à la recherche de Panpan // rin
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à la recherche de panpan
feat. rin
Moins d'une minute. C'est ce qu'il avait fallu à Panpan pour se glisser entre tes jambes quand tu entrais dans le dortoir, partant dans la salle commune et, évidemment, parce que tu avais énormément de chance, Kiyoshi, il avait réussi à s'éclipser hors de la salle commune aussi. Alors tu avais déposé ton sac, le lâchant en plein milieu de la chambre, courant derrière Panpan qui gambadait à droite et à gauche. Et ton chat, malgré son âge, courait vite quand il voulait t'échapper.
Il était passé entre les jambes de plusieurs élèves qui avaient tenté de l'attraper, mais ton chat était un emmerdeur de première et il avait réussi à accélérer. Et il avait cavalé, si vite, montant les marches du quatrième, puis du cinquième étage et, évidemment, évidemment il avait décidé d'avancer droit devant, dépassant les bureaux des professeurs, entrant sans aucune hésitation dans le couloir sans fin.
Et toi, tu t'étais arrêté là, hésitant un instant à y pénétrer.
Et tu y es toujours, devant cette porte ouverte qui mène à ce couloir sans fin.
« Panpan ! Reviens, Panpan ! »
Ta voix ne porte pas assez loin, et tu ne vois même pas la silhouette de ton chat. Chat que tu vas éviscérer quand il va revenir la queue entre les jambes, demandant à manger et des câlins. Tu te mordilles la lèvre inférieure avant de te lancer, pénétrant dans le couloir sans fin en espérant ne pas y rester une éternité.
Il était passé entre les jambes de plusieurs élèves qui avaient tenté de l'attraper, mais ton chat était un emmerdeur de première et il avait réussi à accélérer. Et il avait cavalé, si vite, montant les marches du quatrième, puis du cinquième étage et, évidemment, évidemment il avait décidé d'avancer droit devant, dépassant les bureaux des professeurs, entrant sans aucune hésitation dans le couloir sans fin.
Et toi, tu t'étais arrêté là, hésitant un instant à y pénétrer.
Et tu y es toujours, devant cette porte ouverte qui mène à ce couloir sans fin.
« Panpan ! Reviens, Panpan ! »
Ta voix ne porte pas assez loin, et tu ne vois même pas la silhouette de ton chat. Chat que tu vas éviscérer quand il va revenir la queue entre les jambes, demandant à manger et des câlins. Tu te mordilles la lèvre inférieure avant de te lancer, pénétrant dans le couloir sans fin en espérant ne pas y rester une éternité.
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Ce que t'aimes bien dans les couloirs de l'école, c'est que quand tu cours et qu'il y a pas grand monde, tu peux entendre le "tac tac" de tes pas. Du coup t'es pas loin d'avoir l'impression d'être comme Krillin et Gohan dans les couloirs du vaisseau de Freezer, à la recherche d'un truc important. En même temps, t'es le personnage principal de l'histoire, pas vrai ? Et vu que t'es le personnage principal, tu vas sûrement vivre une péripétie. Et grâce à toi, les Kitsune pourront récupérer des points. Et tout le monde t'aimera encore un peu plus qu'avant. Mais il ne faut pas que ça dure trop longtemps, parce que tu as entraînement de Quidditch.
"CHA-LA HEAD CHA-LA"
Tu chantonnes presque à tue-tête en courant dans les couloirs. Ta bonne humeur naturelle apportant la mélodie aux douces oreilles des quelques élèves qui traînaient encore au 5ème étage. Du moins, jusqu'à ce que tu entendes un appel à l'aide ! Quelqu'un a perdu Panpan. Tu n'as aucune idée de ce qu'est Panpan, mais tu te dois d'aider l'inconnu. Tu rentres dans le couloir sans fin -drôle de nom, d'ailleurs. T'y a jamais mis les pieds- et tu tapes sur l'épaule de l'élève de dixième année.
"T'en fais pas, Senpai. Je vais retrouver Panpan !"
Tu l'as appelé Senpai parce que t'es un kikoojap. Même si tu sais pas ce que c'est, et que de toute façon, t'es japonais. C'est juste parce que ton écrivain a envie de s'amuser. Tu te mets à courir dans la direction prise par Panpan, qu'elle soit dans les airs ou sur la terre.
"PANPAN. PANPAN. PANPAN. PANPAN. T'ES OU ?"
Si tu t'y prends comme ça, il y a de fortes chances que Panpan se jette par la fenêtre. Faudrait peut être faire gaffe.
