11. Registre des clans et familles
L'Éventail
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
L'Éventail
Petite précision, un clan est une puissante famille qui a possédé et dirigé un territoire à un moment donné, ce qui en fait donc des seigneurs. En outre, les clans sont anciens et ont participé aux grands événements de l’histoire du pays, ce qui n'est pas forcément le cas d'une famille.
Toutes les familles ou clans ne sont pas obligatoirement inscrits dans ce registre, si vous souhaitez que le vôtre y apparaisse, veuillez contacter L’Éventail.
Lorsque l'image est en noir et blanc, cela signifie que la famille est actuellement fermée. Le responsable à contacter si vous souhaitez intégrer une famille est indiqué en gras dans la liste des membres.
A, B, C
★ Nom
D, E, F
★ Fujiwara
G, H, I
★ Nom
J, K, L
★ Kondo
M, N, O
★ Nom
S, T, U
★ Sugawara
★ Ueda
V, W, X
★ Nom
Y, Z
★ Nom
L'Éventail
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
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L'Éventail
C’est ici qu’à l’histoire officielle se mêlent les légendes familiales, issues des grandes chroniques rédigées par les seigneurs depuis le commencement.
La tradition veut que Kamatari ait été guidé vers la réussite par Inari en personne. Un soir, alors qu’il se promenait le long d’un champ, Kamatari trouva un renard blessé. Incapable de laisser la pauvre bête à l’agonie, il lui vint en aide, mais avant qu’il puisse agir, la déesse sortie du champ voisin. Pour récompenser son altruisme, Inari assura que tant que les Fujiwara resterait fidèle à leurs valeurs, le clan serait prospère et puissant. En souvenir de cette promesse, elle détacha un de ses cheveux, pour le placer sur la tête de l’homme, sa chevelure prit alors une teinte immaculée. Depuis ce jour de nombreux Fujiwara arborent des cheveux blancs, appelés bénédiction d’Inari.
Fujiwara no Fuhito fut le premier chef du clan. Ses quatre fils fondèrent les cinq branches, qui n’ont pas toujours été spécialisées comme elles le sont aujourd’hui. La branche des seigneurs, aussi appelée Nanke, possède de nombreux intérêt en politique. La deuxième branche, aussi appelée Hokke, s'est investi dans tous les domaines financiers possibles. La troisième branche, aussi appelée Shikike, était spécialisée dans l'armée, mais elle fut éliminée pour s'être opposée trop longtemps aux chefs de clan. La quatrième branche, aussi appelée Kyōke, est composée d'espions et de shinobis au service exclusif du chef de clan. La cinquième branche, aussi appelée Konoe, est issu de la Hokke et composée de prêtres, mikos, moines et moniales.
Période Heian. À cette époque, la Hokke et la Konoe, très investies en politique, parviennent à s’établir comme régents des empereurs de manière héréditaire. Le clan Fujiwara domine alors la politique et gouverne à la place des empereurs successifs qui deviennent fantoches dans les mains des régents. Tout s’arrête lorsque l’empereur Go-Sanjō accède au trône en 1068. Premier empereur dont la mère n’est pas Fujiwara, il procède à de nombreuses réformes pour rétablir la puissance impériale et diminuer l’influence du clan. Désormais, les Fujiwara œuvreront dans l’ombre pour contrôler le pays.
Shogunats Kamakura, Muromachi et Tokugawa. Pendant la longue période des bakufu, le clan Fujiwara préfère rester en retrait des grandes décisions politiques, exposant de plus en plus une neutralité de façade et joignant les bancs Anshin. Les chefs successifs préfèrent établir une armée puissante qui mêle sorciers maniant des sabres enchantés et moldus. La réputation de leur force militaire est telle qu’il leur arrive de louer leurs services à d’autres seigneurs ou shoguns, cependant ils ne font jamais rien sans que cela ne leur apporte un intérêt (financier, titres, biens).
Seconde Guerre mondiale. Le Japon entre en guerre, le seigneur Fumimori Fujiwara (1882-1945) choisi de soutenir à tout prix l’empire d’Hirohito. En apprenant la capitulation du pays par des sources internes de la maison impériale, il soutient des mutins qui veulent empêcher la radiodiffusion de l’annonce officielle. L’échec de l’opération, qui sera nommée plus tard incident de Kyūjō, et le déshonneur le poussent au suicide au matin du 15 août 1945.
