Une émotion bien trop importante. (Lyam)
Juri Endo
Citation : La couverture d'un livre ne signifie rien, tout est dans le contenue !
Age : 25 (26/04/1973)
Rang : A3
Ryujin
Juri Endo
Tu avais fuit Juri, complètement fuit, alors que tu regarde une dernière fois le monde magique, le regard vide, tu n’avais même plus de larme à verser, plus rien, tu étais lasse, fatigué, tu n’avais qu’une envie, dormir…
Tu as quitté le monde magique comme lors de la fin de tes études, juste un regard, rien de plus, en te disant que tu n’y remettra pas les pieds, à quoi bon… Ta baguette ne te servira à rien et est-ce que tu pourra retourner t’en achet… plutôt aura-tu la force d’en acheter une autre ?
Et alors que tu attend tant bien que mal cette maison loin de la ville, tu pensais que tes larmes ne pourraient plus couler de tes yeux bleus, ce n’était qu’un mensonge encore, elles étaient là cachés entre deux battements de cils, ses larmes.
Alors que tu rentre, le silence lourd te frappe de plein fouet, personne n’est là pour t’accueillir comme à la fin de tes études, Kai n’est plus, heureusement dans un sens…
Tu passe devant cette chambre qui n’a pas bougé depuis un ans, tu rentre pour déposer ta baguette sur le bureau et en sort aussitôt, tu préserve cette pièce autant que tu le peux, tu te retrouve dans le salon bien trop grand pour toi…
Tes jambes te lâchent à ce moment là, ton corps entier tremble comme s’il savait qu’il pouvait se laisser aller maintenant, et…
Tu hurle dans cette maison vide, tu t’écroule sur le sol, tu ne sais plus quoi faire ni penser… Pourquoi tu as voulu retourner dans le monde magique ?
Juste pour voir tes acquis et tes rêves brisées, tu te demande encore pourquoi ton adorable oncle te voulait dans ce monde plus que dans celui qui t’a vu naître ?
Tu aimerais tellement qu’il soit là, qu’il te console, qu’il te dise que ce n’est rien, que tu peux toujours faire quelque dans ce monde qui t’a vu grandir à moitié sauf que personne ne peux te dire ses mots.
Ta colère se transforme en rage et cet espace où aucun sons ne se produit t’insupporte, tu projette cette rage contre les objets de ce salon que tu as toujours aimé sauf aujourd’hui, le bruit sourd des objets volant à droite et à gauche te fait du bien...
Sauf que tu es seule, terriblement seule Juri, dans cette maison terriblement vide, ta voix s’éteint d’elle-même alors que ton corps lui tombe sur le sol n’ayant plus aucune force, ta lutte contre le sommeil se finit comme elle a commencé sur un trop plein d’émotion, tu aimerais pouvoir rejoindre ta tendre mère ainsi que ton oncle mais, as-tu le droit de décider de ta mort Juri ?
Tu ne sais pas, tu ne veux pas y penser alors que tes yeux se ferme, tu t’abandonne au sommeil même s’il n’est pas éternelle, tu as juste besoin de repos.
Tu as quitté le monde magique comme lors de la fin de tes études, juste un regard, rien de plus, en te disant que tu n’y remettra pas les pieds, à quoi bon… Ta baguette ne te servira à rien et est-ce que tu pourra retourner t’en achet… plutôt aura-tu la force d’en acheter une autre ?
Et alors que tu attend tant bien que mal cette maison loin de la ville, tu pensais que tes larmes ne pourraient plus couler de tes yeux bleus, ce n’était qu’un mensonge encore, elles étaient là cachés entre deux battements de cils, ses larmes.
Alors que tu rentre, le silence lourd te frappe de plein fouet, personne n’est là pour t’accueillir comme à la fin de tes études, Kai n’est plus, heureusement dans un sens…
Tu passe devant cette chambre qui n’a pas bougé depuis un ans, tu rentre pour déposer ta baguette sur le bureau et en sort aussitôt, tu préserve cette pièce autant que tu le peux, tu te retrouve dans le salon bien trop grand pour toi…
Tes jambes te lâchent à ce moment là, ton corps entier tremble comme s’il savait qu’il pouvait se laisser aller maintenant, et…
Tu hurle dans cette maison vide, tu t’écroule sur le sol, tu ne sais plus quoi faire ni penser… Pourquoi tu as voulu retourner dans le monde magique ?
Juste pour voir tes acquis et tes rêves brisées, tu te demande encore pourquoi ton adorable oncle te voulait dans ce monde plus que dans celui qui t’a vu naître ?
Tu aimerais tellement qu’il soit là, qu’il te console, qu’il te dise que ce n’est rien, que tu peux toujours faire quelque dans ce monde qui t’a vu grandir à moitié sauf que personne ne peux te dire ses mots.
Ta colère se transforme en rage et cet espace où aucun sons ne se produit t’insupporte, tu projette cette rage contre les objets de ce salon que tu as toujours aimé sauf aujourd’hui, le bruit sourd des objets volant à droite et à gauche te fait du bien...
