ses fines lèvres, alors qu'elle se perd à tenter de reproduire les tiennes ((Yori.)) Le coeur en proie à un sentiment qu'elle n'a guère plus côtoyer que cela, elle se prend au jeu, s'imagine ton sourire qu'elle connaît parfaitement bien, s'attardant un peu plus longuement sur tes cheveux ; avant qu'une craie ne viennent voler dans sa direction dès qu'elle amorça un soupir de bienêtre. Elle venait d'être prise sur le fait ((heureusement pour elle que ses notes ne sont pas sur le déclin.))

Impatience rime avec prudence, mais ce dernier mot ne fait plus partie du vocabulaire de la jeune fille ; elle se jette corps et âmes dans cette relation, quitte à se brûler les ailes ; à s'immoler d'un amour ardent. Tu lui évoques le soleil, alors qu'elle n'est plus qu'Icare, un être qui ne sait pas quand doit s'arrêter sa cupidité, son avidité. Se massant légèrement la nuque après avoir émis un nouveau soupir d'aise, le professeur s'arrête, énumérant les devoirs à faire pour la prochaine fois alors qu'elle est presque déjà sur le départ. Il lui tarde de te revoir, de venir te trouver devant ta salle de classe. Une main lui attrape l'épaule, la freinant dans sa course, celle d'un professeur qui lui demande de ne pas se disperser, de rester attentive comme elle l'a toujours été. ((Difficile de l'être quand un bel Apollon accapare toutes ses pensées.)) Hochant la tête positivement, Nanami entend, comprend et signe une sorte de contrat silencieux, celui d'être plus consciencieuse. Une main sur la bandoulière de son sac, une courbette légère en avant pour s'excuser et pour saluer, elle se dirige enfin d'un pas lent vers la porte.

Et c'est là que ta silhouette lui apparaît, comme un doux rêve, un sourire lui étirant les lèvres de plus en plus alors qu'elle presse le pas pour te retrouver. Un baiser volé alors qu'elle était prête à te demander ce que tu faisais ici ((question stupide, preuve de son étourderie - heureusement que tu lui a coupé l'herbe sous le pied)) - de sa petite taille comparé à la tienne, nouvelle, elle se hisse sur la pointe des pieds pour t'embrasser d'avantage avant de se reprendre, consciente que vous n'étiez pas réellement sorti de la salle de classe. Le rouge aux joues, son éternel sourire toujours ancré sur ses lippes, la demoiselle attrape ta main alors que tu lui poses une question ô combien étrange. "Tu me permet de te kidnapper ?" Ce n'est pas une question Yori que tu lui poses là, c'est une affirmation, tu ne lui laisses aucun choix. Elle ne laisse échapper qu'un rire pour unique réponse avant d'entremêler ses doigts aux tiens.

Un dépôt d'affaires plus tard, optant pour une tenue un peu plus chaude, Nanami s'enroule dans une écharpe avant de revenir vers toi ; de nouveau unir vos doigts, puis vos lèvres avant de repartir. La marche se fait silencieuse, ponctué par des silences un peu gênant - mais non pas dérangeant. Elle se sent un peu gauche quand elle est avec toi, ne sachant pas trop comment agir, malgré cet amour débordant, celui qui découle de chacun de ses pores, que son regard arrive à te démontrer de bien des manières. Au jardin japonais, tu romps l'étreinte de vos doigts, avant de t'asseoir sur un banc ; avenant comme à ton habitude. "Tu me diras si tu as froid." Elle saurait très bien comment y remédier et c'est d'ailleurs ce qu'elle fait ; en prenant place à tes côtés, la demoiselle se blottit à toi, se calant entre tes jambes et tes bras avant d'humer ton parfum et de laisser échapper un nouveau soupir d'aise. C'est fou Yori, combien tu l'apaises. "Et j'espère que tu n'as rien de prévu pour ce soir." Un sourcil arqué, la demoiselle tourne la tête vers toi, les lèvres étirés dans un sourire taquin.

« Je vous trouve bien entreprenant aujourd'hui mon cher Hayashi, mais ce n'est pas pour me déplaire. » Un rire sonore qu'elle n'arrive pas à réfréner, avant de se retourner, de passer ses bras autour de ta nuque pour mieux plonger dans l'étendue de ton regard. « Ainsi, je n'aurai pas froid. » Ses doigts jouent désormais avec la naissance de tes cheveux, ses lèvres se posant à la commissure des tiennes ; elle ne sait toujours pas comment être réellement entreprenante, pourtant elle essaye ((mais c'est si difficile d'être auprès de quelqu'un qu'on aime - sa poitrine lui fait atrocement mal.)) « Et je compte bien passer le reste de cette journée avec toi… » La voilà qui vole tes lèvres, dans un doux baisé débordant d'amour, véhiculant toute sa sincérité, toute son adoration pour toi… « Et d'ailleurs, c'est quoi ton programme ? Fait moi rêver. » Sourire de nouveau taquin, alors qu'elle s'écarte, ses doigts continuant encore et toujours leur petit manège sur ta chevelure opaline.

