Event #3 : détente sous les cerisiers (Az, Ei, Ha, Ku, Yo) & (Everyone)
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FACE MY FEAR
Un instant avec Sora, un instant avec Yue, de quoi te rassurer, de quoi calmer ta respiration trop brutale, trop violente, trop rapide. De quoi calmer tes nerfs à vif. Et alors, le professeur Tsukino appelle les présents, et tu suis Sora quasi immédiatement. Il est le premier à parler, et ça te rassure. Les souvenirs du corps de l'inconnu qui s'écrase te revient en mémoire, et tu chasses l'image en secouant la tête de gauche à droite sans le faire exprès. Rin. Tu avais accouru immédiatement vers Sora et Yue, tu avais fui Nanami, la peur au ventre de voir ce qu'elle pouvait avoir... Tu prends alors la parole à ton tour :
« On s'est envolé, à quelques mètres de hauteurs. Tetsuya a fait une chute entre dix et quinze mètres, mais on a continué de monter bien plus haut. Un passant... un passant s'est écrasé. »
Et alors, la voix du professeur de sortilèges arrivent à tes oreilles. Aritsune est blessé. Mais tout se passe en même temps, tu entends la voix de Nanami, vite suivie par celle de Zeno. Elle est avec lui, elle va bien aller, elle est en sécurité. Tu ne peux pas la rejoindre. Tu n'en es pas capable. Et alors, le cri, le cri, le cri. Tout arrive soudain, Hajime, comme si les informations passaient dans un filtre et que ton cerveau n'en acceptait que certaines.
Takashi qui hurle à la mort est l'une des informations que ton cerveau ne veut pas comprendre.
Tu prends une grande inspiration, lances un regard de nouveau à Nanami, avant de slalomer entres les blessés pour faire partir reculer tout le monde le plus possible, posant une main sur les épaules proches :
« Zeno, laisse monsieur Okumura géré, il faut que tu partes de là. »
Tu t'abaisses pourtant un instant vers Nanami, glisses ta main dans ses cheveux.
« On revient dès que possible, ça va aller, okay ? »
Et tu te la quittes après un dernier regard appuyé, avant de continuer ta ronde, faisant partir tout le monde, quittes à les tirer par le bras pour les éloigner, et les pousser vers ton professeur de vol.
Et tu fais tout ce que tu peux, Hajime, pour ne plus entendre les cris terribles de Takashi.
hrp : BON EN GROS HAJIME PASSE, RECUPERE LES GENS ET LES AMENES A RAJAN.
« On s'est envolé, à quelques mètres de hauteurs. Tetsuya a fait une chute entre dix et quinze mètres, mais on a continué de monter bien plus haut. Un passant... un passant s'est écrasé. »
Et alors, la voix du professeur de sortilèges arrivent à tes oreilles. Aritsune est blessé. Mais tout se passe en même temps, tu entends la voix de Nanami, vite suivie par celle de Zeno. Elle est avec lui, elle va bien aller, elle est en sécurité. Tu ne peux pas la rejoindre. Tu n'en es pas capable. Et alors, le cri, le cri, le cri. Tout arrive soudain, Hajime, comme si les informations passaient dans un filtre et que ton cerveau n'en acceptait que certaines.
Takashi qui hurle à la mort est l'une des informations que ton cerveau ne veut pas comprendre.
Tu prends une grande inspiration, lances un regard de nouveau à Nanami, avant de slalomer entres les blessés pour faire partir reculer tout le monde le plus possible, posant une main sur les épaules proches :
« Zeno, laisse monsieur Okumura géré, il faut que tu partes de là. »
Tu t'abaisses pourtant un instant vers Nanami, glisses ta main dans ses cheveux.
« On revient dès que possible, ça va aller, okay ? »
Et tu te la quittes après un dernier regard appuyé, avant de continuer ta ronde, faisant partir tout le monde, quittes à les tirer par le bras pour les éloigner, et les pousser vers ton professeur de vol.
