— MAHOUTOKORO
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L'aiguille du temps se retourne tel un verre brisé {Solo}
Maiko Kondo
L'aiguille du temps se retourne tel un verre brisé {Solo} 1oq5
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Amaterasu
Maiko Kondo
https://mahoutokoro.forumactif.com/t64-maiko-kondo-tout-ce-que-tu-decide-est-juste-termine
https://mahoutokoro.forumactif.com/t253-pensees-pliante-maiko
Maiko Kondo
Une seule et unique semaine est passé depuis que tu t’es fait attaqué, tu été allé posé Gaia le jour même pour aller à la volière sauf que Maura ne s’y trouvait pas donc tu as attendue une semaine à tourner en rond à l’intérieur du bâtiment car, malgré tout ton courage ou ta folie tu n’a pas eu le courage de mettre les pieds dehors.

C’est là que tu as vu cette petite demoiselle parmi les autres qui a vite voler vers toi, réclamant ton amour que tu lui donne tout entier Maiko en détachant délicatement la lettre et c’est la douche froide...

Finalement il ne viendra pas, comme sa première promesse il ne la tiendra pas, il te souhaite bon courage pour la fin de tes années scolaires vu qu’il ne sait pas s’il va pouvoir continuer la correspondance à cause de son travail à l’étranger.

Tu froisse ce papier et renvoi Maura vers ton frère, vers Hiroshi qui comme d’habitude ne changera pas comme cette famille maudite, tu perds encore une fois ce sourire, cet espoir nourrit pour rien et tu laisse tes larmes silencieuse perlé le long de tes joues Maiko parce que rien dans ta vie ne changera fortement, tout n’est qu’un calvaire alors que tu vois les jours défilé, les efforts que tu commencé à faire pour prouver à ton second frère s’éteigne comme cette promesse brisé encore.

Tu quitte la volière la tête baissé et les pas lourd de sens, cette année est vraiment la pire de toute, entre les vacances annulée, ce voyage catastrophique, cette attaque étrange et maintenant cette deuxième promesse brisé, tu te fiche bien maintenant que cette cage dans ton esprit apparaisse à nouveau, que la porte de celle-ci soit fermé et que tu sombre encore dans une attitude neutre, tout cela t’es égal Maiko.

Tu marche dans les couloirs de l’école en évitant de rentrer dans les autres élèves ou de montrer les larmes qui coulent le long de tes joues, tu te fiche de tout maintenant, plus rien n’a d’importance à tes yeux, rien du tout, tu jette le parchemin de ton aîné dans la première poubelle à ta porté et t’aventure dehors.

Tu soupire et continue d’avancer dehors, tout cela t’a mise hors de toi sauf que la colère n’est pas un sentiment qui t’est familier donc tu es plutôt fatigué, complètement fatigué de tout cela alors y’a à peine quelques semaines tu étais heureuse, tu t’étais amusé à la plage avec tes camarades Kitsune comme si c’était normal que rien de tout ce que tu as fait avait été retenus par eux.

Tes pas te guident au nord de l’école dans le jardin japonais tout prêt de la résidence des professeurs, un endroit où peu d’élève vont habituellement sauf que depuis ton attaque tu essaie d’éviter ce genre d’endroit sauf qu’aujourd’hui tu as besoin d’être seule, tu marche sur le chemin de pierre en essuyant tes yeux avec la manche de ton uniforme sauf que cela n’arrête pas les larmes qui coulent, tu as juste ce cœur brisé par cette famille qui sait juste te faire du mal, rien d’autre, pourquoi tu n’es pas née du côté de la famille de ton père plutôt tout aurait été sûrement plus simple ou bien tu aurais du peut-être mourir à ta naissance comme cela même si ta mère aurait été la risée des Kondo, tu ne vivrais pas cet enfer qui te détruit complètement.

Tu finis par t’asseoir dans un coin du jardin japonais, observant les alentours sans grande conviction juste l’envie que les larmes qui coulent le long de tes pommettes s’arrêtent pour retourner à l’école avec ce sourire hypocrite que tu dois à nouveau montrer.

Ton rêve de voyager s’est envolé de ton esprit complètement, à quoi bon réaliser le même rêve qu’une personne qui ne tiens pas ses promesses ? Tu demande ce que ton avenir te réserve Maiko, ce monde que tu pensais maintenant remplis de couleur est de nouveau entrain de sombrer vers le monochrome, c’est une couleur qui te va définitivement bien Maiko, tu maudit cette année et cette famille et surtout toi qui était prête à faire des efforts pour rien, rien du tout.

Tu trouve tout cela injuste et tes larmes sont font plus forte, tes sanglots te font hoqueter fort alors que tu es discrète sur ta peine habituellement sauf que cette fois ta peine est trop grande pour la contenir Maiko, tu laisse couler à travers tes larmes ce désespoir que tu aimerais bien que cela t’engloutisse entièrement pour ne plus le sentir.

Tu te recroqueville sur toi même si te cacher cette fois ne sert à rien vu que cela s’entend autant que cela se voit, tu es fatigué de tout donc tu te fiche si quelqu’un arrive et te voit dans cet état lamentable, plus rien n’a d’importance, te cacher est devenue obsolète, à quoi bon continuer cette comédie ? À quoi te cacher encore et encore pour verser ta peine seule ? A quoi bon faire des efforts pour les voir réduit à néant ?

Tu essuie sûrement les dernière larmes qui perlent tes pommettes avec rage et décide de ne pas rester dans ton coin trop longtemps quand même, tu ne veux pas attirer l’attention même si maintenant cela t’est égal enfin ce que tu ne veux pas par dessus tout, c’est attirer la pitiè des autres, tu ne le tolérerait peut-être pas encore, cette pitié que tu lis assez souvent dans les yeux de ton paternelle ainsi que sa famille, tout cela te donne envie de vomir…

Malgré la fatigue que t’a provoqué cette crise de larme, tu réussis Maiko à te lever pour retourner contempler le mur au-dessus de ton lit, ce sera toujours mieux que de t’endormir à la vu de tous surtout que tu les vois venir avec leur question et surtout avec leurs yeux hypocrite, tu as des fois bien raison de ne pas faire confiance à autrui Maiko, tu aurais du même ne pas donner aveuglement ta confiance à tes propres frères, tu ne serais peut-être pas blessé comme tu l’es en ce moment, tu serais peut-être heureuse enfin cela n’est pas certains….