Event #3 : détente sous les cerisiers (Az, Ei, Ha, Ku, Yo) & (Everyone)
Rajan Tsukino
Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
Age : 37 ans
Rang : S0
Seimei
Rajan Tsukino
event 3
C’est des sacs de vêtements dans une main, Nanami sur le dos, et tes deux autres élèves au bras que vous transplantez jusqu’à l’auberge, ou du moins, ce qu’il en reste. T’essaie de garder ton calme, mais tu bouillonnes de l’intérieur, tu es bien-sûr inquiet pour l’ensemble des élèves, mais aussi pour tes collègues, et surtout Haruka. Tu repères bien vite les membres du personnel, ainsi que les autres professeurs tous dans une tenue… Peu adéquate. Tu pousses un soupir. Tu lègues un sac à Yori et un autre à Yue.
« Allez apporter ça aux professeurs. Yori, amène-moi Kuro le plus rapidement possible. On doit confirmer l’état de Nanami. »
Tu rejoins Haruka, non loin de là et allonge Nanami dans un coin qui te parait le plus adapté dans ce lieu des moins…adéquat. Tu vérifies une nouvelle fois son état, elle semblait stable. Tu tends un sac à Haruka. Tu comprends mieux l’origami d’Azrael et sa mention pour les vêtements. D’ailleurs les brûlures de ton ami n’échappent pas à ton regard.
« On a aussi été attaqué de notre côté. Tu supposais que c’était leur cas en voyant leur état. Un dragon aqueux, mais on semble s’en être mieux sorti que vous. Qu’est-ce qu’il s’est passé bon sang ? »
Maintenant que vous étiez seuls, ta voix tremble légèrement. Tu ne sais plus où donner de la tête, Rajan.
« Et toi, tu vas bien ? Viens-là. » Tu reprends ta baguette en main avant de souffler un Ferula. C’était un cauchemar.
L'Éventail
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
L'Éventail
HRP : Haruka a donc reçu l'origami de Hajime, il faut renvoyer un origami à Hajime pour savoir où le groupe se trouve et ainsi porter secours au groupe du préfet en chef. Il faudra également ramener les enfants ici après quelques soins qu'il faut prodiguer à Tetsuya avant un transplanage, cela risquerait d'être mauvais pour le corps et pourrait aggraver ses blessures.
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Flammes abattues et brûlures le long des jambes à la façon de malédiction qui se prolonge. Tu contemples les dégâts sans réellement que cela ne t'inquiète. Main dans les cheveux et le corps bien trop dénudé, ça t'agace subitement.
Vacances de merde, voyage de merde. Plus jamais. Et c'est le groupe qui transplane qui te sort de tes pensées assassinent. Rajan, tu songes alors. Quelques indications avant qu'il ne se conduise dans ta direction, remerciement silencieux tu t'empares du sac et ne tarde pas a enfiler les vêtements.
Y'a eu attaque de leur côté et tu fais automatiquement le rapprochement entre les éléments. Eau, feu, ça te semblait limite ironique. Tu jauges Rajan d'un faible regard, il a l'air plutôt en bon état. Tu finis par t'approcher comme demander Je vais bien, ce n'est rien.
Tu lâches un soupir. Le feu est apparu, l'auberge a brûlé. La situation a échappé à mon contrôle, un peu par ma faute. Main dans tes cheveux encore trempé tu jettes un coup d'oeil aux élèves. Il y a eu des morts ici Rajan, le personnel de l'auberge, mais il ne faut pas que les élèves s'approchent. Main sur l'épaule t'appuies tes propos. Il faut que je reparte, un élève est blessé le groupe est en incapacité de se déplacer.
Il te fallait juste de quoi le soigner.
Vacances de merde, voyage de merde. Plus jamais. Et c'est le groupe qui transplane qui te sort de tes pensées assassinent. Rajan, tu songes alors. Quelques indications avant qu'il ne se conduise dans ta direction, remerciement silencieux tu t'empares du sac et ne tarde pas a enfiler les vêtements.
