Comme si le calme pouvait y régne [Masashige Shigemori]
Maiko Kondo
![Comme si le calme pouvait y régne [Masashige Shigemori] 1oq5](https://zupimages.net/up/20/47/1oq5.jpg)
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Un devoir de potion en plus à rendre, tu le bosses depuis deux jours maiko sauf que tu as l'impression qu'il va te faire perdre la tête plus qu'autre chose.
Tu voulais le finir à la bibliothèque sauf que le monde que contenait celle-ci te fit faire demi tour pour t'installer dans la salle commune des Kitsune qui pour une fois était particulièrement calme, tu trouve cela bizarre de ne voir aucune des têtes de clown traînait alors que les cours sont terminé depuis plus d'une heure maintenant...
Puis le grand soleil qui éclaire la pièce te fait clairement comprendre maiko qu'ils sont tous dehors à faire les fous avant que la pluie ne les retiennent ici, enfin elle n'est pas si vide que cela, deux trois têtes sont là aussi à étudier comme tu va le faire maintenant.
Tu te place dans un fauteuil où évidemment une table vide se trouve devant, tu ne fait pas attention au deuxième fauteuil à côté de toi et tu t'en moque un peu, tu t'étale sur cette petite table qui te fait un peu grimacer, avec tout les papiers que tu as emmagasiner pour ce devoir qui ne te fait que trois pages...
Cela te fatigue déjà de travailler sur ce devoir de potions, quel idée de faire de la théorie alors que la pratique c'est mieux surtout que tu as toujours été un peu mauvaise en potion enfin bref.
Tu décide de poser ta plume et de mettre à l'aise dans le fauteuil, une pause de plus avant de finir ce devoir, profitant du calme de la salle commune des Kitsune.
Tu voulais le finir à la bibliothèque sauf que le monde que contenait celle-ci te fit faire demi tour pour t'installer dans la salle commune des Kitsune qui pour une fois était particulièrement calme, tu trouve cela bizarre de ne voir aucune des têtes de clown traînait alors que les cours sont terminé depuis plus d'une heure maintenant...
Puis le grand soleil qui éclaire la pièce te fait clairement comprendre maiko qu'ils sont tous dehors à faire les fous avant que la pluie ne les retiennent ici, enfin elle n'est pas si vide que cela, deux trois têtes sont là aussi à étudier comme tu va le faire maintenant.
Tu te place dans un fauteuil où évidemment une table vide se trouve devant, tu ne fait pas attention au deuxième fauteuil à côté de toi et tu t'en moque un peu, tu t'étale sur cette petite table qui te fait un peu grimacer, avec tout les papiers que tu as emmagasiner pour ce devoir qui ne te fait que trois pages...
Cela te fatigue déjà de travailler sur ce devoir de potions, quel idée de faire de la théorie alors que la pratique c'est mieux surtout que tu as toujours été un peu mauvaise en potion enfin bref.
Tu décide de poser ta plume et de mettre à l'aise dans le fauteuil, une pause de plus avant de finir ce devoir, profitant du calme de la salle commune des Kitsune.
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comme si le calme
pouvait y régner
Le soleil brillait encore sur mahouville, journée parfaite pour profiter du craquement des feuilles et faire des bêtises. Seulement, le garde-chasse vous surveillait tellement qu'il ressemblait à une belle-mère et, les foxstreet, à des pauvres belles-filles. Quoi qu'il en soit, la mission fût avortée, tous se séparèrent pour courir très vite. Un vrai sprint, tu haletais en haut de l'escalier de l'étage vénéré, crachant tes poumons en feu et maudissant ta cardio peu performante.
Bref, il te fallut cinq minutes pour prononcer le mot de passe de manière compréhensible, mais tu finis à l'abri une fois la silhouette entrant dans la salle commune. Evidemment, elle était particulièrement vide, si bien que le regard du scanner la pièce avant de trouver une tête familière et parfaite à embêter : Maiko.
Tu t'avances jusqu'à elle, déposes ton coude sur le dossier de sa chaise Yo, Maiko, tu fais quoi à moisir ici ? peut-être prenait-elle son rôle de préfète au sérieux — ou craignait-elle les alentours de l'école depuis son attaque. Quoi qu'il en soit, tu ramenais le plus étincelant des soleils entre ces quatre murs : toi.
