Event #3 : détente sous les cerisiers (Az, Ei, Ha, Ku, Yo) & (Everyone)
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évent / zeno
love love
Quelque mots. Simplement. Ils s'élèvent pour te rassurer. Elle va bien, qu'elle te dit et tu fermes les yeux lentement. Un instant, tu te sens plus tranquille, Zeno. Ce n'est que lorsqu'elle prononce cette seule phrase que tu relâches sa joue, te relevant finalement. Hajime te demande de le suivre et tu le fais. Non sans un regard pour elle. Encore un. « Tout va bien s'passer. Rassure-toi. On est pas loin. » que tu laisses échapper une nouvelle fois.
L'inquiétude.
Qui vagabonde. Qui erre. Au fond, tu ne peux t'en empêcher. De le ressentir. Mais elle va bien. Elle est entre de bonnes mains. Alors tu retournes auprès des professeurs. Ceux qui rassemblent encore les élèves. Ceux qui sont encore valides tout du moins. Vous étiez hors de tout ceci. Hors de la bataille. Tu ne sais pas ce qui est arrivé, Zeno. Ni ce qui a débarqué soudainement. C'est loin d'être les vacances que vous espériez. Très loin. Et tu entends les cris. D'un garçon qui semble à l'agonie. Tu ne penses pas vouloir connaître la raison de tout cela. Même si tu finiras par le voir.
L'inquiétude.
Qui vagabonde. Qui erre. Au fond, tu ne peux t'en empêcher. De le ressentir. Mais elle va bien. Elle est entre de bonnes mains. Alors tu retournes auprès des professeurs. Ceux qui rassemblent encore les élèves. Ceux qui sont encore valides tout du moins. Vous étiez hors de tout ceci. Hors de la bataille. Tu ne sais pas ce qui est arrivé, Zeno. Ni ce qui a débarqué soudainement. C'est loin d'être les vacances que vous espériez. Très loin. Et tu entends les cris. D'un garçon qui semble à l'agonie. Tu ne penses pas vouloir connaître la raison de tout cela. Même si tu finiras par le voir.
Takamori Fujiwara
Citation : tu seras une pièce sans valeur sur le plateau de ma vie
Age : trente-et-un ans
Rang : a0
Susanoo
Takamori Fujiwara
un phénix de flamme. deux golems. c'était étrange. très étrange. il n'était pas spécialiste en créatures magiques mais il ne pensait pas que voir deux golems et un phénix dans kyoto était normal ou commun. que se passait-il ? il ne savait pas. mais la curiosité était en train de le ronger de l'intérieur. et s'il y avait encore des attaques ? tant de questions. tant d'interrogations. et il était bloqué là, dans cette auberge, à devoir attendre dieu sait combien de temps. « bordel mais qu'est-ce qu'on va faire ? », il fulminait intérieurement, tournait comme un lion en cage.
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event #3 ⛛
ft. AZEIHAYO & ALL
l'acte terminé, tu prends le bras découpé et l'enroule dans un des vêtements encore dans le sac. tu veux le cacher, des fois que d'autres élèves auraient la curiosité de regarder. tu as réussi. et bien que tu ne laisses rien paraître, tu viens, toi aussi, de vivre un traumatisme. un enfant. il n'était qu'un enfant. mais tu n'as pas le temps de t'apitoyer sur ton sort, ni sur celui de cet élève malheureusement. d'autres élèves sont arrivés entre temps et tu dois continuer de veiller les autres. l'un d'eux arrive, un jeune garçon, avec ce qui semble être un bras cassé. tu n'as plus vraiment le temps d'effectuer un réel diagnostique. alors, tu t'approches de lui.
tu reviens auprès de asakura, qui semble avoir repris connaissance. tu lui soulèves doucement la tête pour vérifier l'état de sa plaie. malgré les circonstances, cela semble aller. tu ne peux rien affirmer. dans le doute, tu prends une des bandelettes qu'à fabriquer matsushime, et tu l'enroules autour de sa tête. miura souffre, mais sans anti-douleurs, il n'a malheureusement pas d'autres choix. tous autant qu'ils sont vont devoir prendre leur mal en patience. tu as l'impression d'avoir fini, et en même temps. rien n'est achevé. tout est en suspens. c'est comme si, l'avalanche de blessés avait cessée. tu t'assieds aux côtés d'asakura, continuant de la veiller.
les yeux dans le vide, tu te perds dans tes pensées. n'entendant plus personne. plus aucun son. la fatigue t'envahit. le stress retombe. la panique aussi. tes mains tremblent, enfin. symbole de normalité. tu essayes de le cacher. il ne faudrait pas que l'on te pense inapte. tu n'as que faire de tes propres blessures. tant qu'eux ne souffrent pas trop.il ne faut pas qu'ils souffrent.
ferula.
désolé mon grand, je dois retourner voir tes camarades blessés. ça ira.
désolé mon grand, je dois retourner voir tes camarades blessés. ça ira.
tu reviens auprès de asakura, qui semble avoir repris connaissance. tu lui soulèves doucement la tête pour vérifier l'état de sa plaie. malgré les circonstances, cela semble aller. tu ne peux rien affirmer. dans le doute, tu prends une des bandelettes qu'à fabriquer matsushime, et tu l'enroules autour de sa tête. miura souffre, mais sans anti-douleurs, il n'a malheureusement pas d'autres choix. tous autant qu'ils sont vont devoir prendre leur mal en patience. tu as l'impression d'avoir fini, et en même temps. rien n'est achevé. tout est en suspens. c'est comme si, l'avalanche de blessés avait cessée. tu t'assieds aux côtés d'asakura, continuant de la veiller.
yori, matsushime. merci à vous. je sais combien cela peut-être difficile, garder son sang-froid, voir tant d'horreur...
bravo à vous.
bravo à vous.
les yeux dans le vide, tu te perds dans tes pensées. n'entendant plus personne. plus aucun son. la fatigue t'envahit. le stress retombe. la panique aussi. tes mains tremblent, enfin. symbole de normalité. tu essayes de le cacher. il ne faudrait pas que l'on te pense inapte. tu n'as que faire de tes propres blessures. tant qu'eux ne souffrent pas trop.il ne faut pas qu'ils souffrent.
L'Éventail
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
L'Éventail
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