Un événement de trop, une parole en plus (Yori Hayashi)
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Est-ce la folie ou bien ta stupidité qui t’a fait revenir ici Maiko ? Tu ne sais pas sauf que tu veux profiter des vacances pour réfléchir sur toi et comprendre tout ce qui t’est arrivé depuis le début de l’année, de cette dixième année qu’on pourrait considérer maudite.
Tu as eu des nouvelles de Daiki qui t’a envoyé un parchemin plutôt court en réponse au tien, les mots écrit sont bien évidemment dicté par ta chère mère qui doit être enfin heureuse de voir que tu reviens sur le droit chemin des Kondo.
Daiki a quand même demandé si tu allais bien, évidemment tu as mentis, cette famille sait pour Kyoto et peut-être cette attaque que tu as eu sauf que tu te fiche pas mal de leur compassion parce que ce n’est qu’une compassion hypocrite vu qu’il ne savent qu’être hypocrite envers toi.
Tu as eu aussi un parchemin de Hiroshi, inquiet de savoir que tu t’es faite attaqué sauf que tu lui as répondu que ce n’était rien, qu’il devrait te laisser tranquille, que tu n’es plus un bébé et surtout que tu ne voulais plus que Maura face de long voyage, une façon de lui faire comprendre que tu lui en veux pour avoir brisé cette promesse qu’il t’avait fait vu que tu n’avais pas su bien réagir à la première.
Tu soupir alors en observant les alentours voulant comprendre comme tu a pu être attaqué ? Tu observe chaque recoins de ce chemin qui est trop banale pour que quelque chose de grave ce soit passé il y’a un peu moins d’un mois…
Tu sert les poings en colère, tu as envie de hurler à celui qui t’a attaqué de revenir et de t’affronter à la loyal, qu’il n’était qu’un lâche comme ta famille, quitte aussi à perdre des points ce ne serait pas une première, tu es capable d’utiliser cette magie pour faire passer ta colère, tu en veux à la terre entière et surtout à toi même d’être lâche et inutile comme ça.
Tu sort enfin ta baguette de la poche de ta robe cousue exprès pour celle-ci, les sourcils froncés, tout ce que réclame ton cœur s’est vengeance et surtout un apaisement entier pour pouvoir continuer sur la voie que tu désire même si elle n’a plus trop lieu d’être, tes rêves ont été brisé avec cette promesse.
Sauf que la chaleur écrasante avec le vent qui fait bouger les arbres sont les seuls choses que tu entends, maiko, tu te sent pathétique à ce moment-là, plus rien ne va et ne va aller parce que tu as fait ce choix, ce choix ultime, adieu le rêve de liberté, adieu le voyage à travers le monde, ton futur n’est plus qu’un amas sombre qui attends d’être éclairé par le fiancé que le groupe de harpie de vieille Kondo vont choisir ou bien tu vas finir comme la plupart de tes cousines, à travailler au ministère en attendant de devenir auror et de mourir tu ne sais pas à quel âge en faisant ton devoir de sorcière.
Tu n’as pas le cœur lourd pour ses pensées comme tu aurais pu l’être il y’a encore quelques mois de cela, elles ne te font pas plus plaisir non plus, tu sais seulement que c’est ce que tu aurais du avoir dans la tête si tu n’avais pas été aussi désobéissante plus jeune, que tu aurais suivi convenablement le chemin tracé par ta mère et les Kondo.
Tu range finalement ta baguette sachant que cela ne sert à rien d’entendre quelque chose qui ne viendra pas une deuxième fois devant la même personne… Surtout que tu as appris que tu n’était pas la seule à avoir été attaqué, d’autre camarades aussi, la même chose qu’a Kyoto, tous finis à l’infirmerie pour des choses plus ou moins graves.
Et malgré tout cela le directeur à quand même laissé les vacances, pas d’annulation au dernier moment comme au mois de février, ce que tu trouve cela bien et un petit aveux du directeur que vous n’êtes pas tant en sécurité que cela ici…
Tu finis par t’en aller, remonter ce chemin qui cette fois est sans danger, dans le silence de l’été et des vacances qui règne à Mahoutokoro, tu as bien fait d’inventer l’excuse des études que ta mère a cru de suite, bien contente comme tu l’a lu dans le parchemin qui tu as reçus, « deviens une vraie Kondo » « continue tes efforts » « fière de toi »… Tant de mots que tu ne croit pas Maiko parce que tu sais bien évidemment qu’ils ne sont là que pour faire jolie sur le papier.
Tu as vite remonté car malgré un chapeau sur ta tête et une tenue approprié, la chaleur est bien trop forte et retrouver l’air frais de l’école t’a fait presser le pas petite Maiko enfin tu n’es pas pressé par les jours non plus vu que dans deux jours tu as dix-huit ans, plus que deux ans avant d’être majeur mais, encore deux ans ici à Mahoutokoro, attendant ta sentence ou bien à réfléchir à un plan de secours.
Une fois de plus ton cerveau Maiko, vague encore vers autre chose, qui t’énerve bien, cette fameuse attaque puis te viens en tête que d’autres élèves aussi ont été attaqués, tu penses au préfet des Tsuchigumo que les rumeurs disent comme un enquêteur hors pair même si tu crois beaucoup de rumeur, tu pense celle-là fausse vu que Hayashi Yori est bien trop imbu de sa personne de ce que tu remarque pour enquêter sur son attaque et celle des autres…
Mais, bon il faut que tu tente le tout pour le tout et avoir des informations d’un préfet peut-être bénéfique donc autant aller à sa rencontre sauf que… comment attirer son attention ? Un origami envoyé et direction une des nombreuse salles vide prés du dortoir des araignées, assise sur une table tu attends Maiko et cela t'angoisse quand même un peu de parler de cette attaque à quelqu’un que tu ne connais pas enfin cela maintenant t’emporte peu vu que tu as décidé d’envoyer en l’air tout tes principes et surtout cette carapace que les Kondo ont crée donc commencer par crée des liens avec autrui malgré les circonstance est un bon point pour commencer cette vie que tu désire Maiko.
Tu as eu des nouvelles de Daiki qui t’a envoyé un parchemin plutôt court en réponse au tien, les mots écrit sont bien évidemment dicté par ta chère mère qui doit être enfin heureuse de voir que tu reviens sur le droit chemin des Kondo.
