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Event #12 : Le meilleur des mondes (Groupe 7)
Rajan Tsukino
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Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
Age : 37 ans
Rang : S0
Seimei
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Rajan Tsukino
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Rajan Tsukino
event 12 | le meilleur des mondes
Il en est de ces douces comédies dont on ne se lasse pas. Probablement que j'aurais adoré m'esclaffer devant celle-ci. Grandiose ! Aurais-je hurler avec ferveur, mais à l'aube de la mort de mon âme soeur, il n'y a rien de complaisant dans ce piètre spectacle. Minable. Comme tout se qu'il s'en était suivi durant des mois entiers. Je n'avais pas sacrifié ma chair et mon sang pour des effusions d'émois sans intérêt. Irrité.

Mes phalanges se glissèrent une à une autour du manche de mon Tokubetsu Juyo Toke. Mon attention portée sur la jeune Ueda et son phénix dansant de flammes, je dégainais dessinant le vide (空, kara) sur ma fine et fidèle lame, comme celui qui m'avait été laissé tant de temps après avoir transpercé l'illusion de la douce Shion. Une merveilleuse femme qui avait cessé d'exister comme de respirer, comme bientôt, cette chère et douce Poppy. Affection particulière à arracher les plus belles des fleurs. Espace (余地, yochi) faisant mourir son feu, dépourvu d'air : il ne peut plus subsister dans ce monde. Etendue (範囲,han'i) pour grandir jusqu'à plonger mon adversaire en suspension. Un voyage vers un nouvel espace. Sphère, (球, tama) pour l'enfermer dans cette bulle sans atmosphère. Adorable en tout point. Je m'avance vers celle qui s'était retrouvée enfermée ordonnant à Ootengu de faire barrière devant tout ceux qui oseraient la libérer de ton emprise comme de ton sortilège. Mais Saburoo, de tes supplications ou de votre arrangement : rien de cela me concerne. De la ministère ou de Poppy, qui préfères-tu voir vivre. Le temps s'écoulait et je me demandais curieusement combien de temps pourrais tenir en apnée une telle créature. Vite, vite, avant qu'il ne soit trop tard. Ecartez-vous et elle sera libre. J'avais au moins pour moi la chance d'être un homme de parole, j'avais juré mener ma quête jusqu'au bout et tant que je serais en vie, aucune prière ni aucune supplication ne m'arrêteraient. Promesse. Et je ne serais satisfait que lorsque Chizu se tiendra devant moi. Devant votre victoire.

Résumé : rajan s'est saoulé par le remake de lui et shion v2 mais avec takumi tjr en vie, il crée une zone de vide (comme dans l'espace) dans laquelle il enferme Poppy (c'est à dire sans oxygène), envoie ootengu protéger son piège et dit qu'il veut passer avant de la libérer : ^^.

Lyam Seizan
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Citation : ~
Age : 24 ans
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Ryujin
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Lyam Seizan
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Lyam Seizan
Devant nous, de nouveaux opposants et la douleur de voir des visages connus, collègues et surtout une amie. Douce Juri, pourquoi te trouvais-tu donc ici ? Il me fallait mettre mes sentiments de côté, tâche difficile dont la jeunesse était la fautive. J'enviais l'âge et l'expérience de mes aînés, cette faculté de fermer son coeur dans des moments comme celui-ci. Il me semblait percevoir une forme de regret dans la voix de Sei, lorsqu'il m'apostropha.

- Un bizutage ? Si seulement...

Malheureusement, la réalité était loin d'un simple bizutage.
Mais penser, il me fallait arrêter, car déjà ce nouveau professeur que j'assistais me visait. Je repoussais la vapeur ardente avec un souffle de vent traçant rapidement son caractère (風) flottant dans l'air. Voyant alors les flammes et la proximité un peu trop soudaine de l'homme, un Aguamenti puissant et informulé sorti de ma baguette pour éteindre ce feu surgissant de ses mains, trempant tout son être.  Une tentative d'esquive se fit sentir avec un pas de côté, mais trop tard, les mains me propulsaient en arrière. Chutant durement au sol, je lève la baguette vers lui, prêt à lancer un sort s'il projette un nouvel assaut.

- Vous devriez prêter attention aux paroles de Rajan, cher Oikaze. Votre alliée semble dans l'embarras, alors reculez.

La faiblesse d'un coeur qui n'était pas encore suffisamment ferme me retenait d'attaquer les personnes que je connaissais. Peut-être aussi l'idée d'ôter une vie me déplaisait, sachant pertinemment la douleur qu'elle entrainait pour les survivants. Un part de moi me criait que je baisserai dans l'estime de mes camarades de mission, mais ils étaient bien trop occupé pour juger maintenant. Lentement, je me relevais, gardant la menace de la baguette toujours levée sur lui.  



HRP : Fait du vent pour rejeter le brouillard
De l'eau pour éteindre le feu de Sei
Tombe par terre, parce que Sei a plus de force, vous avez vu ses muscles ???
Mais Lyam garde la face meme en mauvaise posture parce que Poppy est en danger et le fait remarquer a Sei

(Je savais pas quoi faire comme attaque....Alors voilà D: dsl)
Sei Oikaze
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Citation : Vivre signifie être conscient, joyeusement, jusqu'à l'ébriété.
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Amaterasu
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Sei Oikaze
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Sei Oikaze

Le meilleur des mondes

Ta vapeur d’eau chaude est dispersée avec aisance par Lyam. Tu ignores la chose, tu as toujours tes flammes entre tes paumes et continue de fondre sur ton collègue. Mais quelques secondes avant que tu ne le touches, il éteint le feu d’un aguamenti informulé. Malgré tout, tu le touches et l’envoie tout de même valser en arrière. Tu ouvres la bouche, laissant retomber ta baguette et l’attrape de la main gauche. Mais, tu t’immobilise. La voix de Rajan s’élève et tu tournes la tête en sa direction, voyant avec horreur la situation de Poppy. Tes pupilles se baissent ensuite vers Saburoo et tu comprends que la situation est bien plus alarmante que prévue.

