En cette douce après-midi de janvier, les puissants du pays ont décidé de passer à l’action. L’heure du choix est désormais dépassée, celles et ceux qui sont restés dans l’indécision seront probablement écrasés par le poids de l’histoire, tout comme les vaincus.
Les Partisans de Yuutsu ont décidé de ne plus attendre leur tour dans l’ombre. Menés par Seimei, ils prendront le pouvoir par la force, évinçant définitivement ce Ministère qu’ils considèrent corrompu. L’échec ne mènera à rien d’autre qu’une mort douloureuse, car en face l’Alliance Shuusei, et la Ministre de la Magie, ne se laisseront pas faire sans combattre. Ils sont prêts à tout pour conserver le contrôle du monde magique, ils l’ont déjà prouvé. Spectateurs de ce duel, les Protecteurs de Gyokuji se rangeront du côté de l’ordre, pour l’instant tout du moins, car c’est la volonté de Sa Majesté. Cependant, si une opportunité se présente à eux, ils n’hésiteront pas à la saisir et à imposer leurs idéaux.
Tous croient que leur cause est la plus noble, mais il ne peut y avoir qu’un seul vainqueur.
Awataguchi Takumi a pour mission de capturer Yamamoto Chizu.
Seizan Lyam a pour mission de capturer Yamamoto Chizu.
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★ Vous vous trouvez à l'intérieur du Ministère, non loin du bureau de Chizu Yamamoto.
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Depuis combien de temps attends-tu ce jour ? Bien trop. Vous aviez tant opéré pour le retour de Seimei et aujourd’hui il était à la tête des opérations. Nul doute que son appel fut entendu, les yuutsu se sont rassemblé, les troupes organisés et vous voilà tous les quatre, choisi par sa divinité pour l’accompagner sur le chemin de son règne. Les aurors se jettent sur vous, mais nul besoin de ciller, la force du chef des Partisans était inégalable.
Sabre soigneusement rangé à ta taille, baguette dans la poche interne de sa veste. Contrairement à d’autres, tu n’as nullement l’intention de te salir les mains aujourd’hui. Pire encore, c’est avec nonchalance que tu t’étais pointé un café froid dans son gobelet de carton, un starbucks selon les moldus. Tu observais les homme tomber sous la force de tes alliés et te permettait simplement d’esquiver leurs coups, dirigeant le dernier vers Takumi pour qu’il pare l’attaque à ta place. Tu esquisses un sourire avant de tendre un sac à tes camarades de conquête. Vous voulez un frappuccino, il y en a pour tout le monde, même Seimei.
Résumé : Rajan fait...son rajan. Il accompagne tout le monde, laisse les autres se charger des ennemis + laisse Takumi en parer une pour lui et propose un starbuck parce que le premier à ouvert en 1996 au japon. Bisous.
Takumi se retrouvait là, auprès d’un Rajan nonchalant, d’un de ses jeunes collègues et de son désormais chef, honoré d’avoir été désigné pour accompagner le Roi. Armé de Onimaru, trésor de sa famille, il n’hésitait nullement à repousser ceux qui venaient à lui, quitte à devoir leur ôter ce qu’ils avaient de plus beau : la vie.
Chose que le bras droit avait trop bien compris, lui envoyant un Auror plutôt que de s’en occuper. Le sabre s’enfonça dans ses chairs, déchirant ses entrailles alors que d’un coup de pied, il poussait au loin le corps inerte. Un regard sombre mais amusé vers Rajan, conscient de son petit jeu mais intrigué par sa proposition.
Alors, il essuyait méticuleusement son arme, afin de la ranger un instant, afin de porter à ses lèvres la boisson sucrée.
Résumé : Takumi tue un (ou plusieurs) auror/s, balance leurs corps, boit le frapuccino avant de le balancer & de s'armer à nouveau.
Avançant au plein coeur du ministère, ce moment ressemblait à une promenade de santé. Confiant en la puissance de Seimei, devais-je m'inquiéter des personnes qui essayaient de nous barrer la route ? Il y avait aussi Takumi qui réglait les comptes des sorciers les plus téméraires. Acceptant la boisson proposée par Rajan et le remerciant poliment, je me retrouvais avec un frappuccino à la main que je sirotais. L'idée était simplement parfaite. Nous étions les témoins d'un changement imminent. Certes, la situation était parfaitement irréaliste. Mais cela montrait bien l'incapacité et la déchéance du Ministère. N'y avait-il donc pas d'adversaire digne de ce nom ? Toutefois, je n'allais pas m'en plaindre dans un premier temps.