Daiki a quand même demandé si tu allais bien, évidemment tu as mentis, cette famille sait pour Kyoto et peut-être cette attaque que tu as eu sauf que tu te fiche pas mal de leur compassion parce que ce n’est qu’une compassion hypocrite vu qu’il ne savent qu’être hypocrite envers toi.
Tu as eu aussi un parchemin de Hiroshi, inquiet de savoir que tu t’es faite attaqué sauf que tu lui as répondu que ce n’était rien, qu’il devrait te laisser tranquille, que tu n’es plus un bébé et surtout que tu ne voulais plus que Maura face de long voyage, une façon de lui faire comprendre que tu lui en veux pour avoir brisé cette promesse qu’il t’avait fait vu que tu n’avais pas su bien réagir à la première.
Tu soupir alors en observant les alentours voulant comprendre comme tu a pu être attaqué ? Tu observe chaque recoins de ce chemin qui est trop banale pour que quelque chose de grave ce soit passé il y’a un peu moins d’un mois…
Tu sert les poings en colère, tu as envie de hurler à celui qui t’a attaqué de revenir et de t’affronter à la loyal, qu’il n’était qu’un lâche comme ta famille, quitte aussi à perdre des points ce ne serait pas une première, tu es capable d’utiliser cette magie pour faire passer ta colère, tu en veux à la terre entière et surtout à toi même d’être lâche et inutile comme ça.
Tu sort enfin ta baguette de la poche de ta robe cousue exprès pour celle-ci, les sourcils froncés, tout ce que réclame ton cœur s’est vengeance et surtout un apaisement entier pour pouvoir continuer sur la voie que tu désire même si elle n’a plus trop lieu d’être, tes rêves ont été brisé avec cette promesse.
Sauf que la chaleur écrasante avec le vent qui fait bouger les arbres sont les seuls choses que tu entends, maiko, tu te sent pathétique à ce moment-là, plus rien ne va et ne va aller parce que tu as fait ce choix, ce choix ultime, adieu le rêve de liberté, adieu le voyage à travers le monde, ton futur n’est plus qu’un amas sombre qui attends d’être éclairé par le fiancé que le groupe de harpie de vieille Kondo vont choisir ou bien tu vas finir comme la plupart de tes cousines, à travailler au ministère en attendant de devenir auror et de mourir tu ne sais pas à quel âge en faisant ton devoir de sorcière.
Tu n’as pas le cœur lourd pour ses pensées comme tu aurais pu l’être il y’a encore quelques mois de cela, elles ne te font pas plus plaisir non plus, tu sais seulement que c’est ce que tu aurais du avoir dans la tête si tu n’avais pas été aussi désobéissante plus jeune, que tu aurais suivi convenablement le chemin tracé par ta mère et les Kondo.
Tu range finalement ta baguette sachant que cela ne sert à rien d’entendre quelque chose qui ne viendra pas une deuxième fois devant la même personne… Surtout que tu as appris que tu n’était pas la seule à avoir été attaqué, d’autre camarades aussi, la même chose qu’a Kyoto, tous finis à l’infirmerie pour des choses plus ou moins graves.
Et malgré tout cela le directeur à quand même laissé les vacances, pas d’annulation au dernier moment comme au mois de février, ce que tu trouve cela bien et un petit aveux du directeur que vous n’êtes pas tant en sécurité que cela ici…
Tu finis par t’en aller, remonter ce chemin qui cette fois est sans danger, dans le silence de l’été et des vacances qui règne à Mahoutokoro, tu as bien fait d’inventer l’excuse des études que ta mère a cru de suite, bien contente comme tu l’a lu dans le parchemin qui tu as reçus, « deviens une vraie Kondo » « continue tes efforts » « fière de toi »… Tant de mots que tu ne croit pas Maiko parce que tu sais bien évidemment qu’ils ne sont là que pour faire jolie sur le papier.
Tu as vite remonté car malgré un chapeau sur ta tête et une tenue approprié, la chaleur est bien trop forte et retrouver l’air frais de l’école t’a fait presser le pas petite Maiko enfin tu n’es pas pressé par les jours non plus vu que dans deux jours tu as dix-huit ans, plus que deux ans avant d’être majeur mais, encore deux ans ici à Mahoutokoro, attendant ta sentence ou bien à réfléchir à un plan de secours.
Une fois de plus ton cerveau Maiko, vague encore vers autre chose, qui t’énerve bien, cette fameuse attaque puis te viens en tête que d’autres élèves aussi ont été attaqués, tu penses au préfet des Tsuchigumo que les rumeurs disent comme un enquêteur hors pair même si tu crois beaucoup de rumeur, tu pense celle-là fausse vu que Hayashi Yori est bien trop imbu de sa personne de ce que tu remarque pour enquêter sur son attaque et celle des autres…
Mais, bon il faut que tu tente le tout pour le tout et avoir des informations d’un préfet peut-être bénéfique donc autant aller à sa rencontre sauf que… comment attirer son attention ? Un origami envoyé et direction une des nombreuse salles vide prés du dortoir des araignées, assise sur une table tu attends Maiko et cela t'angoisse quand même un peu de parler de cette attaque à quelqu’un que tu ne connais pas enfin cela maintenant t’emporte peu vu que tu as décidé d’envoyer en l’air tout tes principes et surtout cette carapace que les Kondo ont crée donc commencer par crée des liens avec autrui malgré les circonstance est un bon point pour commencer cette vie que tu désire Maiko.
Yori Hayashi
My bones all resonate
A burning lullaby
You can't take that from me
Just go ahead and try— Help is on the way // Rise against
Will anyone try ?
The pyre is burning
The severance is dying
And all along they're saying
"Help is on the way", they said
Tu ne pourras jamais exprimer à quel point c’est terrible pour toi de ne pas savoir. De ne pas trouver. De ne pas comprendre.
Oh, tu comprenais déjà suffisamment à quel point vous étiez tous en danger ; et ça, c’était déjà trop. Avoir conscience du danger, mais ne pas pouvoir le prévoir, est pire encore que de ne pas savoir de quoi il s’agit – l’un entraînant pourtant l’autre.
Les attaques ayant lieux à l’école étaient-elles en lien avec celles ayant eu lieux au dehors ? Les dates s’enchaînaient un peu trop pour que ce ne soit qu’une coïncidence. Sans compter que tu as toujours suspecté les événements de Kyoto comme étant directement lié au voyage scolaire : vous étiez visé, tu en es persuadé, désormais.