-C’est donc à ce point.

Tu lâches, gardant ta baguette tendue vers Lyam. Tu ne sais que faire, car d’un côté tu es menacé par Lyam, et de l’autre, le Tsukino tient toujours Poppy enfermée. Tu es dans le dos de ce dernier et quiconque l’attaquerait, mais ce n’est pas ton genre. Jamais tu n’attaqueras dans le dos, même s’il s’agit de ton pire ennemi. S’il te faut te présenter face à ton adversaire et trahir ta position pour pouvoir le mettre hors d’état de nuire, alors tu le feras Tu gardes en tête le regard que Poppy t’as lancé bien plus tôt, et tu ne peux décemment t’arrêter là : tu le comprends, les enjeux sont trop importants. Alors te voilà tenter l’impossible.

-Bien.

Tu souffles, baguette toujours tendue vers Lyam, et lâche un informulé : Confundo. Le sort lancé, tu t’élances déjà sur la droite, de façon à avoir le Tsukino sur la gauche, et ne plus être dans son dos. Ceci fait, tu bifurque d’un coup, utilisant ton pied droit pour te donner une impulsion et tu fonds sur le criminel, lui jetant un Brachialigo toujours en informulé. Tu lèves la main droite, concentrant à nouveau ton feu dans ta paume, les tatouages formés de sceaux s’illuminant sous l’effet de l’onmyodo et, tu t’écrases sur le Tsukino, plaçant ta main au niveau de son visage dans le but de brûler sa face droite et ainsi, briser sa concentration et libérer Poppy.


HRP : L'attaque enflammée de Sei sur Lyam est avortée par ce dernier, il le frappe donc juste. Il voit la situation de Poppy et refuse de se rendre parce qu'il a bien compris qu'il ne faut surtout pas que Yuutsu gagne et qu'il faut protéger la ministe. Donc, il agit. Et rien ne vaut mieux qu'un schéma pour tout vous expliquer :kim:

schéma:


Juri Endo
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Citation : La couverture d'un livre ne signifie rien, tout est dans le contenue !
Age : 25 (26/04/1973)
Rang : A3
Ryujin
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Juri Endo
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Juri Endo
Et les combats se déroulent autour de toi, Juri, alors que tu es la avec ton bariyer, à protéger une femme muette, importante… Tu ne sais plus à ce moment là, Juri, tu doute, sauf que cela peut entraîner ta mort imminente, c’est bien trop pour ton cœur et ta tête.

Et la situation se retourne, tu vois évidemment le professeur Ueda et le professeur Awataguchi se battre mais, est-ce vrai cela ? Tu en doute, tu es sur de pouvoir dire que le professeur Ueda est passé du côté du professeur Awataguchi aux parole de Monsieur Tsukino qui… qui…

Et la bulle se crée sous tes yeux, emprisonnant la professeur Ueda…. La situation que vous gérez au départ commence à partir en fumée….

Et tu jette un coup d’œil par dessus ton épaule Juri, cette femme qui ne bouge toujours pas pourtant elle est votre autorité, elle pourrait très bien négocier, faire quelque chose, n’importe quoi… Non, cette porte reste fermé, malgré votre état lamentable et surtout avec vos adversaires bien plus fort, plus fort que toi Juri…

Tu essaie tant bien que mal de garder un mental mais, quand tu vois le professeur Oiikaze se battre avec Lyam, ton cœur rate un battement et un petit son sort de ta bouche, un petit cri de frayeur, une peur immense qu’un ami puisse disparaître sous tes yeux….

Tu vois seulement que ton imagination trop grande te joue clairement des tours là, le professeur Oiikaze fonçait vers ce que tu pourrais appeler le bras droit de Seimei sauf que c’est le yokai invoqué par cet homme qui finit dans les mains du professeur de soins aux créatures magiques…

C’en est sûrement fini de lui, tu reconnais évidemment sans mal le yokai, Ootengu, non connu pour sa tendresse…

Tu ne sais plus quoi faire Juri, si tu ne fais pas un choix maintenant, tes camarades Shuusei vont mourir devant tes yeux, tu sera responsable de leur mort… Tu commence à suffoquer et le bariyer disparaît tout doucement…

Finalement tu aurais du rester à la bibliothèque, entouré de tes livres, en sécurité, si tu ose le dire…

Alors que tu vois bien que ta concentration à disparut ainsi que le bariyer, tes convictions vacillent en regardant cet homme que tu as tant admiré à travers les livres...

Mon deuxième perso en pls, Miss Juri, voit bien que la situation tourne au vinaigre, commence doucement à paniquer, sa concentration en prend un coup, pouf le bariyer, veut retourner dans sa bibliothèque en regardant Seimei
Lyam Seizan
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Citation : ~
Age : 24 ans
Rang : A2
Ryujin
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Lyam Seizan
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Lyam Seizan
Soulagé de ne plus faire face à Sei, c'est vers Juri que je m'avance. Longeant le mur, mon esprit n'est plus totalement clair à cause du sort que le professeur des soins aux créatures magiques m'avait lancé. Pourtant, je parvenais à rester suffisamment lucide au vu de la gravité de la situation.

