Event #8 : Au songe du trépas
Takamori Fujiwara
Citation : tu seras une pièce sans valeur sur le plateau de ma vie
Age : trente-et-un ans
Rang : a0
Susanoo
Takamori Fujiwara
Cruel destin que celui d'être une conscience, brutalement abattue.
Sans réfléchir, le maître d'arme retirait l'épée souillée de son sang. Il ne pensa pas à se protéger du dragon de feu qui fonçait sur lui, il voulait juste empêcher Ryuu de voir. Alors il le pris dans ses bras et lui plaqua le visage contre son torse, il ne devait rien voir. Il voudrait tant rassurer son cousin, mais les mots lui manquaient. Peut-être le frère ne réalisait-il pas encore l'horreur de la scène. Et la terre trembla de plus belle, comme si le volcan s'apprêtait à entrer en éruption.
Mais la mort ne vint pas lui brûler les os, à la place il vit un yokai débarquer sur le champ de bataille. L'être gracile s'avança et débita un texte incompréhensible sur le moment. Trop d'informations : l'île, le pacte, les autres yokais, Seimei. Takamori ne saisit pas l'importance de l'annonce, mais il compris que le danger n'avait jamais été aussi grand et qu'une porte de sortie s'ouvrait enfin. Alors il glissa quelques mots à l'oreille de son tempetueux cousin, toujours serré dans ses bras : « Jure moi de courir le plus vite possible jusqu'au quai. Nous ne pouvons pas perdre un autre membre aujourd'hui. ». Il n'aurait pas dû dire cela, parce qu'ils n'avaient perdu personne, mais parfois le protocole devait s'écraser devant la famille. Relâchant son emprise sur le garçon, il le poussa avec force vers la forêt, tout en se tournant vers sa cible. « Nous n'en avons pas fini Rajan ! », une sourde ennemie lui expliquait que le professeur de vol était responsable de sa mort, que rien ne serait arrivé sans lui. Et il fut tenté de la croire. Alors, joignant les actes aux paroles, il enchanta un Ventus sur sa lame et créa plusieurs lames d'air en direction de son adversaire.
Ryuu Fujiwara
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18
Rang : 77/100
Orochi
Ryuu Fujiwara
Il arriva le moment des regrets et des choix; celui qui transperce, déchire et fait éclore les roses juteuses de la mort. Les mots ne sortent plus de ta bouche bien que grande ouverte sur l’horreur que tu as évité des yeux mais pas des oreilles ni du nez et tu entends les lames pourfendre les chairs, le sang gicler et les pleurs tus de ton chef de clan. La gueule ouverte d’effroi contre sa peau constellées de blessures, les yeux révulsés et le corps tremblant, tu subis les au revoir de dos et pourtant son sang appelle le tien et tandis que Takamori t’ordonne; tes oreilles n’entendent rien que la tristesse, la colère et la vengeance. Tes genoux flanchent pourtant lorsqu’il te pousse vers la fuite; et ton corps s’enracine dans le sol; tu l’as vue, tu l’as vue en te retournant, tu l’as vue étendue par terre, le ventre étripé et tu aurais juré voir le corps transpercé de l’enfant et les frissons te parcourent le dos; et puis tu vois Ishan se dresser face à ton maître; ton sang boue; Shion parmi les traitres et toi fuir ?
Balancé par la peur et le désespoir, tu te redresses, sors le tachi de son enveloppe métallique et rejoins les côtés de Takamori. Avais-tu déjà respecté les ordres ? Le manche crisse sous tes doigts serrés avant de tresser ceux de ta main gauche autour de ta baguette pour un « revigor » adressé à ton chef. Tu n’avais passé ton temps qu’à fouiller et t’énerver; la jeunesse de ton âge te permettait de disposer d’une énergie gigantesque et toute ta colère en possédait assez pour lui donner un coup de peps. Et tandis que tu te positionnes en combattant, tes lèvres violettes de terreur murmurent : « Eirin, je t’en prie, viens vite à moi. » Et tu jures d’acquérir le pendentif des inséparables pour elle et toi. « Nous ne perdrons pas d’autres membres aujourd’hui, Takamori-san, mais si je fuis, je perdrais mon honneur. » Une phrase si dure à énoncer face à la situation, mais ta volonté et ton amour des Fujiwara éclatent. Tu mets en garde Ishan après avoir rangé ta baguette. Il n’en possède plus; il te faudra garder la tienne en sécurité. Tu ne le chargeras qu’avec une arme et une fois fini, tu récupèreras le corps de ta cousine et la couvriras du voile macabre, la cachant à la vue des curieux et des horrifiés; et même si elle n’est plus de ta famille; ton sang coule à travers elle sur le sol et tu te jures que jamais plus il ne coulera comme une rivière par terre.
Résumé : ryuu est shook, décide d’aider Takamori pour l’honneur des Fuji; revigor taka; met en garde Ishan contre qui il compte se battre; espère récupérer le corps de sa cousine pour au moins la couvrir et l’emmener plus loin. Implore Eirin de venir vite (avec Take si possible). Ah et il a failli tourner de l'oeil. Thx daddy
Balancé par la peur et le désespoir, tu te redresses, sors le tachi de son enveloppe métallique et rejoins les côtés de Takamori. Avais-tu déjà respecté les ordres ? Le manche crisse sous tes doigts serrés avant de tresser ceux de ta main gauche autour de ta baguette pour un « revigor » adressé à ton chef. Tu n’avais passé ton temps qu’à fouiller et t’énerver; la jeunesse de ton âge te permettait de disposer d’une énergie gigantesque et toute ta colère en possédait assez pour lui donner un coup de peps. Et tandis que tu te positionnes en combattant, tes lèvres violettes de terreur murmurent : « Eirin, je t’en prie, viens vite à moi. » Et tu jures d’acquérir le pendentif des inséparables pour elle et toi. « Nous ne perdrons pas d’autres membres aujourd’hui, Takamori-san, mais si je fuis, je perdrais mon honneur. » Une phrase si dure à énoncer face à la situation, mais ta volonté et ton amour des Fujiwara éclatent. Tu mets en garde Ishan après avoir rangé ta baguette. Il n’en possède plus; il te faudra garder la tienne en sécurité. Tu ne le chargeras qu’avec une arme et une fois fini, tu récupèreras le corps de ta cousine et la couvriras du voile macabre, la cachant à la vue des curieux et des horrifiés; et même si elle n’est plus de ta famille; ton sang coule à travers elle sur le sol et tu te jures que jamais plus il ne coulera comme une rivière par terre.
Résumé : ryuu est shook, décide d’aider Takamori pour l’honneur des Fuji; revigor taka; met en garde Ishan contre qui il compte se battre; espère récupérer le corps de sa cousine pour au moins la couvrir et l’emmener plus loin. Implore Eirin de venir vite (avec Take si possible). Ah et il a failli tourner de l'oeil. Thx daddy
Azrael Nakagawa
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 33 (7/07/64)
Rang : 92
Susanoo
Azrael Nakagawa
AU SONGE DU TREPAS31.01.97
Hidenori s'effondre, dès lors que le sortilège le percute. Les tremblements s'intensifient, dans la foulée, si fort que tu en viens à craindre de voir le dôme s'effondrer, mais c'est finalement la surface que vous regagnez. La lumière du soleil, soudainement retrouvée, t'aveugle le temps de t'y réhabituer. Malgré la surprise, vous n’êtes pas au bout de vos peines.
