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Event #9 : Rencontres en terre connue (Groupe 7)
Reimi Tsukino
Les injures jonchent le sol mais c'est moi qu'elles piétinent—je les accueille un sourire aux lèvres et les laisse amuser l'aiguisé de mes tympans, et mes genoux tressautent un instant d'un indescriptible sentiment. Sitôt qu'il s'exprime et s'insurge de mon ignorance, à mes joues fleurissent quelques pétales d'embarras, méticuleux ; ah ! quel orgueil a-t-il pu me pousser à intervenir, éhontée ?
Oh, bien entendu ! La voix tonne mais s'affirme soumise, mon échine tordue dans une courbe docile. Pardonnez mon outrecuidance, j'ignorais tout de l'honneur si justement mis en lumière par vos soins ! Et à Akina, je décoche ma plus belle risette—c'est à sa juste valeur qu'il la considère et rien ne me rendrait plus heureuse ; ce faisant, la mention de reptiles tire entre mes omoplates une excitation immuable, et à ma bouche se bousculent trop d'enthousiasme pour que je le refrène efficacement. Puisqu'il ne m'adressera nullement la parole—en ma qualité d'ignorante chose—ah, je confirme ses dires, n'est-ce pas ? Sans doute le suis-je réellement—quelqu'un pourrait-il s'informer sur ces reptiles ? Je rêverais de rencontrer un spécimen non-répertorié, et rien de tel que les créatures fantastiques pour satisfaire mes insolents désirs ! Si je ris, désinvolte, c'est que je n'ai pas plus d'égard envers moi-même que cet inconnu pérenne ; outil n'a que faire d'être jeté, si tant est qu'il a pu être utile.
Mon utilité, aujourd'hui, est d'avoir honoré ma superbe préfète—je n'attends plus qu'on dispose de mes services, et l'illustre d'une révérence excessive, à tel point que mes cheveux, s'ils n'avaient été coupés, auraient effleuré le sol rocheux.
(reimi est toujours d'accord avec kamikui & meurt d'envie de rencontrer un reptile extraordinaire + s'incline deux fois & s'excuse d'avoir été si présomptueuse)
Oh, bien entendu ! La voix tonne mais s'affirme soumise, mon échine tordue dans une courbe docile. Pardonnez mon outrecuidance, j'ignorais tout de l'honneur si justement mis en lumière par vos soins ! Et à Akina, je décoche ma plus belle risette—c'est à sa juste valeur qu'il la considère et rien ne me rendrait plus heureuse ; ce faisant, la mention de reptiles tire entre mes omoplates une excitation immuable, et à ma bouche se bousculent trop d'enthousiasme pour que je le refrène efficacement. Puisqu'il ne m'adressera nullement la parole—en ma qualité d'ignorante chose—ah, je confirme ses dires, n'est-ce pas ? Sans doute le suis-je réellement—quelqu'un pourrait-il s'informer sur ces reptiles ? Je rêverais de rencontrer un spécimen non-répertorié, et rien de tel que les créatures fantastiques pour satisfaire mes insolents désirs ! Si je ris, désinvolte, c'est que je n'ai pas plus d'égard envers moi-même que cet inconnu pérenne ; outil n'a que faire d'être jeté, si tant est qu'il a pu être utile.
Mon utilité, aujourd'hui, est d'avoir honoré ma superbe préfète—je n'attends plus qu'on dispose de mes services, et l'illustre d'une révérence excessive, à tel point que mes cheveux, s'ils n'avaient été coupés, auraient effleuré le sol rocheux.
(reimi est toujours d'accord avec kamikui & meurt d'envie de rencontrer un reptile extraordinaire + s'incline deux fois & s'excuse d'avoir été si présomptueuse)
Invité
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EVENT 9
RENCONTRES EN TERRE CONNUES
RENCONTRES EN TERRE CONNUES
Tu restes silencieux, Jian, tu n'as ni envie d'énerver un yokai qui s'est déjà avéré violent, et tu n'en as pas la patience non plus. Tu n'as pas quitté la maison familiale pour discuter chiffon et beauté, même si tu n'as rien à dire et tu ne peux n'être que d'accord sur la beauté d'Akina.
