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La mort aux portes [ft.Natsuo]
Akashi Sugawara
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Citation : Savage is not a word, it's an attitude
Age : 16 ans
Rang : 60
Ryujin
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Akashi Sugawara
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Akashi Sugawara

La mort aux portes

Tu tournes en rond dans ta chambre, paniqué, ne trouvant pas ton masque pour le mettre avant de partir. Tu n’as que très peu dormi, cette nuit… Tu t’es réveillé avec des fourmis dans le bras gauche et une légère douleur. Et depuis, tu as paniqué. Tu es resté cloué dans ton lit à fixer le plafond, inquiet de faire un infarctus à tout moment. Tu n’as pas osé réveiller Ishvar ou même Hanru, de peur qu’ils te hurlent dessus. Tu sais que te faire crier dessus n’arrangerait rien à ton mal-être. Et aller voir Himawari est exclus, étant donné qu’elle est une fille, et toi un garçon, tu ne peux pas entrer dans le dortoir comme ça !! Tu aurais pu aller voir Takumi… Mais tu as été terrifié de te lever dans la nuit et de parcourir les couloirs plongés dans l’obscurité, et ce, même avec une lumière au bout de ta baguette.

Donc, tu as attendu que le jour se lève, ne faisant pas une seule fois la corrélation entre ta douleur et la croissance… Ou même des possibles courbatures suite à ton entraînement de la veille. Une fois l’heure de se lever, tu t’es rué hors de ton lit et a sauté dans ton uniforme, te retrouvant ainsi à chercher un masque, rangé dans sa boîte, depuis plusieurs minutes. La panique te fait complètement perdre les pédales ! Finalement, tu trouves ce que tu cherches et l’enfile soigneusement avant de quitter les dortoirs et de te ruer dans l’infirmerie.

Tu t’es levé aux aurores, ainsi, tu ne crois personne dans les couloirs et c’est très bien comme ça. Tu arrives devant l’infirmerie et sans frapper, tu pousses doucement la porte, passant la tête pour être sûr qu’il y a quelqu’un. Tu tombes sur celui que tu connais bien : Natsuo, tu vas souvent le voir, mais tu ne l’aimes pas trop. Il a toujours l’air d’ignorer ton mal. Tant pis, il fera l’affaire. Tu pénètres alors dans la pièce, et tu t’approches de l’infirmerie, tendant ton bras gauche et le montrant avec une légère inquiétude dans la voix, la seule émotion qui transparaît à travers cette voix monotone et cette expression constamment impassible que tu arbore.

-S’il-vous-plaît, vous devez m’aider. Je ne vais pas bien… J’ai mal dans le bras, et j’ai aussi des fourmillements, depuis cette nuit. Est-ce que c’est grave ?? Je ne me sens pas très bien…

En effet, tu es blême. Mais, ce n’est pas dû à la maladie inexistante, mais à la panique que tu t’es causée durant toute la nuit et la course effrénée que tu as fait dans les couloirs. Les jambes cotonneuses, tu t’assois sur l’un des nombreux lits.

-Ohlala… Je vais mourir…

Grimy


couleur • panique.
Natsuo Maeda
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Age : 30 ans (22/01)
Amaterasu
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Natsuo Maeda
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Natsuo Maeda
LA MORT AUX PORTES
Les rayons d’un soleil froid d’automne l’avaient réveillé. Natsuo n’avait guère dormi quelque soit ce que l’on considère comme peu d’heure de sommeil. Comme de nombreuses nuits, il n’avait su gagner son lit avant une heure tardive – ou particulièrement matinale, selon les avis. Et comme ces mêmes nuits, il n’était parvenu à s’endormir immédiatement, même allongé.
Le sommeil ne lui venait parfois qu’en journée – ce qui était d’autant plus compliqué lorsque ces dernières se raccourcissaient au point de ne laisser au soleil que quelques heures d’activité.

Il s’était rendu à l’infirmerie, en priant brièvement pour avoir une journée calme, commençant par se préparer une tasse de café.
La fatigue, en soi, ne lui posait pas tant de problème – mise à part lorsqu’elle devenait critique au point qu’il ne s’endorme à son bureau. Le problème étaient ceux qui venaient troubler sa quiétude pour des ennuis dérisoires.