Par sentimentalisme ou instinct d'ex-Auror, Kaede prend place auprès d'Hidenori. Ton regard, à toi, accroche l’atroce scène qui se déroule plus loin, là où le combat fait encore rage : Shion, prise entre son frère et son amant. Tu ne réalises pas l'horreur, jusqu'à ce que tu découvres les lames profondément enfoncées dans le corps frêle de ton amie.
« Non... »
Il ne s'agit que d'un murmure, dans lequel transperce le déni – non, non, non, tu refuses d'y croire.
Sous le choc, c'est à peine si tu prête attention à cet être qui entre sur le champ de bataille. Tu comprends – entends d'une oreille – qu'il évoque Hidenori, l'île et vous dit de partir. Mais comment partir alors qu’une amie est en train de mourir ? Tu te précipites jusqu'à eux.
« Bariyer. »
Tu ne veux pas combattre, seulement mettre Shion à l'abri et, une fois tes mains agrippées à son corps, tu la hisse dans tes bras et t'écartes, protégé par ton bouclier.
« Shion, réveille-toi. »
Si Rajan voulait s’improviser Morphée, toi tu ne désires que la voir s'éveiller. En vous éloignant suffisamment, tu trouves le manteau, abandonné, de Takamori ; dépose la victime sur le sol. Une fiole en dépasse et tu te sers, fouillant la poche sans la moindre hésitation, vérifiant les contenus des récipients que tu y trouves. Les mains tremblantes, tu assois Shion contre toi et porte une des bouteille à ses lèvres, y déverse son contenue.
Avale, avale, je t'en prie.
Sous tes doigts, apposés contre sa carotide, tu sens son pouls ralentir.
hrp : az refuse de croire en la mort de Shion, court récupérer son corps, l'éloigne du combat et trouve le manteau de taka, où se trouvent ses potions. il essaie d'en faire boire une à shion, désespéré, mais sa vie semble lui échapper
Rajan Tsukino
Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
Age : 37 ans
Rang : S0
Seimei
Rajan Tsukino
event8
Le sang bouillonne dans ton corps, ta chair brûle au contact du dragon de feu que tu avais invoqué et dans un dernier souffle tu lassais ta douce t’abandonner. Elle était toujours là première à partir, toujours à prendre de l’avance, toujours à te dire adieu dans un dernier élan d’amour.
Et Takamori n’en avait pas fini avec toi, Ishan lui t’avais rejoins dans cette vision d’horreur ; tu aurais aimé le lui épargner. Tu serres ta baguette a tel point qu’elle pourrait se fendre entre des doigts, la seule chose qui te retiens de la briser comme tout le reste ; c’est que tu savais encore quel que chose à sauver. Vous aviez perdu hidenori aujourd’hui, votre retour sous le soleil ardent en était la preuve et shishio venait de le confirmer. On en a fini pour aujourd’hui, Takamori. Tu pointes ta baguette en sa direction et formule un sortilège de glue perpétuelle à ses pieds. Tu attrapes le bras de ton jeune miroir, il était revenu pour toi alors tu l’emporterais. Tu ne le regretteras pas ? Il n’y aura aucun retour arrière possible.
Accio amenant un balais dans tes mains; accio portant à ton fils sa baguette. On se retrouvera, Fujiwara. Il était temps de vous envoler pour pouvoir vous en aller.
Résumé : rajan colle les pompes de takamori et accio balais + baguette d’ishan pour s’éloigner de l’île et faire un peu plus tard un transplanage
Ps: ce post est un carnage mais c’est pas possible de rp sur tablette YORI CCMT TU FAIS
Et Takamori n’en avait pas fini avec toi, Ishan lui t’avais rejoins dans cette vision d’horreur ; tu aurais aimé le lui épargner. Tu serres ta baguette a tel point qu’elle pourrait se fendre entre des doigts, la seule chose qui te retiens de la briser comme tout le reste ; c’est que tu savais encore quel que chose à sauver. Vous aviez perdu hidenori aujourd’hui, votre retour sous le soleil ardent en était la preuve et shishio venait de le confirmer. On en a fini pour aujourd’hui, Takamori. Tu pointes ta baguette en sa direction et formule un sortilège de glue perpétuelle à ses pieds. Tu attrapes le bras de ton jeune miroir, il était revenu pour toi alors tu l’emporterais. Tu ne le regretteras pas ? Il n’y aura aucun retour arrière possible.
Accio amenant un balais dans tes mains; accio portant à ton fils sa baguette. On se retrouvera, Fujiwara. Il était temps de vous envoler pour pouvoir vous en aller.
Résumé : rajan colle les pompes de takamori et accio balais + baguette d’ishan pour s’éloigner de l’île et faire un peu plus tard un transplanage
Ps: ce post est un carnage mais c’est pas possible de rp sur tablette YORI CCMT TU FAIS
Eirin Fujiwara
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18 ans
Rang : 76/100
Susanoo
Eirin Fujiwara
Faiblesse physique n'avait d'égale que sa hardiesse—elle dévalait l'île au pas de course, malgré tout soutenue par un cousin docile ; et sa haine n'en était qu'amplifiée, dupliquée par cet incapable sentiment qui lui rongeait les sangs. Accablée d'une inquiétude hors normes, ses doigts serrés autour d'une arme à peine adaptée à sa taille, elle sentit le fumet de la mort avant d'en percevoir l'ampleur.
L'entrée de l'école n'était plus qu'une hécatombe, ceinturée de détresse et enflée de maux innommables. Au milieu de ce tapage trônait son petit frère, tremblant sur des jambes courageuses ; plus loin, là où les corps gisaient et derrière le tombeau ardent d'un dragon de feu, elle percevait une vision horrifique et en sentait son coeur se soulever—cousine échouée sur un sol gorgé de son sang et de celui de son engeance morte avant d'avoir goûté à la vie, elle en distingua à peine le frisson de ses genoux, tout son corps enflammé à l'idée même d'être touchée. Elle ravala dans un déglutit tant bien la bile qui pullulait dans sa gorge que l'émoi qui menaçait d'arracher le peu de bon sens qu'il lui restait. Le deuil viendrait après, pour l'heure elle courut jusqu'à son cadet dans un cri—Ryuu ! s'époumonnait-elle, le souffle court et les muscles meurtris.
A peine ses pas la menaient-elles à lui que les traîtres tiraient leur révérence, immobilisant son chef d'un grossier sort ; Eirin serra les doigts de Ryuu dans les siens, grelottante malgré la chaleur des feux. Finite soufflé aux pieds de Takamori, la bouche sèche. Nous devons—nous devons rejoindre le quai. Qu'importe le reste. Elle haletait, le dos tourné à la scène d'épouvante, et tirait déjà son sang vers ce qui lui paraissait la seule issue.