Bref, il te fallut cinq minutes pour prononcer le mot de passe de manière compréhensible, mais tu finis à l'abri une fois la silhouette entrant dans la salle commune. Evidemment, elle était particulièrement vide, si bien que le regard du scanner la pièce avant de trouver une tête familière et parfaite à embêter : Maiko.
Tu t'avances jusqu'à elle, déposes ton coude sur le dossier de sa chaise Yo, Maiko, tu fais quoi à moisir ici ? peut-être prenait-elle son rôle de préfète au sérieux — ou craignait-elle les alentours de l'école depuis son attaque. Quoi qu'il en soit, tu ramenais le plus étincelant des soleils entre ces quatre murs : toi.
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
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Amaterasu
Maiko Kondo
Comme quoi la salle commune des Kitsune n'était pas faite pour être calme, la voix masculine qui vient te réveiller de tes pensées te fit sourire, grandement.
Tu te redresse, passant une main derrière ta nuque, essayant d'enlever ta fatigue et regardant ton interlocuteur.
- Je finis tant bien que mal le devoir de potions.
Tu es sur à cent pour cent que ce chère Masashige n'a l'a même pas commencé ce qui te fait rire intérieur puis tu l'observe mieux, il a l'air essoufflé, il a du fuir encore une fois ce pauvre Monsieur Natsume qu'ils font tourner en bourrique avec d'autres, enfin même en temps que préfète tu as un peu abandonner l'idée de les suivre pour éviter que ce petit groupe de Kitsu ne commentent plus gros que leur petite bêtise habituelle.
- Et toi Masashige ? Pourquoi venir moisir ici alors que le soleil brille encore dehors ?
Tu souris un peu plus, ce n'est pas vraiment de la provocation, vous avez toujours été comme cela tout les deux et ce depuis le début, à vous chercher sans méchanceté, juste pour le rire que cela peut déclencher enfin ce n'est pas l'avis des autres sauf que tu te fiche un peu de cela maiko.
Tu n'as plus qu'à attendre la réponse de ton camarade, cela te fait une plus longue pause parce que l'envie de continuer ce devoir ne te donne clairement pas envie mais, pas du tout.
Tu te redresse, passant une main derrière ta nuque, essayant d'enlever ta fatigue et regardant ton interlocuteur.
- Je finis tant bien que mal le devoir de potions.
Tu es sur à cent pour cent que ce chère Masashige n'a l'a même pas commencé ce qui te fait rire intérieur puis tu l'observe mieux, il a l'air essoufflé, il a du fuir encore une fois ce pauvre Monsieur Natsume qu'ils font tourner en bourrique avec d'autres, enfin même en temps que préfète tu as un peu abandonner l'idée de les suivre pour éviter que ce petit groupe de Kitsu ne commentent plus gros que leur petite bêtise habituelle.
- Et toi Masashige ? Pourquoi venir moisir ici alors que le soleil brille encore dehors ?
Tu souris un peu plus, ce n'est pas vraiment de la provocation, vous avez toujours été comme cela tout les deux et ce depuis le début, à vous chercher sans méchanceté, juste pour le rire que cela peut déclencher enfin ce n'est pas l'avis des autres sauf que tu te fiche un peu de cela maiko.
Tu n'as plus qu'à attendre la réponse de ton camarade, cela te fait une plus longue pause parce que l'envie de continuer ce devoir ne te donne clairement pas envie mais, pas du tout.
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comme si le calme
pouvait y régner
Ah oui, le devoir de potions. Il traînait quelque part dans ta chambre, il serait peut-être envisageable que tu t'y mettes, mais Tu penses que je pourrais copier le tien? flemmingite aiguë. Le souffle se reprend, mais le visage rougit par l'effort te donne l'air d'un homard thermidor—par chance, tu n'as pas été cuisiné par Ren. Maiko s'enquière de ta présence, fabuleux, une grande histoire. Elle n'aurait pas demandé à savoir que tu la lui aurais quand même compté.
Alors en fait, je projetais en train de changer les motifs du jardin à côté des professeurs en quelque chose de, disons, plus marrant et moins ennuyant avec les gars jusqu'à ce que le garde-chasse qui doit avoir une antenne pour détecter quand on s'apprête à faire des conneries hurle nos prénoms et qu'on s'enfuit tous. Bref, on nous a empêché d'exprimer notre art. Le sourire taquin collé aux lèvres, tu regrettes n'avoir pu mener ce plan si grandiose à bien. Tant pis, tu retenteras un autre jour, si possible en trouvant un moyen d'esquiver les foudres des adultes.
