— some alcoholics v. a lot of alcohol (professeurs + personnel)
Takamori Fujiwara
Citation : tu seras une pièce sans valeur sur le plateau de ma vie
Age : trente-et-un ans
Rang : a0
Susanoo
Takamori Fujiwara
son appartement, habituellement très peu meublé et décoré, takamori préférant de loin le minimalisme et le dépouillement à la surenchère d'éléments visuels, a complètement changé d'aspect. dans la salle principale, la table basse est poussée dans un coin pour servir de bar et de nombreuses bouteilles en provenance des cuisines de l'école, ou de la réserve personnelle du professeur, y sont déjà disposées. sur les murs des dizaines de banderoles enchantées montrent aléatoirement un message de félicitations et des yōkais vagabondants dans des paysages de l'île. un nombre incalculable de petits oiseaux multicolores volent à travers la pièce, esquivant gracieusement takamori, émettant de petits piaillements enchanteurs en accord avec la saison. il a fait tout ce qu'il pouvait, avec l'aide d'eiji, pour rendre l'endroit agréable pour une fête entre adultes. il aurait pu mieux faire, avec plus de temps et un espace plus grand. mais personne n'avait eu le courage de réquisitionner la grande salle.
l'occasion aurait pourtant nécessité un lieu à la mesure de l'événement. sa grande sœur, shion, a fait son entrée il y a quelques jours dans le cercle très fermé des professeurs de mahoutokoro. deux fujiwara en même temps sur l'île, pour sûr que c'est une première dans l'histoire familiale et son père doit être très heureux. ou satisfait plutôt, parce que la joie ne fait pas partie des émotions exprimables par le vieux patriarche.
déjà à la porte le premier invité frappe. takamori fait un dernier tour du regard. rien n'a l'air de manqué. « j'arrive ! », il est l'heure.
Rajan Tsukino
Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
Age : 37 ans
Rang : S0
Seimei
Rajan Tsukino
some alcohilics
Une fête de bienvenue avait-il dit. Tous soi-disant conviés. Tu n’as pas le cœur aux festivités, mais tu n’as pas non plus le droit de faire de faire défaut à cette soirée. Après tout, chaque enseignant et nouvel habitant de la résidence de l’ile de Minami Iwo avait le droit à sa petite heure de gloire et ce soir, c’était celle de Shion. Nouveau professeur d’histoire de la magie, sœur de Takamori, dulcinée de ton cœur et ex-petite amie.
Tu demandes à Haruka de t’aider avec cette fichue cravate, tu ne sais même pas pour quelle raison tu te formalises. Certainement, parce que t’as l’impression que rien n’est anodin lorsqu’elle est dans les parages. Tu passes ta main sur ta nuque, cherchant à te détendre, ça allait bien se passer. Du reste, tu t’es vêtu de blanc et de noir, tu préfères être discret.
Tu rejoins la chambre de Takamori, lieu donné pour l’évènement. Ca te faisait toujours aussi bizarre de voir ton ex-beau-frère, et encore plus maintenant que tu la savais de retour. Enfin, tu allais devoir t’y faire.
« Je suis en avance, on dirait ? »
Tu jettes un coup d’œil à l’heure et pourtant, pas tant que ça. La vérité, qu’est-ce que tu fous-là. T’es rarement mal à l’aise, pourtant tu étais difficilement moins à ta place qu’ici à ce moment-là. Tu glisses les doigts sur le nœud de ta cravate, tant pis pour les efforts de ton ami, tu commençais déjà à avoir assez chaud sans que ça ait commencé. Vivement que ça se termine.
Invité
Invité
Invité
awake |  |
Allure impeccable, comme à son habitude, il avait l'attitude droite Haruka. L'air pas plus austère qu'à la normale, soupir sur soupir alors qu'il jetait presque nerveux des œillades à sa montre.
T'avais horreur des soirées Haruka. Encore plus quand elles étaient organisé par un Fujiwara. T'étais présent par nostalgique, car Shion et Rajan étaient là, tous les deux. Le pas presse, tandis que tu songes à arrêter de prendre les habitudes pour des miracles. C'était bien la seule motivation de la soirée.
Ce n'était pas non plus désagréable, une soirée entre collègue mais délaisser ton chat te peinait bien assez.
Talons qui claquent contre le sol, Rajan à tes côtés ; la cravate arrangé sous sa demande, pendant un moment tu le compares a un enfant.
Tu finis par rentrer dans les appartements, suivant sûrement le pas de Rajan. Tu salues Takamori d'un hochement de tête, non sans le souvenirs des nombreux dîners passés, t'as déjà envie de partir.
L’œillade glisse auprès de ton ami, l’œil morose rivé sur sa cravate de nouveau dénoué, tu lâches un énième soupir. Ta cravate. Tu t'exprime mollement, allant chercher le tissus du bout des doigts, te rapprochant à la façon dont les années vous avait rapprochés.
Quelques mouvements, et c'était terminé. Bien, heureusement que je suis là Rajan. Ca sonne comme une plaisanterie aux abords de tes soupirs.
T'avais horreur des soirées Haruka. Encore plus quand elles étaient organisé par un Fujiwara. T'étais présent par nostalgique, car Shion et Rajan étaient là, tous les deux. Le pas presse, tandis que tu songes à arrêter de prendre les habitudes pour des miracles. C'était bien la seule motivation de la soirée.
Ce n'était pas non plus désagréable, une soirée entre collègue mais délaisser ton chat te peinait bien assez.
Talons qui claquent contre le sol, Rajan à tes côtés ; la cravate arrangé sous sa demande, pendant un moment tu le compares a un enfant.
Tu finis par rentrer dans les appartements, suivant sûrement le pas de Rajan. Tu salues Takamori d'un hochement de tête, non sans le souvenirs des nombreux dîners passés, t'as déjà envie de partir.
L’œillade glisse auprès de ton ami, l’œil morose rivé sur sa cravate de nouveau dénoué, tu lâches un énième soupir. Ta cravate. Tu t'exprime mollement, allant chercher le tissus du bout des doigts, te rapprochant à la façon dont les années vous avait rapprochés.