(eirin arrive avec takehiko, rejoint ryuu, ignore totalement shion pcq elle est pas prête à process cette quantité d'émotions, fait abstraction de TOUT, finite le sortilège de rajan et veut aller vers le quai)
L'entrée de l'école n'était plus qu'une hécatombe, ceinturée de détresse et enflée de maux innommables. Au milieu de ce tapage trônait son petit frère, tremblant sur des jambes courageuses ; plus loin, là où les corps gisaient et derrière le tombeau ardent d'un dragon de feu, elle percevait une vision horrifique et en sentait son coeur se soulever—cousine échouée sur un sol gorgé de son sang et de celui de son engeance morte avant d'avoir goûté à la vie, elle en distingua à peine le frisson de ses genoux, tout son corps enflammé à l'idée même d'être touchée. Elle ravala dans un déglutit tant bien la bile qui pullulait dans sa gorge que l'émoi qui menaçait d'arracher le peu de bon sens qu'il lui restait. Le deuil viendrait après, pour l'heure elle courut jusqu'à son cadet dans un cri—Ryuu ! s'époumonnait-elle, le souffle court et les muscles meurtris.
A peine ses pas la menaient-elles à lui que les traîtres tiraient leur révérence, immobilisant son chef d'un grossier sort ; Eirin serra les doigts de Ryuu dans les siens, grelottante malgré la chaleur des feux. Finite soufflé aux pieds de Takamori, la bouche sèche. Nous devons—nous devons rejoindre le quai. Qu'importe le reste. Elle haletait, le dos tourné à la scène d'épouvante, et tirait déjà son sang vers ce qui lui paraissait la seule issue.
(eirin arrive avec takehiko, rejoint ryuu, ignore totalement shion pcq elle est pas prête à process cette quantité d'émotions, fait abstraction de TOUT, finite le sortilège de rajan et veut aller vers le quai)
L'Éventail
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
L'Éventail
Shishio a dit vrai. En se dirigeant vers l’ouest de l’île, tous rencontrent des aurors qui viennent de transplaner ou d'atterrir, un balai à la main. Dans la confusion, certains élèves et adultes tentent d’expliquer la situation aux autorités, mais il y a trop à dire, et si peu de temps. La mise en garde du yōkai est dans tous les esprits, et aucun n’a envie de finir entre les griffes ou les crocs d’une créature assoiffée de vengeance.
À leur arrivée sur le quai, ils voient le tramway accoster et tandis que certains se précipitent à l’intérieur, d’autres attendent, hagards, qu’un ami, une sœur ou un amoureux sortent de la forêt.
★ Les rp doivent être courts avec un résumé de quelques mots à la fin.
★ La scène se passe désormais sur le quai.
★ Les membres des autres groupes peuvent désormais rejoindre le quai.
★ Les personnages non-inscrits à l'évent peuvent répondre également.
★ L'évent fermera le 28 février à minuit.
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Tu avais donc fuit loin de la falaise, loin de Ritsuka, loin de Eijiro, sans trop attendre les deux autre, tu avais remarqué au loin de nombreux balais, tu devais te diriger vers eux, c'est tout ce que tu devais faire Maiko.
Évidemment, tu n'es pas la seule, tu reprends ta respiration comme beaucoup de tes camarades puis tu ne t'attendais pas à le voir.
Tu atterris dans des bras puis sa voix qui résonne dans tes oreilles maiko.
- Mai ! Tu es vivante !!!
Cette voix que tu connais que trop bien, te fait couler les larmes que tu retenait depuis le début de cette journée.
- Daiki !!!
Et tu sert ton aîné dans tes bras maiko, tu es heureuse de le voir, tu te laisse aller devant lui pour la première fois depuis longtemps.
Il se recule et essuie tes yeux et sourit en regardant ta chevelure, courte, coupé à l'arrache.
- On rentre et ne t'inquiète de rien.
Tu souris, tu sais bien que rien ne va être comme avant maintenant... Tu sais bien que les Kondo vont encore plus te pourrir la vie maintenant sauf que Daiki à l'air de ton côté.
- Au fait, Mai ! Tu es magnifique !
Tu souris à ton aîné, tu reste à ses côté parce qu'au fond de toi, tu espère que Ritsuka va venir au quai même si vos fiançailles vont être définitivement annulée.
hrpMaiko, arrive au quai, bien contente de fuir de l'île, se fait littéralement agresser par Daiki son premier grand-frère, pleure, discute deux minute avec lui et attend Ritsuka au quai avec son frère.
Évidemment, tu n'es pas la seule, tu reprends ta respiration comme beaucoup de tes camarades puis tu ne t'attendais pas à le voir.
Tu atterris dans des bras puis sa voix qui résonne dans tes oreilles maiko.
- Mai ! Tu es vivante !!!
Cette voix que tu connais que trop bien, te fait couler les larmes que tu retenait depuis le début de cette journée.
- Daiki !!!
Et tu sert ton aîné dans tes bras maiko, tu es heureuse de le voir, tu te laisse aller devant lui pour la première fois depuis longtemps.
Il se recule et essuie tes yeux et sourit en regardant ta chevelure, courte, coupé à l'arrache.
- On rentre et ne t'inquiète de rien.
Tu souris, tu sais bien que rien ne va être comme avant maintenant... Tu sais bien que les Kondo vont encore plus te pourrir la vie maintenant sauf que Daiki à l'air de ton côté.
- Au fait, Mai ! Tu es magnifique !
Tu souris à ton aîné, tu reste à ses côté parce qu'au fond de toi, tu espère que Ritsuka va venir au quai même si vos fiançailles vont être définitivement annulée.
hrpMaiko, arrive au quai, bien contente de fuir de l'île, se fait littéralement agresser par Daiki son premier grand-frère, pleure, discute deux minute avec lui et attend Ritsuka au quai avec son frère.
Invité
Invité
Invité
AU SONGE DU TREPAS
31.01.97
31.01.97
Tu observes le corps éventré, et les souvenirs de la mort de ton frère aîné te reviennent, dansent sous tes paupières et tu les chasses bien vite. Allons-y. Et sans laisser le temps à Ryuu ou à Eirin de reprendre leur souffle, tu les pousses l'un et l'autre, sans un regard pour le champ de bataille, les professeurs, les corps, en vie ou non.
