— MAHOUTOKORO
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Quand le chat est reveillé, la petite souris se cache ! [Yori Hayashi]
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Tu avais cours de sortilège sauf que tu avais horreur de ce cours-là plus que de n'importe quel autre cours à part le soins aux créature magique.

Tu t'étais diriger sagement vers cette salle avant de simuler auprès de tes camarades bien stupide, un maux de ventre et que tu pouvais aller seule jusqu'à l'infirmerie.

Des imbéciles qui te souhaitèrent un bon repos, ce que tu allais faire puisque tu te dirigeais vers ta chambre où un paquet de bonbons n'attendais que toi pour être déguster, l’idée de t’installer dans la salle commune était une idée qui germais et prenait plus de place que de rester dans ta chambre.

Tu étais bien heureuse de ce cours sauter encore une fois même si tu savais évidement que tu devrais le rattraper, plus tard beaucoup plus tard ! Apprendre des sortilèges te répugnait et pourtant tu étais obligé, enfin que tu y assistait tu écoutais à moitié et ne participait jamais donc le professeur ne pouvait rien te dire vu que tu ne mettais pas le bazar dans son cours.

Tu simulais toujours auprès des personnes devant qui tu passais et saluait poliment avec ce faux sourire que tout le monde croyait comme vrai. Les gens sont vraiment trop stupide et ne font qu’accroître ta haine dans ton cœur déjà remplis de haine.

Cela te faisait rire intérieurement de les berner aussi facilement puis tu arrivais enfin au premier étage, enfin ce n'est pas trop tôt, tu maudit cette école trop grande pour tes petites jambes.

Tu regarde autour de toi et cours vers la porte menant aux dortoirs des Tsuchigumo. Tu te voyais déjà, ton paquet de bonbon tout prés de toi allongé sur l'un des canapés de la salle commune pénarde sauf que la porte du dortoir s'ouvre sur une personne que tu pensais en cours à cet heure là...

Tu te planque sauf que tu es sure qu'il t'a remarqué... Il est fourbe et va sûrement tout faire pour te faire sortir de ta cachette et t'obligé à aller en cours, foutu préfet à la noix.
Yori Hayashi
Quand le chat est reveillé, la petite souris se cache ! [Yori Hayashi] 190204091233391372
Citation : All is lost again but i'm not giving up
Age : 19 (16 mars)
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Yori Hayashi
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Yori Hayashi



Quand le chat est éveillé, la petite souris se cache.
« L'élève, comme la rivière, aimerait suivre son cours tout en restant dans son lit... »  — Albert Camus

Tu étais supposé avoir cours de divination en cette après-midi, mais avec cette rentrée improvisée, votre professeur vous avez exceptionnellement laissé l’occasion d’utiliser cette heure pour travailler sur un devoir qu’il vous a donné. Comme tu n’as jamais porté le moindre intérêt à cette matière, tu avoues avoir pris la nouvelle comme étant une bonne occasion de disposer d’une heure de libre supplémentaire.

Tu le ferais ce foutu devoir, au cours de la soirée, quand t’auras rien de mieux à faire. Ou le matin, en te réveillant. Avec un peu de chance tu auras eu des rêves inspirants. Parce que c’est un peu ça la divination, après tout : de l’imagination, des rêves. Tu as vraiment du mal à croire en sa véridicité. C’est une question de probabilité, peut-être : quelles sont les chances que l’avenir se produise de cette façon ?

Tu peux en faire quand tu veux, de la divination. Tiens, là par exemple, tu prédis que tu vas aller faire un tour dehors, un livre à la main, pour y prendre l’air. T’installer confortablement et passer l’heure à venir à bouquiner.

Tu t’apprêtes à sortir du dortoir quand le destin te rappelle à quel point tu es mauvais en divination. Tu remarques une petite silhouette précipitée qui court se planquer en te remarquant. Tu n’as pas eu le temps de bien l’apercevoir, mais suffisamment pour deviner qu’il s’agit de cette chère Sayuri. Ça ne t’étonne pas : cette gamine ne fait que s’attirer des ennuis et si elle se cache, c’est qu’elle a encore dû faire une bêtise. Tu paris qu’elle sèche les cours et cette fois ce n’est pas une prédiction de ta part. Juste une évidence.

« Dis donc petite souris, ça ne sert à rien de te cacher. Je t’ai vu. »

Tu croises les bras tandis que tu fais face à sa supposée cachette, attendant qu’elle en sorte par elle-même. Tu as le sourire au lèvre, amusé d’avance par cette entrevue.

