De retour ici ! (Tasha)
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Ton arrivé sur l’île d’Iwo n’est pas passé inaperçus, évidemment, ceux qui était pour Shuusei ou Gyokuji ont appris les faits réels lors de ce dernier jours de janvier, cela t’importe peu maiko.
Tu avais avancé à travers les rues construite à nouveau, n’ayant aucune envie de voir du monde à travers les transports vous menant vers l’école, tu restais fière et digne même si maintenant ton nom de famille n’était qu’une décoration, il ne signifiait plus rien pour toi.
Tu avais vite regagner ta chambre, sans parler à tes camarades de chambre, c’était encore trop tôt pour cela, tu avais bien évidemment envoyé un origami au jeune Tasha, tu ne l’avais pas contacté des vacances, entre ton voyage à l’étranger et la découverte de ton appartement à Tokyo, tu avais été pas mal occupé pendant le mois de février, puis il y’a eu cette éclipse aussi, qui vous priva de magie sur seulement deux jours.
Tu était aussi partis aussi vite que possible prier une divinité, tu avais pris Amaterasu, la déesse du soleil, tu ne sais plus trop pourquoi ton choix s’est posé sur elle… sauf que tu avais l’instinct que tu avais de grande chose à accomplir sur tu portais ta magie sur elle.
L’éventail que tu t’est offert aussi, les symbole de la divinité y était présent comme les kitsunes sont un symbole que tu chéris grandement maiko.
Et puis cette réunion de début d’année qui ne t’enchante guère à chaque fois, te met sur un piédestal… Tu es devenue préfète en chef, avec les félicitations de certains professeurs, tu aurais aimé disparaître, tu as regagné ta place en silence mais, tu pouvais entendre les voix de tes camarades, tu te concentre à nouveau pour effacer tout cela de ta mémoire.
Tu avais hâte de cette fin de journée, d’aller à la clairières, avec les quelques friandises que tu avais amener avec toi, tu allais les partager avec le jeune Tasha.
Tes cours se terminant assez tôt, tu as profita pour aller chercher ce petit panier remplis de bonnes choses et te rendre en suivant à la clairière, endroit que tu as toujours adoré, qui a vu beaucoup de tes larmes plus que ton rire, tu soupir et t’assoit sur un des bancs qui trônent au milieu de celle-ci.
Le ciel bleu que tu observe te fait doucement sourire Maiko, la brise qui vient caresser ton visage te fait un bien fou, peut-être que tu t’habituera à ses voix basses et ce poste que tu ne mérite pas.
Tu avais avancé à travers les rues construite à nouveau, n’ayant aucune envie de voir du monde à travers les transports vous menant vers l’école, tu restais fière et digne même si maintenant ton nom de famille n’était qu’une décoration, il ne signifiait plus rien pour toi.
Tu avais vite regagner ta chambre, sans parler à tes camarades de chambre, c’était encore trop tôt pour cela, tu avais bien évidemment envoyé un origami au jeune Tasha, tu ne l’avais pas contacté des vacances, entre ton voyage à l’étranger et la découverte de ton appartement à Tokyo, tu avais été pas mal occupé pendant le mois de février, puis il y’a eu cette éclipse aussi, qui vous priva de magie sur seulement deux jours.
Tu était aussi partis aussi vite que possible prier une divinité, tu avais pris Amaterasu, la déesse du soleil, tu ne sais plus trop pourquoi ton choix s’est posé sur elle… sauf que tu avais l’instinct que tu avais de grande chose à accomplir sur tu portais ta magie sur elle.
L’éventail que tu t’est offert aussi, les symbole de la divinité y était présent comme les kitsunes sont un symbole que tu chéris grandement maiko.
Et puis cette réunion de début d’année qui ne t’enchante guère à chaque fois, te met sur un piédestal… Tu es devenue préfète en chef, avec les félicitations de certains professeurs, tu aurais aimé disparaître, tu as regagné ta place en silence mais, tu pouvais entendre les voix de tes camarades, tu te concentre à nouveau pour effacer tout cela de ta mémoire.
Tu avais hâte de cette fin de journée, d’aller à la clairières, avec les quelques friandises que tu avais amener avec toi, tu allais les partager avec le jeune Tasha.
Tes cours se terminant assez tôt, tu as profita pour aller chercher ce petit panier remplis de bonnes choses et te rendre en suivant à la clairière, endroit que tu as toujours adoré, qui a vu beaucoup de tes larmes plus que ton rire, tu soupir et t’assoit sur un des bancs qui trônent au milieu de celle-ci.
