Event #3 : détente sous les cerisiers (Az, Ei, Ha, Ku, Yo) & (Everyone)
Fuyuki Awataguchi
Citation : Tout bois est gris quand il est réduit en cendres.
Age : 27 ans
Rang : A2
Susanoo
Fuyuki Awataguchi
murder your memory
La douleur avait fini par t’emporter. Hajime était sauvé, l’adrénaline était decendu. Rin, l’avait sauvé, tu es rassuré. Cependant, tu restes étrangement conscient du monde qui t’entoure, tu entends ce qu’il s’y passe, tu entends le professeur Haruka penser tes plaies et vous emmener. Dans ce monde où tu n’es que spectateur de la douleur, tu saisis que vous n’étiez pas les seuls. Tu as peur pour les autres, pour Yori, pour Kiyoshi, pour tous ceux qui ont croisés ton chemin, ton regard, personne ne mérite une telle fin.
Le dos du professeur, se fait rassurant. Tu as mal, mais sa chaleur vient te bercer. Ton esprit s’endors de nouveau quelques instants, tu reviens à toi l’écho de la voix de Yori et ton esprit te hurle de bouger, de t’éveiller, s’ajoute alors un niveau timbre, celui de Kiyoshi. Kiyoshi a qui tu avais dit des choses horribles que tu regrettais encore plus amèrement que tes actes. Tu réalises qu’il s’en est fallu de peu. Tu réalises que leurs visages auraient pu être a jamais effacé. Que tu n’aurais pas pu leur dire, que tu tenais à deux. Tu es encore dans la brume, mais doucement, tu éveilles et les larmes viennent bercer ta peau opaline. Tu as du mal à respirer, ton souffle est entrecoupé, ta côte te dérange amèrement. Tu essayes de te redresser, pour mieux respirer, mais tu peines à bouger. Tu ne fais que gigoter et ta voix, elle s’est envolée, tu n’as plus la force de répondre, tu es encore trop sonné.
Le dos du professeur, se fait rassurant. Tu as mal, mais sa chaleur vient te bercer. Ton esprit s’endors de nouveau quelques instants, tu reviens à toi l’écho de la voix de Yori et ton esprit te hurle de bouger, de t’éveiller, s’ajoute alors un niveau timbre, celui de Kiyoshi. Kiyoshi a qui tu avais dit des choses horribles que tu regrettais encore plus amèrement que tes actes. Tu réalises qu’il s’en est fallu de peu. Tu réalises que leurs visages auraient pu être a jamais effacé. Que tu n’aurais pas pu leur dire, que tu tenais à deux. Tu es encore dans la brume, mais doucement, tu éveilles et les larmes viennent bercer ta peau opaline. Tu as du mal à respirer, ton souffle est entrecoupé, ta côte te dérange amèrement. Tu essayes de te redresser, pour mieux respirer, mais tu peines à bouger. Tu ne fais que gigoter et ta voix, elle s’est envolée, tu n’as plus la force de répondre, tu es encore trop sonné.
CREDIT/MEI
L'Éventail
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
L'Éventail
Invité
Invité
Invité
event #3 ⛛
ft. AZEIHAYO & ALL
les groupes arrivent et les élèves, inquiets, s'affairent autour de toi. tu les comprends. tu les vois effrayés, en colère, tristes. tu ressens les mêmes choses. mais ce n'est pas la priorité. les mains de tsukino essuient tes larmes. c'est une attention que tu apprécies, grandement. la balance penchera en sa faveur, lors de votre prochaine rencontre. ça te fait du bien, un peu. tu as l'impression d'avoir un soutien. un autre. pas physique mais psychologique. tu reprends tes esprits, rapidement. devant la quantité de blessés. impressionnante. tu vois yori tétanisé devant l'état de cet élève.
après avoir presque hurlé, tu dis ces quelques mots, plus bas. miura au sol, il tente de se relever. tu le rassures. comme tu peux.