"CHA-LA HEAD CHA-LA"
Tu chantonnes presque à tue-tête en courant dans les couloirs. Ta bonne humeur naturelle apportant la mélodie aux douces oreilles des quelques élèves qui traînaient encore au 5ème étage. Du moins, jusqu'à ce que tu entendes un appel à l'aide ! Quelqu'un a perdu Panpan. Tu n'as aucune idée de ce qu'est Panpan, mais tu te dois d'aider l'inconnu. Tu rentres dans le couloir sans fin -drôle de nom, d'ailleurs. T'y a jamais mis les pieds- et tu tapes sur l'épaule de l'élève de dixième année.
"T'en fais pas, Senpai. Je vais retrouver Panpan !"
Tu l'as appelé Senpai parce que t'es un kikoojap. Même si tu sais pas ce que c'est, et que de toute façon, t'es japonais. C'est juste parce que ton écrivain a envie de s'amuser. Tu te mets à courir dans la direction prise par Panpan, qu'elle soit dans les airs ou sur la terre.
"PANPAN. PANPAN. PANPAN. PANPAN. T'ES OU ?"
Si tu t'y prends comme ça, il y a de fortes chances que Panpan se jette par la fenêtre. Faudrait peut être faire gaffe.
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Tu sursautes quand une main vient frapper ton épaule, et tu te tournes pour faire face à un adolescent qui a à peine moins d'un an de moins que toi, mais sincèrement, t'as l'impression qu'il a dix ans, pas plus. Tu restes interloqué un moment. Senpai ? Tes yeux papillonnent et tu restes là, bras ballants, sans bouger pendant quelques secondes alors que le gosse se met à courir et à gueuler comme un con. Et pendant un moment, tes propres pensées te surprennent. T'es pas du genre à insulter les gens, Kiyoshi, mais il va faire fuir ton chat, s'il continue comme ça, et c'et quelque chose que tu ne peux pas permettre !
Comme piqué par un taon, tu te redresses vivement et te mets à courir derrière lui, toi, courir, lui attrapant le bras dès que tu arrives à sa hauteur. Déjà essoufflé par le peu de course que tu viens de faire, tu t'arrêtes et l'arrêtes en même temps, tenant peut-être un peu trop fermement ce bras dans ta main froide.
« Hé, tu vas le faire fuir comme ça ! T'es pas bien de hurler comme un malade ?! »
Finalement, y'a pas grand chose qui te font sortir de tes gonds, Kiyoshi ; Panpan est juste quelque chose que l'on ne doit pas toucher, parce qu'il est si important pour toi que tu ne sais pas ce que tu ferais sans lui, sérieusement. Et le couloir sans fin, faut pas être idiot pour savoir ce qu'il se passe si on continue d'avancer des heures et des heures dans le vide. Le retour n'en sera que plus compliqué et plus dur.
Sincèrement, tu peux survivre, et dans le pire des cas, appeler les professeurs à l'aide avec un patronus. Mais Panpan ? Pas sûr qu'il survive très longtemps et qu'il soit assez intelligent pour faire demi-tour. Pas que tu n'as pas confiance en lui, non, tu sais surtout que ton chat est un gros flemmard et que tu l'as tellement habitué à aller le chercher à chaque fois qu'il partait, qu'il va sûrement t'attendre allongé quelque part dans le couloir au bout d'un moment.
Tu te racles la gorge, te rendant compte soudainement du bras que tu tiens. Ton regard s'arrête sur l'insigne de sa robe, et ça ne t'étonne pas vraiment que ce soit un Kitsune qui soit partie tête baissée. Un soupir t'échappe et tu le lâches.
« Juste... ne crie pas, tu vas lui faire peur. »
Et peut-être que tu devrais le remercier, aussi. Mais ça, tu ne sais pas encore bien faire, Kiyoshi, alors tu te contentes de te taire, et de reprendre la marche, le nom de Panpan s'échappant de tes lèvres de temps en temps.
Comme piqué par un taon, tu te redresses vivement et te mets à courir derrière lui, toi, courir, lui attrapant le bras dès que tu arrives à sa hauteur. Déjà essoufflé par le peu de course que tu viens de faire, tu t'arrêtes et l'arrêtes en même temps, tenant peut-être un peu trop fermement ce bras dans ta main froide.
