— MAHOUTOKORO
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you can run but you can't hide • t e t s u y a
Sora Nishimura
you can run but you can't hide • t e t s u y a MICsnTl
Citation : don't ever try to judge me dude
Age : 19 ans depuis le 7 aôût
Rang : 74/100
Orochi
Orochi
Sora Nishimura
https://mahoutokoro.forumactif.com/t22-s-o-r-a-mes-nuits-sont-blanches-mes-idees-noires
Sora Nishimura

I don't need no
fucking manservant
Follow me around
and wiping my ass

Musique« Merci de rejoindre vos salles communes vous trois... » Il avait dit cela sur un ton nonchalant, pas menaçant ; un brin blasé, mais pas trop autoritaire. Sora vagabondait dans les couloirs, à la recherche d'âmes perdues qui allaient sans aucun doute être en retard pour le diner. Un haussement d'épaules plus tard, le jeune homme reprit sa marche vers les étages supérieur, le regard droit et fière, imperturbable pour lui complaire. ((C'est au détour d'un des couloirs qu'il l'aperçoit, son petit frère.)) Un mouvement de main en sa direction, juste un geste suffit à se faire comprendre ; et c'est en lui souriant furtivement qu'il repart, qu'il quitte les couloirs pour la cour.

En passant l'entrée, ses prunelles se posent comme à son habitude sur les cerisiers en fleurs ; les bras ballants, il avance lentement, un écouteur dans son oreille, son lecteur cassette enclenché, le jeune préfet reprend sa marche ; son inspection. Sora en fait parfois trop, il en a conscience, mais n'arrive pas à faire autrement. C'est un besoin vital, celui de s'évader de ses pensées un poil trop alarmante ; s'échapper de ses angoisses, de son anxiété qui fini, bien trop souvent, par le ronger. Proche de faire un ulcère en continuant sur cette voie, le jeune homme se donne corps et âme pour sa maison, soutenir certains dans l'ombre, aidé ceux dans le besoin, il n'arrive pas à faire autrement ; et c'est en aidant son prochain, que Sora se sauve lui-même.

Du Pink Floyd dans les oreilles, le jeune homme à la démarche lente du à sa jambe flottante, s'égare un peu dans l'exploration des lieux ; passant par le sud de l'île, pour finir un peu plus à l'ouest ; Sora contemple, ne se presse pas. Ce n'est pas dans sa nature d'être dans la hâte ((loin de là, c'est même tout le contraire.)) Toujours zen, serein, l'air de ne manquer de rien ; il avance, son regard un brin dur, là encore, c'est dans sa nature. Une main sur la nuque qu'il masse, signe qu'il est éreinté, il s'avance, en silence, bercé par la musique qui martèle ses oreilles. Il ne voit plus personne ; seul lui reste la serre à explorer et il pourra rentrer.

fatigué de sa ronde
il aimerait se cacher du monde
rester terrer dans sa salle commune
faire un sourire à la lune


Soupir profond, un poil lassé, le préfet approche de la porte, constate que la porte n'est pas fermé. Le voilà qui arque un sourcil de surprise ((est-ce qu'il y a quelqu'un ici ?)) Hésitant à attraper sa baguette, il met sur pause la lecture de sa musique, entrouvre la porte dans un grincement non discret et élève la voix à la vue d'une silhouette ; la tienne. Sora ne peut contempler que ton dos, tu as l'air particulièrement concentré sur ta tâche, tu ne l'entends même pas venir ((ou alors t'en a strictement rien à foutre... Apparemment, ça marche aussi.)) « Et bien et bien... J'peux savoir ce que tu fais encore ici ? C'est plus l'heure pour toi d'être là. Tu vas devoir rejoindre ta salle commune. » Pour marquer ses paroles, sa main se pose naturellement sur ton épaule qu'il tapote pour avoir ton attention. C'est quand t'en viens à te retourner, qu'il capte enfin qui se trouve en face de lui.