Je me saisis du poignet de Juri quand je parvins à elle puis, je lui enlevai sa baguette des mains sans effort. Je la brisai en deux avant de lâcher les morceaux au sol.  Au vu de l'état de détresse dans lequel elle était plongée, je n'avais au final, et heureusement, pas grand chose à faire. Me glissant dans son dos, je lui murmurai à l'oreille :

-Juri, ne fais rien de stupide, reste sage et il ne t'arrivera rien.

Ma main enserra de nouveau son poignet pour assurer une prise sur elle. Le mur fut mon allier pour couvrit mes arrières. Et de ma baguette tenue par mon autre main, je menaçais sa tempe; tandis que je la frappais par mes mots à son oreille.

-C'est fini, Juri. Tu le vois bien. Ta chère ministre n'en à que faire de vous. Elle ne vient même pas vous aider. Pourquoi donner votre vie pour quelqu'un qui se moque de ce qui vous arrive ?


HRP : Prend Juri en otage et l'achève avec ses mots. Mais au moins, il font un câlin amical. + RIP la baguette de Juri
Takumi Awataguchi
*hurle*
Citation : Ok.
Age : 46 ans
Rang : S0
Orochi
Orochi
Takumi Awataguchi
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Takumi Awataguchi
le meilleur des mondes Il s’écartait simplement, prenant sans tarder une grande gorgée de l’antidote, en réalité peu touché par la poison qui avait emballé son cœur – ayant plus un effet dopant que mortel en cet instant. Tu as de la chance, Saburoo, je ne t’aurais pas vu dévier ton attaque, je t’aurais arracher la vie. Son ton était aussi clair qu’à l’accoutumé, observant d’un œil l’assemblée, amusé très certainement par la situation plus grotesque encore qu’à leur arrivée. J’épargnerai sa vie et le tienne tant que vous vous tiendrez tranquille, tu me connais mon tendre ami, j’ai fait bien pire dans ma vie que ce qu’il aurait pu advenir à l’issu de ce combat. Nulle émotion ne viendrait déranger son éternel sang-froid, peu dérangé à l’idée d’enlever la vie d’autrui, et ce même si elle est celle de son plus tendre ami.

Bras croisé alors que son dos reposé sur un mur, observant les combats et les décisions prises, un regard vers Rajan alors que Juri également se retrouvait devenir une otage. Tu peux relâcher l’Ueda, elle ne fera rien, car si elle nous attaque, elle le regrettera. Son œil se posait sur Saburoo alors qu’il se redressait calmement, le dragon de feu gardant le couloir, empêchant les aurors de s’approcher. D’un mouvement de main, il réinvoquait la nuée de papillons, afin de garder en leur possession le couloir, portant peu d’intérêt à l’Oikaze, Rajan saurait s’en charger.

Un signe de tête envers Lyam et la bibliothécaire, autour des alliés et des otages, Takumi installa une barrière 擁護 (protection), alors qu’il inscrivait sur la porte les caractères : 火爆 (feu, explosion). Bouchez-vous les oreilles. Faisant exploser la porte et les murs proches dans un lourd grondement, des débris enflammés se projetant dans la salle où se trouvait très certainement la Ministre. Lentement, l’Awataguchi entrait dans la salle, balayant d’un coup de main la fumée causée par l’onmyodo.

-

Hrp : tanku dit à bubu qu'il l'aurait tué, demande à rajan de lâcher poppy, protège tlm (sauf sei dsl) avec une barrière, fait exploser la porte et les murs, entre.


L'Éventail
Event #12 : Le meilleur des mondes (Groupe 7) - Page 2 Mda6
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
Personne
L'Éventail
L'Éventail
Le meilleur des mondes30 janvier 1998.

Takumi, dans toute sa délicatesse, fit exploser la porte et le mur du bureau de la ministre de la magie, achevant au passage les deux aurors mourant. L'épaisse poussière dégagée par le sortilège mit quelques secondes à disparaître suffisamment pour que le groupe puisse voir l'intérieur du bureau.

La grande pièce n'avait que peu souffert de l'explosion, probablement grâce à des sorts de protection. Mais un regard circulaire leur apporta une autre information, bien plus intéressante, il n'y avait personne dans la pièce.
Hrp Takumi tue les aurors en faisant sauter la porte.
Il n'y a personne dans le bureau de la ministre.

Vous vous trouvez dans le couloir menant au bureau de Chizu Yamamoto.
Sans réponse en 48h, une intervention PNJ aggravera votre situation.
On vous demande 350 mots maximum par réponse, ainsi qu’un résumé d’une ligne à la fin du post.
Aucun ordre n’est imposé.
Vous ne pouvez pas changer de lieu pour l’instant.
Rajan Tsukino
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Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
Age : 37 ans
Rang : S0
Seimei
Seimei
Rajan Tsukino
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Rajan Tsukino
event 12 | le meilleur des mondes
Je me tenais en parfait état. Ootengu avait joué son rôle, celui de me protéger de toutes offensives. Inaccessible. Il se plaça en un battement d'ailes entre moi et ledit Oikaze. Heureusement pour lui, une attaque de la sorte ne lui faisait guère d'effet. Il se contenta d'attraper calment le bras du professeur pour le retourner derrière son dos et l'immobiliser. Cependant, afin de calmer les ardeurs du manieur de feu, le yokai dans sa maîtrise de l'homme lui déboita d'épaule. De mon côté, je me contentais d'observer nos opposants s'écarter et se faire capturer par nos alliés. Toi, Takumi faisais sauter le dernier obstacle entre nous et notre objectif.

Vide.

