La balance du monochrome penche vers le noir {Rajan Tsukino}
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Évidemment maiko, tu n’as parlé à personne, tu as ignoré tes cousines, tu te renferme encore plus sur toi, consolide ce mur qui te fait du bien sauf qu’il t’éloigne de tout…
Sauf que, tu ne veux plus entendre parler des Kondo, entendre tes cousines parler du choix que tu dois faire pour celle qui prendra la place pour les diriger…
Tu te fiche bien d’étudier, après tout, cela te mènera à quoi vu que tu es fiancer, tu finira par suivre les femmes muira, comme toute bonne épouse…
Tes pensées t’épuisent maiko, elles sont restées noir depuis que tu as appris la mort d’Umeko, le monde magique japonais doit être au courant maintenant, les Kondo ont du mettre en place les funérailles, auquel tu n’assistera pas vu que tu es coincé à l’école, tout se jouera pendant les vacances…
Tu pourrais penser que ton calvaire est fini sauf que ce n’est pas vraiment le cas, le regard que te lance tes cousines à chaque fois que tu les croises en dit long, tu t’énerve mais ne dit rien, parce que cela n’en vaut pas la peine, après tout elles ne savent pas quel pression tu as sur tes épaules maiko, elles sont juste égoïstes comme avant qu’elles ne se tournent vers toi, ne pensant qu’à elles…
Et toi maiko, tu te retrouve au milieu de tout cela, des lettres qui parlent de la mort de ta grand-mère, encore et encore, et cela fait même pas une semaine…
Heureusement que ta mère t’a autorisé à sortir le week-end, tu fuis l’école pour aller vers Iwomachi, si la situation actuelle ne t’oppressait pas autant, tu aurais sûrement pris plaisir à te trouver ici, à faire des choses qui te mettrait en joie sauf que celle-ci s’est envolé loin comme ton désir de liberté, tout cela est redevenue illusion…
Et tu vagabondes, évitant les gens, évitant leurs regards, évitant tout, simplement…
Tu te retrouve dans un endroit où il y’a peu de monde, tu soupire, regarde le ciel, parce que tu aimerais le voir bleu comme tout le monde sauf que même si tu perçois les couleur, le ciel te paraît bien sombre, comme les jours d’orage, ce n’est pas le bleu magnifique que tu adorais regarder…
Et tu te frotte les yeux parce que tout cela te rends horrible, ce sentiment de tristesse que tu déteste t’enveloppe et fait sortir la seule chose que tu déteste chez toi, les larmes, ce que tu as toujours considérer comme une faiblesse, qui normalement te font du bien, là elle te rendant encore plus horrible, tu ne sais pas comment t’en sortir, tu aimerais abandonner sauf que tu ne sais pas si cela est possible...
Sauf que, tu ne veux plus entendre parler des Kondo, entendre tes cousines parler du choix que tu dois faire pour celle qui prendra la place pour les diriger…
Tu te fiche bien d’étudier, après tout, cela te mènera à quoi vu que tu es fiancer, tu finira par suivre les femmes muira, comme toute bonne épouse…
Tes pensées t’épuisent maiko, elles sont restées noir depuis que tu as appris la mort d’Umeko, le monde magique japonais doit être au courant maintenant, les Kondo ont du mettre en place les funérailles, auquel tu n’assistera pas vu que tu es coincé à l’école, tout se jouera pendant les vacances…
Tu pourrais penser que ton calvaire est fini sauf que ce n’est pas vraiment le cas, le regard que te lance tes cousines à chaque fois que tu les croises en dit long, tu t’énerve mais ne dit rien, parce que cela n’en vaut pas la peine, après tout elles ne savent pas quel pression tu as sur tes épaules maiko, elles sont juste égoïstes comme avant qu’elles ne se tournent vers toi, ne pensant qu’à elles…
Et toi maiko, tu te retrouve au milieu de tout cela, des lettres qui parlent de la mort de ta grand-mère, encore et encore, et cela fait même pas une semaine…
Heureusement que ta mère t’a autorisé à sortir le week-end, tu fuis l’école pour aller vers Iwomachi, si la situation actuelle ne t’oppressait pas autant, tu aurais sûrement pris plaisir à te trouver ici, à faire des choses qui te mettrait en joie sauf que celle-ci s’est envolé loin comme ton désir de liberté, tout cela est redevenue illusion…
Et tu vagabondes, évitant les gens, évitant leurs regards, évitant tout, simplement…
Tu te retrouve dans un endroit où il y’a peu de monde, tu soupire, regarde le ciel, parce que tu aimerais le voir bleu comme tout le monde sauf que même si tu perçois les couleur, le ciel te paraît bien sombre, comme les jours d’orage, ce n’est pas le bleu magnifique que tu adorais regarder…
Et tu te frotte les yeux parce que tout cela te rends horrible, ce sentiment de tristesse que tu déteste t’enveloppe et fait sortir la seule chose que tu déteste chez toi, les larmes, ce que tu as toujours considérer comme une faiblesse, qui normalement te font du bien, là elle te rendant encore plus horrible, tu ne sais pas comment t’en sortir, tu aimerais abandonner sauf que tu ne sais pas si cela est possible...