Tu écoutes silencieusement ton ancien professeur s'extasier, les autres parler sans cesser et tu attends calmement de pouvoir les quitter.
hrp : jian dit rien et veut juste partir, puis il se souvient un peu de l'attaque quand même
Saburoo Ueda
Citation : How call someone with no body and no nose? Nobody knows.
Age : 46 (05/06)
Rang : S1
Orochi
Saburoo Ueda
L’être arrime son regard au mien, dénude ses railleries aussi bien que ses crocs fermement plantés dans ses gencives d’argile rouge —les yokais et leurs particulières extravagances relèvent de la consciencieuse expertise de Takumi, et moi-même me trouve à leur prêter quelque intérêt que lorsqu’ils sont exposés en ingrédients sur le porphyre de mon étude— non que me viendrait à l’idée d’en énoncer cette vérité à haute voix.
En tel lieu et en telle heure je ne peux qu’affirmer l’éclat de mes yeux dans les siens, tandis que la jeune Reimi s’éparpille en mésestimations et demandes pleines d'expectances auxquelles je ne peux que m’associer. Un parfum qui semble des plus somptueux il est vrai, quelle honte pour nous autres sorciers d’en être impropres—tout autant impropres que le sang de yokais l’est aux potions de soin et convient mieux aux poisons les plus virulents. Et s’en vient à mon tour de dévoiler mes dents ; ah, quant à moi rien ne me convient mieux que les sourires feints. Kamikui-sama veuillez pardonner mon élève, l’appétence de l’esprit s’avère le plus souvent insatiable, et celui de Mademoiselle Reimi en est des plus brillants et affamé. Je ne peux toutefois qu’en seconder la curiosité, de même que la demande de Monsieur Hiroyuki : somme toute une telle connaissance nous permettrait d’aiguiller nos recherches et de tenter d’en combler nos lacunes.
Reptiles et Yokais mis à part, mon intérêt n’en est pas moins harponné à ses dires. A cette silhouette dont la pâleur se détache sur l’andésite du paysage, j'aimerais en extirper l'entière connaissance.
Saburoo préfère les yokais quand ils sont hachés et inertes, mais ce fait ne regarde que lui.
Approuve toutefois les goûts de l'énergumène, demande rédemption au nom de Reimi (c'est sa préférée, vous comprenez) et renchéri sur la demande de Hiroyuki en quête de savoir
Approuve toutefois les goûts de l'énergumène, demande rédemption au nom de Reimi (c'est sa préférée, vous comprenez) et renchéri sur la demande de Hiroyuki en quête de savoir
Nael Hayashi
RENCONTRES EN TERRE CONNUE19.04.97
Ainsi, quand la Tsukino fit part de la légende, à propos d’un dit dragon réagissant aux émotions fortes, il se senti autant concerné qu’affolé.
Puis, quand le yokai apparu, la frayeur le gagna davantage.
Alors, au stade où Kamikui laissa entendre qu’ils pouvaient croiser nombre de serpent sur ce mont, il était tout bonnement terrifié.
« Des serpents ? Genre, beaucoup de serpents ? Ici ? »
Il lança un regard implorant en direction de son professeur. De ses yeux larmoyants transpercèrent son désir de fuir l’endroit au plus vite.
Pourquoi cette école les emmenait toujours dans des endroits dangereux pour les sorties scolaires ?
Hrp : nael flippe
Invité
Invité
Invité
L'injustifiée condescendance de cet être, tout surnaturel qu'il était, acheva d'éveiller la colère qui bouillonnait en elle—lèvres pincées jusqu'au sang, son visage déjà livide traduisait la lutte pour un sang-froid nécessaire. Si ridicule que fut son éducation, on lui avait transmis le respect des yôkai, et la présence de Kamikui était aussi honorifique qu'importante.
Elle avait songé, un instant durant, à ce qu'il pouvait leur apporter—mais avec le recul, la simple pensée d'une collaboration la fit vomir.
Et plus que tout, il l'avait ignorée.
Pour quoi la prenait-il ? Un poupée qu'il pouvait tripoter ?
Une beauté abstraite, dépourvue de conscience ?
Ôte tes mains, insolent.
Elle persifla entre ses dents, les mots mâchés par les bribes de respect qui s'évadaient au fil des instants—d'une claque, elle écarta les doigts crochus de sa crinière. L'intérêt la flattait, mais à présent qu'elle témoignait de son égocentrisme, son sentiment différait.