Y'a eu attaque de leur côté et tu fais automatiquement le rapprochement entre les éléments. Eau, feu, ça te semblait limite ironique. Tu jauges Rajan d'un faible regard, il a l'air plutôt en bon état. Tu finis par t'approcher comme demander Je vais bien, ce n'est rien.
Tu lâches un soupir. Le feu est apparu, l'auberge a brûlé. La situation a échappé à mon contrôle, un peu par ma faute. Main dans tes cheveux encore trempé tu jettes un coup d'oeil aux élèves. Il y a eu des morts ici Rajan, le personnel de l'auberge, mais il ne faut pas que les élèves s'approchent. Main sur l'épaule t'appuies tes propos. Il faut que je reparte, un élève est blessé le groupe est en incapacité de se déplacer.
Il te fallait juste de quoi le soigner.
L'Éventail
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
L'Éventail
Yori Hayashi
Citation : All is lost again but i'm not giving up
Age : 19 (16 mars)
Orochi
Yori Hayashi
Cet event c'est devenu l'anarchie
Tu t'efforces de reprendre ta respiration, mais c'est à peine si tu écoutes Rajan. Tu l'entends vaguement prononcer le nom de l'infirmier, ça te suffit à saisir l'opportunité et à te diriger rapidement vers ce dernier.
« Kuro ! Est-ce que tout va bien ? »
C'est comme si les rôles étaient inversés. Cette fois, c'est toi qui l'examine sous tous les angles pour t'assurer qu'il n'est pas blessé. Alors tu remarques la brûlure à sa main et tu ne peux t'empêcher de prendre son bras entre les tiennes. Tu ne dis rien, même si ton expression n'en parle pas moins.
« On a besoin de toi. Ça ira ?»
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event #3 ⛛
ft. AzEiHaYo & all
c'était surnaturel, littéralement. et pour une fois, ça te dépassait. complètement. tu n'avais même pas pris le temps pour soigner kashiwagi. tu manquais à tous tes devoirs. et maintenant que les flammes s'étaient arrêtées, que tu étais trempé, qu'il ne restait plus grand chose de ta serviette. tu commençais à souffrir. enfin. c'était étrange. car tu ne le voulais pas. mais c'était comme si tu avais attendu ça toute ta vie. souffrir physiquement. ressentir de la douleur. autre que sentimentale. autre que celle de ton cœur. tu savourais ta souffrance. ironie. masochisme pur. tu appréhendais tant de faire souffrir les autres, que tu prenais la souffrance de tout le monde pour toi. certains disent que souffrir, c'est rester humain, c'est se prouver qu'on a le contrôle, qu'il nous reste les sentiments. comment fait-on lorsqu'il ne reste plus rien ? lorsqu'il ne reste que des émotions ? que de la souffrance ? est-on davantage humain encore ? tu es assis, par terre. comme si la pression retombait enfin. et qu'elle s'était écroulée sur tes épaules. te faisant tomber, avec elle. tu as belle allure. nu, blessé, un bandage à la main, et une baguette. t'es pitoyable, kuro. et tu t'en rends compte. c'est sans doute ça le pire. car tu sens les larmes venir. celles que tu rejettes, perpétuellement. celles-là même qui te rappellent qu'elles existent.
la main qui tient ta baguette tremble. c'est la panique qui s'empare de toi. tu as besoin de fumer. alors tu tournes ta tête vers les décombres. ce qu'il reste de l'auberge. ce qu'il reste de tes affaires. ce qu'il reste de tes cigarettes. à ce moment tsukino et son groupe arrive. il y a yori. tes larmes coulent, et tu lui souris. tu prends un kimono qui traîne dans le sac et l'enfiles. tu te relèves, difficilement, t'appuyant sur yori, telle une béquille et le suis jusque cette élève. tu l'examines, du mieux possible au vue de la situation. tu regardes tsukino, les larmes continuant de couler. tu t'énerves à mesure que le diagnostique avance. tu es effrayé et en colère. contre tsukino qui ne l'a pas protégée. contre toi-même.