Le ciel bleu que tu observe te fait doucement sourire Maiko, la brise qui vient caresser ton visage te fait un bien fou, peut-être que tu t’habituera à ses voix basses et ce poste que tu ne mérite pas.
Tasha Tanegashima
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 16 - 23.12.81
Rang : B5
Ryujin
Tasha Tanegashima
02.03.98
La vie n’avait pas été facile depuis la fin d’année pour notre artiste qui n’avait que très peu su remonter la pente de cette descente qui fallait lui couter la vie.
Il y avait eu tant de tensions dans sa famille et pour une fois, il dut rester quelques temps avec ses parents pour régler les problèmes que la mort de son oncle avait engendré au sain du clan Tanegashima.
Tasha devrait s’estimer heureux, lui qui avait si peu l’occasion de les revoir et passer du temps en leur compagnie ! Et pourtant.
L’artiste ne se sentait plus à sa place…
L’action de Gonosuke lui avait fait comme ouvrir les yeux : ce n’était qu’une marionnette, un objet à jeter si l’occasion se présentait... Et Tasha s’était persuadé que ses parents pensaient la même chose de son intérêt… Lui qui n’était pas comme eux ni un ainé pour reprendre les rênes.
Bien sûr, le brun avait omis de préciser ce sort interdit qu’il avait failli oser contre ce membre de sa famille pour lui ôter la vie et se suicider par la suite. (Il ne sait honnêtement pas comment cela se fait-il que ses pieds touchent toujours terre…)
Même le choix de sa divinité semblait contre son avenir, ses envies… Tasha voulant prendre ce côté calligraphie, mais le feu étant sa phobie… Il n’avait eu courage de l’affronter durant ses vacances. ( Peut-être que plus tard, cette peur deviendra malsaine et l’englobera…) et son choix c’était tourné sur Ryujin pour soigner plus facilement ses blessures causées pour son art.
Le pauvre artiste se rappelle encore ce miroir brisé sur le sol lors de cette perte soudaine de magie : son reflet était venu lui rappeler sa famille. Voulait-il encore en être ? Devait-il toujours prouver ses capacités ?
Tasha n’en savait absolument rien…
Alors c’est pour ça qu’aujourd’hui, il avait répondu à ton appel et ses pas se dirigeaient déjà en direction de la clairière.
Ne perdant pas cette habitude fière, mais plus discret, ses expressions devenaient bien plus fatigues après les cours. (C’est dur de porter le nom d’un professeur détester d’une divinité…)
Ce ne fut que quand il te fit assise sur ce banc, qu’il s’obligea enfin à prendre la parole car sinon, il serait resté muet encore bien des heures.
« Bonjour, Maiko. » A-t-il dit simplement pour commencer.
« Tu… Voulais me voir ? » Une question de cet air épuisé.
Combien de temps cette dépression allait-elle durer ? Jusqu’à que tu te relèves ou que ton attrait pour la mort vienne t’emporter… ?
Il y avait eu tant de tensions dans sa famille et pour une fois, il dut rester quelques temps avec ses parents pour régler les problèmes que la mort de son oncle avait engendré au sain du clan Tanegashima.
Tasha devrait s’estimer heureux, lui qui avait si peu l’occasion de les revoir et passer du temps en leur compagnie ! Et pourtant.
L’artiste ne se sentait plus à sa place…
L’action de Gonosuke lui avait fait comme ouvrir les yeux : ce n’était qu’une marionnette, un objet à jeter si l’occasion se présentait... Et Tasha s’était persuadé que ses parents pensaient la même chose de son intérêt… Lui qui n’était pas comme eux ni un ainé pour reprendre les rênes.
Bien sûr, le brun avait omis de préciser ce sort interdit qu’il avait failli oser contre ce membre de sa famille pour lui ôter la vie et se suicider par la suite. (Il ne sait honnêtement pas comment cela se fait-il que ses pieds touchent toujours terre…)
Même le choix de sa divinité semblait contre son avenir, ses envies… Tasha voulant prendre ce côté calligraphie, mais le feu étant sa phobie… Il n’avait eu courage de l’affronter durant ses vacances. ( Peut-être que plus tard, cette peur deviendra malsaine et l’englobera…) et son choix c’était tourné sur Ryujin pour soigner plus facilement ses blessures causées pour son art.
