Doux printemps qui fleurit (Akira)
Juri Endo
Citation : La couverture d'un livre ne signifie rien, tout est dans le contenue !
Age : 25 (26/04/1973)
Rang : A3
Ryujin
Juri Endo
Je ne l’ai pas revue plusieurs après ça… Pourtant, j’agis encore une gamine, je n’arrive pas à penser correctement, je me demande si je fais bien les choses, si on peut ressemble vraiment à un couple…
Et finalement les vacances ont pris fin, j’ai du retourner dans ma bibliothèque, le silence qui y règne me fait un bien fou, cela me permet de penser à autre chose mais, est-ce bien… ?
Je ne sais pas, je n’arrive pas à oublier cette chaleur, cette fraîcheur, tout cela est nouveau, tout est beau, tout est magnifique.
Pourtant…
J’hésite encore beaucoup trop… Est-ce que je serais capable de dire non si un de mes partenaires de nuits me demandent une partie sous leur drap de soie ? Est-ce que ce serait le trahir ? Mais, est-ce qu’on est en couple ou non ?
Trop de question que je me pose, je devrais peut-être lui envoyer un origami… mais, ne serais-je pas trop sur son dos ?
Et si je demandais conseil… je grimace en rangeant mon livre… qui dans l’école pourrait m’aider à voir clair dans ses sentiments tout beau, tout neuf qui fleurissent en moi ?
C’est clairement le printemps dans mon cœur, qui bat la chamade rien qu’en pensant à lui, je sens aussi mes joues chauffer légèrement… ah, doux printemps, heureusement que certains livres ont réussis à m’enlever des doutes qui serait présent dans ma tête.
Il faut que je me concentre, cette partie de la bibliothèque loin de tous, à moitié dans les archives ne va pas se ranger tout seul, j’aurais vraiment du m’y mettre bien plus tôt que d’attendre une année pour ranger cette partie, je soupir et m’occupe l’esprit en ranger plutôt que de penser à Aiichiro.
Et finalement les vacances ont pris fin, j’ai du retourner dans ma bibliothèque, le silence qui y règne me fait un bien fou, cela me permet de penser à autre chose mais, est-ce bien… ?
Je ne sais pas, je n’arrive pas à oublier cette chaleur, cette fraîcheur, tout cela est nouveau, tout est beau, tout est magnifique.
Pourtant…
J’hésite encore beaucoup trop… Est-ce que je serais capable de dire non si un de mes partenaires de nuits me demandent une partie sous leur drap de soie ? Est-ce que ce serait le trahir ? Mais, est-ce qu’on est en couple ou non ?
Trop de question que je me pose, je devrais peut-être lui envoyer un origami… mais, ne serais-je pas trop sur son dos ?
Et si je demandais conseil… je grimace en rangeant mon livre… qui dans l’école pourrait m’aider à voir clair dans ses sentiments tout beau, tout neuf qui fleurissent en moi ?
C’est clairement le printemps dans mon cœur, qui bat la chamade rien qu’en pensant à lui, je sens aussi mes joues chauffer légèrement… ah, doux printemps, heureusement que certains livres ont réussis à m’enlever des doutes qui serait présent dans ma tête.
Il faut que je me concentre, cette partie de la bibliothèque loin de tous, à moitié dans les archives ne va pas se ranger tout seul, j’aurais vraiment du m’y mettre bien plus tôt que d’attendre une année pour ranger cette partie, je soupir et m’occupe l’esprit en ranger plutôt que de penser à Aiichiro.
Akira Tsugikuni
Citation : La vie a pour but la mort, vivre n'est qu'apprendre à mourir.
Age : 25 (02.06.72)
Rang : A3
Amaterasu
Akira Tsugikuni
hanaoka
Akira
Endo
Juri
XX.03.98「 Printemps fleurit 」
Le printemps était fleurissant, cette saison que j’aimais tant par le passé, mais qui maintenant me tend énormément…
Je n’aurai jamais le droit de me comparer à une fleur naissante, reprenant vie après s’être endormie car mon corps se fane de plus en plus qu’importe la saison. Je m’en veux encore de m’être ainsi écroulé devant des connaissances alors que notre cher soleil avait disparu… Preuve de ma faiblesse que je voulais tant cacher, de ce corps qui me faisait encore plus souffrir qu’avant car il lui fallait du temps pour s’habituer à cette nouvelle magie…
J’avais besoin de me changer les idées et je savais où me diriger.