Et tu fais tout ce que tu peux, Hajime, pour ne plus entendre les cris terribles de Takashi.
hrp : BON EN GROS HAJIME PASSE, RECUPERE LES GENS ET LES AMENES A RAJAN.
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fire
feat. everyone
Tetsuya bouge. Il bouge, il est en vie, il va s'en sortir. Et alors, alors le professeur vous demande de partir, demande à Yori de rester, et tes doigts se crispent sur tes genoux alors que Yori te prend par les épaules pour te faire partir.
« N... Non... Tetsuya il... »
Mais tu es trop perdu pour réellement réagir, Kiyoshi. Alors, quand il te pousse, tes jambes te tirent vers ton professeur de vol et vers Sora. Et tu le regardes, Sora, tu le regardes, il est là, il va bien. Est-ce que vous étiez le seul groupe à rien n'avoir eu ? Tetsuya. Et Tetsuya ? Tetsuya. Et alors, alors tu te diriges vers Sora, et tu restes là, Kiyoshi, sans bouger.
Et les larmes ruissellent sur tes joues, mais tu ne prends même pas la peine de les essuyer.
« N... Non... Tetsuya il... »
Mais tu es trop perdu pour réellement réagir, Kiyoshi. Alors, quand il te pousse, tes jambes te tirent vers ton professeur de vol et vers Sora. Et tu le regardes, Sora, tu le regardes, il est là, il va bien. Est-ce que vous étiez le seul groupe à rien n'avoir eu ? Tetsuya. Et Tetsuya ? Tetsuya. Et alors, alors tu te diriges vers Sora, et tu restes là, Kiyoshi, sans bouger.
Et les larmes ruissellent sur tes joues, mais tu ne prends même pas la peine de les essuyer.
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C'est une caresse entre tes mèches, les tendresses quotidiennes comme pour te dire que tout va bien se passer. Sourire sur sourire t'oses à peine regarder Hajime. Les confusions s’emmêlent alors chacun semblant prendre en main ses priorités. Tu cherches Aritsune du regard, cherchant à le voir saint et sauf. Des cris comme malédiction, visions nauséabonde, tu ne sais pas de qui il s'agit mais t'as à peine le temps de regarder que les complaintes de l'infirmier résonnent à tes oreilles.
Tout va bien, tout va bien. T'aimerais croire alors que tu rejoins d'un pas las le professeur de vol te plaçant comme par automatisme au côté de Sora. T'as le regard dans la vague, jambes tremblante et corps endoloris. Que les hématomes te bénissent.
Tout va bien, tout va bien. T'aimerais croire alors que tu rejoins d'un pas las le professeur de vol te plaçant comme par automatisme au côté de Sora. T'as le regard dans la vague, jambes tremblante et corps endoloris. Que les hématomes te bénissent.
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détente sous les cerisiers
il obéit du mieux qu'il peut. il verse l'eau, trempe le bandage et l'applique sur le visage d'asakura. on ne lui demande rien de trop compliqué, alors ça va. c'est ce qu'il se dit oui. ça va encore. ce n'est pas comme s'il y avait des morts. sauf qu'il y a un cri. un de ceux qui terrifient. c'est de la pure douleur. c'est une pure horreur. visuellement, c'est insupportable. il faut avoir l'estomac bien accroché. un bras totalement broyé. ô misère. et on lui demande encore son aide. il n'est pas sûr d'y arriver, pour le coup. il ne sait pas. cela lui rappel de mauvais souvenirs. on lui demande de le tenir, de le maintenir même. youko le fait. le doute plein l'esprit. parce qu'il ne sait pas. et azrael vient de parler d'un hôpital. il ne sait pas. est-ce que ça ne serait pas mieux là-bas ? alors même s'il obéit, les mots lui brûlent les lèvres. parce qu'il comprend. on ne veut pas le réparer, son bras. on ne vas pas lancer de sort. on ne lance pas de sorts avec un sabre. on coupe. et il ne sait pas. parce qu'un membre, c'est beaucoup. c'est énorme. « on ne devrait pas plutôt aller à l'hôpital ? » il y a la panique dans sa voix. de la peur, aussi. parce qu'ici, c'est clairement pas hygiénique. ici c'est le bordel depuis l'incendie. couper un membre en pleine rue. juste. couper un membre. il ne sait même pas s'il détiendra le coup, s'il tiendra l'élève correctement. parce qu'il est faible, un peu. faible face à ce genre de situations.