Quelques mouvements, et c'était terminé. Bien, heureusement que je suis là Rajan. Ca sonne comme une plaisanterie aux abords de tes soupirs.
Azrael Nakagawa
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 33 (7/07/64)
Rang : 92
Susanoo
Azrael Nakagawa
Tu seras bienvenue quelque soit l'heure.
Bois bien plus que tu ne dois, c'est bon pour tout ce que tu as— La chanson de l'aubergiste // Mozart l'Opéra rock
Il vous reste juste à assumer par la suite, surtout que le départ se fera tôt demain, pour débuter le voyage scolaire.
Tu venais à peine de quitter Shion, partant te préparer pour l’occasion. Vous ne vous étiez pas vu depuis longtemps et tu étais plutôt heureux de la retrouver ici, finalement. C’est comme si vous étiez tous dans anciennes connaissances, parmi les professeurs. Des vieux amis, d’anciens amis, des visages connus.
Le personnel n’était pas en reste, venant compléter cette étrange famille.
Tu as choisi de te faire élégant, pour cette occasion. A l’opposé de ton comportement décontracté, tu aimes les vêtements seyants. Tu en a pris l’habitude lors des années où tu as travaillé dans le monde non magique.
Prêt pour la soirée, il n’y a que ta cravate que tu as négligemment oublié, dénouée et pendante autour de ta nuque. Tu rejoins les premiers arrivants.
« Bonsoir à vous, tu dis dans un sourire. »
Tu vérifies l’heure. Les autres ne devraient plus tarder.
Kaede Uehara
Citation : i will be the one to watch you fall
Age : trente-sept
Rang : 94/100
Susanoo
Kaede Uehara
Party in the city where the heat is on All night, on the beach till the break of dawn "Welcome to Mahoutokoro" "Bienvenidos a Mahoutokoro" Bouncin' in the club where the heat is on
La décision se bordait d’allures herculéennes, les possibilités se révélaient vastes et à la fois étriquées. Sans issue outre que d’effectuer un choix parmi cette collection d’alcool qui, étendue sur le tatami, n’était qu’une pré-sélection.
Fallait-il, peut-être, réduire cet emportement ;
cependant, un professeur n’a qu’une soirée de bienvenue et le dicton ne chantonne-il pas mieux vaut trop que pas assez ? Impossible de se fatiguer de whiskey, ni des traditionnels boissons qu’offrent le pays et, sûrement, certains n’ont jamais goûté du vin de serpent. Satisfaite de cette avance, tu pouvais vaquer dans la quiétude jusqu’à ce que se pointe dangereusement l’heure du rendez-vous. Le temps d’enfiler un confortable pantalon côtelé noir et un chemisier ample bleu ciel à fine rayures blanches sans s’embêter de rajouter des artifices au visage, consciente que ton état final n’aura guère de considérations s’en débarrasser.
Ce n’était encore qu’un petit comité à ton entrée, alors tu marques ton « Bonsoir » d’un sourire. Ils paraissent formels, surtout Rajan, et, en le voyant si crispé, tu te marres intérieurement. A la quantité de bouteilles dont le propriétaire n’est pas une énigme, tu te permets d’à nouveau sourire « Je pensais être dans la démesure, mais ce que j'ai ramené paraît modeste finalement. » en fixant ce que l’hôte avait déjà préparé. Le problème d’être à l’heure est l’atmosphère encore sterne de l’événement, l’aspect formel augmenté par l’attitude d’une certaine personne dont tu ne donneras pas le nom—Haruka.
Heureusement, Takamori et Azrael viennent mettre un peu de gaieté parmi cette austérité. La tenue du professeur de sortilèges, d’ailleurs, t’interpelle « Jolie cravate, Azrael, c'est une manière intéressante de la porter. »
Fallait-il, peut-être, réduire cet emportement ;
cependant, un professeur n’a qu’une soirée de bienvenue et le dicton ne chantonne-il pas mieux vaut trop que pas assez ? Impossible de se fatiguer de whiskey, ni des traditionnels boissons qu’offrent le pays et, sûrement, certains n’ont jamais goûté du vin de serpent. Satisfaite de cette avance, tu pouvais vaquer dans la quiétude jusqu’à ce que se pointe dangereusement l’heure du rendez-vous. Le temps d’enfiler un confortable pantalon côtelé noir et un chemisier ample bleu ciel à fine rayures blanches sans s’embêter de rajouter des artifices au visage, consciente que ton état final n’aura guère de considérations s’en débarrasser.
Ce n’était encore qu’un petit comité à ton entrée, alors tu marques ton « Bonsoir » d’un sourire. Ils paraissent formels, surtout Rajan, et, en le voyant si crispé, tu te marres intérieurement. A la quantité de bouteilles dont le propriétaire n’est pas une énigme, tu te permets d’à nouveau sourire « Je pensais être dans la démesure, mais ce que j'ai ramené paraît modeste finalement. » en fixant ce que l’hôte avait déjà préparé. Le problème d’être à l’heure est l’atmosphère encore sterne de l’événement, l’aspect formel augmenté par l’attitude d’une certaine personne dont tu ne donneras pas le nom—Haruka.
Heureusement, Takamori et Azrael viennent mettre un peu de gaieté parmi cette austérité. La tenue du professeur de sortilèges, d’ailleurs, t’interpelle « Jolie cravate, Azrael, c'est une manière intéressante de la porter. »
Invité
Invité
Invité
Feat tous les profs que jve bz
some alcoholics.
Les fêtes n'ont jamais vraiment fait partie des activités préférées de Mero, et ce, même du temps où elle berçait dans la joie de vivre pure et simple. Le temps libre qu'elle avait était toujours utilisé à bon escient, pour réviser ou pour s'occuper de créatures en tout genre. Bien sûr, de temps en temps, il lui arrivait de pointer le bout de son nez dans des festivités organisées par les élèves, du moins, avant l'incident ; après celui-ci, c'est à peine si elle adressait la parole à d'autres, alors les fêtes... Ce n'était pas la peine d'y penser. Et si elle a un jour pensé qu'une fois du camp des professeurs tout cela n'aurait plus d'importance, elle remarque qu'elle faisait totalement fausse route. Une fête de bienvenue, certes, mais une fête quand même ; et à la surprise générale, elle a accepté de s'y rendre. Une fête entre adultes, ça ne devait pas être bien méchant de toute façon.