« Alors comme ça, on sèche encore les cours ? Laisse-moi deviner. Tu espérais profiter d’un moment tranquille dans notre salle commune ? Tu aurais mieux fait de te cacher dans un endroit où tu aurais eu moins de chance de croiser quelqu’un que tu connais, soupires-tu. »
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Réfléchis et vite, il sait bien que c'est toi qui est caché Sayuri donc il faut que tu trouve une bonne excuse comme quoi tu n'allais pas sécher les cours pour la énième fois.

Tu passe une main dans tes cheveux et remarque que celle-ci sont vide, pas de livre ni de baguette... Tu fouilles tes poches, pas de baguette non plus...

La voilà ton excuse sauf que ce n'est pas suffisant, il faut trouver quelque chose sur le fait que tu te sois caché quand tu a remarqué ton chère préfet... C'est plus compliqué, dire que tu voulais éviter de faire remarquer ton étourderie ou bien alors jouer la comédie avec des larmes de crocodiles pour faire croire que tu ne voulais pas faire remarquer...

Non, cela te correspond pas cela ! Tu dois trouver autre chose, tant pis pour le paquet de bonbons tu va juste avouer que tu a oublier tes affaires et aller en cours sagement même si cela te met en rogne.

Tu sors de ta cachette, tu a envie de hurler de dire que oui tu allais sécher en mangeant un paquet de bonbons sauf que cela n'arrangera pas ta situation.

Sans un sourire, juste avec tes yeux qui en disent long sur ce que tu pense de ton aîné Tsuchigumo, tu lui réplique ce que tu as préparer avec ce ton sec qui est le tiens.

- De suite les conclusion pour me mettre plus bas que terre !

Tu souris mauvaisement et le regarde de travers, tu pouvais continuer tes répliques, qu'il te croit ou non tu t'en fichais royalement, tu étais convaincue que ce petit mensonge te sortirais de ton mauvais sort.

- Je viens juste chercher mes affaires sans que personne ne remarque que je me balade les mains dans les poches.

Pour une fois, même si tu n'aimais pas le cours de sortilège tu allais y assister vu qu'on t'avais accusé un peu trop vite à ton goût de sécher les cours même si c'était ton intention première.

- Donc si tu me le permet, préfet, je vais aller cherche mes affaires.

Un petit rictus sortis de ta bouche en regardant ce pauvre préfet qui pour une fois allait avoir tort à ton sujet et cela te mettais dans une joie immense pour le moment.
Yori Hayashi
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Quand le chat est éveillé, la petite souris se cache.
« L'élève, comme la rivière, aimerait suivre son cours tout en restant dans son lit... »  — Albert Camus

Il faut quelques instants à Sayuri pour sortir de sa cachette. Instant pendant lesquels tu t’es demandais si elle n’allait pas te forcer à l’en faire sortir par toi-même. Elle devait se savoir piégée, de toute évidence. Si elle était arrivée quelques minutes plus tard, elle serait peut-être parvenue à t’échapper, mais votre timing était parfait. Pour toi.

Tu attends, tes bras croisés, qu’elle te donne une explication sur sa présence. Une explication factice, certainement. Tu imagines les rouages de son cerveau se mettre en route, cherchant une bonne excuse à te fournir. Et toi, tu es prêt à la contrer, quoi qu’elle te dise, car elle a déjà commis une erreur.

Tu écoutes sa plainte, son air faussement vexé de tes accusations. Ou peut-être l’est-elle réellement. Tu espèrerais presque l’avoir vraiment blessé, si cela ne signifiait pas que tes insinuations sont fausses. Tu n’interviens pas encore, mais ton sourire sarcastique exprime ton exaspération face à sa réaction.

Elle t’explique qu’elle a oublié ses affaires et, heureusement pour elle, son manque de rigueur lui a fournit cette excuse puisqu’elle est effectivement dépourvue de baguette et de manuel scolaire. Soit elle les a volontairement laissés dans son dortoir, soit elle les a réellement oubliés par manque d’intérêt envers l’école. Dans tous les cas, tu ne penses pas qu’elle ait eu l’intention de se rendre docilement en cours.

« Excusez-moi, princesse, lui réponds-tu avec une légère courbette. »

Tu la laisses s’éloigner un peu, afin de lui laisser le temps de savourer sa victoire de quelques secondes, puis ton parle à nouveau.

« Dans ce cas… Tu peux peut-être m’expliquer pourquoi tu t’es caché quand tu m’as vu ? »

Tu t’es à peine retourné en lui disant ces mots, la jugeant du regard par-dessus ton épaule.
Tu aurais eu plus de mal à la contredire si elle était restée imperturbable dès l’instant où vous vous êtes vu, mais c’est l’erreur qu’elle a faite : elle a eu besoin d’un moment de répit pour se justifier. C’est presque dommage : avec son comportement hautain et sa plaidoirie, elle pourrait être crédible.