feat event 3
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C'est le ton d'Azrael qui t'agace, l'ambiance désastreuse et le désespoir de certains. Tu t'approches de ton collègue laissant d'autres responsabilité, tu le saisis par l'épaule un peu trop durement peut-être mais il fallait bien le secouer non ? Aide-moi. J'ai les tibias en feu c'est pas comme ça que je vais rassembler les élèves. Long soupir avant de les lâcher. On a tous eu une journée de merde et t'es certainement pas le responsable, reprend-toi, c'est maintenant qu'on a besoin de toi.
Hurlement de gosses et tragédies adolescentes, y'avait rien de marrant à avoir le bras en miette. Ca te déchire quelques part toi tes pulsions paternelle et tu te soulages, ça aurait pu être Ishan comme Sahana. Presque coupable Tu viens à ton tour rassembler les élèves les amenant autour de Rajan.
La journée a été dure pour tout le monde, c'est normal d'être paniqué mais nous avons besoin d'être organisé. Si tout le monde pouvait suivre les indications de Monsieur Tsukino ça faciliterait la situation pour tout le monde. Tu déclares à voix haute comme si les événements ne t'avaient pas marqué une seule minute.
Hurlement de gosses et tragédies adolescentes, y'avait rien de marrant à avoir le bras en miette. Ca te déchire quelques part toi tes pulsions paternelle et tu te soulages, ça aurait pu être Ishan comme Sahana. Presque coupable Tu viens à ton tour rassembler les élèves les amenant autour de Rajan.
La journée a été dure pour tout le monde, c'est normal d'être paniqué mais nous avons besoin d'être organisé. Si tout le monde pouvait suivre les indications de Monsieur Tsukino ça faciliterait la situation pour tout le monde. Tu déclares à voix haute comme si les événements ne t'avaient pas marqué une seule minute.
Rajan Tsukino
Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
Age : 37 ans
Rang : S0
Seimei
Rajan Tsukino
event 3
Doucement l’ensemble des élèves se rassemblent, certains font encore défaut à tes instructions, mais tu vois les préfets et autres professeurs essayer de t’aider à mettre de l’ordre. Vous ne pouviez pas les laisser s’éparpiller, surtout lorsque cela ne faisait que déranger Kuro, bien trop débordé, bien trop paniqué. Vous comptiez sur lui, plus que tout en ce moment. Tu adresses un regard un regard reconnaissant à Haruka, son soutient t’aide à rester calme.
Tu écoutes les premiers récits pour établir un point sur les différents groupes, certains semblaient avoir été épargnés, d’autres mit réellement en danger, dont celui de Merorin. Tu es rassuré de les savoir saint et sauf.
« Merci. On va essayer de rester le plus organiser possible. Puis plus bas, tu tires Haruka vers toi et lui murmure tout bas. Haruka, éloignes les élèves restant près des blessés, et s’il faut les éloigner de force, fais-le. Ça devient compliqué-là bas, je veux que personne ne s’en approche à part ceux autorisé par Kuro. Tu penses que tu peux gérer ? » Tu vois bien que la situation devient critique là-bas. Tu rehausses la voix et te retourne vers les élèves, il fallait montrer que vous étiez présent pour eux, que tout irait bien. « Je sais que vous êtes tous inquiet pour vos camarades, mais laissez notre infirmer faire son travail, ne le dérangez pas. J’ai confiance en lui, alors, ayez-aussi confiance en lui, ayez confiance en nous. »
Maintenant, il fallait absolument séparer les deux groupes. Tu commençais à doucement comprendre ce que projetais de faire Kuro, et personne ne devait assister à ce spectacle surtout après tout l'horreur vécu. Il y a aussi le personnel de l'auberge, qu'on t'avais informé décimé. Il fallait absolument s'éloigner des lieux. « Sora, Hajime, Azrael , Takamori. Aidez-moi. » Tu leur lances un regard afin de les faire comprendre tes attentions : éloigner un maximum le groupe de l’auberge. « Merci de tous suivre le préfet en chef, M.Sakurai, et celui des Yatagarasu, M. Nishimura, sans vous éloignez du groupe. » Tu fermerais la marche avec les autres professeurs pour être sûr de rien ne puisse vous attaquer ou surprendre de plus. On n’est jamais trop prudent avec tous ces évènements.