La ministre était aux abonnées absentes et ça n'avait rien pour me plaire, ni à moi, ni à l'ensemble des yuutsu. Je fis craquer ma nuque tandis qu'un origami vint se déposer sur mon index.

Missive de la jeune Kondo à l'égard de sa mission, plus qu'accompli. La mission pour capturer Gonosuke a un peu dérapée, paix à son âme. A ces mots j'éclatais de rire. Il semblerait que les plus jeunes soient plus efficaces que nous. Sachez mes chers camarades, et de sources sûres, que notre cher Gonosuke Tanegashima est mort ! J'écrasais le papier entre mes mains avant de le laisser s'embraser d'un sortilège informulé pour ne laisser aucune trace de la communication. Si notre chère madame Yamamoto se refuse de nous faire acte de sa présence, alors ce ministère ne m'intéresse guère. Faites tout brûler. Je m'adressais à mes compagnons avant de lancer un sortilège de feudeymon dans le bureau de la dirigeante. J'en profitais par la même occasion de libérer la jeune Ueda de mon emprise, arrivant au bout de son délais. La bulle s'évapora et c'est entre mes bras que je recueillis la jeune femme. Vous en faites une tête, mais on me le dit souvent que : je ne manque pas d'air. Et bientôt, il n'en restera plus ici non plus.


Résumé : Ootengu se prend l'attaque de Sei et lui déboite l'épaule. Rajan recoit un origami de Maiko qui annonce la mort de Gonosuke et transmet l'info avant de foutre le feu au bureau et de libérer poppy avec 1 petite vanne.

Poppy Tsugikuni
Event #12 : Le meilleur des mondes (Groupe 7) - Page 2 53b116b12f3a84c19cb935f6c88b85899d9b78e8
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 29 ans - 12.10.1968
Rang : 94/100
Ryujin
Ryujin
Poppy Tsugikuni
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Poppy Tsugikuni
facultatif bc limite de mots haha:

Là, dans un socle si vide que même la lumière ne passait pas, elle se flétrissait - son coeur palpitait piteusement, chaque geste réduit au maximum dans l'espoir d'économiser le peu d'oxygène coincé dans ses poumons. La consécration de toutes ses peurs était conjurée au creux de cette si simple magie, sous le coup de ce qu'elle supposait un hasard cruel ; chaque seconde s'étirait pernicieusement, sans qu'elle ne trouvât la moindre échappatoire. Otage sans qu'elle le sût, ses bras trop affolés pour qu'elle pût tracer le moindre caractère correct.

Eût-elle été relâchée en d'autres circonstances, l'épuisement l'aurait avachie dans les bras de son kidnappeur ; mais à la lumière des faits, les yeux brûlés par l'étincellement d'un sort damné, Poppy laissa l'instinct prendre le pas sur le reste. Elle cracha, ceinturée de rage : à défaut d'air, tu manques tant d'humour que de dignité. Et son poing, si serré que les phalanges lui en blanchissaient, fut propulsé droit dans le nez du Tsukino, ses jambes encore faibles poussant de toutes leurs forces pour se libérer de son étreinte. Un accio lui remit son sabre entre les mains, et elle se permit enfin une inspiration plus profonde.

Tandis qu'elle s'apprêtait à scander d'autres ordres à ses trois partenaires, un regard chargé d'épouvante suffit à couper son entrain - Juri était à la merci de l'assistant de Sei, lui-même voûté par une blessure qu'elle ne parvenait à identifier ; elle murmura un cura dans sa direction. L'Awataguchi trônait toujours bien vivant, et elle doutait de pouvoir tirer de Saburoo la moindre coopération. Si chaque goulée d'air était savourée, elle savait ses poignets trop flageolants pour de l'onmyodo et se contenta d'un aguamenti changé en sable par un elemento ; elle espérait avant tout ralentir la propagation des flammes dans le couloir, et foudroya les partisans du regard, l'arme toujours empoignée. Qu'avez-vous fait de Madame la Ministre ?

(poppy fonctionne 70% à l'adrénaline et 30% à la haine pure, punch rajan de toutes ses forces + le tutoie bc il mérite ZERO RESPECT et s'apprête à organiser une contre-attaque mais réalise que tous ses partenaires sont claqués au sol (donc elle cura sei pcq c'est le seul visiblement blessé). de là, elle drop  un aguamenti changé en sable pour atténuer les flammes et se tient face aux partisans en leur demandant où est chizu)


Juri Endo
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Age : 25 (26/04/1973)
Rang : A3
Ryujin
Ryujin
Juri Endo
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Juri Endo
Brisé, comme une vulgaire vitre, tu ne sais plus Juri, tu ne sais plus ce que tu dois faire alors que tu regarde les personnes autour de toi, les yeux vide embrumé de larmes, rien ne te semble logique, tout semble perdu dans un infini que tu ne peux pas comprendre…

Mais, tu devais te ressaisir Juri, tu ne pouvais pas perdre la tête comme cela, ce n’était pas toi, il y’a toujours une explication, une logique et c’est ami littéraire qui te fit comprendre cette logique…

Tu ne peux rien lui répondre sur son murmure qui te fit doucement reprendre tes esprits, tu tournais légèrement ton visage alors que Lyam s’emparait de ta baguette… Et tu prends conscience des choses, en voyant à terre ta baguette brisé…

Est-ce que tes conviction était les bonnes ? Est-ce que c’était une bonne idée de suivre la voie que ton oncle voulait pour toi ?