Alors en fait, je projetais en train de changer les motifs du jardin à côté des professeurs en quelque chose de, disons, plus marrant et moins ennuyant avec les gars jusqu'à ce que le garde-chasse qui doit avoir une antenne pour détecter quand on s'apprête à faire des conneries hurle nos prénoms et qu'on s'enfuit tous. Bref, on nous a empêché d'exprimer notre art. Le sourire taquin collé aux lèvres, tu regrettes n'avoir pu mener ce plan si grandiose à bien. Tant pis, tu retenteras un autre jour, si possible en trouvant un moyen d'esquiver les foudres des adultes.
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
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Maiko Kondo
Et tu éclate de rire, maiko, tu le savais bien évidemment, que masa n'a pas fait le devoir de potion.
- Cela dépend de ce que j'ai en échange ?
Parce que prendre tes informations a un prix, et cela peut coûter cher si tu le décide maiko et surtout que ce devoir tu commence à le détester et vouloir l'envoyer au fond du lac donc Masashige à intérêt à te proposer quelque chose d'intéressant en contrepartie.
Puis tu l'écoute, tu comprends de suite de qui ils parlent et malgré ton envie de calmer ton rire, celui-ci ne se calme pas.
- Vous avez de la chance quand même de ne pas avoir eu de punition comme d'habitude.
Même toi en temps que préfète, tu ne savais plus quoi faire contre Masashige et certains Kitsune qui ne pensent pas à mal, c'est juste que le règlement n'est pas là pour faire joli mais, bon comme à ton habitude maiko après avoir enfin réussit à calmer ton rire, d'un sourire narquois tu regarde ton camarade.
- J'ai hâte quand même que ce plan prenne forme.
Un sourire de défis, parce que tu sais pertinemment que ton camarade Kitsune aime les défis et que c'est la base de votre entente.
- Cela dépend de ce que j'ai en échange ?
Parce que prendre tes informations a un prix, et cela peut coûter cher si tu le décide maiko et surtout que ce devoir tu commence à le détester et vouloir l'envoyer au fond du lac donc Masashige à intérêt à te proposer quelque chose d'intéressant en contrepartie.
Puis tu l'écoute, tu comprends de suite de qui ils parlent et malgré ton envie de calmer ton rire, celui-ci ne se calme pas.
- Vous avez de la chance quand même de ne pas avoir eu de punition comme d'habitude.
Même toi en temps que préfète, tu ne savais plus quoi faire contre Masashige et certains Kitsune qui ne pensent pas à mal, c'est juste que le règlement n'est pas là pour faire joli mais, bon comme à ton habitude maiko après avoir enfin réussit à calmer ton rire, d'un sourire narquois tu regarde ton camarade.
- J'ai hâte quand même que ce plan prenne forme.
Un sourire de défis, parce que tu sais pertinemment que ton camarade Kitsune aime les défis et que c'est la base de votre entente.
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comme si le calme
pouvait y régner
Oh oh. un sourire commercial s'esquisse sur tes lèvres, la tête se rabaisse un peu, satisfait des réponses de ta préfète et de son rire que tu n'étais pas prêt à laisser s'éteindre sans avoir rajouter encore un peu d'huile Donne-moi ton prix ? Que veux-tu, Maiko, des trucs de moldus ? Quelque chose de la boutique ? Si ton offre est trop élevée, sache que je pourrais faire ce devoir... cela dit, je n'en ai pas envie. Tu étais un garçon libre comme l'air, Shigemori, et tu n'en faisais qu'à tête—ou du moins, quoi que tu veuilles à condition de ne pas être renvoyé. Et Maiko semble soupirer cette existence sans attache et dans l'indifférence totale à l'encontre de règles qui ne te conviennent guère. Pourtant, le monde n'hésite pas à te faire payer le prix de ce refus d'agir correctement comme le voudrait la bienséance. Je finis régulièrement en heure de colle et on m'enlève des points presque chaque semaine. Pas que je me soucie particulièrement du second vu ma notable haine en notre système méritocratique, mais de là à dire qu'il ne nous arrive jamais rien...