Tu écoutes les premiers récits pour établir un point sur les différents groupes, certains semblaient avoir été épargnés, d’autres mit réellement en danger, dont celui de Merorin. Tu es rassuré de les savoir saint et sauf.
« Merci. On va essayer de rester le plus organiser possible. Puis plus bas, tu tires Haruka vers toi et lui murmure tout bas. Haruka, éloignes les élèves restant près des blessés, et s’il faut les éloigner de force, fais-le. Ça devient compliqué-là bas, je veux que personne ne s’en approche à part ceux autorisé par Kuro. Tu penses que tu peux gérer ? » Tu vois bien que la situation devient critique là-bas. Tu rehausses la voix et te retourne vers les élèves, il fallait montrer que vous étiez présent pour eux, que tout irait bien. « Je sais que vous êtes tous inquiet pour vos camarades, mais laissez notre infirmer faire son travail, ne le dérangez pas. J’ai confiance en lui, alors, ayez-aussi confiance en lui, ayez confiance en nous. »
Maintenant, il fallait absolument séparer les deux groupes. Tu commençais à doucement comprendre ce que projetais de faire Kuro, et personne ne devait assister à ce spectacle surtout après tout l'horreur vécu. Il y a aussi le personnel de l'auberge, qu'on t'avais informé décimé. Il fallait absolument s'éloigner des lieux. « Sora, Hajime, Azrael , Takamori. Aidez-moi. » Tu leur lances un regard afin de les faire comprendre tes attentions : éloigner un maximum le groupe de l’auberge. « Merci de tous suivre le préfet en chef, M.Sakurai, et celui des Yatagarasu, M. Nishimura, sans vous éloignez du groupe. » Tu fermerais la marche avec les autres professeurs pour être sûr de rien ne puisse vous attaquer ou surprendre de plus. On n’est jamais trop prudent avec tous ces évènements.
Akshar Tsukino
Citation : you son of a bitch, shut the fuck up
Age : dix neuf ans
Rang : A1
Susanoo
Akshar Tsukino
détente sous
les cerisiers
les cerisiers
Tes hurlements avaient alarmé, dans un premier temps rassuré, bienheureux de voir l’infirmer désormais à tes côtés, tu n’aurais pas cru avoir une nouvelle poussée d’anxiété. Ton bras n’en était plus un, tu en étais parfaitement conscient, la douleur et sa vue avaient été assez explicite, pourtant tu ne pensais pas qu’il devrait en être ainsi, tu ne pensais pas que tu allais perdre un bras durant une simple sortie scolaire, du moins, ce qui devait être une simple sortie scolaire.
Le cœur en panique, les larmes aux yeux alors qu’il met dans ta bouche un bout de bois, tu serres les dents en bougeant la tête de gauche à droite, tu as peur, trop peur, terriblement peur et tu voudrais fuir au plus vite, pourtant on te tient, une voix, des voix, et tu flippes comme tu n’as jamais flippé.
Est-ce qu’il va vraiment le faire ?
Certainement, bien que tu n’allais pas souvent à l’infirmerie, tu savais bien qu’il ne plaisanterait pas sur l’amputation d’un membre, de ton membre, ton bras valide, celui qui n’avait pas brûlé, celui avec qui tu faisais tout. Tu allais le perdre, perdre bien des choses et tu le comprenais, et ne désirant rien n’y voir, tu fermes fortement les yeux, détournant même le visage malgré la douleur que ça te faisait subir.
