— MAHOUTOKORO
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lycoris (ange)
Kohaku Tsugikuni
次国琥珀
Citation : I like to just lie on the floor and feel like garbage.
Age : 27 ans. 18/04/1970.
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Orochi
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Kohaku Tsugikuni
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Kohaku Tsugikuni
Arrivé avec quelques minutes d'avance sur les lieux, l'assistant professeur profite de la longue quiétude d'une fin d'après-midi. Épris par sa lecture jusqu'à en oublier l'heure, sa concentration ne faiblit qu'au son grinçant d'une porte maladroitement ouverte, annonçant l'imminente arrivée d'un garçon. Kohaku met un instant à réagir, retenu par la complexité d'une interminable phrase, quand enfin, le bicolorié de ses deux astres—régis par la froideur d'un esprit fermé à toute complainte—se déposent sur le visage déconfit de sa nouvelle victime.

En deçà, ses sourcils froissés s'insurgent comme témoins d'une sévérité silencieuse, impassibilité renforcée par son masque d'un blanc immaculé qui paraît sceller ses lèvres. Grossièrement installé sur le bord de son bureau de travail, quelques centimètres usés comme élan à cette condescendance qu'il daignerait servir à autrui ; Kohaku ne voit en son geste que le confort d'une position innovatrice.

Au contraire, l'arrivée imminente de l'élève semble le dépasser et il s'accorde l'incartade de quelques derniers instants d'inattention—coule un dernier regard vers son livre dont il mémorise le passage avant de le fermer d'un claquement. Peu à peu, ses membres se déploient, frêle constitution enveloppée par ce haori rayé ; et ce silence, dont le poids se galvanise au fil des instants, semble le rendre immense.

Bien le bonjour, Mr. Ueda. Devrais-je inclure ces—coup d’œil à l'horloge—trois minutes de retard dans la nomenclature de vos écarts de conduite ? Impassible sonorité, chaque syllabe détachée avec une attention patiente ; le ton est sévère, ne laisse place à aucune forme de contestation. Immobile, le souffle obstrué par un agacement tacite, l'assistant déploie des efforts particuliers à le garder enfoui.

S'il a l'air vaciller, un infime instant suffit à raviver son professionnalisme, tant le garçon lui apparaît comme désespérant—et pour cause, il n'en est pas à sa première pénitence. Pourtant, pas même cette frénésie de bêtises n'écorche la placidité de son visage ; bien qu'investi dans son métier, il agit sous le joug d'une distance morale, eut égard de chaque élève.

En comparaison avec le poids du monde, l'innocente dépravation de quelques gosses mal éduqués lui semblent bien dérisoires. Baigné de sérénité, ce n'est qu'au terme de quelques secondes que Kohaku daigne lui accorder toute son attention. Un bond en direction du sol et sa silhouette semble flotter, un instant durant ; une gracilité qui le rendrait presque aimable s'il ne se complaisait pas dans l'indifférence.

Une feuille saisie entre ses frêles phalanges, il la dépose sur le bureau le plus proche ; le geste se conclut d'un tapotement de l'index sur le bois, commande à l'enfant de s'y installer. Je vous laisse deux heures. Sans plus d'indications, le Tsugikuni se détourne, embrasse l'inconfort du mobilier de l'école sans la moindre raillerie. Immergé dans sa lecture, son attention s'attarde, au moyen de quelques coups d’œil, sur le détenu.

Le silence pèse.

Ses pages sont tournées à un rythme affolant, témoignent de sa vitesse de lecture—un mouvement devenu aphone, au fil des années, qui renforce la tension de l'instant. Bien qu'étranger à la gêne qui submerge les lieux, les difficultés de son élève, elles, lui semblent authentiques.

Que diriez-vous, en lieu et place de votre retenue, d'une discussion orale sur votre programme de calligraphie ? Si vous m'assurez votre sérieux durant l'échange, je songerai éventuellement à vous noter à la hauteur de votre participation.
Ange Ueda
lycoris (ange) 5d2070a4fa38dd86cc7dd7d7eea5c1f5
Citation : risus abundat in ore stultorum -- à la bouche du sot, le rire abonde
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Amaterasu
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Ange Ueda
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Ange Ueda
nearly bored to death and fading fast
Martyr, j’ai laissé mes complices échapper aux remontrances—j’aime me penser princier quand le monde me sait coupable, et j’ai dans l’émail de mon sourire ce qu’on appellera arrogance, ce que je chuchoterai fierté. Le retard est calculé, par une perte de temps faussement préméditée ; lui parle de nomen—hein ? et moi j’ai l’air désabusé le regard un peu vide d’un poisson qu’on n’a pas encore dressé.
J’ai peur que ça arrive trop vite.