« Hé, tu vas le faire fuir comme ça ! T'es pas bien de hurler comme un malade ?! »
Finalement, y'a pas grand chose qui te font sortir de tes gonds, Kiyoshi ; Panpan est juste quelque chose que l'on ne doit pas toucher, parce qu'il est si important pour toi que tu ne sais pas ce que tu ferais sans lui, sérieusement. Et le couloir sans fin, faut pas être idiot pour savoir ce qu'il se passe si on continue d'avancer des heures et des heures dans le vide. Le retour n'en sera que plus compliqué et plus dur.
Sincèrement, tu peux survivre, et dans le pire des cas, appeler les professeurs à l'aide avec un patronus. Mais Panpan ? Pas sûr qu'il survive très longtemps et qu'il soit assez intelligent pour faire demi-tour. Pas que tu n'as pas confiance en lui, non, tu sais surtout que ton chat est un gros flemmard et que tu l'as tellement habitué à aller le chercher à chaque fois qu'il partait, qu'il va sûrement t'attendre allongé quelque part dans le couloir au bout d'un moment.
Tu te racles la gorge, te rendant compte soudainement du bras que tu tiens. Ton regard s'arrête sur l'insigne de sa robe, et ça ne t'étonne pas vraiment que ce soit un Kitsune qui soit partie tête baissée. Un soupir t'échappe et tu le lâches.
« Juste... ne crie pas, tu vas lui faire peur. »
Et peut-être que tu devrais le remercier, aussi. Mais ça, tu ne sais pas encore bien faire, Kiyoshi, alors tu te contentes de te taire, et de reprendre la marche, le nom de Panpan s'échappant de tes lèvres de temps en temps.
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L'inconnu te rattrape. On dirait que c'est pas une si bonne idée que ça de courir après un chat. C'est vrai qu'en même temps, si tu faisais ça à ton chat, il partirait en courant. Ou alors il se cacherait le temps que tu le dépasses. Heureusement, tu fais jamais ça à ton chat. T'es pas bête, eh.
"Okay, okay ! Pardon !"
Tu hausses les épaules. Tu continues à avancer pour chercher le chat. Tu fais moins de bruit, mais tu ne t'arrêtes quand même pas de parler.
"Tu sais, on devrait pouvoir le retrouver facilement. Si j'avais su, j'aurais ramené Fluffybutt. C'est mon chat. Il est vraiment super sociable ! Encore plus avec les autres chats. Les chouettes et les chauve-souris ont du mal avec lui. Sûrement l'instinct de chasseur."
Tu jettes un coup d'oeil à l'inconnu. C'est un bleu. T'arrives pas à retenir le nom des maisons. Tout ce que tu sais, c'est que c'est pas un Kitsune.
"Panpan ! Si tu viens je t'offrirais des croquettes magiques !"
Tu te tournes vers l'inconnu. Il a peut être jamais entendu parler de croquettes magiques. Toi, t'adores ça. Enfin, t'en manges pas, hein. Tu laisses juste Fluffybutt jouer avec.
"C'est des poissons qui sautillent. Enfin, c'est des gâteaux, hein. Mais en forme de poisson. Et ils sautillent."
Vous retrouverez probablement jamais Panpan.
"Okay, okay ! Pardon !"
Tu hausses les épaules. Tu continues à avancer pour chercher le chat. Tu fais moins de bruit, mais tu ne t'arrêtes quand même pas de parler.
"Tu sais, on devrait pouvoir le retrouver facilement. Si j'avais su, j'aurais ramené Fluffybutt. C'est mon chat. Il est vraiment super sociable ! Encore plus avec les autres chats. Les chouettes et les chauve-souris ont du mal avec lui. Sûrement l'instinct de chasseur."
Tu jettes un coup d'oeil à l'inconnu. C'est un bleu. T'arrives pas à retenir le nom des maisons. Tout ce que tu sais, c'est que c'est pas un Kitsune.
"Panpan ! Si tu viens je t'offrirais des croquettes magiques !"
Tu te tournes vers l'inconnu. Il a peut être jamais entendu parler de croquettes magiques. Toi, t'adores ça. Enfin, t'en manges pas, hein. Tu laisses juste Fluffybutt jouer avec.
"C'est des poissons qui sautillent. Enfin, c'est des gâteaux, hein. Mais en forme de poisson. Et ils sautillent."
Vous retrouverez probablement jamais Panpan.
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Toi qui aimes le silence, tu n'es pas très bien servi avec l'autre adolescent qui parle, parle, parle encore et toujours sans jamais s'arrêter. Ton regard vagabonde de droite à gauche et de gauche à droite, glissant sur les murs, les rebords des fenêtres et tous les endroits où Panpan pourrait se cacher ou se poser après une cavalcade dans les couloirs.
