— MAHOUTOKORO
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De nouveaux jours (Solo)
Maiko Kondo
De nouveaux jours (Solo) 1oq5
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Amaterasu
Maiko Kondo
https://mahoutokoro.forumactif.com/t64-maiko-kondo-tout-ce-que-tu-decide-est-juste-termine
https://mahoutokoro.forumactif.com/t253-pensees-pliante-maiko
Maiko Kondo
Tu n’attendais personne en cet après-midi noir surtout que peu de personne connaissait ton adresse actuelle, tu avais demandé à ton père ainsi qu’à tes frères de ne rien à dire à Nowaki, tu sais bien que Mariko serait au courant sauf qu’elle est dans la famille de son père et tu ne sais pas si les transports moldus fonctionne avec ce soleil noir.

Sauf que la chevelure noir ébène qui plongea dans des bras que tu rassura, était celle de ta cousine Mariko, elle tremblais de tout son corps, tu savait bien comme toi qu’elle ressentais ce vide.

- Mari ?

- J’étais dans l’avion, quand j’ai soudain eu très chaud, mal au cœur puis cet origami à mon arrivée…

Elle rentrais ici par les moyens non magique, plus facile de ne pas se faire repérer que sur nos balais, surtout qu’elle aurait pu avoir un accident avec cet absence de magie.

- Ça va aller, je suis sure qu’on va retrouver  notre magie bientôt, aie confiance.

Tu fit entrer ta cousine ainsi que sa valise dans ton appartement Maiko, la fit s’asseoir sur l’un des canapé présent dans le salon pour ensuite lui donner un verre d’eau.

- Tout va bien se passer, fait moi confiance.

Alors que ma cousine bu son verre d’eau, je la garde contre moi en regardant dehors, le soleil noir, cette éclipse comme le nomme bon nombre de personne ne possédant aucun talent de sorcier, n’a pas encore duré une journée, tu devais te montrer patiente et Mariko aussi, tu aimerais comprendre parce que tu ne te souviens pas avoir lu un tel phénomène dans les livres d’histoire de la magie que tu as lu, pour le moment tu devais rassurer Mariko et te rassurer aussi même si tu as confiance en Seimei-sama.

Peut-être aveuglement confiance mais, il t’avais accepté, toi petit oiseau perdu, enrôlé par son bras droit, Rajan Tsukino, qui t’a libérer de cette cage et de ses chaînes, tu étais désormais libre.

Tu avais accomplis peu de chose pour les yuutsu, tu as juste affirmé l’être au sein du ministère, ce qui ne t’a pas vraiment attiré d’ennui malgré que les murs de ce bâtiment avait des oreilles, après tout, les Kondo ont toujours été des êtres étranges, tu es sûrement la plus étrange de toutes.

Puis cette rébellion, cette capture, elle devait être simple… Pourquoi il a fallut que deux jeunes élèves soit de la partie ?

Tu aurais aimé éviter les traumatisme sauf que cela à l’air d’être monnaie courante dans cette école, les nombreux évènements auquel tu as assisté Maiko t’ont fait grandir, prendre conscience des choses les plus importante et surtout, cela t’a permis de trouver cette liberté que tu convoitais avec tant d’ardeur.

Mariko a fini par s’endormir sur tes genoux, fatigué par ses émotions et surtout le décalage horaire, tu lui met la petite couverture que tu as décidé de mettre au cas où, ton regard toujours plongé dehors, toujours pensant à tout.

Tu ne sais pas comment va se passer la rentré à Mahoutokoro, tu as appris malgré toi que tu es la cause des statues, l’histoire de Iwo que tu connais que trop bien maintenant, les sorts des nombreux directeurs, ont donné une âme puissante à l’île, la mort de l’actuelle directeur n’a fait déclencher la colère de celle-ci… Si tu avais été au courant de cela avant, peut-être que tu n’aurais pas tué ce lâche sauf que c’est trop tard pour regretter quoi que ce soit.

Tu soupir, cela faisait longtemps Maiko, tu n’a pas réellement envie de retourner à l’école, tu sens déjà les regards lourd de certains de tes camarades, ceux déjà qui étaient Shuusei ou bien Gyokuji, qui se retrouve maintenant Yuutsu, ce n’est pas entièrement ta faute…

Tu ne sais pas vraiment s’il a eu des blessé grave à cause des statues, tu n’as pas voulu de renseignement sur cela, tu n’aurais pas eu l’envie de remettre les pieds à l’école, ta douzième année allé être un enfer, heureusement que le week-end tu allais pouvoir rentrer dans cette appartement, tu ne peux remercier assez ton père et tes frères.

Tu espère que personne ne tiendra Nowaki, Mariko ou n’importe quel Kondo responsable en plus de toi Maiko, après tout tu n’a plus rien à voir avec les Kondo, tu n’es plus héritière et tu as supprimé tes informations dans les archives familiales, elles sont toutes dans l’appartement enfermé dans un coffre que tu as acheté dans un magasin.

Maiko Kondo n’existe plus, tu as encore une année à tenir avant de pouvoir changer de nom de famille, une longue année, c’est tout, tu sais qu’à partir de février 99, ton destin basculera définitivement, les Kondo ne seront que de l’histoire ancienne.

Tu ne sais pas quel nom de famille tu pourrais prendre, tu abandonnerais sûrement le monde magique pour vivre parmi les moldu, tu apprendrais beaucoup de chose tu en es quasi sûre, tu espère que Mariko te comprenne, parce que tu ne la suivra sûrement pas dans son tour du monde, tu as abandonné l’idée de le faire après tout, tu ne vois aucun avenir pour le moment dans le monde magique.