la main qui tient ta baguette tremble. c'est la panique qui s'empare de toi. tu as besoin de fumer. alors tu tournes ta tête vers les décombres. ce qu'il reste de l'auberge. ce qu'il reste de tes affaires. ce qu'il reste de tes cigarettes. à ce moment tsukino et son groupe arrive. il y a yori. tes larmes coulent, et tu lui souris. tu prends un kimono qui traîne dans le sac et l'enfiles. tu te relèves, difficilement, t'appuyant sur yori, telle une béquille et le suis jusque cette élève. tu l'examines, du mieux possible au vue de la situation. tu regardes tsukino, les larmes continuant de couler. tu t'énerves à mesure que le diagnostique avance. tu es effrayé et en colère. contre tsukino qui ne l'a pas protégée. contre toi-même.
plusieurs fractures graves évidentes, cotes et crâne il semblerait, commotion cérébrale évidente, état stationnaire.
il me faut plus de matériel, hâtons-nous de rentrer !
il me faut plus de matériel, hâtons-nous de rentrer !
L'Éventail
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
L'Éventail
Et à peine cinq minutes écoulées, c'est le groupe de Sora Nishimura qui arrive au loin à pied.
HRP : Le groupe de Hajime / Tetsuya / Rin vient donc de vous rejoindre à l'aide de Haruka ! Il n'y a eu que 10 min de passé entre son départ et le retour avec les enfants.
Le groupe de Sora / Masashige / Kiyoshi / Sayuri eux arrivent cinq minutes après le groupe de Hajime.
Sora Nishimura
Citation : don't ever try to judge me dude
Age : 19 ans depuis le 7 aôût
Rang : 74/100
Orochi
Sora Nishimura
détente sous les cerisiers
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AUBERGE
Tu crois trébucher en arrivant. Les sentiments se mélangent avec tes envies nauséabondes. C'est finit, plus de dangers, plus de dragon. Bien que l'auberge soit dans un état immonde. Regard dans le vide, contre un mur ; les autres arrivent et tu commences à penser subitement.
Est-ce qu'ils vont bien ? Aritsune, Hajime, Sora ? Sora. Œillade au loin, t'essaies de le repérer , tous, un à un. Totalement égaré, comme si tu n'arrivais plus rien à distinguer. Comme un instant de clarté, tu l'aperçois, cette silhouette totalement renfermé ; le pas presse alors que le rejoins, les mains tremblantes contres les siennes. Tout va bien ?
T'arrives à peine à parler, t'arrives à peines à penser. Les mots sont difficilement formulé.
Est-ce qu'ils vont bien ? Aritsune, Hajime, Sora ? Sora. Œillade au loin, t'essaies de le repérer , tous, un à un. Totalement égaré, comme si tu n'arrivais plus rien à distinguer. Comme un instant de clarté, tu l'aperçois, cette silhouette totalement renfermé ; le pas presse alors que le rejoins, les mains tremblantes contres les siennes. Tout va bien ?
T'arrives à peine à parler, t'arrives à peines à penser. Les mots sont difficilement formulé.
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Cette journée qui avait mal commencé et continuait plutôt bien, se terminais sur une note assez déroutante...
Quand Sora avait annoncé le retour à l'auberge, son regard t'avais mis extrêmement mal à l'aise que tu avais rangé ta sucette dans son emballage puis dans ta poche pour suivre au plus vite les trois aînés qui marchait un peu trop vite pour tes petites jambes.
Ce que tes yeux remarquent immédiatement est l'auberge en cendre, comment est-ce possible ?
Puis tu pense à ce livre d'un coup, est-ce que tu l'a amener avec toi ? Non, tu l'a laissé à l'école, tu as pensé que c'était trop dangereux de voyager avec.
Puis tu remarque tout tes camarades, on pourrait croire un cauchemar sauf que cela n'en ai pas vraiment un.