Quelques heures avant l'heure annoncée, elle prévoit tout parfaitement. Un peu trop parfaitement. De sa tenue à l'allure à laquelle elle va marcher vers les appartements de Takamori. Mais avant tout ça, elle a bel et bien prévu, après avoir demandé aux chefs cuistots maîtres des lieux, d'aller faire un tour en cuisine, préparer des petits gâteaux en guise de présents. Elle se sentirait coupable d'arriver les mains vides. Merorin tout craché.
Le temps de jouer les pâtissières maladroites -parce que la cuisine n'est pas non plus son domaine de prédilection- et de revenir, une boîte pleine de gâteaux en main, il est déjà l'heure pour elle de se préparer, et naturellement, tout correspond parfaitement à l'emploi du temps prévu. Alors elle se change, un quelque chose qui a l'air de la rendre moins frigide que d'ordinaire. Une tenue plus "habillée" mais à peine différente de son style habituel. Un petit effort à sa manière.
Elle saisit sa boîte de gâteaux avant de se diriger vers sa destination finale, pas plus enthousiasmée que ça.
Il n'y a pas de quoi.
C'est avec trois petits coups nets qu'elle annonce son arrivée devant la porte, attendant sagement qu'on lui ouvre et qu'on l'invite à rentrer. A l'intérieur, déjà quelques personnes qu'elle salue d'un ton neutre, comme à son habitude. Elle observe un peu les autres jusqu'à tomber sur une rare image d'un Rajan au cul serré. Il a presque l'air de manquer des inspirations ou des expirations. Tant mieux. Pour une fois qu'il a l'air plus embêté qu'embêteur, personne -ou en tout cas pas Mero- n'ira cracher là-dessus.
Finalement faisant fi de cette scène valant au-moins deux sacs d'or, Merorin désigne du regard sa boîte bien emballée puis s'adresse à Takamori.
- J'espère que vous aimez tous le sucré.
Quelques heures avant l'heure annoncée, elle prévoit tout parfaitement. Un peu trop parfaitement. De sa tenue à l'allure à laquelle elle va marcher vers les appartements de Takamori. Mais avant tout ça, elle a bel et bien prévu, après avoir demandé aux chefs cuistots maîtres des lieux, d'aller faire un tour en cuisine, préparer des petits gâteaux en guise de présents. Elle se sentirait coupable d'arriver les mains vides. Merorin tout craché.
Le temps de jouer les pâtissières maladroites -parce que la cuisine n'est pas non plus son domaine de prédilection- et de revenir, une boîte pleine de gâteaux en main, il est déjà l'heure pour elle de se préparer, et naturellement, tout correspond parfaitement à l'emploi du temps prévu. Alors elle se change, un quelque chose qui a l'air de la rendre moins frigide que d'ordinaire. Une tenue plus "habillée" mais à peine différente de son style habituel. Un petit effort à sa manière.
Elle saisit sa boîte de gâteaux avant de se diriger vers sa destination finale, pas plus enthousiasmée que ça.
Il n'y a pas de quoi.
C'est avec trois petits coups nets qu'elle annonce son arrivée devant la porte, attendant sagement qu'on lui ouvre et qu'on l'invite à rentrer. A l'intérieur, déjà quelques personnes qu'elle salue d'un ton neutre, comme à son habitude. Elle observe un peu les autres jusqu'à tomber sur une rare image d'un Rajan au cul serré. Il a presque l'air de manquer des inspirations ou des expirations. Tant mieux. Pour une fois qu'il a l'air plus embêté qu'embêteur, personne -ou en tout cas pas Mero- n'ira cracher là-dessus.
Finalement faisant fi de cette scène valant au-moins deux sacs d'or, Merorin désigne du regard sa boîte bien emballée puis s'adresse à Takamori.
- J'espère que vous aimez tous le sucré.
Invité
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SOME ALCOHOLICS V. A LOT OF ALCOHOL ⛛
ft. profs & personnels
une soirée. de bienvenue. du grand n'importe quoi. on n'avait souhaité la bienvenue à... personne en fait. mais là c'était une femme et du coup. ça changeait la donne. enfin c'était la nouvelle. tu ne savais pas du tout qui elle était, mais pour organiser une petite soirée, elle devait être importante. alors tu ferais un effort. bien que tu ne comprennes pas tout, et que tu n'aurais pas forcément la tête à sociabiliser. comme c'est le cas depuis quinze ans. quinze années que tu ne veux plus rencontrer personne. même pour des amitiés, même pour des relations strictement professionnelles. c'était un peu un fardeau, mais tu te dis que tu dois veiller sur fujiwara. cet alcoolique. et puis c'est un peu ton compère. vous sortez quelques fois. alors bon, à défaut de le faire pour les nouveaux, tu le feras pour les anciens. voilà. ça c'est une bonne décision. une bonne action. tu vas ramener de l'eau. pour rester dans cette optique. de veiller sur tes comparses. c'est un bien mince tribu que tu ramènes, mais bon.
une douche. un costume. tes lunettes. un sac avec ta baguette, tes cigarettes. et tout le nécessaire de toilette. être élégant, en toute circonstance. en quittant tes quartiers tu fumes une cigarette, prenant le temps pour marcher. pour traîner des pieds plutôt. ce n'est pas l'idée de la fête, c'est plus les gens. l'enfer. comme d'habitude. le pire c'est qu'il n'y a personne avec qui tu as une réelle affinité. certains te soûlent, mla majorité en fait. une autre partie, que tu tolères. et encore une autre qui constitue beaucoup d'inconnus. c'est une variable affolante. et intrigante. car ta curiosité te pousse aussi à y aller. pour découvrir. tu termines ta cigarette. en espérant que ce ne soit ps la dernière de ta soirée. bon l'avantage du lieu, c'est qu'à tout moment tu peux partir. toujours prévoir une option de sortie. tu arrives à la porte, et tu toques. la porte s'ouvre.