« Tetsuya Miura, pourquoi est-ce que je ne suis pas surpris ? » Ce n'est pas la première fois que Sora te choppe par ici ; et cela ne sera surement pas la dernière. Un haussement d'épaule, son regard se pose furtivement sur ce que tu as dans les mains, sur ce qui ornent le plan de travail, avant de revenir sur toi.  « T'es au courant que ce n'est pas la première fois que je t'y prend à utiliser une salle de classe et des outils en dehors des heures de cours ? Tu pensais que personne te grillerais ? » Le voilà qui se masse encore une fois la nuque, un peu agacé, parce que Sora, il n'aime pas vraiment être autoritaire, ni même user de son statut de préfet pour les sanctions et autres joyeusetés du genre. Soupir fugace, il attend que tu daignes lui répondre ; mais te connaissant, ça risque d'être a m u s a n t.

t'es un gars intriguant
avec tes yeux perçants
t'attise sa curiosité à ton égard
mais t'es froid comme un blizzard




Bon je pense que ce rp va me faire autant marrer que feels des bisous j't'aime ♥️︎♥️︎♥️︎

By Mitzy
Fuyuki Awataguchi
fuyuki
Citation : Tout bois est gris quand il est réduit en cendres.
Age : 27 ans
Rang : A2
Susanoo
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Fuyuki Awataguchi
https://mahoutokoro.forumactif.com/t1433-requiem-of-red-fuyuki#11532
https://mahoutokoro.forumactif.com/t1520-calligraphie-fuyuki#12189
Fuyuki Awataguchi


Run & hideLa journée arrivait à son terme. Les cours s’étaient terminés et peu d’élèves aimaient s’éterniser dans les salles dédiées. Tu avais rassemblé tes notes. Cependant, tu n’avais en aucun cas l’attention de quitter les lieux. A l’image de bien des Tsuchigumo, tu profitais de ton temps libre pour étudier. Vous étiez fait de ce bois-là, c’est la seule chose qui vous unissait. Malheureusement, on ne pouvait pas réellement dire que la bonne entente régnait parmi vous. Chacun d’entre vous avait une raison de vouloir se hisser vers le haut, toi compris.

Tu es le dernier dans la salle et profite pour faire l’inventaire des plantes et des nouveautés, tu te permets de regarder leurs particularités, leurs utilité. Qui sait, il est toujours bon de savoir que les feuilles de dictame ont des capacités de guérison prodigieuse ou encore que les raisins de couleuvres sont en tout point toxique.

Tu oublies d’une certaine manière le monde qui t’entoure. Tu bénirais presque ces instants de solitude qui te semblent si reposant à l’instar de l’entourage chaotique que tu as toujours eu. Mahoutokoro était devenu avec le temps ton havre de paix ((lorsque personne ne venait troubler ces moments de tranquillité)).

T’as les idées pleins la tête, mais la limite est toujours si proche. Plus que tu ne le laisses croire, plus que tu ne penses. Tu annotes comme si tu avais peur qu’un jour on vienne à nouveau te priver de toute cette liberté.

Et bien et bien... J'peux savoir ce que tu fais encore ici ? C'est plus l'heure pour toi d'être là. Tu vas devoir rejoindre ta salle commune.
Tu ne l’avais pas entendu arriver, à vrai dire, tu étais bien trop concentré. Tu ne pivotes qu’à moitié ((en même temps, tu n’es pas vraiment intéressé)) pour poser ton regard sur ton interlocuteur. Sora Nishimura. Tu l’avais reconnu au simple son de sa voix. Le fameux préfet des Yatagarasu venait donc en personne te faire la morale, si ça c’était pas quelque chose.

Tetsuya Miura, pourquoi est-ce que je ne suis pas surpris ?
Et en plus de ça, il avait fini par retenir ton nom. C’était trop.

