— MAHOUTOKORO
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Un rayon de lumière dans cette noirceur infinie. [RP solo]
Maiko Kondo
Un rayon de lumière dans cette noirceur infinie. [RP solo] 1oq5
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Amaterasu
Maiko Kondo
https://mahoutokoro.forumactif.com/t64-maiko-kondo-tout-ce-que-tu-decide-est-juste-termine
https://mahoutokoro.forumactif.com/t253-pensees-pliante-maiko
Maiko Kondo
Tu la voyais voler au dessus de ta tête, se dirigeant vers la volière avec grâce et légèreté cette chouette que tu attendais avec tellement d’impatience que ton cœur s’il le pouvait sortirais de ta cage thoracique donc tu abandonna sans regret les personnes avec qui tu étais pour courir vers cette endroit aux mille et un mots.

Tu bouscula quelque personnes au passage, mais qu’importe ce parchemin était enfin arrivé, enfin tu pouvais dire que ton cœur morose de ce début d’année scolaire était en joie, toi qui souriait juste pour faire plaisir aux gens que tu connaissait et que tu appréciais juste pour leur montrer que tu vas bien alors que c’était tout le contraire même les personnes que tu n’appréciais pas n’avait vu que du feu sur ton état.

Tu était forte, bonne comédienne pour cacher tout cela et puis comme tu ne donnais ta confiance à personne et que tu était disons le proche de personne, que tu essayais sans conviction de jouer les filles parfaites comme on te l’a apprit.

Tout cela tu voulais l’oublier, mais comment oublier quelque chose que tu apprends depuis petite ? Depuis que tu sais marcher et baragouiner quelque mots correcte ?

Mais, tout cela t’étais bien égal pour le moment ! Tu montais les marches deux à deux, tu voulais marcher ou voler sauf que tu n’avais pas ton balais avec toi et tu n’avais pas d’aile comme les oiseaux que tu admire tant pour aller plus vite vers la volière.

Tu arrive essoufflé, les joues rougit par ta course effréné sauf que sur une branche tu vois l’objet de tes désir qui commence à voler jusqu’à toi et se poser gracieusement sur ton bras, quémandant à tes yeux des caresses.

- Bonjour jolie Maura !

La chouette de ton frère qu’il avait adopté en plus de son petit lapin bien obligé à cause de la famille Kondo dont on pourrait dire que c’est l’animal fétiche. Tu caresse l’animal tout en reprenant ton souffle, elle avait l’air heureuse de te voir comme toi tu étais heureuse de la voir enfin.

Tu regarda sa patte et décrocha délicatement le petit parchemin que tu déplia aussitôt, la jolie chouette comprit qu’elle devait aller se poser sur une des branches de l’arbre pour te laisser à ta lecture. Les mains tremblante d’excitation, tu posa ton regard sur le parchemin qui était plutôt long et le lit un peu en diagonale juste pour prendre les informations les plus importante que ton cerveau retiendrais mieux.

« Ma petite Maiko,

Désolé d’avoir mis autant de temps à t’envoyer ce parchemin, mais je ne voulais pas trop t’embêter avec les cours qui ont commencé plutôt que prévue à ce que j’ai appris.

Je voulais aussi t’annoncer que je reviens au Japon pour quelques mois ou pour plus longtemps, je ne sais pas encore… J’ai reçu un parchemin d’un ancien camarade à moi qui arrive à intercepté les parchemins de Daiki, je ne voulais pas t’en parler vu que tu aurais sûrement mal pris le fait que je surveille ton courrier et j’en suis désolée sauf que comprends moi petite Maiko d’amour…

Je me fait réellement du soucis pour toi, cela ne fait qu’un ans que je suis partis, tu es rentré en dixième année (ce que tu grandit vite petite maiko), on a beaucoup discuté quand je suis partis dans la famille de père pour ne pas finir mes études dans le manoir Kondo.

La famille que j’ai connus est bien différente de celle que j’ai connue et que tu continue à côtoyer enfin là non vu que tu es à Mahoutokoro, bien heureusement pour moi et pour toi aussi.

Je pense prendre un post qui laissera ma créativité parler et que je sois dehors pour te voir à toute heure de la journée et pouvoir t’aider dans ta quête de confiance enfin discrètement pour ne pas qu’Hidenori me fasse la moral comme à son habitude.

On se voit très bientôt Maiko pour déjà repartir sur nos bases sans que personne ne soit au courant même pas Daiki qui n’arrête pas de demander des nouvelles sans conviction, je reconnais un peu la même façon de s’exprimer de mère.

Bon allez, à très bientôt Maiko ! Je t’adore !

Hiroshi »


Tes yeux s’embrumèrent et tu te laissais aller à ses larmes que tu retenais depuis bien trop longtemps même si certaines d’entre elles étaient tombées dans une situation que tu aurais bien aimé éviter sauf que tu ne pouvais pas tout contrôler sinon tu ne serais pas dans cette situation.

Tu devais pourtant te concentrer sur ce qui est dit dans ce parchemin et ne pas trop laisser tes émotions que tu retenais au fond de toi t’emporter telle une vague incontrôlable.

Déjà il s’excuse, c’est pas mal au moins la raison est valable même s’il sait que tu aurais préférer avoir des nouvelles malgré la rentrée avancés que rien du tout puis tes doigt tremblent et tu relis cette phrase plusieurs fois pour te persuader que tu ne rêve pas que c’est bien réel…

Tu pensais ne le revoir que dans deux ans et voilà qu’il revient juste après un ans à voyager, tes jambes fragiles par ta course lâchèrent sur cette nouvelle et tes larmes se mirent à couler bien plus, heureusement que tu étais seule pour ce moment même si accompagner cela aurait peut-être bien mieux tant pis tu n’y a pas vraiment pensés.

Tu continue ta lecture malgré tes larmes qui coulent le long de tes joues qui ont prit une teinte encore plus rouge que lorsque tu avais fini ta course vers la volière.

- Entre les deux, ça va être encore plus la guerre...

Ses mots dit à voix haute était sortis comme une évidence que bientôt la paix que tu connaissait ne serait plus pareil si la vérité éclater ou alors tout serait tenue secret pour le plus grand bonheur de tous… Tu devrais peut-être questionner le directeur qui doit être au courant des plans de Hiroshi.

Tu replie le parchemin et fait rentrer la chouette dans sa cage dédier, en hauteur au vu de son poids plume puis tu quitta la volière en essuyant tes yeux rougit par cette lettre qui te mettait dans une joie immense, mais est-ce que tu devais la partager ? Est-ce que cela n’aurait pas de graves conséquences sur le plan du second Kondo ?

Que faire avec tout cela maintenant ? Tu quittais la volière et t’embarquer dans les couloirs de Mahoutokoro, le parchemin serrait contre ton cœur qui ne savait quoi faire et ton esprit non plus, tout cela était contradictoire et un peu dangereux sauf que tu devais penser vite et bien pour ne pas éveiller de soupçons dans tes prochains parchemins à ton aînée Daiki… Dans quel situation cette famille va t’embarquer encore…