Tu tournas un peu la tête pour examiner les environs. Ah, ces pauvres renards enfermés dans leur tanière par une si belle journée, étaient-ils malades ou s'astreignaient-ils à la montagne de travail donnée par les professeurs ? Mystère et boule de gomme. Tu t'en fichais déjà. Un sourire brillant lorsque Maiko énonce sa hâte de voir ton plan se concrétiser Ce sera aussi superbe de la calligraphie de ta famille ! Un chef d’œuvre qui chamboulera la communauté des jardins zen ! Dans tes esprits, tu t'érigeais déjà avant-garde paysagiste ou je-ne-sais-quoi, faisant flirter l'esthétisme avec l'incongru.
Tu tournas un peu la tête pour examiner les environs. Ah, ces pauvres renards enfermés dans leur tanière par une si belle journée, étaient-ils malades ou s'astreignaient-ils à la montagne de travail donnée par les professeurs ? Mystère et boule de gomme. Tu t'en fichais déjà. Un sourire brillant lorsque Maiko énonce sa hâte de voir ton plan se concrétiser Ce sera aussi superbe de la calligraphie de ta famille ! Un chef d’œuvre qui chamboulera la communauté des jardins zen ! Dans tes esprits, tu t'érigeais déjà avant-garde paysagiste ou je-ne-sais-quoi, faisant flirter l'esthétisme avec l'incongru.
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
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Amaterasu
Maiko Kondo
Tu souris, maiko, tu savais bien que Masashige allait te proposer pas mal de bricoles en échange de ton devoir, quelque chose de la boutique ou bien un objet moldu ?
L'un comme l'autre est fort intéressant mais, tu devras attendre la rentré pour l'avoir et ta patience contre ce devoir n'est pas une chose que tu pourrais accepter.
Un objet de la boutique serait bien mieux, tu pourrais l'avoir dés que celle-ci sera ouverte.
Et une idée germa dans ta tête, évidemment, elle était folle et le pauvre Masashige devra y participer aussi.
- Une potion de genre alors, et on devra la boire à deux, c'est ça ou alors le devoir te passe sous le nez !
Ton sourire s'agrandit encore plus maiko, parce que tu es quasi sur que ton camarade va te dire oui après ce ne sera que pour une journée donc pas de quoi effrayer le monde.
Tu l'écoute et cela t'intrigue un peu, les jardins zen, tu as toujours trouvé cela horrible et ennuyant, que ton camarade veuille transformer ces endroits te donne encore plus envie de voir le résultat.
- Je n'attend que de voir ce chef d’œuvre.
Tu avais presque hâte, autant de voir ton camarade dire oui à ta proposition après tout, le ridicule ne tue pas.
L'un comme l'autre est fort intéressant mais, tu devras attendre la rentré pour l'avoir et ta patience contre ce devoir n'est pas une chose que tu pourrais accepter.
Un objet de la boutique serait bien mieux, tu pourrais l'avoir dés que celle-ci sera ouverte.
Et une idée germa dans ta tête, évidemment, elle était folle et le pauvre Masashige devra y participer aussi.
- Une potion de genre alors, et on devra la boire à deux, c'est ça ou alors le devoir te passe sous le nez !
Ton sourire s'agrandit encore plus maiko, parce que tu es quasi sur que ton camarade va te dire oui après ce ne sera que pour une journée donc pas de quoi effrayer le monde.
Tu l'écoute et cela t'intrigue un peu, les jardins zen, tu as toujours trouvé cela horrible et ennuyant, que ton camarade veuille transformer ces endroits te donne encore plus envie de voir le résultat.
- Je n'attend que de voir ce chef d’œuvre.
Tu avais presque hâte, autant de voir ton camarade dire oui à ta proposition après tout, le ridicule ne tue pas.
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comme si le calme
pouvait y régner
À son prix, un grand sourire s'illumine. Quel plan de génie, ah! le deal est tentant quand une proposition pareille est à la clé. Tu tends ta main vers la préfète. Deal, j'accepte. Au final, tu aurais pu faire ton devoir de potions toi-même et ne pas accepter de ruiner ta joueuse en boutique, mais l'appel du fun et du lol avait toujours été irrésistible.
À son empressement quant à tes futures réalisations artistiques et feng shui, tu ris, fier comme un coq que Maiko ait utilisé le terme chef d’œuvre — et même si cela avait été dit avec ironie, cela t'aurait fait plaisir. Je t'enverrai un origami quand ce sera fait!
À son empressement quant à tes futures réalisations artistiques et feng shui, tu ris, fier comme un coq que Maiko ait utilisé le terme chef d’œuvre — et même si cela avait été dit avec ironie, cela t'aurait fait plaisir. Je t'enverrai un origami quand ce sera fait!
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