Tu veux hurlé, dire que toi aussi, tu es une sorcière malgré ton sang, que ton arme n’avais aucune besoin d’être détruite…

Et cette explosion montra une vérité bien trop cruelle, ce bureau vide, tu protégeais Juri un bureau vide, la ministre n’était pas là, tu veux t’effondre et hurlé encore plus fort que tu ne le voulais il y’a quelque seconde, tu te tourne vers tes camarades, tes yeux brillait de colère alors que cela n’arrive jamais.

- Pourquoi on se bat exactement ? Pour une femme lâche qui laisse tomber son peuple ? Si c’est cela autant se tourner vers l’ennemi.

Oui, tu en étais capable Juri, de te tourner vers Seimei, après tout, tu as toujours admiré ses exploits à travers les livres, tu aurais aimé devenir comme lui sauf que c’était impossible.

Tu n’en pouvais plus, pourquoi avoir fait tout cela pour un bureau vide ? Tu avais mal au cœur, tu doutais du ministère depuis ce procès et là entre la mort du directeur Tanegashima et aucun signe de la ministre dans son bureau… Tu comprend le geste de Tsukino, à quoi bon garder quelque chose dont on a plus besoin…

- Tu peux me lâcher Lyam, je suis inutile sans ma baguette et je n’ai aucune envie de me battre pour ce genre de personne qui fuit à la moindre étincelles.

Tu était en colère Juri, contre toi d’abord mais, surtout contre le ministère qui te ment depuis le début...

Juri un peu toujours en pls, se reprends assez vite quand Lyam décide la prendre en otage, commence grandement à douter du ministère après les paroles de son ami mais, quand Takumi explose la porte et que la bibliothécaire voit le bureau vide, sa colère explose, demande des explications aux différents Shuusei présent avant de clairement dire qu'elle serait prête à rejoindre Seimei, demande à Lyam de la lâcher aussi vu qu'elle est inutile sans baguette et qu'elle ne veut plus se battre pour le ministère
Sei Oikaze
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Amaterasu
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Sei Oikaze
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Sei Oikaze

Le meilleur des mondes

Ton poing ne s’écrase pas sur le visage de Rajan, un ancien ami que tu n’avais pas vu depuis longtemps, et que tu as rencontré à l’occasion d’une soirée beuverie. De drôles de retrouvailles si tu puis dire, entre lui, Takumi ou encore Saburoo. Au lieu de cela, c’est un Yokai qui apparait et te saisit le bras, le retournant dans ton dos. Il y met tant de force qu’il te déboite l’épaule, t’arrachant un hurlement de douleur. Sous la géhenne, tu flanches et t’écroule à genou. Les dents serrées, tu fermes les yeux, en essayant d’ignorer ce sentiment désagréable. Tu parviens à voir Poppy libérée de sa prison, en regardant par-dessus ton épaule. Elle frappe Rajan, t’arrachant un sourire de satisfaction, si toi tu n’as pas réussi à le toucher, elle y est parvenu et c’est tout comme ! Elle te lance un cura et tu la remercie. Cela ne te soigne pas, mais te permet au moins de te faire oublier la douleur, et ne pas te forcer à abandonner : contrairement aux deux autres.

-Voyons, Juri. Si tu abandonnes pour ça, autant ne plus jamais combattre !

Tu dis en serrant les dents, serrant ta baguette entre tes doigts.

-La ministre n’est pas là, ce n’est pas plus mal, cela nous donne encore un atout dans notre manche pour la suite !

Tu es un optimiste, et ministre ou pas ministre, cela ne t’empêchera pas continuer à te battre jusqu’à ce que tu en meures. Tu ne veux pas laisser cette alliance qui brûle et tue des innocents gagner. Si toi tu abandonnes, quel avenir est-ce que tu donneras à tes enfants, hein ? Abandonner, en ne sachant même pas si la mère de tes enfants a survécu, là, au ministère, se faisant attaquer dans le dos par ces lâches ? Il en est tout bonnement hors de question ! Tu lances un Aguamenti sur les flammes qui pourlèchent les murs, espérant pouvoir les retenir assez longtemps, tout en te redressant sur tes pieds.

-Poppy, j’ai bien l’impression que nous sommes leur dernier rempart !

Tu tentes de lancer un Obcuro en direction de Ootengu et puis, tu écrases l’arrière de ton crâne en plein dans son visage : foutu pour foutu, autant s’y donner à fond.


HRP : Sei tombe à genoux avec l'attaque de Ootengu mais heureusement, Poppy lui fait un Cura. Cela lui replace l'épaule un peu brusquement mais lui permet de lui rendre un peu d'énergie. Alors, il lance un Aguamenti sur les flammes et puis, se redresse et tente un Obscuro sur Ootengu et puis, tente un coup de boule en lançant sa tête en arrière pour le toucher.

Seimei
Event #12 : Le meilleur des mondes (Groupe 7) - Page 2 O77k
Citation : Notre heure arrive.
Age : Inconnu
Rang : Inconnu
Seimei
Seimei
Seimei
Seimei
Le meilleur des mondes30 janvier 1998.

Plutôt que de prendre du bon temps, ses subalternes s'étaient enfin mis à travailler et à anéantir toute forme de résistance ministérielle. Lorsque Takumi fit exploser la porte du bureau de la ministre, puis lorsque Rajan mit le feu, Seimei montra clairement son agacement. De quel droit détruisaient-ils le bâtiment alors qu'il ne leur avait encore rien permis ? Il était grand temps de rappeler à cette troupe de morveux qui dirigeait.

