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1, 2insomnie d'amour // sora
Sora Nishimura
Citation : don't ever try to judge me dude
Age : 19 ans depuis le 7 aôût
Rang : 74/100
Orochi
Sora Nishimura
Et il la voit ta main
S'approcher, pas serein
La fait retomber au sol
Ne te retiens point, prend ton envol
Sans attendre, le jeune préfet pose sa main sur le sommet de ton crâne, caressant tes cheveux avec douceur, tapotant à la fin pour te rassurer, pour tenter quelque chose dont il n'use jamais ; son corps. Jamais il n'use réellement de gestes pour faire comprendre ce qu'il ressent, pas bien doué, que ce soit avec les mots, ou avec le reste. Alors c'est en élargissant son sourire, que Sora quitte la surface de ton crâne, pour mieux accentuer ses paroles. « Je... Merci, ça me touche, vraiment. » Vous êtes sa nouvelle famille, Suzu, Yue, Hajime, Eishi, Aritsune, toi ; même Kagami, même ceux à qui il ne parle pas tant que ça. Vous êtes importants pour lui, vous êtes le bon port auquel il adore accoster, s'abreuver de vos vies pour éviter de couler en songeant aux soucis qui affluent dans la sienne. Et voilà que tu en viens à parler de ta mère Kiyoshi, une fibre filiale que Sora ne connaît pas, qu'il n'a jamais côtoyé, qu'il n'a jamais aperçu. Il y a un lien entre vous, puissant, qu'il pourrait envier et qui, finalement, accentue un sentiment de jalousie. T'as les yeux qui pétilles quand tu parles d'elle, ils sont rieurs, ancré d'un bonheur que Sora ne pourrait prétendre effleurer. Et c'est fou, mais ça le rend lui-même heureux, ça le fait sourire tout naturellement alors que tu contes ton récit ; comme une petite histoire avant de dormir.
Ton regard retrouve le tapis
Cela signe la fin d'un récit
Son menton posé dans la paume de sa main, Sora contemple tes faits et gestes, espérant en apprendre encore d'avantage sur cette figure maternelle qui semble être le centre de ton monde, le pilier de ta vie. Mais, tu n'ajoutes rien, si ce n'est quelque chose qui le surprend. "Je suis sûre qu'elle t'aimerait beaucoup." Mouvement de recul, preuve de sa stupeur, c'est marqué dans ses yeux, non, ça, Sora, il ne s'y attendait pas. Rigolant doucement, il ne peut s'empêcher de répondre sur un ton un peu moqueur. « Ah bon ? Tu crois ? Je suis pas vraiment le genre de gars qui plaît aux familles des gens généralement. Et je te fais penser à ta maman ? » Il en rit, ne sait pas trop s'il le pense vraiment, comment il doit le prendre également ; ou s'il a juste lâché ça pour éviter d'être rouge pivoine de gêne. Glissant sa main sur sa nuque, le jeune préfet réfléchit, longuement, se remémore ce que tu viens de lui confier ; et ne peut encore une fois, pas s'empêcher de laisser les mots franchir la barrière de ses lippes. « Elle à l'air d'être une mère géniale, j'aimerais la rencontrer ; comprendre et voir ce qu'est, une vraie mère. » Son sourire mélancolique reste figé sur son faciès baigné par les rayons lunaires, éblouis par la lumière du feu de cheminée. « En tout cas, elle peut être fière, elle a eu un fils aimant et vraiment attaché à sa mère. »
Son regard se pose de nouveau sur toi
Sourire bienveillant encore une fois
Tu as de quoi être heureux
Et de quoi faire un envieux
« J'aurais aimé pouvoir en dire autant de la mienne, mais... J'ai pas d'aussi belles histoires à te raconter. » Et même si tout cela sonne mélancolique, il y a une étincelle dans ses yeux, qui brille de milles feux, car il y a bien quelqu'un qui le fait penser à ce que tu lui contes... « Mais au moins j'ai Yoru. » Son petit frère adoré, tant aimé, qu'il chéri comme la prunelle de ses yeux. Celui qui le fait tenir, qui a rendu son calvaire qu'est la vie, moins pénible.