T'es au courant que ce n'est pas la première fois que je t'y prend à utiliser une salle de classe et des outils en dehors des heures de cours ? Tu pensais que personne te grillerais ?Et voilà, par avance tu savais déjà qu’il allait te sortir son discours de surveillant et de mec soi-disant prêt à faire régner l’autorité. Toujours à vouloir qu’on le regarde, toujours à chercher à montrer ses bons côtés. Tu n’avais même pas à le fréquenter au quotidien, que son existence ((tout comme sa présence)) commençait déjà à t’agacer.

Tu claques ton calepin en le refermant d’une main. « Primo, monsieur le préfet, puisqu’il tenait tant que ça à son rôle, tu n’as aucune autorité sur moi. Je ne suis pas dépendant de ta maison. » Il fallait bien remettre les choses dans l’ordre. Qu’il s’adresse à toi comme si tu lui devais des comptes ça horripile au plus haut point.

« Deuxio. J’ai tous les droits d’être ici. Me griller ? Alors, qu’on se le dise Sora Nishimura, vu qu'il semblait vouloir mettre les formes sur les noms, t’es bien mignon de retenir mon nom, mais je ne demande pas autant d’attention. Il n’y a rien à griller. Quoi ? Ne me dis surtout pas que t’as eu une mauvaise journée et t’as besoin de montrer qui est le plus fort ? Va jouer à ça, ouais, mais loin de moi. »

T’as pas que ça à faire, tu te détourne et rouvre tes notes. Tu lui ferais bien bouffer justement des raisins de couleuvres un jour.

Sora Nishimura
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Sora Nishimura

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Musique —  Quelle
Immonde
Petite
Raclure
C'est fous ce que tu peux lui hérissé les poils Tetsuya, tellement t'es imbuvable. Toujours le même, toujours aussi fidèle à ta façon d'être ; tu pètes plus haut que ton cul comme à ton habitude et ça a le don de le faire soupirer et lever les yeux au ciel. Pourquoi t'es comme ça Tetsuya ? Qu'est-ce que tu crois que ça va t'apporter d'agir comme tu le fais ? Sora se pose sincèrement la question, mais il sait très bien, qu'en te la posant, ça ne vous mènera nul part ((tu sembles éprouver une haine viscéral à son encontre après tout)) ; et il se demande bien pourquoi. Les yeux rivés sur toi et tes faits et geste, il écoute Sora, attentivement, sans rien dire, portant de nouveau son masque imperturbable ; parce qu'il sait que ça t'amuse de le voir sortir de ses gonds ((mais pas cette fois.))

Alors, il attend, patiemment, que t'es fini ton petit numéro de mec qui à un soucis avec l'autorité ; il attend que t'es fini de faire le gamin un peu pourrit et gâté ; avant de s'avancer. De sa main droite, Sora s'ébouriffe la tignasse, alors que de la gauche il t'attrape le bras pour te tirer de la salle de cours et t'en virer après une ou deux bousculade. Pas violent, non, ce n'est pas vraiment dans sa nature ((sauf quand on l'y oblige, mais il espère pour toi que tu n'auras pas le malheur d'essayer de le pousser à bout.)) C'est après avoir attrapé tes affaires et te les avoir rendu, qu'il s'adosse à la porte maintenant fermé avant de répondre sur son ton blasé ((celui qui doit continuellement t'insupporter ; dieu ; que ça le fait rêver.)) « Ok, donc primo monsieur "j'ai un soucis d'ordre caractériel", ici, tu ne fais point ta loi. J'ai beau ne pas être le préfet de ta maison, tu n'as rien à faire dans une salle de classe sans un professeur pour te surveiller. C'est tout. Et t'as rien à dire contre ça. » Finissant de s'ébouriffer la tignasse et réajustant son uniforme, le préfet s'étire légèrement avant de reprendre ; faisant mine de réfléchir ((tout est déjà bien tracer dans sa tête.)) « Secondo, j'ai pas ce besoin continuel, contrairement à toi, de péter plus haut que mon cul, ni de savoir qui est le plus fort. J'en ai strictement rien à carrer. Et malheureusement pour toi, tes provocations me font pas courir, tu me feras pas sortir de mes gonds, alors arrête ton petit jeu, ça prend pas. »