Et c’est bien ma seule crainte car, fautif et incarcéré entre quatre murs avec pour seule compagnie le plus stoïque des assistants, j’appréhende le silence et le calme qu’il va m’imposer. Docile le temps d’installer mon royaume et d’asseoir mon assurance, je ravale un tremblement nerveux et ma jambe ne tressaute que trois fois—un effort surhumain que je souligne d’un sourire bouffi d’orgueil, mais qui passe sans doute inaperçu ; on attend d’un dixième année qu’il sache se tenir sur des bancs inconfortables sans les vibrations d’un smartphone en surchauffe, mais moi je peine et je rame et j’ai beau pagayer c’est à contre-courant que j’avance.

Deux heures—un supplice que je multiplie par dix, la relativité du temps étirant la moindre seconde en une sinistre minute. Trop distrait par la vitesse de lecture du bourreau pour ne serait-ce que toiser la mauvaise feuille qui me fait face, je m’agite en articulations bruyamment craquées et en soupirs d’ennui à peine camouflés ; si on pourrait croire mes gestes volontaires, tentative ridicule d’exprimer mon désarroi et de prendre en pitié M. Tsugikuni, il n’en est rien. Mon cerveau hurle juste, et mes pensées s’entrechoquent dans le mutisme inhabituel—j’ai déjà une main griffue levée à mon front lorsqu’il m’extirpe de mes tourments, sur une proposition si autrement plus alléchante que la torture actuelle que je saute dessus à pieds joints.
Naturellement, je parle trop fort.

Hah ! La calligraphie ? Bah, vous savez, c’est pas trop mon fort. Enfin la matière en elle-même si, j’adore dessiner, les caractères sont chiants à souhait mais c’est reposant. L’encre, le pinceau, le papier, j’aime bien. Ce que j’aime moins, c’est le calme—le silence, tout ça. Quand t’as l’impression qu’il fait super sombre et que t’entends les battements de ton coeur et les respirations des autres paraissent super loin… Ma gorge se serre, évidemment. J’enchaîne. Et le prof est bizarre, mais ça c’est pareil avec tous, donc bon. Ah, à part Saburoo ! Lui il est cool. Enfin. Ouais, si, il est louche. J’éclate de rire et ça résonne dans la pièce mais j’en ai rien à faire—si j’arrête, je perds, alors je pousse. C’est flou, comme idée. Mon programme ? Mon sérieux ? Je sais pas ce que vous attendez, mais j’ai peur de vous décevoir. Cela dit, j’étais le meilleur élève de mon groupe au mont Fuji ! J’ai même eu une bonne note. Nez frotté timidement ; le genre de timidité un peu trop évidente pour être candide. Je me balance sur ma chaise. C’est pas chiant, d’être assistant ?




Kohaku Tsugikuni
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Kohaku Tsugikuni
L'intermittence entre ses clignements de yeux se réduit considérablement au seul incipit du garçon, tant son souffle parait infini : de l'impressionnant débit de paroles dont il se rendit coupable à la variété interminable des sujets qu'il avait pu aborder en un si court laps de temps, Kohaku ne sut ce qui le troublait le plus. Une voûte verbale un peu trop vivace, l'avidité de connaissances de cette vile innocence réservée aux plus jeunes ; son vice se diluait dans cette suprême curiosité qui lui offrait tant de charme. D'abord contenus à la sobre observation d'un élève sur le ponton de la sentence, ses yeux se colorent d'agacement, de confusion, et reprennent l'apparence toute saluée d'une impassibilité aussi nécessaire que maîtrisée.

Le ressenti s'est à peine laissé entrevoir, ses astres bicolores demeurent rivés sur son visage, installant leur orbite autour de sa gravité, sans que lui ne mesure celle de sa situation. L'imprudence, aux abords de la sèche indifférente, raviverait presque un éclat de sourire ; mais le masque, imprenable forteresse à ses infimes écarts, étouffe le moindre espoir de sympathie. Si familière que soit la méthode usée pour sa punition, les jacassements de l'enfant menaçant de la faire glisser dans la frivolité, Kohaku reste en contrôle : ses doigts pianotent sur la table de l'élève—la régularité du rythme comme témoin du sang-froid qu'il s'efforce de garder.