Et ce n'est qu'au bout d'interminables minutes que vous arrivez au quai, et déjà, un bon nombre d'aurors semblent chercher des réponses. Trop bruit. Trop de cris. Trop de brouhaha qui agressent tes oreilles, et alors, tu les forces à entrer dans le tramway, les installes l'un et l'autre sur deux sièges et tu restes là, doigts serrés sur ton arme, ton regard allant et venant partout, car, tant que vous ne serez pas en dehors de cette île, tu ne les considérerais pas en sécurité.
hrp : takehiko récupère eirin et ryuu, puis les fait avancer jusqu'au quai + les fait s'installer dans le tram alors qu'il reste debout parce qu'il est persuadé que c'est pas fini, c'est un stressé de la vie
Xue Oikaze
Citation : this hole in my heart's proof of life
Age : 19 (14 décembre 1978)
Rang : A2
Susanoo
Xue Oikaze
en suivant ce guide de bois cette magie (je l'espère) salvatrice
— elle me guide vers une colonne de fumée un palais noirci de cendres
oh ! dieux faites qu'il aille bien (et elle, et eux et —)
et la cadence accélère la branche cherche à me semer — je talonne (qui donc cherche
encore à t'arracher à moi ?) je ne décrocherai pas
course s'achève sur le quai ; la foule n'est pas encore arrivée
mais toi
toi Ishan
tu es là (tu n'es pas seul vous semblez
pressés, je vois vos balais et
putain)
"ISHAN !" je ne serai pas
en retard : j'ai doublé mon guide et je contrôle à peine
ma chute
(j'ai dérapé et j'ai saisi ton bras — au diable ton traître de père j'ai
des choses à te dire)
on a mordu la poussière roulé sur le quai et j'ai sans doute
des bleus des écorchures mais
qu'importe : je te retrouve enfin
(et ma main dans un coup de vent dans un violent clac
elle a trouvé ta joue)
"t'en as pas MARRE de courir à ta mort sans me demander mon avis ?!" et j'ai encore mille reproches et mille inquiétudes entre les dents mais je tremble et tout se confond
dans un murmure fébrile :
"espèce d'abruti, laisse-moi t'aider au lieu de m'inquiéter"
résumé : xue arrive au quai en suivant la baguette d'ishan et se crashe littéralement sur son bro (jtm) + lui colle une claque (jte jure jtm) + l'engueule (c sa façon d'aimer)
Minato Tsukino
Citation : le corps meurt, mais les écrits et le souvenir lui survivent.
Age : 40 ans
Rang : ?
Amaterasu
Minato Tsukino
Une main plaquée sur le dessus de son crâne, le sang qui continue de couler ne lui laisse place à aucune hésitation - vu l'état de ses fringues, il ne s'était pas loupé. Dans sa besace, il sait qu'il a de quoi écrire un origami, mais à quoi bon ? À qui pouvait-il bien écrire ? Ce sont des éclats de voix au loin qui l'ont alerté, qui lui ont permis de se ressaisir et d'y voir soudainement un peu plus clair ((quoi qu'encore un peu dans le brouillard.)) Fermant les yeux pour rétablir sa vision vaseuse, le jeune homme se redresse après avoir vérifié que sa posture était plus ou moins stable. L'écho d'une voix, d'une phrase ; quitter l'île. Pour cela, pas trente-six moyens, il fallait rejoindre les quais et heureusement que la clairière n'était pas trop loin. Comprimant la plaie avec sa main sur le côté de son crâne, le corbeau rejoint donc les quais d'un pas lent, manquant de trébucher plus d'une fois.
Quand il arrive enfin Kyōsuke, quelques personnes sont déjà là. Certaines montent, d'autres semblent attendre quelque chose ; mais lui se contente de s'asseoir sur le sol, épuisé de cette marche ; vidé de son énergie. La pression retombe, l'adrénaline et l'instinct de survie ont assez fait leurs travaux pour la journée. Il espérait de tout cœur que ses amis allaient bien.
hrp - kyō s'est rétamé la gueule en balai après l'arrivée de seimei - il s'est assommé en se cognant le crâne parterre - il a entendu la discussion d'akina à la clairière, mais il était tellement dans le brouillard et dans ses dernières forces qu'il s'est dirigé vers le quai en usant de son instinct de survie et de l'adrénaline - il est désormais assis parterre en scrutant les lieux à la recherche d'un de ses potes ((et de quelqu'un qui pourra maybe le cura adieu))
Sora Nishimura
Citation : don't ever try to judge me dude
Age : 19 ans depuis le 7 aôût
Rang : 74/100
Orochi
Sora Nishimura
Puis son œil s'arrête sur "l'araignée", celle qu'il avait fabriqué à l'abri des regards indiscret, qu'il avait dissimulé sous un drap sous son lit. Les fils s'entremêlent, mais jamais, ô grand jamais, il n'aurait imaginé que Seimei reviendrait à la vie. La culpabilité d'Hidenori non plus - même s'il n'avait jamais eu confiance en lui. Soufflant entre ses dents, sa langue claque contre son palais avant que son pied ne vienne shooter la maquette de son enquête. La preuve était qu'ils n'étaient bien que des adolescents, incapable de vraiment jouer dans la cour des grands. Secouant la tête, il regarde Sora par la fenêtre, de la fumée commence déjà à pointer le bout de son nez, il ne doit pas traîner, ne pas rester ici - c'était déjà égoïste de penser à sa gueule en grimpant ici ((cela serait con que ça lui porte en plus préjudice.)) Rapidement, il voit Sora, que des gens se barrent, cours pour leurs vies - il était temps de mettre les voiles et de les guider.
C'est ce qu'il aurait aimé faire si les flammes ne lui avaient pas bloqué l'accès. Tétanisé, il n'a pas remarqué Sora, que le temps avait défilé drôlement vite ((trop perdu dans ses pensées dans un moment pareil, imbécile de première.)) Ne pas réfléchir plus longuement, ne pas se poser de questions. Il tente de descendre, mais les flammes l'en empêche, lui crame le bas des jambes. L'appel d'air, la bâtisse faite de bois s'embrase à une vitesse folle. Sora n'avait plus d'autre solution, malgré sa peur, c'est le balai qu'il utilisait par le passé qu'il enfourche. ((Incapable de le jeter, résolu à essayer de voler de nouveau.)) Le balai n'en fait qu'à sa tête dans un premier temps, comme pour l'insulter de l'avoir laissé prendre la poussière. Puis après une insulte et un coup avec la panique, il détale ; le vol n'est pas assuré, il manque plusieurs fois d'se casser la gueule. Mais voilà qu'en passant à travers une fenêtre, Sora trouve la sortie.
Il aura passé du temps à scruter les recoins de l'île, à chercher des gens qu'il n'aura finalement pas trouver, avant de tomber sur un groupe d'élèves jeunes et apeurés ; Shishio arriva bien vite pour leur dire de se diriger vers le quai, quitter l'île était donc la dernière solution maintenant qu'elle était remontée à la surface. Son bas de pantalon cramé ainsi que son avant-bras, Sora guide les élèves en les faisant prendre des chemins qu'il considère comme sûre, le quai enfin à porter de vue. Son balai dans une main, sa baguette dans l'autre, il compte les enfants dans sa tête, aucun ne manque à l'appel - les gens accourent, monte dans le train, mais lui reste là, le coeur serré. Attendre, pour palier à son manque d'efficacité - attendre et être l'un des derniers à grimper.
HRP — à l'arrivée de seimei sora s'est barré dans son dortoir pour retrouver un objet et des documents importants concernant sa famille, il a prit mille ans, du coup il a du enfourché son ancien balai aka trauma et se barrer par une fenêtre, il a guidé un groupe d'enfant apeuré jusqu'au quai et attend maintenant que d'autres arrivent ((cramer aux jambes légèrement et à son avant bras gauche plus gravement))
Invité
Invité
Invité
194 mots
#incendie #catastrophe #événement
31 janvier 1997
@everyone
De plus en plus de gens arrivent, ils débarquent. Rien ne va. Ça fait un moment que rien ne va, d’ailleurs.