Tu me dégoûtes—reculant à une distance suffisante pour l'observer, elle le toisait avec mépris.
Elle allait trop loin. Elle le savait.
Elle insultait une créature dont l'envergure la dépassait.
Ses sens vibraient, guettant le danger imminent.
Et pourtant, elle choisissait de l'ignorer.
Idiote, irrespectueuse, peut-être, elle refusait de se laisser taire sous les insultes de cette créature. Ployer l'échine ? Accepter, sous couvert d'une politesse bien tournée ? Non, à d'autres.
Je suis navrée, professeur, conclut-elle en s'inclinant sobrement devant l'enseignant. Une politesse qu'elle estimait nécessaire, et narguait volontairement le yôkai envers qui elle avait été aussi insolente. Je ne contesterai pas la punition que vous estimerez comme une légitime réponse à mes actes, toutefois, je n'ai pas l'intention de m'excuser.
Elle avait songé, un instant durant, à ce qu'il pouvait leur apporter—mais avec le recul, la simple pensée d'une collaboration la fit vomir.
Et plus que tout, il l'avait ignorée.
Pour quoi la prenait-il ? Un poupée qu'il pouvait tripoter ?
Une beauté abstraite, dépourvue de conscience ?
Ôte tes mains, insolent.
Elle persifla entre ses dents, les mots mâchés par les bribes de respect qui s'évadaient au fil des instants—d'une claque, elle écarta les doigts crochus de sa crinière. L'intérêt la flattait, mais à présent qu'elle témoignait de son égocentrisme, son sentiment différait.
Tu me dégoûtes—reculant à une distance suffisante pour l'observer, elle le toisait avec mépris.
Elle allait trop loin. Elle le savait.
Elle insultait une créature dont l'envergure la dépassait.
Ses sens vibraient, guettant le danger imminent.
Et pourtant, elle choisissait de l'ignorer.
Idiote, irrespectueuse, peut-être, elle refusait de se laisser taire sous les insultes de cette créature. Ployer l'échine ? Accepter, sous couvert d'une politesse bien tournée ? Non, à d'autres.
Je suis navrée, professeur, conclut-elle en s'inclinant sobrement devant l'enseignant. Une politesse qu'elle estimait nécessaire, et narguait volontairement le yôkai envers qui elle avait été aussi insolente. Je ne contesterai pas la punition que vous estimerez comme une légitime réponse à mes actes, toutefois, je n'ai pas l'intention de m'excuser.
(akina se dérobe à kamikui + lui parle mal et s'excuse à bubu
ps; je tiens à m'excuser officiellement auprès de toute la communauté yôkai-watch)
Yōkais
Citation : Il tourne en rond le petit poisson.
Age : Trop vieux
Rang : -
Personne
Yōkais
Les émotions se mélangent entre elles et d'elles résulte une saveur amère sur la langue de la créature. Le regard perçant, ses pupilles s'affinent et ressemblent davantage à celles d'un reptile ; le coin de ses lèvres se fond en un sinistre sourire, dévoilant ses blanches canines. L'humeur complaisante de Kamikui s'évanouit en un instant.
« Je te dégoûte ? » Son timbre chaud et sensuel s'interrompt, sa chevelure se transforme en un monstre aux écailles irisées : magnifique serpent aux teintes bleutées. L'air devient lourd, les volutes de fumées se peignent d'une sombre couleur, apparaissant désormais sous forme de mèches de cheveux. Ces dernières fondent sur leurs proies et entourent désormais le cou de chacun ; telles des vipères elles se resserrent en une étreinte silencieuse. « Non, c'est toi qui est répugnante ! » Rancœur débordante, il toise l'assemblée d'une oeillade emplie de dédain, ses lèvres déversant son impétueux venin. « Vous deviendrez tous une part de ma beauté lorsque je vous dévorerai ! Tu regretteras cette insolence, sois-en certaine, humaine ! »
Un claquement brusque dans l'air, sa chevelure reptilienne frappe ceux qui lui font face et les repousse loin de lui. Tous tombent en arrière et dévalent la pente rocailleuse sur quelques mètres ; lui disparaît dans un écran de fumée, comme sa crinière qui étranglait chaque sorcier.
★ Vous disposez de 48 heures (par personne) pour répondre, sinon votre tour saute automatiquement.
★ 300 mots maximum par réponses vous sont demandés avec un résumé en une ligne à la fin de votre post.