Elle espérait, tout au fond d'elle Nanami, que cette journée ne s'achève jamais.
kaspbarks


Yori Hayashi
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I'm over being under your spell. It keeps blinding me— Butterflies // Zendaya Coleman

But my heart keeps telling me the perfect lie
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Il y a des jours où tenir la main de Nanami, l’étreindre ou l’embrasser, te semble aussi naturel qu’instinctif. Comme si tu étais né pour ça, comme si tu étais fait pour ça – tes parents ne peuvent comprendre combien ça te paraît plus vrai que toutes les opportunités qu’ils t’offrent sur un plateau. D’autres jours, tu découvres combien ces contacts t’en font devenir dépendant, combien ils te paraissent vitaux ; et ces jours éveillent des peurs que tu aimerais cacher – non, tu ne peux être aussi attaché.

Blotti l’un contre l’autre, tes bras s’enroulent autour d’elle, dans la bonne excuse de la réchauffer – mais surtout, le plaisir de le faire. Son rire résonne à tes oreilles – douce mélodie – et ton visage plonge contre le sien, à la suite de ton regard. Tu chatouilles son nez du tien, revient embrasser ses lèvres.

« Je suis toujours entreprenant, Asakura. »

Sourire plaisantin, à l’utilisation de vos noms de famille. Un jour, peut-être feras-tu du sien le tien – j’aimerais croire que mes parents me renieraient mais je pense plutôt qu’ils m’en empêcheraient. Ils l’ont même déjà confirmé.

Vos chaleurs se mêlent, mais en quête de plus de proximité encore, tu attrapes l’écharpe du bout de tes doigts pour entourer ton cou de son extrémité.

« Comme ça, c’est parfait. »

Et si ses propres efforts peuvent lui paraître maladroits, toi tu n’en as que faire : car il suffit de quelques-uns de ses baisers aux coins de tes lèvres pour te faire frissonner – tu placeras l’accusation sur le froid. C’est comme quand elle promet le reste de la journée et que tu en viens à désirer toutes celles à venir : c’est comme une chose que l’on remet au lendemain, puis au surlendemain et ad vitam aeternam – incapable de t’en séparer, incapable de te raisonner et pourtant persuadé que : je le ferai plus tard.

Fait moi rêver. C’est un défi à relever.

« Restons ici tant qu’il ne fait pas trop frais. Et quand la nuit sera tombée, on pourra se réchauffer à l’onsen. »

Et admirer le ciel étoilé en profitant de l’eau chaude. Certains diraient : romantique. D’autres diraient : amoureux. Tu ne veux te considérer dans aucun des deux. Toi tu dirais : libre et impertinent ; parce que le règlement vous interdit de partager le même onsen.

« Et après dîner, on pourra attendre que la salle commune se vide. »

Profiter d’encore un peu d’intimité.
Nanami Asakura
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Never pick up, never call me You know we're runnin' out of time Never pick up when you want me Now I gotta draw a line Baby I done, done enough talking Need to know that you're mine Baby we done, done enough talking Gotta be right now, right nowSi tu savais Yori, à quel point être proche de toi, cette proximité, lui fait mal. Cet amour ardent qu'elle éprouve pour toi depuis bien longtemps, aura bientôt raison de sa patience. Tu ne t'en rends pas compte, tu ne sais pas à quel point, tes mots et tes attentions, sont devenus chez elle, une dépendance. Elle aime ta voix, ton côté joueur, cette façon que tu as de la nargué alors que tu attises chez elle une envie irrémédiable de t'embrasser. Être logé dans le creux de tes bras, c'est son plus beau cadeau de la journée. Ses mains vont et viennent sur ta nuque jusqu'à la naissance de tes cheveux, pour s'y fondre ; profond sentiment de délectation. Ses lèvres se posent sur les tiennes, mais alors qu'elle se recule, c'est toi qui l'approche ; son nez titillant le sien, avant de lâché ta sentence. C'est faux Yori, tu n'es pas toujours entreprenant, pas dans son cas. C'est pourquoi, à l'entente de cette phrase, elle arque un sourcil Nanami, tout en affichant une moue réprobatrice et amusée signifiant "pardon ? t'es sûr ?" Cependant, elle veut bien te laisser le bénéfice du doute, c'est pourquoi elle rit de sa pensée, encore plus lorsqu'elle croise ton sourire.

