Le soleil éclaire les habitants de ses rayons rouges, donnant à la scène un air presque poétique. Là-haut dans le ciel, la lune assiste au drame, incrédule. Aucune fuite n’est possible. Il faut accepter son destin, si tragique soit-il.
Elles arrivent.
so it must be,For so it is written
On the doorway to paradise
La lumière. Puis l'explosion. La vérité. C'était bon présage. Enfin le Châtiment prenait place, et le Jugement serait divin. Les éléments sont déchaînés. La Terre va être purifiée. L'océan pourfend l'horizon, dévastant toute trace de vie sur son passage. Les vagues, au loin, alignées une à une. Peut-être était-ce enfin le signal. Celui pour partir, pour rentrer. Celui qui me ferait rejoindre Hawaï, par les flots. Le spectacle est éblouissant. Grand. Une beauté incommensurable. J'admirai ce que la Nature semblait m'offrir. Les fourmilles qui composaient l'école proliféraient et s’agglutinaient les unes aux autres. Les impuretés nécessaires à ce chef-d'oeuvre. Nombreux sont ceux qui se précipitaient dehors. Ignorants. Vous méritez la mort. Patientez, elle arrive.
A quelques pas, à travers les cris, il y a ce souvenir. Cette tentation. L'appel du défi. Un sous-texte de romance. Un rictus se dessine, bien malgré moi. La chaleur m'envahie progressivement. La mesure de mon cœur s'amplifie et prend des accents de symphonie. Porté par le vent, quelques mots posés sur un origami. Mon pas s'accélère, pour rejoindre le lieu de l'entrevue. Ca chante dans ma tête. Si la panique gagne ces vermines, le calme m'accompagne. Olympe peut bien trembler devant ce Titan.
Les tremblements ont l'air de se calmer... Tu ne trouve certainement pas cela normal maiko, tu t'attend à tout avec cette île de malheur ou plutôt cette année de malheur, comme si tout s’enchaînait pour nous amener sur un chemin encore plus difficile que celui qu'on prends par nous-même...
Le vent d'hiver souffle même s'il est léger et plutôt agréable, en ce mois de décembre, qui comme les autres ne sera pas de tout repos...
Et tu regarde autour de toi, maiko, pour voir si rien de grave n'arrive et... malheureusement ou évidemment, tu vois quelque chose s'approcher, tu ne distingue pas bien, tu retourne sur le chemin inverse, vers le château.
- Ayumi ! Continue à amener les autres vers la clairière.
Parce que au moins si tu comprends bien la situation, rien ne va plus, ton sentiment d'insécurité augmente d'un trait sauf que tu n'a pas le droit de paniquer, cette situation doit être prise avec un ton neutre.
Tu es préfète en premier maiko, tu ne peux pas te permettre de paniquer, même si la mort vous guette tous, ta vue ne te joue pas de tour, ce sont bien des vagues, immenses, qui se dirigent vers vous, et à grande vitesse, tu ne peux rien y faire... Toi qui était prête à accepter ses fiançailles, à donner une chance à Miura pour qu'il te prouve que ses paroles n'était pas que du vent, toi qui veux échapper au Kondo, tu va leur échapper entre les doigts en réalisant un de tes vœux que tu as toujours pensées dans les moments de douleur intense...
Mourir, ne pas exister, comme cela, cette tragédie n'aurait pas eu lieu, une de tes cousines aurait pris le rôle de l’héritière, qui aurait suivie le protocole à la lettre pas comme toi.
Tu guide les quelques élèves restant qui n'ont sûrement pas vu les vagues, tu n'espère même pas que le directeur ainsi que les professeurs fasse quelque chose, les vagues sont trop près...
>> Event #7
Qu’est-ce que c’était dur de ne pas céder à la panique quand tout le monde était dans cette situation autour de soi. Ayumi n’était quelqu’un qui s’adaptait facilement, voir même trop facilement à son environnement. Si elle devait craquer, c’était après et pas maintenant.