★ Départ de Minami-Iwo à 7h00.
★ Arrivée à Kyoto à 8h30.
★ Les groupes sont formés INRP à la gare de Kyoto, chaque professeur une fois leur groupe rassemblé embarque ses élèves en direction du lieu d’étude.
★ Arrivée sur les différents points cardinaux du Mont Fuji à 9h00.
★ Un sortilège de repousse-moldu est utilisé sur les lieux afin d’assurer la tranquillité groupe.
★ Les civils en visite indépendante sur les lieux rejoignent le groupe (pour les raisons qui leur chantent) après l’arrivée des élèves et membre du personnel.
★ Le portoloin de retour doit être emprunté à 19h00 pour assurer un retour à la gare.
★ Le départ de Kyoto est prévu à 19h30.
★ Le service du repas est prolongé exceptionnellement jusqu'à 22h30, et le couvre-feu est reporté à 23h30.
★ Une partie des cheveux de Kamikui est devenu un serpent aux teintes bleutées.
★ La fumée devient noire et prend la forme de mèches de cheveux qui étranglent tout le monde.
★ Kamikui repousse le groupe à l'aide de ses cheveux sous forme d'un serpent.
★ Le groupe est tombé sur environ 7 mètres sur la pente.
★ Kamikui a disparu dans un écran de fumée, les mèches de cheveux ont disparu en même temps.
★ Des marques rouges peuvent être visible au cou dû à l'étreinte, elles partiront d'ici quelques heures ou jours selon votre choix.
★ Vous pouvez répondre une fois chacun avant que le sujet ne soit clos.
Koyoi Tsukino
il n'aimait pas les yokais, c'était clair dans son esprit et il était décidé à s'en tenir le plus éloigné possible à l'avenir.
hiroyuki continua sur sa lancée, quitte à se faire punir par un professeur une fois de plus, « tu as raté le cours sur la dangerosité des yokais, ou ton insigne a tellement fait gonfler ton égo que tu te crois plus forte que n'importe qui ? en fait je retire ce que j'ai dit plus tôt, tu n'es pas une idiote mais une gamine pourrie, gâtée et inconsciente. ». l'envie d'achever sa phrase par un poing dans la figure de l'autre était grande, mais le gamin se refusait à frapper les filles, ou du moins à donner le premier coup.
Reimi Tsukino
Des preux chevaliers qui me défendent, je me pâme—docile dans mon silence et taquine dans mon allure, c'est tout en sourires muets et mutins que j'acclame mes seigneurs ; l'un pour son calme placide et l'autre pour la froideur de son mépris. La pointe acérée de mes doigts vibre et mes crocs amusent la tendre carne de mes lèvres brunes lorsque, de son ophidienne nature, notre invité s'insurge. Gracieusement déshonoré, les sifflements rauques de son serpent et la brutalité de sa fumée m'arrache le peu d'air qui caressait encore le fond de mes poumons—dans une plainte sourde je l'accueille, des mains instinctives hissées à ma gorge d'ores et déjà meurtrie. Le soleil brille et, un instant, je sens sa chaude langue m'inciter à le rejoindre.
Il me faut m'écraser contre le torse dur de mon professeur pour recouvrer un tant soit peu la raison ; mes yeux, qui avaient roulé à en toiser désespérément le contenu humide de mon encéphale, peinent à se concentrer sur la scène. La chute était rude, et les geignements de Misawa ne font qu'aggraver le galop lointain d'une migraine atroce sous ma courte crinière—je souffle dans un bruit chuintant et tente de me redresser, l'intégralité de mon corps souffrant de l'impact. Ah, Professeur Ueda, pardonnez mon outrecuidance, j'aurais dû forcer mon corps à dévier de sa trajectoire. C'est le cynisme qui cette fois dégouline d'entre mes crocs et enfin je me redresse, les craquements de mes jointures juste assez sonores pour résonner dans la montagne. Professionnelle et bien élevée, je retiens le moindre commentaire sur ma plaisante expérience, et laisse mon appétence s'acheminer jusqu'à Akina dans un rictus lascif. Akina, si tu désirais tant que ça m'étrangler, tu n'avais guère besoin d'enrager un si délicieux yokai dans le processus. Audacieuse, je roucoule, et tends tant bien au professeur qu'à la préfète mes mains menues, dans la naïve certitude que ma piteuse force les relèvera.