L’école a été submergée, attaquée, brûlée. Et toi, t’es là sur le quai, à regarder dans le vide.
Les gens arrivent, se retrouvent, sont soulagés de voir leurs proches en bon état, ou en larme d’une perte douloureuse. Et toi, t’es là sur le quai, un chat blanc dans les bras.
Les gens se sont ensemble. Et toi, t’es là sur le quai, terriblement seul.
Tu as envie de hurler, des larmes coulent. Qu’est-ce que tu as l’air stupide, tout seul. Tu aimerais être dans les bras de quelqu’un, qu’une personne te dise que tout ira bien. Que pour une fois, tu puisse croire à ce terrible mensonge.
Des aurors, des professeurs, les adultes. Tu as l’impression qu’ils ne font rien. Ils ne font jamais rien. Tu te sens stupide et inutile. Tu l’es.
Tu n’es qu’un trouillard parmi tant d’autres.
Le monde - ton monde - est en train de cramer et il n’y a rien que tu puisse faire.
De plus en plus de gens arrivent, ils débarquent. Rien ne va.
L’école a été submergée, attaquée, brûlée. Et toi, t’es là sur le quai, à regarder dans le vide.
Les gens arrivent, se retrouvent, sont soulagés de voir leurs proches en bon état, ou en larme d’une perte douloureuse. Et toi, t’es là sur le quai, un chat blanc dans les bras.
Les gens se sont ensemble. Et toi, t’es là sur le quai, terriblement seul.
Tu as envie de hurler, des larmes coulent. Qu’est-ce que tu as l’air stupide, tout seul. Tu aimerais être dans les bras de quelqu’un, qu’une personne te dise que tout ira bien. Que pour une fois, tu puisse croire à ce terrible mensonge.
Des aurors, des professeurs, les adultes. Tu as l’impression qu’ils ne font rien. Ils ne font jamais rien. Tu te sens stupide et inutile. Tu l’es.
Tu n’es qu’un trouillard parmi tant d’autres.
Le monde - ton monde - est en train de cramer et il n’y a rien que tu puisse faire.
De plus en plus de gens arrivent, ils débarquent. Rien ne va.
- Explications:
- Tanaka fait une crise existentielle, dans son coin.
Juri Endo
Citation : La couverture d'un livre ne signifie rien, tout est dans le contenue !
Age : 25 (26/04/1973)
Rang : A3
Ryujin
Juri Endo
Tu avais fuit, sur ton balais, Juri, vers le quai que le yokai à la beauté époustouflante avait dit, à peine arrivé, des élèves et des aurors était là avec un tramway prêt à partir loin de là...
Et tu te tenais au mieux de tout cela juri, ton balais dans une main et l'autre tenait le parchemin, la seule relique qui te reste de la bibliothèque, tu te tourne à nouveau vers l'école et les larmes ruissellent de tes yeux...
Pourquoi ?
La seule question, si tu pouvais appeler encore cela une question, tu étais malheureuse Juri, moins peut-être que lorsque tu as perdu Kai mais, tu as perdu confiance envers les personnes que tu admiré le plus, pourtant tu veux revenir voir quand l'île serait à nouveau sécurisé, ce que tu peux sauver de l'incendie qui ravage le bâtiment.
Finalement tu essuie tes yeux et traverse la foule, aidant les plus jeunes à aller vers le tram qui les ramènera chez eux auprès de leur familles.
hrpJuri arrive au quai, pleure sa pauvre bibliothèque, crache sa haine envers Hidenori et Seimei puis commence à diriger les élèves vers le tram
Et tu te tenais au mieux de tout cela juri, ton balais dans une main et l'autre tenait le parchemin, la seule relique qui te reste de la bibliothèque, tu te tourne à nouveau vers l'école et les larmes ruissellent de tes yeux...
Pourquoi ?
La seule question, si tu pouvais appeler encore cela une question, tu étais malheureuse Juri, moins peut-être que lorsque tu as perdu Kai mais, tu as perdu confiance envers les personnes que tu admiré le plus, pourtant tu veux revenir voir quand l'île serait à nouveau sécurisé, ce que tu peux sauver de l'incendie qui ravage le bâtiment.
Finalement tu essuie tes yeux et traverse la foule, aidant les plus jeunes à aller vers le tram qui les ramènera chez eux auprès de leur familles.
hrpJuri arrive au quai, pleure sa pauvre bibliothèque, crache sa haine envers Hidenori et Seimei puis commence à diriger les élèves vers le tram
Kaede Uehara
au songe du trépas
Tu aimerais qu’elles coulent, mais les larmes ne viennent pas — incapable de vider tes voies pulmonaires de leur colère. Un détour de tête, la scène s’imprime dans les impuissantes mémoires des spectateurs. Shion mourrait, transpercée, ensanglantée. Shion mourrait, son sourire flétrissait et ne fleurira plus que dans les mémoires. Ton esprit s’en révoltait, répugné par cette nouvelle réalité tandis qu’un fiel remontait ta gorge et il te fallut le ravaler de crainte qu’il éclabousse les environs de sa hargne.
Shion était innocente ;
son unique crime eût été d’aimer un homme et de ne réussir à se soustraire à cet amour. Elle n’était que la victime des fers de deux chefs de clans opposés, d’hommes dont elle ne pouvait supporter le duel.
Shion était une victime ;
d’une existence rigide, d’une cage dont la détention assure la survie tandis que l’échappatoire mène à la mort. Une pauvre âme qui fût privée de son droit de faire ses propres choix durant des décennies.
Shion était une lumière ;
tamisée, éteinte, étouffée par les hommes qui ont régit son existence. Elle aurait pu briller tels les astres, mais fût empêchée de radier de toute sa vertu.
Shion était quelqu’un de bien ;
quelqu’un qui ne méritait point de rencontrer si tôt sa fin.
Azrael accourt. Azrael l'emporte. Azrael tente et tente et tente. D'un sortilège, tu fis apparaître des liens pour enserrer votre ennemi endormi et un messager vint apporter une parole. Et la suite des événements parue limpide, on se mit à partout donner l'ordre de retourner au quai. Lorsque tes yeux se rivèrent vers le dernier duel, ils assistèrent au départ du lâche Rajan avec son frère et tu ne réussis à les stopper.
Une haine crépita et luisit dans tes pupilles, vorace de justice.