tu lances un ferula sur le nouveau blessé. à défaut d'un plâtre, du possoss, cela fera l'affaire le temps de rentrer. les bandages s'enroulent sur son bras, sur sa jambe. on croirait une rivière de serpents. qui serrent, fort. ça risque d'être douloureux, mais ça maintiendra ses membres en place. concernant miura, tu vérifies sa respiration, ses fonctions vitales. il semble encore assommé, par la douleur sans doute. sa respiration est sifflante. un peu. tu penses qu'il a une cote cassée lui aussi. les premiers soins du professeur kashiwagi auront permis de guérir les blessures mineures. c'est une bonne chose. tu gardes un œil sur asakura. prenant sa température du dos de la main. elle ne semble pas avoir de fièvre. mais son état relève du miracle. il va falloir nettoyer sa plaie au crâne et la couvrir. tu te penches au-dessus de sa bouche, l'oreille attentive à son souffle. elle respire toujours. tu vas avoir besoin d'alcool. d'eau.
éloignez-vous. tous ! faites de la place. laissez les blessés respirer. DÉGAGEZ !
faites ce qu'on vous dit.
faites ce qu'on vous dit.
après avoir presque hurlé, tu dis ces quelques mots, plus bas. miura au sol, il tente de se relever. tu le rassures. comme tu peux.
miura, reste allongé. tu as de multiples fractures. ta cote t'empêche de respirer. je m'occupe de toi. ne t'inquiètes pas.
yori. toi tu restes, tu vas m'aider.
yori. toi tu restes, tu vas m'aider.
tu lances un ferula sur le nouveau blessé. à défaut d'un plâtre, du possoss, cela fera l'affaire le temps de rentrer. les bandages s'enroulent sur son bras, sur sa jambe. on croirait une rivière de serpents. qui serrent, fort. ça risque d'être douloureux, mais ça maintiendra ses membres en place. concernant miura, tu vérifies sa respiration, ses fonctions vitales. il semble encore assommé, par la douleur sans doute. sa respiration est sifflante. un peu. tu penses qu'il a une cote cassée lui aussi. les premiers soins du professeur kashiwagi auront permis de guérir les blessures mineures. c'est une bonne chose. tu gardes un œil sur asakura. prenant sa température du dos de la main. elle ne semble pas avoir de fièvre. mais son état relève du miracle. il va falloir nettoyer sa plaie au crâne et la couvrir. tu te penches au-dessus de sa bouche, l'oreille attentive à son souffle. elle respire toujours. tu vas avoir besoin d'alcool. d'eau.
yori, je sais que c'est compliqué. mais j'ai besoin de toi. concentre-toi ! tu te sens capable de m'aider ?
matsushime ! pareil tu restes avec nous ! prends un linge, dans le sac et déchire-le. fais-en des serviettes. regarde aussi si on n'a pas un récipient. type bol. et fait vite, c'est un ordre !
matsushime ! pareil tu restes avec nous ! prends un linge, dans le sac et déchire-le. fais-en des serviettes. regarde aussi si on n'a pas un récipient. type bol. et fait vite, c'est un ordre !
Invité
Invité
Invité
détente sous les cerisiers
tous attaqués. tous. et certains groupes n'avaient toujours pas donnés de nouvelles. la crainte. les visages ont beaux arriver un par un, les élèves ne sont pas encore tous là, tout comme les professeurs. où se trouve merorin ? va t-elle bien ? son groupe y a t-il échappé ? il ne sait pas, mais savoir que rajan, lui, va bien, est un soulagement.