Seimei frappa une fois dans ses mains, tous les sorts incantés s'effacèrent. Seimei frappa une seconde fois, les shikigamis invoqués disparurent. Seimei frappa enfin une dernière fois, Ootengu fut révoqué. « Cela suffit. Vous vous êtes suffisamment amusés. », il traversa alors le couloir, dépassa Takumi et Rajan, et observa la pièce. « Allons madame la ministre, vous avez passé l'âge de jouer à cache-cache. Montrez-vous et faîtes face à votre destin. ».

À ses mots, Chizu Yamamoto apparut, assise dans son fauteuil les bras croisés sur son bureau, « Vous avez raison Seimei, le destin nous observe et je me demande qui il a choisi de supporter. ». Sans plus de cérémonie, la ministre envoya le coupe-papier posé sur son bureau, en direction du cœur de Seimei, avec un Waddiwasi. Le couteau se planta dans la poitrine, mais aucune gerbe de sang n'en sortit. Seimei retira le couteau de son corps avec toute la sérénité du monde, et le laissa tomber sur le sol. Le visage de Chizu ne laissa transparaître aucune surprise, comme si elle s'attendait à un tel prodige. « Mes agents avaient donc raison... », la voix étrangement calme de la vieille dame tranchait avec une situation que tous aurait qualifiée de tragique.

La victoire se dessinait un peu plus à chaque instant sur le visage du seigneur des Yuutsu. « Si vous avez des questions à poser à notre invitée c'est le moment. », il y avait une pointe d'amusement dans la voix de Seimei.
Hrp Seimei annule tous les sorts et invocations diverses et variées.
Chizu tente d'assassiner Seimei mais cela échoue.
Vous pouvez discuter avec Chizu.

Vous vous trouvez à l'intérieur du Ministère, non loin du bureau de Chizu Yamamoto.
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Saburoo Ueda
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Orochi
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Saburoo Ueda
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Saburoo Ueda

Le glas sonne trois fois.
Le glas, mortuaire, sonne trois fois avant que sa rémanence ne gagne mon oreille, que celui dont l’âme est millénaire ne vienne disposer sa souveraineté sur cette terre, ravagée par les personnifications abâtardies de sa volonté.
Grand bien lui satisfasse, je n’en ai cure.

Rajan voyons, cesse de déblatérer ce qui ne nous intéresse guère : cours donc chercher ton prix, puisque tu es hâtif comme un chien exalté par son maître. Il s’en était fallu de peu, une infinitésimale seconde pour que la colère surpasse l’appréhension qui retenait la main où gisait encore le tranchant de Namazuo. Mais Poppy avait émergé à renfort de rage et de violence, m'arrachant toute celle que je fantasmais infliger alors. Grand bien cette justicière douleur lui fasse, je n’en ai cure.
Car la raison de mon opprobre, la source inlassablement considérée de mes craintes exposées sur le gonfalon de ma tourmente, l’appréhension cannibale, féroce, qui se rassasie de mes viscères la voilà, et mon pas se presse vers elle.
Ah, Poppy. La véritable distance qui nous sépare désormais est un gouffre insondable où les ombres qui s’y meuvent risquent bien d’oblitérer l’essence même de ce que nous sommes ; de ce que nous fûmes.
Ah, quelle toile d’enfer me procure l’autotourment, cette muse de misère qui agite convulsivement mes mains d’artiste. Et ces mains, ces outils de trahison, je les appose sur ses joues, mon front sur le sien dans le geste désespéré de colmater cette maudite distance qui nous éloigne irrémédiablement à chacun de nos souffles mêlés. Oh Poppy, ma petite loutre, je ne te verrai pas mourir pour une bataille que nous ne pouvons remporter. Alors je t’en prie, au nom de l’amour que tu as un jour pu me porter ; considère ceci comme la dernière de mes demandes —non, suppliques : laisse-les se saisir de cette victoire, je ne souhaite pas qu’elle se fasse sur nos cadavres, et devrai-je me muer en yūrei si elle se fait sur le tien.
A d'autres, sans oser me mouvoir : Sei, mon ami, ta combativité te fait un grand honneur. Le mien, je l’abandonne éhontément, car il m’importe peu de déchoir de vos estimes—mon regard longe celui de ma cousine sans jamais s’y plonger—tant que vous demeurez encore en vie pour en posséder une.
Voilà qu'il me faut m'arracher de tes yeux, Poppy, pour gagner les côtés de Takumi, car là-bas et dans la trahison j'y ai établi mon nid.

bubu se remet à faire ce qu’il sait faire de mieux : parler (il est vénère contre rajan ; discours larmoyant blablabla sur poppy en faisant la version soft d'un keldabe kiss, et un peu sur sei) + ne pose aucune question car il n’en a pas grand-chose à faire, il a eu son quota d’interactions sociales inopportunes et veut juste rentrer pour boire du saké
Juri Endo
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Citation : La couverture d'un livre ne signifie rien, tout est dans le contenue !
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Ryujin
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Juri Endo
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Juri Endo
Alors que le maître des yuutsu s'avance dans le bureau de la ministre tout en annulant les sorts autour de vous, la deuxième voix que tu entends la voix de Chizu Yamamoto...

Elle était dans son bureau depuis le début... Tes yeux n'avait plus de larme a versé, il ne brillait que de colère, pourquoi ? mais, pourquoi elle n'est pas intervenu plus tôt ?

Tu es autant dans l’incompréhension que en colère Juri, cette femme qui attaque l'homme en face d'elle sans lui faire aucun dégât... Tu imprègne cette informations dans ton cerveau, c'est quelque chose d'incroyable.

Quand Seimei propose à l'assemblé que vous êtes de poser des question à la ministre... Malgré que tu sois toujours dans les bras de Lyam qui t’a lâché le poignet, un peu libre, ton visage se tourne vers la vieille dame.