Son attention est captivée ; déroutée, pour ne pas dire, son ouvrage s'est laissé oublier dans les abysses d'un esprit rendu inerte. Sa réflexion entière semble se faire stérile, l'ultime question de l'ange le démunit de ses manières—face à une telle audace, le noble héritier ne sait que répondre. Qu'il lui est aisé de se comporter comme un prince sur le tapis rouge que l'on déroule à ses pieds, mais lorsque ce dernier lui est soustrait, la difficulté d'une telle tâche paraît exponentielle. L'impolitesse, jusqu'alors, ne lui fut jamais réservée, si involontaire qu'elle fut, et la candeur d'un péché coupe court à la moindre des rancœurs.

« J'ai bien réalisé que vous n'aimiez pas le silence, Mr. Ueda, et si j'apprécie votre entrain, il m'est difficile de répondre à un tel monologue. Voici ce que nous allons faire. »

Tirant à lui une chaise adjacente, l'enseignant s'installa en face de son élève, évitant toute proximité physique ou regard appuyé—pour avoir été à sa place, jadis, il réalisait comme de pareilles complicités pouvait mettre mal à l'aise. Son but était tout autre, et pour assurer la bonne coopération du garçon, il devait éviter de le pousser dans l'inconfort : la réflexion et le travail ne pouvaient naître des mauvais sentiments, s'était-il dit toujours dit.

D'une main élégante, contenant ses désirs de s'étendre en une délicieuse calligraphie, Kohaku ne put cependant se résigner à tracer des médiocres caractères, aussi s'appliqua-t-il à dessiner au dos vierge du sujet.

CALLIGRAPHIE
DESSINER
CARACTÈRES
SILENCE

« Gardez cela sous les yeux, comme fil directeur de notre discussion, afin que l'envie ne vous prenne de vous égarer. Expliquez-moi davantage votre point de vue, plus particulièrement, ce qui vous déplaît dans les caractères et le silence ambiant. Qu'aimeriez-vous changer ? »

Il retourna la feuille pour la placer entre les mains du garçon et la désigna de l'index. De son regard, de ses indications jusqu'à sa voix, tout exhortait le kitsune à se focaliser sur un sujet unique—une manière un peu rustre de contenir son hyperactivité. Ce n'était pas chose aisée, il en avait conscience : ses mesures étaient frustrantes pour un garçon aussi dissipé, pour autant qu'elles incarnent ne serait-ce que la moitié de leur utilité.

Kohaku était persuadé qu'il ne lui suffirait que de quelques minutes pour s'égarer à nouveau—mais de là, son erreur ne serait pas d'avoir échoué mais de ne pas avoir essayé quelque chose. Au regard de cette seule raison, le sang-pur se refusait à laisser un élève à la dérive, sans que quiconque ne s'enquiert d'un tel gâchis de talent. Quoi qu'en pensent les autres, et pour avoir consulté différentes copies, il n'était pas convaincu de la toute médiocrité de l'ange, bien au contraire—et il avait à cœur de le lui faire comprendre.

« Ensuite, si vous le voulez vraiment, nos discuterons de mes collègues et de l'intérêt de mon métier. Mais ce sera pour plus tard—le regard sur votre feuille, Mr. Ueda. Qu'aimeriez-vous dessiner en cours de calligraphie ? Autre chose que des caractères, j'ose croire. »
Ange Ueda
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Ange Ueda
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J’ai l’habitude - un peu mauvaise - d’endurer le brasier qui bouillonne. J’ai l’habitude - un peu désagréable - d’accepter qu’on m’appelle mauvais élève et qu’on en reste au désintérêt, sans se douter que c’est sous mon crâne que la tempête fait rage. Alors la feuille, les quelques mots futiles mais jolis qui l’ornent, l’effort qui transpire du moindre des gestes de l’assistant, ils coincent dans ma gorge l’hérésie d’une reconnaissance étrangère.

J-je, n’ai rien à dire, le larynx pressé de sentiments et le visage rougi sous l’effort minable de retenir un émoi fragile. C’est qu’une feuille, je me répète - rien qu’un bout de papier sur lequel il a griffonné, proprement, des lignes directrices futiles. Lui poursuit la veine de son idée, et moi je rame derrière ; poursuivi par une vague et submergé, j’essaye vainement de suivre son rythme et finis par froisser les bordures si frêles de la feuille. Euh, dessiner ? Je sais pas.