Le pauvre artiste se rappelle encore ce miroir brisé sur le sol lors de cette perte soudaine de magie : son reflet était venu lui rappeler sa famille. Voulait-il encore en être ? Devait-il toujours prouver ses capacités ?
Tasha n’en savait absolument rien…
Alors c’est pour ça qu’aujourd’hui, il avait répondu à ton appel et ses pas se dirigeaient déjà en direction de la clairière.
Ne perdant pas cette habitude fière, mais plus discret, ses expressions devenaient bien plus fatigues après les cours. (C’est dur de porter le nom d’un professeur détester d’une divinité…)
Ce ne fut que quand il te fit assise sur ce banc, qu’il s’obligea enfin à prendre la parole car sinon, il serait resté muet encore bien des heures.
« Bonjour, Maiko. » A-t-il dit simplement pour commencer.
« Tu… Voulais me voir ? » Une question de cet air épuisé.
Combien de temps cette dépression allait-elle durer ? Jusqu’à que tu te relèves ou que ton attrait pour la mort vienne t’emporter… ?
feat Maiko
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
La voix du plus jeune te frappa de plein fouet Maiko, elle était si mélancolique, si pleine de tristesse...
Et tu l'avais laissé à son sort aussi, tu t'en voulais sauf que tu ne pouvais pas le prendre avec toi pendant ses vacances... Entre le passage d'héritière et le fait que tu sois partis que quelque jours dans la famille du père de Mariko puis ton appartement sur Tokyo, ainsi que le choix de ta divinité...
Tu as été pas mal occupé, surtout que tu as du partir vers le temple de Amaterasu, tu avais choisi la divinité du soleil, son élément le feu, parce que c'était le seul qui correspondait à tes envies et ton moyen de faire à nouveau de la magie.
Tu avais choisis un catalyseur dans la voie d'Amaterasu aussi, comme si maintenant elle allait guidé chaque un de tes pas.
En revenant à la clairière, le jeune Tasha non loin de toi, tu peinais à avoir un sourire sur ton visage, tu ne pouvais pas lui demander comment on était ses vacances vu que tu sais qu'elles ont du être horrible.
- Bonjour à toi Tasha.
Tu pose délicatement une main dans les cheveux du jeune garçon, un petit sourire.
- Je voulais m'excuser d'abord de t'avoir laissé tout seul, d'être partis sans toi mais, je ne pouvais t'amener avec moi...
Est-ce que les tanegashima aurait accepté de laisser leur fils à une étrangère déjà ?
Pas que les Kondo soit porté par beaucoup de monde même si maintenant avec mes exploits, le contraire est plutôt à parier.
- Je veux simplement profiter de cette fin de journée avec toi, j'ai amener quelques bonbon si tu veux.
Tu voulais lui remonter le moral en quelque sort et peut-être le conseiller sur quoi faire maintenant qu'il sait la vérité sur ce qu'il est pour sa propre famille, cette vérité que tu as déjà affronté Maiko.
Et tu l'avais laissé à son sort aussi, tu t'en voulais sauf que tu ne pouvais pas le prendre avec toi pendant ses vacances... Entre le passage d'héritière et le fait que tu sois partis que quelque jours dans la famille du père de Mariko puis ton appartement sur Tokyo, ainsi que le choix de ta divinité...
Tu as été pas mal occupé, surtout que tu as du partir vers le temple de Amaterasu, tu avais choisi la divinité du soleil, son élément le feu, parce que c'était le seul qui correspondait à tes envies et ton moyen de faire à nouveau de la magie.
Tu avais choisis un catalyseur dans la voie d'Amaterasu aussi, comme si maintenant elle allait guidé chaque un de tes pas.
En revenant à la clairière, le jeune Tasha non loin de toi, tu peinais à avoir un sourire sur ton visage, tu ne pouvais pas lui demander comment on était ses vacances vu que tu sais qu'elles ont du être horrible.
- Bonjour à toi Tasha.
Tu pose délicatement une main dans les cheveux du jeune garçon, un petit sourire.
- Je voulais m'excuser d'abord de t'avoir laissé tout seul, d'être partis sans toi mais, je ne pouvais t'amener avec moi...
Est-ce que les tanegashima aurait accepté de laisser leur fils à une étrangère déjà ?
Pas que les Kondo soit porté par beaucoup de monde même si maintenant avec mes exploits, le contraire est plutôt à parier.
- Je veux simplement profiter de cette fin de journée avec toi, j'ai amener quelques bonbon si tu veux.