Rajan Tsukino
Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
Age : 37 ans
Rang : S0
Seimei
Rajan Tsukino
beneath the mask
Le temps s'échappe. Il file et tes pas ne cessent de te reconduire sur cette île maudite, sur ces terres où ton nom est devenu celui d'un traitre ; celle où tu as porté ce masque de professeur pendant tant d'années dans le seul but d'accompagner Hidenori dans ses folies de grandeurs, dans l'idéal de rétablir le monde magique. Grandeur, ce que tu as abandonné et que tu as tant recherché. Splendeur, ce que tu étais sur le terrain et que tu as vendu en échange d'un grand malheur. Nul homme n'a connu réellement la solitude s'il n'a pas été oublié de ses pairs et tu as rejeté le monde pour te baigner dans ce tourment. Tu as vendu ton amour et ton nom à l'instar d'un lendemain.
Il n'existe plus de mensonge.
Pourtant, l'imposteur que tu es s'est posé au coin d'une ruelle de cette ville érigée en ce mois de février. Thé entre les doigts, jambes croisées, l'une élancée ; jetée sur sa paire, tu regardes le ciel se couvrir. Aujourd'hui, il allait pleuvoir.
Ceux qui pleurent ce ne sont pas les nuages, mais les habitants, les élèves, les kitsune, la jeune Maiko Kondo. Tu te souvenais de cette élève discrète par le début qui n'a cessé de s'épanouir. De cette jeune enfant rayonnante et impliquée. De ce blason rose qui portait ses rires et sa témérité.
Mademoiselle Kondo, les larmes ne vous vont pas. Tu brises ce silence, pose ta tasse de thé et te lèves de ta chaise abandonné au milieu de cette ruelle pour venir t'abaisser au niveau de la jeune fille. Rajan Tsukino, tu étais l'homme qui avait trahit ses élèves et qui aujourd'hui tendait son mouchoir de soie à l'une d'entre elle. Voulez vous une oreille attentive à vos peines ? Je me ferais une joie d'écouter.
Cela occuperait de ton temps.
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Tu te pensais réellement seule dans cette ruelle Maiko, laissant couler le long de tes joues ton désespoir, ta mélancolie et surtout tes pensées obscures sauf que voir qui fit arrêter tes sanglots plus que les larmes sur tes pommettes rougies, faisant baiser ta tête qui regarder ce ciel « noir ».
- Professeur Tsukino…
Un vieux réflexe après tout, n’était-il pas ton professeur de vol, depuis ton arrivé dans cette école que tu pensais libératrice mais, qui t’a fait t’enfoncer dans cette cage monochrome qu’a construit ta famille autour de toi, tu grimace… Le voir t’emporte peu, ses actes et ses mots glisse sur toi, comme de l’eau, tu n’accepte pas le présent mouchoir qu’il te tend, tu préfère laisser tes larmes sur ton visage, cela fait un bien fou à ta tête et à ton cœur qui en a bien besoin.
- C’est gentil à vous mais, à quoi bon parler de chose que le monde magique va oublier d’ici quelque temps…
Parce que même si cela fait qu’une semaine, que les funérailles commencent à peine, le monde magique oubliera bien vite la matriarche Kondo pour s’occuper de la future héritière…
Celle qui doit prendre ta place, cette nouvelle héritière….