mais le cauchemar ne semble pas terminé. cela se lit sur le visage de l'infirmier, qui semble débordé de travail, dépassé par les événements imprévus. il n'est même plus question de savoir comment tout cela s'est produit, mais de limiter les dégâts. et pour cela, youko ne semble rien pouvoir faire. il ne peut même pas lancer un petit sort, histoire de réparer des lunettes. félicitations, une grande utilité. il n'ose même pas demander, n'ose pas bouger, bien qu'il ai osé se rhabiller grâce aux vêtements qu'un des groupes leur a ramener. mais maintenant, il ne sait pas quoi faire. il est là, à attendre comme un imbécile, à observer ces élèves qu'il ne connaît pas vraiment, et qu'il aurait pu ne jamais connaître. tout cela à cause d'un voyage.
mais voilà qu'on lui demande son aide et, après quelques secondes de réactions, il ne perd pas de temps et obéit. « oui monsieur ! » le monsieur qui souligne à quel point il se sent petit et qu'il sait. il sait, youko, qu'actuellement, il ne peut pas faire grands choses d'autres. alors il arrache ce qui semble être une chemise, afin d'en faire des bandes. il en arrachera une seconde plus tard, s'il le faut. c'est une boîte à bento qu'il trouve tout au fond du sac qui servira de recipiant. il la sort et la met en évidence, ajoutant. « c'est tout ce qu'il y a. » cela et des blessés.
feat event 3
Nanami Asakura
Citation : elle monte dans la fièvre et j'ai cramé tous ses rêves
Age : 20 ans
Rang : 82
Ryujin
Nanami Asakura
détente sous les cerisiers
L'Éventail
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
L'Éventail
Sora Nishimura
Citation : don't ever try to judge me dude
Age : 19 ans depuis le 7 aôût
Rang : 74/100
Orochi
Sora Nishimura
détente sous les cerisiers
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Alors que tu arrive à la hauteur de l'auberge, l'effroi de voir celle-ci en cendre te fait reculer de quelque pas puis tu te tourne vers tes deux camarades, tu dois articuler des mots même les plus simples...
- Je vais voir si on certains ont pas besoin d'aide !
Et tu t’éclipse, tu fait le tour, tu essaie de te rassurer le plus possible... Tu remarque des visages, tu essaie de contrôler ses larmes et cette fragilité qui sont tienne pour ne pas donner plus de travail aux professeur déjà bien occupé avec les différents blessés qui se trouve ici.
Finalement tu remarque une personne, planté sur le côté de ce cauchemar éveil avec cet air complètement absent que tu trouve exagérer des fois sauf que c'est l'heure de la trêve et celle-ci va sûrement durer plus qu'une heure.
- Masashige !
Tu ne sais pas comment réagir à part poser une main sur l'épaule de ton camarade, que dire face à un tel événement, toi même Maiko qui essaie de faire la forte des larmes menacent de couler de tes yeux... Tu sers aussi la hanse de ton sac, heureusement que tu avais emporté avec toi la peluche et la bouteille de verre que Hiroshi t'avait offert.
- Je vais voir si on certains ont pas besoin d'aide !
Et tu t’éclipse, tu fait le tour, tu essaie de te rassurer le plus possible... Tu remarque des visages, tu essaie de contrôler ses larmes et cette fragilité qui sont tienne pour ne pas donner plus de travail aux professeur déjà bien occupé avec les différents blessés qui se trouve ici.
Finalement tu remarque une personne, planté sur le côté de ce cauchemar éveil avec cet air complètement absent que tu trouve exagérer des fois sauf que c'est l'heure de la trêve et celle-ci va sûrement durer plus qu'une heure.
- Masashige !
Tu ne sais pas comment réagir à part poser une main sur l'épaule de ton camarade, que dire face à un tel événement, toi même Maiko qui essaie de faire la forte des larmes menacent de couler de tes yeux... Tu sers aussi la hanse de ton sac, heureusement que tu avais emporté avec toi la peluche et la bouteille de verre que Hiroshi t'avait offert.
Azrael Nakagawa
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 33 (7/07/64)
Rang : 92
Susanoo
Azrael Nakagawa
« C'est comme si vous étiez en colonie de vacances, sauf que ça a viré au cauchemar. »
Tu te sens mal.