« Aurais-tu peur de moi à ce point ? »
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Il m'énerve avec ces gestes d'adulte parfait, mais j'ai gagné ! Mon demi-mensonge a parfaitement marcher, ce préfet à la noix n'y a vu que du feu même si je sais qu'il ne doit pas réellement me croire sauf que cela m'importe peu.

Il me laisse donc marcher jusqu'à la porte de la salle commune pour aller sois disant chercher mes affaires sauf que je vais rester plus longtemps à discuter mon paquet de bonbon en riant de ce mensonge.

Sauf que les questions qu'il me pose alors que nous sommes dos à dos tel les cowboys dans le far ouest comme les livres qu'elle te lisait, me font me retourner avec de grand yeux qui exprime une colère et une incompréhension total de cette personne.

Moi ! Peur de lui ! Mais, c'est une blague ! Il veut me voir en colère, ça l'amuse je vois que ça... Sinon quoi ! Il a un grain dans sa tête, je vois que ça...

- Je l'ai déjà dit le pourquoi je me suis caché, préfet ! Et pourquoi aurais-je peur de toi ?

Oui, pourquoi aurais-je peur d'un adulte ? C'est une question inutile, qui ne devrait pas exister dans son esprit qu'il pose !

- Cela frôlerait le ridicule si j'avais peur de toi préfet !

Complètement ridicule et insensé, je dois garder mon calme sauf que la haine que j'ai en moi souhaite exploser sauf qu'elle ne doit pas exploser sinon cela lui donnerait certainement raison et il doit toujours avoir tort avec moi, sinon je ne pourrais certainement plus me regarder dans un miroir sans voir son sourire satisfait.

- As-tu d'autre question de ce genre à me poser avant que je parte chercher mes affaires ?

Je le regarde de toute ma hauteur même si je suis plus petite et jeune que lui, je sais me montrer menaçante. Je n'ai certainement pas peur de lui et même si je montre insolente cela ne me dérange pas plus, je ne suis pas ici de mon plein gré donc je ne vais pas m’abaisser à apprécier une personne que je ne peux pas blairer clairement.
Yori Hayashi
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Elle s’éloigne avec une certaine satisfaction et tu as envie de pouvoir lire les pensées, juste pour te délecter de sa frustration quand elle découvrira qu’elle s’est fait avoir.

Finalement, tu n’as pas besoin d’être legilimens puisque, le visage tourné vers elle au moment où tu lances ton sarcasme, elle se tourne vers toi avec une expression particulièrement détaillée, oscillant entre la colère et l’incompréhension.
Tu as le don pour trouver les propos qu’il faut. Pour faire enrager les autres.

Tu aborde toujours ce sourire et cet air suffisant pendant qu’elle lâche ses réponses. Tu admires sa facilité à garder des propos corrects, malgré son ton insurgé. Tu l’as surement vexé pour de vrai, cette fois.

« Ah, c’est vrai. L’excuse était tellement médiocre que j’ai faillis oublier, dis-tu faussement désolé. »

Elle se rapproche de toi et la différence de taille ne joue pas en sa faveur. Elle se sent grande, tu supposes, mais à tes yeux elle n’est qu’une petite fille qui tente vainement de jouer dans la cour des grands. Et la première règle, c’est que c’est toi le maître de cette cour.

« Pourquoi aurais-tu peur de moi après tout ? C’est juste que, puisque tu te sens obligée de te cacher pour si peu, je me suis demandé si tu me trouvais si effrayant que ça. Je trouve que tu as tendance à m’éviter, mais ce n’est peut-être que mon imagination, tu susurres. »

Tu soupires finalement, à sa dernière phrase.
Tu aimerais lui faire cracher la vérité, mais tu te doutes qu’elle ne lâchera pas l’affaire de sitôt.

« J’imagine que tu n’as rien contre l’idée que je t’accompagne jusqu’à ton cours ? Les couloirs sont si grands, j’aurais peur que tu ne te perdes. Après tout, c’est mon rôle de préfet. »

Et t’insistes bien sur ce dernier mot, puisqu’elle a pris tant de plaisir à l’appuyer, elle aussi.
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Il t'énerve, qu'est-ce qu'il peut t'énerver ce préfet à la gomme !!!! Tu n'a même plus un seul chewing-gum pour t'énerver dessus et ça t'énerve encore plus, comme il est arrogant !!! Tu le déteste encore plus que les autres, il te fait penser à cette famille hypocrite qui souhaite que tu devienne une bonne sorcière pour que leur faute soit pardonné.