Et tout cela te fait sombrer un peu plus dans les ténèbres, le monochrome s’éloignant de plus en plus de ton coeur et de ta tête, la lumière ne trouvant pas sa place, abandonne, laissant encore un torrent de larmes sur tes pommettes.
- Je ne sais même plus quoi faire, plus je pense plus je m’enfonce dans des questions sans réponses…
Tu regarde tant bien que mal ton ancien professeur, te confier à lui sera compliquer comme d’habitude, toi qui n’a pas l’habitude de confier tes pensées et sentiment à autrui, qui garde tout en ton être et explose quand celui-ci ne peut plus rien garder…
Surtout que la situation avec cette famille va redevenir comme avant, adieu les jours heureux, tu le sens déjà maiko que tes cousines te haïssent, et ton sentiment de haine qui revient au triple galop que ce soit envers ta mère ou bien Umeko, ta grand-mère, qui deviendra bientôt qu’un tas de cendre….
- Vous devriez laisser tomber professeur, je suis une cause perdu pour ce monde…
Cette phrase amer sort en même temps qu’un sanglot trop fort pour ton être qui te fait t’écrouler plus bas que ton professeur comme si une vérité était sortie de ta bouche.
- Professeur Tsukino…
Un vieux réflexe après tout, n’était-il pas ton professeur de vol, depuis ton arrivé dans cette école que tu pensais libératrice mais, qui t’a fait t’enfoncer dans cette cage monochrome qu’a construit ta famille autour de toi, tu grimace… Le voir t’emporte peu, ses actes et ses mots glisse sur toi, comme de l’eau, tu n’accepte pas le présent mouchoir qu’il te tend, tu préfère laisser tes larmes sur ton visage, cela fait un bien fou à ta tête et à ton cœur qui en a bien besoin.
- C’est gentil à vous mais, à quoi bon parler de chose que le monde magique va oublier d’ici quelque temps…
Parce que même si cela fait qu’une semaine, que les funérailles commencent à peine, le monde magique oubliera bien vite la matriarche Kondo pour s’occuper de la future héritière…
Celle qui doit prendre ta place, cette nouvelle héritière….
Et tout cela te fait sombrer un peu plus dans les ténèbres, le monochrome s’éloignant de plus en plus de ton coeur et de ta tête, la lumière ne trouvant pas sa place, abandonne, laissant encore un torrent de larmes sur tes pommettes.
- Je ne sais même plus quoi faire, plus je pense plus je m’enfonce dans des questions sans réponses…
Tu regarde tant bien que mal ton ancien professeur, te confier à lui sera compliquer comme d’habitude, toi qui n’a pas l’habitude de confier tes pensées et sentiment à autrui, qui garde tout en ton être et explose quand celui-ci ne peut plus rien garder…
Surtout que la situation avec cette famille va redevenir comme avant, adieu les jours heureux, tu le sens déjà maiko que tes cousines te haïssent, et ton sentiment de haine qui revient au triple galop que ce soit envers ta mère ou bien Umeko, ta grand-mère, qui deviendra bientôt qu’un tas de cendre….
- Vous devriez laisser tomber professeur, je suis une cause perdu pour ce monde…
Cette phrase amer sort en même temps qu’un sanglot trop fort pour ton être qui te fait t’écrouler plus bas que ton professeur comme si une vérité était sortie de ta bouche.
Rajan Tsukino
Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
Age : 37 ans
Rang : S0
Seimei
Rajan Tsukino
beneath the mask
Si jeune et pourtant la jeune demoiselle portait des termes si vrai. Le monde sorcier avance sans se soucier de qui que ce soit ; on espère pouvoir l'influencer et tu fais de ceux qui prétendent pourvoir le faire, mais lorsque l'on a un age aussi jeune que le sien ; on est forcément dépourvu. Elle te nomme à l'instar de ton ancien titre, professeur. Il était ironique d'entendre encore cette dénomination, lorsque l'on sait de quel côté tu t'es rangé lorsque tout est arrivé. Vous savez Mademoiselle Kondo, ce que monde magique pense importe peu. Puisque celui qui le forgera demain sont les enfants d'aujourd'hui et vous en faites partie. Un espoir que tu berçais dans ton enfance, un dessein que tu cherches à accomplir maintenant adulte.