Moment de pause accordée entre deux repas, j’avais pris un petit sachet de macaron avant de me diriger vers la bibliothèque.
Fredonnant un petit coup, je me suis mis à me balader entre les étagères comme une proie cherchant à attirer consciencieusement son prédateur.
Ce fut après quelques minutes que je finis par te trouver, plongée dans tes pensées, entre les livres que tu semblais tant aimer.
Toujours aussi taquin, je me suis approché discrètement avant de soudainement passer mes bras autour de ta taille.
« Juuuuuuriiiii ça fait longtemps !! Est-ce que tu m’as oublié ? ♪ » Doux sens que j’aimerai parfois entendre positivement…
« Je ne connaissais pas ce coin de la bibliothèque, il semble si tranquille… » Petit sous entendu glissé, j’-avais envie de m’amuser… (J’en avais besoin pour ne plus sentir ce mal qui me bouffe…)
« Ils peuvent attendre un petit moment ces livres, non… ? ♪ » une voix qui faisait un peu la moue….
Au moins je n’avais pas perdu ma tournure de mot et j’espère que tu n’allais surtout pas mentionner ce que tu avais vu pendant ces vacances…
Je n’aurai jamais le droit de me comparer à une fleur naissante, reprenant vie après s’être endormie car mon corps se fane de plus en plus qu’importe la saison. Je m’en veux encore de m’être ainsi écroulé devant des connaissances alors que notre cher soleil avait disparu… Preuve de ma faiblesse que je voulais tant cacher, de ce corps qui me faisait encore plus souffrir qu’avant car il lui fallait du temps pour s’habituer à cette nouvelle magie…
J’avais besoin de me changer les idées et je savais où me diriger.
Moment de pause accordée entre deux repas, j’avais pris un petit sachet de macaron avant de me diriger vers la bibliothèque.
Fredonnant un petit coup, je me suis mis à me balader entre les étagères comme une proie cherchant à attirer consciencieusement son prédateur.
Ce fut après quelques minutes que je finis par te trouver, plongée dans tes pensées, entre les livres que tu semblais tant aimer.
Toujours aussi taquin, je me suis approché discrètement avant de soudainement passer mes bras autour de ta taille.
« Juuuuuuriiiii ça fait longtemps !! Est-ce que tu m’as oublié ? ♪ » Doux sens que j’aimerai parfois entendre positivement…
« Je ne connaissais pas ce coin de la bibliothèque, il semble si tranquille… » Petit sous entendu glissé, j’-avais envie de m’amuser… (J’en avais besoin pour ne plus sentir ce mal qui me bouffe…)
« Ils peuvent attendre un petit moment ces livres, non… ? ♪ » une voix qui faisait un peu la moue….
Au moins je n’avais pas perdu ma tournure de mot et j’espère que tu n’allais surtout pas mentionner ce que tu avais vu pendant ces vacances…
Juri Endo
Citation : La couverture d'un livre ne signifie rien, tout est dans le contenue !
Age : 25 (26/04/1973)
Rang : A3
Ryujin
Juri Endo
J’ai réussi à me concentrer, à chasser cette lumière de mon esprit, à ne pas penser trop à lui, mes étagères en bois ancien commençait réellement à ressembler ce que mon esprit de bibliothécaire se battait contre mon esprit romantique…
romantique…
Est-ce vraiment un nouvel état d’esprit qui a prit place avec cet après-midi courte mais, remplis en émotions ?
Je soupire à nouveau en plaçant un livre à sa place quand deux mains se posèrent autour de ma taille, une voix fluette avec une pointe de malice remplis l’espace vide de cet endroit tranquille.
Akira… Est-ce que je dois lui dire quoi que ce soit ? Est-ce que je trahirais Aiichiro si je me lance dans mes habitudes ?
Trop de question et le temps défile autour de nous, le silence revient plutôt vite, je n’aurais jamais essayer de combler ce silence mais, aujourd’hui…
Un simple sourire alors que je me détache de l’étagère pour regarder mon interlocuteur, un geste doux remplis de ce sentiment, mes mains dans les cheveux du rose suivit d’un petit rire.