Toujours aussi blasé
Il n'en a clairement rien à cirer
T'as beau te débattre, te démener
Sora, il finira par te faire plier


Son sac à bandoulière rehausser sur son épaule, Sora griffonne une petite note à l'attention du professeur de botanique pour prévenir que sa salle de classe n'était point fermé à clé et qu'il fallait y remédier incessamment sous peu. L'origami volant virevolte et part rejoindre son destinataire alors que Sora range ses affaires, s'adossant à la porte désormais fermé de la serre. Les pupilles closes, le jeune homme reprend sur un ton un peu plus dur... « Et tercio... Manque moi encore une fois de respect comme tu viens de le faire et je peux t'assurer que je te passerai l'envie de recommencer à l'avenir. » Non, Sora n'est pas menaçant normalement ; il est censé être des plus compréhensif. Mais il veut te faire comprendre, à toi, qui joue à un jeu dangereux, qu'il y a des gens avec moins de patience, qui n'hésiteront un jour pas à te remettre à ta place, en usant moins de mots et de diplomatie.

Mais il en est conscient Sora, il sait que y'a un truc chez toi qui est différent, que t'es pas comme les autres ; sans doute le vécu, le passif, il ne saurait dire. Il s'était juré de ne jamais franchir cette limite, ni de partir en live, pourtant, c'est en soufflant entre ses dents ((preuve de son irritabilité)) qu'il ose s'aventurer ; oui ; en terrain miner. « J'sais pas c'que t'as vécu dans ta vie ou si t'as toujours été comme ça, mais ça va faire que te porter préjudice à l'avenir. » Et d'une certaine façon, tu lui rappelles son père quand t'agis comme ça, de manière si... Imbuvable. « Puis, tiens, tant qu'on y est. J'peux savoir c'que je t'ai fais ? Non parce que ta haine à mon encontre, elle est palpable. Pas besoin de le nier. »

Il est pas né de la dernière pluie Sora.
Il est loin d'être con.
Et si t'essaye de le prendre pour tel, tu feras que te bruler les ailes.


j'vais t'niquer ptdr
By Mitzy
Fuyuki Awataguchi
fuyuki
Citation : Tout bois est gris quand il est réduit en cendres.
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Fuyuki Awataguchi
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Fuyuki Awataguchi


Run & hideC’était incroyable à quel point ce mec avait réussi en l’espace d’un instant à te sortir des yeux à prétendre faire régner l’ordre en ces lieux. Tu n’attendais rien de plus, si ce n’est qu’une ou deux menaces et soufflements que tu t’étais bien décidé à ignorer. Cependant, il en avait décidé autrement. Ça t’horripile ces gens-là, ceux qui cherchent à s’imposer, ceux qui cherchent à te mettre des barrières. T’as l’impression de faire un retour en arrière ((et ce ne sera jamais pour le meilleur, toujours pour le pire)).

Sa prise sur ton poignet avait réussi à te surprendre. Tu ne pensais pas qu’il userait de la force physique, ces gens-là on en général que de la gueule. Il te prive par la même occasion de tes notes jusqu’à te virer de la serre. Tu le fixes dépassé par son manque de tact. Il commence alors de nouveau à te baratiner une nouvelle couche de moralité tout en essayant d’ajuster sa tenue. Tu connais, ça, bien paraitre pour mieux se faire accepter. Il le fait probablement inconsciemment, quelle ironie.