Sauf que tu es seule, terriblement seule Juri, dans cette maison terriblement vide, ta voix s’éteint d’elle-même alors que ton corps lui tombe sur le sol n’ayant plus aucune force, ta lutte contre le sommeil se finit comme elle a commencé sur un trop plein d’émotion, tu aimerais pouvoir rejoindre ta tendre mère ainsi que ton oncle mais, as-tu le droit de décider de ta mort Juri ?
Tu ne sais pas, tu ne veux pas y penser alors que tes yeux se ferme, tu t’abandonne au sommeil même s’il n’est pas éternelle, tu as juste besoin de repos.
Lyam Seizan
Citation : ~
Age : 24 ans
Rang : A2
Ryujin
Lyam Seizan
Les douleurs dans le corps se faisaient ressentir. Les courbatures d'un lendemain, la fatigue de ne pas avoir pu dormir correctement, mais tout cela n'était pas grand chose face à ce que d'autres avaient subi. Un certain remord me rongeait. J'avais voulu le combler le jour même avec cette réparation de baguette qui n'en était pas vraiment une. Maintenant Juri avait un beau bâton qui ne lui servait plus qu'à prendre la poussière. Triste souvenir en devenir. Et j'en étais le fautif. Au moins, me rassurais-je, la jeune femme n'avait pas été blessée physiquement. Mais parfois, il est préférable de souffrir d'une réelle douleur physique plutôt que d'une douleur au coeur.
Je voulais la voir. Je voulais m'assurer de son état. Je n'avais pas voulu la détruire, mais son état m'avait inquiété. Sur le moment, hier lointain et si proche à la fois, je n'avais rien fait. Il n'y avait rien à faire. J'avais simplement été là. J'avais simplement été son bourreau et son réconfort. Toutefois, ce jour était différent. Aujourd'hui, les combats étaient finis. Nous étions dans une nouvelle ère. Un nouveau début.
Arrivant devant la porte de la bibliothécaire, je frappais pour annoncer ma présence. J'attendais de longues minutes avant de recommencer plus fort. Face à l'absence de réponse, je tournais la poignée et me permettais d'entrer.
-Juri ?
Un appel, puis un silence, j'écoutais une réponse potentielle. Dans l'entrée, je retirais mes chaussures, par habitude et politesse, avant d'entrer dans le coeur de la maison.
-Juri, tu es là ?
Il semblait que la tempête était passée, à en juger l'état du salon. J'approchais de la belle endormie, posant un genoux a terre, prenant appui sur mon autre jambe fléchie. Je caressais sa joue avant de perdre mes doigts dans une de ses mèches de cheveux.
Je devrais partir et la laisser. Elle n'est sûrement pas en état de recevoir mes excuses...
Je voulais la voir. Je voulais m'assurer de son état. Je n'avais pas voulu la détruire, mais son état m'avait inquiété. Sur le moment, hier lointain et si proche à la fois, je n'avais rien fait. Il n'y avait rien à faire. J'avais simplement été là. J'avais simplement été son bourreau et son réconfort. Toutefois, ce jour était différent. Aujourd'hui, les combats étaient finis. Nous étions dans une nouvelle ère. Un nouveau début.
Arrivant devant la porte de la bibliothécaire, je frappais pour annoncer ma présence. J'attendais de longues minutes avant de recommencer plus fort. Face à l'absence de réponse, je tournais la poignée et me permettais d'entrer.
-Juri ?
Un appel, puis un silence, j'écoutais une réponse potentielle. Dans l'entrée, je retirais mes chaussures, par habitude et politesse, avant d'entrer dans le coeur de la maison.
-Juri, tu es là ?
Il semblait que la tempête était passée, à en juger l'état du salon. J'approchais de la belle endormie, posant un genoux a terre, prenant appui sur mon autre jambe fléchie. Je caressais sa joue avant de perdre mes doigts dans une de ses mèches de cheveux.
Je devrais partir et la laisser. Elle n'est sûrement pas en état de recevoir mes excuses...
Juri Endo
Citation : La couverture d'un livre ne signifie rien, tout est dans le contenue !
Age : 25 (26/04/1973)
Rang : A3
Ryujin
Juri Endo
Une voix masculine…
Est-ce que tu est entrain de rêver Juri ?
Pourtant cette voix est trop proche, beaucoup trop proche de toi, alors que tu te frotte les yeux comme une enfant, ta vision floue te fait voir la seule personne que tu aimerais être à tes côtés.
- Oncle Kai… ?
Sauf que cela ne peut pas être lui, la lumière du soleil t’éblouit et tu remarque enfin la chevelure rouge au lieu d’ébène de la personne à tes côtes… Tu te réveille complètement pour t’éloigner tant bien que mal, tu cherche quelque chose, un livre vole sauf que cela n’atteins pas ta cible.
- Que fais-tu ici, Lyam ?