Tu voulais lui remonter le moral en quelque sort et peut-être le conseiller sur quoi faire maintenant qu'il sait la vérité sur ce qu'il est pour sa propre famille, cette vérité que tu as déjà affronté Maiko.
Tasha Tanegashima
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 16 - 23.12.81
Rang : B5
Ryujin
Tasha Tanegashima
02.03.98
Cette lueur de vie n’était pas réapparue depuis bien longtemps dans tes yeux, Tasha. Elle avait disparu en même temps que la vie de cet enfoiré qui était membre de sa famille.
Ce moment, ces images tournaient encore dans sa tête et cela sera le cas jusqu’à qu’il ait le courage de les poser sur toile comme la mort de se meilleur ami il y a de çà une année.
Aujourd’hui, c’était aux côtés de la personne qui lui avait quelque part sauver la vie qu’il se trouvait à fixer le sol, n’osant poser ses prunelles d¬ans celles de quelqu’un d’autre. ( Cette mauvaise sensation d’être dénigré à cause de ton nom de famille…)
Une main posée dans ses cheveux couleurs chocolat le fit légèrement relever la tête comme pour éviter que ce béret se retrouve sur le sol. Désolé Maiko, il n’est pas encore prêt à te dévoiler sa véritable apparence. (Peut-il encore le faire avec quelqu’un… ?)
Ce fut par des excuses que tu commenças le faisant tourner un peu la tête sur le côté. Pourquoi ne pouvais-tu pas ? Tu devais t’en douter de la destruction qu’il allait subir une fois un pied mis chez lui. Alors qu’il n’était qu’un jeune garçon. Comment pouvait-il tenir tête à des personnes bien plus âgée que lui ?
« Je ne voulais pas rester sur le champs de bataille… » Réussit-il à peine à prononcer.
Tasha n’avait jamais été du genre à se confier et son état se dégradait au fil des semaines qui se suivaient.
Allait-il réussir à en sortir sa tête… ?
Toujours là, debout à tes côtés à t’écouter parler il ne s’était pas assis, Tasha ne savait plus ce qui lui était permis ou pas… Même si tu lui proposais si gentiment des bonbons.
« Passer du temps avec moi ne te fera que te donner mauvaise image. Je porte le même nom qu’un directeur hait par cette île. On me le rappelle maintenant constamment. » Souffla l’adolescent entre ses lèvres devenues si sèches sous la pression.
« Pourtant, ma famille passait toujours avant tout pour moi et je… Je ne sais plus quoi en penser, ce que je suis réellement. »
Toi qui lui proposais simplement des bonbons, cette simple hésitation éveillait tant de doute chez ce peintre qui ne savait même pas s’il pouvait encore exercer cette profession… ? Devra-t-il trouvé pseudo… ?
Ce moment, ces images tournaient encore dans sa tête et cela sera le cas jusqu’à qu’il ait le courage de les poser sur toile comme la mort de se meilleur ami il y a de çà une année.
Aujourd’hui, c’était aux côtés de la personne qui lui avait quelque part sauver la vie qu’il se trouvait à fixer le sol, n’osant poser ses prunelles d¬ans celles de quelqu’un d’autre. ( Cette mauvaise sensation d’être dénigré à cause de ton nom de famille…)
Une main posée dans ses cheveux couleurs chocolat le fit légèrement relever la tête comme pour éviter que ce béret se retrouve sur le sol. Désolé Maiko, il n’est pas encore prêt à te dévoiler sa véritable apparence. (Peut-il encore le faire avec quelqu’un… ?)
Ce fut par des excuses que tu commenças le faisant tourner un peu la tête sur le côté. Pourquoi ne pouvais-tu pas ? Tu devais t’en douter de la destruction qu’il allait subir une fois un pied mis chez lui. Alors qu’il n’était qu’un jeune garçon. Comment pouvait-il tenir tête à des personnes bien plus âgée que lui ?
« Je ne voulais pas rester sur le champs de bataille… » Réussit-il à peine à prononcer.
Tasha n’avait jamais été du genre à se confier et son état se dégradait au fil des semaines qui se suivaient.
Allait-il réussir à en sortir sa tête… ?
Toujours là, debout à tes côtés à t’écouter parler il ne s’était pas assis, Tasha ne savait plus ce qui lui était permis ou pas… Même si tu lui proposais si gentiment des bonbons.
