Les monstres ont aussi le droit de pleurer (Lyam)
Sayuri Seizan
Citation : Tel la corde d'un violon pincée, je peux être douce ou forte.
Age : 16 ans
Rang : D4
Ryujin
Sayuri Seizan
Tu avais fuit la salle de musique trop rapidement, tu descendais les escaliers bien trop rapidement aussi, presque à tomber, mais cela t'importais peu tu te relèverais bien vite pour partir dehors, vers cet endroit, tu es sur de le trouver lui.
Tes yeux te piquent atrocement sauf qu'il y'a encore trop de monde autour de toi, trop de monde devant lequel tu ne peux pas briser cette carapace qui te protège de leur égoïsme qui te donne envie de vomir Sayuri.
Une fois éloigné de cette foule d'élève et d'adulte, tu te retrouve dans cette endroit où seul le vent mélodieux te rassure, tu laisse couler ses larmes qui te brûlent les yeux.
Tu te retrouvent pas loin de là où se passent les cours de soins aux créatures magiques, tu es sur de le trouver là.
Même si vos débuts n'ont pas été des plus faciles, entre la barrière de la langue et la colère que tu as toujours contre père, tu avais fini par les accepter tout les deux, seulement eux, rien qu'eux, même si tu voulais partir du Japon après tes études, tu ne veux pas perdre contact avec eux, ils sont en quelque sortes ta bouée dans ce monde hostile que tu affronte.
- Lyam ?
Sa silhouette se dessine à travers tes yeux remplis de larmes sayuri, tu dépose doucement ton étui pour te précipiter vers lui, le prendre dans tes bras, tu sais que tu peux te laisser aller autant avec lui que avec clyde, ils ne chercheront pas trop à savoir pourquoi tu leur demande de l'affection, tu n'arrive même plus à parler, tu suffoques encore un peu Sayuri, tu n'es qu'un monstre après tout, tout simplement à blesser ceux qui essaie d'être sympathique avec toi, comme Kei... comme eux aussi... Tu n'es qu'un monstre Sayuri...
Et pourtant tu pleure alors que dans les livres que te lisais ta mère, les monstres ne pleurent pas, ils font peur donc tu es un monstre raté... tu t'éloigne de ton cousin, tu grimace, la tête baissé, tu ne sais pas quoi dire, quoi faire, après tout, tu demande rarement leur affection ou leur consolation, tu es vraiment un monstre raté Sayuri.
Tes yeux te piquent atrocement sauf qu'il y'a encore trop de monde autour de toi, trop de monde devant lequel tu ne peux pas briser cette carapace qui te protège de leur égoïsme qui te donne envie de vomir Sayuri.
Une fois éloigné de cette foule d'élève et d'adulte, tu te retrouve dans cette endroit où seul le vent mélodieux te rassure, tu laisse couler ses larmes qui te brûlent les yeux.
Tu te retrouvent pas loin de là où se passent les cours de soins aux créatures magiques, tu es sur de le trouver là.
Même si vos débuts n'ont pas été des plus faciles, entre la barrière de la langue et la colère que tu as toujours contre père, tu avais fini par les accepter tout les deux, seulement eux, rien qu'eux, même si tu voulais partir du Japon après tes études, tu ne veux pas perdre contact avec eux, ils sont en quelque sortes ta bouée dans ce monde hostile que tu affronte.
- Lyam ?
Sa silhouette se dessine à travers tes yeux remplis de larmes sayuri, tu dépose doucement ton étui pour te précipiter vers lui, le prendre dans tes bras, tu sais que tu peux te laisser aller autant avec lui que avec clyde, ils ne chercheront pas trop à savoir pourquoi tu leur demande de l'affection, tu n'arrive même plus à parler, tu suffoques encore un peu Sayuri, tu n'es qu'un monstre après tout, tout simplement à blesser ceux qui essaie d'être sympathique avec toi, comme Kei... comme eux aussi... Tu n'es qu'un monstre Sayuri...
Et pourtant tu pleure alors que dans les livres que te lisais ta mère, les monstres ne pleurent pas, ils font peur donc tu es un monstre raté... tu t'éloigne de ton cousin, tu grimace, la tête baissé, tu ne sais pas quoi dire, quoi faire, après tout, tu demande rarement leur affection ou leur consolation, tu es vraiment un monstre raté Sayuri.
Lyam Seizan
Citation : ~
Age : 24 ans
Rang : A2
Ryujin
Lyam Seizan
Dans la clairière, occupé à vaquer à mes occupations, comme d'ordinaire, c'est une petite voix qui me fit me retourner. Là, j'aperçus Sayuri et c'était flagrant que quelque chose n'allait pas. Je la récupérais contre moi alors qu'elle venait d'elle-même dans mes bras qui se refermèrent doucement autour d'elle. Je ne comprenais pas ce qui l'avait mise dans un tel état, mais je dis rien, lui apportant simplement un câlin réconfortant. Je ne lui demandais pas tout de suite ce qui n'allait pas, car je sentais à ses petites secousses d'épaules qu'elle ne pourrait me répondre. Quand je sentis qu'elle s'écartait, je la laissais faire et penchais légèrement la tête sur le côté pour essayer de voir son expression. Elle ne semblait guère aller mieux, puisque les larmes avait l'air de couler, toujours. Je poussais un soupir. Ce n'était pas contre elle. Je ne savais juste pas comment la réconforter.
-Sayuri ? Viens t'asseoir avec moi. On sera mieux que debout planté comme des arbres.
Je m'étais avancé vers elle et, une main dans son dos, je la poussais doucement vers l'endroit où nous pourrions nous asseoir.
-Et tu peux pleurer sur mon épaule, il n'y aucun problème et aucune gêne à avoir.
Nous n'étions que nous deux. Et ce n'était pas moi qui allait raconter ses histoires aux repas de familles ou à la table des professeurs.
-Tu voudras me dire ce qui te met dans cet état ?
Ce n'était pas une obligation, mais parfois, parler faisait du bien.
-Sayuri ? Viens t'asseoir avec moi. On sera mieux que debout planté comme des arbres.
Je m'étais avancé vers elle et, une main dans son dos, je la poussais doucement vers l'endroit où nous pourrions nous asseoir.
-Et tu peux pleurer sur mon épaule, il n'y aucun problème et aucune gêne à avoir.
Nous n'étions que nous deux. Et ce n'était pas moi qui allait raconter ses histoires aux repas de familles ou à la table des professeurs.
-Tu voudras me dire ce qui te met dans cet état ?
Ce n'était pas une obligation, mais parfois, parler faisait du bien.
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