Alors qu’elle t’avait proposé son aide, Ayumi se retrouva avec deux mains sur ses épaules alors que madame Morinaga venait de lui demander de diriger les élèves vers la clairière en compagnie de la préfète des Kitsunes. Sans dire un mot de plus, la blanchette te fit un hochement de la tête avant de commencer à se diriger vers son aînée.
Enfin, pas tout de suite car une voix venait de l’interpeler. Une voix qu’elle connaissait bien et qui l’a fit réagir assez rapidement et se retournant pour attraper ton bras, toi qui paniquais pour ton ami oublié dans les escaliers.
« Chidori, écoute-moi. D’accord ? » Elle se mit à ta hauteur pour te fixer directement dans les yeux.
« Je vais dire à Kazu’ de le prendre en sortant. Ça te va ? Il sera bientôt avec nous. Pour le moment, il faut que tu me suives. Peut-être même qu’Octave est déjà là-bas et nous attend. »
Sa voix était toujours aussi douce, elle prenait sur elle pour te calmer du mieux qu’elle pouvait sans lâcher tes deux mains qu’elle tenait fermement pour te montrer sa présence, mais peut-être aussi par peur de te voir t’enfuir à nouveau.
Se relevant, la demoiselle se tourna vers toi, la préfère Kitsune pour dire que le message était bien passé. Ayumi allait faire de son mieux pour t’aider dans ton rôle, guider comme elle le pouvait. En espérant qu’on allait l’écouter.
Mais alors que ses gestes se mirent à diriger les autres vers la clairière, quelque chose de nouveau apparut. C’était des… Des vagues ? Est-ce que c’était un… Tsunami ? Son visage se liquéfia un moment, de l’eau. Il y avait trop d’eau… Mais malgré sa peur, la Yatagarsu eut le réflexe de cacher ta petite tête blonde contre elle, pour que tu ne vois pas ce qui était en train de vous arriver dessus. Quelle excuse pouvait-on inventer pour que tout le monde ne soit pas effrayé ? Elle aussi, elle avait peur… Terriblement peur…
« On ne doit pas aller en hauteur.. ? »
Ses yeux cendrés se tournèrent d’abord vers toi Maiko, puis vers dame Morinaga. La clairière n’était pas le meilleur endroit pour être en sécurité. Mais y avait-il encore un endroit où l’on pouvait l’être maintenant ? On écrit rapidement.
Ayumi était calme, beaucoup trop calme. Elle contenait sa peur, elle contenait beaucoup trop de chose, mais dans sa tête, elle se voyait déjà être noyée. Elle, ainsi que ses proches. Peut-être, qu’il y avait encore un espoir… ?
finalement les secousses se calment, sans s'arrêter pour autant. on dirait bien que l'île en a eu marre de s'agiter. mais ce n'est pas une raison pour arrêter l'évacuation, rien ne dit que l'école tiendra face à un tremblement de terre après tout.
une fois arrivé dans le dortoir, il colle le bout de sa baguette contre sa gorge, invoque un sonorus et se met à hurler, « s'il reste encore des élèves ici, veuillez vous dépêcher de sortir. ne prenez aucune affaire ». s'apprêtant à faire le tour des chambres, il regarde auparavant par la fenêtre, histoire de voir ce qu'il se passe dehors. pourquoi regarder par la fenêtre alors qu'il se trouve au deuxième étage, et que le parvis de l'école est invisible d'ici ? aucune idée. mais cette idiotie eut le mérite de faire voir le pire à takamori. d'immenses vagues s'approchent, dévorant la mer telle une armée de démons. un tsunami. autant le séisme il suffisait de se cacher dans la forêt en attendant, mais là ? ils auraient pu se mettre à l'abri dans les galeries souterraines, mais les secousses les ont sûrement fragilisées. que faire ?
ouvrant les portes une à une, la pendule ennemie sonne le décompte fatal, il n'a pas le temps. il prie de ne trouver personne, mais voici deux élèves devant lui. sans prendre de pincettes, dans une tenue extravagante pour sa personnalité, il leur fait face, l'air grave. « je peux savoir ce que vous faîtes encore ici ? sortez et rejoignez les autres devant l'école ! ». il n'y a plus de temps pour la politesse, il s'agit d'une course effrénée contre la mort. une course impossible à gagner.