Tu ranges dans ta poche le mouchoir tendu et rejeté laissant la douce kitsune déverser son coeur à souhait. Parfois, il est bon de suivre son coeur, de simplement agir sans réfléchir. Vous êtes jeune, on vous pardonnera vos erreurs. L'enfance à ce privilège là, celle de la naïveté, celle de la curiosité, celle de s'échouer et de pouvoir recommencer. Ne soyez pas ce qu'on attends de vous. Tu serais surement aux yeux de ton père une déception, tu es aux yeux du peuple synonyme de trahison, aux yeux de tes enfants d'abandon ; mais tu as toujours avancé justement selon tes propres convictions.
Être perdu ne signifie pas la fin, mais le début de quelque chose de nouveau si vous voulez mon avis. Laissez une chose derrière vous peut vous aider à aller de l'avant. Plus rien ne vous retient désormais. Tu es le premier à en avoir fait l'expérience, a avoir soufflé sur ton amour de toujours pour avancer et porter tes espoirs.
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
La tête basse, les larmes ruisselant les longs de tes joues, tu écoutais ton ancien professeur maiko... Des mots qui firent lever la toi intérieure pour regarder ta cage d'or se fissurer puis se briser sauf qu'ils ne peuvent pas briser les chaînes qui te retiennent, qui t’emprisonne...
Pourtant tu les vois voler autour de toi, presque comme une personne qui te tendait la main mais, est-ce la bonne solution ?
Tu ne sais pas, tu ne sais pas, tu... baisse à nouveau la tête, encore un combat à te demander si ce que tu fais est bien ou mal ?
Si parler à ton ancien professeur de vol que tout le monde pointe du doigt... comme ta famille l'a toujours fait pour toi, elle continue à le faire...
« Tu sais, Maiko, tu devrais renoncer à ton titre d'héritière... »
Ce que t'avais dit ta grand-mère, Umeko Kondo qui n'est plus désormais, tu ne sais plus pourquoi elle t'avait dit cela... Peut-être parce que tes fiançailles tombaient doucement à l'eau, parce que ce que tu deviens leur fait honte encore plus qu'avant... Même ta tante Emi qui a toujours été de ton côté l'a proposé aussi...
Est-ce que cela vous dire que tu n'était plus apte à être l'héritière des Kondo ?
Mariko s'en était indigné, tu n'avais rien dit comme la poupée que tu étais...
- Plus rien ne me retient...
Et tu entends à l'intérieur de toi, les chaînes se brisaient, comme si les derniers mots de l'adulte devant toi que tu viens de répéter était ce qui te délivrait des chaînes que les Kondo ont crées.
Tu relève la tête autant extérieurement qu'intérieurement, tu regarde l'adulte.
- Si plus rien ne me retient alors je peux faire ce que bon me semble.
Et tu entends tes ailes, les ailes de la libertés, s’épanouirent hors des chaînes "Kondo" prête à s'envoler au loin, là où tu veux aller Maiko, là où sera ta place.
Tu te relève en essuyant tes yeux, rougies par des larmes qui maintenant n'ont plus lieu d'être, tu es libérer de ses mœurs qu'est ta famille, ta balance qui a toujours été monochrome à cause d'eux balance plus vers le noir, comme le personnage secondaire de ce conte que t'avait envoyé Hiroshi, un cygne noir qui prends tout par la force.
C'est ce que tu allais faire maintenant Maiko, prendre ce que tu voulais par la force des choses et qu'importe si cela ne plaît pas à autrui.
Céder ta place d'héritière, pouvoir vivre comme tu l'entends et surtout être celle que tu veux, voilà comme tu allais vivre à présent.
- Vos mots m'ont fait du bien, professeur.
Pour toi maiko, il resterait ton professeur même si les gens autour de toi le traite de traître, il est celui qui t'a libérer de tes chaînes, le nom de famille que tu porte n'est plus rien pour toi Maiko.