- Pourquoi tout ça ? Qu'est-ce que ça vous fait de nous voir face à ceux dont vous ignorer la menace depuis le début ?

Tes poings sont serrés, cette colère que tu n'a jamais exprimé.

- Comme je demandais à mes camarades, pourquoi on se bat exactement ? Pour une femme qui n'en a rien à faire de nous ?

Parce que tu avais entendu la réponse du professeur aux soins aux créature sauf qu'elle ne te plaisait pas, si on se bats c'est pour quelque chose, quelqu'un, pas juste pour son plaisir personnelle.

- Est-ce que les convictions que vous prônaient depuis le début sont fausses aussi ? Vous ne faite cela que par intérêt personnelle ?

Tes questions fusent les unes après les autres dans ton cerveau que tu ne sais pas celle que tu dois poser en priorité...

Tout cela t’épuise Juri, tu ressent une fatigue que ton corps n’a jamais vraiment ressentis, même si tu aimerais que Lyam te lâche convenablement, tu es bien contente d’être dans ses bras, ta tête tombe doucement contre le torse de l’homme à nouveau, tu aimerais fermé les yeux et plongé dans un sommeil profond sauf que ce n’est ni le lieu ni l’endroit pour ça.

Juri est un peu plus en colère voyant que Chizu était dans son bureau, laisse Seimei s'entretenir avec elle, voit bien que le coupe papier ne fait aucune blessure à l'homme ancestral, puis ne se gêne pas à poser des questions à la vieille femme pour comprendre puis fatigué laisse tomber sa tête sur le torse de lyam, luttant contre le sommeil
Lyam Seizan
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Citation : ~
Age : 24 ans
Rang : A2
Ryujin
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Lyam Seizan
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Lyam Seizan
J'avais lâché Juri quand elle me l'avait demandé. Après le vol en éclat de la porte et le bureau vide, je me retenais de soupirer. Nous n'étions quand-même pas monté jusqu'ici pour rien ? Notre Maitre nous dévoila alors l'illusion de la Ministre. Proche de moi, je voyais bien Juri passer par toutes les émotions. Qu'est-ce que cela faisait de voir toutes ses convictions voler en éclat ? Je laissais cette amie, épuisée, trouver refuge contre moi. Je levais un bras pour tapoter gentiment le sommet du crâne de la demoiselle, réflexe copié de mon frère... Alors que je détestais quand Clyde me le faisait.

-Voyons, Juri, tu oublies aussi de demander pourquoi elle a délibérément nié l'évidence, à savoir le retour de Seimei-sama, d'Orochi, de l'attaque de l'école par les yôkai.

Soit la Ministre était une sombre idiote pour avoir voulu ignorer tout cela, soit elle cachait quelque chose qu'elle n'avait encore jamais avoué.
Du coin de l'oeil, j'observais aussi les autres, espérant qu'ils se tiennent tranquilles. Ils étaient suffisamment amoché comme ça, non ?


HRP : Patpat Juri et renchérit avec une question.
L'Éventail
Event #12 : Le meilleur des mondes (Groupe 7) - Page 2 Mda6
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
Personne
L'Éventail
L'Éventail
Le meilleur des mondes30 janvier 1998.

La ministre restait imperturbable ; assise derrière son bureau, elle écoutait patiemment les commentaires, remontrances et remarques désobligeantes que le comité avait à lui faire. Elle n'en avait cure. Sa fin était proche car, malgré tous ses efforts, elle avait perdu la partie.

Une fois que la bibliothécaire et l'assistant eurent fini, Chizu prit la parole : « Il est en effet peut-être temps que je partage ma vision des choses. Parce que je suis sans doute une vieille dame acariâtre, mais je n'ai jamais souhaité devenir une dictatrice, contrairement à ce que vous imaginez. ». Il n'y avait aucune haine, aucune colère dans sa douce voix de la ministre aux allures de grand-mère gâteau.

« Pour comprendre mes actes, il faut revenir en arrière, il y a un an presque jour pour jour. Lorsque Minami-Iwo émergea des flots, lorsque nous découvrîmes l'horreur : la trahison de Kurosawa et la réalité sur le fondateur de l'école. En toute honnêteté, sur l'instant je n'ai pas cru les premiers témoignages qui me parvenaient, je pensais à un traumatisme lié aux événements ou à un sortilège lancé par les partisans de Seimei. Mais plus les rapports s'amoncelaient sur mon bureau, plus je visionnais les images des interrogatoires et plus la vérité me frappait. Seimei n'était pas un héros, encore moins le respectueux fondateur que la légende avait bien voulu nous faire croire. C'était un mage noir de la pire espèce qui avait trahi la volonté de son maître pour satisfaire ses plans démesurés. ». Les paroles sortaient sans la moindre hésitation, tous sentaient qu'elle avait préparé son histoire et pourtant cela paraissait si naturel. « Si j'ai mis du temps à accepter la réalité, malgré les preuves et les dossiers auxquels j'avais accès, croyez-vous que le peuple l'aurait accepté facilement ? Bien sûr que non. Le ministère n'avait pas eu le temps de réagir que déjà les rumeurs de folies et de traumatismes parmi les élèves et le personnel se répandaient à travers tout le pays. Comment convaincre les sorciers qu'ils pensent faux alors que tout ce qui les intéressent, c'est la sécurité de leurs proches ? Comment les forcer à changer complètement la vision d'un personnage légendaire ? Seimei est l'exemple du parfait sorcier, glorieux, fort et intelligent, que les parents agitent pour que leurs enfants travaillent à l'école. Comment leur dire que tout ceci n'est qu'une invention vieille d'un millénaire ? ».