Ses prières ne furent nullement exaucées ; peut-être parce qu’il était incapable d’en formuler réellement. Il se contentait d’espérait, dans un coin de son esprit, tout en sachant pertinemment qu’il ne servait à rien de se voiler la face.
Il avait beau dire, il s’ennuierait davantage si personne ne venait dans son antre. Il se lamentait seulement que les blessures graves soient si rares.

En l’occurrence, les élèves les plus gênants étaient ceux, comme Akashi Awataguchi – s’il avait retenu son nom, cela signifiait déjà qu’il venait bien trop souvent – qui passaient plus de temps à l’infirmerie qu’ailleurs et, surtout, pour des raisons qui n’en étaient généralement pas.
Qu’Hoshi Umiyasu soit une patiente régulière, il l’acceptait ; sa maladie le justifiait aisément.
Awataguchi, lui, n’était pas plus malade que n’importe quel autre hypocondriaque.

Ainsi, quand il le voit entrer de son habituelle expression apeurée – signe qu’il craint, encore une fois, de mourir dans la minute – Natsuo s’attend déjà aux pires justifications.

Sans s’offusquer de l’absence totale de politesse avec laquelle il fait irruption, l’adulte l’aborde avec impassibilité, observant tout signe de réel mal dont il pourrait être atteint. L’adolescent est pâle, ce qu’il peut expliquer par la frayeur dont il s’incombe lui-même, néanmoins il resta silencieux quelques instants, pendant lesquels son regard le sonda.

« Où se situent les fourmillements ? Quel type de douleur et ne provient-elle que de ton bras ou la ressens-tu ailleurs ? »

Il le laissa s’installer, avec désintérêt, s’attendant à ce que le plus jeune s’assois sans attendre de permission. Avec flegme, il se leva à son tour pour s’installer près du lit.

Les risques d’infarctus, à son âge, sont particulièrement faibles. Et, connaissant l’énergumène, il pariait aisément sur une crise d’angoisse.
Pour faire bonne figure, il apposa ses doigts contre son poignet, là où il pourrait sentir l’artère radiale.

« Commence par reprendre ton souffle. Je pari que t’as couru jusqu’ici. »

En même temps que sa fréquence cardiaque, il comptait d’avance les minutes perdus.
Akashi Sugawara
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Akashi Sugawara

La mort aux portes

Tu prends place sur l’un des nombreux lits de l’infirmerie alors que l’angoisse te dévore le cœur. Tu n’as que très peu dormi et cela se voit sur ton visage. Tes cernes sont immenses et accentue l’air morose que tu arbores constamment. Tu observes ton bras gauche en espérant qu’il n’ai pas doublé de volume depuis le temps où tu es entré dans l’infirmerie. Tu as souvent entendu que le stress n’est pas bon pour le corps, alors tu essayes souvent de tout faire pour l’éviter mais il fait partie intégrante de toi, après tout.

-Dans le bras, monsieur. Je vous l’ai dit !

Tu t’exclames en levant le nez vers l’infirmerie. S’il y a bien un moment où tu laisses échapper tes émotions c’est bien lorsque tu crains pour ta vie. Si l’on veut te voir réagir, il faut bien évidemment te menacer de mort. Cela fonctionne à tous les coups, avec toi.

-Je ne la ressens que dans le bras gauche. C’est une crise cardiaque, n’est-ce pas ? Mon cœur est en train de s’arrêter, j’en suis persuadé. C’est l’un des premiers symptômes. Oh mon dieu… Si je n’étais pas venu dès maintenant, je suis sûr que je serais mort.

Tu blêmis davantage à cette pensée, te rendant compte que tu es passé à ça de la mort. Heureusement qu’encore une fois, tu as été réactif.

-Bien sûr que j’ai couru jusqu’ici, monsieur. Je suis en danger de mort et il n’y a que vous qui pouvez m’aider. J’espère que vous saurez vous montrer compétent parce que je ne suis pas sûr d’arriver l’hôpital à temps.

Tu laisses courir ton regard en direction des instruments, te demandant s’il va falloir opérer et s’il en aura les capacités. Ou alors, une piqûre ? S’il le faut, tu l’accepteras. Tu serais capable d’accepter le moindre traitement.

-Est-ce que mon mal-être est dû à une mauvaise alimentation ? Je ne mange pas assez de viande rouge ? Ou alors, je ne suis pas assez régulier dans mon entraînement ? Pourtant, je m’entraîne trois fois par semaines. Ce n’est pas assez ? Comment allez-vous pouvoir me soigner ? Allez-vous devoir opérer ?

