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1, 2, 3Event #12 : Le meilleur des mondes (Groupe 7)
Lyam Seizan
Citation : ~
Age : 24 ans
Rang : A2
Ryujin
Lyam Seizan
Les révélations tombèrent, comme la tête de la ministre juste après. C'était décevant. Tout n'avait été qu'une question de politique au final. C'était bien triste pour tout ceux qui l'avaient suivie. Je poussais un soupir et fit un dernier patpat sur la tête de Juri. J'imaginais ce qui se passait dans sa tête, puisqu'elle avait la chance de toujours l'avoir, elle, et ça ne devait pas être glorieux. Et oui, voilà pourquoi tu te battais, n'est-ce pas malheureux ? Je l'écartais de moi et fit deux pas pour retrouver la baguette que j'avais si facilement brisée. Je lançais un Reverte dessus avant de la ramasser de faire face à Juri ; tandis que les origami de Rajan volait dans les airs.
-Je doute que tu puisses l'utiliser comme avant, mais au moins, elle est à nouveau unie.
Je tendis sa baguette a Juri qui m'avait évoqué dans le passé la sentimentalité qu'elle avait avec cet instrument. Une chose était sûre, il était plus facile de reconstituer une baguette rompue qu'un corps étêté.
Et puisque notre mission ici était finie, je m'éloignais de ce couloir qui embaumait à présent la mort.
-Je doute que tu puisses l'utiliser comme avant, mais au moins, elle est à nouveau unie.
Je tendis sa baguette a Juri qui m'avait évoqué dans le passé la sentimentalité qu'elle avait avec cet instrument. Une chose était sûre, il était plus facile de reconstituer une baguette rompue qu'un corps étêté.
Et puisque notre mission ici était finie, je m'éloignais de ce couloir qui embaumait à présent la mort.
HRP : Redonne a la baguette de Juri son aspect initial, meme si elle devra surement en acheter une nouvelle.
Commence à s'éloigner, vu que la mission est finie. Puis ça pue la mort et la mort, c'est kegare.
Poppy Ueda
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 29 ans - 12.10.1968
Rang : 94/100
Ryujin
Poppy Ueda
Nous ne nous battons pas pour la ministre, Juri, mais pour la liberté. Je n'ai pas dégainé mon sabre pour sauvegarder une personne parmi les autres, mais pour ce qu'elle défend, ce qu'elle représente - pour l'égalité à laquelle nous aspirons tous, en tant qu'alliés de Shuusei. Les mots dégoulinaient ainsi que ces larmes qu'elle retenait furieusement, la main tremblante autour du pommeau de sa lame.
Que Yamamoto fût là ou non, Poppy se serait soulevée contre eux ; c'était dans son héritage que résidait l'espoir, et au nom du symbolisme que l'héritière se tenait encore debout sur des genoux flageollants. Ne parle pas de traîtres, Tsukino, quand c'est par leurs préceptes que tu jures. Elle s'apprêtait à arrêter le divin lui-même, exhortée par la force illusoire de l'espérance, quand les mains si fraîches que familières de son cousin l'arrêtèrent dans sa lutte.
Les doigts, à l'instar cruel des mots, taillaient à même ses os une douleur impérieuse - Saburoo lui demandait, la suppliait d'abandonner à l'instant le plus crucial de leur bataille, et elle réalisait alors qu'il n'en partageait nullement la portée. Dans un égoïsme blessé, son premier réflexe eût été de le repousser, d'asseoir des valeurs insufflées tant dans son sabre que dans le creux de ses veines ; avait-il toisé la même détresse, face au directeur déchu ? Avait-il dû choisir entre son clan et sa famille, quand bien même les deux fussent intrinsèquement liés ?
La tirade concluse et la chaleur réconfortante de son front s'éloignaient durement, mais Poppy craignait le froid qui cherchait à la posséder. Ses bras, frêles, s'enroulèrent autour de la taille de son cousin, alors même que les démons riaient et que la ministre soufflait ses dernières paroles. Ne me laisse pas, laissa-t-elle échapper dans une plainte fluette, pas maintenant. Elle avait pensé trouver le courage en sa compagnie précieuse, vaincre quiconque se dresserait en travers de leur chemin pur ; mais lui l'abandonnait sitôt que le danger les guettait, et réclamait qu'elle suivît le même sillage.
Les morts ne pouvaient être pleurés que l'ignominie Yuutsu crachait son venin létal - elle s'apprêtait à protester, horrifiée par leur déshonneur, lorsque le battement d'un papier teinté coupa court à sa révolte. Le coeur palpitant d'angoisse, elle laissa ses jambe ploire sous son poids, et s'arma de toute la âcheté qu'elle avait viscéralement enfouie. C'est la fin.
(rappelle les objectifs qu'ils étaient censés suivre, avant que la ministre ne meure ; réagit à la pique de rajan et s'apprête à arrêter seimei, ne serait-ce que pour le ralentir ; arrêtée d'abord par saburoo, prête à repartir au quart de tour quand rajan souille la ministre ; de nouveau arrêtée, cette fois par l'origami de kohaku ; admet la défaite, fond en larmes comme 1 merde sur le sol)
Que Yamamoto fût là ou non, Poppy se serait soulevée contre eux ; c'était dans son héritage que résidait l'espoir, et au nom du symbolisme que l'héritière se tenait encore debout sur des genoux flageollants. Ne parle pas de traîtres, Tsukino, quand c'est par leurs préceptes que tu jures. Elle s'apprêtait à arrêter le divin lui-même, exhortée par la force illusoire de l'espérance, quand les mains si fraîches que familières de son cousin l'arrêtèrent dans sa lutte.
