— MAHOUTOKORO
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aube de mes dérives // hanami
Nanami Asakura
aube de mes dérives // hanami - Page 2 TuBwlXw
Citation : elle monte dans la fièvre et j'ai cramé tous ses rêves
Age : 20 ans
Rang : 82
Ryujin
Ryujin
Nanami Asakura
https://mahoutokoro.forumactif.com/t326-n-a-n-a-m-i
https://mahoutokoro.forumactif.com/t426-o-n-a-n-a-m-i
Nanami Asakura

Coma Idyllique

Musique — Tant de révélations auxquelles elle ne s'attendait pas - mais qui ne font aucunement du mal. Cette façon de communiquer, de pouvoir te parler de tout, sans pour autant appréhender, cela lui fait un bien fou. Elle se sent écouter, comprise et surtout Hajime, tu ne l'as jamais jugé. Allongée contre toi, sa main toujours liée à la tienne, elle se sent étrangement renaître. Jamais elle ne vous auraient imaginé dans cette position quand elle était encore sur son lit d'hôpital. Elle s'était amusée à fantasmer cette relation, maintes et maintes fois, sans jamais prendre tout cela au sérieux ; parce qu'elle ne s'estimait pas assez bien ; pas à la hauteur de ton idéal. Le vent vient abreuver ses poumons, étirer ses lèvres d'une expression satisfaite, celle du bonheur. Elle se sent bien et c'est tout ce dont elle avait besoin.

Ta main qui joue continuellement avec ses cheveux l'apaise, elle lui offre un panel de sentiments auxquels elle n'était plus habituée depuis longtemps ; la sécurité, l'amour, la bienveillance, la confiance. Tu lui donnes tant de choses Hajime, à chaque instant depuis que vous vous êtes rencontrés. Et cela lui arrache un petit rire, qu'elle garde pour elle ; alors que tu prononces quelques mots. « Je suis heureux, de te les avoir dit. » Si tu savais Hajime, combien tu mérites, toi aussi, d'entendre ses mots. Combien elle serait heureuse Nanami, de pouvoir te les offrir, sans aucune retenue, sans être prise de vertige. Mais elle n'est pas encore prête ; le temps guérit soit disant toutes les blessures ; alors prend ton mal en patience ; bientôt, très bientôt, tu pourras les entendre.

Déposant un baiser chaste sur le dos de ta main, un sourire aux lèvres, la demoiselle reste là, profitant de ta personne comme un oreiller, son regard se plongeant dans le tiens. « Hajime, est-ce que tu te souviens ? Du jour où on s'est rencontrés. » Elle ne doute pas que oui ; ce n'est pas vraiment quelque chose que vous pouviez, tout deux, oubliés. La tête parterre, maitrisées par plusieurs personnes et toi qui arrive ; pas comme un prince charmant, non, tu n'en a pas eu le temps. Tu l'as vu se défendre ; tu as compris qu'elle n'était qu'une victime. « Quand t'es arrivé pendant qu'ils me harcelaient, je me suis dis "oh non, un de plus." Mais t'as rien fait de tout ça. Au contraire, t'as même cherché à savoir… Mais moi, j'te fuyais. »

Déjà à l'époque, Nanami t'avais fuit ; à croire que c'est une habitude qu'elle a prise te concernant. Un rire mutin s'échappe de ses lèvres, alors qu'elle caresse de son pouce le dos de ta main. « J'savais bien que t'étais pas méchant, tout le monde t'adorais, j'me sentais… Terne comparé à toi. Et ça a toujours été le cas. » Les paupières se ferment, le vent berce ses paroles, qu'elle renferme ; laisse un temps de latence, pour amorcer la suite de son récit. « Mais j'étais reconnaissante, je te l'ai jamais vraiment dit, mais tu m'as sauvé la vie ; à ta façon. Et je t'ai jamais remercié pour ce que tu m'as apporté, pour ce soutien… Alors. Merci Hajime. »