Tu te retrouve seule vu que tu cherche à l'être, tu ne peux pas te permettre de t'accrocher à quelqu'un pour te rassurer, tu ne veux que personne ne fasse de l'ombre à ses souvenirs même si eux t'appelleront toujours Sayuri.
Tu sers ton sachet contenant tes bonbons contre toi, tu ne sais pas trop quoi faire donc tu va te mettre dans un coin et attendre, tu n'a que ça à faire Sayuri.
Quand Sora avait annoncé le retour à l'auberge, son regard t'avais mis extrêmement mal à l'aise que tu avais rangé ta sucette dans son emballage puis dans ta poche pour suivre au plus vite les trois aînés qui marchait un peu trop vite pour tes petites jambes.
Ce que tes yeux remarquent immédiatement est l'auberge en cendre, comment est-ce possible ?
Puis tu pense à ce livre d'un coup, est-ce que tu l'a amener avec toi ? Non, tu l'a laissé à l'école, tu as pensé que c'était trop dangereux de voyager avec.
Puis tu remarque tout tes camarades, on pourrait croire un cauchemar sauf que cela n'en ai pas vraiment un.
Tu te retrouve seule vu que tu cherche à l'être, tu ne peux pas te permettre de t'accrocher à quelqu'un pour te rassurer, tu ne veux que personne ne fasse de l'ombre à ses souvenirs même si eux t'appelleront toujours Sayuri.
Tu sers ton sachet contenant tes bonbons contre toi, tu ne sais pas trop quoi faire donc tu va te mettre dans un coin et attendre, tu n'a que ça à faire Sayuri.
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FACE MY FEAR
Tu avais aidé à mettre Tetsuya sur le dos de ton professeur, puis tu avais attrapé sa main, et tu avais détaillé Rin un instant, et la sensation du transplanage vous avez embarqués. Tu savais ce qu'il s'était passé à l'auberge, tu le savais, et pourtant, pourtant, Hajime, quand tu la vois, à moitié effondré, sur elle-même, certains élèves déjà là, les professeurs présents, commençant à gérer toutes les arrivées, tu sens ton cœur s'accélérer.
Tu attends, pourtant, si le professeur a besoin d'aide avec Tetsuya, et une fois qu'il te dit que tu peux partir, tu l'abandonnes brusquement, ton regard glissant déjà sur les visages présents. Tu ne vois personne sur le coup. Puis Yue, tu l'aperçois rapidement, n'as pas le temps d'aller vers lui que ton regard accroche le visage de Nanami. Nanami. Nanami assommé, Nanami évanouie, Nanami que tu vois être emportée par l'infirmier. Et tu paniques, Hajime, tu paniques vraiment, réellement.
La panique vient prendre possession de toi, elle enlace ton cœur avec tendresse, refuse de le lâcher. Et tu ne peux plus respirer, Hajime. Tu fermes les yeux, te forces au calme. Tu comptes, pour calmer cette respiration qui n'en fait qu'à sa tête. Et quand tu te sens calme, au bout de quelques instants, tu cherches Yue du regard, tu l'as aperçu rapidement tout à l'heure, alors il est là, et il va bien, il va forcément bien. Et ton regard le trouve, assis avec Sora. Sora.
Et peut-être que tu marches beaucoup trop vite vers eux. Ta main vient rejoindre les leurs, liées.
« Vous allez bien ? Il s'est passé quelque chose avec vos groupes ? »
Tu veux juste te rassurer, Hajime, tu veux les rassurer aussi, tu ne sais pas. Il y a tant de questions qui arrivent sur ta langue. Qui a des nouvelles d'Aritsune ? De tous les Yatagarasu ? Et les autres élèves ? Et les professeurs, est-ce qu'ils étaient tous indemne ? Et Nanami ? Nanami, Nanami, Nanami. Nanami.
Plus tard, Hajime.
Tu paniqueras plus tard.