Les doigts, à l'instar cruel des mots, taillaient à même ses os une douleur impérieuse - Saburoo lui demandait, la suppliait d'abandonner à l'instant le plus crucial de leur bataille, et elle réalisait alors qu'il n'en partageait nullement la portée. Dans un égoïsme blessé, son premier réflexe eût été de le repousser, d'asseoir des valeurs insufflées tant dans son sabre que dans le creux de ses veines ; avait-il toisé la même détresse, face au directeur déchu ? Avait-il dû choisir entre son clan et sa famille, quand bien même les deux fussent intrinsèquement liés ?
La tirade concluse et la chaleur réconfortante de son front s'éloignaient durement, mais Poppy craignait le froid qui cherchait à la posséder. Ses bras, frêles, s'enroulèrent autour de la taille de son cousin, alors même que les démons riaient et que la ministre soufflait ses dernières paroles. Ne me laisse pas, laissa-t-elle échapper dans une plainte fluette, pas maintenant. Elle avait pensé trouver le courage en sa compagnie précieuse, vaincre quiconque se dresserait en travers de leur chemin pur ; mais lui l'abandonnait sitôt que le danger les guettait, et réclamait qu'elle suivît le même sillage.
Les morts ne pouvaient être pleurés que l'ignominie Yuutsu crachait son venin létal - elle s'apprêtait à protester, horrifiée par leur déshonneur, lorsque le battement d'un papier teinté coupa court à sa révolte. Le coeur palpitant d'angoisse, elle laissa ses jambe ploire sous son poids, et s'arma de toute la âcheté qu'elle avait viscéralement enfouie. C'est la fin.
(rappelle les objectifs qu'ils étaient censés suivre, avant que la ministre ne meure ; réagit à la pique de rajan et s'apprête à arrêter seimei, ne serait-ce que pour le ralentir ; arrêtée d'abord par saburoo, prête à repartir au quart de tour quand rajan souille la ministre ; de nouveau arrêtée, cette fois par l'origami de kohaku ; admet la défaite, fond en larmes comme 1 merde sur le sol)
Juri Endo
Citation : La couverture d'un livre ne signifie rien, tout est dans le contenue !
Age : 25 (26/04/1973)
Rang : A3
Ryujin
Juri Endo
Tu luttais contre le sommeil Juri, tu voulais écouter les explications, logique, trop logique, tu comprenais d'une certaines façon la ministre, après tout tu as été choqué de voir cet homme devant toi une année plus tôt à vouloir tout détruire...
Tu as cherché, étudier, quelque chose pour le défaire, l'anéantir mais, tu n'as jamais rien trouvé, tu avais trop peu d'information dans ton espace clos, tu ne pouvais pas aller quémander des informations au ministère, cela paraissait sûrement trop suspect dans ta petite tête...
Et puis pourquoi une née-moldu s’intéresse à une histoire qui ne concerne que les sang-pur ?
C'est irrationnel, impensable et tu avais abandonné Juri tout cela, te concentrant sur la bibliothèque, revoyant petit à petit des amis de longues dates, en t'épanouissant comme l'aurait voulu Kai.
Mais, n'aurait-elle pas pu partager ses informations avec ceux qui aurait pu être digne de confiance ? Tu pense à Hanaoka avec le jeune Hayashi, cherchant à réunir les Shuusei...
Qui ne sont plus maintenant... Seimei, homme ancestral, décida de trancher la tête de la vieille dame d’un coup sec, tu ne pus que fermer les yeux en entendant la tête tomber lourdement au sol…
Yuutsu avait gagné cette guerre, shuusei va avoir du mal à se relever, toi aussi Juri, luttant contre ce sommeil, tu te demande ce que tu dois faire, après tout maintenant tu n’a plus ta place dans le monde magique… pourtant…
Tu aimerais y rester, tu aimerais rester maîtresse de la bibliothèque de Mahoutokoro, tu hésite, est-ce que tu dois te retourner vers ton ennemi, enfin celui des Shuusei, tu ne sais pas si tu l’as considérer comme un ennemi un jour ?
Après tout, c’est grâce à lui que tu as voulu continuer la magie, ne pas abandonné tes années d’études à Mahoutokoro… Mais, à quoi bon rester ? Tu reprends ta baguette des mains de ton « ami », tu regarde Madame Ueda avec un sourire fané.
- Nous défendions ses convictions malgré tout… C’est gentil de vouloir me rassurer.
Tu regarde cette baguette entre tes doigts, brisé comme tu l’es Juri, tu n’as plus qu’à rentré dans cette maison, vide et surtout dans ce monde auquel tu appartient vraiment.
Tu as cherché, étudier, quelque chose pour le défaire, l'anéantir mais, tu n'as jamais rien trouvé, tu avais trop peu d'information dans ton espace clos, tu ne pouvais pas aller quémander des informations au ministère, cela paraissait sûrement trop suspect dans ta petite tête...
Et puis pourquoi une née-moldu s’intéresse à une histoire qui ne concerne que les sang-pur ?
C'est irrationnel, impensable et tu avais abandonné Juri tout cela, te concentrant sur la bibliothèque, revoyant petit à petit des amis de longues dates, en t'épanouissant comme l'aurait voulu Kai.
Mais, n'aurait-elle pas pu partager ses informations avec ceux qui aurait pu être digne de confiance ? Tu pense à Hanaoka avec le jeune Hayashi, cherchant à réunir les Shuusei...