C’est la voix de Takamori, finalement, qui l’extirpe difficilement de son repos ; il grogne et tente de se rouler sous les draps, attirant Nael dans sa chute létale, mais rien à faire. Lumières vives, les cris colériques de l’adulte et, autour, le silence - Ange marmonne. Demande à Mikado de t’accompagner… Je suis fatigué, laissez-moi dormir… Et quand son oeil s’ouvre, craquelle un instant de fatigue, c’est dans une tenue bien atypique qu’il aperçoit son professeur, et ce fait même l’arrache à l’apathie. M’sieur… Qu’est-ce qui se passe ? Ils sont où, les autres ? … Pourquoi la chambre tremble ? Nael, c’est ton estomac qui fait ce bruit ?
Couvertures tirées, à moitié nu en dehors d’un t-shirt de Masashige, Ange bâille, s’étire, ronronne. On y va, on y va. J’ai loupé un entraînement, c’est ça ? Mah, on a pas besoin de s’entraîner, les autres sont nuls de toute façon.
J'avais réussi à sortir de ma chambre et du dortoir. Il ne me restait plus qu'à descendre. En chemin, montant, j'avais croisé le professeur Fujiwara. Une image fugace, mais... C'était Octave qu'il avait en main ? Je n'avais pas vraiment le temps de me retourner et de lui demander. Je me hâtais vers le bas. Dans mon envie d'aller vite, je perdis l'équilibre et glissais sur le côté. Je me rattrapais sur le mur tandis que Shiro fit sentir ses petites griffes dans ma chaire. Je grimaçais un peu. Je me stoppais un peu aussi. Puis je repris la descente.
Et enfin, le rez-de chaussée, l'entrée qui était ma sortie. Des voix qui criaient en tout sens et ... n'y avait-il pas des contradictions ? Peu m'importait. Je me faufilais entres les gens pour rechercher ma soeur. Puis je la vis et bousculais les gens pour aller vers elle.
-Ayu !!!
Je la pris dans mes bras. Je fus un peu plus rassuré. Elle saurait quoi faire.
-Je...j'ai pas lu ton second mot, pardon !
Il ne se passe rien. Ni fracas, ni noyade, ni destruction ; seulement un calme assourdissant.
En levant les yeux, tous se rendent compte que le ciel a disparu, que des tonnes d’eau ont pris sa place. Un dôme translucide s’est formé pour les protéger. Ils ont échappés au pire. Il n’y a plus qu’à attendre le reflux. L’instant devient secondes, puis minutes, interminable. Il ne viendra pas. Ils sont pris au piège. Non pas entourés par la mer, mais plongés dans ses entrailles. Et une baleine passe dans ce qui fut l’horizon, instant aussi fantastique qu’oppressant.
N’oubliez pas d’ajouter ★ Event 7 à côté du titre au moment de recenser votre rp.
Les élèves des années 1 à la 4 ne peuvent pas rentrer chez eux pour une durée indéterminée.
Le dôme est indestructible et impossible à traverser.
La luminosité est plus faible en journée, mais il y a toujours une différence entre le jour et la nuit. Les Chouchin Okabe et toutes sortes de moyens d’éclairage sont utilisés en intérieur pour compenser.
Évidemment, les courriers portés par hiboux ou chouettes, venant de l’extérieur, ne peuvent plus arriver à destination.
Tu ne sais quoi dire, aucune des tes paroles pourrait avoir un impact assez important pour calmer la frayeur de ta camarade...