tu ne t'attendais pas à ça. dans le sens où tu pensais qu'il y aurait moins de monde. pas autant. et puis tu n'es pas dans les premiers. ils sont déjà si nombreux. ça t'angoisse, un peu. d'un coup. mais tu fais bonne figure et tu souris. peut-être prendras-tu du plaisir, finalement. tu aperçois tsukino, nakagawa, fujiwara... et d'autres. que tu connais de nom, ou à peine. tu iras les saluer en premier, afin de connaître enfin leur identité. et ainsi, ne plus l'oublier. tu tends le pack d'eau et salue l'hôte de la soirée.
tu t'exprimes avec beaucoup d'entrain, peut-être pour cacher ton appréhension. tu ne sais pas trop où poser tes affaires. dans le doute tu les gardes. tu ne veux pas t'imposer. alors tu vas saluer ceux que tu ne connais pas. puis tu rejoins tes connaissances, écoutant leurs conversations. plus que tu n'y participes. tu observes. tu veilles. tu tapotes tes cigarettes dans ta poche, ta main te signalant son besoin imminent de tabac.
une douche. un costume. tes lunettes. un sac avec ta baguette, tes cigarettes. et tout le nécessaire de toilette. être élégant, en toute circonstance. en quittant tes quartiers tu fumes une cigarette, prenant le temps pour marcher. pour traîner des pieds plutôt. ce n'est pas l'idée de la fête, c'est plus les gens. l'enfer. comme d'habitude. le pire c'est qu'il n'y a personne avec qui tu as une réelle affinité. certains te soûlent, mla majorité en fait. une autre partie, que tu tolères. et encore une autre qui constitue beaucoup d'inconnus. c'est une variable affolante. et intrigante. car ta curiosité te pousse aussi à y aller. pour découvrir. tu termines ta cigarette. en espérant que ce ne soit ps la dernière de ta soirée. bon l'avantage du lieu, c'est qu'à tout moment tu peux partir. toujours prévoir une option de sortie. tu arrives à la porte, et tu toques. la porte s'ouvre.
bonsoir tout le monde !
tu ne t'attendais pas à ça. dans le sens où tu pensais qu'il y aurait moins de monde. pas autant. et puis tu n'es pas dans les premiers. ils sont déjà si nombreux. ça t'angoisse, un peu. d'un coup. mais tu fais bonne figure et tu souris. peut-être prendras-tu du plaisir, finalement. tu aperçois tsukino, nakagawa, fujiwara... et d'autres. que tu connais de nom, ou à peine. tu iras les saluer en premier, afin de connaître enfin leur identité. et ainsi, ne plus l'oublier. tu tends le pack d'eau et salue l'hôte de la soirée.
comme ça je veille sur ta consommation. j'assure nos arrières... enfin notre lendemain de soirée surtout.
tu t'exprimes avec beaucoup d'entrain, peut-être pour cacher ton appréhension. tu ne sais pas trop où poser tes affaires. dans le doute tu les gardes. tu ne veux pas t'imposer. alors tu vas saluer ceux que tu ne connais pas. puis tu rejoins tes connaissances, écoutant leurs conversations. plus que tu n'y participes. tu observes. tu veilles. tu tapotes tes cigarettes dans ta poche, ta main te signalant son besoin imminent de tabac.
Invité
Invité
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some alcoholics v. a lot of alcohol
une fête de bienvenue. c'était une excellente idée. lui, il n'y avait pas eu droit, et c'était bien comme ça. il ne voulait pas forcément attirer l'attention sur lui. mais participer, ce n'était pas un soucis. c'était pour la nouvelle professeur. il avait cru comprendre que bien des gens la connaissait déjà. lui l'avait à peine croisé, mais il s'était renseigné pour savoir quoi ramener. il était passé chercher dans la cuisine ce qu'il avait demandé, puis été repassé par chez lui pour se préparer. petite douche vite fait avant de s'habiller. il n'avait pas osé le costume trois pièce. juste un simple pantalon de bonne facture, avec une chemise blanche et une cravate bleue foncée. rien de particulier, qui fasse de trop, ou de pas assez. puis il était parti. il s'était mis en route rapidement, de peur d'arriver en retard. ensuite, il avait fait demi-tour, car il avait oublié sur la table de son salon sa participation à la soirée. il était reparti aussitôt qu'il l'avait récupéré. sa tarte. parce qu'il avait cru comprendre que shion aimait les tartes. et que les plaisirs les plus simples sont à base de tartes.
arrivé devant le lieu de la fête, il avait vu la porte se fermer au loin et s'était donc dépêché pour qu'on lui ouvre dans la foulée. il avait toqué et avait fait son entrée dans la résidence, tout sourire. il avait commencé par remercier pour l'invitation. un rapide coup d’œil et il pouvait reconnaître facilement les personnes qui se trouvaient ici. tous des professeurs, hormis le célèbre infirmier kuro qu'il avait fini par connaître ... même s'il le connaissait déjà. il avait hoché la tête vers celui-ci en signe de bonjour, puis avait souris à azrael et rajan. il avait aussi aperçu haruka, haruka qu'il voyait souvent ces derniers temps, et qu'il ne savait plus comment saluer. un hochement de tête, donc. et un grand sourire pour kaede, un. finalement il s'était dirigé vers merorin. un sourire le visage. il incline la tête alors qu'il est à porté d'elle. « bonjour merorin. tu vas bien ? » il la connait, merorin, alors il se permet. c'est de la politesse que de prendre des nouvelles. il ira se mêler aux autres plus tard. il faudra aussi qu'il pense à déposer sa tarte, parce qu'il ressemble à un saveur européen. « une bonne soirée en vue, tu ne penses pas ? »
feat professeurs + personnel
Invité
Invité
Invité
I WOULD SHUN THE LIGHT
SHARE IN EVENING'S COOL AND QUIET
WHO WOULD TRADE THAT HUM OF NIGHT
FOR SUNLIGHT, SUNLIGHT, SUNLIGHT
une fête de bienvenue. shion méritait cela, et bien plus encore. pour l’occasion, tu t’étais vêtue à l’image de tes collègues : avec sobriété mais élégance. un pantalon taille-haute, un chemiser blanc noué d’un ruban rouge (à défaut d’oser la cravate) et des escarpins de la même teinte. si ce n’était pour ton masque, pour ton visage défiguré, tu en viendrais presque à oublier où tu étais et en quelle compagnie. car il régnait dans cette soirée un air ordinaire — vous n’étiez plus sorciers mais collègues avec la mission très banale d’accueillir comme il se doit la nouvelle venue.nouvelle venue pour les autres — en ce qui te concernait, tu brûlais d’une nostalgie étrange. qui l’aurait cru ? haruka, rajan, shion et toi-même dans une même pièce, comme au bon vieux temps. mais la vieillesse de ce temps avait bouleversé bien des choses, un mariage, un amour, un visage, et au côté de la nostalgie se tenait l’incertitude.