Merde.
Le cœur en panique, les larmes aux yeux alors qu’il met dans ta bouche un bout de bois, tu serres les dents en bougeant la tête de gauche à droite, tu as peur, trop peur, terriblement peur et tu voudrais fuir au plus vite, pourtant on te tient, une voix, des voix, et tu flippes comme tu n’as jamais flippé.
Est-ce qu’il va vraiment le faire ?
Certainement, bien que tu n’allais pas souvent à l’infirmerie, tu savais bien qu’il ne plaisanterait pas sur l’amputation d’un membre, de ton membre, ton bras valide, celui qui n’avait pas brûlé, celui avec qui tu faisais tout. Tu allais le perdre, perdre bien des choses et tu le comprenais, et ne désirant rien n’y voir, tu fermes fortement les yeux, détournant même le visage malgré la douleur que ça te faisait subir.
Merde.
Tsugumi Tsugikuni
Citation : tsutsutsutsu
Age : trente
Rang : A2
Susanoo
Tsugumi Tsugikuni
event 3
Désormais habillé, vêtu des vêtements qu’on vous avait ramené – bien que Takamori avait oublié d’en ramener pour toi, certains des élèves avaient eu la bonne idée d’en prendre plusieurs pour vous tous. Un cri, celui de l’infirmier, de quémandant ton sabre, mais avant même que tu ne répondes, celui-ci est dans ses mains, et tu remarques, Eiji, que devant lui se trouve Tokoyami, un bras qui n’en est plus un, tu comprends ce qu’il risque de se passer, alors, tu fermes les yeux de dépit, préférant te taire qu’intervenir. Tu sais qu’ils pourraient certainement se déplacer, mais à l’heure actuelle, vous ne devez pas bouger.
Alors, tu ne dis pas un mot, rejoignant ceux qui ne sont pas blessés, vérifiant qu’aucun jeune ne voit la scène qui allait se dérouler.
Alors, tu ne dis pas un mot, rejoignant ceux qui ne sont pas blessés, vérifiant qu’aucun jeune ne voit la scène qui allait se dérouler.
Yori Hayashi
Citation : All is lost again but i'm not giving up
Age : 19 (16 mars)
Orochi
Yori Hayashi
Avec les derniers venus, c'est Takashi qui est amené. Takashi avec un bras broyé. Heureusement que tu as l'estomac accroché, parce que ce n'est réellement pas beau à voir. Tu te sens mal pour lui. Même si ça n'avait pas été le grand amour entre vous deux pendant longtemps, vous aviez finalement réussi à discuter. Et tu ne souhaitais clairement pas ça.
Ses bras devaient réellement être maudis.
Kuro te sommes de lui apporter de l'école, alors tu te mets à la tâche dans l'immédiat. Heureusement que vous étiez dans un quartier plutôt animé, à proximité, parce que vous n'aviez pas ça sur place. C'est donc dans une petite boutique que tu trouves ce qu'il vous faut et reviens rapidement après.
Quand tu reviens, c'est un sabre à la main que tu trouves Kuro - et tu songes brièvement qu'il est bien étrange de voir un soignant avec une arme. Alors tu comprends rapidement l'idée. La procédure engagée. Tu as du mal à avaler ta salive. Bon sang, est-ce qu'on va vraiment faire ça ? Néanmoins, tu comprends qu'il n'y a pas vraiment d'autres possibilités.
« Tiens, Kuro. »
Tu lui tends la bouteille de rhum et tu te postes aux côtés du blessés, attendant les prochaines indications.
Tu prends juste la main encore valide, bien qu'entièrement brûlée de ton colocataire. Pour lui faire une présence. Un soutien.