HRP : Lyam sirote son frappuccino
Il avait donné l'assaut quelques heures plus tôt, ordonnant à ses partisans la prise du Ministère et la chute de Shuusei. Le plan était parfaitement bien rodé. A Kyoto, la majorité des partisans s'occupaient d'attirer les Aurors à l'extérieur du bâtiment, tandis qu'il menait une petite troupe d'élite dans les méandres des couloirs à la recherche de Chizu Yamamoto. Sur Minamiiwo, l'autre lieu important du monde magique, quelques professeurs acquis à sa cause s'occupaient de faire tomber l'idiot de directeur Tanegashima. Il ne pouvait pas perdre, pensait-il.
Tenant dans sa main une épée à double tranchant, qu'il avait emprunté quelques temps plus tôt, il prenait sans sourciller la vie de ses ennemis. Tranchant, plantant et les emprisonnant dans les murs à l'aide de sa puissante magie, Seimei avait pris la tête du groupe. Parfois un sortilège parvenait à l'effleurer, mais cela ne semblait ni l'affecter, ni le ralentir. A l'arrière, ses fidèles prenaient les événements avec trop de légèreté à son goût, alors il leur lança : « J'espère que cette boisson moldue ne vous fera pas oublier l'essentiel : si l'un de vous tue la ministre, je lui brise la nuque de mes propres mains. ». La menace était plus que limpide.
Soudain, au détour d'un couloir, les Yuutsu virent face à eux un bataillon d'Aurors. Ces derniers les attendaient, protégés derrière des boucliers magiques et envoyant déjà plusieurs sorts. Le chemin était encore long et compliqué.
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Ta générosité avait été acceptée par l'ensemble du groupe, sauf par votre chef. Evidemment, Seimei c'était non seulement le grand ancêtre et le sorcier le plus puissant que ce monde puisse connaitre, mais c'était aussi un sacré boomer. Tu tournais autour de tes camarades toujours dans ton éternel relâchement, pour le moment il n'y avait rien rien à craindre. Aussi surprenant que ça pouvait l'être, même ton combat avec Takamori l'année passé était bien plus stimulant que ce coup d'état. Disons que j'en profite pour effectuer un benchmark personnel sur notre futur conquête. Tu portais un amour particulier pour le café.
Tu continuas de siroter la crème vanillée avant qu'un véritable bataillon ne s'attaque à vous. Oh, les choses sérieuses commençaient enfin ? La question allait très vite trouver réponse. Cette fois-ci, il t'était impossible de diriger les coups vers Takumi. Alors qu'un auror fonça dans ta direction ─ prêt à faire de toi sa proie. Très bien. Tu allais pouvoir user de ton tout nouveau sortilège. Sutabakkusu. Tu ouvres le couvercle de ta boisson avant d'en jeter le fond (quel gâchis) sur le visage de ton assaillant, l'aveuglant de sucre et de lait. Déstabilisé, tu terminas ton attaque d'un croche-patte pour le faire tomber. J'espère que la ministre sera plus intéressante à avoir, sinon à quoi bon nous menacer d'avoir sa tête : elle sera morte avant que l'on arrive. Meh.
Résumé : rajan aveugle l'ennemi avec son frappucino-no-jutsu avant de le faire tomber.
Dans une tranquillité qui lui était propre, il portait face à son visage deux de ses phalanges, et de ses manches s’élevait un long morceau de papier qui lui servait généralement à la création de Shikigami. D’un mouvement précis, Takumi dessina quelques traits et celui-ci se transforma en un dragon enflammé qui s’envola gracieusement au-dessus des partisans. Il n’avait nullement besoin d’utiliser une grande force alors qu’il avait à ses côtés des sorciers expérimentés, mais ne rien faire était plus frustrant que reposant.
