— MAHOUTOKORO
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le deal à ne pas rater :
Réassort du coffret Pokémon 151 Électhor-ex : où l’acheter ?
Voir le deal

He would dance with his ghosts // Tsuchigumo
Yori Hayashi
He would dance with his ghosts // Tsuchigumo 190204091233391372
Citation : All is lost again but i'm not giving up
Age : 19 (16 mars)
Orochi
Orochi
Yori Hayashi
https://mahoutokoro.forumactif.com/t85-yori-hayashi-desenchante
https://mahoutokoro.forumactif.com/t287-poker-face-yori
Yori Hayashi


He would dance with his ghostsSo am I still waiting
For this world to stop haiting ?
Can't find a good reason
Can't find hope to believe in— Still waiting // Sum 41

Ignorance and Understending
We're the first ones to jump in line
Out of step for what we believe in
But who's left ? To start the pleading
Pour la première fois, tu ne te sens pas impatient de voir les vacances se terminés. Surement parce que, pour la première fois, tu n’es pas rentré chez toi. C’était un peu étrange, de te trouver à Mahoutokoro durant une période où il n’y a pas de cours – mais comme tu en as passé une grosse partie à la bibliothèque, à faire des recherches, tu ne l’as pas tant passé à te reposer. C’était surtout étrange de retrouver une salle commune aussi vide, contrairement à d’habitude. Tu t’y es pourtant rapidement habitué et, à cette heure-ci, c’est l’inverse qui te perturbe.

Le tramway est arrivé en fin d’après-midi, ramenant avec lui les élèves absents durant le mois d’aout. Amenant, avec eux, les premières nouvelles de la journée : le changement de chambre imminent. Toi qui te trouvais dans la salle commune à ce moment-là, l’origami t’as fais l’effet d’être mis à la porte.
Bouge tes affaires, Yori, on ne te demande même pas ton avis. Si une silhouette était venu vous annoncer la nouvelle, plutôt que de vous l’envoyer par origami, tu te serais insurger comme au mois de février.

Quel bordel.

C’est une phrase qui résume aussi bien ce que tu penses que tout ça que de ce qu’il se passe dans les dortoirs ce soir-là : en effet, tout le monde se retrouve à chercher sa chambre et à essayer de s’y accommoder. Malgré tout, une fois le couvre-feu arrivé et les derniers retardataires rentrés, tu quittes le coin dans lequel tu observais tout ce petit monde pour rejoindre le centre de la salle.

« C’est bon, tout le monde est là ? »

Tu l’as prononcé suffisamment fort pour te faire entendre. Tu t’installes dans un fauteuil qui surplombe la pièce, dans le même temps, regardant chaque personne tour à tour.

« Pour ceux qui sont encore dans les chambres, dites-leur de venir ou non, ça m’est égal. Je ne vais pas m’attarder. Je sais que tout le monde est perturbé par le changement dans le dortoir et aussi surement par ce qu’il s’est passé avant les vacances. Mon rôle de préfet m’oblige à vous dire que si vous avez besoin de parler à quelqu’un, vous pouvez venir me trouve. Après, autant vous dire que si vous ne venez pas, ce n’est pas moi qui irais m’en plaindre. »

Au moins, c’est clair. Tu n’as pas spécialement l’envie de faire de te jouer psychologue, même si la votre à finalement choisi de foutre le camp – ce qui n’est peut-être pas plus mal ; pour toi, du moins.

« En attendant, si vous voulez discuter maintenant des événements, je suis disposé à vous répondre. »
Invité
Invité
Invité
Anonymous
HE WOULD DANCE WITH HIS GHOSTS
Tes vacances avaient été pourries. Tes parents, habituellement distants, avaient été sur ton dos pendant toutes tes vacances. Et si c'était quelque chose que tu aurais adoré plus jeune, ce n'était pas forcément le cas désormais. Oui oui, les évènements avaient été tragiques, et oui, tu n'étais pas horrible, tu savais qu'ils avaient été horribles et tragiques, et que ça sonnait le début de quelque chose que personne n'avait vraiment envie de comprendre.