Ton visage s'illumine d'un sourire radieux et le ciel que tu voyais gris est à nouveau bleu, ce bleu magnifique que tu a toujours admiré qui t'attends pour t'envoler vers ce futur que tu as toujours désiré, vers cette liberté que tu embrasse pour de vrai cette fois.
Pourtant tu les vois voler autour de toi, presque comme une personne qui te tendait la main mais, est-ce la bonne solution ?
Tu ne sais pas, tu ne sais pas, tu... baisse à nouveau la tête, encore un combat à te demander si ce que tu fais est bien ou mal ?
Si parler à ton ancien professeur de vol que tout le monde pointe du doigt... comme ta famille l'a toujours fait pour toi, elle continue à le faire...
« Tu sais, Maiko, tu devrais renoncer à ton titre d'héritière... »
Ce que t'avais dit ta grand-mère, Umeko Kondo qui n'est plus désormais, tu ne sais plus pourquoi elle t'avait dit cela... Peut-être parce que tes fiançailles tombaient doucement à l'eau, parce que ce que tu deviens leur fait honte encore plus qu'avant... Même ta tante Emi qui a toujours été de ton côté l'a proposé aussi...
Est-ce que cela vous dire que tu n'était plus apte à être l'héritière des Kondo ?
Mariko s'en était indigné, tu n'avais rien dit comme la poupée que tu étais...
- Plus rien ne me retient...
Et tu entends à l'intérieur de toi, les chaînes se brisaient, comme si les derniers mots de l'adulte devant toi que tu viens de répéter était ce qui te délivrait des chaînes que les Kondo ont crées.
Tu relève la tête autant extérieurement qu'intérieurement, tu regarde l'adulte.
- Si plus rien ne me retient alors je peux faire ce que bon me semble.
Et tu entends tes ailes, les ailes de la libertés, s’épanouirent hors des chaînes "Kondo" prête à s'envoler au loin, là où tu veux aller Maiko, là où sera ta place.
Tu te relève en essuyant tes yeux, rougies par des larmes qui maintenant n'ont plus lieu d'être, tu es libérer de ses mœurs qu'est ta famille, ta balance qui a toujours été monochrome à cause d'eux balance plus vers le noir, comme le personnage secondaire de ce conte que t'avait envoyé Hiroshi, un cygne noir qui prends tout par la force.
C'est ce que tu allais faire maintenant Maiko, prendre ce que tu voulais par la force des choses et qu'importe si cela ne plaît pas à autrui.
Céder ta place d'héritière, pouvoir vivre comme tu l'entends et surtout être celle que tu veux, voilà comme tu allais vivre à présent.
- Vos mots m'ont fait du bien, professeur.
Pour toi maiko, il resterait ton professeur même si les gens autour de toi le traite de traître, il est celui qui t'a libérer de tes chaînes, le nom de famille que tu porte n'est plus rien pour toi Maiko.
Ton visage s'illumine d'un sourire radieux et le ciel que tu voyais gris est à nouveau bleu, ce bleu magnifique que tu a toujours admiré qui t'attends pour t'envoler vers ce futur que tu as toujours désiré, vers cette liberté que tu embrasse pour de vrai cette fois.
Rajan Tsukino
Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
Age : 37 ans
Rang : S0
Seimei
Rajan Tsukino
La balance du monochrome
La pluie ne cesse de s'abattre et les cordes tombent encore et encore comme les coupables sont pendus pour leur impunité. Pourtant, ils ne sont pas ceux qui souffrent le plus, car les morts sont abstenu de ressentir, de souffrir et d’imposer leur paroles comme volonté. C’est bien pour cette simple raison que tu as condamné celui qui osait te brider, celui qui osait te freiner ; Ce paternel sans convictions pour ce monde avançant à un rythme que ses pauvres jambes ne pouvaient plus suivre. Il avait fait son temps et tu n’avais fait que de le guider vers l’inévitable. Demain, tu seras celui qui deviendra un vestige d’antan, alors que ta volonté soit héritée par les enfants : ils sont libres de combattre pour faire perdurer cette ère comme de la mener à la guerre.