Ta colère s’est transformé en peur, est-il venu t’achever correctement ? Ou bien il cherchait à te faire rejoindre Seimei ?
Tu n’a savait rien, tu avais juste peur, tu te planque derrière la table renversé, tes mains sur ta tête blonde, tu tremblais, ta fatigue bien trop présente encore, tu n’arrive pas à pensé correctement.
Puis un éclair te traverse… tu sort de ta cachette pour lancer un vase intact, une lueur de courage ou d’idiotie, tu ne sais pas…
- En fait je veux pas savoir, VA-T-EN, LAISSE MOI dans ma tristesse…
Et tes mots qu’il soit hurlé ou non, se sont échappé de tes pensées, tu t’effondre à nouveau, les larmes qui coulent, tes bras serrant ce qu’il reste de la jupe de ta robe, tu ne veux pas être consoler, tu ne veux pas d’aide, tu veux juste être seule.
Est-ce que tu est entrain de rêver Juri ?
Pourtant cette voix est trop proche, beaucoup trop proche de toi, alors que tu te frotte les yeux comme une enfant, ta vision floue te fait voir la seule personne que tu aimerais être à tes côtés.
- Oncle Kai… ?
Sauf que cela ne peut pas être lui, la lumière du soleil t’éblouit et tu remarque enfin la chevelure rouge au lieu d’ébène de la personne à tes côtes… Tu te réveille complètement pour t’éloigner tant bien que mal, tu cherche quelque chose, un livre vole sauf que cela n’atteins pas ta cible.
- Que fais-tu ici, Lyam ?
Ta colère s’est transformé en peur, est-il venu t’achever correctement ? Ou bien il cherchait à te faire rejoindre Seimei ?
Tu n’a savait rien, tu avais juste peur, tu te planque derrière la table renversé, tes mains sur ta tête blonde, tu tremblais, ta fatigue bien trop présente encore, tu n’arrive pas à pensé correctement.
Puis un éclair te traverse… tu sort de ta cachette pour lancer un vase intact, une lueur de courage ou d’idiotie, tu ne sais pas…
- En fait je veux pas savoir, VA-T-EN, LAISSE MOI dans ma tristesse…
Et tes mots qu’il soit hurlé ou non, se sont échappé de tes pensées, tu t’effondre à nouveau, les larmes qui coulent, tes bras serrant ce qu’il reste de la jupe de ta robe, tu ne veux pas être consoler, tu ne veux pas d’aide, tu veux juste être seule.
Lyam Seizan
Citation : ~
Age : 24 ans
Rang : A2
Ryujin
Lyam Seizan
Apeurée tel un animal blessée, elle s'éloigne, s'enfuit. Je ne la retenais pas. C'était blessant, mais compréhensif. Son rêve prenait fin. Malheureusement, non, je n'étais pas cet oncle qu'elle appelait de ses voeux. Je n'étais que moi, simple ami, si encore j'avais ce titre pour elle.
Lentement, je me relevais, évitant ainsi un livre bien mal lancé. J'allais répondre à sa question, sauf que je fus arrêté par une douleur vive. J'aurai du rester sur mes gardes. Un animal blessé était un animal dangereux, même s'il était inoffensif à la base. C'était également valable pour les humains.
Le vase reçu tomba en miettes sur le sol alors que je pris mon visage dans une main. De mon nez s'échappa du sang, tandis que de ma bouche naissait un gémissement de douleur. Ce n'était que mérité : une petite douleur pour compenser l'immensité de la sienne.
-Juri ! Comment veux-tu que je te laisse dans cet état ? C'est hors de question. Je suis venu parce que je m'inquiétais de ton état. Tu restes mon amie, malgré les incidents survenus hier !
J'essuyais le sang du revers de la main. J'aurai pu me soigner, mais ne le fis pas. Il me semblait devoir supporter cette douleur, comme une obligation.
-Je voulais aussi m'excuser. Même si mes mots ne sont que d'un piètre réconfort face à ce que tu as enduré...
Mon ton s'était adouci. Une certaine forme de remord semblait transparaitre. Non pas pour l'ensemble des mes actes, mais pour ce que je lui avais fait à elle. À nouveau, je m'approchais d'elle et me mis a à sa hauteur. Je pris ses mains avec douceur dans les miennes, posant mon regard rubis sur elle.
-Frappe-moi encore si cela te fait du bien.
Je n'aimais pas la douleur, mais aujourd'hui, exceptionnellement, je l'accepterai si cela pouvait la soulager.
Lentement, je me relevais, évitant ainsi un livre bien mal lancé. J'allais répondre à sa question, sauf que je fus arrêté par une douleur vive. J'aurai du rester sur mes gardes. Un animal blessé était un animal dangereux, même s'il était inoffensif à la base. C'était également valable pour les humains.
Le vase reçu tomba en miettes sur le sol alors que je pris mon visage dans une main. De mon nez s'échappa du sang, tandis que de ma bouche naissait un gémissement de douleur. Ce n'était que mérité : une petite douleur pour compenser l'immensité de la sienne.