Mais quand même.

L'arrivée à Mahoutokoro avait été aussi habituelle que d'habitude, si ce n'était le changement de chambre que l'on vous avez annoncé par origami. Il n'allait pas faire le déplacement lui-même, il l'avait déjà fait aux dernières vacances, et ça n'avait arrangé personne. Arrivée dans la salle commune, tu t'étais laissé tomber telle une masse dans un des canapés, ta valise non loin de toi. Tu n'avais pas envie d'avoir les allers/retours des autres. Tu irais déposer et ranger tes affaires une fois que tout le monde aurait fait le remue-ménage.

Pourtant, ce n'est pas ce que ton préfet décide. Il a de la constance, Hayashi, il fallait bien le lui accorder. D'un parce qu'être préfet n'était pas une sinécure ((tu ne savais toujours pas comment Rin était parvenu à l'être, sûrement une folie du directeur)). Et de deux, parce que les Tsuchigumo étaient pas faciles à gérer. Tous avec un ego plus surdimensionné l'un que l'autre. Mais des fois, tu te demandais vraiment pourquoi il l'était, préfet, tellement il se donnait l'air distant. C'était sûrement ça le secret, ce n'était qu'un air.

Un soupir t'échappe et tu t'enfonces un peu plus dans le dossier du canapé. Ça va être une longue soirée.

hrp : ce rp était avec Sawa et non pas avec Takehiko
Nanami Asakura
He would dance with his ghosts // Tsuchigumo TuBwlXw
Citation : elle monte dans la fièvre et j'ai cramé tous ses rêves
Age : 20 ans
Rang : 82
Ryujin
Ryujin
Nanami Asakura
https://mahoutokoro.forumactif.com/t326-n-a-n-a-m-i
https://mahoutokoro.forumactif.com/t426-o-n-a-n-a-m-i
Nanami Asakura

I was walking with a ghost,
And I said please, please don't insist

Musique — Enfermée, les écouteurs dans les oreilles, les yeux rivés sur la page blanche de son journal, toujours vierge. Le coeur serré et le teint pâle, elle essaye Nanami, de ne pas se laisser sombrer ; les derniers événements sont effectivement, durs à encaisser. Il y a quelqu'un qui tape à la porte, mais aucune envie de répondre présente. Elle se contente de se recroquevillé un peu plus sur son lit, avant de voir quelqu'un entrer dans son antre. Ce n'est pas sa nouvelle et seule colocataire - non. C'est une tête inconnue au bataillon… Depuis quand ne reconnaissait-elle pas les gens qu'elle fréquentait depuis maintenant plus de dix ans ? Secouant la tête et desserrant son emprise sur ses genoux, elle retire son écouteur, écoute la raison d'un tel dérangement.

Yori demande un rassemblement.
Rien que ça…
Une main dans sa chevelure désormais blonde depuis le début des vacances, elle s'échappe de son lit, referme son journal sur lequel elle n'arrive pas à s'exprimer et attrape de quoi se changer. Dégaine annonçant sa flemme, sa peine. C'est un jogging large noir qu'elle enfile, un pull bien trop grand pour elle et des chaussettes confortable. Attachant sa tignasse en descendant les escaliers, elle est ainsi confrontée à la triste réalité. Il y a des expressions du visages qui ne trompe pas. Si les Tsuchigumo sont doués pour être doté d'une arrogance sans faille, ils n'en demeurent pas moins des êtres curieux et facilement en proie à leur sentiments ((même les plus profonds ; inavouables.))