pourtant tu te sentais bien.
de cette jeunesse passée, de ses erreurs, de ses peurs, tu ne te sentais plus si proche.
et puis, shion, tu lui avais parlé. une conversation d’adulte qui détonnait avec votre dispute juvénile dans un reflet parfait.
tu venais à eux avec de la bonne humeur et beaucoup d’alcool.
tu baissas la poignée de ton coude, poussa la porte de ton épaule et découvrit le dos tristement familier du garde-chasse. bonsoir. l’émotion qu’empêchait ton masque, ta voix la traduisait très bien — on y distinguait le souffle d’un sourire. tu avisas des convives d’un signe de tête, notant avec joie la présence de kaede, et ton attention s’arrête sur azrael comme s’il eut été un mur.
as-tu besoin d’aide avec ce nœud, azrael, tu déposas ton offrande au côté de celles des autres ou cherches-tu à lancer une mode inédite ? la tête penchée de par un certain amusement, tu vas vers lui... et poses plutôt ta main sur l’épaule de rajan où tu exerces une pression compatissante. ça va aller, n’est-ce pas ? tu en as la certitude. mais tu fais mine d’être anxieuse pour qu’à son tour, il te rassure, et qu’il se rassure par la même occasion car il est trop honnête pour te dire quelque chose qu’il ne pense pas.
M A M A
Hanamaru Sugawara
Citation : arrachez vos mauvaises herbes
Age : cent neuf ans
Rang : S2
Ryujin
Hanamaru Sugawara
some alcoholics
Prévenue il y a peu, par la parole de ton frère, assez brève mais directe, qu’une petite fête de bienvenue en ton honneur aurait lieu dans ses appartements. Bien que tu ne sois pas friande des fêtes, subissant depuis trente-six ans déjà les farouches repas familiaux. Ils étaient particulièrement fatigants, que ce soit physiquement et mentalement, ton père ne t’avait pas renié mais c’était tout comme, tu restais sans fille sans avoir sa sympathie, il n’avait plus d’estime de toi et bien que tu taises ta peine, il restait ton père et le savoir être si déçu de toi te rendait malheureuse. La haine de ton paternel était un torrent infernal, son regard exprimant la honte que tu semblais lui faire subir, comme une traitresse le poignardant dans le dos, lui qui t’avait enseigné la vie.
C’était certainement ça, le plus dramatique.
Sa capacité à ne pas aimer.
Car ton père n’avait aucune conception de l’amour,
Seul l’honneur comptait à ses yeux,
Et pour lui,
Tu n’en avais plus.
Ainsi, cette petite fête était un baume au cœur, pansement à tes songes douloureuses, Shion, tu osais croire que tu allais respirer un peu, prendre du bon temps, retrouver un peu ton jeune frère ainsi qu’apprendre un peu à connaître tes nouveaux collègues.
Cette idée te submergeait de joie.
Sentiment devenu si rare, tout en devenant particulièrement commun. Tu avais été si heureuse d’enfin revoir l’être aimé et pourtant si dévastée de ne pouvoir l’embrasser. Certains de tes amis étaient ici, et les savoir si proches de toi était plaisant, apaisant, rassurant.
Tu te sentais bien, là.
Bien que tu savais qu’il serait là,
Tu n’avais pas si peur de le voir,
Bien que ton cœur se serrer de peine,
Le savoir non loin de toi,
Te rendait heureuse.
Après avoir vu Azrael, tu t’étais un peu préparée, bien que ce soit une soirée pour toi, tu avais décidé d’amener une bouteille de sake, celui que ton frère affectionner le plus, ainsi que du café, celui qu’il buvait à l’époque. Arrivée à l’appartement, remarquant qu’il y avait déjà bien du monde, tu repérais assez vite ton cher Haruka, Rajan à ses côtés. Et un peu plus au loin, Takamori, que tu allais rejoindre presque immédiatement.
«Merci pour l’initiative, je suis heureuse de te revoir, Taka. »
Un fin sourire, tu étais réellement heureuse de voir ton frère ici, déposant la bouteille après la lui avoir montrée, ainsi que le café à ses côtés.
«Cela fait longtemps qu’on ne s’est pas vu au final. Passons une bonne soirée. »
C’était certainement ça, le plus dramatique.
Sa capacité à ne pas aimer.
Car ton père n’avait aucune conception de l’amour,
Seul l’honneur comptait à ses yeux,
Et pour lui,
Tu n’en avais plus.
Ainsi, cette petite fête était un baume au cœur, pansement à tes songes douloureuses, Shion, tu osais croire que tu allais respirer un peu, prendre du bon temps, retrouver un peu ton jeune frère ainsi qu’apprendre un peu à connaître tes nouveaux collègues.
Cette idée te submergeait de joie.
Sentiment devenu si rare, tout en devenant particulièrement commun. Tu avais été si heureuse d’enfin revoir l’être aimé et pourtant si dévastée de ne pouvoir l’embrasser. Certains de tes amis étaient ici, et les savoir si proches de toi était plaisant, apaisant, rassurant.
Tu te sentais bien, là.