Au milieu des questions sans réponse, tu n’avais finalement contacté personne. Hajime, que tu souhaitais tenir au courant des évolutions, tu ne l’avais pas revu, ni envoyé de message depuis votre première rencontre : pour la simple raison que tu n’avais aucune évolution à laquelle le tenir au courant. A part exposer des faits, dont il était certainement au courant, tu n’avais aucune explication ni supposition concrète à lui donner. Tu n’avais pas encore interrogé les autres victimes, non plus, ce qui était peut-être une erreur. Tu te sentais seulement lassé d’avance, de te trouver confronter à des personnes qui ne comprenaient surement pas plus que toi ce qu’il se passait dans l’école.
Pourtant, c’était Kondo, elle-même, qui avait fini par te contacter, t’envoyant un origami destiné à t’inviter à la rejoindre sur le premier étage. Un peu étonné de voir s’affirmer une élève qui, généralement, te semblait assez effacé, tu avais pris l’invitation au sérieux principalement pour sa propre implication dans les attaques. Tu avais donc rejoint la salle proposée dans le message, sans grand hésitation, y retrouvant la jeune fille qui t’y attendais.
« Kondo, tu laisses échapper en guise de salutation. De nous deux, je ne pensais pas que tu serais celle qui allait faire le premier pas. »
Une manière détournée de dire que tu souhaitais la voir, toi aussi. De laisser entendre que tu étais assez agréablement surpris de la voir s’imposer, aussi.
« Alors, que me voulais-tu ? »
Mais ce serait un peu trop demander que d’espérer que tu n’essaies pas de te montrer un minimum intimidant.
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
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Amaterasu
Maiko Kondo
Tu n'as pas attendus longtemps Maiko pour entendre la voix du préfet des Tsuchigumo, des mots qui te font soupirer, tu devais sûrement t'attendre qu'il te questionnerais avant que tu puisse le questionner.
- Comme quoi les choses changent, Hayashi !
Tu sais exactement ce qu'il pense, si tu n'avais pas subi cette attaque et surtout si cette promesse n'avait pas été brisé, ce qui se passe à Mahoutokoro t'aura passé par-dessus la tête sauf que la tout est différent même si ça doit choque plus d'un !
- Tu sais exactement pourquoi je t'ai convié ici !
Tu saute de la table à laquelle tu étais assise mais, reste appuyé dessus pour te donner un peu de force, un courage auquel tu n'aurais jamais eu pensé avant tout cela.
- Je suis certaine que tu as du mener une enquête sur les attaques du mois de juillet...
Surtout avec la mort de l'un de tes jeunes camarades Kitsune, tu as très mal digérer cette nouvelle et cela ne t'a donné aucune envie de rentrer chez toi encore plus.
- Je suppose aussi que je vais devoir collaborer avec toi si je veux des informations, enfin si cela t'intéresse évidemment ?
Tu regarde le préfet de ta hauteur, n'ayant pas vraiment peur de lui comme tu aurais pu l'être avant tout cela, tu prends une des mèches de tes cheveux maintenant d'un marron presque noir comparé à leur couleur noisette d'il y'a quelque jours et puis il y’a aussi ce sourire, tu ne saurais le décrire, tu le penses toujours hypocrite sauf que tu ne sais pas ce que les autres en pense comme quoi tu change beaucoup en peu de temps Maiko, cette dixième année maudite n’est peut-être pas si mal.
- Si tu veux savoir de mon côté, je n’ai rien de plus que ce que j’ai pu dire à Fujiwara, pas le moindre indice qui pourrait me dire si cette ombre est Humaine ou si c’est un Yōkai !
Parce que oui toute les possibilités sont possible, que ce soit un Humain ou bien un Yōkai, que tu pense manipuler de ce que tu as lu dans certains livre, rien de tout cela t’a avancé sur ces attaques à part ce sentiment d’insécurité grandissant que tu aimerais taire vu que jusqu’à maintenant tu te pensais en sécurité ici, loin du manoir Kondo, libre avec ses ailes qui poussait dans ton dos lentement sauf que tout cela est révolus… Les ailes de la liberté sont de nouveau cadenassé et tu attends le futur avec une crainte que tu n’aime pas Maiko, tu regarde le jeune homme devant toi en attendant la moindre réponse de sa part comme si cela pouvait te faire avancer même si tu sais que c’est faux.
- Comme quoi les choses changent, Hayashi !
Tu sais exactement ce qu'il pense, si tu n'avais pas subi cette attaque et surtout si cette promesse n'avait pas été brisé, ce qui se passe à Mahoutokoro t'aura passé par-dessus la tête sauf que la tout est différent même si ça doit choque plus d'un !
- Tu sais exactement pourquoi je t'ai convié ici !
Tu saute de la table à laquelle tu étais assise mais, reste appuyé dessus pour te donner un peu de force, un courage auquel tu n'aurais jamais eu pensé avant tout cela.
- Je suis certaine que tu as du mener une enquête sur les attaques du mois de juillet...
Surtout avec la mort de l'un de tes jeunes camarades Kitsune, tu as très mal digérer cette nouvelle et cela ne t'a donné aucune envie de rentrer chez toi encore plus.
- Je suppose aussi que je vais devoir collaborer avec toi si je veux des informations, enfin si cela t'intéresse évidemment ?
Tu regarde le préfet de ta hauteur, n'ayant pas vraiment peur de lui comme tu aurais pu l'être avant tout cela, tu prends une des mèches de tes cheveux maintenant d'un marron presque noir comparé à leur couleur noisette d'il y'a quelque jours et puis il y’a aussi ce sourire, tu ne saurais le décrire, tu le penses toujours hypocrite sauf que tu ne sais pas ce que les autres en pense comme quoi tu change beaucoup en peu de temps Maiko, cette dixième année maudite n’est peut-être pas si mal.
- Si tu veux savoir de mon côté, je n’ai rien de plus que ce que j’ai pu dire à Fujiwara, pas le moindre indice qui pourrait me dire si cette ombre est Humaine ou si c’est un Yōkai !
Parce que oui toute les possibilités sont possible, que ce soit un Humain ou bien un Yōkai, que tu pense manipuler de ce que tu as lu dans certains livre, rien de tout cela t’a avancé sur ces attaques à part ce sentiment d’insécurité grandissant que tu aimerais taire vu que jusqu’à maintenant tu te pensais en sécurité ici, loin du manoir Kondo, libre avec ses ailes qui poussait dans ton dos lentement sauf que tout cela est révolus… Les ailes de la liberté sont de nouveau cadenassé et tu attends le futur avec une crainte que tu n’aime pas Maiko, tu regarde le jeune homme devant toi en attendant la moindre réponse de sa part comme si cela pouvait te faire avancer même si tu sais que c’est faux.