Se massant l'épaule, elle constate encore une fois, l'absence de celui qui a été son meilleur ami… Zeno n'est plus là. Zeno a disparu. Et cet endroit qu'elle considérait comme sa maison, la rend plus seule que jamais. Personne ne s'est inquiété de sa disparition. Personne ne sait où il est passé. Juste qu'il s'est envolé. Profond soupir, c'est de plus en plus dur de tenir. Elle écoute les mots lâchés par celui qu'elle a autrefois, tant aimé. Avant de soupirer bruyamment et de s'adosser dans l'encadrement de l'escalier menant aux dortoirs. « C'est ton rôle Yori, d'écouter ceux qui en ont besoin. Si cela te fatigue ou ne te conviens plus, alors rend l'insigne de préfet. Mais ne le fait pas subir aux autres. » Cela sort tout seul. Nanami est ainsi, trop franche, trop honnête ; elle a besoin de l'être, pour évacuer sa peine. « On a vécu un drame bon sang. Encore. Ce n'est pas le premier, ça ne sera pas le dernier. Je pense que tous, ici présent, se fout pas mal de cette histoire de dortoir… »

L'inquiétude qu'elle garde au fond d'elle s'échappe peu à peu. Son coeur tambourine avec véhémence dans sa cage thoracique, furibond, il ne demande qu'à sortir - comme les mots qui s'agglutines, comme ses larmes qui ne demandent qu'à fuir. « Est-ce qu'on est vraiment en sécurité ici ? J'en ai pas l'impression. » Quittant son dossier et marchant en trainant des pieds, preuve de sa fatigue, elle avance, lentement, avant de lâcher en posant ses fesses sur l'un des accoudoirs d'un fauteuil. « Toi, Yori. T'en penses quoi des événements ? »

Autant savoir, ce que toi, tu penses - n'est tu pas, également, un peu à cran ?

hrp : bonjour je dépose mes couilles sur la table ptdr

Kazami Hayashi
Merci de ne pas supprimer l'icône au risque de casser les profils
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 16
Rang : D4
Orochi
Orochi
Kazami Hayashi
https://mahoutokoro.forumactif.com/t506-un-objet-parmi-les-humains-kazami-hayashi
https://mahoutokoro.forumactif.com/t520-petit-papier-kazami
Kazami Hayashi
Tu avais eu de la chance, de pouvoir changer de chambre avant que tout les autres arrive, donc maintenant installer tu vois ton aîné prendre la parole.

Tu écoute sans plus Kazami puisque tu n'a pas à te plaindre de tes camarades de chambre : Akina Minami et Eirin Fujiwara, même si ta relation avec Minami est un peu spécial , tu n'as rien à dire sur Fujiwara, tant qu'elle te laisse en paix ça te fait, tu ne fera rien de ton côté pour les déranger.

Tu continue d'écouter les messe basse avant de te concentrer les parole de Asakura, que tu trouve sacrément courage de parler des événements que surement beaucoup de personne veulent oublier, même si de ton côté Kazami cela te touche peu, tu sais que Yori n'étais pas seul quand il s'est fait « attaqué » que ce soit dans la grande salle ou bien à l'infirmerie, tu n'as pas eu besoin de t’inquiéter.

Pour Nael non plus, il n'a pas besoin de toi pour le plaindre, il a du voir sa chère mère qui l'a consolé tout l'été de la perte de son camarade Kitsune.

Tu aimerais dire quelque chose toi aussi Kazami sauf que dans le fond, caché par d'autres tsuchigumo, tu reste de marbre face à tout cela, parce que tu ne sais pas comment réagir, ta tête est embrouillé par tout cela et ton cœur ne sait pas quel émotion mettre dessus donc autant rester silencieuse et voir comme cela se passe.
Invité
Invité
Invité
Anonymous
He would dance with his ghosts

Jun
& Co

100%
Tsuchi


Au-milieu de tout ça : Jun.

Jun qui a habilement évité de se rendre chez ses grands-parents paternels pendant les vacances, sous prétexte d'une soudaine passion pour ses cours de sorciers ; et bien que son rôle d'élève assidue et intéressée n'ait trompé aucun des vieux croûtons de sa famille, aucun d'entre eux, n'aller cracher sur l'occasion de la laisser plongée dans un monde de sorciers sans qu'en prime elle ne vienne leur casser les pieds avec son mauvais caractère. C'était le beurre et l'argent du beurre, ils n'en demandaient pas tant.