Son sourire revient, s'élargit de plus belle, alors que sa main lâche la tienne, pour venir enserrer ton visage en coupe ; allongée, elle t'attrape, plante son regard dans le tien. « Il faut qu'on prenne notre temps, mais ; tu m'appartiens à présent ? » Son sourire a perdu de sa splendeur, l'inquiétude sera toujours là ; car elle ne sait pas comment situer votre relation. Vous êtes ensembles ? Envers et contre tout ? C'est quelque chose qu'elle n'arrive pas à discerner. Avec tes révélations plus tôt, elle se doute Nanami, qu'il vaut mieux pour vous, que vous ne vous exposiez pas ; mais il faut mettre les termes en évidences ; pour éviter de faire un faux pas.

hrp : pluie de rp sur ta gueule mdrrrr des bisous o/

Invité
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Anonymous

AUBE DE MES DÉRIVES
Hajime, est-ce que tu te souviens ? Du jour où on s'est rencontrés.

Comment pourrais-tu oublier ? Tu te souviens très bien, d'avoir voulu la défendre, d'avoir voulu agir, mais de ne pas en avoir eu le temps. Tu te souviens de ses mots, de sa façon de se redresser, de son regard, combatif, aucunement craintif. Et tu te souviens surtout de lui avoir couru après, pour essayer de comprendre, pour essayer de l'aider, pour faire en sorte que ça s'arrête. Tu n'avais pas été très utile à l'époque.

Tu l'écoutes, attentif, et tu l'observes, gardes ton regard ancré dans le sien jusqu'à ce qu'elle se détourne. Et tes doigts vont et viennent toujours sur sa nuque... J'savais bien que t'étais pas méchant, tout le monde t'adorais, j'me sentais… Terne comparé à toi. Et ça a toujours été le cas. S'arrêtent. Terne ? Terne ? Comment Nanami pouvait être terne ? Tes doigts reprennent leur manège. Tu ne veux pas la couper, tu veux l'écouter, mais terne ? Elle ne l'a jamais été, ne le sera jamais. Elle est un soleil dans ta vie, et tu ne comprends pas comment ni pourquoi tu as autant de chance de l'avoir à tes côtés.

Puis elle te remercie, et tu ouvres la bouche, la refermes, l'ouvres de nouveau. Tu aimerais lui dire que tu n'as pas à être remercié, que tu n'as rien fait, mais à sa place, tu aimerais juste qu'elle accepte. Alors tu te contentes de hocher la tête, les joues rouges, le regard un peu gêné, un peu fuyant. Tu ne peux t'empêcher de dire pour autant :

« J'ai pas fait grand chose. »

Mais tu as fait plus que les autres, et c'est déjà énorme, finalement, Hajime. Et ses mains prennent ton visage en coupe, ton regard ne lâche plus le sien. Ah, elle a un si beau regard. Tu adores son regard. Elle est si expressive, tout ce qu'elle pense, on peut le lire dans ses yeux. Il faut qu'on prenne notre temps, mais ; tu m'appartiens à présent ? Puis elle devient plus sérieuse, moins heureuse, son sourire s'effrite, se fane... Ta main vient attraper l'une des siennes, tu fermes les yeux un instant, profites de la caresse avant de plonger de nouveau ton regard dans le sien. Le sourire vient étirer tes lèvres, et jamais tu n'as été plus heureux que quand tu prononces ces mots :

« Pour toujours, Nanami. Je t'appartiens entièrement. »

Pour toujours. Tout le reste de ma vie et même après.

Et peut-être que c'est puéril, et peut-être que c'est enfantin, mais tu y crois, Hajime. Tu y crois, tu veux y croire. Tu lui appartiens, entièrement, totalement, complètement... jusqu'à la fin des temps.

hrp : je crève
Nanami Asakura
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Nanami Asakura