Et il parle, parle parle, et dans un soupir, ta voix s'échappe de tes lèvres à demi-closes :
« Tel maître, tel chat. »
Il te semble... gentil, mais beaucoup trop... pile électrique pour toi. Mais tu lui souris quand même, un léger petit sourire quand il se tourne vers toi, quand il te parle des croquettes magiques. Et tu hoches la tête doucement. Tu voudrais lui dire d'arrêter de parler, mais tu ne sais pas trop comment le faire sans le vexer, alors tu restes silencieux, appelant de nouveau Panpan, lui demandant de revenir.
Mais pas de Panpan à l'horizon.
Ni même un petit miaulement.
Jusqu'à ce que tu aperçoives sa fourrure rousse étirée vers un tableau, comme s'il voulait attraper ce qu'il y avait à l'intérieur.
« Panpan ! Viens ici ! »
Ses oreilles frémissent, mais il reste là, à miauler contre le tableau et tu te dépêches de le récupérer, l'attrapant dans tes bras et le gardant contre toi.
« Ne pars plus comme ça ! Idiot ! »
Et pourtant, un grand sourire vient barrer ton visage.
Et il parle, parle parle, et dans un soupir, ta voix s'échappe de tes lèvres à demi-closes :
« Tel maître, tel chat. »
Il te semble... gentil, mais beaucoup trop... pile électrique pour toi. Mais tu lui souris quand même, un léger petit sourire quand il se tourne vers toi, quand il te parle des croquettes magiques. Et tu hoches la tête doucement. Tu voudrais lui dire d'arrêter de parler, mais tu ne sais pas trop comment le faire sans le vexer, alors tu restes silencieux, appelant de nouveau Panpan, lui demandant de revenir.
Mais pas de Panpan à l'horizon.
Ni même un petit miaulement.
Jusqu'à ce que tu aperçoives sa fourrure rousse étirée vers un tableau, comme s'il voulait attraper ce qu'il y avait à l'intérieur.
« Panpan ! Viens ici ! »
Ses oreilles frémissent, mais il reste là, à miauler contre le tableau et tu te dépêches de le récupérer, l'attrapant dans tes bras et le gardant contre toi.
« Ne pars plus comme ça ! Idiot ! »
Et pourtant, un grand sourire vient barrer ton visage.
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T'aimes bien le monsieur qui a perdu son chat, même si il a perdu son chat. En plus il arrive à t'écouter et il fait des blagues plutôt drôle, du coup t'es assez content de ta rencontre. Tu cherches Panpan derrière les plantes, mais t'arrives pas à le trouver. Est-ce que vous l'avez perdu pour toujours ? Tu espères pas. Parce que ça rendrait triste l'inconnu. Sauf que le monde est sauvé, parce qu'il vient de trouver son chat. OH. UN CHAT ROUX. Tu aimes beaucoup le Orange, du coup tu l'aimes bien. Et tu vois que l'inconnu il est super content parce qu'il sourit. Du coup tu lui souris aussi et tu tapotes son épaule, par fierté.
"On a retrouvé Panpan!"
Tu cries pas, cette fois. Parce que t'as compris que crier ça fait partir Panpan et que tu veux pas faire partir Panpan. Du coup tu restes aussi calme que tu peux.
"On peut quitter le couloir sans fin sans mourir, du coup. C'est quand même une nouvelle plutôt relaxante."
C'est vrai ! Vous faites demi tour et tu reprends la marche. Tu prends le lead, parce que t'es le roi des explorateurs.
"J'ai pas eu le temps de me présenter ! Je suis Rin Ichiari. Je suis en neuvième année. Et toi ?"
"On a retrouvé Panpan!"
Tu cries pas, cette fois. Parce que t'as compris que crier ça fait partir Panpan et que tu veux pas faire partir Panpan. Du coup tu restes aussi calme que tu peux.
"On peut quitter le couloir sans fin sans mourir, du coup. C'est quand même une nouvelle plutôt relaxante."
C'est vrai ! Vous faites demi tour et tu reprends la marche. Tu prends le lead, parce que t'es le roi des explorateurs.
"J'ai pas eu le temps de me présenter ! Je suis Rin Ichiari. Je suis en neuvième année. Et toi ?"