Tu la vois venir cette faucheuse sur toi et tes camarades, maiko, rien ne pourras vous sauver même les professeurs présents ne savent pas quoi faire... La tête baissé, les poings serrés, tu ne voulais pas accepter ce sort funeste, tu voulais encore profiter de la liberté que te donne Mahoutokoro !
Alors que tu pensais être emporté par la vague venant vers vous, rien ! Absolument rien ne se passa ! Tu relève la tête vers le ciel et surprise extrême...
Un dôme, un énorme dôme recouvre l'île alors que les vagues s’écrasent dessus, engloutissant l'île et le silence qui règne est sûrement comparable à celui des profondeurs océaniques.
Tu t’effondre et tu laisse la pression retomber maiko, tu te fiche bien être entouré, cette fois plus question de tout garder pour toi, autant partager ce soulagement même si vous voilà sûrement bloqué sur l'île pour un petit moment...
>> Event #7
Pourquoi était-ce cet élément qui vous entourait ? Pourquoi dont-on parler d’eau alors qu’Ayumi en avait une peur bleue. C’était dur, tellement dur de garder son calme, ne rien laisser paraitre pour ne pas inquiéter les plus jeunes. Mais la demoiselle était forte, elle ne montrait rien, elle ne devait pas. Mais à l’intérieur son cœur battait à une vitesse folle à cause de la situation.
Il y eut tout de même un moment où on lui accorda le droit de souffler, de se rassurer un instant. Oui, quand elle put enfin entendre ta voix, celle de cette personne qu’elle voulait tant protéger, plus que tout. Quand elle t’entendit l’appeler, ses idées se mélangèrent car elle t’avait dit de monter, mais en même temps te voir en bonne santé… Il n’y avait pas de prix. Alors que tu viens lui faire un câlin, ses bras vous entourèrent tous les deux avec Chidori. Une grande sœur est toujours là pour les plus petits comme elle était prête à aider la préfète des Kitsune à vous guider.
Tu n’avais donc pas lu le second origami, ce n’était pas grave. Elle te serrait si fort dans ses bras en cet instant. Comme si elle ne voulait jamais te lâcher.
Est-ce que vous allez mourir ensemble… ?
« Ne t’en fais pas, ce n’est pas grave. »
Toi aussi, elle te serra contre elle comme pour cacher ton visage, que tu ne vois rien venir. Ayumi ne pouvait que compter sur les professeurs, elle ne connaissait pas de sort assez puissant pour vous protéger de tout et ça, elle s’en voulait déjà.
Les vagues allaient arriver, elles allaient vous frapper, vous faire suffoquer, vous tuer. Mais les secondes passent, aucun bruit, mais une luminosité réduite. Qu’est-ce que ça veut dire ? Quand la jeune femme ouvrit les yeux, elle ne put sentir qu’un haut les cœurs. Pourquoi êtes-vous entourés d’eau ? Pourquoi il y a une baleine au loin ? Est-ce que ça allait se briser à tout moment ?
Elle n’avait pas le temps de paniquer, mais un de ses pires cauchemars étaient en train de se réaliser : vous étiez prisonnier d’une eau qui pouvait vous terrasser à tout moment.
….Au moins, vous étiez vivant….
« Est-ce que vous allez bien ? Tout va bien se passer, d’accord ? Ce n’est que temporaire, ça va très vite se rétablir. » Elle sourit, elle vous rassure tout comme elle essayait de se rassurer.
Ayumi est une grande sœur, elle n’a pas le droit de paniquer devant vous, elle n’a pas le droit de succomber, ça… Ca viendra plus tard, pour le moment elle devait vous rassurer, vous gérer et se contrôler.
Puis une voix attira son attention, celui de Kazuki. L'enfant blanc rejoignit aussitôt sa soeur, se mettant à parler avec elle avant que de nouveau, des bras se refermèrent autour de Chidori et de son camarade. L'autiste poussa un petit cri surpris, tentant avec sa manche d'essuyer la morve qui lui coulait.