Tu le laisses faire son discours et observes ses faits et gestes. Il avait tout d’un Yatagarasu droit et fier et il comptait bien sur ça pour faire régner la loi, et comme tout bon Yatagarasu il joue au noble et long fleuve tranquille. Par défaut, il t’assigne ce titre de type arrogant pensant qu’il est le meilleur, pendant qu’il est supérieur.

Ton petit jeu ? T’avais juste envie d’avoir la paix. Tu continues de fixer Sora bien décidé à envoyer son origami au professeur de botanique. Tu le laisses faire, ce n’est pas comme-ci c’était particulièrement grave. Certains professeurs étaient laxistes, tu le savais. Ils rient en haussant les épaules et en déduisant que ce n’est qu’un Tsuchigumo de plus aimant un peu trop étudier, tout simplement. Il n’y avait rien d’alarmant à cela ((il n’y avait jamais rien d’alarmant)).

Finalement, il avait réussi son manège, t’avais presque envie de te tirer. De toute façon, ce n’était pas une pauvre clef qui allait t’empêcher de revenir. N’importe quel abruti savait formuler un alohomora au besoin dans cette école. Et puis, finalement t’as plus envie de tourner les talons, parce qu’il t’intrigue. Le détester ? Lui en vouloir ? Quelle curiosité il formulait là.

« Pardon ?  Ça te fait presque glousser de rire tellement ça n’avait ni queue, ni tête. Attends, attends. Donc, tu sors de nulle part pour me casser définitivement les couilles et tout ça, pour conclure que j’te déteste ? Mais, c’est quoi ton putain de problème ? »

Non, parce que si ça c’était détester, alors t’avais envie d’éradiquer la planète. « Quoique, parti comme ça je vais finir par te donner raison monsieur le préfet et avoir un vrai problème avec toi. »

Tu te retiens clairement de sortir ta baguette pour lui lancer un Immobilus et l’envoyer voir ailleurs si t’y étais. Tu te contentes de ranger tes affaires et de croiser les bras devant cet abruti de première.

« Tu comptes rester contre cette porte jusqu’à que le professeur arrive, Nishimura ? Parce que clairement, s’il est parti, c’est en connaissance de cause. J’te fais gagner du temps : tu joues tout seul à voir des provocations partout. T’es juste parano mec. En effet, j’sais pas ce que t’as vécu ou si t’as toujours été comme ça, mais ça se soigne, hein. »

Putain. Il te prenait vraiment pour le roi des cons, donc tant qu’à faire, tu lui retournes l’appareil. « D’ailleurs, tu t’avances vers lui avant de l’attraper par un pan du col de son uniforme. Evite de me toucher la prochaine fois, tu vois, ce n’est pas très, agréable.  » Tu le relâches d’un geste brusque une fois la menace formulée. L’exemple valait bien plus que milles mots. Y a pas que lui qui allait te passer l’envie de recommencer certaines choses.



Bagarre
Sora Nishimura
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shut up asshole //« j'te fous un chassé et j'te casse le nez, tignasse tu t'relèves, mais tu croises mes pieds tt même si tu flanches j'te pète les hanches, j'explose mes phalanges sur ta gueule d'ange » — therape taxi in cri des loups◄ M U S I Q U E ►B o r d e l.
T'es invivable, insupportable, exécrable. Il serait pas préfet, il t'aurais déjà foutus une tarte, déjà pour te remettre les idées en place, pour ensuite t'apprendre les principes de la vie, et la troisième, ça aurait été pour la règle du "jamais deux, sans trois." Il sait pas Sora, pourquoi t'es comme ça. Il sait pas non plus pour qui tu te prends ; mais s'il l'avait su, il aurait déjà lâché l'affaire avec toi depuis longtemps… C'est peut-être pour ça finalement, que le préfet s'acharne, quitte à avoir les lèvres décharnées, les sourcils un brin trop froncé ; autant se battre pour le "savoir." ((Et il veut comprendre qui tu es et pourquoi t'es comme ça.))