Voilà que tu viens attraper son écharpe du bout des doigts, t'enroulant avec les restes ; tu considères que c'est parfait Yori, mais pour elle, cela n'est pas assez. Alors c'est avec agilité et audace qu'elle se colle un peu plus à toi, entortillant ses jambes autour de ton bassin. « Tss, non, maintenant, c'est parfait. » Regard aguicheur, mais coupé par son rire mutin ; si tu savais Yori, comment avec toi, elle se sent si bien. Tu lui fais oublier l monde, la notion du temps, les emmerdes qui l'assomme au quotidien. T'es la terre Yori, son planisphère entier ; pas le temps pour le reste, il n'y a que toi qui existe. Et elle sait Nanami, que c'est malsain, qu'elle devrait faire attention ; car la peur de se brûler les ailes n'est jamais bien loin en amour - mais tu es le premier dont elle est tombé amoureuse, alors la prévention, ce n'est pas encore écrit dans les lignes de sa main. Avec toi, elle se prête à aimer croire au destin. Son regard perdu dans le tien, la jeune demoiselle reste là, à dessiner les traits de ton visage, comme elle le faisait en cours avec ses dessins ; tu accapares ses pensées et même quand tu es devant elle, Nanami ne peut s'empêcher de fantasmer, de laisser virevolter son imagination, avec pour héros principal, toi.

Elle attend Nanami, que tu lui dévoiles ton programme, pas rassasié pour un sous même si tu es avec elle. Ta présence est comme insuffisante ; tout simplement parce que tu ne lui dis pas ce qu'elle souhaite entendre… ((Pourtant, avec tes attentions, Nanami devrait savoir, que tu agis comme elle - comme un amoureux transi.)) Son coeur bat à tout rompre, furibond, elle sent sa poitrine se soulever - tu viens enfin la délivrer, lui dévoiler comment tu comptes procéder. Rester ici ? Il ne lui était pas venue à l'idée de partir tout de suite ; donc le début lui plaît bien. Cependant, la suite lui paraît à la fois beaucoup plus alléchante ; indécente certes, mais ô combien excitante. Ses lèvres se posent une nouvelle fois à la commissure des tiennes, terminant ta tirade par une promesse d'étancher votre soif de proximité dans la salle commune. Resserrant l'étreinte de ses jambes sur ton bassin, ses mains continuant encore leurs caresses, la jeune femme lâche sur le ton du défi, un brin taquine. « Hmm. Programme des plus alléchants en effet ; il me tarde d'y être. »

Dire non ? Jouer les effarouchés ? Hors de question. Nanami sait ce qu'elle veut et depuis le début, depuis le commencement, depuis que son coeur à commencer à battre pour toi alors que tu n'avais même pas conscience de son existence, elle sait que c'est toi - qu'elle veut. Nouveau baiser, plus passionné, plus fort, plus amouraché, la jeune fille prononce en reprenant son souffle… « Mais, pas sûr que j'ai envie que tu regagnes ta chambre ensuite, tu sais ? » C'est une vérité, de celle que l'on n'ose rarement avouer, de peur d'être prit pour on ne sait quoi - mais Nanami en a assez de jouer, de tourner autour du pot. Elle t'aime et tu le sais, elle n'a jamais cessé de te le répéter, même si tu fais la sourde oreille, répondant soit d'un baiser, soit d'un sourire. « T'es au courant que je deviens totalement accroc à toi ? » Ô oui, tu dois certainement être au courant, mais elle ne le cache pas, pourquoi faire après tout ; elle est amoureuse Nanami, alors elle a bien droit de le crier au monde. Ses mains se glissent dans ton dos, cherchant à accéder à ton torse, pour y dessiner une ligne ; dommage qu'il fasse si froid dehors… « Si ce n'était pas le cas, maintenant tu le sais. »

Un clin d'oeil, furtif, sourire enjôleur ; toujours d'humeur taquine et câline. Yori, bon sang, qu'est-ce que tu fais d'elle exactement ?
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Yori Hayashi
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C'est une moue peu convaincue qui te répond, te donnant l'envie de paraître plus immature encore en lui offrant un regard acéré la défiant de venir te contredire. À la place, c'est son rire qui rencontre le tien, ajoutant de la complicité à ce moment. Tu dois admettre, cependant : de vous deux, ce n'est pas si souvent toi qui te montre entreprenant. Pas quand il s'agit de te montrer aussi attentionné ou d'engager ces moments de tendresse avec elle – preuve que tu y prends bien trop goût ; si impatient à les retrouver que tu viens de plus en plus souvent les quémander toi-même.

Et Nanami prouve qu'elle peut être plus entreprenante encore que ta naïve assurance, se collant davantage à toi. Ses jambes entourant ton bassin, ses bras toujours enroulés autour de ton cou et les tiens encerclent sa taille, tu peux être sûr que vous ne risquez plus d'avoir froid – et si tu trouves que la température a déjà augmentée de plusieurs degrés, ce n'est pas seulement dû à la chaleur corporelle qu'elle dégage. Tss, non, maintenant, c'est parfait. Au regard qu'elle joint à ses mots, les battements de ton cœur s'accélèrent si soudainement que tu es persuadé qu'elle peut le sentir cogner dans ta poitrine. Elle qui se trouve maladroite en ta présence, se montrait finalement bien moins hésitante que toi – en cet instant, du moins.