Invité
Invité
Invité
insomnie d'amour
feat. sora
La tendre caresse sur ton crâne te fait rougir, elle réchauffe ton cœur abîmé en cette nuit glacée. Il te remercie, hésitant, sans trop savoir quoi dire. Son sourire est pour toi un trésor que tu apprends à connaître, qui te rend heureux sans que tu ne saches pourquoi. Tu as pour lui cette admiration sans faille, qui pourtant est si difficile à comprendre dans ton esprit embrouillé.
Et pourtant, quand tu lui dis, que tu lui avoues à demi-mot que ta mère l'aimerait, elle l'adorerait, Sora, il recule, il est surpris ; il y a dans tout son physique un étonnement qu'il ne peut cacher, et peut-être que tu lâches un léger rire à sa réaction. Un léger et tendre rire alors qu'il rit aussi, cachant sa gêne. Et tu le regardes, le visage légèrement penché sur le côté. Oui, il te fait penser à elle. Dans sa façon de s'occuper des autres, dans sa tendresse, dans sa gentillesse. Et ça t'étonne, Kiyoshi, qu'il te dise qu'il n'est pas de ceux que les mère aiment rencontrer.
Tu le laisses parler, tu le laisses s'expliquer. Car il y a eu toi, et maintenant il y a lui. C'est un échange tendre, un peu secret, qui te fait du bien et qui réchauffe ton cœur dans son entier. Et il t'explique, il t'avoue, te confie. Et tu acceptes, tu écoutes et tu le regardes, parce que c'est important, de le regarder, Kiyoshi. Tu aimerais juste être un peu plus doué, pour lui montrer que tu veux le réconforter. Mais tu ne sais pas faire, Kiyoshi, mais tu apprends, un peu, tous les jours, tu essaies. Et alors, le silence, après un dernier prénom qui s'échappe de ses lèvres. Yoru. Petit frère adoré. Jeune adolescent aimé.
Tu glisses ton regard sur lui de nouveau, et alors, tu ordonnes à ta main tremblante de se poser sur la sienne. Tu le saisis avec tendresse, laisses une légère pression enserrer ses doigts et tu lui souris alors, le visage souriant, et pourtant sérieux :
« Viens avec moi, quand on aura des vacances. »
Parce que tu es persuadé que ta maman va l'adopter.
hrp : c'est super méga court pardon, et c'est clairement pas ouf ;;
J'ESPERE QUE CA TE PLAIT. JTM D'AMOUR.
(pardon pour le drama)
Et pourtant, quand tu lui dis, que tu lui avoues à demi-mot que ta mère l'aimerait, elle l'adorerait, Sora, il recule, il est surpris ; il y a dans tout son physique un étonnement qu'il ne peut cacher, et peut-être que tu lâches un léger rire à sa réaction. Un léger et tendre rire alors qu'il rit aussi, cachant sa gêne. Et tu le regardes, le visage légèrement penché sur le côté. Oui, il te fait penser à elle. Dans sa façon de s'occuper des autres, dans sa tendresse, dans sa gentillesse. Et ça t'étonne, Kiyoshi, qu'il te dise qu'il n'est pas de ceux que les mère aiment rencontrer.
Tu le laisses parler, tu le laisses s'expliquer. Car il y a eu toi, et maintenant il y a lui. C'est un échange tendre, un peu secret, qui te fait du bien et qui réchauffe ton cœur dans son entier. Et il t'explique, il t'avoue, te confie. Et tu acceptes, tu écoutes et tu le regardes, parce que c'est important, de le regarder, Kiyoshi. Tu aimerais juste être un peu plus doué, pour lui montrer que tu veux le réconforter. Mais tu ne sais pas faire, Kiyoshi, mais tu apprends, un peu, tous les jours, tu essaies. Et alors, le silence, après un dernier prénom qui s'échappe de ses lèvres. Yoru. Petit frère adoré. Jeune adolescent aimé.