Nuit des lames (4 au 5 août 1951). Alors que la réunion annuelle du clan bat son plein, les proches du chef de l’époque Arimori Fujiwara (1906-1979) éliminent tous les membres de la Shikike présents, sans considération pour leurs âges. La raison, de ce qui s’apparente à un génocide de plus d’une centaine de personnes, est simple : depuis trop longtemps la Shikike intrigue dans l’ombre pour prendre le contrôle du clan. On raconte que la terre du domaine se teint d’un rouge profond qui ne disparaîtra qu’après la saison des pluies suivantes. Cet acte est encore très présent dans la mémoire familiale et celle des autres clans, même si toutes les membres non-Fujiwara n’ont pas été tuées.
Bataille de Mahoutokoro (31 janvier 1997). Au cours de la bataille qui fait rage sur l’île de Minami-Iwo, les Fujiwara n’ont aucune perte à déplorer, Shion ayant été banni du clan quelques semaines plus tôt par Takamori. Cet événement change cependant profondément le clan. Quelques jours plus tard, en opposition à la prise de contrôle du ministère sur l’école et de peur qu’il finisse par politiser l’enseignement, Takamori choisit de rompre 800 ans de neutralité politique en annonçant le soutien officiel du clan Fujiwara à Gyokuji et à leurs valeurs.
Chambre des Sorciers. La légende veut qu’un Fujiwara était présent lors de la première séance de la Chambre des Sorciers. Adeptes des alliances de circonstances, le clan s’est toujours fait remarquer pour sa défense des lois conservatrices.
Ministère. S’il méprise depuis toujours la place du ministre de la Magie, il n’est pas rare de voir des membres du clan faire carrière dans certains départements, notamment la Division de Protection de la Communauté magique ou la Division des Accidents et Catastrophes magiques.
Banque Daikoku. L’argent est le nerf de la guerre. Les Fujiwara ont participé à l’édification de la banque Daikoku et ont toujours combattu les banques privées. De ce fait, tous les membres du clan ont accès à l’unique coffre du clan, qui fait partie des premiers ouverts dans la banque. On y trouve essentiellement des membres de la Hokke.
Bouddhisme et Shintoïsme. Loin d’être l’occupation principale de la majorité des Fujiwara, les membres de la Konoe ont vite compris l’intérêt de participer à la vie religieuse du pays. Prêtres, mikos, moines ou moniales, on trouve des Fujiwara au sein des clergés des deux grandes religions japonaises où ils participent au rayonnement du clan.
Cabinet F&F. Le cabinet F&F a été fondé au début du 20e siècle par un membre de la Hokke. Installé en plein cœur de Tokyo, il aide les entreprises magiques à utiliser la main d’œuvre moldue pour des basses tâches sans rompre le secret magique.
Investissements immobiliers et agricoles. Avec le temps, les Fujiwara ont compris l’importance de la propriété. Aujourd’hui le clan possède plusieurs dizaines de milliers d’hectars de terres agricoles dans tout le pays, ainsi que des milliers de maisons et immeubles. C'est la principale source de revenus du clan.
Sugawara. Rivaux, ennemis même, dans la course aux postes à l’époque où la cour impériale dirigeait le pays, Sugawara et Fujiwara ont une histoire commune tumultueuse. Les deux clans n’ont jamais cherché à se détruire l’un l’autre, conscient de l’impossibilité de la tâche. C’est donc une guerre froide qui est de mise, scellée par plusieurs unions successives jusqu’au 19e siècle. Il leur arrive néanmoins d’être alliés s’il faut défendre la maison impériale et la figure de l’empereur.
Tsukino. S’il y a un Fujiwara dans l’arbre généalogique de tous les clans sorciers, d’après la légende, il est certain que l’on n’en trouvera aucun dans celui des Tsukino. Les deux familles n’ont jamais réussi à s’entendre. Trop différentes pour trouver un terrain d’entente malgré les essais, elles appliquent depuis toujours une manœuvre d’évitement pour empêcher tout conflit destructeur. La dernière union entre les deux familles s’est soldé par un échec après la rupture des fiançailles entre Rajan Tsukino et Shion Fujiwara, mais cela n’a pas empêché Takamori Fujiwara de fiancer sa cousine Eirin à Ishvar Tsukino, espérant par la même occasion que ce dernier prenne la tête de son clan.