Coma Idyllique

Musique — Il y a des jours comme ça, ou l'on se sent bien ; qu'on arrive enfin à attraper une main et qu'on ne souhaite plus la lâcher ; que l'on oublie toutes les réticences du passé, qui ont tant fait douté, pour un parfait moment de volupté. Nanami a enfin arrêté de se torturer, de se poser des questions ; elle a prit le taureau par les cornes, a fait abstraction de sa raison. Elle a eu ce qu'elle voulait, elle t'a enfin eu ; toi ((comme si tu étais une possession… C'est réducteur.)) Lové sur tes jambes, la jeune femme ancre son regard au tien, incapable de s'en détourner ; il y a cette lueur Hajime, dans ton regard ; celui d'un amour ardent dont elle ne se lasse pas. T'as cette façon unique de la contempler, comme si elle était une oeuvre d'art que tu ne t'arrêterais jamais de détailler ; comme si elle était ton monde tout entier. Sa main liée à la tienne passe de nouveau devant ses lèvres et elle dépose un doux baisé sur le dos de cette dernière, infiniment câline, taquine, clairement docile. Tu dis que tu n'as pas fait grand chose Hajime, mais c'est tout l'inverse ; tu ne te rends pas compte, c'est pourquoi Nanami t'ouvres son coeur, pour que tu comprennes, que t'as chamboulé son monde et avec ça, sa raison d'être.

Toi, tu ne l'as pas ignoré, tu n'as pas été de ceux qui baisse la tête et qui se contente d'avancer ; un peu comme ses connards qui en pleine rue agresse une nana dans la rue et qu'aucun piétons ou riverains ne souhaitent aider. Non, toi, tu t'es imposé, même en retard, t'as cherché à comprendre, à l'aider, à la défendre, contre tous - alors qu'elle n'avait personne. Yori n'était plus là, Momoka non plus, t'étais son monde, même si elle te rejetait un peu les premiers temps, de peur d'être déçu à nouveau. Plusieurs fois, elle a hésitée Nanami, à t'envoyer paitre, pour ne pas te mettre également en danger. Sauf que toi, contrairement à elle, t'avais déjà la carrure, personne n'osait t'emmerder… T'avais tes emmerdes ailleurs Hajime, chez toi… Un profond soupir vient s'arracher à ses lèvres alors qu'elle attend une réponse à sa question, que tu laisses un peu trop en suspend, la faisant paniquer de l'intérieure ; anxieuse comme jamais. Tu l'as toujours mise dans un état second et même si Nanami est assez douée pour ne rien laisser paraître, avec toi, c'est bien plus difficile. T'es ce genre de personnage Hajime, à qui on a pas envie de mentir, qu'on ne veut pas trahir. "Pour toujours, Nanami. Je t'appartiens entièrement."

Il ne lui en faut pas plus pour se redresser, pour laisser perler quelques larmes avant de te sauter au cou, d'accrocher ses doigts sur ta nuque avant de te faire basculer en arrière pour t'embrasser. Elle sait bien Nanami, qu'elle n'est qu'un poids plume, mais elle s'impose à toi, te pousse en te soumettant à son étreinte, pour t'embrasser pleinement, déversant dans cet acte, tout son amour, toute sa déraison. Vous aviez perdu du temps, beaucoup trop de temps ; c'est pourquoi il lui fallait mettre un petit coup d'accélérateur ; pour te faire comprendre, malgré les mots, tous les sentiments que tu arrivais à faire déborder chez elle. La cuve est pleine et elle déborde d'amour pour toi - et cette promesse que tu viens de lui faire - vient de briser ses barrières ; les dernières. Ses lèvres se pressent un peu plus contre les tiennes, ses mains glissent sur ta nuque avant de se glisser dans tes cheveux, avant de s'éloigner un peu, la fièvre aux joues ; jusqu'aux coins des yeux. « Ainsi soit-il… »

Et voilà qu'elle revient à la charge, t'embrasse de nouveau, scelle votre destin en liant vos mains, entremêlant ses doigts aux tiens avant de s'écarter encore une fois, un sourire enjoleur aux coins des lèvres. « C'est pas comme si t'avais le choix de toute façon ! »

C'est tout ce qu'elle voulait Nanami, connaître réellement l'amour ; peut-être même celui qui durera toujours.

hrp : il était temps ptdr encore désolé bae de l'attente ! jtm !

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