Qui ne sont plus maintenant... Seimei, homme ancestral, décida de trancher la tête de la vieille dame d’un coup sec, tu ne pus que fermer les yeux en entendant la tête tomber lourdement au sol…
Yuutsu avait gagné cette guerre, shuusei va avoir du mal à se relever, toi aussi Juri, luttant contre ce sommeil, tu te demande ce que tu dois faire, après tout maintenant tu n’a plus ta place dans le monde magique… pourtant…
Tu aimerais y rester, tu aimerais rester maîtresse de la bibliothèque de Mahoutokoro, tu hésite, est-ce que tu dois te retourner vers ton ennemi, enfin celui des Shuusei, tu ne sais pas si tu l’as considérer comme un ennemi un jour ?
Après tout, c’est grâce à lui que tu as voulu continuer la magie, ne pas abandonné tes années d’études à Mahoutokoro… Mais, à quoi bon rester ? Tu reprends ta baguette des mains de ton « ami », tu regarde Madame Ueda avec un sourire fané.
- Nous défendions ses convictions malgré tout… C’est gentil de vouloir me rassurer.
Tu regarde cette baguette entre tes doigts, brisé comme tu l’es Juri, tu n’as plus qu’à rentré dans cette maison, vide et surtout dans ce monde auquel tu appartient vraiment.
Juri comprend un peu la ministre, repense à tout ce qu'elle a fait pour Shuusei, avant de laisser tomber à cause de son sang, ferme les yeux sur la tête tranché de Chizu, récupère sa baguette, réponds gentiment à poppy, aimerait rester dans le monde magique sauf qu'elle sait que ce n'est pas sa place, rentre chez elle dans le monde moldu
Seimei
Citation : Notre heure arrive.
Age : Inconnu
Rang : Inconnu
Seimei
Seimei
La marche est lente, mais glorieuse. Seimei traverse le Ministère dans la quiétude des vainqueurs, piétinant les décombres d'un bâtiment qu'il avait si aisément plié à sa volonté. A l'entrée, la bataille fait rage - mais sa seule arrivée suffit à en cesser le cours, son aura impérieuse faisant taire jusqu'à la plus viscérale des hargnes. « Le Ministère est tombé. »
Le silence suit, tous happés par la présence du despote. « Rien ne sert de lutter. Ce jour marque le début d'une nouvelle ère, et nous œuvrerons pour créer le meilleur des mondes. La voie divine m'a souri et, en tant que déité, je tâcherai de vous guider dans cette voie idyllique. » Edifié et vénéré, il conclue sa succincte tirade sur une réalité amère. « Rejoignez-moi tous aujourd'hui, ou périssez demain. »
★ Tous se trouvent à l'entrée du Ministère en flammes.
★ Sans réponse en 48h, une intervention PNJ aggravera votre situation.
★ On vous demande 350 mots maximum par réponse, ainsi qu’un résumé d’une ligne à la fin du post.
★ Aucun ordre n’est imposé.
★ Vous ne pouvez pas changer de lieu pour l’instant.
Kazami Hayashi
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 16
Rang : D4
Orochi
Kazami Hayashi
Tes oreilles bourdonnent Kazami, rien que de tenir cette baguette, tu ne peux pas dire que tu déteste la magie, elle fait partis de toi mais, là...
Ton frère dans ton dos, un ami à lui devant toi, que tu as attaqué...
Tu ne sais pas ce que tu dois faire maintenant, continuer ce combat perdu d'avance ou bien fuir, en amenant ton frère avec toi...
Quand le destin en a voulu autrement, le cuisinier, Monsieur Mori annonce que cela ne sert à rien de se battre pour une mort certaine...
La main qui tient ta baguette Kazami s'abaisse aussitôt, les mots de l'adulte te frappent bien trop, ton cœur en a assez alors que tes larmes perlent à nouveau tes yeux.
Tu attrapes la manche de l'adulte à tes côtés, lâchant ta baguette par la même occasion.
- Je suis désolée...
Tu n'ose même pas regarder yori, tu n'arrive plus à rien, tu voudrais juste rentrer et que cette journée n'ait jamais eu lieu sauf que...
Sur la voix de cette homme, traumatisme d'une année passé, cette annonce ne te fait que t'accrocher à l'adulte à tes côtés, la peur t'envahit à nouveau, tu as perdu du monde cette années là, même si tu as gagné en maturité aussi après cela.
- Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
Tu te tourne vers l’adulte ainsi que ton frère, ta peur de perdre quelqu’un à nouveau était bien trop grand à cet instant, quel choix deviez-vous faire pour survivre ?
Kazami cogite sur ce qu'elle doit faire jusqu'à l'arrivé d'Akihiro, c'est à nouveau la pls, s'accroche à l'adulte pour le soutien moral jusqu'à l'annonce de Seimei où elle flippe carrément de perdre quelqu'un au vu de la menace qui plane sur leurs têtes.
Ton frère dans ton dos, un ami à lui devant toi, que tu as attaqué...
Tu ne sais pas ce que tu dois faire maintenant, continuer ce combat perdu d'avance ou bien fuir, en amenant ton frère avec toi...
Quand le destin en a voulu autrement, le cuisinier, Monsieur Mori annonce que cela ne sert à rien de se battre pour une mort certaine...
La main qui tient ta baguette Kazami s'abaisse aussitôt, les mots de l'adulte te frappent bien trop, ton cœur en a assez alors que tes larmes perlent à nouveau tes yeux.
Tu attrapes la manche de l'adulte à tes côtés, lâchant ta baguette par la même occasion.
- Je suis désolée...
Tu n'ose même pas regarder yori, tu n'arrive plus à rien, tu voudrais juste rentrer et que cette journée n'ait jamais eu lieu sauf que...