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Il te tapote l'épaule, te souriant de toutes ses dents, heureux comme s'il venait d'avoir la meilleure nouvelle de sa vie, et sa voix atteint tes oreilles avec un calme qu'il n'a pas eu depuis le début de votre recherche. Tu restes toutefois silencieux, gardant Panpan bien serré dans tes bras. Le voilà qu'il te propose de quitter le couloir, et tu te sens soulagé par la proposition, maintenant que tu te rends compte qu'il va vous falloir beaucoup de temps pour revenir.
Vous reprenez le sens inverse, et le voilà un peu devant toi, prenant la tête comme s'il s'agissait de la plus grande expédition. Vous ne faisiez que retourner sur vos pas, pourtant. Il se présente et tu relèves la tête vers lui, l'observant avec un haussement de sourcils surpris. Neuvième année ? Il a l'air d'être en sixième. Mais tu es bête, Kiyoshi, son uniforme te dit bien qu'il est dans la même année que toi, alors pourquoi es-tu aussi surpris ? Tes yeux papillonnent et tu réponds, la voix plus détendue que les vingt dernières minutes :
« Kiyoshi Nakamura. Neuvième année... »
Et peut-être faudrait-il que tu fasses la conversation, que tu essaies de le remercier quand même, d'être venu avec toi.
« Merci, de m'avoir accompagné. »
Tu aurais très bien pu le faire seul, mais finalement, c'est plus agréable d'avoir quelqu'un qui partage le même amour pour les animaux que toi.
Vous reprenez le sens inverse, et le voilà un peu devant toi, prenant la tête comme s'il s'agissait de la plus grande expédition. Vous ne faisiez que retourner sur vos pas, pourtant. Il se présente et tu relèves la tête vers lui, l'observant avec un haussement de sourcils surpris. Neuvième année ? Il a l'air d'être en sixième. Mais tu es bête, Kiyoshi, son uniforme te dit bien qu'il est dans la même année que toi, alors pourquoi es-tu aussi surpris ? Tes yeux papillonnent et tu réponds, la voix plus détendue que les vingt dernières minutes :
« Kiyoshi Nakamura. Neuvième année... »
Et peut-être faudrait-il que tu fasses la conversation, que tu essaies de le remercier quand même, d'être venu avec toi.
« Merci, de m'avoir accompagné. »
Tu aurais très bien pu le faire seul, mais finalement, c'est plus agréable d'avoir quelqu'un qui partage le même amour pour les animaux que toi.
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Ah ! Mais lui aussi est en neuvième année ? C'est top ça. C'est vrai que vous avez le même uniforme, tiens. Vous êtes juste pas de la même maison. En même temps, il a l'air super triste, ce qui est pas très très Kitsune. Du coup fallait quand même s'y attendre. Mais c'est pas grave ! Tu es ravi de le voir heureux de retrouver son chat.
"Eh ! Pas de soucis, tu sais. C'est normal. Désolé d'avoir beaucoup crié ! Je suis un peu surexcité, parfois."
En même temps t'as quinze ans, non ? C'est normal d'être comme ça. Si t'étais pas comme ça, tu serais pas vraiment Rin. Tu hausses les épaules et tu souris.
"Je devrais présenter Fluffybutt à Panpan. Je suis sur qu'ils s'entendraient bien. Tu sais que j'ai fait une teinture à Fluffybutt ? Il est rouge et noir. Il est trop cool."
Parce que tu peux pas encore trop faire de teinture sur toi. Alors tu t'entraînes sur ton chat. Et puis ça t'améliore en sortilèges ! Du coup, c'est d'une pierre deux coups. Enfin, c'est ce qu'il te semble. Et Fluffybutt adore ça ! Et Fluffybutt, c'est la prunelle de tes yeux, c'est la chose la plus importante au monde. C'est ton protecteur et aussi ta boule de câlins. Même quand il vomit sur le tapis.
"On devrait pas tarder à arriver à la porte ! J'espère que personne l'a bloquée."
"Eh ! Pas de soucis, tu sais. C'est normal. Désolé d'avoir beaucoup crié ! Je suis un peu surexcité, parfois."
En même temps t'as quinze ans, non ? C'est normal d'être comme ça. Si t'étais pas comme ça, tu serais pas vraiment Rin. Tu hausses les épaules et tu souris.
"Je devrais présenter Fluffybutt à Panpan. Je suis sur qu'ils s'entendraient bien. Tu sais que j'ai fait une teinture à Fluffybutt ? Il est rouge et noir. Il est trop cool."