- Comment pourrais je oublier ma barbe à papa préférer ?
Et je détache tes mains de mes hanches pour pouvoir me tourner vers toi tout en replaçant ses mains, un sourire taquin, tu me pardonneras pas vrai ?… je te l’ai dit que je ne savais pas aimer correctement…
- Je vais rarement ici mais, il est vrai que c’est tranquille, le silence est bien plus fort ici que n’importe où dans la bibliothèque.
Je ne vais pas trop loin, n’est-ce pas ? Est-ce que je dois m’imposer des limites ? Personne ne m’a jamais avouer de tel sentiment, tu es le premier… J’ai peur autant que je suis heureuse.
Je viens plonger mon visage dans tes cheveux, respirer cette odeur familière, j’avais envie même si mon cœur lui ne semblait pas en accord, par contre mon corps lui, rien qu’à ton contact Akira, voulait déjà tout, s’éloigner de la lumière pour retourner dans l’ombre, il se sentait bien plus en sécurité.
- Personne ne vient par ici, cet endroit est un petit repère pour être tranquille pour faire ce que je veux.
Même si mon idée de départ était de ranger cette partie de la bibliothèque, mes plans peuvent vraiment changer d’un moment à autre et surtout avec les personnes qui me rendent visite, et tes visites akira étaient toujours synonymes de jeux.
Personne n’en sera rien de toute façon, pourquoi avoir des limites quand on ne sait pas aimer correctement comme une héroïne de roman à l’eau de rose…. Ce n’est pas grave s’il ne veut plus me voir après, mon monde ne s’écroulera pas aussi facilement.
romantique…
Est-ce vraiment un nouvel état d’esprit qui a prit place avec cet après-midi courte mais, remplis en émotions ?
Je soupire à nouveau en plaçant un livre à sa place quand deux mains se posèrent autour de ma taille, une voix fluette avec une pointe de malice remplis l’espace vide de cet endroit tranquille.
Akira… Est-ce que je dois lui dire quoi que ce soit ? Est-ce que je trahirais Aiichiro si je me lance dans mes habitudes ?
Trop de question et le temps défile autour de nous, le silence revient plutôt vite, je n’aurais jamais essayer de combler ce silence mais, aujourd’hui…
Un simple sourire alors que je me détache de l’étagère pour regarder mon interlocuteur, un geste doux remplis de ce sentiment, mes mains dans les cheveux du rose suivit d’un petit rire.
- Comment pourrais je oublier ma barbe à papa préférer ?
Et je détache tes mains de mes hanches pour pouvoir me tourner vers toi tout en replaçant ses mains, un sourire taquin, tu me pardonneras pas vrai ?… je te l’ai dit que je ne savais pas aimer correctement…
- Je vais rarement ici mais, il est vrai que c’est tranquille, le silence est bien plus fort ici que n’importe où dans la bibliothèque.
Je ne vais pas trop loin, n’est-ce pas ? Est-ce que je dois m’imposer des limites ? Personne ne m’a jamais avouer de tel sentiment, tu es le premier… J’ai peur autant que je suis heureuse.
Je viens plonger mon visage dans tes cheveux, respirer cette odeur familière, j’avais envie même si mon cœur lui ne semblait pas en accord, par contre mon corps lui, rien qu’à ton contact Akira, voulait déjà tout, s’éloigner de la lumière pour retourner dans l’ombre, il se sentait bien plus en sécurité.
- Personne ne vient par ici, cet endroit est un petit repère pour être tranquille pour faire ce que je veux.
Même si mon idée de départ était de ranger cette partie de la bibliothèque, mes plans peuvent vraiment changer d’un moment à autre et surtout avec les personnes qui me rendent visite, et tes visites akira étaient toujours synonymes de jeux.
Personne n’en sera rien de toute façon, pourquoi avoir des limites quand on ne sait pas aimer correctement comme une héroïne de roman à l’eau de rose…. Ce n’est pas grave s’il ne veut plus me voir après, mon monde ne s’écroulera pas aussi facilement.
Akira Tsugikuni
Citation : La vie a pour but la mort, vivre n'est qu'apprendre à mourir.
