Making melody with your hearts - Ft. Tsubomi
Kazuha Hayashi
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Age : 38 - 12.10.1959
Rang : S1
Seimei
Kazuha Hayashi
Making melody with your hearts
20 ➜ 04 ➜ 1998 ➜ Ft. Tsubomi
“La gentillesse, c'est la résonance la plus profonde, la vie de deux êtres qui ont le courage de communiquer.”
Coucher de soleil en train de pointer son nez, élèves maintenant rentrés dans leur commodité. Cela fait un mois que ses notes ont commencé à résonner dans les oreilles des êtres respirant pendant leur scolarité.
Depuis toujours la pédagogie lui était destinée et ce sourire dessinait à chaque fois ses lippes quand cette passion permettait de faire vibrer le cœur de ses sorciers qui, pour lui, n’était encore que des bourgeons sur le point de fleurir.
Aujourd’hui, son nid n’avait pas été quitté en même temps que ces petits oisillons sur lequel il veillait prudemment. On ne sait jamais si un enfant avait une question qui lui brûlait le bec.
Ses yeux fermés pour le temps de quelques mesures inscrites sur une partition mentale, Kazuha s’était mis à pincer les cordes de sa tendre amie, la lyre.
Il n’avait besoin de lyrics car le cœur des gens chantait à leur place dans son esprit, ces berceuses qu’on lui avait permise d’écouter, d’apprendre et de répéter. Chaque cœur battait dans un tempo différent qui leur était propre, jamais égal à un autre et le musicien aimait les interpréter, leur répondre et pouvoir comprendre leur mot, pauvre esprit égaré…
Ce spectacle était béni par les lueurs de cette étoile solaire en train de disparaitre pour laisser place à son opposé, à demain soleil bien aimé.
Ce feu reflétait parfaitement son crépuscule dans les cheveux nacré de l’Hayashi maintenant enfermé dans cette tournante de ronde, de croche et de soupir. Si quelqu’un désirait venir l’écouter, il en serait toujours ravi de voir que ces balades attiraient oreilles curieuses ou musicien à en devenir.
Si une âme s’approchait de lui, son ouïe fine ne pouvait que l’avertir et peut-être que sa mélodie changera pour t’accueillir, toi qui partageais cette amour de la symphonie.
Un chant pouvait être merveilleux en solitaire, mais deux cœurs pouvant se répondre était, pour Kazuha, la façon la plus sublime de pouvoir communiquer avec quelqu’un. Ce don que si peu de personne avait la chance d’apercevoir…
Quelle conversation allait-il avoir la chance d'ouïr, ce soir.
Depuis toujours la pédagogie lui était destinée et ce sourire dessinait à chaque fois ses lippes quand cette passion permettait de faire vibrer le cœur de ses sorciers qui, pour lui, n’était encore que des bourgeons sur le point de fleurir.
Aujourd’hui, son nid n’avait pas été quitté en même temps que ces petits oisillons sur lequel il veillait prudemment. On ne sait jamais si un enfant avait une question qui lui brûlait le bec.
Ses yeux fermés pour le temps de quelques mesures inscrites sur une partition mentale, Kazuha s’était mis à pincer les cordes de sa tendre amie, la lyre.
Il n’avait besoin de lyrics car le cœur des gens chantait à leur place dans son esprit, ces berceuses qu’on lui avait permise d’écouter, d’apprendre et de répéter. Chaque cœur battait dans un tempo différent qui leur était propre, jamais égal à un autre et le musicien aimait les interpréter, leur répondre et pouvoir comprendre leur mot, pauvre esprit égaré…
Ce spectacle était béni par les lueurs de cette étoile solaire en train de disparaitre pour laisser place à son opposé, à demain soleil bien aimé.
Ce feu reflétait parfaitement son crépuscule dans les cheveux nacré de l’Hayashi maintenant enfermé dans cette tournante de ronde, de croche et de soupir. Si quelqu’un désirait venir l’écouter, il en serait toujours ravi de voir que ces balades attiraient oreilles curieuses ou musicien à en devenir.
Si une âme s’approchait de lui, son ouïe fine ne pouvait que l’avertir et peut-être que sa mélodie changera pour t’accueillir, toi qui partageais cette amour de la symphonie.
Un chant pouvait être merveilleux en solitaire, mais deux cœurs pouvant se répondre était, pour Kazuha, la façon la plus sublime de pouvoir communiquer avec quelqu’un. Ce don que si peu de personne avait la chance d’apercevoir…
Quelle conversation allait-il avoir la chance d'ouïr, ce soir.
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