Tu en oublies tout ce qui vous entoure – heureusement, il ne s'agit que de plantes et de sable, rien de bien notable ; mais quelqu'un pourrait approcher que tu n'es même pas sûr de le remarquer. Vous pouviez facilement être surpris ici, seulement vous ne faites (pour le moment) rien de mal. Cette affirmation se trouvait cependant compromise, autant par ses mouvements que par ton programme insolent (mais au combien séduisant). Tout dans son attitude, ainsi que dans ses mots, te confirme que vous avez les mêmes intentions – les mêmes envies. À en oublier, définitivement, le règlement.

Vos lèvres se lient encore, dans un baiser devenu plus passionné, te rappelant encore à quel point tu peux la désirer. Tu regretterais presque de ne pas pouvoir accélérer le temps, si tu ne tenais pas tant à le prendre – ah et à quoi bon se précipiter, tu ne sais même pas vraiment jusqu'où vous allez.

« Pas sûr que je n'en ai envie non plus. À moins que tu ne m'y suives. »

L’idée est tentante, autant que de l'imaginer t'empêcher de partir, pour te garder avec elle. Tu réfléchis à la solution la plus appropriée (ou la plus simple) : attendre que les derniers couche-tard se décident à rejoindre leur chambre ou s’arranger pour libérer la tienne, pour une durée indéterminée ? Tetsuya et Takashi seraient échangés d'être ainsi mis à la porte, tu en es persuadé.

T'es au courant que je deviens totalement accroc à toi ? Oh oui, tu sais. Et même si tu voulais l'ignorer ou l'oublier, tu en serais bien incapable. Tu le vois dans son regard, l'entends dans ses mots, le sens dans ses gestes. Et loin de se contenter de te le montrer, elle l'affirme aussi, sans hésiter. Elle te l'a déjà répété, Nanami, à quel point elle peut t'aimer. Alors que toi, tu ne cesses de t'esquiver, d'un silence ou d'un baiser, ne prouvant rien de plus que ta lâcheté. Tu n’es tes propres sentiments, pourtant évident – toi aussi, tu veux sans cesse la retrouver et la toucher et l'embrasser. Le cœur battant à sa vue et les nerfs apaisés à son contact. Et la seule chose qui vient gâcher ton bonheur, finalement, ce sont tes propres idées noires.

« Je sais. »

Une hésitation, effacée par un sourire charmeur.

« Peut-être le seras-tu plus encore, après cette soirée. »

Une option aussi alléchante qu'effrayante – la garder pour toi ; vous attacher (vous enchaîner) encore davantage. Tu plonges dans son cou, t’enivrant de la douce odeur de ses cheveux et niche ton nez sous l’écharpe pour venir déposer tes lèvres à la base de son épaule. Tu te cales de cette façon, contre elle, enserrant son corps contre le tien.
Tu pourrais rester là, des heures durant.

« Mais si on continue comme ça… c’est nous qui allons réchauffer le onsen, plutôt que l’inverse. »

Tu quittes le creux de son cou, pour revenir plonger dans ses yeux ; un sourire joueur venu orner tes lèvres suite à tes paroles.
Et ce n’est finalement qu’une manière détournée – et bien plus légère que la réalité – pour évoquer le brasier qui semble désormais s’étendre dans tes veines.
Nanami Asakura
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THÈME


L'amour déborde, c'est quelque chose sur lequel Nanami n'a aucune emprise. Les sentiments afflux, aucun d'entre eux ne lui semblent superflus, au contraire - il s'insuffle en elle comme le fait l'oxygène et elle est heureuse, de ne pas en être dépourvu. Avec toi Yori, tout lui semble possible, atteignable, elle se sait et se sent planer sur un nuage ; se demandant si un jour la chute lui sera fatale. Car elle s'étonne encore de ton choix, de ton dévolu sur elle - tu pourrais avoir tellement mieux, mais non, tu l'as choisie - elle. Ses mains vont et viennent dans ta chevelure, impossible pour la demoiselle de rompre ce contact charnel, il n'y a pas meilleurs sensations que de te sentir près d'elle ((contre elle.)) Ses lèvres vont et viennent, il n'y a que le temps qui défile, mais vous qui subsistez dans cette bulle que vous ne souhaitiez pas voir crever ((c'est en tout cas, ce qu'elle espère au fin fond de son être)). Le temps n'a pas d'emprise sur vous, jamais quand vous êtes ensembles, c'est peut-être cela qui rend votre relation si effrayante, vous êtes comme de la glue, un marécage, dans lequel vous vous empêtrés, mais auquel vous n'arrivez pas à vous extirper. Et la plaie, si chute il y a un jour, sera difficile à refermer.