Tu vois tout ces élèves qui ont été attaqués, toi qui espérais que seul ton groupe avait été touché.
Tu n'as protégé personne, Azrael. La réalité te percute de plein fouet.
Tu as beau te cacher derrière des plaisanteries, tu te sens plus mal que jamais. Injustement, tu te sens soulagé que tes enfants n'aient pas participé à la sortie. Qu'ils n'aient pas été touchés.
« Merorin vient de m'informer de sa situation. Monsieur Kobayashi a été blessé, lui aussi. Ils se sont rendu dans un centre pour y être soigné. Ils nous rejoindront dès qu'ils pourront. »
Tu lâche l'information, comme une copie sans affect de ce que tu viens de lire. Tu n'oses pas regarder les autres, de peur de craquer et tu t'écartes. T'as besoin de t'aérer. La situation est assez désespérée, les élèves ont besoin que vous, professeurs, restez assurés.
Yori Hayashi
Citation : All is lost again but i'm not giving up
Age : 19 (16 mars)
Orochi
Yori Hayashi
Tu te tournes vers Kiyoshi, qui ta rejoins. Tu poses tes mains sur ses épaules, doucement.
« Kiyoshi, ça va aller, je te le promet. Il est entre de bonnes mains. Va rejoindre les autres. »
Tu ne veux pas le brusquer. Tu sais à quel point c'est dur de s'écarter.
Entre temps, les groupes suivants sont arrivés. Il y a des nouveaux blessés. Tu aides rapidement le professeur de maniement de sabre à les porter jusqu'à l'emplacement des autres, au plus près de votre infirmier. Il y a Nael dans le lot, que tu perçois à moitié conscient. Tu le juges brièvement du regard.
« Toi, t'as encore fait l'idiot.»
Tu te tournes de nouveau vers Kuro, qui te demande de te concentrer. De l'aider. Tu réponds d'un hochement de tête, signe que tu es prêt. Que tu te sens capable. Tu prends une profonde inspiration, quand même, pour t'éclaircir les idées.
« Dis moi juste ce que je dois faire. »
Invité
Invité
Invité
Le regard livide, impossible de l’accrocher où que ce soit, tu vois la file des blessés à traîter s’agrandir, monsieur Okamura hausser des ordres d’une voix hâtive, croûlant devant la situation. Et t’es là, planté, parce qu’il n’y a rien à faire depuis que le professeur Tsukino a ordonné de se regrouper tandis que le professeur de métamorphose revient un élève ensanglanté dans les bras. Kiyoshi s'est empressé vers ce blessé—tu reconnais le type du fameux repas.
Ton prénom résonne dans tes oreilles et t’extirpes de cette horrible contemplation, t’aperçois le visage d’une de tes compères kitsune « Maiko, ça va ? » à sa dégaine, tu oses espérer que son groupe lui non plus n’a pas été attaqué. T’esquisse un sourire ruiné, à peine capable de lever tes comissures, le choc de la scène t’a sonné.
La voix de ton professeur sûr résonne, au ton t’as compris que ça n’avait rien de bien. La nouvelle tombe, et Aritsune a été blessé, il est à l’hôpital, tu stresses, c’est pas normal. C’est une sortie de merde, ça ne devait pas se passer ainsi. Vous auriez dû rester à l’école, y faire vos conneries habituelles.
Quelle merde.
Putain, vraiment, quelle merde.
Ton prénom résonne dans tes oreilles et t’extirpes de cette horrible contemplation, t’aperçois le visage d’une de tes compères kitsune « Maiko, ça va ? » à sa dégaine, tu oses espérer que son groupe lui non plus n’a pas été attaqué. T’esquisse un sourire ruiné, à peine capable de lever tes comissures, le choc de la scène t’a sonné.
