Apprentissage d'une petite Kakariki - Ft. Kayo
Kazuha Hayashi
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Age : 38 - 12.10.1959
Rang : S1
Seimei
Kazuha Hayashi
Apprentissage d'une petite Kakariki
18 ➜ 04 ➜ 1998 ➜ Ft. Kayo
“L'apprentissage est la seule chose que l'esprit n'épuise jamais, ne craint jamais
et ne regrette jamais.”
et ne regrette jamais.”
Depuis que son nid avait élu domicile dans cet établissement, le professeur avait pris soin de se renseigner sur l’histoire du personnel et des élèves qui avaient traversés les couloirs dans cette dernière décennie.
Nombreux étaient les âmes en peines suite à la guerre et aux attaques précédent ce désastre. Kazuha en avait malheureusement vu des vies se terminer bien trop tôt alors qu’elles ne demandaient qu’à briller et son cœur savait que des élèves en avaient de la peine à se relever.
Si des adultes n’y arrivaient pas, les enfants n’avaient aucune chance de sortir de ce gouffre seul, sans une main tendue…
Thérapeute à ses heures libres, impensable était pour l’Hayashi de laisser ses nouveaux protéger la tête sous l’eau, se noyer à cause d’un chagrin ingérable.
Vous avez une des raisons principales des heures supplémentaires que le nouvel enseignant se tenait de proposer à ses oisillons.
Aujourd’hui, son attention était posée sur toi, petit Kayo, nouvelle Awataguchi de nom. Il avait vu la peine que tu te donnais à tenter de suivre son cours, d’apprendre d’un instrument sans savoir lequel te correspondait vraiment.
Pour Kazuha, il était hors de question de ne pas aider une élève aussi attentive et qui peinait devant une difficulté. Sa décision était prise : il t’aidera à trouver arme à ta main, celui qui te guida jusqu’à la fin de ta scolarité.
Ce n’était pas la première fois qu’il te parlait bien sûr au courant du requiem que ton cœur chantait suite au décès de ta petite sœur et de ton amie il y a de ça si peu de temps… Lui qui avait perdu un membre de sa famille plus jeune que toi, sa musique te sera consacrée jusqu’à que ta tête soit à nouveau relevée.
Pour le moment, c’était dans cette salle de cours que l’homme t’attendait, que tu sois prête. Ce rendez-vous qu’il t’avait donné discrètement pour éviter que quelqu’un se moque d’un manque de capacité. ( Il savait à quel point les jeunes pouvaient être redoutable à cet âge-là…)
Toujours aussi patient, ses doigts pincèrent quelques cordes pour s’échauffer, que sa mélodie t’accueille dès que tes pas allaient rentrer dans son nid, son cocon fait de plume. Cet espace réconfortant.
Nombreux étaient les âmes en peines suite à la guerre et aux attaques précédent ce désastre. Kazuha en avait malheureusement vu des vies se terminer bien trop tôt alors qu’elles ne demandaient qu’à briller et son cœur savait que des élèves en avaient de la peine à se relever.
Si des adultes n’y arrivaient pas, les enfants n’avaient aucune chance de sortir de ce gouffre seul, sans une main tendue…
Thérapeute à ses heures libres, impensable était pour l’Hayashi de laisser ses nouveaux protéger la tête sous l’eau, se noyer à cause d’un chagrin ingérable.
Vous avez une des raisons principales des heures supplémentaires que le nouvel enseignant se tenait de proposer à ses oisillons.
Aujourd’hui, son attention était posée sur toi, petit Kayo, nouvelle Awataguchi de nom. Il avait vu la peine que tu te donnais à tenter de suivre son cours, d’apprendre d’un instrument sans savoir lequel te correspondait vraiment.
Pour Kazuha, il était hors de question de ne pas aider une élève aussi attentive et qui peinait devant une difficulté. Sa décision était prise : il t’aidera à trouver arme à ta main, celui qui te guida jusqu’à la fin de ta scolarité.
Ce n’était pas la première fois qu’il te parlait bien sûr au courant du requiem que ton cœur chantait suite au décès de ta petite sœur et de ton amie il y a de ça si peu de temps… Lui qui avait perdu un membre de sa famille plus jeune que toi, sa musique te sera consacrée jusqu’à que ta tête soit à nouveau relevée.
Pour le moment, c’était dans cette salle de cours que l’homme t’attendait, que tu sois prête. Ce rendez-vous qu’il t’avait donné discrètement pour éviter que quelqu’un se moque d’un manque de capacité. ( Il savait à quel point les jeunes pouvaient être redoutable à cet âge-là…)
Toujours aussi patient, ses doigts pincèrent quelques cordes pour s’échauffer, que sa mélodie t’accueille dès que tes pas allaient rentrer dans son nid, son cocon fait de plume. Cet espace réconfortant.
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