Tu attends, pourtant, si le professeur a besoin d'aide avec Tetsuya, et une fois qu'il te dit que tu peux partir, tu l'abandonnes brusquement, ton regard glissant déjà sur les visages présents. Tu ne vois personne sur le coup. Puis Yue, tu l'aperçois rapidement, n'as pas le temps d'aller vers lui que ton regard accroche le visage de Nanami. Nanami. Nanami assommé, Nanami évanouie, Nanami que tu vois être emportée par l'infirmier. Et tu paniques, Hajime, tu paniques vraiment, réellement.
La panique vient prendre possession de toi, elle enlace ton cœur avec tendresse, refuse de le lâcher. Et tu ne peux plus respirer, Hajime. Tu fermes les yeux, te forces au calme. Tu comptes, pour calmer cette respiration qui n'en fait qu'à sa tête. Et quand tu te sens calme, au bout de quelques instants, tu cherches Yue du regard, tu l'as aperçu rapidement tout à l'heure, alors il est là, et il va bien, il va forcément bien. Et ton regard le trouve, assis avec Sora. Sora.
Et peut-être que tu marches beaucoup trop vite vers eux. Ta main vient rejoindre les leurs, liées.
« Vous allez bien ? Il s'est passé quelque chose avec vos groupes ? »
Tu veux juste te rassurer, Hajime, tu veux les rassurer aussi, tu ne sais pas. Il y a tant de questions qui arrivent sur ta langue. Qui a des nouvelles d'Aritsune ? De tous les Yatagarasu ? Et les autres élèves ? Et les professeurs, est-ce qu'ils étaient tous indemne ? Et Nanami ? Nanami, Nanami, Nanami. Nanami.
Plus tard, Hajime.
Tu paniqueras plus tard.
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Le retour à l’auberge avait une gravité qui te minait déjà.
La vision de l’auberge réduite en cendres tua le peu de moral qu’il restait en toi.
La vue sur les professeurs et les élèves blessés fût le coup final.
Il n’y a pas de mots pour ce genre de situation, tu comprends juste pas ce qui c’est passé. Tes pensées sont coupées nettes, il n’y a que cet affreux soulagement qu’il ne soit rien arrivé à votre groupe.
La vision de l’auberge réduite en cendres tua le peu de moral qu’il restait en toi.
La vue sur les professeurs et les élèves blessés fût le coup final.
Il n’y a pas de mots pour ce genre de situation, tu comprends juste pas ce qui c’est passé. Tes pensées sont coupées nettes, il n’y a que cet affreux soulagement qu’il ne soit rien arrivé à votre groupe.
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Tu es resté silencieux pendant bien trop longtemps. Du moment ou votre professeur est intervenu jusqu'au moment ou tu as vu l'auberge en flammes, tu t'es tu. Aucun bruit. Rien. Quand vous débarquez, tu regardes autour de toi. Malgré le bruit ambiant, dans ta tête, c'est le silence complet. Qui peut bien avoir fait ça ? Tu checkes rapidement ton corps. Tout va bien, pas de blessure, plus de peur que de mal. Tu te laisses tomber sur les fesses et tu te recroquevilles. Ce n'est pas pour ça que tu voulais partir à Kyoto. Il faut que tu te reprennes, Rin. Tu as été fantastique. Tu t'en es sorti comme un chef et aujourd'hui, tu as prouvé que tu étais plus malin que ce que la plupart des autres élèves peuvent penser. Tu sais que tout ce qui s'est passé va changer la donne. Est-ce que tu peux vraiment continuer à fanfaronner en traitant Hajime de nul ? Non. Vous vous êtes sauvés mutuellement. Il serait mal vu que tu tournes le dos à quelqu'un qui a pris des risques pour toi.
Tu pourrais te mettre à parler seul, parce qu'il faut que tu extériorises tout. Mais ce n'est pas le moment de faire paniquer les survivants, pas vrai ? Tu t'approches de M'sieur Tsukino.
"On... on a fait ce qu'on a pu. On a pas pu les sauver. Il... il s'est écrasé. Juste devant moi."
Tout ce que tu peux voir quand tu fermes les yeux, c'est la bouillie. Le mouvement d'un innocent qui s'écrase au sol. Tu relèves la tête vers ton professeur.