Ils auraient sûrement du insister plus pour qu'elle sorte de cet endroit. lls ne savaient pas que l'école allait se transformer en décor de film d'horreur. Des drames. Et pour conclure tout ça, les changements de chambres annoncés par origami.
Et qu'elle s'en fout Jun de ce changement de chambre. Au revoir anciennes colocs avec qui elle n'a jamais noué une amitié. Bonjour nouvelles colocs avec qui elle ne fera sûrement pas l'effort de nouer une amitié.

Qu'elle s'en fout Jun. Des événements, des chambres et du rassemblement demandé par leur cher préfet. Comme si elle avait que ça à faire de se retrouver avec pleins de Tsuchi perdus et déprimés. Pas top comme ambiance.

Et donc, on en revient à ce qui a été dit au début ; au-milieu de tout ça : Jun.

Le prefet qui parle, qui parle. Elle n'entend que d'une oreille. Elle s'en fout. Rien ne l'atteint, elle, de toutes manières. Ou c'est ce qu'elle laisse penser. Au fond, elle veut savoir pourquoi elle a l'impression que ça ne la touche pas autant que ça le devrait. Les rumeurs seraient donc vrai ? Elle n'a pas de coeur ? Non, elle y croit pas une seconde. Elle est sûre d'avoir des sentiments, bien cachés, tout au fond. Y a juste pas eu le bon élément déclencheur pour les faire sortir.

Elle regarde autour d'elle, et le préfet continue de parler, montrant peu de motivation à devenir le psy de toutes ces mines tristounettes. Elle les envie un peu de pouvoir afficher ces têtes d'enterrement d'ailleurs, alors elle essaye aussi. Pendant quelques secondes en tout cas. Jusqu'à l'intervention d'une blondinette qui se montre un peu cassante avec leur préfet d'amour. Et là, Jun ne peut s'en empêcher. Elle lâche un "AH" presque moqueur qu'elle tente de ravaler, mais c'est trop tard, il résonne déjà.

Tant pis. Elle espère désormais mettre de l'huile sur le feu, qu'au lieu de visages gris on passe à des visages rouge de colère. Un peu de couleur dans tout ça, ça ferait pas de mal. Mais c'est un échec. Ils vont commencer à vraiment échanger sur ce qu'ils pensent de la situation.

Barbant.

Et c'est sûrement pas ce dont ils ont tous besoin.

- J'suis d'accord avec Blondie, elle pointe Yori du doigt, Ta manière de dire les choses, ça me donnerait pas envie de venir tout te déballer, si j'en avais besoin. Alors j'imagine même pas ceux qui ont vraiment envie de pleurer sur ton épaule. Si t'as pas envie d'assumer la corvée, bah dégage.

Oups. Elle se dit que ce qu'elle vient de lancer, c'est sûrement pas ce dont ils ont tous besoin non plus, mais elle ne s'arrête pas, regardant Nanami et d'autres élèves autour d'elle, juste avant d'hausser les épaules.

- Bien sûr que non on est pas en sécurité ici. Vous vous êtes déjà sentis en sécurité vous ? Bah pas moi. Après, j'suis pas objective vous m'direz, elle ajoute tout bas, J'ai jamais aimé cet endroit. Et j'ai eu raison visiblement.



Yori Hayashi
He would dance with his ghosts // Tsuchigumo 190204091233391372
Citation : All is lost again but i'm not giving up
Age : 19 (16 mars)
Orochi
Orochi
Yori Hayashi
https://mahoutokoro.forumactif.com/t85-yori-hayashi-desenchante
https://mahoutokoro.forumactif.com/t287-poker-face-yori
Yori Hayashi


He would dance with his ghostsSo am I still waiting
For this world to stop haiting ?
Can't find a good reason
Can't find hope to believe in— Still waiting // Sum 41

Ignorance and Understending
We're the first ones to jump in line
Out of step for what we believe in
But who's left ? To start the pleading
Ce rassemblement n'en porte que le nom et que la présence physique des Tsuchigumo acceptant de s'y montrer – à défaut d’y participer. 