Face à la désinvolture de ses paires, l’Onmyoji se demanda s’il n’aurait pas dû invoquer un animal plus ridicule pour accompagner la farce vivante qu’était Rajan, mais trop sérieux de nature, il se restreint dans l’envie soudaine qui s’empara de son cœur. Invoquer une vache n’était guère une idée incroyable.
Hrp : takumi invoque un shikigami stylé car c’est le moment de faire de l’onmyodo & d’être stylé. En bref, c'est comme s'il faisait un gros feudeymon dragon.
Et alors que le dragon s'avança contre la ligne ennemie, soulevant par la même occasion mon admiration pour Takumi et son art, je créais une nuée d'oiseaux avec un Avis avant d'en lancer une partie avec un Oppugno dans un assaut suicide pour faire voler en éclat le bouclier magique déjà affaiblit grâce à l'onmyoji. D'un geste du poignet et d'un autre Oppugno, la seconde nuée fonça. Je changeais leur élément avec un Elemento, pour qu'ils s'embrasent et alimentent le feu du dragon qui les consumait déjà en partie. Dans mon autre main, il y avait toujours la boisson que je comptais finir et non pas gaspiller comme Rajan avait du malheureusement le faire. Le café, même en frappuccino, était trop précieux pour ça.
HRP : Lyam fait des oiseaux qui attaquent le bouclier pour le briser, puis envoie une salve les changeant en oiseaux de feu quand ils sont sur l'ennemi.
Les Yuutsu, accompagnés de Seimei, avancent dans les couloirs, ne laissant derrière eux que piles de cadavres et rivières de sang. Ils sont proches de leur objectif, cela ne fait aucun doute, car le niveau des aurors qu'ils affrontent est de plus en plus élevé.
Soudain, à quelques mètres d'eux, la voici : la porte du bureau de Chizu Yamamoto. Mais la traverser ne sera pas si simple, non à cause des deux aurors à bout de force qui encadrent l'entrée, mais parce que quatre membres du personnel de Mahoutokoro se trouvent entre eux et la porte.
Un violent affrontement est sur le point de commencer, tandis que Seimei déclare à ses soldats : « Au lieu de vous perdre en palabre, montrez-moi que vous méritez mes grâces et éliminez ces rats. ».
★ Vous vous trouvez dans le couloir menant au bureau de Chizu Yamamoto.
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Il tapa dans le dos de son ainé Awataguchi, connaissant ses relations particulières avec leurs adversaires, un large sourire dessiné sur ses lippes. Quelle bonne idée d'avoir fait de toi un des nôtres, Takumi. Par égard pour notre amitié, je te laisse te charger de lui. Aussitôt, il fait craquer ses doigts et sa nuque. Ootengu. Souffle-il dans un soupire presque inaudible, laissant la créature apparaitre à ses côtés et déployer ses larges et ténébreuses ailes. Le bras droit de Seimei s'accorda un dernier petit plaisir : entre ses mains la boisson que son dieu n'avait daigniez essayer. La paille coincée entre ses lèvres, il regarda le la petite troupe de guignols. Je suis de bonne humeur, lequel d'entre vous souhaite-il partager mon affection ? En revanche, je ne promets pas d'être doux. Décidez, avant que notre grand enfant ne perde patience. Et il savait ô combien, Seimei ne l'était pas.
Résumé : rajan se tape 1 fou rire, invoque ootengu, boit son 2eme frappu et demande dans sa bonne humeur si qql veut l'affronter avant que seimei tape une crise.
De ses manches s’élevaient deux papiers supplémentaires, avec précision il traça le signe 蛇 sur l’un d’eux, faisant naître un immense serpent qui s’éloigna pour occuper les quelques aurors qui venaient encore à eux, peu intéressé par ces minables, il n’avait guère plus de temps à leur accorder. L’instant suivant, Takumi inscrivait les signes : 雲蝶 face à lui, invoquant une nuée de papillons qui s’envolèrent droit sur l’Ueda, dans le seul but de s’approcher sans qu’ils ne puissent le voir clairement, et avant d’arriver à la hauteur du professeur de potions, le kanji 風 (vent) fut tracer afin de projeter son vieil ami au loin, laissant les innombrables insectes disparaître gracieusement.