« Passer du temps avec moi ne te fera que te donner mauvaise image. Je porte le même nom qu’un directeur hait par cette île. On me le rappelle maintenant constamment. » Souffla l’adolescent entre ses lèvres devenues si sèches sous la pression.
« Pourtant, ma famille passait toujours avant tout pour moi et je… Je ne sais plus quoi en penser, ce que je suis réellement. »
Toi qui lui proposais simplement des bonbons, cette simple hésitation éveillait tant de doute chez ce peintre qui ne savait même pas s’il pouvait encore exercer cette profession… ? Devra-t-il trouvé pseudo… ?
feat Maiko
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Évidemment Maiko, les paroles du plus jeune te frappent en plein cœur, évidemment tu culpabilise de l'avoir laissé seul mais...
Tu n'avais pas le choix, tu l'aurais amener avec toi si tu avais pris la décision de rester héritière des Kondo, si tu n'avais pas placé Nowaki sur son trône qui t'a toujours donné envie de vomir, tu aurais pu aller le chercher une fois les clés de ton appartement à Tokyo en main mais, il a fallut que le monde magique soit encore bousculé par des adultes égoïstes, des divinités qui ne se soucient guère de leur peuple... après ce ne sont que des rumeurs que tu as entendus à Kyoto, des gens ayant soi disant assister à un discours de Seimei...
Tu ne sais pas si tu doit les croire ou non Maiko, tu étais perdue, sans magie, déboussolée mais, tu es vite allé prier cette femme, cette dignité où les symbole de ta maison et de cet oiseau légendaire que tu admire orne beaucoup des estampes qui parlent d'elle de façon poétique.
Puis ses mots, tu avais l'impression de te retrouver même si tu ne pouvais connaître la douleur d'avoir un nom de famille détester de tous, tu haïssais le tien de tout ton cœur mais, ce n'est clairement pas le moment de s’apitoyer sur ton sort Maiko.
D'un geste tendre, bien plus que lors de ce jour, tu prends le plus jeune dans tes bras.
- JE T'INTERDIS DE DIRE CELA !
Les rumeurs sur ton dos était nombreuses aussi maiko, elles te faisaient mal sauf que tu arrivais tant bien que mal à les ignorer, c'est plus cette responsabilité qu'on t'a donné qui te fait mal... et leurs regards aussi...
- Pour moi tu es Tasha avant d'être un Tanegashima, tu es un petit garçon qui a besoin d'aide pour se construire à cause d'une famille qui l'a toujours détruire...
Et tu recule maiko, prends les mains du garçonnet devant toi avec un sourire triste, ah que cela te rappelait toi il n'y a pas si longtemps, cet air triste, ses yeux perdu dans le vide, ce sourire fané qui on pense ne fleurira jamais...
- Je sais exactement ce que tu traverse Tasha, avant tout cela, j'étais comme toi, avant de laisser ce titre d'héritière sang-pur, que je passe chez les yuutsu, que j'ouvre enfin les yeux pour voir ce ciel bleu au lieu d'un ciel monochrome !
Ta voix, maiko, s'arrête, tu reprends ton souffle après avoir parlé aussi vite, toutes ses choses que tu as toujours refoulé au fond de toi, ses larmes cachait... qui coulent... tu les sens coulaient le long de tes pommettes, tu reprends le jeune garçon dans tes bras.
- Il ne me reste que quelque mois, mais je te promet de te sauver de cette famille qui t'empêche de t'épanouir comme il faut, je te le promet Tasha.
Et tu sanglote maiko, en le serrant dans tes bras, cette âme que tu as entre tes mains, tu dois la sauver, lui proposer un bien-être nouveau, une renaissance tel un phœnix comme tu l'a fait avec ta discussion avec Rajan dans cette ruelle perdue d'Iwomachi.
- De toute façon maintenant je te laisserais plus, tu viendra avec moi à Tokyo pendant les vacances, et si les Tanegashima vienne te récupérer, j'userais de l'autorité de certaines personnes pour les en empêcher.
Quitte à envoyer un origami à Rajan ou bien n'importe quel personne sang-pur qui ont les grâces de Seimei, tu es capable du pire Maiko quand il s'agit de protéger les personnes auquel tu tiens.
Tu n'avais pas le choix, tu l'aurais amener avec toi si tu avais pris la décision de rester héritière des Kondo, si tu n'avais pas placé Nowaki sur son trône qui t'a toujours donné envie de vomir, tu aurais pu aller le chercher une fois les clés de ton appartement à Tokyo en main mais, il a fallut que le monde magique soit encore bousculé par des adultes égoïstes, des divinités qui ne se soucient guère de leur peuple... après ce ne sont que des rumeurs que tu as entendus à Kyoto, des gens ayant soi disant assister à un discours de Seimei...