Yori Hayashi
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Tu sais, oui. Ou plutôt, tu t’en doutes, fortement. Il n’y a pas besoin d’être un génie pour additionner vos rares points communs : vous avez tous les deux été attaqué durant le mois de juillet. Hormis la pureté de votre sang, vous n’avez guère d’autres liens.
« Collaborer ? Tu deviens étonnement assurée. Est-ce l’attaque qui t’as soudainement rendu courageuse ? »
Tu provoques, alors que tu sais parfaitement que tu vas répondre favorablement à sa demande. Tu n’as pas si souvent eu l’occasion de discuter avec Maiko et tu testes sa nouvelle confiance en elle, pour voir si elle est solide ou s’il ne s’agit que d’une façade.
« L'araignée creusant la terre est avide de connaissances ; elle s'en enivre et jamais ne se lasse. Avec avarice, elle terre son érudition avec elle, récites-tu. Penses-tu réellement pouvoir obtenir aussi facilement des informations de la part d’un Tsuchigumo ? »
Tu t’adosses à une table, lui faisant face. Tu la laisses continuer, alors qu’elle ne te donne pas de réellement explication sur ce qui lui est arrivé. Les professeurs n’ont lâchés aucune informations sur les témoignages qu’ils ont reçus – encore plus avares que des Tsuchigumo. Fugiwara n’échappe pas à la règle. Tu aurais même tendance à penser qu’il est un des plus difficile à soudoyer.
C’est néanmoins la dernière partie de ses dires qui te fait tilter.
« Une ombre, tu as dit ? »
Ce n’est pas commun comme appellation et ça ne peut pas être un hasard si plusieurs témoignages ont affirmés voir une ombre lors de plusieurs attaques. Véritable créature ou une silhouette tirée de l’imagination dû à l’effet d’un sortilège, tu gardes toutes les hypothèses possibles.
« Je vais te décevoir. Je n’ai encore aucune idée concrète sur l’identité ou la nature du coupable. A part supposé, je ne peux pas faire grand-chose de plus. »
Autant être clair, vous êtes tous dans la même galère, qu’importe à quel point cela peut te frustrer. Les réponses ne tomberont pas du ciel et si vous paraissez impuissant, tu oses tout de même croire que vous pourrez tirer quelques indices de vos expériences.
Après tout, c’est déjà important de savoir que vous avez été attaqué par le même genre de créature. Peut-être même par la même.
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
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Amaterasu
Maiko Kondo
Tu te doute bien Maiko que rien n'est acquis, que la patience doit être maîtresse de cette conversation et que seule cette envie de vivre hors de cette carapace te fera gagner des points.
Tu écoutes attentivement l'aîné Hayashi, tu souris sur ces paroles qui malgré tes ailes cadenassé, tu as une confiance que tu n'avais sûrement pas avant tout cela, avant février, avant Kyoto, avant cette attaque... Tes pensées reviennent en force vers cette promesse brisé et le fait que cette famille n'est en fait qu'un fil que tu peux briser quand tu le veux Maiko.
- La réalité m'a rattrapé plutôt et j'ai décidé de ne plus suivre le chemin de la peur.
Une vérité dite à ce que tu pourrais appeler un étranger Maiko, ce n'est pas totalement faux vu que malgré que vous soyez des sangs-purs tout les deux, votre relation est aussi pauvre que vos informations sur vos attaques respectifs.
- Je suis prête à faire équipe même avec les gens qui me détestent s'il le faut donc Hayashi, faire équipe avec toi ne m'effraie clairement pas !
Il est vrai que tu serais prête à t'allier avec n'importe qui et même si ce n'est pas pour toi, c'est pour découvrir la part de vérité sur ton attaque et celle du jeune de Lenoncourt surtout que cela pouvait être Yasu qui aurait pu être blessé à ta place donc tu ne veux pas laisser cela en l'air. Tu ne veux pas que cette tragédie comme l’appelle Hidenori s’abatte à nouveau sur l’un de tes camarades Maiko, tu va devoir en faire part à ton préfet, le jeune Ichiari qui ne doit pas être dans une grande forme avec tout cela.
Tu fuis en plus les auror tant que tu peux, tu n'aime pas l’atmosphère qu'ils dégagent. Tu ne veux pas qu’ils te posent des questions, qu’ils te regardent comme si tu leur mentais, que cette ombre n’est rien, qu’elle sort de ton imagination, tu ne veux pas de ça maintenant et c’est en partis pour cela que tu as voulu parler avec Hayashi, car tu sais que lui pourrais te comprendre plus que les auror qui traînent dans l’enceinte de l’école.
- Oui, une ombre Hayashi, rien de plus rien de moins, trop rapide pour mes yeux et ceux de ma camarade !
Tu soupire en continuant d'écouter le jeune homme qui n'a pas plus de choses à dire que toi Maiko, vous n'avancez pas dans ce mystère où une brume sombre plane, où trop de chose sont caché et des vérité ne sont pas dite entièrement.
Tu écoutes attentivement l'aîné Hayashi, tu souris sur ces paroles qui malgré tes ailes cadenassé, tu as une confiance que tu n'avais sûrement pas avant tout cela, avant février, avant Kyoto, avant cette attaque... Tes pensées reviennent en force vers cette promesse brisé et le fait que cette famille n'est en fait qu'un fil que tu peux briser quand tu le veux Maiko.
- La réalité m'a rattrapé plutôt et j'ai décidé de ne plus suivre le chemin de la peur.
Une vérité dite à ce que tu pourrais appeler un étranger Maiko, ce n'est pas totalement faux vu que malgré que vous soyez des sangs-purs tout les deux, votre relation est aussi pauvre que vos informations sur vos attaques respectifs.
- Je suis prête à faire équipe même avec les gens qui me détestent s'il le faut donc Hayashi, faire équipe avec toi ne m'effraie clairement pas !
Il est vrai que tu serais prête à t'allier avec n'importe qui et même si ce n'est pas pour toi, c'est pour découvrir la part de vérité sur ton attaque et celle du jeune de Lenoncourt surtout que cela pouvait être Yasu qui aurait pu être blessé à ta place donc tu ne veux pas laisser cela en l'air. Tu ne veux pas que cette tragédie comme l’appelle Hidenori s’abatte à nouveau sur l’un de tes camarades Maiko, tu va devoir en faire part à ton préfet, le jeune Ichiari qui ne doit pas être dans une grande forme avec tout cela.