Tu l’assommes de question, sans te rendre compte que cela influe sur ta panique et augmente ton rythme cardiaque, au point de te faire hyperventiler. Encore une preuve que tu es sur le point de faire un infarctus !

Natsuo Maeda
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Natsuo Maeda
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Natsuo Maeda
LA MORT AUX PORTES
Lorsqu’un élève ne présentait ni blessure physique, ni symptôme visible, Natsuo considérait généralement que leur cas n’était ni grave, ni intéressant. Cette vérité était loin d’être absolue et, ne serait-ce que pas conscience professionnelle, l’infirmier témoignait l’effort de s’assurer de la véracité de cette pensée, mais en toute honnêteté : les adolescents se laissaient bien souvent emporter par leur imagination fertile, leurs inquiétudes et, pour les plus fainéants, par le souhait de se trouver une bonne excuse pour échapper aux cours.

Akashi appartenait aux premières catégories.
Akashi s’imaginait toujours le pire.
Akashi empirait, toujours, le moindre mal ; jusqu’à s’imaginer mourir.
Akashi ne venait jamais pour rien – rien qu’il ne puisse faire pour lui, du moins.
Mais il y avait une chose qu’Akashi réussissait toujours : l’emmerder.

Face au flot de fadaises prononcés par l’adolescent, Natsuo ferme les yeux, l’air profondément agacé, tandis qu’il tente de conserver sa concentration sur le rythme cardiaque s’affolant sous ses doigts.
Tachycardie notable, sans surprise.

Il leva une main, lui signifiant de se taire. Stop. S t o p, lance-t-il, l’irritation accentuant sa voix. Ce que je veux savoir, c’est si la douleur vient de ta poitrine et si elle irradie jusqu’à ton bras, ainsi que ta mâchoire ; mais aussi, si tu as la sensation d’être opprimé. Auquel cas, je pourrais supposer un infarctus, ce dont je doute réellement, à ta seule description.

Avec un soupire, il s’appuya contre le dossier de sa chaise, les bras croisés sur sa poitrine. Son regard ne lâchait pas le plus jeune, qui n’en avait visiblement pas terminé de parler en tous sens.
Il commençait à sentir poindre une violente céphalée.

Suffit. Je ne vais rien opérer, je ne suis pas même certain d’avoir quelque chose à soigner. Quant à la mort, le seul danger que vous devriez craindre là, tout de suite, serait que je décide de vous trancher pour vous faire taire une bonne fois pour toute. La tentation est grande, croyez-le.
Derrière le ton calme, autant que glacial, se trouvait une sincérité qu’il valait mieux pour l’élève d’ignorer.

Massant ses tempes, l’homme profita d’un instant de silence durement acquis pour apaiser ses nerfs. Qu’elle soit réelle ou non, il n’avait probablement pas le droit de proférer de telle menace à l’encontre d’un étudiant – ni de qui que ce soit, d’ailleurs.

Ton plus grand problème, c’est que tu n’en as pas. Tu t’angoisses pour un rien et ta propre angoisse fini par t’angoisser. L’ironie l’affligeait – vraiment, à quel point était-ce idiot ? Maintenant, si tu es incapable de gérer ce stress, je peux te conseiller de voir un psychologue. Car on avait beau lui infliger le devoir d’accompagner la détresse psychologique des jeunes, il n’était certainement pas qualifier pour. Et bon sang, respire. Sinon c’est certain que tu vas faire un malaise.
Akashi Sugawara
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Akashi Sugawara
miyuKing
15.11.97

Vous êtes un malade. Les infirmiers ne sont pas censées trancher quoi que ce soit chez leurs patients, ne serait-ce durant une opération !

Tu continues à paniquer et semble inarrêtable. Tu mets en cause les compétences de l’infirmier, quand bien même il est le seul à pouvoir te sauver la vie si tu fais une véritable syncope. Tu te perds aussi dans tes pérégrinations, débitant des mots ici et là, tout cela pour décrire ton mal-être. Quand il s’agit de cela, tu n’es jamais avare de synonymes. Tu assommes aussi Natsuo de questions, ne semblant jamais en avoir assez. Et tu es capables de continuer durant toute la matinée, s’il le faut. Mais enfin, l’infirmier t’arrête en levant une main.