La voix de ton professeur sûr résonne, au ton t’as compris que ça n’avait rien de bien. La nouvelle tombe, et Aritsune a été blessé, il est à l’hôpital, tu stresses, c’est pas normal. C’est une sortie de merde, ça ne devait pas se passer ainsi. Vous auriez dû rester à l’école, y faire vos conneries habituelles.
Quelle merde.
Putain, vraiment, quelle merde.
Nael Hayashi
Citation : Everybody wants to rule the world
Age : 17 (16/08/80)
Seimei
Nael Hayashi
Tu entends ce qui se dit autour de toi, pas complètement inconscient, malgré ton état second. Vous avez bougé. Ton professeur vous a emmené. Le transplanage t'a donné l'impression de t'achever, mais tu te sens plus éveillé. Tu te sens porté et tu as l'espoir vain de retrouver un lit confortable. Quelque chose de réconfortant et d'agréable. Sauf qu'il n'y a que le sol dur et froid qui t'attend, s'ajoutant à l'inconfort et à la douleur de tes blessures.
Et puis il y a sa voix.
Bordel.
« T'as gueule, Yori. »
Tu ouvres les yeux. Tu jettes un vague coup d’œil autour de toi. T'essaies de bouger mais la douleur de tes côtes te ramène immédiatement au sol. Aïe.
« Il s'est passé quoi ici ? »
Invité
Invité
Invité
évent / kagami
love love
Du bruit. Il n'y a que le bruit et l'odeur de brûlé. Rien d'autres que cela. Au milieu des silhouettes qui vont et viennent, vous êtes arrivés. Après un combat qui a semblé durée une éternité. Tu as tenu bon, Kagami. Tu as aidé tes camarades, ton professeur. Jusqu'au bout malgré la douleur. Tu as tenu tes paupières ouvertes pour ne pas fuir. Pour ne pas les abandonner. « Tu vas bien ? » que tu laisses échapper pour le plus jeune. Il est encore conscient. Alors avant de ne penser à te laisser aller, tu t'approches doucement. Un mal de crâne inlassable accroché à toi. Ce n'est qu'une blessure superficielle. Tu le crois en tout cas. Rien d'autre qu'une petite blessure qui guérira, mais à cet instant tes songes sont troubles.
Une fatigue insatiable.
Avant que sa voix ne résonne, tu te sens faiblir. Lentement, tu viens t'allonger sur le sol. Sans un mot. Sans demander. Tu viens seulement t'allonger après avoir jeté un dernier coup d'oeil aux deux garçons. Ils vont bien maintenant. Tout va bien. Alors doucement, tu fermes les yeux. Attendant que quelqu'un s'occupe de toi. En sourdine, tu t'endors enfin. Rassurée.
Une fatigue insatiable.
Avant que sa voix ne résonne, tu te sens faiblir. Lentement, tu viens t'allonger sur le sol. Sans un mot. Sans demander. Tu viens seulement t'allonger après avoir jeté un dernier coup d'oeil aux deux garçons. Ils vont bien maintenant. Tout va bien. Alors doucement, tu fermes les yeux. Attendant que quelqu'un s'occupe de toi. En sourdine, tu t'endors enfin. Rassurée.
Invité
Invité
Invité
évent / zeno
love love
Nanami. À cet instant, c'est la seule personne qui te vient. Qui effleure la moindre de tes pensées. D'un regard inquiet, tu écarquilles les yeux en observant l'auberge. En remarquant les blessés. Un battement se rate, balayant les lieux. Tu la cherche, Zeno. Avec ardeur. Oubliant d'écouter ce que la jeune fille des Kitsune peut bien te dire. Rien n'arrive à t'atteindre. Ni les gémissements de douleur. Ni le sang. Ni les voix qui passent à tes côtés. Tu la cherches. Elle. Juste elle. D'un pas rapide, tu fais le tour, regarde chaque visage. Chaque silhouette. Ressentant l'impuissance qui étreint. Trop durement. Tu n'étais pas là, Zeno. Encore à cet instant, tu n'es pas là. Peu importe ce que tu as pu dire, tu n'étais pas là. Et cette idée te ronge.