Ses jambes repliées autour de ton bassin, la demoiselle s'éloigne légèrement, écoutant ta nouvelle supplique. « Pas sûr que je n'ai ai envie non plus. A moins que tu ne m'y suives. » Un sourire enjôleur apparait sur ses joues, suivis de prêt par le rouge qui vient s'y coller. Ô, l'idée était très alléchante, mais il était hors de question pour elle de faire un spectacle à tes copains. Le sourire reste néanmoins niché sur ses lèvres ; car en ta présence Yori, elle pourrait très bien oublié sa résolution. Elle veut te garder près d'elle, toujours près, ne plus te savoir éloigné ((maudit désir de possessivité.)) C'est pourquoi sans se faire prier, la demoiselle te rapproche de nouveau, un peu plus, avant de répliquer à ton idée. « Tu sais que si tu le souhaites vraiment, je t'y suivrais, mais loin de moi l'idée de vouloir dévoiler mon corps à tes camarades de chambre. » Son nez se frotte au tiens, lâchant un rire mesquin, se reculant légèrement pour rajouter avec une mine faussement outragée. « Mais, peut-être ne souhaite tu pas le voir non plus ? Je me suis sans doute faite des idées ! » Elle joue Nanami, toujours, avec le feu ; avec ce brasier incandescent que tu attises à chaque accolade ; juste avec cette proximité…

Continuant de t'enlacer avec ses bras comme si sa vie en dépendait, la demoiselle dépose une nouvelle fois un baiser, cette fois-ci bien plus chaste sur tes lèvres, beaucoup trop tactile pour son propre bien. Elle se sent sombrer, tomber, comme si elle était en l'air, mais que soudainement son balai lui échappait. Avec toi Yori, c'est toujours les montagnes russes, une sorte d'ascenseur émotionnel ; qui lui retourne les tripes, mais qui lui font découvrir une nouvelle allégresse. Et cette façon que tu as de répondre à sa question, avec ce simple "Je sais" - ça a le don de la faire tomber un peu plus rapidement. Elle aimerait tant, un jour, t'entendre dire "Moi aussi" ; pour tellement de choses, mais pourtant, Nanami ne se sent pas âme à se faire pressante sur le sujet, pas aujourd'hui en tout cas. Son bonheur, de t'avoir pour elle, lui suffisait amplement. « Peut-être le seras-tu plus encore, après cette soirée. » Ses yeux s'écarquillent de malice, voilà que des idées lubriques ne lui viennent de nouveau en flash dans les tréfonds de ses pensées, qu'elle essaye de balayer, mais qui reviennent à la charge sans freiner. « Je le suis toujours de plus en plus à chaque moment passé avec toi. »

Beaucoup trop honnête, beaucoup trop franche, mais c'est dans un murmure qu'elle vient de lâcher cette sentence, rougissante ; encore un baiser volé, pour faire taire une possible répartie taquine de ta part, avant d'attraper ta main et de lier vos doigts. Tes lèvres se posent sur la base de son épaule, ce qui lui arrache un léger frisson, puis de nouvelles paroles… « Mais si on continue comme ça… C'est nous qui allons réchauffer l'onsen, plutôt que l'inverse. » Il y a un blanc, l'espace de quelques secondes, avant qu'un rire franc ne s'échappe de ses lèvres, s'esclaffant comme jamais. Le brasier s'est transformé en feu de joie, sa main libre vient caresser ta joue avec douceur, posant son front contre le tien. « Cela ne me dérange pas de le réchauffer - ce serait un souvenir qui marquerait nos esprits, tu ne crois pas ? » Jamais elle ne jouerait l'ingénue ou la prude, non, pas aujourd'hui. Nanami sait ce qu'elle veut, elle l'a toujours su. « Je te veux Yori, alors, sois miens aujourd'hui. » Son sourire disparaît, son sérieux capture ses traits, cette proximité, encore, attise son désir, cette envie de te sentir sous ses doigts pour le reste de votre vie ; ou au moins, jusqu'à la fin de cette nuit.

Ses lèvres emprisonnent les tiennes alors qu'elle se redresse sur toi, ses mains parcourant ta nuque, se délectant de ta peau avec passion. Elle ne fait plus attention au monde qui l'entoure Nanami, elle n'est qu'une proie face au désir, à l'amour pour toi qui l'enivre. Se reculant légèrement pour reprendre son souffle, son regard tombant sur le côté, la jeune femme se laisse de nouveau aller, cette peur de te perdre, mais également celle de te posséder, ne cesse de croître… Mais quitte à choisir, Nanami souhaite indéniablement te dévorer. « Je serai ton cadeau d'anniversaire, si tu veux bien de moi… » Non, elle n'avait pas oubliée ; la seule chose qu'elle avait daignée préparer, c'était elle ; ainsi qu'un gâteau pour plus tard dans la salle commune - rien d'autres… Juste elle, pour toi, pour te prouver l'importance que tu as pour elle, la force de ses sentiments. « Je veux que tu connaisses tout de moi Yori et je veux que tu sentes, aujourd'hui, à quel point tu comptes pour moi. »