Tu ne sais pas si tu doit les croire ou non Maiko, tu étais perdue, sans magie, déboussolée mais, tu es vite allé prier cette femme, cette dignité où les symbole de ta maison et de cet oiseau légendaire que tu admire orne beaucoup des estampes qui parlent d'elle de façon poétique.
Puis ses mots, tu avais l'impression de te retrouver même si tu ne pouvais connaître la douleur d'avoir un nom de famille détester de tous, tu haïssais le tien de tout ton cœur mais, ce n'est clairement pas le moment de s’apitoyer sur ton sort Maiko.
D'un geste tendre, bien plus que lors de ce jour, tu prends le plus jeune dans tes bras.
- JE T'INTERDIS DE DIRE CELA !
Les rumeurs sur ton dos était nombreuses aussi maiko, elles te faisaient mal sauf que tu arrivais tant bien que mal à les ignorer, c'est plus cette responsabilité qu'on t'a donné qui te fait mal... et leurs regards aussi...
- Pour moi tu es Tasha avant d'être un Tanegashima, tu es un petit garçon qui a besoin d'aide pour se construire à cause d'une famille qui l'a toujours détruire...
Et tu recule maiko, prends les mains du garçonnet devant toi avec un sourire triste, ah que cela te rappelait toi il n'y a pas si longtemps, cet air triste, ses yeux perdu dans le vide, ce sourire fané qui on pense ne fleurira jamais...
- Je sais exactement ce que tu traverse Tasha, avant tout cela, j'étais comme toi, avant de laisser ce titre d'héritière sang-pur, que je passe chez les yuutsu, que j'ouvre enfin les yeux pour voir ce ciel bleu au lieu d'un ciel monochrome !
Ta voix, maiko, s'arrête, tu reprends ton souffle après avoir parlé aussi vite, toutes ses choses que tu as toujours refoulé au fond de toi, ses larmes cachait... qui coulent... tu les sens coulaient le long de tes pommettes, tu reprends le jeune garçon dans tes bras.
- Il ne me reste que quelque mois, mais je te promet de te sauver de cette famille qui t'empêche de t'épanouir comme il faut, je te le promet Tasha.
Et tu sanglote maiko, en le serrant dans tes bras, cette âme que tu as entre tes mains, tu dois la sauver, lui proposer un bien-être nouveau, une renaissance tel un phœnix comme tu l'a fait avec ta discussion avec Rajan dans cette ruelle perdue d'Iwomachi.
- De toute façon maintenant je te laisserais plus, tu viendra avec moi à Tokyo pendant les vacances, et si les Tanegashima vienne te récupérer, j'userais de l'autorité de certaines personnes pour les en empêcher.
Quitte à envoyer un origami à Rajan ou bien n'importe quel personne sang-pur qui ont les grâces de Seimei, tu es capable du pire Maiko quand il s'agit de protéger les personnes auquel tu tiens.
Tasha Tanegashima
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 16 - 23.12.81
Rang : B5
Ryujin
Tasha Tanegashima
02.03.98
Il n’y avait plus vraiment d’ordre dans la tête de ce jeune artiste qui mélangeait les couleurs des émotions.. Des couleurs devenues si ternes, bercées de froideur comme si les rayons du soleil n’arrivaient plus à l’atteindre.
Tasha avait hésité à changer entièrement d’apparence, qu’on ne le reconnaisse plus… Malheureusement, l’établissement l’y empêchait complètement car son nom sera toujours rattaché à la personne qu’il est intérieurement.
N’est-ce pas triste pour un artiste d’avoir perdu sa créativité ? Pourtant, certains sont bien plus productif en état de dépression. N’avait-il pas encore touché entièrement le fond ? Il y avait tant de sentiments humains qu’il aimerait décortiquer…
Alors que son esprit était entièrement en train de divaguer, ce fut dans un sursaut que tu le pris dans tes bras, il ne s’y attendait pas… Encore moins à t’entendre ainsi crier, le remettre à sa place. (Ca lui rappelait la morale que sa mère lui avait fait..)
Et la suite de tes mots le fit serrer des poings. Quoi qu’il arrive, c’était le nom de famille qu’on allait le plus retenir, malgré tes jolies paroles. Enfin… Son cœur rata un battement à l’entente de tes derniers mots.