Jusqu'à croiser ses traits.
« Nanami … Nanami ! » c'est brusquement que tu viens poser genoux à terre. Ne pouvant t'empêcher de glisser une main ; tendre ; sur sa joue. Ce battement que tu as raté pendant de si longues minutes, il revient. Reparti ensuite. Elle est blessée. Tu espérais qu'elle n'ait rien. Avec tant de force. Mais la réalité apparaît tout autrement. Et cela, Zeno, ça te rend instable. « Nanami, je suis là. Tout va bien. J'sais pas ce qui est arrivé, mais tout va bien. T'es en sécurité. » tu trembles. Légèrement. Au bout des doigts, tu le sens.
Jusqu'à croiser ses traits.
« Nanami … Nanami ! » c'est brusquement que tu viens poser genoux à terre. Ne pouvant t'empêcher de glisser une main ; tendre ; sur sa joue. Ce battement que tu as raté pendant de si longues minutes, il revient. Reparti ensuite. Elle est blessée. Tu espérais qu'elle n'ait rien. Avec tant de force. Mais la réalité apparaît tout autrement. Et cela, Zeno, ça te rend instable. « Nanami, je suis là. Tout va bien. J'sais pas ce qui est arrivé, mais tout va bien. T'es en sécurité. » tu trembles. Légèrement. Au bout des doigts, tu le sens.
Akshar Tsukino
Citation : you son of a bitch, shut the fuck up
Age : dix neuf ans
Rang : A1
Susanoo
Akshar Tsukino
détente sous
les cerisiers
les cerisiers
L’intense douleur t’avait fait tomber dans l’inconscience, le bras broyé, écrasé, en bouilli, tu ne ressentais plus qu’un atroce mal dont tu voudrais t’échapper. La brûlure de ton bras, celle qui te hantait, te semblait soudain être une douce caresse face à ce que tu étais en train de vivre.
C’est au sol, maintenant allongé, certainement parmi les autres blessés, que tu t’éveilles à nouveau, la douleur bien trop forte te faisant reprendre par moment tes esprits, des goûtes de sueurs sur le front, les dents serrés alors que des larmes au début silencieuses s’écoulent sur tes joues, tu tentes de bouger, afin d’apercevoir ton bras.
Ce qu’il en reste.
La chair à vif, tu ne sens que douleur, tes doigts ne bougent plus et tu ne vois que du sang, des os, des muscles broyés, des veines explosées, du sang, du sang, trop de sang.
Tu as un haut le cœur, l’envie de vomir, de hurler ta douleur.
Pourtant, pendant quelques secondes, sous le choc, tu n’y arrives pas, tu respires juste trop vite, beaucoup trop vite et tu paniques, ton bras est en miette, en bouilli.
Et tes sanglots se font bruyants, t’as mal bordel, tu as tellement mal, tu geints de douleur avant de lâcher un hurlement à faire froid dans le dos quand enfin tout tes sens te reviennent.
Tu souffres.
Les larmes sur tes joues.
Le bras broyé, souillé, salit.
Et tu comprends, t’as certainement une sale infection, tes os ne doivent plus être vraiment clair, c’est plat, y a des bouts de chair qui pendent et ça te dégoûte, tu fermes les yeux, sur le point de vomir, serrant les dents bien que tu gémisses encore de douleur.
Merde.
MERDE.
Il s’était passé quoi putain.
Tu n’arrivais même pas à appeler à l’aide tant la douleur semblait t’étouffait.
Tu cries juste, espérant qu’on vienne te sauver.
Ton bras, c’était plus un bras.
Juste une masse informe de chair, d’os et d’autres choses encore.