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event #3 ⛛
ft. AZEIHAYO & ALL
les élèves s'éloignent, les professeurs aussi. tout ce beau monde se fait enfin encadrer. c'est ça de moins à gérer, te dis-tu. ce n'est pas beau. vraiment. et tu ne sais pas vraiment comment rassurer ce pauvre tokoyami. est-ce vraiment la bonne solution ? l'hôpital c'est une bonne idée aussi. mais arriverait-il à temps ? et que feraient-ils de plus là-bas ? tu as déjà travaillé avec les moldus, tu connais leurs procédures. yori te ramène l'alcool que tu as demandé. tu as de quoi désinfecter. c'est parfait. tu fouilles dans le sac, et y trouves une ceinture. tu vas faire un garrot. ça évitera au sang de continuer sa circulation, et celle de l'infection par la même occasion. tu déposes la bouteille, le sabre dans une main, la baguette dans l'autre. tu espères que tes propres bandages tiendront jusqu'à la fin des soins. tu lances un incendio sur la lame de takagi. pour la stériliser. elle s'enflamme et s'éteint, rapidement. tu poses ta baguette. reprends la bouteille d'alcool et l'ouvre. difficilement. tu prendrais bien une gorgée mais serait-ce judicieux ?
c'est comme si tout devenait flou autour de toi. tu ne remarques plus personne. il va falloir faire vite, et être précis. tu respires. une fois. deux fois.
ce n'est pas une véritable question. juste une forme d'annonce. ça va arriver. là. maintenant. tu ne dois pas te rater. c'est inenvisageable. impensable. respire kuro, respire. tu peux le faire. tu asperges son bras de rhum pour désinfecter la plaie. tu lâches la bouteille, prenant le sabre par les deux mains. respire.
tu abats le sabre. c'est net. efficace. on entend des bruits, indescriptibles. de la chair, des os. tout se fend sur le passage de la lame. la section se fait, juste au-dessous de l'épaule. il faut très rapidement désinfecter et cautériser, à défaut de suturer. ce pauvre enfant en sortie scolaire, se retrouve amputé d'un bras.
la plaie se cautérise. et tu l'enroules dans les bandelettes découpées par matsushime.
tokoyami, tu m'entends ? reste avec moi. ça va piquer. énormément. tiens bon.
c'est comme si tout devenait flou autour de toi. tu ne remarques plus personne. il va falloir faire vite, et être précis. tu respires. une fois. deux fois.
prêts ?
ce n'est pas une véritable question. juste une forme d'annonce. ça va arriver. là. maintenant. tu ne dois pas te rater. c'est inenvisageable. impensable. respire kuro, respire. tu peux le faire. tu asperges son bras de rhum pour désinfecter la plaie. tu lâches la bouteille, prenant le sabre par les deux mains. respire.
les enfants. soyez forts !
tu abats le sabre. c'est net. efficace. on entend des bruits, indescriptibles. de la chair, des os. tout se fend sur le passage de la lame. la section se fait, juste au-dessous de l'épaule. il faut très rapidement désinfecter et cautériser, à défaut de suturer. ce pauvre enfant en sortie scolaire, se retrouve amputé d'un bras.
aller mon grand, on y est presque. incendio !
la plaie se cautérise. et tu l'enroules dans les bandelettes découpées par matsushime.
c'est fini. bravo tokoyami.
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détente sous les cerisiers
ô misère. misère de bruit. c'est un bruit horrible. un de ceux qui retourne l'estomac. il a envie de tout lâcher et de partir. mais il ne le fait pas. à la place, il appuie sur le bras encore présent et sur l'abdomen du côté où le bras vient de se faire couper. parce qu'il ne peut pas appuyer sur l'épaule. cela ferait trop mal. et s'il le pouvait, il aimerait se créer deux autres mains, juste pour pouvoir les poser sur les lèvres de l'élève, pour étouffer sa peine. mais il ne peut pas. il participe juste à cette boucherie curative. et c'est horrible. un bras. alors que l'autre ne semble déjà pas normal. mais c'est fini. okumura félicite l'élève. tokoyama. il ne pourra sûrement pas oublier ce nom. ni ce jour. il peut relâcher sa prise. arrêter d'appuyer, de retenir. s'écarter. à peine. de quoi essayer de se reprendre. ce n'est pas un bon exemple. ce n'est même pas lui qui a tenu le sabre et pourtant, il se sent tout comme. comment okumura fait-il pour sembler si ? il n'a pas le mot avec. juste un sentiment respect et de dégoût à la fois.