Age : 25 (02.06.72)
Rang : A3
Amaterasu
Akira Tsugikuni
hanaoka
Akira
Endo
Juri
XX.03.98「 Printemps fleurit 」
Je savais qu’une fois entré dans ce lieu sacré, une partie de plaisir allait s’offrir à moi. Toi qui aimait te changer les idées sans pour autant ¬avoir une accroche ou penser à un lendemain. C’est tout ce dont j’avais besoin, oublier cette douleur qui me rongeait de l’intérieur en enflammant mon corps de cette adrénaline qu’était nos ébats.
Mes bras t’entourant, mon sourire restait bien logé et ma voix te faisait comprendre mes intentions. Pourquoi viendrais-je sinon ?
Je ne peux retenir un petit pouffement de rire à l’entente de ce surnom qui collait bien avec la couleur que je portais comme chevelure que tu venais de doucement prendre entre tes doigts.
Te retournant si soudainement, mes yeux azurés rencontrèrent les tiens et mon sourire devint taquin quand ta réponse fut que cet antre était le plus silencieux de ton repaire : la bibliothèque.
Je n’étais pas bête, je comprenais le sous-entendu de tes phrases. Ce que l’on veut, n’est-ce pas ? Sans avoir peur qu’un élève nous tombe dessus, que ce lieu change pour mieux nous découvrir à un inconnu.
Permission que je pris comme accordée à tes paroles, mes mains descendirent un peu au niveau de tes cuisses que je me suis mis à caresser.
Nous avions l’habitude de nous amuser, je commençais à bien savoir comment te faire chavirer, n’est-ce pas, Juri ?
« Si cet endroit est si safe, que dirais-tu de le tester à mes côtés ? On devrait bien s’amuser ! L’odeur de ces vieux livres ne donne-t-elle pas un côté mystérieux ? » Ma voix était devenue mielleuse, malicieuse.
Une de mes main remontait doucement à ton haut, glissant cette dernière dans ton dos pour entrer en contact avec ta peau.
« Amusons-nous une nouvelle fois, d’accord ? » De cette voix grave, j’avais envie de toi et je voulais te le faire partager de ce corps si proche du tiens pour que nous ne fassions qu’un.
De mes yeux je voulais te transpercer
Et de mes lèvres proches des tiennes, je voulais sceller.
Mes bras t’entourant, mon sourire restait bien logé et ma voix te faisait comprendre mes intentions. Pourquoi viendrais-je sinon ?
Je ne peux retenir un petit pouffement de rire à l’entente de ce surnom qui collait bien avec la couleur que je portais comme chevelure que tu venais de doucement prendre entre tes doigts.
Te retournant si soudainement, mes yeux azurés rencontrèrent les tiens et mon sourire devint taquin quand ta réponse fut que cet antre était le plus silencieux de ton repaire : la bibliothèque.
Je n’étais pas bête, je comprenais le sous-entendu de tes phrases. Ce que l’on veut, n’est-ce pas ? Sans avoir peur qu’un élève nous tombe dessus, que ce lieu change pour mieux nous découvrir à un inconnu.
Permission que je pris comme accordée à tes paroles, mes mains descendirent un peu au niveau de tes cuisses que je me suis mis à caresser.
Nous avions l’habitude de nous amuser, je commençais à bien savoir comment te faire chavirer, n’est-ce pas, Juri ?
« Si cet endroit est si safe, que dirais-tu de le tester à mes côtés ? On devrait bien s’amuser ! L’odeur de ces vieux livres ne donne-t-elle pas un côté mystérieux ? » Ma voix était devenue mielleuse, malicieuse.
Une de mes main remontait doucement à ton haut, glissant cette dernière dans ton dos pour entrer en contact avec ta peau.
« Amusons-nous une nouvelle fois, d’accord ? » De cette voix grave, j’avais envie de toi et je voulais te le faire partager de ce corps si proche du tiens pour que nous ne fassions qu’un.
De mes yeux je voulais te transpercer
Et de mes lèvres proches des tiennes, je voulais sceller.
Juri Endo
Citation : La couverture d'un livre ne signifie rien, tout est dans le contenue !
Age : 25 (26/04/1973)
Rang : A3
Ryujin
Juri Endo
« Est-ce raisonnable ? »
Cette voix dans ma tête ne cessait de le répéter sauf que je pouvais l'ignorer, je n'était pas réellement en couple, ce n'était encore rien avec lui alors je pouvais encore m'amuser un peu, encore une fois, prendre cet instant de plaisir, de l'éphémère éternel.