Sur la voix de cette homme, traumatisme d'une année passé, cette annonce ne te fait que t'accrocher à l'adulte à tes côtés, la peur t'envahit à nouveau, tu as perdu du monde cette années là, même si tu as gagné en maturité aussi après cela.
- Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
Tu te tourne vers l’adulte ainsi que ton frère, ta peur de perdre quelqu’un à nouveau était bien trop grand à cet instant, quel choix deviez-vous faire pour survivre ?
Kazami cogite sur ce qu'elle doit faire jusqu'à l'arrivé d'Akihiro, c'est à nouveau la pls, s'accroche à l'adulte pour le soutien moral jusqu'à l'annonce de Seimei où elle flippe carrément de perdre quelqu'un au vu de la menace qui plane sur leurs têtes.
Natsuo Maeda
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 30 ans (22/01)
Amaterasu
Natsuo Maeda
LE MEILLEUR DES MONDES
La fête est terminée – ou elle ne fait que commencer, qu’en sais-je ? Avec nonchalance, il déchira le papier entre ses doigts. La ministre est morte. Même lui, qui se considérait paria, prenait conscience que la nouvelle poserait les bases de nombreux changements dans cette société.
Il laissa échapper la réponse, qu’il venait de prendre le temps d’écrire, avant d’observer brièvement les réactions de ceux qui l’importaient. Peut-être le suivraient-ils, mais sans un mot supplémentaire, il tourna les talons, faisant route jusqu’à l’entrée du bâtiment.
Dehors pesait l’ambiance d’une guerre encore fraiche. Dans ses veines s’agitait encore l’adrénaline, tandis que son regard s’accrocha, en premier lieu, au groupe que constituait son frère. Puis s’arrêta, irrémédiablement, sur celui qu’il avait affronté, un an plus tôt. Divin ? Cette bonne blague. La réflexion ne s’adressait qu’à lui-même, bien qu’il ne prêta pas attention à qui pouvait l’entendre. Sur ses lèvres s’étendait un sourire, le faisant réellement paraître amusé. Je rêverais d’affronter un dieu. Sa main tenant déjà la poignée de son sabre, il était prêt à s’y risquer.
hrp : a hésité à planter, littéralement, akira, mais s'en est désintéressé avec l'origami de rajan. lui répond. rejoint l'entrée du ministère et se rit du divin seimei ; est prêt à le tester
Lyam Seizan
Citation : ~
Age : 24 ans
Rang : A2
Ryujin
Lyam Seizan
Les étages redescendus, Son message diffus à la foule qui s’amoncelait, je voyais des visages connus dont celui de mon frère. Je fus soulagé de voir qu'il n'avait rien.
Les mots qu'Il prononçait, une sorte de vérité qui ne plairait pas à tout le monde. J'étais curieux de savoir ce que donnerait ce nouveau commencement. Je me demandais aussi qui serait assez fou pour oser s'opposer à Lui.
Mes pas me rapprochèrent de Natsuo, l'une de ces autres têtes connues. Simplement à le voir, son sourire puis la main sur son sabre et enfin ses mots, je soupirais devant son trop plein de combattivité. Je posais une main sur la poignée de son arme, de sorte à l'empêcher de dégainer s'il y pensais vraiment.
-Je préférerais que tu le fasses dans tes rêves plutôt que dans la réalité.
Je remarquais alors la tache rose près de nous et fronçais les sourcils, me crispant à la vision du petit cuisinier, crispation qui se ressenti sur l'arme et la main de Natsuo. Au moins, je le tenais bien.
Les mots qu'Il prononçait, une sorte de vérité qui ne plairait pas à tout le monde. J'étais curieux de savoir ce que donnerait ce nouveau commencement. Je me demandais aussi qui serait assez fou pour oser s'opposer à Lui.
Mes pas me rapprochèrent de Natsuo, l'une de ces autres têtes connues. Simplement à le voir, son sourire puis la main sur son sabre et enfin ses mots, je soupirais devant son trop plein de combattivité. Je posais une main sur la poignée de son arme, de sorte à l'empêcher de dégainer s'il y pensais vraiment.
-Je préférerais que tu le fasses dans tes rêves plutôt que dans la réalité.
Je remarquais alors la tache rose près de nous et fronçais les sourcils, me crispant à la vision du petit cuisinier, crispation qui se ressenti sur l'arme et la main de Natsuo. Au moins, je le tenais bien.
HRP : Reconnait des gens dans la foule, sorry, j'ai pas fait tout le monde, on est BEAUCOUP
Retient la lame de Natsuo et se crispe en voyant Akira.
Clyde Seizan
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : ☆ 29 - 22.05.68 ☆
Rang : ☆ B2 ☆
Orochi
Clyde Seizan
meilleur des mondes
La guerre se terminait petit à petit et dans un sens que le jeune homme ne pouvait qu’apprécier : son côté avait gagné. Ses yeux posés sur son adversaire, un léger pouffement de rire ne put être retenu.
« Ironique venant de la personne qui a lancé les hostilités. » Clyde ne vous avait jamais attaqué, il n’avait fait que se défendre.
« Néanmoins, je suis d’accord avec toi. Cela ne sert plus à rien de se battre sauf perdre des vies inutilement. » Souffla l’attrapeur tout en se recoiffant de sa main libre.
Puis une voix attira son attention, s’en suivit d’un groupe et des visages plus que connu. Cet ancien collègue et son frère cadet. Ils ne semblaient n’avoir aucune blessure : le voilà soulagé.
Un sourire et un simple signe de la main pour montrer sa présence avant de simplement écouter portant discrètement un regard pour voir la réaction que tu allais avoir, Reiichi.
Bien que Clyde aimait briller et se montrer, il savait quand le moment était de se taire et il n’avait aucune envie de se mettre à dos Seimei. Cette personne qui porte son admiration.