Lentement, il dégainait son tachi, ne lâchant du regard celui qui fut sa cible désormais.
Hrp : takumi RIGOLE, invoque un shikigami supplémentaire pour se battre contre les aurors qui pourraient venir les emmerder, un troisième en forme de nuée de papillons pour aveugler saburoo & s'approcher de lui, ce shikigami disparait, taku dit à bubu qu'ils vont se battre à mort & enflamme son sabre avant de s'élancer vers lui.
Ah, Takumi, tu quoque fili ?
C’est tout l’air de mon corps qui s’échappe dans une cavalcade profonde, asphyxiant mes bronches, désertant ma tranchée, saisissant mon diaphragme d’une intolérable inertie ; si bien que seule la nervosité me fait sourire.
Au patronus : Protège Poppy. L’ordre glisse entre mes dents dévoilées par des lèvres qui esquissent encore la crispation d’un sourire.
Ah, Takumi, pardonne-moi, cela doit être la première fois que je ne suis guère heureux de te voir. Content, évidemment, que tu ne sois nullement amoché, quoiqu’aucune fois le doute ne m’a assailli concernant toi et tes capacités ! Bien que je doive avouer que ces dernières m’inquiètent en ce moment précis pour toute autre raison.
Takumi, voilà qu’il me faudrait t’anéantir —oblitérer l’ami qui se meut par-delà l’ennemi, arracher le frère, encore et toujours un frère, seulement un de plus trahissant ma pensée— alors que nous avons passé tant de laborieuses années à s’entre-bâtir sur les fondations de l’autre.
L’essaim de papillons m’aveugle dans un chatoyant camaïeu qui se disperse lorsque la force de la bourrasque m’ôte de mes appuis, délogeant ma baguette désormais perdue au même titre que de nombreuses autres. Rattrapé in extremis, je prends le temps de savourer son talent, de prêter une dernière fois à mon regard le plaisir du sien, exalté par tant d’années écoulées : j’en resserre Namazuo dans ma main— ah ! mortelle ironie.
Bien. Si cela est ton souhait, Takumi. Oh kamis ! pardonnez-nous, pardonnez le trépas d’un frère par un autre, car telle est notre ultime volonté matérialisée sur cette terre. Adieu mon frère. La lame, lourde dans ma main, où dégouline un sang qui se mêle au poison, est élancée vers la mort.
Ses yeux se posèrent un instant sur leurs camarades, leur indiquant dans l'ombre fléchissante d'un sourire qu'elle se chargerait du professeur déchu - si elle ne s'estimait pas capable de le vaincre, elle se contentait d'espérer fiévreusement qu'elle gagnerait suffisamment de temps pour quelque renfort que ce fût. Sei, Juri, articula-t-elle, vous savez quoi faire. Poppy conjura un fragment de parchemin, annihilant les tressauts de ses bras dans une inspiration maîtrisée - de là, elle y inscrivit l'idéogramme du phénix (鵬), jugeant que son affinité naturelle avec le feu la dispensait d'en dessiner le symbole. Le shikigami invoqué, elle le lança sur l'indicible menace qu'était le yokai du Tsukino, et fondit d'un même ensemble sur l'humain qui l'avait si gentiment fait venir. Lorsqu'elle brandit son arme, enchantée d'un waddiwasi muet, elle prit le risque de lui décocher l'un de ses plus beaux sourires. Fort heureusement pour toi, Tsukino, j'ai toujours adoré l'affection. A ses côtés, l'énergie du patronus de Saburoo lui donnait l'illusion de l'invincibilité.
(poppy PREVIENT saburoo :)) et compte sur sei et juri parce que c'est les meilleurs je veux rien entendre. invoque un phénix pour occuper un peu ootengu et plonge sur rajan avec une lame enchantée)
Le meilleur des mondes
Quelle drôle d’entrée en matière… Tu venais tout juste de retrouver tes deux amis d’école : Takumi et Saburoo que déjà, ils se sautaient dessus pour s’entretuer. Tu n’eut même pas le temps de leur accorder un sourire, ainsi qu’un « ravi de vous revoir mes amis », que déjà, Poppy, se ruait sur l’homme à la peau noire. Ton regard croise celui de Lyam et ta langue claque contre ton palais. Donc, ton propre assistant est désormais ton ennemi. Cela ne fait que trois semaines que tu le connais, tu as à peine eu le temps de retenir son prénom, qu’il te faut déjà te battre jusqu’à ce que l’un de vous ne perde connaissance ou pire, ne meurt.