Une famille qui l’avait toujours détruit… ?
N’est-ce pas pour son bien que ses parents l’eussent envoyé chez sa tante pour assoupir sa soif artistique ?
Était-ce réellement un mensonge car jamais il ne reprendra le commerce familial ? ( Daichi n’en avait aussi pas envie.)
Il est encore jeune notre petit Tasha, ses pensées sont facilement manipulables, jouer avec ses peurs ne pouvaient que les faire s’accroitre…
Mais au moins toi, tu ne l’avais pas pris en otage à contrario de cet homme dont tu partageais que le nom et un lointain sang.
Toujours immobile, sans dire mot, ses mains finirent dans les tiennes, Maiko avant que ses yeux ne se lèvent jusqu’au ciel.
« Je le vois toujours bleu… » Seuls petits mots sortant pour le moment, comme si cette métaphore ne consonnait pas avec ton esprit de peintre.
Et alors que ses iris azurs se baissèrent à nouveau sur toi, ce fut surpris qu’il te voie en train de pleurer.
Quel était ce sentiment ? Il ne comprenait pas, quelle étude devait-il faire ? Son esprit ne fonctionnait pas comme les autres.
Pourquoi pleures-tu alors que tu essaies de le réconforter ?
Pourtant, son corps se remet à trembler quand tes bras l’entourent à nouveau. ( On lui avait interdit de pleurer en public, c’est une preuve de faiblesse… Alors qu’elle est réellement ce sentiment ?)
« Il ne te reste que quelques mois… ? » Demanda-t-il dans un frisson de voix.
Cela sonnait comme si tu allais disparaitre…
« Je… Je ne sais pas si mes parents le remarqueront, mais ma tante… Oui. Elle ne laissera pas une étrangère à la famille m’éloigner d’eux. Ils risquent de d’apporter des problèmes, ils savent avoir ce qu’ils veulent… » Souffla-t-il une nouvelle fois alors que son expression restait toujours aussi perdue.
N’osant te serrer contre lui (en avait-il ne serait-ce que le droit ? Toi qui étais maintenant préfète en cheffe… ?)
Une de ses mains vint tout de même agripper ton dos dans un geste maladroit de tenter de comprendre les émotions qui le traversait en ce moment même.
Peur ? Joie ? Tendresse ? Tristesse ? Déni ?
Il avait encore tant à découvrir, à coucher sur ses toiles.
Son sang ne faisait que commencer à couler et nous allons espérer que cela ne sera pas jusqu’à se vider…
Tasha avait hésité à changer entièrement d’apparence, qu’on ne le reconnaisse plus… Malheureusement, l’établissement l’y empêchait complètement car son nom sera toujours rattaché à la personne qu’il est intérieurement.
N’est-ce pas triste pour un artiste d’avoir perdu sa créativité ? Pourtant, certains sont bien plus productif en état de dépression. N’avait-il pas encore touché entièrement le fond ? Il y avait tant de sentiments humains qu’il aimerait décortiquer…
Alors que son esprit était entièrement en train de divaguer, ce fut dans un sursaut que tu le pris dans tes bras, il ne s’y attendait pas… Encore moins à t’entendre ainsi crier, le remettre à sa place. (Ca lui rappelait la morale que sa mère lui avait fait..)
Et la suite de tes mots le fit serrer des poings. Quoi qu’il arrive, c’était le nom de famille qu’on allait le plus retenir, malgré tes jolies paroles. Enfin… Son cœur rata un battement à l’entente de tes derniers mots.
Une famille qui l’avait toujours détruit… ?
N’est-ce pas pour son bien que ses parents l’eussent envoyé chez sa tante pour assoupir sa soif artistique ?
Était-ce réellement un mensonge car jamais il ne reprendra le commerce familial ? ( Daichi n’en avait aussi pas envie.)
Il est encore jeune notre petit Tasha, ses pensées sont facilement manipulables, jouer avec ses peurs ne pouvaient que les faire s’accroitre…
Mais au moins toi, tu ne l’avais pas pris en otage à contrario de cet homme dont tu partageais que le nom et un lointain sang.
Toujours immobile, sans dire mot, ses mains finirent dans les tiennes, Maiko avant que ses yeux ne se lèvent jusqu’au ciel.
« Je le vois toujours bleu… » Seuls petits mots sortant pour le moment, comme si cette métaphore ne consonnait pas avec ton esprit de peintre.