Parce que tu peux pas encore trop faire de teinture sur toi. Alors tu t'entraînes sur ton chat. Et puis ça t'améliore en sortilèges ! Du coup, c'est d'une pierre deux coups. Enfin, c'est ce qu'il te semble. Et Fluffybutt adore ça ! Et Fluffybutt, c'est la prunelle de tes yeux, c'est la chose la plus importante au monde. C'est ton protecteur et aussi ta boule de câlins. Même quand il vomit sur le tapis.
"On devrait pas tarder à arriver à la porte ! J'espère que personne l'a bloquée."
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à la recherche de panpan
feat. rin
Un sourire étire peu à peu tes lèvres lorsqu'il s'excuse, lorsqu'il se présente, lorsqu'il et tout simplement la personne qu'il est depuis le début de votre rencontre, mais maintenant que le stress d'avoir perdu Panpan a disparu, tu es enfin là, tu te détends, et tu t'autorises quelques sourires, ton visage perdu dans la fourrure de Panpan. Surexcité est un euphémisme, et ça te fait un peu plus sourire sans que tu ne saches pourquoi. Peut-être sa bonne humeur toujours là ?
« Panpan aime pas trop les autres chats, normalement, sauf Pinpin... ça doit être parce que c'est une femelle, sûrement. »
Tu lui jettes un regard, te mordilles la lèvre inférieure quand il te parle de son chat rouge et noir, et tu étouffes un léger rire.
« Pourquoi rouge et noir ? Pourquoi pas rose, comme les kitsune ? »
Et finalement, tu apprécies peut-être la compagnie ce de personnage bien trop coloré pour toi qui n'est que monochrome. Et vous marchez, marchez encore et encore, jusqu'à arriver jusqu'à la porte. Et finalement, tu ne veux pas le quitter, pas si facilement.
« Panpan aime pas trop les autres chats, normalement, sauf Pinpin... ça doit être parce que c'est une femelle, sûrement. »
Tu lui jettes un regard, te mordilles la lèvre inférieure quand il te parle de son chat rouge et noir, et tu étouffes un léger rire.
« Pourquoi rouge et noir ? Pourquoi pas rose, comme les kitsune ? »
Et finalement, tu apprécies peut-être la compagnie ce de personnage bien trop coloré pour toi qui n'est que monochrome. Et vous marchez, marchez encore et encore, jusqu'à arriver jusqu'à la porte. Et finalement, tu ne veux pas le quitter, pas si facilement.
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Panpan et Pinpin c'est quand même vachement bizarre comme noms de chat. Mais t'oses pas trop lui dire. Après tout, le tien a un titre de noblesse, ce qui est quand même carrément plus cool que de venir se cacher derrière des tableaux dans un couloir sans fin.
"Oh, parce que j'ai pas vraiment choisi la couleur. Disons que j'ai lancé le truc et qu'il a pris cette couleur la. Tu sais, je pense qu'il a décidé tout seul. Après tout c'est le chat d'un sorcier, alors ça doit forcément être un chat magique !"
Tu pouffes un peu de rire. C'est vrai qu'il te manque, Fluffybutt. Et une fois que vous êtes arrivés à la porte -qui est fermée, probablement parce qu'il y a des courants d'airs- tu attrapes la poignée qui refuse de s'ouvrir.
"Aha, tu vas rire."
Tu recules un peu et tu regardes la porte. Yep. Fermée. Bon.
"J'espère que tu m'apprécies parce qu'on risque de passer du temps ici."
"Oh, parce que j'ai pas vraiment choisi la couleur. Disons que j'ai lancé le truc et qu'il a pris cette couleur la. Tu sais, je pense qu'il a décidé tout seul. Après tout c'est le chat d'un sorcier, alors ça doit forcément être un chat magique !"
Tu pouffes un peu de rire. C'est vrai qu'il te manque, Fluffybutt. Et une fois que vous êtes arrivés à la porte -qui est fermée, probablement parce qu'il y a des courants d'airs- tu attrapes la poignée qui refuse de s'ouvrir.
"Aha, tu vas rire."
Tu recules un peu et tu regardes la porte. Yep. Fermée. Bon.
"J'espère que tu m'apprécies parce qu'on risque de passer du temps ici."
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Il y a quand même quelque chose qui te fait sourire, qui te perturbe peut-être un peu en même temps. Il y a tellement de joie, tellement d'amour, tellement de tout dans tout ce qu'il fait, que ça te fait presque sourire, que ça te fait presque rire.