Et un nouveau soupir, tu regarde le plafond, tu as souvent regarder le plafond que ce soit au Manoir Kondo ou à l’école, comme si tu allais trouvé des réponses dans un mur aux couleur sobre, sans aucune âme ou idée concrète.

Tu vois que ton père à mis de la couleur partout, du vert mâcha au plafond certes, pas très jolie mais, elle égaie un peu ton âme Maiko, tu devrais le repeindre de rose saumon avec des étoiles jaune pastel comme déco, comme un ciel de nuit tel que tu le veux.

De toute façon, il faut que tu refasse ta déco pour que tu puisse te sentir chez toi, dans cette appartement Maiko, il était à toi, tu pouvais en faire ce que tu voulais, et encore une fois tes pensées se tourne vers ton paternelle que tu ne pourra pas remercier assez pour cette vie qu’il t’offre.

Tu espère juste que les personnes qui t’entourent maintenant comprendront tes décisions, tu perdra  la confiance de certains, à part s’ils te trouvent quelque chose à faire dans le monde magique, tu ne sais pas encore et pensé t’installer dans le monde moldu est peut-être trop précipité.

- Mai, j’ai faim !

Et tu sors de tes pensées sur ses mots, tu regarde ta cousine, sa tête sur tes genoux, les yeux grand ouvert avec ce visage boudeur, comme à chaque fois qu’elle a faim.

- On va manger alors !

Mariko se lève pour se diriger vers la cuisine, tu la suis, tu as le temps de penser au mois de mars encore et à ton futur Maiko.
Maiko Kondo
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Maiko Kondo
Mariko était repartis à Nara par les moyens de transport moldu, tu l’avais accompagné, tu lui avais promis de lui donné des nouvelles vu que les vacances n’était pas terminé.

Tu en profite pour te balader à travers cette grande ville qu’est Tokyo, tu te demande vraiment pourquoi ton père et tes frères ont choisis cette ville pour toi ?

Tu finis par doucement comprendre en voyant les gens autour de toi, être libre de leur mouvement, libre de parler de ce qu’ils ont envie, libre tout simplement.

Comme tu as toujours voulu l’être Maiko, libre, et ce n’est pas les nouvelles des derniers moments qui vont briser le bleu que tu vois.

Tu n’allais rien lâcher, rien abandonner, quitte à ce que les faveurs qu’ont te donne soit abolie, que l’affection qu’on te porte disparaisse petit à petit, tu n’en a que faire.

Tu pouvais marcher dans ses rues la tête haute, sans chercher le moindre regard qui te blâmait d’être toi, pour l’occasion tu avais décidé de te mettre à la mode des personne sans pouvoirs, elles avaient un catalogue de vêtements assez impressionnant, pas cher et confortable.

Pour une fois tu te sentais vraiment toi Maiko, tu avais l’impression de vivre la vie que tu méritais amplement, tu pourrais peut-être t’organiser des journées à travers les attractions de la ville ou bien du Japon.

Cela te fait repenser au Hanami d’il y’a deux ans, vous deviez allé au parc disney sauf qu’avec les attaques que vous avez subis, tout le reste du voyage a été annulée…

Tu te demande si ce n’est pas à ce moment-là que tu commençais à comprendre que même à Mahoutokoro, tu n’étais pas en sécurité et à ta place, même si tu ne sais toujours pas où est ta place.

Il est vrai que tu as une place parmi les yuutsu mais, ce n’est pas la même chose, c’est comme la sensation de vide que te procure l’absence de magie dans ton corps.

Tu repense aussi à l’année dernière, tu aurais pu mourir et ne rien accomplir, Umeko n’aurait pas vu sa maladie s’aggraver et tu imagine bien une de tes cousines proches de ton âge monté en grade d’héritière à la place de Nowaki, Umeko aurait pu pratique l’esprit plus tranquille qui si elle savait que c’était encore toi en temps qu’héritière Maiko.

Tu soupir et t’arrête à un distributeur, machine incroyable, qui en échange d’une pièce de yen, te donne une boisson, assez étrange sauf que tu t’habitue à ses boissons gazeuse, surtout celle à la cerise, tu trouve cela très bon.

Alors que tu bois ta bouteille, vu que tu trouve que les cannettes sont dangereuse, tu continue ta balade, toujours en réfléchissant sur ses dernières années.

Tu ne sais pas si tu aurais pu être heureuse avec Ritsuka, tu es bien heureuse autant pour lui que pour toi que vos fiançailles soit tombé à l’eau, tu étais bien trop différente de lui. Tu es bien heureuse aussi que Sango t’ait laissé tombé, qu’elle n’assume plus son rôle de mère auprès de toi.

Tu es maintenant libre de voler où tu le souhaite Maiko, tu n’a plus aucune obligation envers cette famille, même aucune obligation de continuer à jouer les parfaites sang-pur même si tu sais que cela va te rattraper tôt ou tard.

Mais, tu ne veux pas y penser, tu commence à avoir mal aux pieds à force de marcher aussi longtemps.

Il est temps de rentrer chez toi Maiko, dans cet appartement, qui te lie à cette vie que tu as toujours cherché, que tu as toujours voulu et qui maintenant tu as acquise, tu souris alors que tu range ta bouteille dans ton sac à main, et trottine presque pour rentré chez toi.