Tu fuis en plus les auror tant que tu peux, tu n'aime pas l’atmosphère qu'ils dégagent. Tu ne veux pas qu’ils te posent des questions, qu’ils te regardent comme si tu leur mentais, que cette ombre n’est rien, qu’elle sort de ton imagination, tu ne veux pas de ça maintenant et c’est en partis pour cela que tu as voulu parler avec Hayashi, car tu sais que lui pourrais te comprendre plus que les auror qui traînent dans l’enceinte de l’école.
- Oui, une ombre Hayashi, rien de plus rien de moins, trop rapide pour mes yeux et ceux de ma camarade !
Tu soupire en continuant d'écouter le jeune homme qui n'a pas plus de choses à dire que toi Maiko, vous n'avancez pas dans ce mystère où une brume sombre plane, où trop de chose sont caché et des vérité ne sont pas dite entièrement.
Yori Hayashi
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Venir te voir, en revanche, n’est peut-être pas la meilleure de ses idées. Tu es flatté de l’attention qu’on te porte, honnêtement, bien que tu n’aies guère de mérite sur ce coup-là, puisqu’elle s’intéresse principalement au fait que tu aies été une des victimes des attaques. Mais, au moins, cela signifie qu’elle fait partie de ceux qui te croient, quand tu affirmes que ton "coma" de deux jours n’étaient pas dû à un quelconque état de faiblesse physique de ta part – et rien que pour ça, elle monte dans ton estime.
« Dans ce cas, ce serait bien bête de ma part de refuser une aide supplémentaire. Sache simplement que je partage aussi les informations avec Sakurai Hajime, à moins que tu ne souhaites que je garde tes paroles pour moi. »
Tu comprendrais, bien sûr. Si toute aide semblait la bienvenue, ébruiter les soupçons et les hypothèses pouvait malheureusement fournir vos informations aux coupables. Vous deviez la jouer fine et penser chaque coup à l’avance, telle une partie d’échec – à la différence que vous ne connaissez ni votre adversaire, ni même les règles qui ont été énoncées en début de partie.
« On ne pourra surement rien déduire davantage de cette ombre, pour le moment. Nos informations sont trop limitées, pour le moment. »
Cela pourrait aussi bien être un sorcier, utilisant un sortilège de métamorphose ou une potion ou un accoutrement magique. Cela pourrait être une créature magique. Cela pourrait être un Yokai – bien que le pacte les liant à Mahoutokoro est supposé empêcher toute attaque de leur part.
« As-tu remarqué un lien entre les victimes ? »
La question semble légitime, mais tu cherches surtout à tester sa réflexion et son observation, parce que toi, tu en as déjà repéré un, de point commun. Tu aimerais simplement savoir si elle aussi. Si tu n’es pas le seul à avoir remarqué.
Maiko Kondo
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Maiko Kondo
Tu es consciente que ton changement soudain après tout ce qui s'est passé peut paraître étrange enfin personne n'est au courant de cette promesse brisé, tu es allé récupérer le parchemin avant de rentré à ton dortoir le jour où tu l'as reçu parce que tu es encore un peu faible Maiko, tu as gardé tout les parchemins de celui que tu considérais comme un exemple à suivre que tu ne suivais pas vraiment à la lettre, ayant peut des retombés que tu pouvais avoir avec ta chère mère et ton premier grand-frère.
Tu soupire bien malgré toi et devant Hayashi enfin tout cela n'a pas d'importance autant à tes yeux qu'à ses yeux, tu l'écoute encore parler puis qu'il te dise qu'il partage ses information avec Sakurai Hajime, te surprend un peu. Il faut dire que tu n'aurais pas pensé que le préfet en chef et le préfet des Tsuchigumo puisse devenir proche.
- Tu peux lui en faire part, s'il s'inquiète de ma présence dans votre enquête dit lui que je serais discrète et viendrais vous voir que si cela est réellement important, que cela lui plaise ou non.
Mais, malgré tout nous sommes toujours à la case départ et pour le moment, à notre échelle, faire quelque chose est compliqué sauf que tu ne veux pas abandonner, tu ne veux pas revivre ce moment dans cette salle où normalement, la joie est première vu que c'est là que vous vous restauriez et les moments d'études en solos ou en groupe pour parler plus fort que dans la bibliothèque ou bien juste vous rassemblez pour discuter de tout et de rien.
- Le seul lien que j'ai remarqué c'est que ce sont des sang-purs qui ont été attaqué...
Tu sert les poings en pensant au jeune de Lenoncourt et de cette cérémonie qui t'a donné envie de vomir, qui a fait grandir ta colère et surtout sentir que Mahoutokoro n'est pas l'endroit sécuritaire que tu pensais jusqu'à présent.
Tu aimerais tirer des conclusions sauf que ce serait bien trop facile surtout te concernant, toutes les familles sang-purs savent bien comment fonctionne les Kondo... Que tu n'es rien pour les femmes de cette famille donc ton attaque n'est qu'une punition que tu as mérité Maiko et pour les autres tu ne sais pas leur ressentis vis-à-vis de leur famille et ce serait indiscret de demandé.
- Après les victimes n'étaient pas seuls, ceux qui ont assisté ont aussi été traumatisé par ce qu'ils ont vu donc je pense qu'on devrait réfléchir un peu plus…
Parce que le fait que ta camarade Yasu ait pu être la victime à ta place t'effraie un peu quand même Maiko, tu l'a vu à l'infirmerie se renfermer sur elle, trembler de peur devant Monsieur Okumura et le professeur Fujiwara, c'est pour cela que tu as décidé de quitter vite fait l'infirmerie.
- Après je ne sais pas quoi penser réellement, j'ai l'impression qu'on enchaîne les galères depuis le début de l'année scolaire et plus on avance, plus on continue à enchaîner les galères...
Et tu soupires une fois de plus parce que tu maudit un peu quand même ta dixième année à Mahoutokoro, que tu vois les jours approcher, tes dix-huit ans aussi et peut-être aussi le jour où ta tendre famille va sceller ton destin.
Tu soupire bien malgré toi et devant Hayashi enfin tout cela n'a pas d'importance autant à tes yeux qu'à ses yeux, tu l'écoute encore parler puis qu'il te dise qu'il partage ses information avec Sakurai Hajime, te surprend un peu. Il faut dire que tu n'aurais pas pensé que le préfet en chef et le préfet des Tsuchigumo puisse devenir proche.