Hayashi. Allié sur la scène politique depuis longtemps, les Fujiwara ont à l’égard des Hayashi de l’admiration, ou tout autre sentiment s’en rapprochant le plus. Leur manière de penser, d’asseoir la domination du monde magique sur les moldus aurait pu donner des idées si les plus valeureux Fujiwara ne refusaient pas d’entrer en contact avec un moldu. Cependant, les relations se sont tendues depuis que Takamori Fujiwara a rompu les fiançailles entre Yori Hayashi et Eirin Fujiwara au bout de quelques mois seulement, préférant Ishvar Tsukino comme futur époux de cette dernière.
Ueda. Les rapports entre le clan Ueda et les Fujiwara se tissent dans l’obscurité d’une nuit sans lune depuis le 14e siècle. Réputé depuis toujours pour l’efficacité de leurs drogues et poisons, c’est tout naturellement que les chefs Fujiwara se sont intéressés à la fabrication de ces produits afin d’améliorer l’arsenal de leurs shinobis. Mais face aux risques trop importants de dépendances physiques ou psychologiques, ils se sont vite ravisés, préférant devenir de simple acheteur. Avec le temps, quelques Ueda se sont mariés avec des membres de la Kyōke, permettant aux espions Fujiwara de développer le gêne si important de la métamorphomagie.
Nanke : Takamori, Shion, Eirin, Ryuu, Naomi et Jie Lian.
Hokke : Miyuki, Suiren.
Kyōke : Takehiko.
Konoe : ∅.
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L'Éventail
— 781, Haji no Sukune Furuhito fonde le clan Sugawara.
— période heian : montée en éminence au sein de la cour et en tant que clan érudit.
— 823, fondation de leur école privée, San’in tei, s'occupe de former les futurs hauts-fonctionnaires de la cour.
— 903, mort de Sugawara no Michizane dû à un complot orchestré par les Fujiwara.
— Sugawara no Michizane devient un esprit vengeur ; châtie l'Empereur et les Fujiwara de l'avoir bafoué.
— 987, déification de Sugawara no Michizane en Tenjin.
— 1005, participation à l’emprisonnement de l’esprit de Seimei.
— périodes kamakura, muromachi, sengoku : la cour garde une certaine influence malgré l’ascension de la classe guerrière, le clan continue de prospérer et leurs talents en médicomagie sont mis à l’œuvre sur les champs de batailles.
— période edo : le shogunant Tokugawa les destituent de nombreuses de leurs fonctions et, en créant le Ministère de la Magie, fait tomber en désuétude une partie de leur école.
— 1867, chute du shogunat Tokugawa orchestrée par les Sugawara.
— période meiji : les fonctions perdues sont retrouvées, San'in tei forme désormais les futurs fonctionnaires du ministère.
— 1997, immédiate adhésion du clan à l'affiliation de l'Empereur ; le clan s'oppose tout autant à l'ambition du ministère que celle de Seimei.
À ce jour, Les Sugawara sont présents au ministère de la magie, mais ne recherchent guère à avoir totale main mise dessus ; il est rare, également, de les croiser aux devants de la scène politique, bien que leurs courants de pensée l’influencent. Ils opèrent encore leur école, instruisant les futurs fonctionnaires du ministère ou de fins médicomages, perpétuent leur étude sur la magie et le culte de Tenjin.
Procureurs
Précepteurs
Professeurs
Prêtres Shinto (culte de Tenjin)
Experts
Savants
Médicomages
Oubliators
Onmyoji
Exorcistes
Écrivains
Poètes
Archivistes
Historiens de la magie
Propriétaires d'établissements
* liste non-exhaustive, des métiers à l'intérieur du clan existent également
Famille impériale : Au chrysanthème, les Sugawara vouent infaillible fidélité depuis la nuit des temps. A l'instar de clans ambitieux d'en prendre le contrôle, ils n'ont jamais convoité le trône — et en sont remerciés par la pleine confiance des Empereurs accordée en retour. Ils ont procuré épouses et concubines impériales, et de réserve, mais nul enfant de ces unions n'accéda jamais au pouvoir suprême. Encore à ce jour, le rôle de précepteur impérial est détenu par les Sugawara et continuent d'apporter conseils à l'Empereur, honorables devoirs qui les incombent depuis l'ère Heian.