"Je ne suis pas blessé. Est-ce que je peux aider ? Je veux m'assurer qu'aucun de mes camarades ne revienne dans l'état de Tetsuya !"
Tu as un peu haussé le ton. Tu es perdu. Perturbé. Perdurbé. Tes poings sont serrés et tu regardes autour de toi. Il ne semble pas y avoir de morts. C'est un point très positif, au moins. T'aura pas besoin de vomir une deuxième fois.
Tu pourrais te mettre à parler seul, parce qu'il faut que tu extériorises tout. Mais ce n'est pas le moment de faire paniquer les survivants, pas vrai ? Tu t'approches de M'sieur Tsukino.
"On... on a fait ce qu'on a pu. On a pas pu les sauver. Il... il s'est écrasé. Juste devant moi."
Tout ce que tu peux voir quand tu fermes les yeux, c'est la bouillie. Le mouvement d'un innocent qui s'écrase au sol. Tu relèves la tête vers ton professeur.
"Je ne suis pas blessé. Est-ce que je peux aider ? Je veux m'assurer qu'aucun de mes camarades ne revienne dans l'état de Tetsuya !"
Tu as un peu haussé le ton. Tu es perdu. Perturbé. Perdurbé. Tes poings sont serrés et tu regardes autour de toi. Il ne semble pas y avoir de morts. C'est un point très positif, au moins. T'aura pas besoin de vomir une deuxième fois.
Rajan Tsukino
Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
Age : 37 ans
Rang : S0
Seimei
Rajan Tsukino
event 3
Haruka t’explique rapidement tout ce qu’il s’est passé. Il te dit qu’il va bien, qu’il vient d’avoir une autre urgence. Le cauchemar continuait, doucement, et tu priais vainement pour qu’il n’y ait pas plus de blessés. Tu hoches la tête et le laisse filer. « Reviens-moi entier. » Parce que t’as peur que quelque chose de nouveau arrive. T’as peur de le voir encore plus blessé.
S’en suit l’arrivée de Kuro, tu poses ton regard sur lui, qui ne soutenait plus la pression. T’as envie de glisser tes bras autour de lui, pour le rassurer, mais il y avait d’autres priorité. Comme tout le monde, il fallait que vous plus que d’autres preniez sur vous. « On ne peut pas rentrer maintenant, Kuro. » Tous les groupes n’étaient pas encore arrivés, tous les élèves n’étaient pas encore rassemblés et tu n’oublies pas les paroles de ton ami : il ne faut pas que les gens s’approchent de l’intérieur de l’auberge. Tu passes ta main sur le visage de l’infirmier, essuyant les perles salées qui jonchaient le long de ses joues. « On a besoin de toi. Je suis désolé. Il faut que tu tiennes jusque-là. » Ca te tue de le dire, t’as pas réussi à protéger ton étudiante, aucun de vous à vrai dire n’en a été correctement capable.
Les groupes arrivent un a un, tu te redresses et confie Nanami au sol capable de panser ses plaies correctement. Rin te rejoins rapidement, tu vois la terreur se refléter dans ses yeux comme dans ses mots. Tu poses tes mains sur ses épaules et lui adresses un doux sourire. « Tu as été courageux, Rin. Tout va bien maintenant, d’accord. » Tu essayes te le rassurer du mieux possible. C’est tout ce que tu es capable de faire en ce moment.