feat event 3
Akshar Tsukino
Citation : you son of a bitch, shut the fuck up
Age : dix neuf ans
Rang : A1
Susanoo
Akshar Tsukino
détente sous
les cerisiers
les cerisiers
Une main prend la tienne, quelques secondes tu ouvres les yeux, remarquant à tes côtés Yori, qui aurait cru qu’il serait celui qui viendrait à ton soutient dans une pareille situation, personne, très certainement. Tes ressentiments passés sont oubliés, et tu ne peux t’empêcher de serrer un peu plus sa main, la peur au ventre, l’estomac retourner des terreurs qui t’enlacent alors. Okumura te parle, tu l’entends mais la douleur est telle que tu ne sais répondre à ses sentences, tu sens une infâme douleur, un garrot et bordel tu as si mal, tellement mal que tu es secoué de sanglots terribles.
Le liquide s’abat, la douleur te fait tourner de l’œil, un peu, mais pas assez pour te rendre inconscient, tu tentes de ne pas trop bouger, mais les spasmes qui secouent ton corps, ton instinct, te fait tout de même te mouvoir, on te tient pourtant, fermement, et tu sais que tu vas bientôt ressentir pire encore.
Un tintamarre d’os et de chair, un son que tu n’oublierais certainement jamais, celui du sabre qui pourfend ton bras, qui t’ampute de ton membre : c’est terminé. Et tu hurles, des cris à en fendre l’âme, à en briser des cordes vocales, la douleur semble si nette et si violente, tu ne comprends plus rien à ce qui se passe, tu pleures, tu pleures, et tu pleures seulement en criant ton mal.
Encore un peu.
Et les flammes cautérisent ta plaie, te font hurler encore une fois, cette sensation si proche de la brulure de ton premier bras et pourtant terriblement différente.
Terriblement plus douloureuse.
Tu tournes de l’œil, des sueurs au front, le cœur en panique, l’envie affreuse de vomir,
Tu te sens au bord de l’évanouissement.
Le liquide s’abat, la douleur te fait tourner de l’œil, un peu, mais pas assez pour te rendre inconscient, tu tentes de ne pas trop bouger, mais les spasmes qui secouent ton corps, ton instinct, te fait tout de même te mouvoir, on te tient pourtant, fermement, et tu sais que tu vas bientôt ressentir pire encore.
Un tintamarre d’os et de chair, un son que tu n’oublierais certainement jamais, celui du sabre qui pourfend ton bras, qui t’ampute de ton membre : c’est terminé. Et tu hurles, des cris à en fendre l’âme, à en briser des cordes vocales, la douleur semble si nette et si violente, tu ne comprends plus rien à ce qui se passe, tu pleures, tu pleures, et tu pleures seulement en criant ton mal.
Encore un peu.
Et les flammes cautérisent ta plaie, te font hurler encore une fois, cette sensation si proche de la brulure de ton premier bras et pourtant terriblement différente.
Terriblement plus douloureuse.
Tu tournes de l’œil, des sueurs au front, le cœur en panique, l’envie affreuse de vomir,
Tu te sens au bord de l’évanouissement.
Azrael Nakagawa
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 33 (7/07/64)
Rang : 92
Susanoo
Azrael Nakagawa
« C'est comme si vous étiez en colonie de vacances, sauf que ça a viré au cauchemar. »
« Désolé. Je vais me reprendre. »
Tu prends une profonde inspiration et l'accompagne jusqu'à Rajan. Heureusement qu'il est là, n'empêche, c'est surement celui qui organise le mieux la situation. Alors tu suis les directives, et le groupe, pour rassembler tout le monde au même endroit.