-Juri ! Comment veux-tu que je te laisse dans cet état ? C'est hors de question. Je suis venu parce que je m'inquiétais de ton état. Tu restes mon amie, malgré les incidents survenus hier !
J'essuyais le sang du revers de la main. J'aurai pu me soigner, mais ne le fis pas. Il me semblait devoir supporter cette douleur, comme une obligation.
-Je voulais aussi m'excuser. Même si mes mots ne sont que d'un piètre réconfort face à ce que tu as enduré...
Mon ton s'était adouci. Une certaine forme de remord semblait transparaitre. Non pas pour l'ensemble des mes actes, mais pour ce que je lui avais fait à elle. À nouveau, je m'approchais d'elle et me mis a à sa hauteur. Je pris ses mains avec douceur dans les miennes, posant mon regard rubis sur elle.
-Frappe-moi encore si cela te fait du bien.
Je n'aimais pas la douleur, mais aujourd'hui, exceptionnellement, je l'accepterai si cela pouvait la soulager.
Juri Endo
Citation : La couverture d'un livre ne signifie rien, tout est dans le contenue !
Age : 25 (26/04/1973)
Rang : A3
Ryujin
Juri Endo
Il s’inquiétait de ton état, pourquoi donc ? Il n’avait que son devoir de yuutsu, nous étions dans une guerre civile, quoi de plus banal que ses agissements.
Tu retire tes mains alors que tu pensais que tu ne pouvais plus pleurer, les voilà revenant au triple galop, comme si elles n’attendait que ça…
- Je n’ai pas besoin de ton réconfort, laisse moi tranquille.
Tu te glisse un peu sur le côté, ne voulant pas être proche de cet « ami », tu n’en pouvais plus Juri…
- J’ai besoin de personne, juste de mes livres…
Et tu le regarde, ses larmes qui perlent le long de tes pommettes alors qu’il te propose de le frapper… Si tu avais été comme cela juri, violente comme ton paternelle, tu aurais frappé Lyam sauf que tu n’es pas comme ça…
- A quoi ça sert de te frapper, hein ? Maintenant que tu as détruit le dernier souvenir de ma scolarité, qu’il tenait tellement à cœur…
Tu serre les poings, tu avais perdu le dernier rempart qui te maintenais dans le monde magique, à quoi bon tenir cette promesse.
- Laisse moi, va-t-en, je n’ai pas besoin de ta pitié.
Tu avais enduré seule cet enterrement, tu endurais seule aussi ce passage, à quoi bon être accompagné ? À part pour attirer la pitié des gens, tu n’avais jamais aimé cela Juri, même à la mort de ta tendre mère, seul ton oncle Kai t’avait regardé normalement, alors que les ami(e)s de ta mère avait pitié pour toi et que la famille de ton paternelle n’avait que de la rage dans leurs yeux.
- va-t-en, va-t-en, je t’en supplie…
Et tu te recroqueville sur toi Juri, laissant encore cette tristesse coulé le long de tes yeux bleus, te cachant sous cette chevelure blonde, tu ne voulais plus entendre parler du monde magique pour le moment, après tout est-ce que tu a encore ta place là bas...
Tu retire tes mains alors que tu pensais que tu ne pouvais plus pleurer, les voilà revenant au triple galop, comme si elles n’attendait que ça…
- Je n’ai pas besoin de ton réconfort, laisse moi tranquille.
Tu te glisse un peu sur le côté, ne voulant pas être proche de cet « ami », tu n’en pouvais plus Juri…
- J’ai besoin de personne, juste de mes livres…
Et tu le regarde, ses larmes qui perlent le long de tes pommettes alors qu’il te propose de le frapper… Si tu avais été comme cela juri, violente comme ton paternelle, tu aurais frappé Lyam sauf que tu n’es pas comme ça…
- A quoi ça sert de te frapper, hein ? Maintenant que tu as détruit le dernier souvenir de ma scolarité, qu’il tenait tellement à cœur…
Tu serre les poings, tu avais perdu le dernier rempart qui te maintenais dans le monde magique, à quoi bon tenir cette promesse.
- Laisse moi, va-t-en, je n’ai pas besoin de ta pitié.
Tu avais enduré seule cet enterrement, tu endurais seule aussi ce passage, à quoi bon être accompagné ? À part pour attirer la pitié des gens, tu n’avais jamais aimé cela Juri, même à la mort de ta tendre mère, seul ton oncle Kai t’avait regardé normalement, alors que les ami(e)s de ta mère avait pitié pour toi et que la famille de ton paternelle n’avait que de la rage dans leurs yeux.
- va-t-en, va-t-en, je t’en supplie…
Et tu te recroqueville sur toi Juri, laissant encore cette tristesse coulé le long de tes yeux bleus, te cachant sous cette chevelure blonde, tu ne voulais plus entendre parler du monde magique pour le moment, après tout est-ce que tu a encore ta place là bas...