- Tu peux lui en faire part, s'il s'inquiète de ma présence dans votre enquête dit lui que je serais discrète et viendrais vous voir que si cela est réellement important, que cela lui plaise ou non.
Mais, malgré tout nous sommes toujours à la case départ et pour le moment, à notre échelle, faire quelque chose est compliqué sauf que tu ne veux pas abandonner, tu ne veux pas revivre ce moment dans cette salle où normalement, la joie est première vu que c'est là que vous vous restauriez et les moments d'études en solos ou en groupe pour parler plus fort que dans la bibliothèque ou bien juste vous rassemblez pour discuter de tout et de rien.
- Le seul lien que j'ai remarqué c'est que ce sont des sang-purs qui ont été attaqué...
Tu sert les poings en pensant au jeune de Lenoncourt et de cette cérémonie qui t'a donné envie de vomir, qui a fait grandir ta colère et surtout sentir que Mahoutokoro n'est pas l'endroit sécuritaire que tu pensais jusqu'à présent.
Tu aimerais tirer des conclusions sauf que ce serait bien trop facile surtout te concernant, toutes les familles sang-purs savent bien comment fonctionne les Kondo... Que tu n'es rien pour les femmes de cette famille donc ton attaque n'est qu'une punition que tu as mérité Maiko et pour les autres tu ne sais pas leur ressentis vis-à-vis de leur famille et ce serait indiscret de demandé.
- Après les victimes n'étaient pas seuls, ceux qui ont assisté ont aussi été traumatisé par ce qu'ils ont vu donc je pense qu'on devrait réfléchir un peu plus…
Parce que le fait que ta camarade Yasu ait pu être la victime à ta place t'effraie un peu quand même Maiko, tu l'a vu à l'infirmerie se renfermer sur elle, trembler de peur devant Monsieur Okumura et le professeur Fujiwara, c'est pour cela que tu as décidé de quitter vite fait l'infirmerie.
- Après je ne sais pas quoi penser réellement, j'ai l'impression qu'on enchaîne les galères depuis le début de l'année scolaire et plus on avance, plus on continue à enchaîner les galères...
Et tu soupires une fois de plus parce que tu maudit un peu quand même ta dixième année à Mahoutokoro, que tu vois les jours approcher, tes dix-huit ans aussi et peut-être aussi le jour où ta tendre famille va sceller ton destin.
Yori Hayashi
My bones all resonate
A burning lullaby
You can't take that from me
Just go ahead and try— Help is on the way // Rise against
Will anyone try ?
The pyre is burning
The severance is dying
And all along they're saying
"Help is on the way", they said
Le lien entre les victimes, Maiko aussi s’en est rendu compte : seuls des sang-purs ont été attaqués. Ou presque. Tu ne sais pas si c’est volontairement remarquable – un lien aussi évident ne peut de toute façon pas passer inaperçu au bout de plusieurs attaques. Si le ou les responsables souhaitent faire savoir à qui ils sont prêt à s’en prendre ou s’ils sont seulement inconscients. Tu paris davantage sur la première option.
Ils ne paraissent pas aussi stupides.
Elle pense aux autres : les témoins, les proches, toutes les personnes qui ont été indirectement touché ou qui se sont senti touché par les agressions. Tu penses à Jian qui semblait déjà tellement s’inquiéter, alors tu n’as été qu’endormi. A Nael, à qui tu n’as jamais connu d’expression aussi dévastée qu’après la mort du français.
Tu ne pensais pas compatir un jour pour ton cousin.
« Seuls les sang-purs ont été visés et pourtant, c’est un sang-mêlé qui est mort. »
Clovis n’était pas un sang-pur, tu en as demandé toi-même la confirmation. Et ça t’a surpris d’apprendre qu’il s’agissait d’un sang-mêlé. Tu supposes qu’il était seulement là au mauvais endroit, au mauvais moment et que seul Ishvar était visé.
Dommage que ce ne soit pas lui qui ait succombé.
« Je pense qu’on peut en déduire que les attaquants se fiche pas mal des dommages collatéraux. Donc soit ils sont prêt à n’importe quels moyens pour en justifier la fin, soit ce ne sont pas tant les sang-purs qui les intéressent. »
Parce que s’ils n’en avaient réellement qu’après ces derniers, ils feraient un minimum attention à ne pas tuer des innocents. A moins d’être acharnés ou désespérés au point de tout tenter, quitte à faire du mal à d’autres : la fin qui justifie les moyens, pour en revenir à ta première hypothèse.
Plus vous avancer dans l’année, plus vous enchaînez les galères, tu ne peux qu’être d’accord avec la Kondo. Le pire, c’est que tu as exactement la même sensation avec ta vie personnelle, à croire que tout se ligue contre toi pour te pourrir l’existence. Comme si elle ne l’avait pas déjà suffisamment été.
« Si tu veux mon avis, ça ne va pas aller en s’arrangeant. Nous ferons mieux de rester sur nos gardes, à chaque instant. »
Il y a même de fortes chances pour que ça s’empire. Le ministère a beau avoir mis en place des Aurors dans l’école, ils n’ont toujours aucune idée de qui ou quoi a commis les attaques, alors ils ne sont pas prêt d'attraper le responsable.
Et tant qu'il sera en liberté, tu es persuadé qu'il ne s'arrêtera pas en si bon chemin.
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Tu écoutes le préfet, jouant avec tes mains, maiko parce que tu avais un peu oublié ce détail... Il est vrai que le jeune Clovis était un sang-mêlé donc il n'était pas la cible principal sauf c'était l'un des tiens, un Kitsune, un petit renard espiègle qui ne demandait qu'à grandir...
Tu n'en veux pas trop à Tsukino puisque l'attaque l'a pris par surprise et que comparé à l'ombre que tu as vu toi maiko et les bruits de couloirs, ce serait un monstre énorme qui les auraient attaqué et même si vous aviez eu le cours de duel, c'était trop peu encore pour qu'ils puissent ce défendre correctement.
- Qu'importe s'il y'a des victimes, tant que leur objectif est atteint, ils ne sont plus qu'heureux...
Tu te frotte les bras comme si tu pouvais encore sentir tes blessures alors que tu n'as plus rien, maiko sauf que tout cela commence à t'effrayer parce que c'est une réalité très dur encore plus que tes petits problèmes de familles qui apparaît devant tes yeux.
Tu grimace sur les dernières paroles de ton camarade, comme si tu n'avais pas assez de tes problèmes personnelles, te voilà mêler aux problèmes de l'univers magique.
- C’est même certains… comme quoi même ici tout n’est qu’illusion…
Ta colère est encore présente, le fait que tu peux être en danger ici à Mahoutokoro t’est resté en travers de la gorge puis tu aurais du avoir des indices depuis le départ sauf que tu avais trop peur, peur de tout, après tout c’est dans le bureau du directeur que ta chère mère a brisé la petite fille que tu étais, tes deux grands-frères qui te surveillaient presque tout le temps, aucune confiance en soi, une attitude neutre pour un comportement hypocrite.
Tu porte ton regard vers les fenêtres de la salle et le paysage qu’elles te montrent, ce ciel bleu qui t’a fait tant rêver, qui libérer ses ailes que tu désirais tant sauf que maintenant tout est finis, tu te tourne à nouveau vers Hayashi.
- Tu as du remarquer depuis le début des vacances, les aurors, est-ce que tu as discuté avec eux des événements ou pas encore ?
Question pleine de curiosité que tu pose Maiko parce que de ton côté, tu as passé ton temps à les fuir comme la peste, tu n’a aucune envie de leur parler surtout que tu as vu de loin certaines de tes cousines et si ça tombe dans les oreilles de ta mère, tu ne veux même pas imaginer les conséquences que tu va subir par lettre encore une fois.
- Après si tu ne veux rien me dire, ça me dérange pas.
Après tout, il pouvait prendre mal ta curiosité Maiko enfin même si tu as vu de nombreux élèves coururent vers les aurors pour leur raconter les bruits de couloirs et autres paroles qu’ils ont pu entendre sur les évènements de juillet… Tu soupire avant de tourner ton regard vers le ciel bleu, ce ciel bleu qui te dégoutte maintenant.
Tu n'en veux pas trop à Tsukino puisque l'attaque l'a pris par surprise et que comparé à l'ombre que tu as vu toi maiko et les bruits de couloirs, ce serait un monstre énorme qui les auraient attaqué et même si vous aviez eu le cours de duel, c'était trop peu encore pour qu'ils puissent ce défendre correctement.
- Qu'importe s'il y'a des victimes, tant que leur objectif est atteint, ils ne sont plus qu'heureux...
Tu te frotte les bras comme si tu pouvais encore sentir tes blessures alors que tu n'as plus rien, maiko sauf que tout cela commence à t'effrayer parce que c'est une réalité très dur encore plus que tes petits problèmes de familles qui apparaît devant tes yeux.
Tu grimace sur les dernières paroles de ton camarade, comme si tu n'avais pas assez de tes problèmes personnelles, te voilà mêler aux problèmes de l'univers magique.
- C’est même certains… comme quoi même ici tout n’est qu’illusion…
Ta colère est encore présente, le fait que tu peux être en danger ici à Mahoutokoro t’est resté en travers de la gorge puis tu aurais du avoir des indices depuis le départ sauf que tu avais trop peur, peur de tout, après tout c’est dans le bureau du directeur que ta chère mère a brisé la petite fille que tu étais, tes deux grands-frères qui te surveillaient presque tout le temps, aucune confiance en soi, une attitude neutre pour un comportement hypocrite.
Tu porte ton regard vers les fenêtres de la salle et le paysage qu’elles te montrent, ce ciel bleu qui t’a fait tant rêver, qui libérer ses ailes que tu désirais tant sauf que maintenant tout est finis, tu te tourne à nouveau vers Hayashi.
- Tu as du remarquer depuis le début des vacances, les aurors, est-ce que tu as discuté avec eux des événements ou pas encore ?
Question pleine de curiosité que tu pose Maiko parce que de ton côté, tu as passé ton temps à les fuir comme la peste, tu n’a aucune envie de leur parler surtout que tu as vu de loin certaines de tes cousines et si ça tombe dans les oreilles de ta mère, tu ne veux même pas imaginer les conséquences que tu va subir par lettre encore une fois.
- Après si tu ne veux rien me dire, ça me dérange pas.
Après tout, il pouvait prendre mal ta curiosité Maiko enfin même si tu as vu de nombreux élèves coururent vers les aurors pour leur raconter les bruits de couloirs et autres paroles qu’ils ont pu entendre sur les évènements de juillet… Tu soupire avant de tourner ton regard vers le ciel bleu, ce ciel bleu qui te dégoutte maintenant.
Yori Hayashi
My bones all resonate
A burning lullaby
You can't take that from me
Just go ahead and try— Help is on the way // Rise against
Will anyone try ?
The pyre is burning
The severance is dying
And all along they're saying
"Help is on the way", they said
Et que même si la vérité se trouvait réellement parmi ces deux choix, tu n’affirmerais pas qu’il s’agît de celui-ci.
« Je n’en suis pas si sûr. Les responsables pourraient très bien vouloir nous concentrer sur une catégorie de victime, juste pour mieux nous tromper. »
Pour faire porter la faute sur d’autres. Pour faire jouer la logique de ceux qui cherchent une réponse, une raison.
Les nés-moldus. Les moldus. Depuis le début, ce sont les grands soupçonnés de l’histoire, mais à tort ou à raison ? Ou plutôt, pour de véritables raisons ou parce que tout semble volontairement porter à croire que c’est eux que les attaques avantagent ?
Vous ne pouvez pas vous laisser aller à des hypothèses trop hâtives.
Même ici tout n’est qu’illusion. C’est si vrai. Mahoutokoro t’as toujours servi de refuge, à toi aussi et même à présent, malgré les attaques, tu as sauté sur l’occasion que t’ont laissé tes parents de pouvoir rester durant les vacances.
L’école pourrait devenir un champ de mine que tu préférerais encore y vivre que dans le manoir sinistre.
«« La vie n’est que désillusion, on s’y fait. Tu hésites, comme si tu te sentais soudainement coupable de cette remarque acerbe. Je sais que c’est brutal, mais honnêtement. Il n’y a que dans les contes de fée que tout se termine bien. »
C’est ta vision de la vie. Pessimiste. Rien ne t’a appris à être plus optimiste, il faut dire. Mais la quête du bonheur s’apprend, comme le reste.
Tu as juste toujours préféré l’ignorer.
Elle évoque les Aurors et c’est avec un air dédaigneux, cette fois, que tu repenses à leur présence. Tu aurais presque oublié.
« Je ne parlerais avec aucun d’entre eux. »
Ta réponse est sans appel. Malgré tout le respect que tu portes au professeur Uehara, tu n’en accordes nullement à ses ex-collègues. Ce n’est pas tant après les Aurors en eux-mêmes que tu en as, mais après chaque personne se soumettant volontairement à la volonté du Ministère de la Magie.
Si les moldus et leurs rejetons sorciers sont réellement à l’origine des attaques, alors qu’ils aillent y foutre le feu, à ce Ministère. A partir de là, peut-être que tu concèderas la probabilité qu’ils en soient les responsables. Et tu les féliciterais, par l’occasion.
« C’est surement dommage et c'est possible qu'ils aient des informations à m’offrir, mais c’est pour une raison purement égoïste que je ne désire pas les voir. »
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Le tsuchigumo n'a pas tort de penser comme cela, tu devrais arrêter de ne penser qu'une seule et unique solution est la bonne, regarde toi aujourd’hui Maiko, tu as changé cette chevelure d'un brun clair hériter des Kondo par un brun plus foncé allant presque sur le noir tout ça à cause d'Hiroshi, tu va devoir te montrer encore plus réfléchis qu'avant et dans un sens ce sera mieux pour toi.
Tu souris vaguement sur la deuxième phrase de ton camarade, tu ne trouve pas que sa réponse soit brutal, elle est plutôt réaliste et cette réalité tu la compris trop tard, tu aurais pu être différente sur les dix années, enfin si on t'avait laissé faire ce que tu doute avec tes deux grands-frères collé sur le dos à longueur de temps... Tu te dit que le changement que tu fais maintenant n'est pas si mal, que cela va peut-être te permet de grandir comme tu le sens même si tu as maintenant du mal à imaginer un futur correcte.
Et vous voilà au sujet le plus sensible des vacances que tu as décidé d'aborder Maiko, les Aurors ! Tu ne peux que sourire davantage sur la réaction d'Hayashi, tu ne pouvais pas t'attendre à autre chose qu'à une réaction cinglante, ils ne les portent pas dans son cœur tout comme toi petite Maiko.
- Je comprends ton point de vue, je n'irais pas les voir non plus, de plus je crois que j'ai de la famille parmi ceux qui sont ici, raison de plus de les éviter.
Que ça tombe entre les oreilles de ma mère et surtout du groupe des vieilles harpies Kondo, cela leur servira encore plus pour me caser avec une famille qu'elles trouveront utile à ajouter dans leur cercle, enfin si elles en ont l'occasion vu que même si tes rêves sont brisées, tu n'a pas l’intention de faire ce qu'elles te demandent, c'est au dessus de tes force et bien heureusement.
Tu te demande quand même s'ils ont des informations, ce serait vraiment incroyable parce que toi ainsi que ton camarade Maiko êtes dans un point mort sur vos événements, vous avez vécus des choses de bien trop prêt, tu ne sais plus trop quoi penser Maiko, tu es perdu et cela ne va sûrement pas s'arranger au fil des mois qui vont venir.
- Je pense qu'on s'est dit l'essentiel, je ne vais te retenir plus Hayashi, si tu as besoin de moi ou si Sakurai veut parler, vous savez ce qu'ils vous reste à faire.
Souriant à ton camarade, tu descends d'un geste gracieux de ton perchoir qu'est la table de la salle de classe que tu as élu domicile pour cette réunion.
- A une prochaine fois !
Tu es presque sure que tu va revoir ton camarade après tout maintenant tu t'es mis dans une histoire qui va sûrement d'apporter plus d’ennuis que le simple fait de perdre quelque point à cause de ta conduite au sein de Mahoutokoro, c'est dans ses moment-là que tu sens que tu commence doucement à être une adulte, pas celle que tu rêvais d'être mais, tu en deviens une Maiko.
Tu souris vaguement sur la deuxième phrase de ton camarade, tu ne trouve pas que sa réponse soit brutal, elle est plutôt réaliste et cette réalité tu la compris trop tard, tu aurais pu être différente sur les dix années, enfin si on t'avait laissé faire ce que tu doute avec tes deux grands-frères collé sur le dos à longueur de temps... Tu te dit que le changement que tu fais maintenant n'est pas si mal, que cela va peut-être te permet de grandir comme tu le sens même si tu as maintenant du mal à imaginer un futur correcte.
Et vous voilà au sujet le plus sensible des vacances que tu as décidé d'aborder Maiko, les Aurors ! Tu ne peux que sourire davantage sur la réaction d'Hayashi, tu ne pouvais pas t'attendre à autre chose qu'à une réaction cinglante, ils ne les portent pas dans son cœur tout comme toi petite Maiko.
- Je comprends ton point de vue, je n'irais pas les voir non plus, de plus je crois que j'ai de la famille parmi ceux qui sont ici, raison de plus de les éviter.
Que ça tombe entre les oreilles de ma mère et surtout du groupe des vieilles harpies Kondo, cela leur servira encore plus pour me caser avec une famille qu'elles trouveront utile à ajouter dans leur cercle, enfin si elles en ont l'occasion vu que même si tes rêves sont brisées, tu n'a pas l’intention de faire ce qu'elles te demandent, c'est au dessus de tes force et bien heureusement.
Tu te demande quand même s'ils ont des informations, ce serait vraiment incroyable parce que toi ainsi que ton camarade Maiko êtes dans un point mort sur vos événements, vous avez vécus des choses de bien trop prêt, tu ne sais plus trop quoi penser Maiko, tu es perdu et cela ne va sûrement pas s'arranger au fil des mois qui vont venir.
- Je pense qu'on s'est dit l'essentiel, je ne vais te retenir plus Hayashi, si tu as besoin de moi ou si Sakurai veut parler, vous savez ce qu'ils vous reste à faire.
Souriant à ton camarade, tu descends d'un geste gracieux de ton perchoir qu'est la table de la salle de classe que tu as élu domicile pour cette réunion.
- A une prochaine fois !
Tu es presque sure que tu va revoir ton camarade après tout maintenant tu t'es mis dans une histoire qui va sûrement d'apporter plus d’ennuis que le simple fait de perdre quelque point à cause de ta conduite au sein de Mahoutokoro, c'est dans ses moment-là que tu sens que tu commence doucement à être une adulte, pas celle que tu rêvais d'être mais, tu en deviens une Maiko.