J’aimerais dessiner des paysages. Je fixe les mots, rassemble une poignée de pensées éparses. Des trucs, des trucs concrets. Des dessins qui se matérialisent et restent pas juste figés sur un bout de torchon. La quiétude du cours m’oppresse, elle m’étouffe comme cet exercice - pourtant, j’inspire. Le cours est trop silencieux. C’est pas- c’est pas la faute du prof, mais de la matière. Y a rien d’intéressant à dire sur une poignée de traits massacrés par les élèves. Vous savez, je connais mal les kanji - c’est trop, c’est trop carré, trop précis.

L’âme d’un artiste écrasée par la présence, tyrannique, de l’ordre. Mes désirs d’entropie sont étiolés, et le moule dans lequel on essaye de me couler me broie les os. Je sais pas, j’y ai jamais réfléchi. J’ai envie de dessiner des animaux, et de les voir courir quand j’ai fini. Au lieu de ça, je dessine le caractère de l’eau, avec des règles horribles mais qu’on peut pas changer. Un trait de travers et c’est tout le sort qui s’effondre ; aujourd’hui c’est moi, dans mon siège, déconfit.
Je lève un œil, luisant d’appréhension : je sais pas où vous voulez en venir. Personne a fait autant d’efforts - en si peu de gestes - pour me contenir, et tous les mots qui se bousculaient au bord de mes lèvres se sont volatilisé.




Kohaku Tsugikuni
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Kohaku Tsugikuni
En un mélange de dépit et de patience, je témoignais de l'ample différence de nos personnalités, et du caractère désuet de la calligraphie aux yeux d'un si jeune enfant : il n'y avait nulle noblesse en le strict tracé de ces kanji désormais archaïques, car ne comptaient pour eux que la spontanéité de l'instant—toute maladroite qu'elle fut—où moindre hypocrisie peinait à trouver son dû. Les générations changeaient, et avec elles, toute tradition qu'elle fût ; la calligraphie diluée dans la familiarité des baguettes, et la dextérité mémorielle se laissait oublier au profit des brèves formules : d'aucuns estimaient que les élèves ne méritaient moitié des honneurs de leurs ancêtres, eut égard de ces innovations.

Les changements que connaissait le monde, je ne m'estimais apte à en juger ; tout au contraire, j'appréhendais l'inconnu avec la curiosité inhérente aux enfants, sans pour autant me soustraire à leur innocence. Pensiez-vous que la calligraphie se limite à ça ? Votre opinion se comprend, et dans cette concession, je m'ouvrais aux horizons de son opinion. Lui ôtant délicatement la feuille des mains, prenant quelques centimètres de distance avec la proximité que je lui imposais alors, l'ange recouvrait sa liberté de voler.

Ainsi libéré de l'oppression de mes questionnements, sa concentration se dissipait aussitôt, ce que je ne saurais permettre. Si vous désirez aller au-delà de la simple calligraphie, laissez-moi vous donner un aperçu. Comprenez, je n'ai que rarement l'occasion d'allouer mes talents au bon plaisir de mes chers élèves : si la calligraphie magique faisait parti intégrante du programme scolaire, nombre d'esprits ne réalisaient l'exploit que suscitait l'écriture des idéogrammes, jusque dans sa plus fine élaboration.

Chaque caractère coûtait un temps et une concentration redoutable, et le talent ne transparaissait qu'en leurs plus fins détails. Sans une large connaissance, d'aucuns confondaient la médiocrité avec l'exceptionnel, et en cela, la calligraphie pouvait être, j'en convenais, terriblement monotone—mais nous étions, je ne pouvais l'oublier, en pleine retenue. D'un geste si précautionneux que lent, tracé sous les yeux d'un élève que j'espérais, dans un élan d'optimisme, m'être attentif, je traçais les caractères de 水 (mizu, eau) et 降る (furu, tomber), faisant couler quelques décilitres d'eau sur le plancher de la salle.

La calligraphie est l'essence de la magie, et les sortilèges en sont un raccourci. En maîtrisant les idéogrammes, et en comprenant les bases, vous comprendrez la magie et saurez faire bien plus que dessiner des caractères—ceci incluant un registre de farces bien plus élargi que le vôtre, croyez-moi.

Je fis sécher le sol à la lueur d'un tout autre caractère, et pris place sur une chaise, non loin de mon élève que le désespoir semblait prêt à dévorer : si le mépris ne l'effrayait nullement, je doutais qu'il fut aussi à l'aise avec les bonnes intentions.

Voudriez-vous essayer ? Dites-moi ce que vous aimeriez créer et je vous dicterai les caractères dont vous aurez besoin ; alors, soyez aussi imaginatif qu'à l'accoutumée.
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