Une fois l’annonce terminée, l’étoile s’avança légèrement en se courbant de manière polie face au dieu pour simplement lui montrer son allégeance : pas besoin de mot en plus.
Le monde allait maintenant changer et il ne demandait qu’à le survoler à l’aide de son fidèle balai.
Clyde n’avait pas fini de briller, cela ne faisait que commencer.
« Ironique venant de la personne qui a lancé les hostilités. » Clyde ne vous avait jamais attaqué, il n’avait fait que se défendre.
« Néanmoins, je suis d’accord avec toi. Cela ne sert plus à rien de se battre sauf perdre des vies inutilement. » Souffla l’attrapeur tout en se recoiffant de sa main libre.
Puis une voix attira son attention, s’en suivit d’un groupe et des visages plus que connu. Cet ancien collègue et son frère cadet. Ils ne semblaient n’avoir aucune blessure : le voilà soulagé.
Un sourire et un simple signe de la main pour montrer sa présence avant de simplement écouter portant discrètement un regard pour voir la réaction que tu allais avoir, Reiichi.
Bien que Clyde aimait briller et se montrer, il savait quand le moment était de se taire et il n’avait aucune envie de se mettre à dos Seimei. Cette personne qui porte son admiration.
Une fois l’annonce terminée, l’étoile s’avança légèrement en se courbant de manière polie face au dieu pour simplement lui montrer son allégeance : pas besoin de mot en plus.
Le monde allait maintenant changer et il ne demandait qu’à le survoler à l’aide de son fidèle balai.
Clyde n’avait pas fini de briller, cela ne faisait que commencer.
EPSILONRésumé : Clyde lâche un pique à Akihiro et énonce aussi qu'il n'y a plus raison de se battre.
Il est soulagé de voir que Lyam et Rajan vont très bien.
Il écoute Seimei avec intérêt et fait même un signe en se courbant et lui montrer son respect.
Il n'attend qu'à pouvoir voler dans ce nouveau monde.
Reiichi Matsunoya
Age : 30 ans
Rang : A3
Seimei
Reiichi Matsunoya
Le combat cessait à mon plus grand soulagement. Par contre, l'angoisse en moi me dévorait les entrailles. J'avais du mal à me remettre de ma trahison. J'avais bien vu que mon amitié venait de voler en éclat. J'avais commis l'irréparable. Un sentiment de solitude m'envahis.
En approchant du Ministère en flamme, je n'avais aucune joie. Yuutsu avait gagné. Un avenir encore plus incertain montrait le bout de son nez. Au moins avions nous un choix. Suivre ou mourir. Pour la survie, je suivrais, mais l'envie de m'enfuir était palpable. J'ignorais ce qu'il allait advenir, que ce soit pour moi, pour ceux que j'appréciais, pour les autres. Cette inconnue m'effrayait. Je m'en voulait d'avoir répondu a cette convocation. Jamais je n'aurai du mettre les pieds ici. Ainsi, jamais je n'aurai fait des choix qui maintenant me faisait mal. Même s'ils m'avaient conduit involontairement dans le camp des gagnants.
En approchant du Ministère en flamme, je n'avais aucune joie. Yuutsu avait gagné. Un avenir encore plus incertain montrait le bout de son nez. Au moins avions nous un choix. Suivre ou mourir. Pour la survie, je suivrais, mais l'envie de m'enfuir était palpable. J'ignorais ce qu'il allait advenir, que ce soit pour moi, pour ceux que j'appréciais, pour les autres. Cette inconnue m'effrayait. Je m'en voulait d'avoir répondu a cette convocation. Jamais je n'aurai du mettre les pieds ici. Ainsi, jamais je n'aurai fait des choix qui maintenant me faisait mal. Même s'ils m'avaient conduit involontairement dans le camp des gagnants.
HRP : est en pls mentale, mais au moins les combats ont cessés et il est chez les vainqueurs même si c'était pas prévu à la base.
Akira Tsugikuni
Citation : La vie a pour but la mort, vivre n'est qu'apprendre à mourir.
Age : 25 (02.06.72)
Rang : A3
Amaterasu
Akira Tsugikuni
30.01.98「 Meilleurs D. Mondes」
Alors que j’étais à côté de toi, Natuso voilà que tu venais de recevoir un origami avec une nouvelle…
Une nouvelle qui me surprit quelques instants, mais pas tant que ça.
Un sourire tremblant sur le visage, je ne pus retenir un rire assez sonore à un point de devoir me tenir le ventre.Saloperie de maladie
Chizu Yamamoto, cette femme que j’avais rencontré avec Yori. Que nous eussions mis en garde… Venait de perdre la vie.
« Au moins, elle ne pourra pas dire que nous ne l’avions pas prévenue ! » Soufflais-je en reprenant mon souffle quand ma crise fut passée.
Heureusement mon attention se tourna vers ce groupe qui venait de sortir du ministère, calmant mon souffle et la situation dans laquelle la surprise et les émotions venaient de me mettre.
Le rejoindre après les vies mortes par sa faute ? Même pas en rêve ! Périr ? Cette idée était tente…
Combien de personnes allaient se jeter sur lui pensant avoir une chance même à plusieurs ?
L’espace d’un instant, ma main se dirigrea vers ma baguette prêt à commettre l’irréparable.
Suicide ? On peut le dire… Mais ma pensée se tournait vers ma vie pouvant donner un exemple aux abrutis qui pensaient avoir une chance. De cette manière, elle serait utile, non ?
Malheureusement, mon attention fut détournée par une voix que je reconnus et me crispa légèrement, n’est-ce pas Lyam ?