Se reculant légèrement, la demoiselle attend, patiemment. Elle ne sait pas quelle réaction tu vas avoir, elle n'est préparée à rien, juste impatience, intriguée et… Inquiète finalement.
kaspbarks


Yori Hayashi
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Yori Hayashi


Someone like youWait a minute. Every time you're near, my body's getting reckless. Hope I don't regret this
Wait a minute. The way you make me feel, I can't keep my focus, it's too much to resist.
I'm over being under your spell. It keeps blinding me— Butterflies // Zendaya Coleman

But my heart keeps telling me the perfect lie
You rip me up with every last goodbye
I don't wanna say forever
It's just another now or never
So heart don't let me trust these butterflies
Tu as la sensation d’avoir du pouvoir dans cette relation ; sur Nanami, prête à tant de chose pour te satisfaire. Tu sais que si tu le souhaites vraiment, je t'y suivrais. Et si la suite de cette phrase te fait sourire, tu t’arrêtes sur cette première partie, te demandant : si je le souhaitais vraiment, jusqu’où serais-tu prête à me suivre ? Et toi, tu voudrais que les années aient déjà défilé, que ce jour soit ton vingtième anniversaire et que tu puisses l’entraîner jusqu’au bout du monde – là où nous serions libres et où je n’aurais à m’inquiéter de rien (surtout pas de eux).
Ce sont des pensées rassurantes ; ce sont des rêves trop proches de l’irréalisable, auxquels tu veux croire.
C’est un avenir qui t’effraie ; des sentiments auxquels tu ne veux succomber – mais n’est-ce pas déjà le cas ?

« Loin de moi cette idée aussi. De leur montrer ton corps, s'entend, parce que moi je serai enchanté de le voir. »

Sans être particulièrement pudique, tu estimes suffisamment l’importance que l’on donne à la nudité ; autant pour sa symbolique que pour sa beauté. Imaginer pouvoir déshabiller Nanami – ou la voir se déshabiller, tu ne saurais déterminer laquelle de ces options te tentes le plus – pour la première fois t’offres autant d’envie que d’impatience. Tu te demandes, même si tu as déjà désiré quelque chose – quelqu’un, en l’occurrence – avec tant d’intensité. L'afflux d'hormones apporté par l'adolescence t'avais, certes, offert son lot de salacité, mais elle t’avait fait découvrir des tentations d’autant plus concrètes.
Et ne cesse d’attiser cette flamme qui te dévore et qui allume chaque parcelle de cette peau qu'elle effleure.

Je le suis toujours de plus en plus à chaque moment passé avec toi. Est-ce si mal d’en vouloir toujours plus ? Ta raison te laisse croire que oui, alors que ton cœur ne cesse d’en réclamer – dis-le encore, que tu m’aimes ; qu’importe à quel point ça me rend mal à l’aise ; qu’importe à quel point je refuse de croire que c’est vrai.
Un jour, peut-être, je finirai par l’accepter.
Ils m’abandonneront tous ; toi aussi, peut-être, mais j’aimerais croire que jamais tu ne pourrais m’abandonner.

« Je serai tien. »

Pour cette nuit, au moins.
Tu ne saurais en promettre davantage.

« Comment pourrais-je refuser… »

Alors que cette simple journée rattrape tout ces anniversaires passés enfermé dans cette maison un peu trop grande, à attendre des parents trop absents, qui n’auraient, de toute évidence, jamais pris la peine de le souhaiter – à peine quelques mots pour te rappeler que ce jour te rapproche, chaque année, de la majorité. Et ceux passés à Mahoutokoro, à suivre le même quotidien sans que rien ne laisse penser qu’il ait la moindre importance – si ce n’est la pression que tu ne cesses de lui accorder.

« …alors que j’en ai tout autant envie que toi. »

Tu viens le susurrer contre son oreille, rapprochant à nouveau son corps contre le tien pour revenir plonger dans son cou. Et le veux, toi aussi : connaître tout de Nanami ; sentir à quel point tu comptes pour elle. Qu’elle te prouve tout l’amour qu’elle a pour toi. Qu’elle te montre tout ce qu’elle a à t’offrir.