Et un rire malicieux sortis de mes lèvres, un baiser d'une ou deux seconde pas plus, vu que nous étions face à face maintenant.
- testons encore cet endroit pour te prouver que personne ne trouvera et ne cherche pas d'excuse Akira, tu sais bien que les compliments ne marche pas sur moi.
Que la bibliothèque me donnait un air mystérieux était bien effronté, elle me donnait plutôt un air effacé et invisible, ce que je cherchais quand je fuyais au fond de celle-ci mais, dans ces moment-là tout cela était futile, je devenais cet animal aux désirs hargneux.
Ton corps contre le mien, cette braise qui nous enveloppe encore et toujours, je pouvais te laisser faire, une dernière fois ?
Mais, la question se développa à l’intérieur de moi… Est-ce vraiment la dernière fois ?
Serait-je dévoué à lui après t’avoir dit que tu n’aurais plus le droit de venir ici ? Que j’aurais laissé tomber tout les autres aussi ?
Je ne sais pas, je doute encore trop de ce sentiment qu’il me porte, je n’arrive pas comme lui à sortir ses mots, ils me donnent envie de vomir, de hurler, de retourner dans les bras de ses partenaires pour tout oublier.
Pourtant…
Pourtant…
Le son de nos voix, se connecte entre elle, et cela se passe comme à notre habitude, comme toujours.
Et en reprenant mon rangement, autant mon cœur que ma raison chancelle, doute encore plus, pourquoi on a pas refuser ? Pourquoi…
Parce que la peur est toujours prioritaire par rapport aux restes…
Et un soupir sort de ma bouche, silencieux, tu regarde quand même le jeune homme à tes côtés, celui avec qui tu as partagé des nuits, trop de nuits même s’il a compris que je n’étais qu’une bête assoiffé de désirs, pas d’attache, rien, c’est peut-être pour cela que j’ai accepté au bout d’une semaine que Akira t’ait couru après, une nuit je me suis dit, rien de plus rien de moins.
Cette voix dans ma tête ne cessait de le répéter sauf que je pouvais l'ignorer, je n'était pas réellement en couple, ce n'était encore rien avec lui alors je pouvais encore m'amuser un peu, encore une fois, prendre cet instant de plaisir, de l'éphémère éternel.
Et un rire malicieux sortis de mes lèvres, un baiser d'une ou deux seconde pas plus, vu que nous étions face à face maintenant.
- testons encore cet endroit pour te prouver que personne ne trouvera et ne cherche pas d'excuse Akira, tu sais bien que les compliments ne marche pas sur moi.
Que la bibliothèque me donnait un air mystérieux était bien effronté, elle me donnait plutôt un air effacé et invisible, ce que je cherchais quand je fuyais au fond de celle-ci mais, dans ces moment-là tout cela était futile, je devenais cet animal aux désirs hargneux.
Ton corps contre le mien, cette braise qui nous enveloppe encore et toujours, je pouvais te laisser faire, une dernière fois ?
Mais, la question se développa à l’intérieur de moi… Est-ce vraiment la dernière fois ?
Serait-je dévoué à lui après t’avoir dit que tu n’aurais plus le droit de venir ici ? Que j’aurais laissé tomber tout les autres aussi ?
Je ne sais pas, je doute encore trop de ce sentiment qu’il me porte, je n’arrive pas comme lui à sortir ses mots, ils me donnent envie de vomir, de hurler, de retourner dans les bras de ses partenaires pour tout oublier.
Pourtant…
Pourtant…
Le son de nos voix, se connecte entre elle, et cela se passe comme à notre habitude, comme toujours.
Et en reprenant mon rangement, autant mon cœur que ma raison chancelle, doute encore plus, pourquoi on a pas refuser ? Pourquoi…
Parce que la peur est toujours prioritaire par rapport aux restes…
Et un soupir sort de ma bouche, silencieux, tu regarde quand même le jeune homme à tes côtés, celui avec qui tu as partagé des nuits, trop de nuits même s’il a compris que je n’étais qu’une bête assoiffé de désirs, pas d’attache, rien, c’est peut-être pour cela que j’ai accepté au bout d’une semaine que Akira t’ait couru après, une nuit je me suis dit, rien de plus rien de moins.
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