Et alors que ses iris azurs se baissèrent à nouveau sur toi, ce fut surpris qu’il te voie en train de pleurer.
Quel était ce sentiment ? Il ne comprenait pas, quelle étude devait-il faire ? Son esprit ne fonctionnait pas comme les autres.
Pourquoi pleures-tu alors que tu essaies de le réconforter ?
Pourtant, son corps se remet à trembler quand tes bras l’entourent à nouveau. ( On lui avait interdit de pleurer en public, c’est une preuve de faiblesse… Alors qu’elle est réellement ce sentiment ?)
« Il ne te reste que quelques mois… ? » Demanda-t-il dans un frisson de voix.
Cela sonnait comme si tu allais disparaitre…
« Je… Je ne sais pas si mes parents le remarqueront, mais ma tante… Oui. Elle ne laissera pas une étrangère à la famille m’éloigner d’eux. Ils risquent de d’apporter des problèmes, ils savent avoir ce qu’ils veulent… » Souffla-t-il une nouvelle fois alors que son expression restait toujours aussi perdue.
N’osant te serrer contre lui (en avait-il ne serait-ce que le droit ? Toi qui étais maintenant préfète en cheffe… ?)
Une de ses mains vint tout de même agripper ton dos dans un geste maladroit de tenter de comprendre les émotions qui le traversait en ce moment même.
Peur ? Joie ? Tendresse ? Tristesse ? Déni ?
Il avait encore tant à découvrir, à coucher sur ses toiles.
Son sang ne faisait que commencer à couler et nous allons espérer que cela ne sera pas jusqu’à se vider…
feat Maiko
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
La question te fit mal au cœur maiko sauf que tu étais résolue à faire de ses quelques mois qu'il te restent, des mois exceptionnelles, tu allais marquer encore les esprits que ce soit en mal ou en bien.
- Même après avoir quitté Mahoutokoro, je ne serais jamais bien loin de toi, les Tanegashima ne savent pas comment est la personne qu’ils vont devoir menacer.
Si tu étais capable de tuer, tu pouvais faire des choses bien moins pire, et qu'importe si tu n'as pas le soutien des Kondo derrière toi, tu sais que d'autre personne t'apporteront le soutien nécessaire Maiko.
- Que ta tante ose pénétrer mon appartement, elle ne sait pas ce qu'il attend, elle ne repartira pas avec toi soit en sur !
Tu avais trop de conviction qui te montait dans le cœur Maiko maintenant que tu étais libre de faire ce que tu souhaite, libre de ce poids sur tes épaules. Tes prunelles noisettes respirait cette liberté à plein poumons et tu voulais que celle de Tasha puisse respirer cette liberté aussi, que le plus jeune ne soit pas freiner par qui que ce soit juste parce que la personne l’a décidé.
- Fais moi confiance Tasha, je ne t'abandonnerais plus jamais !
C'était le plus gros à faire pour le moment, que le plus jeune te fasse confiance Maiko, tu savais que cela allait être dur après tout les évènements qu'il a vécu sauf que tu sais qu'il peut se relever comme toi tu t'es relever de tes drames familiaux.
- Même après avoir quitté Mahoutokoro, je ne serais jamais bien loin de toi, les Tanegashima ne savent pas comment est la personne qu’ils vont devoir menacer.
Si tu étais capable de tuer, tu pouvais faire des choses bien moins pire, et qu'importe si tu n'as pas le soutien des Kondo derrière toi, tu sais que d'autre personne t'apporteront le soutien nécessaire Maiko.
- Que ta tante ose pénétrer mon appartement, elle ne sait pas ce qu'il attend, elle ne repartira pas avec toi soit en sur !
Tu avais trop de conviction qui te montait dans le cœur Maiko maintenant que tu étais libre de faire ce que tu souhaite, libre de ce poids sur tes épaules. Tes prunelles noisettes respirait cette liberté à plein poumons et tu voulais que celle de Tasha puisse respirer cette liberté aussi, que le plus jeune ne soit pas freiner par qui que ce soit juste parce que la personne l’a décidé.
- Fais moi confiance Tasha, je ne t'abandonnerais plus jamais !
C'était le plus gros à faire pour le moment, que le plus jeune te fasse confiance Maiko, tu savais que cela allait être dur après tout les évènements qu'il a vécu sauf que tu sais qu'il peut se relever comme toi tu t'es relever de tes drames familiaux.
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