Fujiwara : Jadis alliés, leur symbiose fût broyée à jamais durant Heian. Responsables du complot menant à l’exil de Sugawara no Michizane, les Fujiwara furent châtiés de leur trahison par son esprit vengeur. La relation entre les deux clans, depuis, ne réussit à retrouver sa balance d'antan, outre lorsqu’il est question de protéger l’Empereur, et bascule sans cesse d’amour à haine. Le dernier mariage entre les deux clans date du 19ème siècle.
Awataguchi : L’ère Edo a amené un nouveau souffle aux rapports entre les deux clans : s’ils ont longtemps été en bons termes, des intérêts commerciaux ont créé un partenariat entre les deux. Le clan d’artisans n’a jamais refusé de répondre aux inventions étranges du clan de savants ; ces derniers ont d’ailleurs été le premier client de baguette magique des Awataguchi.
Tsukiyomi : Une fervente spiritualité unit Tsukiyomi et Sugawara, et le fait qu’ils ont leur sensibilité propre a permis à leur relation de ne jamais se maculer de mauvais sentiments. Au fil du temps, s’est rajouté leur attachement mutuel pour la culture traditionnelle, que tous deux se sont donnés mission de préserver.
Tsukino : S’ils ont partagé jusqu’à ce jour d’excellentes relations, la récente trahison de leur héritier, Rajan, a instauré des tensions entre les descendants de la lune et les enfants des cieux. Incertains de l’avenir du clan Tsukino, les Sugawara observent de près ses éventuelles évolutions, peu désireux d'être pris de court
Ueda : Si à ce jour leur relation est tiède, elle n’a pas toujours été ainsi. D’abord en bons termes jusqu’à la fin de l’ère Heian, ce sont les entreprises en drogues et poisons des Ueda qui, par la suite, ont jeté un froid — les Sugawara n’appréciant peu ce morbide commerce. Il fallut attendre le 19ème siècle pour que les relations entre les deux clans se réchauffent grâce à une vision similaire concernant l’acceptation des sang-mêlés.
Takatsuji Shinume Sugawara
Karahashi Hanamaru Sugawara, Ryouei Sugawara, Benhime Sugawara
Kiyooka Sukehiro Sugawara, Hizakari Sugawara
Kuwabara Nadeshiko Sugawara
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L'Éventail
La tradition veut, quant à elle, que les Ueda tiennent leurs pouvoirs d’un pacte formé avec un Baketanuki, après que leur fondateur lui ait offert abri et pitance lors d’un soir d’orage. Pour le remercier de son hospitalité et alors qu’ils partageaient une bouteille de saké, le yōkai emplit sa coupelle de son propre nectar, cédant ainsi au sorcier ses dons si singuliers. En hommage à cette légende, plusieurs temples dédiés au Baketanuki ont été érigés sur les territoires du clan.
— 655 : Ueda no Azusa et son frère, Ueda no Hide, étroitement liés à l’impératrice Kogyoku, l’accompagnent lorsqu’elle va résider dans le palais de Okamoto no Miya, dans la province d’Oomi (aujourd’hui préfecture de Shiga). C’est là que s’installe la majeure partie du clan et, aujourd’hui encore, on trouve des résidences Ueda dans la préfecture de Shiga, en plus de prêtres dans les temples qui s’assurent de leur allégeance aux divinités.
— 661 : Les deux frères assistent aux funérailles de Saimei (impératrice Kogyoku), et disparaissent.
— 809 : L’empereur Heizei tombe malade et abdique. Il fomente une rébellion un an plus tard avec sa femme, Fujiwara no Kusuko, mais échoue, vaincu par l’armée impériale. On soupçonne sa maladie d’être en réalité les effets d’un poison, supposément brassé par les Ueda.
— Milieu XVe siècle : l’époque Sengoku fait resurgir les Ueda sur le devant de la scène. Après plusieurs siècles de silence, ils s’engagent dans la période de conflits au travers d’une alliance avec les Fujiwara, et de nombreux commerces d’armes & de poisons en tous genres. Cette ère est l’essor des Ueda, qui les a guidé où ils en sont aujourd’hui.
— Fin XIXe siècle : L’ouverture du Japon au reste du monde pousse les Ueda à s’implanter dans les contrées occidentales. C’est aussi dans cette période qu’ils se mêlent aux moldus.
— 1849 : Naissance du chef actuel, Masamune Ueda.
— 1897 : Mort du précédent gérant, Haruki Ueda.
— 1941 : Naissance de l’héritier du chef, Satoshi Ueda.