Ton excuse n'était pas si médiocre que ça vu que tu n'a pas tes affaires sur toi donc il n'a aucun droit de dire cela sauf qu'il se permet tout les droit, étant plus grand que toi bien évidemment. Cela doit le faire rire de te mettre en pièce et de te voir réagir au quart de tour.

Par contre tu grimace sur un fait bien réel que tu ne peux qu'approuver, son imagination ne lui joue pas des tours vu que je l'évite lui autant que les autres... Tu n'es pas à ta place ici donc pourquoi tu ferais des efforts à être sociable ?

Tu soupire comme lui en te dirigeant vers la salle commune, sans lui donnait un regard vu que celui-ci n'a plus rien de coloré... encore un regard rouge sombre pour ne montrer aucune émotion et puis cette voix, sèche et sans fausse note. Cette haine qui t’anime encore et toujours laisse la place à tu ne sais pas trop quoi Sayuri sauf que tu abandonne clairement le fait de sécher ton cour.

- Fait comme bon te semble !

Tu mangerais ton paquet de bonbon discrètement en cours de sortilège en le partageant avec d'autre camarade, il va falloir que je refasse mon stock en y passant vu que je crois que c'est mon dernier paquet à partager. Il ne va me rester que des bonbons individuelles, bref pour le moment il me faut les deux machins pour mon cours en étant suivis de près par cet imbécile de préfet.
Yori Hayashi
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Le jeu du chat et de la souris est un jeu ancestral, existant depuis aussi longtemps que les deux espèces se côtoient dans la chaîne alimentaire. Le chat poursuit, s'amuse longuement avant de finalement achever la petite créature sans défense. Quoi que, le prédateur sait que sa proie est capable de mordre.

Dans votre cas, l'achèvement a lieu lorsque Sayuri, se sachant coincée, accepte de rendre les armes. Néanmoins, tu n'as pas la cruauté de ces félins que tu affectionnes, Yori.

Votre discussion aurait pu s'arrêter là, mais tu as choisi de l'accompagner jusqu'à sa salle de cours et tu ne tiens pas à le faire dans ce silence pesant. Tu n'as rien contre cette gamine, au fond. C'est elle qui semble en vouloir à tout le monde.

« Tu as surement tes raisons pour refuser de t'intégrer à l'école, Sayuri, mais ne crois-tu pas que tu devrais finir par accepter de t'y habituer ? Tes prochaines années promettent d'être pénible, si tu ne fais pas plus d'efforts. »

Tu lui tends la main, d'une certaine façon. T'essaies de lui faire comprendre qu'il serait plus simple pour elle d'accepter. Que pour le moment elle est prisonnière de tout ça, même si ça lui paraît injuste - et pour cause, ça l'est, de ne pas avoir le choix - mais que plus tard elle fera ce qu'elle souhaitera.

Que la vie est injuste. Que c'est une fatalité. Et qu'on peut seulement choisir de la rendre plus agréable ou de continuer à se pourrir la vie.
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Tu récupères tes affaires bien assez vite pour te mettre à marcher en direction de ta salle de classe sans aucune envie, le regard éteins et surtout cette défaite amer d'avoir perdu contre Yori.

Tu as voulus jouer sayuri sauf que tu as perdu, tu t'es faite manger toute cru par le chat qui a deviné tout tes faits et gestes vu qu'il sait comment tu réagis à sa présence, méfiance et peur...

La traverse des couloirs te parait longue surtout que tu t'es mis devant le préfet de ta maison pour éviter qu'il se retourne pour te surveiller un peu plus et que tu arrive en cour comme il le désire alors que toi tu rêve d'aller dehors, jouer à la salle de jeux ou bien flâner quelque part où personne ne viendrais te déranger.

Tu as finis de montée les escaliers, tes jambes te paraissent lourdes ainsi que le livre que tu tiens entre les mains. Cette école est une prison pour toi et aller en classe est un véritable suplice, ta haine s'est éteinte pour le moment... rien ne te donne envie comme à sa mort, tu as l'impression de sombrer dans un néant que tu ne contrôle absolument pas.

Tu remarque que tu es devant la salle de sortilège alors que tu posais ta main sur la poignée, la question de ton aîné te parvient aux oreilles.

Tu le regarde, il te tends une main... Tu la repousse et le regarde avec ce regard mauvais pourtant tu les sens les larmes venir... Il a presque le même regard qu'avait ton paternelle quand il t'a annoncer qu'elle n'était plus de votre monde.

- Rien à cirer, les gens n'auront qu'à m'éviter et parler mal de moi ! Je n'accepterais jamais cette situation.

Tu te tourne vers la porte de la salle, tourne la poignée et entre dedans. Tu t'excuse auprès du professeur Nakagawa et m'assoit là où personne ne viendra me déranger.
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