Bien que tu savais qu’il serait là,
Tu n’avais pas si peur de le voir,
Bien que ton cœur se serrer de peine,
Le savoir non loin de toi,
Te rendait heureuse.
Après avoir vu Azrael, tu t’étais un peu préparée, bien que ce soit une soirée pour toi, tu avais décidé d’amener une bouteille de sake, celui que ton frère affectionner le plus, ainsi que du café, celui qu’il buvait à l’époque. Arrivée à l’appartement, remarquant qu’il y avait déjà bien du monde, tu repérais assez vite ton cher Haruka, Rajan à ses côtés. Et un peu plus au loin, Takamori, que tu allais rejoindre presque immédiatement.
«
Un fin sourire, tu étais réellement heureuse de voir ton frère ici, déposant la bouteille après la lui avoir montrée, ainsi que le café à ses côtés.
«
Invité
Invité
Invité
We can rest but it’s still too early We need to rest but it’s still so far away
Regard macabre du long de la pièce, c'était naturel. Les invités se dévoilent, un à un. Quelques grimaces cachés sous un masque impassible. Rajan à tes côtés semblait bien splendide. Tu salues d'un simple hochement de tête Kaede, y'a quelques remarques intelligentes et ça t'arracherait presque un sourire que tu te dépêches de dissimuler.
Oeillade à l'égard d'une cravate mal nouée, tu retiens un soupir. L'enthousiaste des conviés te laisse le goût d'hécatombe sur le bout de ton palais. Les consommations défilent, les bouteilles sont posés et tu sentais qu'il y avait bien trop pour la quantité. Heureusement, Takamori en grand buveur saura s'en charger.
C'est sur Shion que ton attention se porte subitement tu la salues silencieusement faisant quelques pas vers elle. Main sur l'épaule comme si tu cherchais à approuver sa présence. Les mots n'ont pas leur place, tu la laisses à sa discussion te reportant alors vers Azrael, ça te démangeait alors tu saisis le bout de tissus avec délicatesse, te chargeant de sa cravate comme un parent exaspéré. Combien de fois faudra-t-il te corriger sur ton sérieux ? Tu rehausses le nœud, lissant la texture soyeuse. Remercie moi plus tard.
Oeillade à l'égard d'une cravate mal nouée, tu retiens un soupir. L'enthousiaste des conviés te laisse le goût d'hécatombe sur le bout de ton palais. Les consommations défilent, les bouteilles sont posés et tu sentais qu'il y avait bien trop pour la quantité. Heureusement, Takamori en grand buveur saura s'en charger.
C'est sur Shion que ton attention se porte subitement tu la salues silencieusement faisant quelques pas vers elle. Main sur l'épaule comme si tu cherchais à approuver sa présence. Les mots n'ont pas leur place, tu la laisses à sa discussion te reportant alors vers Azrael, ça te démangeait alors tu saisis le bout de tissus avec délicatesse, te chargeant de sa cravate comme un parent exaspéré. Combien de fois faudra-t-il te corriger sur ton sérieux ? Tu rehausses le nœud, lissant la texture soyeuse. Remercie moi plus tard.
Rajan Tsukino
Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
Age : 37 ans
Rang : S0
Seimei
Rajan Tsukino
some alcohilics
Haruka ne laissait rien passer. A peine avais-tu desserré ta cravate (cette terrible sensation d’étouffer) qu’il te rappelait à l’ordre. Ses doigts se glisse sur le bout de tissu qu’il remet immédiatement en place. Décidément. Tu avais l’impression qu’avec le temps, il devenait plus strict, notamment avec toi. A se demander lequel des deux était l’aîné. Il se félicite, comme un frère le ferait après avoir aidé son cadet et ça te fait doucement rire. Etrangement, tu te sens plus détendu à son contact.
« Qu’est-ce que je ferais sans toi. »
Le reste des invités arrivent bien vite à la suite. C’est un véritable défilé, jusqu’à celle qui est à l’honneur durant cette soirée. Shion. Tes appréhensions évaporent à son arrivée, parce que c’est elle, parce qu’elle t’as toujours fait cet effet.
Tu laisses Haruka courir derrière les autres cravates dénouées et espère qu’il ne compte pas jouer à ça toute la soirée, parce qu’autrement, il aurait du mal à en profiter. Tu saisis de ton côté les premiers verres afin de les distribuer ainsi que les premières bières. Une fête chez les Takamori où les festivités tardent à être lancée ? Une première, mais les choses ne sauraient tarder.
« Plus qu’à nous regarder dans le blanc des yeux, ça vous dirait un petit jeu ? Les règles sont simples : il faut déclarer à voix haute « je n’ai jamais… » quelque chose.
Si vous l’avez déjà fait : faut boire.
Si vous ne l’avez jamais fait : vous êtes épargné. »
T’as presque l’impression de tous vous revoir à l’époque où vous étiez encore de simples élèves sur cette île et en l’honneur de ces jours passés tu lances le premier tour ; « Exception du premier tour, sinon c’est de la triche : à tous ceux qui ont étudié à Mahoutokoro. »
Au moins, personne ne pouvait y échapper.
Kaede Uehara
Citation : i will be the one to watch you fall
Age : trente-sept
Rang : 94/100
Susanoo
Kaede Uehara
Party in the city where the heat is on All night, on the beach till the break of dawn "Welcome to Mahoutokoro" "Bienvenidos a Mahoutokoro" Bouncin' in the club where the heat is on
Un petit monde s’était retrouvé dans le salon de Takamori, un moment fût passé aux politesses, aux sourires, aux hochements de tête et autres jusqu’à ce qu’arrive l’invitée d’honneur de cette festivité. Une douzaine d’années étaient passées, le visage de Shion Fujiwara te paraissait brumeux, un puzzle que le temps a inachevé, puis elle arriva et te ramena l’espace de quelques instants à une époque que tu préférais oublier où, de loin, sa carrure gracieuse entrait de temps en temps dans ton champ de vision. Qu’importe, tu doutes l’avoir reconnue—du moins, aussi instantanément—dans une autre situation que celle d’une soirée pour accueillir un nouveau collègue.