Il t'explique, et tu écoutes, jusqu'à ce qu'il tente d'ouvrir la porte sans y arriver. Tu fronces les sourcils alors qu'il recule, alors qu'il prend la parole, et la douce panique vient prendre possession de toi.
« Quoi ? Comment ça, c'est fermé ?! »
Tu vas pour lâcher Panpan, mais il serait capable de partir de nouveau à la conquête du couloir, alors tu te contentes de le garder contre toi. Tu te mords la lèvre inférieure, fais un pas en avant, tournes, marches un peu de long en large pendant quelques instants. Et tu réfléchis, réfléchis, réfléchis, sans trop savoir quoi faire, avec l'horrible sensation de claustrophobie qui vient serrer ton cœur.
Il t'explique, et tu écoutes, jusqu'à ce qu'il tente d'ouvrir la porte sans y arriver. Tu fronces les sourcils alors qu'il recule, alors qu'il prend la parole, et la douce panique vient prendre possession de toi.
« Quoi ? Comment ça, c'est fermé ?! »
Tu vas pour lâcher Panpan, mais il serait capable de partir de nouveau à la conquête du couloir, alors tu te contentes de le garder contre toi. Tu te mords la lèvre inférieure, fais un pas en avant, tournes, marches un peu de long en large pendant quelques instants. Et tu réfléchis, réfléchis, réfléchis, sans trop savoir quoi faire, avec l'horrible sensation de claustrophobie qui vient serrer ton cœur.
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Il a l'air de paniquer et t'as pas envie de le voir paniquer. Alors il faut que tu trouves une solution rapide et efficace. Bon, la première qui t'es venue à l'esprit n'est pas la plus intelligente, mais ça a déjà fonctionné quand t'étais plus jeune. Tu t'étais enfermé dans la salle de bains et pour sortir t'avais trouvé la meilleure technique. Celle que tu vas appliquer ici. Tu te recules de quelques pas, tu t'assures que Kiyoshi ne soit pas sur le chemin, et tu t'élances tout droit vers la porte, l'épaule en avant. Tu sautes juste avant de toucher la porte pour encore plus de puissance, et tu t'écrases misérablement face à elle. Très bien.
"Outch."
Bon, t'aura essayé. T'as juste mal à l'épaule en plus d'être coincé dans un couloir avec un inconnu, maintenant. Enfin, c'est plus vraiment un inconnu, mais tu le connaissais pas ce matin.
"Bah c'est fermé. A clef. Et je pense pas qu'un Alohomora suffise, tu vois."
Peut être que si. Mais t'oses pas dire que t'as laissé ta baguette dans ta chambre. Parce que...parce que c'est vraiment un truc de Kitsune. Et que tu sens qu'il te juge déjà beaucoup sur ça.
"T'as une idée pour sortir ?"
"Outch."
Bon, t'aura essayé. T'as juste mal à l'épaule en plus d'être coincé dans un couloir avec un inconnu, maintenant. Enfin, c'est plus vraiment un inconnu, mais tu le connaissais pas ce matin.
"Bah c'est fermé. A clef. Et je pense pas qu'un Alohomora suffise, tu vois."
Peut être que si. Mais t'oses pas dire que t'as laissé ta baguette dans ta chambre. Parce que...parce que c'est vraiment un truc de Kitsune. Et que tu sens qu'il te juge déjà beaucoup sur ça.
"T'as une idée pour sortir ?"
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à la recherche de panpan
feat. rin
Il tente d'enfoncer la porte, et tu ne peux t'empêcher de lâcher un léger soupir de défaite quand il n'y arrive pas. Panpan bouge dans tes bras, tente de s'échapper de ta prise mais tu la resserres, lui dis d'arrêter et il s'exécute dans un miaulement de défaite. Tu prends une grande inspiration, réfléchis. Appeler à l'aide ne servira à rien, et vous ne pouvez pas être sûr qu'un alohomora ne fonctionne pas si...
Tu fous Panpan dans les bras de Rin, confiant ton chat à celui qui a l'air d'être la personne la plus gamine que tu aies pu croiser depuis ton arrivée à Mahoutokoro, mais il avait retrouvé Panpan avec toi, alors tu pouvais lui faire confiance pour le garder, n'est-ce pas ? N'est-ce pas ?
« Tu le tiens bien hein, le laisse pas partir. »
Tu cherches dans tes poches, ne trouvant pas immédiatement ta baguette et, pendant une seconde, tu as envie de te foutre des claques. Mais finalement, finalement elle est là ! Dans la poche intérieure de ton uniforme et tu remercies Merlin, le directeur, et tous les grands sorciers du monde pendant quelques instants.