C’est au sol, maintenant allongé, certainement parmi les autres blessés, que tu t’éveilles à nouveau, la douleur bien trop forte te faisant reprendre par moment tes esprits, des goûtes de sueurs sur le front, les dents serrés alors que des larmes au début silencieuses s’écoulent sur tes joues, tu tentes de bouger, afin d’apercevoir ton bras.
Ce qu’il en reste.
La chair à vif, tu ne sens que douleur, tes doigts ne bougent plus et tu ne vois que du sang, des os, des muscles broyés, des veines explosées, du sang, du sang, trop de sang.
Tu as un haut le cœur, l’envie de vomir, de hurler ta douleur.
Pourtant, pendant quelques secondes, sous le choc, tu n’y arrives pas, tu respires juste trop vite, beaucoup trop vite et tu paniques, ton bras est en miette, en bouilli.
Et tes sanglots se font bruyants, t’as mal bordel, tu as tellement mal, tu geints de douleur avant de lâcher un hurlement à faire froid dans le dos quand enfin tout tes sens te reviennent.
Tu souffres.
Les larmes sur tes joues.
Le bras broyé, souillé, salit.
Et tu comprends, t’as certainement une sale infection, tes os ne doivent plus être vraiment clair, c’est plat, y a des bouts de chair qui pendent et ça te dégoûte, tu fermes les yeux, sur le point de vomir, serrant les dents bien que tu gémisses encore de douleur.
Merde.
MERDE.
Il s’était passé quoi putain.
Tu n’arrivais même pas à appeler à l’aide tant la douleur semblait t’étouffait.
Tu cries juste, espérant qu’on vienne te sauver.
Ton bras, c’était plus un bras.
Juste une masse informe de chair, d’os et d’autres choses encore.
Invité
Invité
Invité
event #3 ⛛
ft. AZEIHAYO & ALL
les derniers groupes sont là. et avec eux, leurs sentiments. leur peine. leur peur. tant de choses compréhensibles, mais inutiles. ça ne t'aide pas. et bien que tu connaisses la marche à suivre. il semble compliqué d'appliquer à la lettre ce que tu as appris chez les moldus. tu n'as pas de matériel, rien. et tu n'as pas non plus de potion... tu n'as qu'une baguette. cela va prendre du temps. un peu. tu as quand même peur de manquer de temps. et si tout empirait ? entre la foule, la vitesse des événements...
oseki est venue s'allonger sur le banc des blessés. elle aussi. comme ça te rend triste. mais même ainsi, elle reste d'une élégance folle, ton artiste. tout semble normal, un malaise peut-être. tu lances un episkey pour lui soigner ses blessures mineures. elle pourra attendre. tu espères qu'elle ne t'en veuille pas. un nouvel arrive élève arrive, hurlant de douleur. c'est tokoyami. une urgence. sans doute une des pires cette fois. son bras est en bouillie. écrasé. ce n'est même plus un bras.
tu attrapes un bout de bois que tu lui mets dans la bouche. ordonnant à matsushime de le garder immobile. tu attrapes le sabre de takagi, sans vraiment attendre sa réponse. il va t'en vouloir. mais c'est la seule solution. c'est une urgence. et tu as peur au fond de toi. mais tes gestes sont assurés. tu l'as déjà fait. tu connais la procédure.
je réitère une dernière fois cette requête : que TOUS les élèves qui ne sont pas blessés DÉGAGENT !
matsushime, ça fera l'affaire. rempli-le d'eau. trempe une bandelette dedans, puis sur le front de asakura.
matsushime, ça fera l'affaire. rempli-le d'eau. trempe une bandelette dedans, puis sur le front de asakura.
oseki est venue s'allonger sur le banc des blessés. elle aussi. comme ça te rend triste. mais même ainsi, elle reste d'une élégance folle, ton artiste. tout semble normal, un malaise peut-être. tu lances un episkey pour lui soigner ses blessures mineures. elle pourra attendre. tu espères qu'elle ne t'en veuille pas. un nouvel arrive élève arrive, hurlant de douleur. c'est tokoyami. une urgence. sans doute une des pires cette fois. son bras est en bouillie. écrasé. ce n'est même plus un bras.