« Et si on passait à la seconde étape, dès maintenant ? »

Tu sais que la nuit n’est pas encore entièrement tombée – oh, elle ne tardera pas ; ce n’est plus qu’une question de minute – mais quel mal y a-t-il, après toutes ces promesses, à être un peu pressé.
De les voir, enfin, se réaliser.
Nanami Asakura
[flashback] Someone like you // Nanami TuBwlXw
Citation : elle monte dans la fièvre et j'ai cramé tous ses rêves
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Nanami Asakura
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Nanami Asakura
Never pick up, never call me You know we're runnin' out of time Never pick up when you want me Now I gotta draw a line Baby I done, done enough talking Need to know that you're mine Baby we done, done enough talking Gotta be right now, right now
THÈME


Yori, tu es tout ce qu'elle a toujours désiré, tout ce qu'elle veut en cet instant, le reste n'a aucune once d'importance. Ses yeux rieurs cherchent à s'accaparer ton attention, ses mains arpentent tes épaules avec délectation. La chaleur de ta peau à une emprise sur elle, quelque chose qui ne porte tout simplement pas de nom. Ses lèvres se posent une nouvelle fois sur les tiennes avant que tu ne daignes lui faire une confidence - la plus belle de toute. « Loin de moi cette idée aussi. De leur montrer ton corps, s'entend, parce que moi je serai enchanté de le voir. » Un sourire étire de nouveau ses lèvres, qu'elle fait glisser sur ta gorge pour y déposer un baiser papillon. Ô qu'elle aurait aimé lâché une petite remarque cinglante pour la blague, te traiter de petit pervers ; mais non. Cela ne fait qu'attiser le feu ardent qui a commencé à grimper depuis qu'elle a prit place sur toi plutôt que sur ce banc.

Son regard va et vient sur toi, une lueur de désir que la demoiselle n'arrive désormais plus à contenir. C'est elle l'aînée, mais c'est elle qui fait n'importe quoi. Cette emprise que tu as sur elle détraque totalement sa raison, sa capacité à résister à la tentation. Et qu'elle douce tentation, quand tu lui susurre que tu seras sien - enfin. « Comment pourrais-je refuser… Alors que j'en ai tout autant envie que toi. » C'est avec défi et son air mutin, qu'elle t'embrasse de nouveau, collant un peu plus ses hanches aux tiennes, ses mains volants à tes oreilles pour les frôler, en quête de tes cheveux, pour accentuer son baiser. « Mais tu ne peux pas refuser justement… » Murmure-t-elle, à quelques millimètres de ta bouche qu'elle vient de finir de dévorer. Vous chercher à combler une distance, autant toi, qu'elle. Nanami ne se fait pas d'illusion, elle veut que ce soit toi et personne d'autre. Elle te veut toi, comme elle n'a jamais désirer personne. Tu l'as totalement fait plonger Yori, tu l'as emprisonné dans les mailles de ton filet.

« Et si on passait à la seconde étape, dès maintenant ? » La nuit n'est pas encore tombée, Nanami le constate. Mais le temps de remonter les étages, de vous bécoter dans les couloirs et cela devrait être rapide. Ce qu'il y a de bien avec l'hiver, c'est que la nuit tombe vite. Ses mains attrapent les tiennes, pour les décoller de sa peau ; ce qui l'a frustre plus qu'elle ne l'aurait cru ((ce qu'elle aime ce contact avec toi…)) « La seconde étape commence dès maintenant alors. Suis moi. » Elle ne te laisse pas le temps de lui répondre quoi que ce soit, ses lèvres emprisonnent les tiennes de nouveau avant qu'elle ne te tire le bras en guise d'ordre ; tu dois la suivre Yori, qu'advienne que pourra. Entrelaçant ses phalanges avec les tiennes, elle te sourit en posant son regard sur toi, ne te lâchant pas de son champ de vision.

Le trajet jusqu'à l'onsen se déroule comme elle l'avait présagé. Te coince au détour d'un couloir pour te subtiliser plusieurs baisers ; il est hors de question que la température chute, au contraire, elle ne doit faire que grimper. Profite de cette journée promise, profite de cette soirée ; le reste n'existe pas. Vous croisez plusieurs personnes, qui vous dévisagent pour la plupart, se demandant bien à quel activité douteuse vous pouviez vous adonnez. Elle en rit Nanami, car elle sait combien tu es convoité, combien les gens sont envieux de la "né-moldu" qui a mit le grappin sur un sang-pur de ta trempe… Ce qui ne l'intéresse pas. Les rumeurs, les ragots, cela lui passe au-dessus - mais elle aime attiser la jalousie, susciter l'envie. Car elle t'as eu, toi. Les couloirs se vident, elle en profite pour vous faire passer en mode ninja, à pas de loup, vers l'entrée de l'onsen. Prenant soin de placer un écriteau pour dire qu'il est en cours de nettoyage ; de quoi éviter d'être prit par surprise.