Ce genre d’idée ne peut pas plaire à tout le monde, tu le savais d’avance – tout comme ton comportement ; tu te rends bien compte que ton entré en matière ne doit pas donner particulièrement envie de s’y intéresser, sauf peut-être pour te la reprocher. Nanami ne manque pas de le faire, d’ailleurs, rapidement renchérie par Ono.

Tu arrives parfois à oublier que les araignées dans vos rangs ne sont pas toutes des prédatrices solitaires et que certaines peuvent espérer un certain soutien : en l’occurrence, il y a ton premier amour, se languissant d’un ami disparu. Et pourtant, c’est elle qui te montre les crocs en première.

« Je vais mettre cette attaque sur le compte de ta mauvaise humeur, Nanami. »

Tu mérites sûrement les critiques, honnêtement, loin d’être le gentil préfet parfait. Néanmoins, face à celles qui te sont lancées, tu restes de marbre, passant ton regard de l’une à l’autre des deux filles ayant lancées la confrontation, avec autant d'imperméabilité.

« Mon rôle consiste à faire le lien entre le corps enseignant et vous, à veiller sur le respect du règlement et, certes, à vous apporter mon aide. Ça ne fait pas de moi votre psychologue, ni votre baby-sitter – quoi que, d’une certaine manière… Mais si vous avez des réclamations à faire quant à mon statut de préfet, allez vous en plaindre au professeur Ito. »

Tu laisses place à la lassitude dans ta réponse : combien de fois tu auras entendu – et entendra encore, certainement – les interrogations quant à ce rôle qu’on t’a incombé. Quel que soit leur sentiment d’injuste ou de démérite, pour le moment, ils sont coincés avec toi. Tu pourrais presque te satisfaire que ça ne leur plaise pas. Pour certains, du moins, parce que Nanami pourrait presque parvenir à te blesser – et le "presque" ne tient qu’à ta seule fierté.

Est-ce qu’on est vraiment en sécurité ici? Elles ont beau dire, ce sont finalement elles qui abordent les sujets les plus intéressants, sans que tu n’aies besoin de plus d’effort pour les faire parler. Car il s’agit sûrement de la question se trouvant sur toutes les lèvres depuis plusieurs semaines – et même depuis plus longtemps, pour les plus prudents, soucieux ou paranoïaques. Une source d’inquiétude devenue d’autant plus sérieuse depuis la mort d’un élève.

Tu laisses d’abord Jun s’exprimer, avant de reprendre parole.

« Tu n’es pas objective, en effet. Ceci dit, ce que moi j’en pense, c’est que nous ne le sommes plus, effectivement. Il se trame des choses au Japon, je ne sais pas exactement quoi, mais l’école est touchée elle aussi. Je dirais même que nous sommes visés. Et que, visiblement, nous avons déjà été infiltré, sinon il n’y aurait pas eu d’attaques dans l’enceinte même de l’île – je ne mets pas de côté la probabilité que des élèves eux-mêmes, voir des adultes, soient dans le coup. »

Eh bien, voilà qui va mettre une bonne ambiance, mais au point où vous en êtes, autant continuer à la gâcher. Tu n’avais, de toute façon, pas compté les ménager sur le sujet. Il y avait eu un mort et plusieurs blessés. Sans parler des attaques de Kyoto.

« Tout ce que je peux vous conseiller, c’est d’être prudent. De ne faire confiance qu’en ceux dont vous êtes sûr de pouvoir le faire ; ce qui ne vous met, évidemment, pas à l’abri des mauvais jugements. D’éviter de rester seul trop souvent et de ne pas prendre de risque stupide. D’ailleurs, je serai intransigeant concernant les balades nocturnes. Gardez en tête que mon propre couvre-feu s’étend jusque bien plus tard que le vôtre et que j’ai le sommeil plutôt léger. »

Je vous surveille, voilà ce que ça veut signifier. C’est une menace que tes propres écarts foutent plus ou moins en l’air – tu ne pourras surveiller personne, si tu passes ton propre temps à droite et à gauche, et si tu te laisses déconcentrer par d’autres sujets.

Néanmoins, tu te sais capable d’y veiller.
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé