Des inscriptions, encore des inscriptions… Une histoire passée gravée sur les murs dans un endroit caché de la civilisation… Je ne peux me retenir de me rappeler les paroles que j’ai entendu lors du voyage scolaire… Les paroles que Ungaikyou nous avait dites. Est-ce qu’il y avait un lien ? Si c’était le cas, est-ce que les événements se produisaient à nouveau ?

Je ne pus me retenir de me mordre la lèvre inférieure… Si les inscriptions se répétaient, cela voudrait dire que…

« Oh putain de m- !!! » N’ai-je pus retenir dans un sursaut quand le préfet des petites araignées éclata le plafond pour en bouchée l’entrée de la galerie.

…

Ce n’était absolument pas prévu dans mes plans et je vais me retenir de lui souligner que c’était peut-être notre seul moyen de sortie… Maintenant, on est pris au piège et si ce Torii ne s’active pas, je ne donne pas très cher de notre peau…


« Nous n’avons plus vraiment le choix de toute façon ! Alors, faisons de notre mieux ! ♪ » Ai-je dis toujours de cette petite voix qui se voulait motivante et sans peur.

Je me suis repenché sur les inscriptions contre le mur… Cela parlait de sacrifice de beaucoup de sorcier. Si je fais un lien avec l’attaque qui se passe en ce moment, serions-nous en train de nous faire sacrifier pour l’activer ?

« On a peut-être besoin d’un sacrifice comme il est écrit sur ses murs ! » Je fis exprès de faire une petite pause.
« Et c’est peut-être ce qui se passe en ce moment même ? » Mon expression était devenue cette fois-ci plus sérieuse.

J’avais ma petite idée en tête et au point où nous en sommes, tout était bon à tester, n’est-ce pas ?
Alors sans attendre, je repris ma baguette bien en main avant de la diriger contre moi et je…
« Oh, non. C’est peut-être un peu trop radical de viser par ici ! » Ai-je dit à voix haute un peu plus pour moi que les autres.

Alors, je l’ai dirigé en direction de ma main gauche avant de prononcer un Diffindo pour me lacérer la peau et que ce doux liquide rouge se voit couler sur le sol.

Le Yokai nous avait déjà senti, alors ce n’est pas ça en plus qui allait poser problème.

C’était plutôt commun qu’il fallait du sang pour activer quelque chose, n’est-ce pas ? Et nous n’avions aucun moyen si les personnes que nous étions en train de perdre étaient suffisantes ou pas…  Et c’était à moi de prendre ce risque, pas à vous !

Alors je me suis à nouveau approché du Torii et j’ai posé ma main ensanglantée en son sein y laissant une longue trace de sang.

En même temps, je fis de mon mieux pour lire ses formules dans un vieux japonais à haute voix. Peut-être qu’on en avait aussi besoin ?

Et si les élèves voulaient à leur tour tenter quelque chose pendant que je faisais mon affaire, qu’ils le fassent ! S’il doit m’arriver quelque chose, ce n’est pas bien grave. ♪
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Alors que nous étions tranquillement en train de chercher une solution pour activer le Torii, voilà que…

BORDEL DE DIEU !!

C’était quoi ce bruit à en réveiller les morts ??? Par réflexe, j’ai posé en premier les yeux sur le Torii pour vérifier que ce n’était pas notre faute et ce vilain garnement ne semblait pas avoir bougé d’un gravas. Mpf, c’est que tu es capricieux mon grand !

Mais ce n’était pas le moment de faire la leçon à Torii-san, mais plutôt de veiller à ce qu’aucun élève ne finisse en crêpe à cause des éboulements qui étaient en train de boucher les galeries. Super, comme si nous n’étions pas assez coincés comme ça !!

Pour ne pas perdre de temps, j’ai lancé des Evanesco non formulés au-dessus des pierres qui menaçaient les plus jeunes. Ce ne fut qu’une fois les tremblements calmés que je pris le temps de reprendre mon souffle et m’essuyer un coup le front de ma main blessée.

Blessure que je me suis donc faite pour rien… Pas grave ! ♪

«  Est-ce que tout le monde va bien ? Personne n’est blessé ? » Ai-je demandé en posant mes prunelles azures sur chacun d’entre vous.

Puis je me suis concentré… Est-ce que tout n’était pas devenu bien silencieux ? Est-ce que le Yokai s’était fait écrasé par des rochers ? Ça serait chouette ! Enfin, ne vendons pas la peau de Yoyo-Chan avant de connaitre le fin mot de la situation.

« Je ne sais pas ce que c’était, mais pour le moment restons un peu silencieux. Si le Yokai est parti, nous pourrons tenter d’à nouveau avancer ou voir si la situation s’est calmée, d’accord ? » Je m’étais penché en avant, toujours sans aucune crainte. Pour accentués mes paroles, un petit clin d’œil accompagné de cet habituel sourire.


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