La ministre se tut, reprenant son souffle ou jouant avec le silence pour forcer son auditoire à réfléchir aux questions qu'elle venait de lancer. « Je n'ai pas su trouver la solution. Alors j'ai préféré mentir, pour protéger la réputation de l'école et l'unité de notre communauté. Il en va de même pour le retour d'Orochi. Imaginez le chaos qu'aurait provoqué une telle révélation parmi les sorciers. Le ministère annonçant qu'une créature mythique, dépeinte comme maléfique dans les légendes, est belle et bien vivante, et probablement encore plus dangereuse que ce que l'on peut concevoir. Surtout, nous n'avions aucune idée de comment l'affronter ou limiter son influence sur les yokais du pays. Ou même plus simplement, nous ne savions, et nous ne savons toujours pas ce qu'il souhaite, puisqu'Orochi préfère rester caché dans les montagnes. ».

Le regret, face à cette affaire qu'elle laissait inachevée, se ressentait entre les mots. « Quant à l'attaque menée par des yokais et Orochi, nier la réalité et accuser Yuutsu était plus que nécessaire. D'abord parce que le ministère ne pouvait pas annoncer l'existence de quelque chose qu'il niait depuis plus mois, et surtout parce que nous avions peur d'un retour en force de Yuutsu depuis l'évasion rocambolesque de Kurosawa. Mais le fait est que je me suis trompée sur lui, puisqu'il n'est pas présent avec vous pour votre coup d'État. ». L'ironie de la phrase était palpable, tandis qu'un délicat sourire se dessina sur le visage de la vieille dame. « Sachez que je ne regrette absolument aucune de mes actions, et que je n'aurais aucune hésitation à tout refaire à l'identique malgré l'issue qui m'attend. J'ai fait ce que j'ai cru le plus juste pour protéger la communauté et les intérêts de Shuusei. Nous avons perdu cette guerre, et l'avènement de Yuutsu sera, je le crains, inéluctable. Cependant, ne pensez pas qu'un avenir doux et glorieux vous attend. Orochi est resté calme depuis bien trop longtemps, et malgré ce que raconte votre maître, il n'existe aucun moyen pour s'opposer à lui. ».

Alors qu’elle expirait doucement, les mains de Seimei se joignirent dans un clap retentissant, sonnant le glas de la ministre. L’absence de regret qu’elle venait d’exprimer le dispensait de proposer un jigai, pour son plus grand - quoique mesuré - plaisir. Il dégaina Totsuka, la lame brillant à la lumière d’un destin cruel, et s’avança à pas contrôlés vers elle. « Trêve de bavardages, Madame Yamamoto. » Même face à la Mort en personne, Chizu demeurait d’un calme olympien ; elle toisait son ennemi pérenne sans une once de peur dans le regard, la sérénité à peine écorchée par le sursaut réflectif de sa main. Quand bien même avait-elle accepté son sort, l’instinct humain la poussait à s’y opposer - elle n’eut que le temps d’empoigner sa baguette avant que Seimei, d’un coup proprement sec de son sabre, ne déloge sa tête du socle de son corps.

Une gerbe de sang surgit de la plaie béante, le crâne de la ministre déchue s’échouant piteusement sur son bureau ; Seimei essuya d’un geste ample les résidus écarlates tachant son arme, avant de la ranger dans son fourreau et de faire demi-tour. A sa suite, les partisans se dirigèrent vers l’entrée du ministère, triomphants.

Hrp Chizu Yamamoto est morte.
Le groupe se dirige vers l'entrée du ministère.

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Rajan Tsukino
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Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
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Seimei
Seimei
Rajan Tsukino
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Rajan Tsukino
event 12 | le meilleur des mondes
Venant d'un homme trahissant les siens et même la parole de son chef au nom de l'amitié, je me demande lequel remue plus la queue ici, Saburoo. Takumi t'as apporté ta sucrerie préféré ? À ta place, je tiendrais mon clapet fermé. J'haussais les épaules avant de vaguer à mes propres occupations tandis que la ministre déniait enfin à montrer le bout de son nez. Voilà donc la triste réalité de cette femme retranchée dans un cache-cache attendant son heure sans aucune volonté de lutter.

Les questions fusent et trouvent peu à peu leurs réponses, parfois elles font écho à aux espoirs que moi-même je nourrissais depuis longtemps ; mais à mes yeux, je ne voyais là que toute l'étendue de sa lâcheté. J'écoutais d'une oreille distraite, refusant de m'attacher à un quelconque discours ante-mortem : qu'elle livre ses aveux aux morts, parce que seul compte le résultat.

Je me permettais de me servir de derrière son bureau et désormais échafaud quelques de ses délices. Sa logorrhée n'en finissait plus et ma coupe de saké se faisait bien vite triste. Mais l'heure n'était pas à s'enivrer et un verre se faisait amplement suffisant. Je me délaissais de ma distraction, je n'avais pour elle aucune question, simplement un pitoyable constat. Vous n'avez au final, trouvé de l'honneur que dans la lâcheté et c'est ce qui vous a perdu aujourd'hui, madame la ministre. Elle n'en avait fait qu'à sa tête, et voilà qu'elle venait de tomber. Je saisit de son bureau souillé de sa vie quelques morceaux de papiers baignant de la disgrâce de Chizu Yamamoto. Des origamis s'envolèrent et je m'avançais vers le nouveau monde.


Résumé : Retourne son commentaire à Saburoo, ignore Chizu, manque de respect en tapant dans son saké de 100 ans d'age du placard, envoie des origamis et sort.

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