takagi. ton sabre. VITE !
mon grand, ce qu'il va se passer risque de faire très mal. et malheureusement, vu l'état...je dois... tu ne vas plus avoir de bras.
ta plaie est infectée et il ne reste plus grand chose de tes os. si on attend davantage, l'infection va se répandre. et il faudra alors t'enlever bien plus que le bras...
mon grand, ce qu'il va se passer risque de faire très mal. et malheureusement, vu l'état...je dois... tu ne vas plus avoir de bras.
ta plaie est infectée et il ne reste plus grand chose de tes os. si on attend davantage, l'infection va se répandre. et il faudra alors t'enlever bien plus que le bras...
tu attrapes un bout de bois que tu lui mets dans la bouche. ordonnant à matsushime de le garder immobile. tu attrapes le sabre de takagi, sans vraiment attendre sa réponse. il va t'en vouloir. mais c'est la seule solution. c'est une urgence. et tu as peur au fond de toi. mais tes gestes sont assurés. tu l'as déjà fait. tu connais la procédure.
mors là-dedans. ça va faire extrêmement mal, je préfère te prévenir.
yori change-moi cette eau en rhum. j'ai besoin d'alcool. pour cicatriser après l'intervention.
yori change-moi cette eau en rhum. j'ai besoin d'alcool. pour cicatriser après l'intervention.
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Tu sers un peu plus le tissus que tu as entre tes mains maiko pour te donner une force et surtout pour maintenir le regard de ton camarade vers toi, les annonces qui vienne d'arriver ne sont pas les meilleurs sauf que tu ne dois pas te laisser sombrer dans un néant qui pourrait t'engloutir juste avec une larme versé.
- ça va...
Aucunement besoin de lui retourner la question au vu du sourire brisé de ton camarade, cela te fend le cœur puis tu te concentre sur toi... Ce stress n'est pas le tiens mais, celui de ton camarade...
- Hey ça va aller, ils sont tous pris en charge que ce soit ici ou à l’hôpital !
Tu ne sais si tes mots seront rassurant ou non, mais tu... malgré ta volonté, l'endroit des blessé attire ton œil et voilà que parvient à tes oreilles le cri affreux d'un de tes camarades que tu reconnais...
- Takashi...
Tu vois l'infirmier s'occuper de lui au plus vite, tu en lâche cette poigne pour te détourner de ce cauchemar... Tu va t'asseoir loin qu'on te voit quand même et prends cette peluche de ton sac et essaie fortement de penser à la futur arrivé de ton frère Hiroshi même si c'est égoïste par rapport aux autres, tu essaie de penser positif, de faire preuve de force et surtout d'un courage que tu n'as pas vraiment.
- ça va...
Aucunement besoin de lui retourner la question au vu du sourire brisé de ton camarade, cela te fend le cœur puis tu te concentre sur toi... Ce stress n'est pas le tiens mais, celui de ton camarade...
- Hey ça va aller, ils sont tous pris en charge que ce soit ici ou à l’hôpital !
Tu ne sais si tes mots seront rassurant ou non, mais tu... malgré ta volonté, l'endroit des blessé attire ton œil et voilà que parvient à tes oreilles le cri affreux d'un de tes camarades que tu reconnais...
- Takashi...
Tu vois l'infirmier s'occuper de lui au plus vite, tu en lâche cette poigne pour te détourner de ce cauchemar... Tu va t'asseoir loin qu'on te voit quand même et prends cette peluche de ton sac et essaie fortement de penser à la futur arrivé de ton frère Hiroshi même si c'est égoïste par rapport aux autres, tu essaie de penser positif, de faire preuve de force et surtout d'un courage que tu n'as pas vraiment.
|
|
|