Le monde sorcier te paraît soudain exigu, surtout en réalisant que tu te retrouves dans une pièce peuplée de personnes dont vos chemins s’étaient séparés il y a plus d’une décennie. Le monde à l’envers, même tes collègues d’ordinaire moins habillés que toi le sont lorsque tu ne l’es pas. Tu croyais que ce ne serait qu’un pot de bienvenue décontracté, mais te voilà dans l’erreur.
Les conversations sont interrompues par Rajan, apparaissant empressé de noyer sa tension dans l’alcool, ce que n’importe qui dans cette pièce ferait s’ils se retrouvaient eux-aussi face à l’être dont ils se languissent depuis une éternité. Il se met à distribuer dans chaque main vide une boisson et propose même un jeu auquel tout le monde décide de s’exécuter sans complaintes, à croire que tous rêvaient d’un verre depuis l’annulation des vacances. Tu préférais converser et boire à ton rythme, mais t’es pas rabat-joie.
Je n’ai jamais fait partie d’une équipe de quidditch. évidemment, celle-ci était pour l’investigateur de ce jeu et tu ne manques pas de trinquer ton verre contre le sien sans oublier de lui souhaiter à ta santé, Rajan. au pire, s’il finit éméché par terre, Haruka s'empressera de le ramener dans ses quartiers avant qu’il ne profère des sottises. ah, que c’est beau l’amitié.
Le monde sorcier te paraît soudain exigu, surtout en réalisant que tu te retrouves dans une pièce peuplée de personnes dont vos chemins s’étaient séparés il y a plus d’une décennie. Le monde à l’envers, même tes collègues d’ordinaire moins habillés que toi le sont lorsque tu ne l’es pas. Tu croyais que ce ne serait qu’un pot de bienvenue décontracté, mais te voilà dans l’erreur.
Les conversations sont interrompues par Rajan, apparaissant empressé de noyer sa tension dans l’alcool, ce que n’importe qui dans cette pièce ferait s’ils se retrouvaient eux-aussi face à l’être dont ils se languissent depuis une éternité. Il se met à distribuer dans chaque main vide une boisson et propose même un jeu auquel tout le monde décide de s’exécuter sans complaintes, à croire que tous rêvaient d’un verre depuis l’annulation des vacances. Tu préférais converser et boire à ton rythme, mais t’es pas rabat-joie.
Je n’ai jamais fait partie d’une équipe de quidditch. évidemment, celle-ci était pour l’investigateur de ce jeu et tu ne manques pas de trinquer ton verre contre le sien sans oublier de lui souhaiter à ta santé, Rajan. au pire, s’il finit éméché par terre, Haruka s'empressera de le ramener dans ses quartiers avant qu’il ne profère des sottises. ah, que c’est beau l’amitié.
Azrael Nakagawa
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 33 (7/07/64)
Rang : 92
Susanoo
Azrael Nakagawa
Tu seras bienvenue quelque soit l'heure.
Bois bien plus que tu ne dois, c'est bon pour tout ce que tu as— La chanson de l'aubergiste // Mozart l'Opéra rock
« Je tenais simplement à laisser la joie de cette tâche à ma seconde mère. Puis, le nœud terminé, tu t’adresses au susnommé : Merci, maman. »
Et c'est Rajan qui ouvre les festivités. Rajan qui vous propose un petit jeu – d'alcool, évidemment, sinon Takamori se plaindrais que ce n'est pas une vraie soirée. Tu souris, déjà amusé par l’idée. Il a choisi le jeu parfait pour apprendre des ragots intéressants sur les collègues donc, forcément, tu es ravi. Et puisqu'il décide de commencer en douceur, tu le suis en buvant une première gorgé.
C'est Kaede qui prononce la seconde affirmation, à laquelle tu bois de nouveau. Tu as fais parti de l'équipe de quidditch des Kitsune, durant une courte période de ta scolarité, alors tu supposes que ça compte.
Tu t'apprêtes à intervenir, réfléchissant un instant. À ce jeu, il y a deux choix : soit choisir des questions ayant pour but de faire boire le plus de personne possible – ou une personne en particulière – soit poser des questions dans le but d’apprendre les secrets les plus sombres des participants. La deuxième solution te paraît la plus tentante, mais tu as la gentillesse de débuter en douceur. Vous avez tout le temps d'entamer les choses sérieuses.
« Je n'ai jamais été une femme. »
Et c'est avec un ton très évident que tu t'en prends à ces demoiselles en premières.
Takamori Fujiwara
Citation : tu seras une pièce sans valeur sur le plateau de ma vie
Age : trente-et-un ans
Rang : a0
Susanoo
Takamori Fujiwara
les invités affluent de plus en plus dans l'appartement, heureusement tout le monde a suffisamment de place pour aller et venir à son aise. le jeune professeur est heureux de voir tous ses visages. les adultes ont aussi le droit de se reposer, de prendre du bon temps, et de boire quelques coups de trop. il les accueille comme s'il s'agissait d'une de ces réceptions estivales qui font la légende des fujiwara : un sourire et quelques mots gentils. c'est un réflexe ancré dans son gêne.
et puis il le voit. ce sourire sur le visage de shion. doux. tendre.
le bonheur la rend si belle.
et ses yeux ne peuvent s'empêcher de pétiller.
rajan ouvre le temps de l'amusement par un jeu à boire. peut-être aurait-il dû faire un discours avant, mais takamori n'a rien préparé. peut-être plus tard, s'il ne retombe pas dans ses vieux démons. bien sûr que tu vas y retomber. ne sois pas stupide jeune homme, tu es malade, et tu refuses la moindre aide. alcoolique. un verre. deux verres. trois verres. ah, la dernière question pourrait donner lieu à quelques surprises. et finalement c'est à lui de lancer une proposition. plusieurs idées lui viennent à l'esprit, une sort du lot, « je n'ai jamais essayé de mettre le feu à la salle commune de ma maison. ». quatre verres. parce qu'un jeu à boire c'est fait pour perdre. et d'ajouter avec un sourire malicieux, « et j'en suis plutôt fier. ».
la jeunesse de takamori est un gouffre d'actes plus stupides les uns que les autres, c'est ce qui la rendu si sage aujourd'hui.