Kuro se retrouve enfin libre d'agir et c'est certainement pour lui, étant donné ce qu'il semblait être sur le point de faire. Les élèves ont été suffisamment traumatisés pour lui. Ils auront déjà surement besoin d'un bon soutien psychologique, à leur retour.
Bon sang. Comment vous en étiez arrivé là ?
« Ne vous éloignez pas, maintenant. Et évitez de rester seul. Je pense qu'on a tous besoin d'un peu de présence, pour le moment. »
L'isolement, c'est souvent la première réaction quand on ne se sent pas bien, mais ce n'est clairement pas la meilleure. Alors tu comptes sur eux pour se serrer les coudes un maximum.
Takamori Fujiwara
Citation : tu seras une pièce sans valeur sur le plateau de ma vie
Age : trente-et-un ans
Rang : a0
Susanoo
Takamori Fujiwara
le bilan aurait pu être bien pire, surtout face à deux golems aussi hargneux. enfin golem, ça ne ressemblait pas franchement aux descriptions qu'il avait lu autrefois de la créature. qu'est-ce que ça pouvait être, qui était derrière tout ça ? autant de questions qui ne trouveraient pas tout de suite leurs réponses.
autour de lui la vie s'agite. il y a une odeur de panique, d'effroi, les élèves ont le regard remplie d'une terreur muette. est-ce que d'autres groupes ont été attaqués ? puisqu'il ne peut rien faire pour éloigner les moldus curieux qui se rassemblerait bientôt, autant partir à la pêche aux informations. le professeur se fiche presque des élèves, il a une idée en tête et si tiens. c'est la curiosité qui parle, son instinct de chasseur qui revient à fleur de peau. il cherche quelqu'un du regard . eijj ... oui lui aurait forcément des choses à raconter. alors il s'approche de lui, passe à côté d'élèves ou d'autres professeurs, ne prête même pas attention à la boucherie que pratique kuro. il le saisit par les épaules et lui demande : « sais-tu quelque chose à propos des attaques ? est-ce que les autres groupes ont été attaqués ? par quoi ou par qui ? le ministère est déjà au courant ? dis moi tout ! », pourquoi cette empressement ? pourquoi cette curiosité bien mal placé vue l'état de la situation ? il ne sait pas.
Sora Nishimura
Citation : don't ever try to judge me dude
Age : 19 ans depuis le 7 aôût
Rang : 74/100
Orochi
Sora Nishimura
détente sous les cerisiers
Nanami Asakura
Citation : elle monte dans la fièvre et j'ai cramé tous ses rêves
Age : 20 ans
Rang : 82
Ryujin
Nanami Asakura
détente sous les cerisiers
Tsugumi Tsugikuni
Citation : tsutsutsutsu
Age : trente
Rang : A2
Susanoo
Tsugumi Tsugikuni
event 3
A présent éloigné du massacre se déroulant auprès de Okumura, les élèves autours de toi, quelques collègues aussi, tu te demandes ce qui a bien pu se passer, comment une simple sortie scolaire avait pu donner lieu à des blesser et à une amputation.
C’était irrationnel.
Un soupir, et quelques secondes après, deux mains sur les épaules, presque secoué, Takamori te questionne. Il reste lui-même, peu regardant de la situation, ton regard se lève vers le ciel, tu soupires.
«Comme tu peux le constater, plusieurs groupes ont été attaqué. Je suis tout aussi perdu que toi dans cette affaire, j’étais à poil dans un onsen quand y a eu un putain d’incendie et un phénix de flamme. Il y a quelques blessés, parfois grave, je sais que le groupe de Merorin est actuellement à l’hôpital magique, enfin, tu vois le délire, c’est juste la merde Taka. »
Un soupir, une nouvelle fois.
Ouais c’était la merde.
C’était irrationnel.
Un soupir, et quelques secondes après, deux mains sur les épaules, presque secoué, Takamori te questionne. Il reste lui-même, peu regardant de la situation, ton regard se lève vers le ciel, tu soupires.
«
Un soupir, une nouvelle fois.
Ouais c’était la merde.
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