Lyam Seizan
Citation : ~
Age : 24 ans
Rang : A2
Ryujin
Lyam Seizan
Je voulais bien croire que ce n'était pas mon aide qu'elle voulait, mais me dire qu'elle n'avait besoin que de ses livres... C'était un peu trop. Je poussais un soupir exaspéré en me relevant, puisqu'elle me fuyait tant. Je reculais de quelques pas, observais une nouvelle fois la pièce et portais encore ma main a mon nez. Le sang ne semblait plus vouloir couler, mais la douleur était toujours bien présente.
-Mais que pourraient faire tes livres, dit-moi, Juri ? Ils ne feront que t'emporter dans un monde, te voilant la face de celui que tu fuis. Ce n'est pas une solution. Que tu ne veuilles pas de moi, je peux le concevoir, mais va trouver un autre ami, demande à ce qu'il vienne ou que sais-je ? Mais ta solitude ne t'apportera rien, surtout sur le long terme.
J'étais bien décidé à rester maintenant. Et je pris même mes aises en prenant place dans le canapé, faisant attention d'écarter tout objet sur lequel j'aurai pu m'asseoir ou qui aurait pu me blesser.
-Supplie moi donc encore. Mais je ne partirai pas. Pas tant que quelqu'un d'autre n'arrive pour veiller sur toi ou bien que tu sois suffisamment calmée pour que je puisse m'en aller.
J'étais soulagé qu'elle ne veuille pas me frapper, mais ça s'arrêtait là.
-En revanche, je tiens à te corriger. Ce n'est pas de la pitié.
Certes, elle me faisait de la peine, mais de là à dire que c'était de la pitié, c'était un peu trop pousser.
-Mais que pourraient faire tes livres, dit-moi, Juri ? Ils ne feront que t'emporter dans un monde, te voilant la face de celui que tu fuis. Ce n'est pas une solution. Que tu ne veuilles pas de moi, je peux le concevoir, mais va trouver un autre ami, demande à ce qu'il vienne ou que sais-je ? Mais ta solitude ne t'apportera rien, surtout sur le long terme.
J'étais bien décidé à rester maintenant. Et je pris même mes aises en prenant place dans le canapé, faisant attention d'écarter tout objet sur lequel j'aurai pu m'asseoir ou qui aurait pu me blesser.
-Supplie moi donc encore. Mais je ne partirai pas. Pas tant que quelqu'un d'autre n'arrive pour veiller sur toi ou bien que tu sois suffisamment calmée pour que je puisse m'en aller.
J'étais soulagé qu'elle ne veuille pas me frapper, mais ça s'arrêtait là.
-En revanche, je tiens à te corriger. Ce n'est pas de la pitié.
Certes, elle me faisait de la peine, mais de là à dire que c'était de la pitié, c'était un peu trop pousser.
Juri Endo
Citation : La couverture d'un livre ne signifie rien, tout est dans le contenue !
Age : 25 (26/04/1973)
Rang : A3
Ryujin
Juri Endo
Les paroles du roux ne font rien pour arranger cette rage qui n'était pas réellement partis, toujours caché au fond de ton cœur.
- Mais, tu comprends pas quoi dans va-t-en, Lyam ?
Tu te laisse et pousse la table se trouvant sur ton chemin.
- C'est mon problème, j'ai déjà vécue comme ça y'a un ans avant de remettre les pieds à l'école pour tenir la promesse de mon oncle, je n'ai pas besoin de toi ou de qui que ce soit d'autre, vous m'énervez à toujours prendre les décisions qui vous paraisse juste pour vous et non pour moi...
Tu pense aussi à ton collègue, Akihiro Mori, lui aussi été décidé à te faire sortir de ta bibliothèque, comme quoi, il devait avoir les mêmes pensées que Lyam.
- Je sais supporter cette douleur seule, fuir la réalité, je le fais depuis mes cinq ans donc ne parle pas de chose dont tu ne peux pas comprendre.
Tu t'approche de cet « ami », assit confortablement sur ce canapé, le seul objet de la pièce qui n'a pas bougé d'un centimètre. Malgré tu place des deux mains sur le canapé, debout en face de cet homme que tu regarde avec colère.
- Je n'ai pas besoin d'aide, je me débrouillerais très bien seule, va-t-en pour la énième fois.
Malgré ta colère, tes larmes perlaient le long de tes joues, tes mains étaient crispé sur le tissus du canapé, tu en avais marre Juri, tu avais sommeil, tu voulais être seule dans cette maison, dans le silence qu'elle te donne, c'était ton seule souhait à présent.
- Mais, tu comprends pas quoi dans va-t-en, Lyam ?
Tu te laisse et pousse la table se trouvant sur ton chemin.
- C'est mon problème, j'ai déjà vécue comme ça y'a un ans avant de remettre les pieds à l'école pour tenir la promesse de mon oncle, je n'ai pas besoin de toi ou de qui que ce soit d'autre, vous m'énervez à toujours prendre les décisions qui vous paraisse juste pour vous et non pour moi...