Invité
Invité
Invité
Feat tous les profs que jve bz
some alcoholics.
Les arrivées continuent, les hochements de tête que Mero adresse à ses collègues s'enchaînent, sans pour autant ouvrir sur des conversations plus approfondies que les simples formalités de bases, en tout cas jusqu'à ce que Youko ne vienne lui adresser la parole.
- Je vais bien, merci, et toi ?
Elle ne lui sert pas non plus son ton le plus chaleureux, mais une chose est sûr, c'est qu'il a le droit au tutoiement que Merorin peine à sortir avec les autres ; et plus encore, elle s'apprête même à lui demander s'il souhaite boire quelque chose, juste avant qu'il ne la coupe dans son élan en déclarant que la soirée s'annonce bien, tandis que Rajan leur sert leurs premiers verres.
- Je ne sais pas. Ça fait depuis longtemps que je ne suis plus trop portée fête.
Elle boit une gorgée de son verre, désireuse de couper court à la conversation. Elle ne pense pas un instant que cette première gorgée est bien loin d'être la dernière, Rajan proposant un jeu digne de ceux auxquels participent les lycéens. Elle n'est pas tentée plus que ça mais se décide à suivre le mouvement, alors elle boit, passe son tour, boit de nouveau et ayant bien intégré les règles du jeu, boit automatiquement à l'affirmation de Takamori. Le temps qu'elle s'en rende compte, la boisson coule déjà dans sa gorge. Oui, elle se souvient d'une fois
où elle s'était laissée entraîner par des p'tits malins qui voulaient la voir sortir de son rôle de "Miss sans fautes". Elle était jeune, s'autorisait des bêtises, rares mais bien réelles, c'est naturel pour un enfant, aussi sérieux soit-il. Souhaitant ignorer d'éventuelles questions sur le quand et le comment, elle se décide à lancer la prochaine affirmation, montrant un air trop grave pour ce qui devrait, au contraire, être fait dans une ambiance légère.
- Je n'ai jamais mené la vie dure à l'un de mes professeurs plus jeune.
Cette fois-ci, c'est sûr, elle ne boira pas.
- Je vais bien, merci, et toi ?
Elle ne lui sert pas non plus son ton le plus chaleureux, mais une chose est sûr, c'est qu'il a le droit au tutoiement que Merorin peine à sortir avec les autres ; et plus encore, elle s'apprête même à lui demander s'il souhaite boire quelque chose, juste avant qu'il ne la coupe dans son élan en déclarant que la soirée s'annonce bien, tandis que Rajan leur sert leurs premiers verres.
- Je ne sais pas. Ça fait depuis longtemps que je ne suis plus trop portée fête.
Elle boit une gorgée de son verre, désireuse de couper court à la conversation. Elle ne pense pas un instant que cette première gorgée est bien loin d'être la dernière, Rajan proposant un jeu digne de ceux auxquels participent les lycéens. Elle n'est pas tentée plus que ça mais se décide à suivre le mouvement, alors elle boit, passe son tour, boit de nouveau et ayant bien intégré les règles du jeu, boit automatiquement à l'affirmation de Takamori. Le temps qu'elle s'en rende compte, la boisson coule déjà dans sa gorge. Oui, elle se souvient d'une fois
où elle s'était laissée entraîner par des p'tits malins qui voulaient la voir sortir de son rôle de "Miss sans fautes". Elle était jeune, s'autorisait des bêtises, rares mais bien réelles, c'est naturel pour un enfant, aussi sérieux soit-il. Souhaitant ignorer d'éventuelles questions sur le quand et le comment, elle se décide à lancer la prochaine affirmation, montrant un air trop grave pour ce qui devrait, au contraire, être fait dans une ambiance légère.
- Je n'ai jamais mené la vie dure à l'un de mes professeurs plus jeune.
Cette fois-ci, c'est sûr, elle ne boira pas.
Invité
Invité
Invité
WITHOUT YOU
TO HOLD
I'LL BE
FREEZING
SOME ALCOHOLICS
C'était presque amusant de vous voir tous rassemblés, buvant tels des adolescents. Après tant d'événements, tu n'avais pas voulu te détendre et peut-être était-ce là ton erreur, Kuro. Toi aussi tu as le droit de revenir à cet âge d'or, quand les problèmes vous glissaient dessus, que tu vivais ta meilleure vie, que ton inconscience était encore un atout. Tu observes, un verre d'eau à la main. A quoi bon retourner dans ce passé, il n'est pas là. Cette pensée t'effraya un peu, te rendant nostalgique plus qu'enjoué. Tu quittas le groupe auprès duquel tu te trouvais, préférant l'air extérieur, préférant te calmer avec ton tabac. Ce précieux allié, lui au moins ne te fait jamais défaut. La fumée qui sort de ta bouche s'évapore dans le vent, se confondant avec l'air ambiant, il te manque un verre, d'alcool, c'est vrai. Mais tu t'es promis de veiller sur les autres.Tu tournes la tête et aperçois brièvement l'engouement de tes compères, qui ont décidé de jouer. Un léger sourire en coin, tu finis ta cigarette et les regarde, adossé contre les montants de la porte, comme si ton propre poids était devenu trop lourd pour se supporter seul. Tu entends les questions, et bien que tu ne sembles participer, tu sais très bien qu'il viendra un moment où tu n'auras plus le choix. Seras-tu le plus malin en piégeant ces gens, grâce à des question extrêmement pointues ? Ou seras-tu plus... clément ? Je n'ai jamais été au Ministère. Ta voix grave fend les rires et l'ambiance joviale. Comme si cette question été beaucoup trop sérieuse pour un jeu comme celui-ci. Tu les regardes, certains étonnés de cette affirmation, d'autres qui n'y prêtent guère attention. Il y a de tout. Tu comprends que tu t'es toi-même lancé dans le jeu, et cède à ta propre volonté. Tu vas te chercher un verre.
HRP : juste, chronologiquement ce rp se passe avant mon procès. yay
@pharaohleap