Maeda, dès qu'il t'est possible de transporter Tsubaki, rejoignez-vous sur-le-champ au quai. tu ordonnas d'une voix forte. Fujiwara, Morinaga, faites en sorte d'aider les élèves à rejoindre le quai. Malheureusement, vous n'aviez guère le temps de ressentir vos peurs, vos haines, vos souffrances, votre deuil. Tu lanças un cura sur ta cuisse, puis le bout de ta baguette pointa la protection d'Azrael et d'un finite le brisa. Ce fût avec peine que tu soulevas votre prisonnier pour rejoindre le professeur de sortilèges et le déposer à vos côtés. Tes doigts se pressèrent contre la carotide de la tendre professeure d'histoire de la magie, mais aucune pulsion ne fit écho ni ne donna espoir. Les yeux te piquèrent, les paupières se refermèrent, une bouche tremblante claqua un peu. Inspiration, expiration — tu repris le contrôle.
Ta main prit place sur l'épaule d'Azrael et secoua l'homme sonné par le triste spectacle sous ses yeux. Ce lieu ne mérite pas d'être celui de son repos. Je m'occupe de Shion, toi, d'Hidenori et nous les amenons au quai. Sous ta paume, se fermèrent les paupières de la belle destinée à un éternel sommeil et se traça contre sa joue une caresse. Du kimono de son frère, tu enveloppas son corps et dissimula son identité sous la luxurieuse étoffe. Tes bras l'élevèrent telle une princesse. Un regard vers Azrael, un hochement de tête, vous vous mirent en marche.
Un laps de temps s'écoula — mais tu n'aurais su dire s'il fût long ou court, tout s'était arrêté — avant que ne se dévoile le quai du tramway sous vos yeux. Vous arriviez à l'écart de la foule, peu désireux que les élèves soient témoins de ce sinistre instant. Deux silhouettes familières se dessinèrent. Tobe, Enomoto. et, à la résonance de leurs noms, se captèrent leur attention, ils précipitèrent à ta rencontre. Mon collègue détient Hidenori Kurosawa, directeur de l'école, responsable de la résurrection d'un ancien mage noir attendu par les partisans de Yuutsu. J'ai... une brève pause Shion Fujiwara, professeure, décédée. La frappe mortelle a été administrée par Rajan Tsukino, professeur, partisan. Malheureusement, ce dernier a pris la fuite avec son frère, Ishan Tsukino. L'école brûle, il est probable que l'ancien mage noir s'y trouve ; il planifie d'éliminer moldus, nés-moldus et tout opposant à son plan de domination. Il est également possible que des élèves ayant rejoint ses rangs par peur soient dans les alentours de l'école et aient été forcés de se battre. Nombreux élèves ont refusé de le rejoindre et se sont enfuis, ils ont dû être dispersés à travers l'île et il est possible que certains soient gravement blessés.
tdlr; éloge pour ma girl shion rip + hidenori ligoté + ordres donnés à takamori, hanae et natsuo + rejoint az et constate le décès de shion, demande à az et porter hidenori tandis qu'elle porte shion + arrive quai + parle avec aurors auxquels elle veut remettre hidenori
Shion était innocente ;
son unique crime eût été d’aimer un homme et de ne réussir à se soustraire à cet amour. Elle n’était que la victime des fers de deux chefs de clans opposés, d’hommes dont elle ne pouvait supporter le duel.
Shion était une victime ;
d’une existence rigide, d’une cage dont la détention assure la survie tandis que l’échappatoire mène à la mort. Une pauvre âme qui fût privée de son droit de faire ses propres choix durant des décennies.
Shion était une lumière ;
tamisée, éteinte, étouffée par les hommes qui ont régit son existence. Elle aurait pu briller tels les astres, mais fût empêchée de radier de toute sa vertu.
Shion était quelqu’un de bien ;
quelqu’un qui ne méritait point de rencontrer si tôt sa fin.
Azrael accourt. Azrael l'emporte. Azrael tente et tente et tente. D'un sortilège, tu fis apparaître des liens pour enserrer votre ennemi endormi et un messager vint apporter une parole. Et la suite des événements parue limpide, on se mit à partout donner l'ordre de retourner au quai. Lorsque tes yeux se rivèrent vers le dernier duel, ils assistèrent au départ du lâche Rajan avec son frère et tu ne réussis à les stopper.
Une haine crépita et luisit dans tes pupilles, vorace de justice.
Maeda, dès qu'il t'est possible de transporter Tsubaki, rejoignez-vous sur-le-champ au quai. tu ordonnas d'une voix forte. Fujiwara, Morinaga, faites en sorte d'aider les élèves à rejoindre le quai. Malheureusement, vous n'aviez guère le temps de ressentir vos peurs, vos haines, vos souffrances, votre deuil. Tu lanças un cura sur ta cuisse, puis le bout de ta baguette pointa la protection d'Azrael et d'un finite le brisa. Ce fût avec peine que tu soulevas votre prisonnier pour rejoindre le professeur de sortilèges et le déposer à vos côtés. Tes doigts se pressèrent contre la carotide de la tendre professeure d'histoire de la magie, mais aucune pulsion ne fit écho ni ne donna espoir. Les yeux te piquèrent, les paupières se refermèrent, une bouche tremblante claqua un peu. Inspiration, expiration — tu repris le contrôle.
Ta main prit place sur l'épaule d'Azrael et secoua l'homme sonné par le triste spectacle sous ses yeux. Ce lieu ne mérite pas d'être celui de son repos. Je m'occupe de Shion, toi, d'Hidenori et nous les amenons au quai. Sous ta paume, se fermèrent les paupières de la belle destinée à un éternel sommeil et se traça contre sa joue une caresse. Du kimono de son frère, tu enveloppas son corps et dissimula son identité sous la luxurieuse étoffe. Tes bras l'élevèrent telle une princesse. Un regard vers Azrael, un hochement de tête, vous vous mirent en marche.
Un laps de temps s'écoula — mais tu n'aurais su dire s'il fût long ou court, tout s'était arrêté — avant que ne se dévoile le quai du tramway sous vos yeux. Vous arriviez à l'écart de la foule, peu désireux que les élèves soient témoins de ce sinistre instant. Deux silhouettes familières se dessinèrent. Tobe, Enomoto. et, à la résonance de leurs noms, se captèrent leur attention, ils précipitèrent à ta rencontre. Mon collègue détient Hidenori Kurosawa, directeur de l'école, responsable de la résurrection d'un ancien mage noir attendu par les partisans de Yuutsu. J'ai... une brève pause Shion Fujiwara, professeure, décédée. La frappe mortelle a été administrée par Rajan Tsukino, professeur, partisan. Malheureusement, ce dernier a pris la fuite avec son frère, Ishan Tsukino. L'école brûle, il est probable que l'ancien mage noir s'y trouve ; il planifie d'éliminer moldus, nés-moldus et tout opposant à son plan de domination. Il est également possible que des élèves ayant rejoint ses rangs par peur soient dans les alentours de l'école et aient été forcés de se battre. Nombreux élèves ont refusé de le rejoindre et se sont enfuis, ils ont dû être dispersés à travers l'île et il est possible que certains soient gravement blessés.
tdlr; éloge pour ma girl shion rip + hidenori ligoté + ordres donnés à takamori, hanae et natsuo + rejoint az et constate le décès de shion, demande à az et porter hidenori tandis qu'elle porte shion + arrive quai + parle avec aurors auxquels elle veut remettre hidenori
Ishan Tsukino
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18 yo
Rang : 85/100
Susanoo
Ishan Tsukino
Lui qui s'imaginait hissé sur un balai hors de prix, diapré de gloire et acclamé par une foule infinie, affronte aujourd'hui une perspective bien plus funeste. Ses doigts agrippés à l'arme ne tremblent ni ne fléchissent, nulle hésitation dans la posture qu'il adopte—il protégera son éploré de père le temps qu'il faudra, gagnera les quelques secondes qui lui permettront de rattraper des lambeaux de raison. Non, la peur qu'il refoule n'a rien à voir avec l'avenir qui lui fait maintenant face, et tout avec la perte du peu de choses qu'il lui reste. Tu ne regretteras pas ? L'ombre d'un sourire recourbe la commissure de ses lèvres, son regard plus dur que jamais. Ma décision est prise. Plutôt mourir que de l'abandonner à son sort—cette île n'a plus rien à m'offrir.