Tu pense aussi à ton collègue, Akihiro Mori, lui aussi été décidé à te faire sortir de ta bibliothèque, comme quoi, il devait avoir les mêmes pensées que Lyam.
- Je sais supporter cette douleur seule, fuir la réalité, je le fais depuis mes cinq ans donc ne parle pas de chose dont tu ne peux pas comprendre.
Tu t'approche de cet « ami », assit confortablement sur ce canapé, le seul objet de la pièce qui n'a pas bougé d'un centimètre. Malgré tu place des deux mains sur le canapé, debout en face de cet homme que tu regarde avec colère.
- Je n'ai pas besoin d'aide, je me débrouillerais très bien seule, va-t-en pour la énième fois.
Malgré ta colère, tes larmes perlaient le long de tes joues, tes mains étaient crispé sur le tissus du canapé, tu en avais marre Juri, tu avais sommeil, tu voulais être seule dans cette maison, dans le silence qu'elle te donne, c'était ton seule souhait à présent.
Lyam Seizan
Citation : ~
Age : 24 ans
Rang : A2
Ryujin
Lyam Seizan
Installé, je croisais les bras. Ce que je ne comprenais pas dans l'ordre qu'elle m'avait donné ? Oh hé bien, c'était un ordre peu poli. Cela était l'une des raisons. Les autres, je les lui avais déjà exposées. Elle vidait ensuite son sac et sa colère se déversait. Je subissais ses mots, en silence, fermant les yeux un bref instant. Je les ouvrais quand elle s'approcha. La surprise fit retenir un sourire. La situation aurait pu être plaisante si j'avais des sentiments d'une autre nature pour la demoiselle, mais également si elle n'était pas si en colère.
-Vois-tu, c'est la manière dont de me l'a demandé qui me dérange. Mais actuellement, c'est surtout que tu m'empêche de partir, Juri. Dois-je donc en conclure que tu souhaite en réalité que je reste ? Tes actions et tes paroles se contredisent. Lesquels des deux dois-je prendre en considération ?
Je posais mon regard dans le sien, un bel azur qui m'en rappelait un autre.
-D'ailleurs, qui te dit que je ne comprends pas ? Crois-tu être la seule à souffrir de la vie et de ce qu'elle fait endurer ? C'est le lot de tout être humain, peu importe son sang. Et fuir la réalité n'est pas une solution vivable sur le long terme.
Comment ne l'a-t-elle donc pas compris, si elle fuit depuis aussi longtemps dans les livres ? Je levais alors le bras pour caresser sa joue de ma main et ainsi interrompre la course de la perle humide qui roulait sur sa joue.
-Mais si c'est vraiment mon départ que tu souhaites, alors je partirai, dés que tu m'auras rendu ma liberté en écartant tes bras de part et d'autre de moi.
Pour une fois, une pointe d'amusement se faisait ressentir, alors que tout le reste avait été dit d'un ton presque égal. Je n'allais pas me battre à rester ici, si elle désirait tant sa solitude. Rien ne pourrait y changer quoi que ce soit.
-Vois-tu, c'est la manière dont de me l'a demandé qui me dérange. Mais actuellement, c'est surtout que tu m'empêche de partir, Juri. Dois-je donc en conclure que tu souhaite en réalité que je reste ? Tes actions et tes paroles se contredisent. Lesquels des deux dois-je prendre en considération ?
Je posais mon regard dans le sien, un bel azur qui m'en rappelait un autre.
-D'ailleurs, qui te dit que je ne comprends pas ? Crois-tu être la seule à souffrir de la vie et de ce qu'elle fait endurer ? C'est le lot de tout être humain, peu importe son sang. Et fuir la réalité n'est pas une solution vivable sur le long terme.
Comment ne l'a-t-elle donc pas compris, si elle fuit depuis aussi longtemps dans les livres ? Je levais alors le bras pour caresser sa joue de ma main et ainsi interrompre la course de la perle humide qui roulait sur sa joue.
-Mais si c'est vraiment mon départ que tu souhaites, alors je partirai, dés que tu m'auras rendu ma liberté en écartant tes bras de part et d'autre de moi.
Pour une fois, une pointe d'amusement se faisait ressentir, alors que tout le reste avait été dit d'un ton presque égal. Je n'allais pas me battre à rester ici, si elle désirait tant sa solitude. Rien ne pourrait y changer quoi que ce soit.
Juri Endo
Citation : La couverture d'un livre ne signifie rien, tout est dans le contenue !
Age : 25 (26/04/1973)
Rang : A3
Ryujin
Juri Endo
Tu soupir en te reculant du canapé, tu savais bien que lyam était têtu, un peu comme toi quand tu le veux Juri.
- Je n'ai fait que prendre mes appuis pour ne pas tomber, ne rêve pas trop Lyam, je sais parfaitement ce que je dit et ce que je fais.
