Page 2 sur 2 • 1, 2
Event #6 : Doux et moelleux moments
Yori Hayashi
Tu n’as de toute façon pas le temps de réfléchir davantage que c’est la voix de votre directeur qui retentit et tu aperçois chaque Yokai être repoussé.
La magie de Kurosawa te semblera toujours aussi impressionnante – même quand il s’agit d’incendier une forêt.
Tu ne perds pas de temps pour autant et rejoins Jian qui a déjà commencé à se libérer de son emprise, dégageant déjà ses bras. Tu points ta baguette devant lui, où le sable emprisonne encore son corps, prononce un « Defodio » puis l’aide à en sortir.
« Ça va aller ? »
Tes mains retrouvent son visage, tandis que tu scrutes la blessure laissée sur sa peau. Elle n’a pas réellement l’air grave, heureusement et ce n’est pas tant le moment de s’en préoccuper. Vous devez vous écarter, donc tu le guides avec toi jusqu’à la forêt.
Invité
Invité
Invité
。 ON NOUS A MENTI |
C'est un énorme groupe d'étudiants que vous rejoigniez, et ta main lâche alors la sienne alors que tu te laisses tomber en tailleur sur le sol, main serrée sur ta baguette. Il te faut un moment pour récupérer ton souffle. On aurait pas du rentrer au château, plutôt ? La forêt t'a toujours donné des frissons que tu avais rarement apprécié alors... tu aimerais juste sortir le plus rapidement possible d'ici.
Invité
Invité
Invité
And I started to hear it again
But this time it wasn't the end
But this time it wasn't the end
C'était un tourbillon d'eau, un serpent de mer fait de vagues qui rugissaient de l'autre côté de l'océan, emportant avec lui les yōkais et bien plus efficace que tous les sorts qu'il aurait osé jeter. Une bourrasque qui les traversait et revenait aux écumes, guidé par le directeur. Ren avait gardé les yeux sur la foule et s'était dressé comme un bouclier devant Hayashi, le laissant dépêtrer son camarade de sa prison de sable.
D'abord ses lèvres se contorsionnèrent face aux ordres de Hidenori ; il essayait de taire le souvenir des réponses ambiguës que le directeur avait apportées quelques jours auparavant, d'étouffer le doute qui l'animait dès qu'il déposait son regard sur la silhouette de cet homme qui incontestablement faisait bien mieux que lui. Ren souffla puis tourna sur lui-même, amplifiant d'abord ses mots d'un Sonorus. En porte-voix, il appela à lui les élèves qui ne s'étaient pas encore attroupés autour des professeurs et les accompagnait vers le point de rassemblement.
Il ignorait si quiconque s'était égaré, ses bras faisaient des signaux et attrapaient par l'épaule ceux qui déviaient la marche, et lorsqu’ils furent encerclés par les feuillages, Ren revint chercher le visage griffé de Taichi. Il sortit un mouchoir de tissu qu'il gardait sur lui pour les larmes des élèves et le pressa contre les éclaboussures rouges du visage du kitsune.
— Pour l'instant, nous allons devoir suivre le mouvement. Sa voix avait de nouveau pris ses tessitures silencieuses. Ne vous écartez pas.
Les chaumes les surplombaient et semblaient vouloir les garder prisonniers, et Ren ignorait ce qu'il pouvait faire de plus tandis qu'ils étaient tous compressés entre les tiges de bambous.
L'Éventail
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
L'Éventail
Un grondement résonne dans leurs oreilles, si puissant que les arbres tremblent.
Stupéfaction. Inquiétude. Que faire ?
Et puis plus rien. La bête a disparu dans une nuage de poussière aussi vite qu'elle est apparue, et il se retrouve face à face avec une enfant aux longues oreilles pointues et touffues. Elle rigole devant aux têtes médusées, fière de son entrée en scène : « Et bien, idiots d'humains, vous n'êtes pas très courageux hihi. Ne vous inquiétez pas, Hidenori m'a prévenu de votre arrivée hihi. Vous êtes ici en sécurité, moi et mes amis veillerons sur vous jusqu'à ce que ça se calme. ». À peine a-t-elle finit sa phrase qu'elle disparaît en sautillant dans les profondeurs de la forêt.
Vous voilà enfin en lieu sûr.
Le sujet sera fermé le 10 novembre.
Page 2 sur 2 • 1, 2
|
|
Derniers sujets