Mais voilà, tu reprends, avec tes manières à en faire frémir de colère le plus adorable des êtres, ton rire jaune médisant ne te sied guère ; au contraire ; ça lui donne encore plus envie d'te faire quitter la terre, en route pour virevolter autour de l'atmosphère… Mais il n'en fera rien Sora, parce qu'il est champion pour garder son calme olympien ; ou du moins, il fait tout pour. Les yeux rivés sur toi, il ne te lâche pas, imprime chacune de tes paroles, chacun de tes mouvements. T'en fais des caisses pour pas un rond, c'est fous ce que t'es bon acteur, c'est fou ce que t'es bon menteur.

Et oui, Sora te casse les couilles
Alors qu'il exècre les embrouilles
Tu t'rends pas compte à quel point il dérouille
T'es qu'une saleté de putain de fripouille

Oui, il sort de nulle part, c'est là son rôle, débarquer là où on ne l'attend pas ; il ne serait pas préfet si ce n'était pas le cas. C'est fou Tetsuya, t'es censé être intelligent, mais tu réfléchis pas, tu vois pas plus loin que le bout de ton nez ; en vrai, t'es con comme un balais. Sora, en cet instant, il avoue que ça l'amuse, y'a ses lèvres qui s'étire alors que tu fais ta dramaqueen ; comme s'il te persécutait plus que les autres… Son putain de problème ? Il n'en a pas justement ; il est juste préfet, il fait son job. Mais toi, tu joues au con, tu fais le parfait élève, mais t'as aucune autorisation ; t'es qu'un illusion ; une esquisse factice ; ça depuis le temps, il l'a bien compris ((mais il ne sait toujours pas pourquoi.))

Il sait Sora, que t'as un problème avec lui ; peut-être parce qu'il est Yatagarasu, parce qu'il te met des bâtons dans les roues, c'est vrai, il le sait ; et pourtant il ne le fait pas exprès. Il s'applique seulement à te faire imprimer les règles ; ce que tu sembles détester… Et tant que tu feras le sourd et l'aveugle, il sera là pour te les briser. Une main sur sa nuque, les paupières closes, le jeune préfet t'écoute, sans rien dire, te laissant exploser comme l'enfant caractériel que tu sembles être resté. Puis voilà, tu continues, tu joues la carte de la provocation, tu fais le malin ((à croire que Sora ne fait que se salir les mains.)) Et voilà que tes mains viennent agripper les pans du col de sa chemise et cela le fait aussitôt rouvrir les yeux, mais son sourire à disparu.

Heureusement pour toi Tetsuya, que tu l'as lâché bien vite ; car déjà qu'il te toise facilement de son mètre quatre vingt dix, te foutre au sol ne devrait lui poser, du coup, aucun soucis.

« Ok, alors primo, touche moi ou menace moi encore une fois ; et j'peux t'assurer que l'envie d'recommencer te sera bien vite retirer. T'agis comme un gamin caractériel qui veut s'croire différent des autres, qui croit pouvoir échapper aux règles. Grandit un peu, car ça te rend pitoyable. » Les bras de nouveau croisés devant lui, Sora enfile un écouteur dans une de ses oreilles, sa musique zen démarrant tranquillement. « Secondo, ouais, j'sais que t'as un soucis avec moi depuis la première fois que j'tai gaulé dans un endroit où tu devais pas être. La première fois, j'te rappelle que j'ai rien dis, mais y'a un règlement et tu dois le respecter, c'est tout. » Se redressant tranquillement, quittant alors la porte qui lui servait de dossier vachement confort, Sora passe, s'arrête à côté de toi avant de lâcher avec son ton blasé. « Et tercio, j'pense que c'est pas moi qui ai un soucis et qui devrait m'faire soigner, mais plutôt toi qui pète plus haut que ton cul en te croyant libre de faire ce que tu veux quand ça te plaît. J'sais pas ce que t'as vécu dans ta vie, j'avoue que ça m'a intrigué pendant un temps, mais maintenant, à part me sortir par les yeux vu que t'es un sale garnement, la curiosité te concernant, elle a détalé comme le vent. Maintenant, j'ai pas ton temps, donc j'me casse. »