Oui, tu essuie les dernières larmes coincés dans tes yeux, arrange tes cheveux même si tu devras certainement passer un coup de peigne dedans mais, après t'être reposé Juri, tes yeux te piquaient tellement fort que tu te demandais comment tu pouvais encore tenir sur tes jambes.
- Je vais te le demander plus poliment alors, pourrait-tu me laisser seule Lyam s'il te plaît ?
Quand sa phrase sur le monde te fait soupirer un peu plus, tu sais que tu n'es pas la seule à souffrir mais, tu as toujours été habitué à fuir cette réalité, tu avais une réalité avec Kai, celle qui vous appartenait rien qu'à vous deux, tu avais ta réalité pendant ta scolarité à Mahoutokoro.
- Qu'importe ton opinion Lyam, ce que je vais faire de ma vie à présent ne te regarde pas.
Elle ne regarde que toi, oui, tu aura sûrement les idées plus claires après t'être reposé dans ton lit, en oubliant un peu les derniers évènements, tu ira peut-être commander une nouvelle baguette même si tu ne sais pas si tu sera encore la maîtresse de la bibliothèque à la rentré de mars, on peut facilement te remplacer par quelqu'un de supérieur à toi.
- Bref je me répète mais, pars s'il te plaît Lyam.
C'est tout ce que tu voulais, ton cerveau n'était pas en mesure de réfléchir, tu avais besoin du silence de cette maison pour te reposer et penser à un avenir dans ce monde même si tu ne sais vraiment pas si tu as toujours une place là-bas.
- Je n'ai fait que prendre mes appuis pour ne pas tomber, ne rêve pas trop Lyam, je sais parfaitement ce que je dit et ce que je fais.
Oui, tu essuie les dernières larmes coincés dans tes yeux, arrange tes cheveux même si tu devras certainement passer un coup de peigne dedans mais, après t'être reposé Juri, tes yeux te piquaient tellement fort que tu te demandais comment tu pouvais encore tenir sur tes jambes.
- Je vais te le demander plus poliment alors, pourrait-tu me laisser seule Lyam s'il te plaît ?
Quand sa phrase sur le monde te fait soupirer un peu plus, tu sais que tu n'es pas la seule à souffrir mais, tu as toujours été habitué à fuir cette réalité, tu avais une réalité avec Kai, celle qui vous appartenait rien qu'à vous deux, tu avais ta réalité pendant ta scolarité à Mahoutokoro.
- Qu'importe ton opinion Lyam, ce que je vais faire de ma vie à présent ne te regarde pas.
Elle ne regarde que toi, oui, tu aura sûrement les idées plus claires après t'être reposé dans ton lit, en oubliant un peu les derniers évènements, tu ira peut-être commander une nouvelle baguette même si tu ne sais pas si tu sera encore la maîtresse de la bibliothèque à la rentré de mars, on peut facilement te remplacer par quelqu'un de supérieur à toi.
- Bref je me répète mais, pars s'il te plaît Lyam.
C'est tout ce que tu voulais, ton cerveau n'était pas en mesure de réfléchir, tu avais besoin du silence de cette maison pour te reposer et penser à un avenir dans ce monde même si tu ne sais vraiment pas si tu as toujours une place là-bas.
Lyam Seizan
Citation : ~
Age : 24 ans
Rang : A2
Ryujin
Lyam Seizan
L'hystérie semblait l'avoir abandonnée. Sa peur a mon encontre aussi, vu la manière dont elle s'était approchée de moi. Et finalement, ce sont des mots plus polis qui sortirent de sa bouche. J'avais conscience du caractère exécrable dont je venais de faire montre. Non seulement hier, j'avais brisé sa baguette en la prenant en otage, mais aujourd'hui, je venais m'imposer chez elle, presqu'en maitre. Même si mes intentions étaient nobles, ce n'était sans doute pas son point de vue. Tout ce que j'avais voulu, aujourd'hui, ne parlons plus d'hier, c'était m'excuser. Des excuses qui au final n'étaient pas si bien reçues. J'aurais du attendre plus longtemps, ou simplement envoyer un origami.
Une fois libre de me lever, je le fis sans me faire prier. Je m'éloignais donc de ce canapé pour gagner lentement la sortie avant de me retourner vers Juri avant de quitter son salon. Mes mots se bousculent, mais mon hésitation les retient. J'allais lui dire de prendre soin d'elle et de se reposer, mais comme elle venait de le dire, mon opinion lui importait peu. Je me ravisais alors, renouvelant juste mes excuses.
-Je suis sincèrement désolé.
Pour ta baguette.
Pour l'état dans lequel je t'ai ainsi plongée involontairement.
Pour ne pas pouvoir t'aider.
Pour ne pas avoir pensé à agir autrement.
Pour cette amitié qui semble s'être brisée.
J'allais m'en aller, mais avant de réellement franchir la porte, je lui dis un dernier mot.
-Ne supplie plus jamais les autres, Juri. Tu vaux mieux que ça, vraiment.