-Quel drôle de conseil de classe.
Tu laisses échapper dans un soupir, laissant Saburoo se charger de Takumi et Poppy, du Tsukino. Tu jettes un regard à Seimei et regarde par-dessus ton épaule, t'adressant à Juri.
-Aide ces aurors si tu le peux, et envoie un message de détresse !
Tu lui offres un sourire.
-Je crois en toi !
Tu reportes ton attention sur Lyam, les sourcils froncés et tu secoues la tête de droite à gauche en laissant échapper un nouveau soupir.
-Lyam, j’apprends tout juste ton nom, et voilà que nous devons poursuivre nos présentations de manière brutale. Est-ce un bizutage ?
Tu brandis ta baguette et lance un Elemento afin de transformer les flammes alimentant le feu du dragon par Lyam, en eau. Ensuite, tu lâches un Tempest afin d’envoyer l’eau transformée en vapeur chaude sur Lyam. Tu en profites pour fondre sur lui, ouvrant les doigts de ta main pour faire apparaître un sceau au creux de ta paume : « flammes fortes main droite », littéralement. Des flammes apparaissent alors, dansant devant tes phalanges. Happant ta baguette entre tes dents, tu réalises la même action pour ta main gauche où se trouve un autre sceau tatoué : « flammes fortes main gauche ». Les paumes ainsi ouvertes, tu fonds sur Lyam et écrase les flammes sur son buste tout en exerçant une pression vers l’avant, espérant ainsi l’y projeter.
HRP : Sei laisse Saburoo se battre contre Takumi et Poppy contre Rajan. Il demande à Juri d'aider les aurors, et d'envoyer un message de détresse si elle le peut. Et puis, il lance un Elemento afin de transformer les flammes en eau et puis un Tempest pour que l'air transforme l'eau en vapeur chaude. Ensuite, il utilise l'onmyodo pour embraser ses mains et se rue vers Lyam qu'il touche au buste.
Les deux aurors accordé à dame Yamamoto pour sa protection sont à bout de souffle, ils te font un peu pitié Juri, tu t’avance vers eux pour lancer un aguamenti pour les faire boire un peu chacun mais, votre répit est de courte durée…
Oh voix du passé, personne admiré, pourquoi agir comme cela ? Tu ne comprends pas Juri, tes convictions à ce moment précis prennent un coup, tu sert ta baguette en serrant les dents, tu ne veux pas pleurer cet homme encore une fois, ton admiration pour lui a été anéanti en ce jour de janvier…
Tu ne peux plus à ce sujet, plus rien, tout est fini, comme la mort de ton oncle Kai, une vie d’admiration qui a prit fin.
Et derrière lui, les fidèles yuutsu, tu reconnais des visages avec qui tu as discuté, en bien, en mal mais, surtout ce visage avec des cheveux de feu… Lyam Seizan, pourquoi lui ici ?
Il faisait partis avec Aiichiro et d’autres, de tes rares amis, des personnes en qui tu a confiance, ton cœur se sert un peu plus Juri, les larmes restent pourtant bloqué aux coins de tes yeux, tu…
Tes pensées se figèrent sur les combats qui commençait devant tes yeux bleu océan Juri et sur les paroles de tes compagnons, tu devait rester forte juri, plus forte que tes émotions de peur.
Tu sert ta baguette et d’un hochement de tête vers la personne devant toi, tu lance un cura sur les deux aurors plus un protego sur eux et ton collègue qui t’a demandé de les protéger.
Mais, à qui peux-tu envoyer un message ? Tu ne sais pas Juri mais, tu dois réfléchir vite, tu n’as pas le temps…
Tu es le dernier rempart de Dame Yamamoto, tu dois te relever Juri, tu lance bariyer même si tu ne sais pas si cela est suffisant, tu dois t’armer de courage Juri, c’est tout ce qui compte pour le moment.