Plus rien ne la retient, parce qu’elle était la seule à écouter les caprices d’autrui, pensant qu’ils étaient l’unique réalité. La seule vérité de ce monde, très chère Kondo, est celle que vous décidez de forger. Tu es le premier à vivre de chimères, pourtant il n’y a qu’un seul rythme battant lourdement dans le creux de ton oreille : la fanfare de ta victoire. Et si tout s’avère être un mensonge, alors agissez : faites de vos paroles l’unique véracité de notre époque. C’est le chemin sur lequel tu t’es engagé, celui pour lequel tu as vendu ton âme et tes croyances et ce monde brûlera de tes mains, si tu ne parviens pas à tes desseins.
Vous avez toujours été libre, on vous a toujours fait croire le contraire. Ne laissez plus personne vous contredire, bafouer vos croyances, piétiner vos ambitions, car toutes valent la peine d’être entendue. Tu glisses alors ta main dans la poche de ta veste, sortant un origami rouge à demi-plié entre tes doigts. Tu tend le morceau de papier à l’ancienne héritière des Kondo. Les Tsukino et les Yuutsu porteront vos désirs, si vous le souhaitez. Pour forger ce qui sera la plus grande époque sorcière qu’est le monde ait connu.
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Tu te lève enfin Maiko, quittant le sol, enlevant la poussière sur tes vêtements, tu avais cette allure fière sauf qu'elle avait quelque chose de nouveau.
Un renouveau, une nouvelle toi, le nom Kondo sera rayé de ta vie après ta scolarité, que tu sois marié ou bien que tu dois changer de nom de famille.
Les paroles de ton ancien professeur résonne en toi Maiko, elle te font grandir ses ailes que tu as toujours voulu !
Tu as ce sourire, un peu carnassier qui fleurit sur ton visage, un rire petit même s'il veut dire beaucoup de chose.
- Je comprends bien vos paroles professeur et ne vous inquiétez, j’appliquerais tout cela selon mes propres désirs.
Oui parce que à cet instant, tu pouvais te permettre de voir grand, de rêver d'un avenir que toi tu désirais, qu'on ne t'impose pas par principe et traditions.
Tu vois alors le professeur Tsukino sortir un origami rouge, rouge sang, cette couleur te plaît Maiko, tu te saisis du morceaux de papier en souriant encore plus.
- Les Tsukino et Les Yuutsu peuvent compter sur moi, la personne que je suis et non la famille dont je viens.
Oui parce que tu te fichais bien des Kondo à ce moment là, tu pensais pour toi Maiko et pas pour cette famille.
- Je vais certainement vous laisser professeur, je vous remercie pour aujourd'hui, au plaisir de vous revoir.
Tu range l'origami rouge dans ta poche, t'incline et tourne le dos à ton ancien professeur, pour retourner à l'école, un sourire fière sur le visage.
Un renouveau, une nouvelle toi, le nom Kondo sera rayé de ta vie après ta scolarité, que tu sois marié ou bien que tu dois changer de nom de famille.
Les paroles de ton ancien professeur résonne en toi Maiko, elle te font grandir ses ailes que tu as toujours voulu !
Tu as ce sourire, un peu carnassier qui fleurit sur ton visage, un rire petit même s'il veut dire beaucoup de chose.
- Je comprends bien vos paroles professeur et ne vous inquiétez, j’appliquerais tout cela selon mes propres désirs.
Oui parce que à cet instant, tu pouvais te permettre de voir grand, de rêver d'un avenir que toi tu désirais, qu'on ne t'impose pas par principe et traditions.
Tu vois alors le professeur Tsukino sortir un origami rouge, rouge sang, cette couleur te plaît Maiko, tu te saisis du morceaux de papier en souriant encore plus.
- Les Tsukino et Les Yuutsu peuvent compter sur moi, la personne que je suis et non la famille dont je viens.
Oui parce que tu te fichais bien des Kondo à ce moment là, tu pensais pour toi Maiko et pas pour cette famille.
- Je vais certainement vous laisser professeur, je vous remercie pour aujourd'hui, au plaisir de vous revoir.
Tu range l'origami rouge dans ta poche, t'incline et tourne le dos à ton ancien professeur, pour retourner à l'école, un sourire fière sur le visage.
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