Tes lèvres finissent par se rejoindre à nouveau, tandis que tu braques ton regard dans le sien. Est-ce que la douleur vient de ta poitrine ? Eh bien oui, n’est-ce pas ce que tu viens de lui dire ?! Tu paniques de nouveau, te demandant si le directeur a vraiment choisi un bon élément pour prendre soin des élèves, s’il n’est même pas capable d’écouter ses patients ?! Mais à nouveau, Natsuo t’arrête. Il fini par douter de la véracité de tes propos et tu fronces les sourcils. Tu n’en crois pas tes oreilles qu’il te traite de menteur ! C’est la meilleure ! Un infirmier n’est-il pas censé croire ses patients et établir un diagnostic concret ?!

-Me trancher ?!

Tu blêmis face à la menace et te redresse, reculant rapidement pour t’éloigner le plus possible de ce danger public. Non mais, qui est ce malade que le directeur a engagé ?!

-Pourquoi est-ce que vous me menacez, espèce de malade ?!

Tu lui lances, attrapant déjà ta baguette dans le seul et unique but de te défendre en cas d’attaque. D’ailleurs, tu bouges bien pour quelqu’un qui semble sur le point de faire un infarctus.

-Je sais bien que je suis un angoissé, mais je sais aussi reconnaître quand j’ai mal quelque part ! C’est vous qui semblez avoir besoin d’un psychologue. Un adulte ne devrait pas menacer un adolescent de la sorte. Qu’est-ce qui ne tourne pas rond, chez-vous ?

Tu suis son dernier conseil à la lettre, un peu trop d’ailleurs. Car tu halètes, en effet, tu angoisses. Mais ce n’est plus à cause de ta crainte de faire un arrêt cardiaque, mais parce que tu as peur que Natsuo ne mettent ses menaces à exécution.

-Je me demande vraiment si vous avez réellement les compétences pour être infirmier, si vous menacez vos patients, et doutez de leurs symptômes !

Natsuo Maeda
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Natsuo Maeda
LA MORT AUX PORTES
Pour dire les choses crument : il avait merdé. Que Natsuo n’en éprouve aucun remord ne l’empêchait pas de réfléchir objectivement à la situation et l’objectivité lui disait qu’il aurait mieux fait de s’abstenir d’ainsi menacer l’élève. Pas par éthique, il était loin de s’en soucier. Pas par crainte d’être renvoyé, non plus ; pourquoi s’en offusquerait-il ? Non. La crainte qu’il aurait dû avoir résidait dans la réaction d’Akashi et celui-ci ne manqua, malheureusement, pas de le lui confirmer. L’outrage entraînant son hystérie, les cris du garçons s’accentuèrent, tandis qu’il s’agitait de plus belle.
Bon sang. Pourquoi devait-il s’occuper des cas sociaux ? Il en était lui-même un.

Tu voulais que je t’opère ; n’est-ce pas approprier ? Le sarcasme parme ses lèvres d’un sourire crispé, mais le voyant lever sa baguette, prêt à se défendre, l’adulte lève finalement les mains afin de lui montrer ses paumes. Calme, je suis pas armé. D’eux deux, il n’était pas certain d’être le pire danger public.

Avec flegme, l’infirmier appuya ses coudes contre le plan de travail derrière lui, faisant face au plus jeune. Les questions, probablement légitimes – et rhétoriques – l’ennuyaient. Quant à ce qui ne tournait pas rond chez lui, il répondit pourtant : Diverses choses, parait-il. Il se garda bien de préciser avoir déjà été vu par un psychiatre, quand bien même il lui aurait été égal que le garçon soit au courant.
Quelque chose lui disait qu’apprendre qu’il avait été caractérisé sociopathe n’irait pas arranger la situation.

Assis-toi et cesse de t’agiter, je vais finir par t’injecter un calmant. Ce n’est pas qu’il lui fait peur, mais l’imbécile allait réussir à provoquer sa propre crise d’angoisse – bien qu’il en soit peut-être un peu responsable, lui aussi. Pour quelqu’un aux portes de la mort, je te trouve étonnamment animé. Si ça pouvait suffire à le convaincre qu’il s’inquiète inutilement de sa santé, il parviendrait enfin à avoir la paix.
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