Avant que cette fichue vague leur tombe dessus. Enfin, sur un espèce de dôme. Alors, de nouveau, pris de panique, Chidori se mit alors à hurler, très très fort, à en briser les tympans. Parce que là, clairement, il ne comprenait absolument rien et se retrouvait soudainement sous l'eau. Le soleil avait disparu et bien sûr, l'inconnu, ça l'effrayait au plus au point. Imaginez un gosse de cinq ans dans son lit puis soudainement la veilleuse s'éteindre. Et bien là, c'était la même chose. Alors, il hurlait afin d'attirer l'attention sur lui. Pour qu'on le protège de ce mauvais rêve.
aujourd'hui n'est pas un jour chanceux.
il n'écoute même pas ce que dit son élève, il se contente juste de lui poser un regard mi sévère, mi inquiet. « dépêchez-vous de sortir avant que je ne vous ... », il ne peut pas finir sa phrase. un grondement se fait entendre, celui des vagues qui s'approchent de l'île. le professeur se tourne instinctivement vers la fenêtre, la baguette pointée vers l'extérieur, prêt à incanter un sortilège de protection, ou la première chose qui lui passerait pas la tête. mais rien. ni mort, ni cri, ni eau. juste le calme silencieux, et un horizon désormais aquatique.
« rejoignez vos camarades devant l'école, dès que vous aurez passé une veste ange. je vous y attends dans deux minutes », lance le professeur avant de s'engouffrer dans les couloirs pour descendre les escaliers quatre par quatre. il n'a pas le temps. il doit voir de ses propres yeux la situation, contempler l'horreur.
dehors, la situation est identique. le ciel est toujours humide, et la lumière tamisée à travers l'océan n'a d'intérêt que le charme poétique qu'elle donne aux environs. ils sont piégés dans un dôme qui leur a servi de protection, qui a retenu des tonnes d'eaux pour finalement les ... engloutir ? il n'est pas certain. la situation n'est pas encore très clair dans sa tête, mais la baleine qui passe sous ses yeux le pousse à cette conclusion. se tournant vers la foule des élèves amassés, il se rend compte qu'eux aussi sont paniqués. il ne peut pas montré le fond de sa pensée, mais il ne doit pas leur donner trop d'espoir non plus. avec un sonorus, il rend sa voix clairement audible de tous, « que les préfets s'assurent d'avoir tous les élèves de leur maison. que personne n'entre dans le palais tant que les adultes ne se sont pas assurés qu'il n'y avait plus de danger. », et de conclure, « les cours ne sont pas encore annulés, soyez donc à l'heure dans vos classes. ».
finalement, il cherche chidori du regard, et le rejoint pour lui tendre la peluche, « je crois que vous avez oublié quelqu'un monsieur kageru. ». sourire appuyé, comme si un élève rassuré en vaudrait cent, comme si cela le convaincrait que tout irait bien.
02.12.96
Tes yeux cherchent le soleil du regard, le ciel, l'horizon, quelque chose. Mais il n'y a rien, à part un dôme où s'écrase l'océan. Tu te sens soudain claustrophobe, loin d'être à l'aise et tu cherches du regard des visages familiers. Tu n'arrives à voir personne. Ni Nanami, ni Sora, ni personne. Tes doigts viennent enserrer ton pendentif et tu prends une grande inspiration.
Vous étiez en sécurité.
Enfermés, engloutis, mais en sécurité.
Théoriquement, vous ne risquiez rien, pas vraiment. Pas pour le moment. Puis la voix du professeur Fujiwara, juste à côté de toi, et tu lui jettes un regard torve. Comment ça, les cours ne sont pas annulés ? Que croyait-il ? Que vous alliez resté bien sagement à attendre qu'on vous donne des explications qui n'arriveraient jamais ?
Tu retiens un sarcasme de justesse avant de rejoindre les premiers Yatagarasu que tu aperçois. La sécurité. Et après, tu iras demander des explications... que tu n'obtiendras sûrement pas.
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