Avant de finalement t’entendre parler Natsuo et comprendre ce que tu allais faire.
Tu fais chier, ce n’est pas maintenant que j’allais mourir…
« Neh, Natsuo ! Voyons, ce n’est pas le bon moment… Tu dois être épuisé et Seimei aussi ! Le combat ne sera que plus palpitant si vous êtes les deux en formes. » Ai-je dit de ma petite voix en entourant ton bras des deux miens pour le serrer contre moi.
Maintenant, j’avais juste envie que nous puissions partir… Et ainsi qu’aucune des personnes que j’apprécie ne soit en danger… M’assurer que vous alliez bien…
Maman, Reiichi, Yori, Akihiro… Tout le monde, j’espère que vous êtes encore debout.
Une nouvelle qui me surprit quelques instants, mais pas tant que ça.
Un sourire tremblant sur le visage, je ne pus retenir un rire assez sonore à un point de devoir me tenir le ventre.
Chizu Yamamoto, cette femme que j’avais rencontré avec Yori. Que nous eussions mis en garde… Venait de perdre la vie.
« Au moins, elle ne pourra pas dire que nous ne l’avions pas prévenue ! » Soufflais-je en reprenant mon souffle quand ma crise fut passée.
Heureusement mon attention se tourna vers ce groupe qui venait de sortir du ministère, calmant mon souffle et la situation dans laquelle la surprise et les émotions venaient de me mettre.
Le rejoindre après les vies mortes par sa faute ? Même pas en rêve ! Périr ? Cette idée était tente…
Combien de personnes allaient se jeter sur lui pensant avoir une chance même à plusieurs ?
L’espace d’un instant, ma main se dirigrea vers ma baguette prêt à commettre l’irréparable.
Suicide ? On peut le dire… Mais ma pensée se tournait vers ma vie pouvant donner un exemple aux abrutis qui pensaient avoir une chance. De cette manière, elle serait utile, non ?
Malheureusement, mon attention fut détournée par une voix que je reconnus et me crispa légèrement, n’est-ce pas Lyam ?
Avant de finalement t’entendre parler Natsuo et comprendre ce que tu allais faire.
Tu fais chier, ce n’est pas maintenant que j’allais mourir…
« Neh, Natsuo ! Voyons, ce n’est pas le bon moment… Tu dois être épuisé et Seimei aussi ! Le combat ne sera que plus palpitant si vous êtes les deux en formes. » Ai-je dit de ma petite voix en entourant ton bras des deux miens pour le serrer contre moi.
Maintenant, j’avais juste envie que nous puissions partir… Et ainsi qu’aucune des personnes que j’apprécie ne soit en danger… M’assurer que vous alliez bien…
Maman, Reiichi, Yori, Akihiro… Tout le monde, j’espère que vous êtes encore debout.
Résumé : Akira n'arrive pas à retenir un fou rire quand Natsuo leur apprend la mort de Chizu. (avant que le monde n'arrive.)
Il est à deux doigts d'attaquer Seimei pour montrer que personne n'a de chance contre lui en y sacrifiant sa vie. Heureusement Natsuo et Lyam le font sortir de ses pensées.
Et prend un des bras de Natsuo entre les siens en lui disant que le combat sera plus épic s'ils sont les deux en formes ! (Sa façon de le retenir et le protéger)
Il refuse de porter allégeance à Seimei en pensée. Il s'inquiète pour ses proches.
Koyoi Tsukino
Citation : you don't like someone ? kill him.
Age : cent trois ans
Rang : s0
Amaterasu
Koyoi Tsukino
En silence, elle écouta le discours de Seimei. Elle ne mourrait donc pas aujourd'hui. Autour d'elle les réactions s'amoncelait, aussi différentes les unes que les autres. C'était trop tôt pour saisir la réaction de la communauté, mais elle ne doutait pas que le nouveau maître du pays saurait établir son autorité. Après tout, il disait être un dieu, et si tel était le cas, alors aucun mortel ne pourrait s'opposer à sa divine volonté. Ce simple constat fit germer dans son esprit une série de questions auxquelles elle n'avait pas la réponse. Elle irait sûrement embêter le prêtre du Kitano Tenman-gu dans les jours qui suivent.
Poppy Ueda
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 29 ans - 12.10.1968
Rang : 94/100
Ryujin
Poppy Ueda
Elle serrait entre ses doigts les papiers bleutés d'origamis brutaux, furieuse envers le monde mais surtout elle-même - la marche était si rapide que honteuse, pressée par les flammes mais ralentie par le déshonneur. Poppy se tenait finalement face à l'outrage, ses doigts serrés autour du poignet de son cousin pour en sécuriser la présence ; à leurs côtés, Motohiro trônait, et elle avait pris la peine de lui céder un sourire vide, maussade.
C'était la vue bénie de son père qui, inespérée, tira de ses épaules le poids responsable de la mort de la ministre — elle s'apprêtait à l'appeler, les mots secs sur le bord de ses lèvres, lorsqu'elle constata la lame entre ses mains, et la dureté de ses traits. Ce qui eût dû être le soulagement de retrouver un fragment de son âme se mut en peur fébrile, ses genoux flageollants face à la fatalité qui la toisait.
Tout se passa en un éclair : Hidejirou Ueda, fièrement armé et poussé par ce qui ne pouvait être qu'une pulsion suicidaire, s'élança sans une once d'espoir sur le dieu. Sans mal, d'une main brutalement tendue vers l'assaillant, Seimei l'arrêta dans sa course — il arracha le katana des mains tremblantes du chef et le plongea, dénué de toute émotion, dans son poitrail exposé.