« Il faut s’assurer que tous les blessés soient au même endroit. Il faut les emmener auprès de Kuro, il s’occupe déjà de Nanami. » Tu laisses Haruka s’en occuper, tu sais que ça ira. « J’aimerais que tous ceux qui ne sont pas blessé se rassemble ! » Tu hausses la voix, il faut réussir à vous organiser, rapidement, dans ce chaos. « Chaque groupe peut-il me faire un rapide rapport de leur situation ? »
S’en suit l’arrivée de Kuro, tu poses ton regard sur lui, qui ne soutenait plus la pression. T’as envie de glisser tes bras autour de lui, pour le rassurer, mais il y avait d’autres priorité. Comme tout le monde, il fallait que vous plus que d’autres preniez sur vous. « On ne peut pas rentrer maintenant, Kuro. » Tous les groupes n’étaient pas encore arrivés, tous les élèves n’étaient pas encore rassemblés et tu n’oublies pas les paroles de ton ami : il ne faut pas que les gens s’approchent de l’intérieur de l’auberge. Tu passes ta main sur le visage de l’infirmier, essuyant les perles salées qui jonchaient le long de ses joues. « On a besoin de toi. Je suis désolé. Il faut que tu tiennes jusque-là. » Ca te tue de le dire, t’as pas réussi à protéger ton étudiante, aucun de vous à vrai dire n’en a été correctement capable.
Les groupes arrivent un a un, tu te redresses et confie Nanami au sol capable de panser ses plaies correctement. Rin te rejoins rapidement, tu vois la terreur se refléter dans ses yeux comme dans ses mots. Tu poses tes mains sur ses épaules et lui adresses un doux sourire. « Tu as été courageux, Rin. Tout va bien maintenant, d’accord. » Tu essayes te le rassurer du mieux possible. C’est tout ce que tu es capable de faire en ce moment.
« Il faut s’assurer que tous les blessés soient au même endroit. Il faut les emmener auprès de Kuro, il s’occupe déjà de Nanami. » Tu laisses Haruka s’en occuper, tu sais que ça ira. « J’aimerais que tous ceux qui ne sont pas blessé se rassemble ! » Tu hausses la voix, il faut réussir à vous organiser, rapidement, dans ce chaos. « Chaque groupe peut-il me faire un rapide rapport de leur situation ? »
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T'as eu juste le temps de lui accorder un sourire avant de partir. Ca avait été rapide, le temps d'un claquement de doigts, d'une complainte envers ces vacances horribles. Tsuchigumo dans les bras alors que l'auberge avait l'air bien plus remplie, tu te diriges alors vers l'infirmier.
C'est la fatigue qui te murmure au coin des oreilles d'arrêter, heureusement pour toi tu es sourd, les pas sont confiants, l'air droit, la mine au plus neutre que jamais. Comme prêt à donner une heure de cours. Tu déposes alors l'élève au côté d'une de ses camarades, te chargeant de ne pas le blesser plus qu'il ne l'est. Bras cassé, jambe cassé, je lui ai donné les premiers soins en espérant que le voyage n'endommage rien de plus.
Tu te redresses alors, désignant rapidement les soins, t'accorde alors un regard l'infirmier. Je compte sur vous pour le reste. Hochement de tête puis tu t'éloignes, allant te joindre à ton collègue, main sur l'épaule pour l’alerter de ta présence.
C'est la fatigue qui te murmure au coin des oreilles d'arrêter, heureusement pour toi tu es sourd, les pas sont confiants, l'air droit, la mine au plus neutre que jamais. Comme prêt à donner une heure de cours. Tu déposes alors l'élève au côté d'une de ses camarades, te chargeant de ne pas le blesser plus qu'il ne l'est. Bras cassé, jambe cassé, je lui ai donné les premiers soins en espérant que le voyage n'endommage rien de plus.
Tu te redresses alors, désignant rapidement les soins, t'accorde alors un regard l'infirmier. Je compte sur vous pour le reste. Hochement de tête puis tu t'éloignes, allant te joindre à ton collègue, main sur l'épaule pour l’alerter de ta présence.
Yori Hayashi
Citation : All is lost again but i'm not giving up
Age : 19 (16 mars)
Orochi
Yori Hayashi
Cet event c'est devenu l'anarchie
Un nouveau groupe arrive à son tour et tu entends le professeur Tsukino donner les premières directives : que ceux qui ne sont pas blessés se rassemblent, les autres auprès de Kuro. Tu n’es pas blessé. Mais tu ne lâcherais Kuro pour rien au monde. Et surtout, tu vois le professeur de métamorphose arriver.