— Février 1997 : Satoshi Ueda est déshérité et c’est le frère cadet de Masamune, Hidejirou, qui devient exceptionnellement l’héritier, le fils de Satoshi étant unanimement jugé trop jeune et inexpérimenté pour diriger le clan.
— Mai 1997 : Masamune Ueda décède des suites d’un surmenage évident. Hidejirou devient le chef du clan, et prend pour héritière sa seule fille de sang pur, Poppy Ueda.
Renseignement. Redoutables de par leur indéniable virtuosité en métamorphose, les Ueda se placent aisément parmi les informateurs les plus talentueux — plus qu’un fait avéré, c’est une rumeur populaire qui les hisse sur ce piédestal : les kaonashis. Branche méconnue et dont l’existence serait démentie par le clan, elle est dite exclusivement composée de métamorphomages défaits de leur identité première, et engagés au profit de la famille. Espions de haut vol d’une part, et d’autre part connus pour faire le lien entre les Ueda et le marché noir, on les suppose affiliés à des clans yakuzas d’importance. Aucune preuve n’a été fournie jusqu’ici, mais on sait la famille habile en matière de renseignement.
Division de Contrôle des Créatures magiques. Secteur dans lequel les Ueda font moins parler d’eux, on les sait pourtant impliqués dans cette division de par leur intérêt pour les créatures magiques — autrefois célèbres pour leurs élevages d’animaux fantastiques en tous genres, principalement pour les propriétés applicables dans leurs potions, ils conservent un certain pouvoir décisionnel dans le domaine — pouvoir qu’ils exercent en y occupant certains sièges.
L’orphelinat Umiyasu. Bien qu’il s’agisse officiellement d’un orphelinat tout ce qu’il y a de plus ordinaire, ils y proposent principalement une alternative plus humaine au traitement habituel des enfants sang-purs nés hors mariage, ainsi qu’un soutien non négligeable pour les parents de né-moldus. Connu des moldus comme un établissement scolaire dédié aux enfants problématiques, il retourne en réalité de délester les non-sorciers égarés d’un poids qu’ils pensent trop lourd à porter. Cependant, on notera que l’objectif initial de l’orphelinat était d’offrir une éducation convenable aux enfants de sorciers morts au combat, sans proches pour les recueillir. Fondé par une des nièces du chef des Ueda, il survit par le biais de dons ponctuels ou réguliers—les plus généreux provenant notamment des Awataguchi et des Kamishirai, sous l'initiative de Toki Kamishirai.
Métamorphomagie. Sans conteste le principal pouvoir des Ueda, la métamorphomagie a longtemps été primordiale chez tous leurs enfants. Si aujourd’hui les rejetons sans le don sont acceptés au sein du clan, ça n’était pas le cas ne serait-ce que cent ans plus tôt — et bien qu’ils soient prompts à céder leurs femmes à d’autres clans pour le gène, chaque portée d’une alliance ne disposera que d’un seul métamorphomage. Au travers d’une potion prise régulièrement (et suite à la naissance du premier mage béni du don), elles empêchent ledit gène de toucher leur future engeance et conservent ainsi son caractère rarissime.
Militaire. Moins imposante que d’autres clans, l’armée Ueda tire son succès de ses fines stratégies : c’est à rebours qu’elle attaque et vicieusement qu’elle vainc ses ennemis, car il n’est nulle forme qu’un guerrier Ueda ne peut prendre. Leur réputation les précède de par la sauvagerie de leurs massacres, pas tant physique que mentale. Car les Ueda prennent plaisir à détruire leur adversaire par le mental en priorité, grâce à leurs inégalables talents de tromperie. Leur armée est redoutable pour la simple raison qu’elle pourrait aisément infiltrer celle de l’ennemi, et la ronger à la source.
Agriculture et territoires. Quelques siècles plus tôt, ils étaient aussi connus pour leurs élevages de créatures magiques, notamment utilisées dans le cadre des productions de potions. Aujourd’hui il s’agit plus des récoltes de leurs alliances, mais la quantité de territoires occupés par les Ueda reste importante ; si ces terres sont à présent louées par des alliés ou des familles inférieures, toujours est-il qu’elles leurs appartiennent.
Architecture. Domaine bien mineur pour le monde, mais encore primordial chez les Ueda — ils tirent une grande fierté de leur génie d’architectes, et sont à la source de nombreux bâtiments pour le moins atypiques. Le plus récent reste l’orphelinat Umiyasu, qu’ils ont pris un certain plaisir à imaginer.