Poppy crut voir, un instant, le regard de son patriarche tourné vers elle, la haine le quittant pour se saturer d'une douceur résignée. Elle ne put qu'observer, simple spectatrice, la scène cruelle ; qu'entendre, impuissante, le glas d'une lame plongée dans le coeur qui l'avait portée, jusque-là. Elle broya les origamis d'une main et le bras de Saburoo de l'autre, saisie par l'impression violente qu'on lui arrachait son âme ainsi qu'on eût arraché ses viscères.
Vidée, trop amorphe pour espérer réagir, elle sentit simplement ses jambes céder sous son poids.
(arrive pendant le discours de seimei, voit son père, s'apprête à l'appeler mais ne peut que l'observer mourir sous sa propre lame
j'aurais développé sur 1500 mots de pur drama mais 1. flemme et 2. la limite de mots)
C'était la vue bénie de son père qui, inespérée, tira de ses épaules le poids responsable de la mort de la ministre — elle s'apprêtait à l'appeler, les mots secs sur le bord de ses lèvres, lorsqu'elle constata la lame entre ses mains, et la dureté de ses traits. Ce qui eût dû être le soulagement de retrouver un fragment de son âme se mut en peur fébrile, ses genoux flageollants face à la fatalité qui la toisait.
Tout se passa en un éclair : Hidejirou Ueda, fièrement armé et poussé par ce qui ne pouvait être qu'une pulsion suicidaire, s'élança sans une once d'espoir sur le dieu. Sans mal, d'une main brutalement tendue vers l'assaillant, Seimei l'arrêta dans sa course — il arracha le katana des mains tremblantes du chef et le plongea, dénué de toute émotion, dans son poitrail exposé.
Poppy crut voir, un instant, le regard de son patriarche tourné vers elle, la haine le quittant pour se saturer d'une douceur résignée. Elle ne put qu'observer, simple spectatrice, la scène cruelle ; qu'entendre, impuissante, le glas d'une lame plongée dans le coeur qui l'avait portée, jusque-là. Elle broya les origamis d'une main et le bras de Saburoo de l'autre, saisie par l'impression violente qu'on lui arrachait son âme ainsi qu'on eût arraché ses viscères.
Vidée, trop amorphe pour espérer réagir, elle sentit simplement ses jambes céder sous son poids.
(arrive pendant le discours de seimei, voit son père, s'apprête à l'appeler mais ne peut que l'observer mourir sous sa propre lame
j'aurais développé sur 1500 mots de pur drama mais 1. flemme et 2. la limite de mots)
Yori Hayashi
Citation : All is lost again but i'm not giving up
Age : 19 (16 mars)
Orochi
Yori Hayashi
LE MEILLEUR DES MONDES30.01.1998
Les mots résonnent dans mon esprit.
Pas que la nouvelle soit foncièrement mauvaise – le Ministère méritait, j’en suis persuadé, de tomber. Le feu comme purificateur, Shuusei pourrait se rebâtir sur des bases saines ; renaître de ses cendres, tel un phénix.
Mais face à nous, en chair et en os : Seimei. L’essentiel de mes cauchemars, personnifiés en sa seule personne, se rappellent à ma mémoire, déjà trop vive en temps normal. Mon souffle s’accélère, se raccourci, se rarifie, jusqu’à m’offrir la sensation d’étouffer.
L’angoisse l’emporte sur la haine, mais je me refuse à ployer la nuque. Fièrement dressé, parmi la foule, je ne parviens encore à essuyer l’humiliation de mettre trouvé à genou, précédemment.
L’espace d’un instant, je regarde le soleil, priant presque pour la réalisation d’une récente prémonition.
Si la magie venait à disparaître, Yuutsu n’aurait rien gagné.
Le visage de Kazami se tourne dans ma direction et, résigné, je me rapproche d’elle. Elle m’a fait ressentir autant d’inquiétude que de fierté, tandis que sur mon cœur pèse encore la trahison rafraichie d’un ami. D’une impulsion qui semble désespérée, j’entoure son épaule de mon bras, plongeant mes doigts dans ses cheveux pour la serrer brièvement contre moi.
Si nous devons mourir, aujourd’hui, j’aurai au moins le soulagement de l’avoir fait, une dernière fois.
Dans un murmure, je m’adresse à son oreille. Si nous vivons, je négocierai ta garde, jusqu’à ta majorité et tu vivras avec moi, à l’écart de nos parents. Ma voix tremble, mais seul cet espoir d’avenir parviens à m’offrir un peu de sérénité. Ne t’oppose pas à Seimei, c’est tout ce que je demande.
hrp : yori angoisse pcq seimei ; ne regrette pas la défaite du ministère, mais réprouve la victoire de yuutsu ; serre sa soeur contre lui et lui fait une promesse + lui demande de ne pas s'opposer à seimei
Kazami Hayashi
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 16
Rang : D4
Orochi
Kazami Hayashi
Tu ne pouvais faire que cela Kazami, pleurer, toutes les larmes qu’ils te restaient faisant tomber par la même occasion des lentilles, tu t’en fichais pas mal de cela à cet instant précis, tu voulais juste fuir, partir loin, tu aurais peut-être du rester auprès du professeur Sugawara que d’aller à cette fichue convocation au ministère, tu n’aurais pas à subir tout cela même si à l’école l’ambiance ne doit pas être à la fête non plus…
Tu avais lâché la manche de l’adulte, les poings serré le long de ton corps, tu laissais perler tes larmes quand tes bras que tu connaissais bien t’enveloppe, tes mains s’aggrippent à ceux-ci comme pour se rassurer que ce sont bien les bras de ton aîné, de yori.