Et quand sa baguette voltige à eux, qu'il la serre entre des phalanges blanchies de nervosité, Ishan se pense déjà parti ; se fantasme souvenir dans une poignée d'esprit mais non, pas encore—il reste quelque chose. Rajan, att—à peine la protestation formulée que son nom résonne, fébrile, dans ses oreilles rougies de hâte. Xue accourt, Xue hurle et c'est le monde qui bascule dans leur chute, ils dévalent quelques mètres et la douleur paraît futile face au soulagement.
La claque part, méritée. Il l'encaisse dans un rictus trop fier. T'as failli être en retard, qu'il ricane stupidement.
Ses bras l'entourent, serre un corps qu'il a longtemps connu, qu'il n'oubliera jamais. Ishan rit et l'étreint sans retenue, gorgé de réconfort. Il écarte les remontrances d'une paire d'épaules haussées et, mû par un instinct impérieux, lui offre le plus dur des baisers—doigts enroulés autour d'un menton récalcitrant, sur une caresse humide il fait ses adieux. Pourquoi j'arrêterais, quand je sais que tu viendras toujours me chercher ? Les dents dévoilées dans l'arrogance, il se redresse et toute la peur qui l'agitait s'échappe dans le fracas sec de ses articulations. Je dois y aller. Tu es libre de rester, mais rien ne me fera changer d'avis. Ne pense pas qu'il s'agit d'adieux, cependant—à peine un au revoir, j'en suis sûr. La main s'agrippe à l'autre et la serre, la cajole un instant. Mais je pense connaître ta décision. Reste de ce côté, Xue, c'est ton meilleur profil. On se reverra. Profites-en pour te lier à Yori, ma trahison vous rapprochera peut-être. Et, lèvres plaquées une douce seconde sur ses doigts pâles, il tire sa révérence sur un finite muet qui effacera leurs traces.
L'iris doré transperce celui de son père, il tend une main déterminée. On peut y aller.
(ishan reste décidé à suivre rajan + se fait joyeusement claquer au sol par xue, lui roule lowkey la pelle de sa vie (devant rajan)(oups) et lui dit au revoir de la manière la plus clichée qui soit + finite le sortilège d'empreintes au cas où
flashforward dans dix ans je veux le make-out auror!xue/hors-la-loi!ishan)
Et quand sa baguette voltige à eux, qu'il la serre entre des phalanges blanchies de nervosité, Ishan se pense déjà parti ; se fantasme souvenir dans une poignée d'esprit mais non, pas encore—il reste quelque chose. Rajan, att—à peine la protestation formulée que son nom résonne, fébrile, dans ses oreilles rougies de hâte. Xue accourt, Xue hurle et c'est le monde qui bascule dans leur chute, ils dévalent quelques mètres et la douleur paraît futile face au soulagement.
La claque part, méritée. Il l'encaisse dans un rictus trop fier. T'as failli être en retard, qu'il ricane stupidement.
Ses bras l'entourent, serre un corps qu'il a longtemps connu, qu'il n'oubliera jamais. Ishan rit et l'étreint sans retenue, gorgé de réconfort. Il écarte les remontrances d'une paire d'épaules haussées et, mû par un instinct impérieux, lui offre le plus dur des baisers—doigts enroulés autour d'un menton récalcitrant, sur une caresse humide il fait ses adieux. Pourquoi j'arrêterais, quand je sais que tu viendras toujours me chercher ? Les dents dévoilées dans l'arrogance, il se redresse et toute la peur qui l'agitait s'échappe dans le fracas sec de ses articulations. Je dois y aller. Tu es libre de rester, mais rien ne me fera changer d'avis. Ne pense pas qu'il s'agit d'adieux, cependant—à peine un au revoir, j'en suis sûr. La main s'agrippe à l'autre et la serre, la cajole un instant. Mais je pense connaître ta décision. Reste de ce côté, Xue, c'est ton meilleur profil. On se reverra. Profites-en pour te lier à Yori, ma trahison vous rapprochera peut-être. Et, lèvres plaquées une douce seconde sur ses doigts pâles, il tire sa révérence sur un finite muet qui effacera leurs traces.
L'iris doré transperce celui de son père, il tend une main déterminée. On peut y aller.
(ishan reste décidé à suivre rajan + se fait joyeusement claquer au sol par xue, lui roule lowkey la pelle de sa vie (devant rajan)(oups) et lui dit au revoir de la manière la plus clichée qui soit + finite le sortilège d'empreintes au cas où
flashforward dans dix ans je veux le make-out auror!xue/hors-la-loi!ishan)
Ashe Hanagumori
Citation : Il est bon d'aimer le passé et les grands souvenirs, mais il ne faut jamais devenir le prisonnier de sa mémoire.
Age : 17 (12.01.81)
Rang : D3
Susanoo
Ashe Hanagumori
Te voilà au quai, Ashe. Il y en avait du monde, tes yeux se baladant dans la foule pour tenter de voir des visages connus. Pendant la route, ta blessure avait encore un peu saigné, les coutures n’étant pas des meilleures qualités. Mais ce n’est pas ça qui allait te tuer, tu avais connu pire même si ta mémoire et altérée. Heureusement que tu n’avais pas été seul pour arriver jusqu’ici car tu serais sûrement arrivé au milieu de la nuit d’une lenteur comparable à ta douleur.
Néanmoins, tu avais toujours ta petite fierté petit oiseau, tu ne voulais pas qu’on te voit accroché à quelqu’un et que les autres te prennent pour un faible, tu ne voulais pas qu’on connaisse la réalité alors tu avais lâché la personne qui t’avait aidé avant de vous montrer, un signe de la tête pour le remercier.
Et ce fut au milieu de la foule que tes yeux se mirent à nouveau à chercher, à voir si vous étiez là, si quelque chose ne vous étaient pas arrivés. Peut-être que c’est dans ce genre de situation au bord du gouffre qu’on réalise qu’on tient réellement à sa nouvelle famille, à ses amis.
Tu ne voulais pas à nouveau être seul, tu espérais que tout s’était bien passé pour Az’. Que ce que tu avais vu n’était pas la réalité, peut-être un plan ? Tu te mordis la lèvre inférieure car pour le moment, tu voyais au moins que Kyosuke et Sora étaient là. Mais où était tes autres colocataires ? Est-ce qu’ils allaient bien ?