Juri a donc atteins avec ses compagnons le bureau de chizu mais, n'a pas le temps de se reposer que voilà Seimei et sa bande... Elle est surprise de voir Lyam avec Seimei... Lance plusieurs sort de guérissons et protection sur les aurors et Sei puis fini par se relever pour se placer devant Chizu avec un bariyer, tentative désespérer de la protéger
Lame contre lame, l’Awataguchi ne s’intéressait plus qu’à l’homme qui lui faisait face, adversaire qui n’aurait jamais dû en devenir un, mais dont le devoir était de pair avec le sien : vaincre l’ennemi. Camps opposés, séparés par des idéaux et pourtant leurs cœurs avaient toujours été les plus proches, car Saburoo, très certainement, était l’une des âmes-sœurs de l’Onmyoji.
Le voir s’élancer contre lui fit remonter des souvenirs heureux, alors à l’instar de Saburoo, Takumi allait à lui dans un jeu mortel. Les flammes autour d’Onimaru se firent plus denses, car de cette attaque résulterait la fin d’une ère. Le sang s’écoulait lentement de la lame, son unique œil gravant en son âme les traits de son tendre Ueda, les corps si proches et si lointain à la fois.
La douleur qui irriguait sa poitrine asséchait sa gorge, le cœur à bout de souffle lorsqu’il sentait se répandre en lui le poison, la vue légèrement troublée, une sensation de tiraillement aiguë au niveau de ses côtes, lui arrachant un râle au professeur d’Onmyodo.
Hrp : tanku & bubu se battent, tanku augmente les flammes autour de son sabre avant de faire comme bubu & s'élancer vers lui. Touché, il sent le poison et dit un dernier mot à son ami. Son shikigami serpent disparait.
A chaque coup que je t’assène, que tu m’assènes, mon frère, je me meurs.
Mais notre valse s’écourte, le pas doublé, triplé, dans un éprouvant tempo que j’ai grande peine à suivre, car elle me broie le cœur. La lourdeur de la lame rapée contre des côtes, l’estoc indésirablement désespérée et le sang qui en est extrait ; le râle coulé à mon oreille est d’une douleur plus intense que celle des flammes qui me pourlèchent —tueur d’ami, assassin d’un frère, voilà l’entier châtiment que je mérite.
Ah, Takumi. C’est là un honneur dont je porterai le poids jusqu’à la fin de mes jours.
Et nous voilà à la croisée des chemins : dans les bras d’un frère, pourfendu par une lame offerte par ce même frère et tenue par sa propre main.
Mon regard se tourne vers Poppy, un dernier en cet instant : fallait-il arracher les racines putréfiées d’une vieille génération déjà inlassablement détruite, gangrénée à grands coups de haine et de peine, pour que les nouvelles puissent enfin respirer sans suffoquer sous leur poids délétère ? Le fardeau avait trop longtemps durant pesé sur des épaules qui ne méritaient nullement une telle affliction—et en ce jour les augures en avaient dessiné un tout autre destin. La tête de Takumi s’échoit sur mon épaule dans une cascade de mèches assombries, et j’appose la mienne sur la sienne, un écho à toutes ces fois où nos corps se rencontraient. Mais aujourd’hui n’est pas le jour où je prends cet honneur. Mon frère, je ne m’abaisserai qu’à te demander une chose : épargne la vie de Poppy. Ma main ne peut qu'esquisser l'ombre d'une caresse contre sa joue. Lever l’arme contre toi est une hérésie dont je préférerais ne jamais reconduire l’expérience : tant que tu vivras, c’est à tes côtés que je me tiendrai, car là est, et demeurera toujours ma place.
Ma lame émerge du vide où elle était plongée : soigneusement tapie au creux entre un bras et la fermeté d’un torse, la mort n’est qu’une éraflure où se tapie déjà le poison. Le corps brûlant, j'en peine à extirper du haori la salvation : Bois ça, imbécile, avant que ton cœur ne s'affole de trop.
Oh ancêtres, oh aïeux, ne prenez pas le temps d'absoudre mon opprobre, car la vie de mes enfants est plus précieuse que ma vie en paria.
saburoo : "JE SUIS FIDELE"
saburoo : voit takumi
saburoo : "A TAKUMI"
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