Tu glisses ton regard sur lui de nouveau, et alors, tu ordonnes à ta main tremblante de se poser sur la sienne. Tu le saisis avec tendresse, laisses une légère pression enserrer ses doigts et tu lui souris alors, le visage souriant, et pourtant sérieux :
« Viens avec moi, quand on aura des vacances. »
Parce que tu es persuadé que ta maman va l'adopter.
hrp : c'est super méga court pardon, et c'est clairement pas ouf ;;
J'ESPERE QUE CA TE PLAIT. JTM D'AMOUR.
(pardon pour le drama)
Sora Nishimura
Citation : don't ever try to judge me dude
Age : 19 ans depuis le 7 aôût
Rang : 74/100
Orochi
Sora Nishimura
Mais voilà, il y a eu une réussite, ce soir, tu n'es pas parti Kiyoshi, tu es resté à ses côtés, tu l'as écouté parler ; même si ce n'était pas une partie gagnée. Vous avez tout deux ramés, avez eu du mal à délier vos langues quelques peu écorchés, comme si vous étaler en reviendrait à vous démasquer. Un peu sur la réserve, avec pourtant, cette unique envie d'essayer, de faire des efforts, comme si vous avez quelque chose à vous prouver ((être capable de tisser des liens ; une profonde amitié.)) C'est une réussite pour Sora, c'est un grand pas en avant également ; car s'il y a bien une chose qui caractérise ce grand enfant, c'est d'être bloqué dans le passé - un passé agaçant, angoissant, peu attrayant. Les prunelles du jeune préfet sont capturées par la beauté du feu dansant dans la cheminée ; incendiaire éprouvant une fascination dévorante qu'il n'a jamais réellement su cacher ; il porte sa main vers lui, pour mieux se la réchauffer.
Et Kiyoshi, ce soir, tu lui évoques la même chaleur que ce brasier, aussi incandescent et éblouissant, que son coeur en est venu à chavirer. Ce moment en ta compagnie sera à jamais gravé dans sa mémoire et si plus tard, on lui demande de conter ses déboires, il raconterait cette soirée comme une source de délivrance à promouvoir ; une rencontre à l'en émouvoir. Le silence est d'or et vous en êtes à un stade ou vous n'avez pas besoin de parler pour vous comprendre ; ce silence n'est pas pesant, il n'évoque aucune souffrance, n'est en aucun cas une nuisance. Pourtant, Sora, dans sa tête, cherche ses mots, il veut continuer d'aller dans ce sens ; d'essayer de raconter son histoire, mais avec une certaine vigilance. Appréhension nonchalante qui use pourtant de dominance. Il ne souhaiterait pas que tu changes ta vision des choses le concernant ; alors forcément, Sora il prend son temps. Il pèse les mots, les formes, les changent.