Alors je disparus par l'embrasure de la porte. Avant de remettre mes chaussures dans l'entrée, je soignais mon nez avec la magie, m'assurait que de sang n'était pas visible.
Je la laissais seule, espérant que tout irait bien pour elle. C'était tout ce que je pouvais faire, semblait-il.
Une fois libre de me lever, je le fis sans me faire prier. Je m'éloignais donc de ce canapé pour gagner lentement la sortie avant de me retourner vers Juri avant de quitter son salon. Mes mots se bousculent, mais mon hésitation les retient. J'allais lui dire de prendre soin d'elle et de se reposer, mais comme elle venait de le dire, mon opinion lui importait peu. Je me ravisais alors, renouvelant juste mes excuses.
-Je suis sincèrement désolé.
Pour ta baguette.
Pour l'état dans lequel je t'ai ainsi plongée involontairement.
Pour ne pas pouvoir t'aider.
Pour ne pas avoir pensé à agir autrement.
Pour cette amitié qui semble s'être brisée.
J'allais m'en aller, mais avant de réellement franchir la porte, je lui dis un dernier mot.
-Ne supplie plus jamais les autres, Juri. Tu vaux mieux que ça, vraiment.
Alors je disparus par l'embrasure de la porte. Avant de remettre mes chaussures dans l'entrée, je soignais mon nez avec la magie, m'assurait que de sang n'était pas visible.
Je la laissais seule, espérant que tout irait bien pour elle. C'était tout ce que je pouvais faire, semblait-il.
Juri Endo
Citation : La couverture d'un livre ne signifie rien, tout est dans le contenue !
Age : 25 (26/04/1973)
Rang : A3
Ryujin
Juri Endo
Alors que tu voyais Lyam se levait, commencé doucement à partir, son regard que tu pensais remplis de pitié n'était pas comme cela, tu avais l'impression de te revoir lors de ton départ pour le Japon, avec ton oncle au regard rieur et chaleureux... Mais, tu ne devais pas flancher Juri, tu ne devais pas rattraper ton ami, tu ne devais pas montrer un signe de ta gentillesse.
Mais, les excuses et les mots prononcé, te font revenir dans cette réalité qui t'appartient, tu reviens à la Juri douce et timide que tu étais, sans rougeur, juste un simple sourire.
Une fois la porte fermé, tu t’effondre, tes jambes n'arrivant plus à tenir, tu soupir la tête sur le canapé, tu réfléchis comme à ton habitude, qu'est-ce que tes héros préférer aurait fait à ta place ?
Tu ne sais, peut-être qu'ils auraient accepté les excuses de suite, il l'aurait retenu pour ne pas être seule sauf que tu es différente de tes héros favoris.
Tu as toujours été seule plus ou moins, le peu d'amis que tu as réussis à te faire, tu les as gardé à distance parce que dans ta tête d'enfant et d'adolescente et encore un peu aujourd'hui, tu ne voulais pas trop mélanger ta vie non magique avec la vie à Mahoutokoro.
Tu regarde l'état de ton salon, tu rangera cela plus tard, tu arrive tant bien que mal à te lever pour dans un premier temps fermer la maison à clé et pour la suite gagner ta chambre, te glisser dans tes draps pour rejoindre Morphée, c'est tout ce que tu voulait à présent, la laisser te guider vers les rêves qu'elle souhaitait te montrer, des souvenirs peut-être, avant de fermer les yeux, tu pense fortement à écrire un origami à Lyam pour qu'il sache si tu lui pardonne ou non, tu verra ça, quand tu sera reposé, c'est mieux...
Mais, les excuses et les mots prononcé, te font revenir dans cette réalité qui t'appartient, tu reviens à la Juri douce et timide que tu étais, sans rougeur, juste un simple sourire.
Une fois la porte fermé, tu t’effondre, tes jambes n'arrivant plus à tenir, tu soupir la tête sur le canapé, tu réfléchis comme à ton habitude, qu'est-ce que tes héros préférer aurait fait à ta place ?
Tu ne sais, peut-être qu'ils auraient accepté les excuses de suite, il l'aurait retenu pour ne pas être seule sauf que tu es différente de tes héros favoris.
Tu as toujours été seule plus ou moins, le peu d'amis que tu as réussis à te faire, tu les as gardé à distance parce que dans ta tête d'enfant et d'adolescente et encore un peu aujourd'hui, tu ne voulais pas trop mélanger ta vie non magique avec la vie à Mahoutokoro.
Tu regarde l'état de ton salon, tu rangera cela plus tard, tu arrive tant bien que mal à te lever pour dans un premier temps fermer la maison à clé et pour la suite gagner ta chambre, te glisser dans tes draps pour rejoindre Morphée, c'est tout ce que tu voulait à présent, la laisser te guider vers les rêves qu'elle souhaitait te montrer, des souvenirs peut-être, avant de fermer les yeux, tu pense fortement à écrire un origami à Lyam pour qu'il sache si tu lui pardonne ou non, tu verra ça, quand tu sera reposé, c'est mieux...
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