Tu essaie tant bien que mal de ravaler ses larmes, de pas l’inquiéter plus qu’il ne l’est sauf que les paroles qu’il prononce ne font que confirmer qu’il était un Shuusei, que cette défaite doit le frustrer même s’il a désire de vivre, loin de vos parents, dans un endroit qui sera votre chez vous.
- Tu te souviens quand tu m’a demandé mon affiliation…
Tu avais simplement souris Kazami, tu n’avais rien dit, tu ne pouvais pas trop le dire en fait, tu avais quand même un peu peur de la réaction de ton aîné sauf que là, tu dois le rassurer.
- J’ai rejoint les Gyokuji avec le professeur Sugawara…
Oui parce que même si la professeur Ueda avait de bon argument pour Shuusei, les paroles de ton cousin Nael t’avait fait décidé de rejoindre cette affiliation.
- Je ne veux pas t’inquiète et inquiété le professeur Sugawara aussi donc je ne m’opposerais pas à Seimei.
Non et puis tu ne pouvais pas le faire non plus, ce serait aller vers une mort certaine et tu ne voulais pas rendre malheur ton aîné Kazami, tu t’accroche un peu plus à lui, malgré tes larmes, tu voulais fuir cet endroit en vie avec ton frère, c’était ton seule désir à l’instant Kazami.
C'est toujours la pls mais, dans les bras de yori, lui avoue qu'elle est chez les Gyokuji grâce à Ryouei, affirme qu'elle ne s'opposera pas à Seimei, veut juste fuir pour aller vivre avec Yori loin de ses parents
Tu avais lâché la manche de l’adulte, les poings serré le long de ton corps, tu laissais perler tes larmes quand tes bras que tu connaissais bien t’enveloppe, tes mains s’aggrippent à ceux-ci comme pour se rassurer que ce sont bien les bras de ton aîné, de yori.
Tu essaie tant bien que mal de ravaler ses larmes, de pas l’inquiéter plus qu’il ne l’est sauf que les paroles qu’il prononce ne font que confirmer qu’il était un Shuusei, que cette défaite doit le frustrer même s’il a désire de vivre, loin de vos parents, dans un endroit qui sera votre chez vous.
- Tu te souviens quand tu m’a demandé mon affiliation…
Tu avais simplement souris Kazami, tu n’avais rien dit, tu ne pouvais pas trop le dire en fait, tu avais quand même un peu peur de la réaction de ton aîné sauf que là, tu dois le rassurer.
- J’ai rejoint les Gyokuji avec le professeur Sugawara…
Oui parce que même si la professeur Ueda avait de bon argument pour Shuusei, les paroles de ton cousin Nael t’avait fait décidé de rejoindre cette affiliation.
- Je ne veux pas t’inquiète et inquiété le professeur Sugawara aussi donc je ne m’opposerais pas à Seimei.
Non et puis tu ne pouvais pas le faire non plus, ce serait aller vers une mort certaine et tu ne voulais pas rendre malheur ton aîné Kazami, tu t’accroche un peu plus à lui, malgré tes larmes, tu voulais fuir cet endroit en vie avec ton frère, c’était ton seule désir à l’instant Kazami.
C'est toujours la pls mais, dans les bras de yori, lui avoue qu'elle est chez les Gyokuji grâce à Ryouei, affirme qu'elle ne s'opposera pas à Seimei, veut juste fuir pour aller vivre avec Yori loin de ses parents
Motohiro Hoshino
Citation : you are a golden thing in this heavy, heavy world.
Age : 27 (11.03)
Rang : A2
Amaterasu
Motohiro Hoshino
le meilleur des mondes
L'impression d'un bourdonnement dans les oreilles, un grondement qui se fait de plus en plus fort. Motohiro entendait les mots qui étaient prononcés, mais c'est comme si le sens se perdait quelque part dans l'air, se dissolvait dans les volutes sombres. Il se rappelait avoir vu des visages familiers, tout juste auparavant, mais dans l'instant, il s'était retrouvé pris d'assaut par l'angoisse comme la fumée qui restait coincée dans sa gorge. La stupeur comme un nébuleuse. À la fois l'impression d'être encore plus engourdi qu'avant et qu'un million de synapses se faisaient dans son cerveau embrumé.
Il n'avait même pas remarqué le rouge qui perlait au bout de ses doigts, ne s'était pas rendu compte qu'il rongeait ses ongles et s'en arrachait les cuticules, tellement, jusqu'à ce que le goût du fer viennent s'ajouter au mélange âcre qui persistait toujours sur sa langue. Il plaqua une main sur sa bouche, réprimant la soudaine nausée qui le parcourut.
Motohiro avait toujours cru qu'il ne s'en préoccupait pas vraiment, des ces choses-là. Trop longtemps qu'il avait passé en mode pilotique automatique, et maintenant ce qu'il ne connaissait que trop bien venait s'effondrer devant ses yeux. Inertie. Il n'internalisait pas encore ce qui se passait, n'arrivait pas à réfléchir sur ce que cela voulait dire, ce que ça impliquait. Dans ses tympans il y avait un bruit de vacarme et dans ses iris sombres le reflet de mille soleils incendiaires. Et quelque part, tout au fond de sa tête, ce pressentiment, cette intuition mêlée d'angoisse, qu'il regretterait très bientôt d'avoir si ardemment souhaité se débarrasser de la monotonie chronique qu'il avait toujours abhorré.
hrp: moto est en mode grosse angoisse et gros déni,
parcouru de tics assez intenses, il est un peu juste là en mode idle
à 2 doigts de péter les plombs.
parcouru de tics assez intenses, il est un peu juste là en mode idle
à 2 doigts de péter les plombs.
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