Tu n’étais malheureusement pas en état de les aider. Ils font peut-être même partie de ceux que tu ne voulais pas qu’ils te voient dans cet état. Tu ne voulais pas être jugé et catégorisé en faible, Ashe. Mais tu ne rentrais pas dans le tram pour le moment, tu attendais…
Tu attendais simplement, la main se colorant de plus en plus en rouge. Ton uniforme aussi, mais tu attends… Tu pries intérieurement..
Néanmoins, tu avais toujours ta petite fierté petit oiseau, tu ne voulais pas qu’on te voit accroché à quelqu’un et que les autres te prennent pour un faible, tu ne voulais pas qu’on connaisse la réalité alors tu avais lâché la personne qui t’avait aidé avant de vous montrer, un signe de la tête pour le remercier.
Et ce fut au milieu de la foule que tes yeux se mirent à nouveau à chercher, à voir si vous étiez là, si quelque chose ne vous étaient pas arrivés. Peut-être que c’est dans ce genre de situation au bord du gouffre qu’on réalise qu’on tient réellement à sa nouvelle famille, à ses amis.
Tu ne voulais pas à nouveau être seul, tu espérais que tout s’était bien passé pour Az’. Que ce que tu avais vu n’était pas la réalité, peut-être un plan ? Tu te mordis la lèvre inférieure car pour le moment, tu voyais au moins que Kyosuke et Sora étaient là. Mais où était tes autres colocataires ? Est-ce qu’ils allaient bien ?
Tu n’étais malheureusement pas en état de les aider. Ils font peut-être même partie de ceux que tu ne voulais pas qu’ils te voient dans cet état. Tu ne voulais pas être jugé et catégorisé en faible, Ashe. Mais tu ne rentrais pas dans le tram pour le moment, tu attendais…
Tu attendais simplement, la main se colorant de plus en plus en rouge. Ton uniforme aussi, mais tu attends… Tu pries intérieurement..
Résumé : Ashe arrive au quai aidé par Yume qu'il remercie.
Il notice Sora et Kyosuke, mais n'ose pas s'approcher d'eux ne voulant pas les gêner et qu'on ne le prenne pas pour un faible.
Sa blessure a bien tâché son uniforme et sa main.
Il attend que certains arrivés priant qu'ils aillent bien et il flippe d'apprendre une mauvaise nouvelle.
Ritsuka Miura
Une recherche vaine. Un espoir était qu'il se trouvait déjà au quai. C'était une possibilité parmi tant d'autres...
Arrivé aux abords du quai, je scrutais les visages.
Pas là.
Je m'avançais et je continuais de chercher.
Pas là non plus.
Je me retournais et je me disais qu'il allait arriver.
Car il n'était pas là.
En revanche, j'avais aperçu Maiko proche de quelqu'un que je ne connaissais pas. Sans doute une des personnes venues nous aider. Et au vu de l'air de famille... Sans doute un frère ? Cependant, je ne m'approchais pas. Je détournais la tête. Elle était saine et sauve et c'était tout ce qu'il comptait, surtout maintenant que c'était terminé.
Et puis un visage familier. Pas celui que je cherchais au départ, mais un ami cher malgré tout. Je ne voulais pas non plus aller vers lui. Que devait-il penser de moi ? C'était comme si je l'avais trahis en partant du mauvais côté sans rien dire. Puis je vis la tache rouge qui maculait ses vêtements.
Je me retournais vers Eijirô qui m'accompagnait.
-Si tu le vois, préviens-moi s'il te plait. Je ferais de même, mais ... je dois aller voir les autres.
Après lui avoir dit cela, je dirigeais mes pas vers Ashe. Des pas rapides. Des foulées nerveuses.
-Ashe ! Il faut te soigner !
Tu saignes. C'était évident. Et de près, cela me semblait pire, sans doute car je n'étais pas habituer à voir des blessures. Mais il était debout, il était ici, donc c'est que la blessure n'était pas si grave, n'est-ce pas ? Pourquoi devenais-je aussi naïf d'un coup ?
Refus d'une certaine réalité.
Et puis les mots sortirent, en même tant que je m'offrais comme soutien pour lui. Ma voix trahissait mon inquiétude.
-Il t'est arrivé quoi ? Pourquoi tu ne m'as pas poursuivi ?
Si il avait ça, il y aurait eu une chance qu'il ne soit pas dans cet état maintenant ! Mais tout n'était à nouveau que possibilité...
-Je... Je dois avoir avoir une potion de soin... ça te soulagera un peu...
Je l'avais bien sur moi, non ? De ma main libre, je fouillais les poches de ma veste.
Arrivé aux abords du quai, je scrutais les visages.
Pas là.
Je m'avançais et je continuais de chercher.
Pas là non plus.
Je me retournais et je me disais qu'il allait arriver.
Car il n'était pas là.
En revanche, j'avais aperçu Maiko proche de quelqu'un que je ne connaissais pas. Sans doute une des personnes venues nous aider. Et au vu de l'air de famille... Sans doute un frère ? Cependant, je ne m'approchais pas. Je détournais la tête. Elle était saine et sauve et c'était tout ce qu'il comptait, surtout maintenant que c'était terminé.
Et puis un visage familier. Pas celui que je cherchais au départ, mais un ami cher malgré tout. Je ne voulais pas non plus aller vers lui. Que devait-il penser de moi ? C'était comme si je l'avais trahis en partant du mauvais côté sans rien dire. Puis je vis la tache rouge qui maculait ses vêtements.
Je me retournais vers Eijirô qui m'accompagnait.
-Si tu le vois, préviens-moi s'il te plait. Je ferais de même, mais ... je dois aller voir les autres.
Après lui avoir dit cela, je dirigeais mes pas vers Ashe. Des pas rapides. Des foulées nerveuses.
-Ashe ! Il faut te soigner !
Tu saignes. C'était évident. Et de près, cela me semblait pire, sans doute car je n'étais pas habituer à voir des blessures. Mais il était debout, il était ici, donc c'est que la blessure n'était pas si grave, n'est-ce pas ? Pourquoi devenais-je aussi naïf d'un coup ?
Refus d'une certaine réalité.
Et puis les mots sortirent, en même tant que je m'offrais comme soutien pour lui. Ma voix trahissait mon inquiétude.
-Il t'est arrivé quoi ? Pourquoi tu ne m'as pas poursuivi ?
Si il avait ça, il y aurait eu une chance qu'il ne soit pas dans cet état maintenant ! Mais tout n'était à nouveau que possibilité...
-Je... Je dois avoir avoir une potion de soin... ça te soulagera un peu...
Je l'avais bien sur moi, non ? De ma main libre, je fouillais les poches de ma veste.
Résumé : Arrive au quai. Voit les autres. Ne trouve pas Mika. Vois Ashe blessé. Demande à Eijiro de le prévenir si on trouve notre ami et dit qu'il fera de même. Va voir Ashe, le soutient, propose une potion de soin.
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