Baguette à la main, tu t'avances vers la porte, fermes les yeux un instant pour calmer les battements incessants de ton cœur. Juste. Ne rate pas un sort de cinquième année, Kiyoshi, t'auras l'air bien fin si tu n'y arrives pas.
« Alohomora. »
A peine un chuchotement, baguette contre la serrure, et tu pries, tu pries, Kiyoshi, de ne pas rater ce simple et minuscule petit sort.
Tu fous Panpan dans les bras de Rin, confiant ton chat à celui qui a l'air d'être la personne la plus gamine que tu aies pu croiser depuis ton arrivée à Mahoutokoro, mais il avait retrouvé Panpan avec toi, alors tu pouvais lui faire confiance pour le garder, n'est-ce pas ? N'est-ce pas ?
« Tu le tiens bien hein, le laisse pas partir. »
Tu cherches dans tes poches, ne trouvant pas immédiatement ta baguette et, pendant une seconde, tu as envie de te foutre des claques. Mais finalement, finalement elle est là ! Dans la poche intérieure de ton uniforme et tu remercies Merlin, le directeur, et tous les grands sorciers du monde pendant quelques instants.
Baguette à la main, tu t'avances vers la porte, fermes les yeux un instant pour calmer les battements incessants de ton cœur. Juste. Ne rate pas un sort de cinquième année, Kiyoshi, t'auras l'air bien fin si tu n'y arrives pas.
« Alohomora. »
A peine un chuchotement, baguette contre la serrure, et tu pries, tu pries, Kiyoshi, de ne pas rater ce simple et minuscule petit sort.
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Il sort sa baguette. Ouf. Vous allez pas rester la coincés pendant des semaines. Les gens vont se dire que t'as fugué pour aller regarder la nouvelle saison de Sailor Moon, personne vous cherchera jamais et vous allez juste mourir sur place. Et t'as pas vraiment envie de mourir sur place. Surtout qu'il faudrait probablement manger Panpan pour survivre et que c'est vraiment pas une bonne initiative. Il faudrait se battre avec Kiyoshi, et c'est pas une bonne idée parce que t'aimes bien Kiyoshi. Il est sympa. Surtout qu'au moment ou il lance Alohomora, la porte s'ouvre. Ouf deux. Vous êtes sauvés.
"Tu nous a sauvés ! Merci Kiyoshi !!!"
Tu lui tapotes le dos gentiment, parce que t'as bien compris qu'il était pas trop dans la trop grosse démonstration. Mais en même temps il vous a sauvé la vie.
"Je t'en dois une ! Si tu as besoin de quelque chose, hésite pas à venir me dire. Surtout si ça concerne le Quidditch."
"Tu nous a sauvés ! Merci Kiyoshi !!!"
Tu lui tapotes le dos gentiment, parce que t'as bien compris qu'il était pas trop dans la trop grosse démonstration. Mais en même temps il vous a sauvé la vie.
"Je t'en dois une ! Si tu as besoin de quelque chose, hésite pas à venir me dire. Surtout si ça concerne le Quidditch."
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à la recherche de panpan
feat. rin
Tu ranges immédiatement ta baguette alors qu'il te donne une tape sur l'épaule et qu'il te félicite. Tu récupères Panpan immédiatement, le caressant en quittant le couloir, avec cette impression de pouvoir respirer normalement. La peur de rester coincé avait quand même été présente.
« Mh. De rien. »
Tu gardes Panpan dans tes bras malgré sa queue qui va et qui vient brutalement contre ton torse. Il veut sortir, s'enfuir, gambader, et tu soupires. Tu regardes Rin un moment, lui souris légèrement avant de reprendre :
« Je vais le ramener à ma chambre. Encore merci de... m'avoir accompagné. »
Tu lui souris une nouvelle fois avant de te détourner rapidement, prenant la direction de ton dortoir sans même un regard. Tu as trop eu d'émotions pour la journée.
« Mh. De rien. »
Tu gardes Panpan dans tes bras malgré sa queue qui va et qui vient brutalement contre ton torse. Il veut sortir, s'enfuir, gambader, et tu soupires. Tu regardes Rin un moment, lui souris légèrement avant de reprendre :
« Je vais le ramener à ma chambre. Encore merci de... m'avoir accompagné. »
Tu lui souris une nouvelle fois avant de te détourner rapidement, prenant la direction de ton dortoir sans même un regard. Tu as trop eu d'émotions pour la journée.
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