Mais tu prends les devant Kiyoshi et tu lui proposes quelque chose qui le fout un peu sur le carreau, qui lui subtilise chacun de ses mots. Qu'est-ce qu'il peut rien répondre à cela si ce n'est qu'il ne comprend pas cette envie ? Si ce n'est que c'est une mauvaise idée ? Il n'en sait rien Sora. Il reste un peu sur le cul, sidéré. La tête penché en avant, il prend la pose du penseur de Rodin sans s'en rendre compte, plissant les yeux, fronçant les sourcils, usant de ses neurones pour comprendre. Que dire ? « Tu crois que c'est une bonne idée que je vienne un jour pour des vacances ? » Mauvaise façon de formuler les choses, ce n'est pas ce qu'il voulait dire, pas comme ça ; l'air morose, les mots se juxtapose et comme un virtuose, il rattrape sa prose. « Enfin, c'pas ce que je veux dire. C'est plutôt... Tu aimerais passer du temps avec moi pendant tes vacances ? » Encore une fois, ce n'est pas vraiment ce qu'il voulait dire, mais il est perturbé, un peu paumé également ; ce n'est pas une situation à laquelle il est habituée. « C'est que... Je reste quasiment tout le temps ici durant les vacances... » Souvent depuis bien des années ; il s'y complait, il trouve que c'est un échange de bon procédé. La tête penchée vers toi, un sourire en coin, c'est avec douceur qu'il vient poser sa main sur le sommet de ton crâne pour le caresser doucement, ébouriffant tes cheveux lentement. « C'est gentil Kiyoshi, t'es un garçon adorable, n'en doute jamais. »
Il ne sait plus y faire avec les gens, alors rencontrer ta maman, ça serait étrange et peut-être même, un brin embarrassant. Mais comment avouer une telle chose ? Un petit pas après l'autre, plus tard pour les plus grands.
Invité
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insomnie d'amour
feat. sora
Il hésite, Sora, il ne sait pas quoi dire, Sora, et tu lui souris, à Sora. Parce qu'il y a toute une amitié, toute une fraternité qui vient d'être créée, entre lui et toi.
Première question. Puis deuxième. Puis une affirmation. Et une énième. Et tu l'entends, Sora, tu fais attention à ce qu'il dit, à comment il le dit. Lui qui est si doué avec les mots d'habitude, tu as l'impression qu'il se perd, comme s'il ne savait pas y faire. Et ça t'étonne venant de lui, car Sora, tu l'admires beaucoup trop, il est tout ce que tu n'es pas, normalement.
Tendresse silencieuse, caresse affectueuse.
Tu rougis, laisses échapper un rire gêné. Adorable, peut-être pas. Perdu, sûrement oui. Tu veux juste être un enfant normal, être proche de ta mère. Et peut-être que Sora te l'apporte, cette normalité, sans même vraiment s'en apercevoir, sans même vraiment le savoir. Y'a ton cœur qui bat vite, très vite, trop vite. Et tu as envie de le remercier, Sora, pour avoir réchauffé cette soirée glacée.
« L'invitation tient toujours. »
Tu lui souris une nouvelle fois, puis tu étouffes un bâillement derrière ta main. Le sommeil commence à venir te chercher, mais tu préfères rester là. Sora te paraît bien plus enviable que ton lit froid.
hrp : on a pas la même notion de court mdrr
en tout cas c'est toujours glrhemgjhrzjl jtm d'amour
Première question. Puis deuxième. Puis une affirmation. Et une énième. Et tu l'entends, Sora, tu fais attention à ce qu'il dit, à comment il le dit. Lui qui est si doué avec les mots d'habitude, tu as l'impression qu'il se perd, comme s'il ne savait pas y faire. Et ça t'étonne venant de lui, car Sora, tu l'admires beaucoup trop, il est tout ce que tu n'es pas, normalement.
Tendresse silencieuse, caresse affectueuse.
Tu rougis, laisses échapper un rire gêné. Adorable, peut-être pas. Perdu, sûrement oui. Tu veux juste être un enfant normal, être proche de ta mère. Et peut-être que Sora te l'apporte, cette normalité, sans même vraiment s'en apercevoir, sans même vraiment le savoir. Y'a ton cœur qui bat vite, très vite, trop vite. Et tu as envie de le remercier, Sora, pour avoir réchauffé cette soirée glacée.
« L'invitation tient toujours. »
Tu lui souris une nouvelle fois, puis tu étouffes un bâillement derrière ta main. Le sommeil commence à venir te chercher, mais tu préfères rester là. Sora te paraît bien plus enviable que ton lit froid.
hrp : on a pas la même notion de court mdrr
en tout cas c'est toujours glrhemgjhrzjl jtm d'amour
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