Et le voilà qui te percute l'épaule sans vaciller, continuant sa route sans se retourner. C'est ouf, on peut te féliciter Tetsuya, t'as réussi à énerver Sora ; comme quoi, t'es un champion dans ton domaine.

hrp :il était temps et ouais j'fais se barrer Sora, parce qu'il est à deux doigt de décrocher une droite à Tetsuya mdr (à voir si on continue, ou si on fait une élipse pour voir ce que pourrait donner une prochaine rencontre, genre dans la même soirée ou le lendemain, whatever /ZBAF
Fuyuki Awataguchi
fuyuki
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Run & hideC’était amusant comme quoi quelques mots suffisaient à certains pour se sentir menacer ; certes tu l’avais attrapé par le col, mais il n’y avait dans tes gestes qu’une simple démonstration et non une provocation. C’était amusant qu’on te pense taillé dans la violence et la complaisance ; tu as beaucoup d’envies, noyer, empoissonner, tuer, mais jamais tu ne les énumères et ce ne seront jamais plus que d’intimes propositions ((à ton propre égard)).

Tu es dur avec les autres, tu l’es encore plus avec toi-même. Tu sais qu’il n’y a rien de bon derrière une main levée qui se laissait glisser ; t’as eu le corps teinté de la couleur du ciel par le passé ; tu n’es pas celui qui recommencerait cette œuvre délaissée. Tu ne veux prendre ni le rôle de l’artiste, ni retourner à la place de l’œuvre.

Les menaces de Sora ne te réjouissaient guère. Tu l’avais peut-être mérité, il l’avait peut-être cherché. Le voilà lancé dans sa logorrhée ; baigné dans ses idées. C’est son problème, il est trop impliqué, alors que tu cherches à être délaissé. A vouloir faire trop bien, il n’en ressort rien. Ce n’est pas parce qu’on veut être bon que le monde va tourner rond. Il t’énerve, à parler pour toi, à parler au nom de la loi, à mettre en avance ce en quoi il a foi.

« Tu sais quoi, penses ce que tu veux.  » Tu hausses les épaules, parce que t’avais bien compris qu’il s’était décidé à être la victime de tu-ne-sais-trop-quoi, parce qu’il t’avait choppé une ou deux fois. Ce n’était pas comme si ça t’intéressait, que ce soit lui ou un autre. Simplement, c’était la manière dont il agissait ((par la suite)) qui t’insupportait.  

L’air de rien, il abordait ce visage hautain sous le signe des préfets ((à soit disant à pointer du doigts les méfaits)).

« Quoique. T’as vraiment un culot et un orgueil monstre, Sora. Ton rôle de préfet de donnes certains droits, mais certainement pas celui de prétendre me connaitre ou savoir ce que je pense.  »

T’as pas la classe d’avoir ta langue à sa place. T’es pas le genre à être la ramasse pour qu’on t’écrase. Parfois ça passe, aujourd’hui ça casse. La curiosité mal placé, il pouvait se la garder ; au moins tu avais servi à lui donner cette leçon, à lui passer le mettre son nez partout à foison.

Il te percute ; tu le laisses faire, le laisser jouer de sa provocation sans distinction, mais au moins tu allais pouvoir vaguer de nouveau à tes occupations. « Lâche.  »

C’est facile de s’étaler, Sora. De parler et débiter des pavés avant de se casser quand on se croit acclamé et respecté. C’est trop facile de croire les choses comme acquise ((comme si elles étaient permises)) quand on fait appel à titre pour s’excuser.

Lâche.



J'ouvre la suite du coup dès que j'ai la foi, sauf si tu me dis que finalement sora se barre pas
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