Tetsuya entre ses bras.
Ton cœur s’arrête pour la deuxième fois et tu oublies définitivement d’obéir à la demande. A peine déposé, tu te trouves à ses côtés, une main posée sur son bras – celui qui ne semble pas être cassé.
« Qu’est-ce qui s’est passé ? Merde, Tetsuya, dis-moi... que quoi ? Que tu vas bien ? La bonne blague. Dis moi que t’es réveillé. Pour commencer. »
Tu essaies de te contrôler, mais ta voix tremble. Tu te sens à la fois paniqué et énerver. En colère. Contre ceux qui ne l’ont pas protégé. Contre toi qui n’étais pas là. Contre les événements qui ont eu lieux. Contre tout, finalement.
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fire
feat. everyone
Tu es perdu, Kiyoshi, perdu, perdu, perdu dans ce chahut, dans tout ce qu'il se passe. Tu es perdu parce que tout le monde va et vient, parce que tu ne vois pas ce qu'il se passe. Et tu es perdu, Kiyoshi, car les personnes vers qui tu te tournerais ne sont pas là. Sora est parti, il s'est éloigné, et il a vite été rejoint par ses amis, bien plus proche de lui que tu ne le seras jamais. Mais c'est normal, Kiyoshi, à trop repousser les autres, on a plus personne autour de soi. Alors tu restes là, les bras ballants, à attendre, à observer ce qu'il se passe autour de toi et tu n'as qu'une envie : fuir.
Tu veux fuir, si loin, si loin d'ici, et le plus vite possible. Et alors, alors quelque chose vient te bousculer, vient réveiller tes pensées. Qu’est-ce qui s’est passé ? Merde, Tetsuya, dis-moi... Dis moi que t’es réveillé. Ton visage se tourne vers cette voix qui appelle Tetsuya. Tetsuya qui ne répond pas. Et alors, alors, alors, tu vois, Kiyoshi. Tetsuya, allongé sur le sol, Yori au-dessus de lui. Tetsuya qui ne répond pas.
Et ton cœur chavire.
Ton corps se mouve.
Et alors, alors, tu t'accroupis à côté de Yori, là, tout proche de Tetsuya. Tu protes la poisse, Kiyoshi. Regarde, regarde, regarde ce que tu as fait. Miura peut aller crever. Non non, tu ne le pensais pas, tu ne le voulais pas. Et tu te souviens de la veille, de votre conversation que tu as fuit, et tu comprends, qu'il ne veuille plus te voir, qu'il ne veut sûrement pas de toi ici, mais tant pis, tant pis, tant qu'il n'est pas réveillé, tu resteras.
« Tetsuya, Tetsuya réveille-toi. »
Pitié pitié, réveille toi.
Tu veux fuir, si loin, si loin d'ici, et le plus vite possible. Et alors, alors quelque chose vient te bousculer, vient réveiller tes pensées. Qu’est-ce qui s’est passé ? Merde, Tetsuya, dis-moi... Dis moi que t’es réveillé. Ton visage se tourne vers cette voix qui appelle Tetsuya. Tetsuya qui ne répond pas. Et alors, alors, alors, tu vois, Kiyoshi. Tetsuya, allongé sur le sol, Yori au-dessus de lui. Tetsuya qui ne répond pas.
Et ton cœur chavire.
Ton corps se mouve.
Et alors, alors, tu t'accroupis à côté de Yori, là, tout proche de Tetsuya. Tu protes la poisse, Kiyoshi. Regarde, regarde, regarde ce que tu as fait. Miura peut aller crever. Non non, tu ne le pensais pas, tu ne le voulais pas. Et tu te souviens de la veille, de votre conversation que tu as fuit, et tu comprends, qu'il ne veuille plus te voir, qu'il ne veut sûrement pas de toi ici, mais tant pis, tant pis, tant qu'il n'est pas réveillé, tu resteras.
« Tetsuya, Tetsuya réveille-toi. »
Pitié pitié, réveille toi.
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