Sa main vient glisser le long de ta joue, un regard enjôleur, les lèvres étirés dans un sourire mutin. « Techniquement, personne ne viendra plus nous déranger à présent. T'es sûr de toi Yori ? » Retirant la première couche de ses vêtements, faisant tomber avec habilité son chemisier et sa jupe, la demoiselle relève son regard une fois ceci fait, y mettant tous les effets pour te faire plonger ((comme tu l'as fait avec elle.)) « Pour ma part, le choix est fait. »

Hors de question de regretter quoi que ce soit ; elle te veut, toi. Le reste n'a plus d'importance.
kaspbarks


Yori Hayashi
[flashback] Someone like you // Nanami 190204091233391372
Citation : All is lost again but i'm not giving up
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Orochi
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Yori Hayashi
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Le frisson parcourant ton dos ne doit rien à la fraicheur ambiante.
Ce sont ses mots, sa voix ; ses doigts, son toucher. C’est elle, tout entière et toi, prisonnier de ton humanité ; de tes envies, de ton désir – et de sentiments, que tu préfères nier.

Ton corps n’est pas aussi avare en signification que tes mots et ton corps frémissant cri l’affection que tu pourras justifier par la croissance de ton excitation. Aujourd’hui, pourtant, les excuses se contenteront d’habiter quelque part dans ta raison – à moins qu’il ne s’agisse de ton déni – te rassurant sur cette situation que tu penses garder sous contrôle.
Pour cette soirée, tu te permettras de l’aimer. Sans pensées parasites, pour troubler la quiétude de l’instant.
Sans retenue.

Mais tu ne peux pas refuser justement…
Gagné. Et malgré ce rappel à son impuissance manifeste face à l’idée même de la repousser, tu gardes à l’esprit ta bonne résolution.
Rien ne viendra gâcher cette journée.

Ses lèvres emprisonnent les tiennes avec autant de facilité que ton cœur s’est fait prisonnier de ses mains, et toi, tout aussi affamé, tu entreprends de dévorer les siennes. C’est une faim qui n’en a pas – de fin ; alors l’insatiable puise dans le puit débordant d’affection qui t’es offert, se demandant si, un jour, tu en gratteras le fond.
C’est une passion dévorante, rongeant tes nerfs et ta raison. Mais le froid te happe, dès lors qu’elle retire tes mains de ses flancs ; te rappelant à la cruelle fraicheur d’un soir de mars. Heureusement, ses doigts ne quittent pas les tiens et les mots qui suivent, eux, suffisent à te réchauffer instantanément.

La seconde étape commence dès maintenant alors. Suis moi. Un sourire sur tes lèvres accueille son baiser. Tu la laisses t’entraîner à sa suite, comme si tu ignorais la destination ; prêt à la suivre aveuglément. Jusqu’aux enfers, pourrais-tu ajouter, mais le trajet s’apparente davantage à un paradis qui n’appartient qu’à vous. Tu ignores les regards, ainsi que les murmures, à votre passage ; ne portant ton intérêt que sur ses yeux rieurs et sa bouche, que tu t’accapares à chaque détour d’un couloir.

Jamais l’onsen ne t’as semblé aussi loin – et pourtant, bien trop près encore ! Tu te réjouis, autant que tu te désoles de déjà voir ce petit jeu se terminer – et seulement parce que tu sais qu’un autre va pouvoir s’épanouir en ces lieux : la deuxième étape commence et déjà, la troisième semble sur le point de débuter.

Techniquement, personne ne viendra plus nous déranger à présent. T'es sûr de toi Yori ? Tu ne peux être certain que personne ne vous attrapera dans vos illégalité, mais tu n’as jamais été aussi sûr de ce que tu désires qu’au moment où elle retire chemise et jupe. Pour ma part, le choix est fait.
Tes yeux s’attardent sur sa peau, se dévoilant ; se délectent des courbes que tu redécouvres. La déshabiller de tes propres mains t’aurais plu, mais profiter du spectacle, mené avec tant d’assurance, te satisfait tout autant.

« Plus que jamais. »

Comme pour appuyer tes propos, tu te délestes à ton tour de la chemise aux couleurs de Tsuchigumo, avant de délasser ton pantalon, le laissant suivre le mouvement. L’abandonnant au sol, tu franchis l’espace laissé entre vous, venant déposer tes mains sur ses hanches.

« La tradition veut que nous soyons entièrement dévêtus, pour entrer dans l’onsen, tu susurres à son oreille. »

Tu devines qu’il s’agissait déjà de ses plans – des tiens aussi, tu dois l’avouer. Et de te trouver si proche du but efface l’impatience, pour ne laisser place qu’à l’allégresse, ainsi qu’à la douce appréhension, trouvant sa source dans l’inconnu.
Tes doigts longent la chute de ses reins, puis remontent dans son dos, jusqu’à s’accrocher à la naissance du soutien-gorge ; presque hésitant à le dégrafer. D’un regard, il s’assure d’en avoir la permission, pour finalement le retirer.

« Tu es magnifique. »

Le compliment a à peine le temps d’émerger dans son esprit, qu’il fleurit sur ses lèvres ; instinctif et emplein de sincérité.
Et c’est le premier cadeau d’anniversaire qui t’émerveilles autant, en le déballant.
Nanami Asakura
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