Tsukino. Alliance datant de l’époque où le clan Tsukino portait encore le nom de Tsuki, elle a été renouvelée avec eux plus rapidement qu’avec leurs distants proches — là où les Ueda, fidèles à eux-mêmes, fournissent des métamorphomages aux Tsukino, ces derniers les assistent dans le camouflage de leurs offices trop obscures. De fait, les Ueda poursuivent leurs affaires illicites sous la protection du contrôle qu’exercent les Tsukino sur la presse.
Fujiwara. Les Fujiwara se sont tournés vers les Ueda lors du 14e siècle, en quête de psychotropes et de poisons divers et variés ; s’ils ont préféré se contenter des seconds, ils font aujourd’hui encore parmi de leurs plus influents acheteurs, en plus d’une de leurs alliances les plus puissantes. Finalement, c’est sans surprise que des métamorphomages sont aussi cédés aux Fujiwara.
Sugawara. Alliance déjà fragile que l’époque Sengoku a achevé de briser, les deux clans renouent graduellement depuis quelques décennies ; c’est principalement au travers de l’union de Hidejirou Ueda et de Shiori Sugawara qu’ils ont scellé leurs réconciliations, après les environs d’un gros siècle à réaliser leur acceptation commune des sorciers de sang mêlé.
Ninomiya. Liens tissés récemment, les Ueda se sont intéressés aux Ninomiya grâce à leur potentiel agricultural ; plutôt que d’épuiser leurs propres hommes en culture pointue, ils ont préféré offrir au clan une alliance d’intérêt foncièrement économique, et fait d’eux leur principal fournisseur de matières premières.
Tsugikuni. Alliance des plus traditionnelles, c’est le don de troisième oeil des Tsugikuni qui s’est risqué à taper dans celui des Ueda. Les deux clans échangent des enfants dans le but d’introduire les dons dans leurs propres clans, et les Ueda n’hésitent pas à se tourner vers les Tsugikuni lorsqu’ils rencontrent des difficultés nécessitant des onmyojis, leurs talents en la matière n’étant que très basiques et superficiels.
Branche économique. Yume, Yoshitaka, Poppy.
Branche informative. Reo.
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— 1846 : Ino Fujiwara devient Ino Kondo avec l'accord de son mari
— 1870 : Uzuki Kondo épouse Haruo Kondo, tout deux sang-pur, élève grâce à cet union le nom de famille Kondo.
— 1920 : Mort de Uzuki pendant une mission, c'est sa première fille, Kako Kondo qui prends la tête de la famille à l'âge de 20 et ayant terminé ses études à Mahoutokoro.
— 1922 : Kako Kondo épouse Aoki Yoshito, qui prends le nom de famille Kondo avec la seule contrainte de prendre le nom de famille Kondo. La famille Aoki restera très près des Kondo est plusieurs union entre les deux familles auront lieu.
— 1925 : Naissance de l’actuelle héritière Kondo, Umeko Kondo.
— 1949 : Naissance de Kondo Sango
— 1968 : Sango fini ses études et épouse Aoki Masaru.
— 1969 : Naissance du premier fils de Sango et Masaru, Daiki Kondo
— 1975 : Naissance du deuxième fils de Sango et Masaru, Hiroshi Kondo
— 1978 : Naissance de la future héritière de la famille Kondo, qui est née de l'union de Aoki Masaru et Kondo Sango, dont le prénom est Maiko.
— 1985 : Maiko fait sa rentré à Mahoutokoro, finit chez les Kitsune, ce qui provoque la colère des Kondo qui la voyait comme toutes les autres femmes chez les Yatagarasu.
— 1988 : Hiroshi Kondo quitte le domaine des Kondo pour celui des Aoki, Daiki a fini ses études à Mahoutokoro et entre dans le ministère grâce à ses tantes.
— 1994 : Hiroshi fini ses études et fuit le Japon, et actuellement à l'étranger.
— 1996 : Dixième année de Maiko Kondo, annonce de ses fiançailles par lettre cacheté le 1er novembre avec Ritsuka Miura.
Professeurs
Magizoologistes
Aurors
Joueurs internationaux de Quidditch
Secrétaires
Commerçants
Branche Secondaire : Emi Kondo, Mariko Kondo
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