(reimi being reimi
lowkey kiffe se faire étrangler (même si elle aurait préféré un serpent) et atterrit sur saburoo (miam) + blague vaseuse à akina et propose d'aider akina et saburoo à se relever avec ses gro bibi
et comme akina est une femme forte et indépendante qui n'a pas besoin d'aide (sauf pour se relever, GRO BIBI) et que mon rp est déjà trop long, hiroyuki restera sur un vu)
Il me faut m'écraser contre le torse dur de mon professeur pour recouvrer un tant soit peu la raison ; mes yeux, qui avaient roulé à en toiser désespérément le contenu humide de mon encéphale, peinent à se concentrer sur la scène. La chute était rude, et les geignements de Misawa ne font qu'aggraver le galop lointain d'une migraine atroce sous ma courte crinière—je souffle dans un bruit chuintant et tente de me redresser, l'intégralité de mon corps souffrant de l'impact. Ah, Professeur Ueda, pardonnez mon outrecuidance, j'aurais dû forcer mon corps à dévier de sa trajectoire. C'est le cynisme qui cette fois dégouline d'entre mes crocs et enfin je me redresse, les craquements de mes jointures juste assez sonores pour résonner dans la montagne. Professionnelle et bien élevée, je retiens le moindre commentaire sur ma plaisante expérience, et laisse mon appétence s'acheminer jusqu'à Akina dans un rictus lascif. Akina, si tu désirais tant que ça m'étrangler, tu n'avais guère besoin d'enrager un si délicieux yokai dans le processus. Audacieuse, je roucoule, et tends tant bien au professeur qu'à la préfète mes mains menues, dans la naïve certitude que ma piteuse force les relèvera.
(reimi being reimi
lowkey kiffe se faire étrangler (même si elle aurait préféré un serpent) et atterrit sur saburoo (miam) + blague vaseuse à akina et propose d'aider akina et saburoo à se relever avec ses gro bibi
et comme akina est une femme forte et indépendante qui n'a pas besoin d'aide (sauf pour se relever, GRO BIBI) et que mon rp est déjà trop long, hiroyuki restera sur un vu)
Saburoo Ueda
Citation : How call someone with no body and no nose? Nobody knows.
Age : 46 (05/06)
Rang : S1
Orochi
Saburoo Ueda
Blâmons donc l’étude ascétique d’années écoulées au chevet solitaire de chaudrons bouillonnants et condamnons la douloureuse compagnie de yokais indésirés sinon indésirables.
L’insatisfaction éclot en dolent soupir sur mes lèvres bien que je puisse acquiescer au timbre de mon élève, colorant le mien en conséquence : Nulle offense, ma chère Mademoiselle Reimi, vous me voyez soulagé que le mien ait pu vous abstenir d’une telle chute. Je dispose ma main dans la fragilité de la sienne et m’ôte de la bassesse du monde.
Image même de la raison pour laquelle je n’estime guère les yokais—leur susceptibilité est telle qu’ils n’en sont que propices à vociférer des menaces anthropophages en furies dramaturgiques à la moindre des offenses. Ah, si mes frères impies et moi-même avions vu le jour sous le couvert sublimé de leur peau plutôt qu’humblement humains, le monde ne s’en serait pas relevé.
Monsieur Hiroyuki, je vous prierai de faire preuve de silence. Quant à vous, Mademoiselle Akina, vous n’êtes pas sans savoir que toute situation impliquant des yokais nécessite la plus grande vigilance tant dans les actes que dans les mots. Vous et moi allons avoir une longue conversation à ce sujet une fois de retour en des lieux plus sereins. Mes yeux glissent sur ces enfants malheureux, les yeux scrutateurs en quête de meurtrissures. Concentrons-nous sur l’essentiel : l’un de vous nécessite-t-il une urgence médicale ?
Saburoo peste intérieurement sur les yokais, renchéri au cynisme de reimi, demande à hiroyuki de se taire définitivement et promet une longue réprimande à akina
également, damage control oblige
également, damage control oblige
Nael Hayashi
RENCONTRES EN TERRE CONNUE19.04.97
Une part de sa beauté, lorsqu’il les dévorera ? Tss, il n’avait pas tant de quoi se vanter.
« Je confirme que c’est lui qui est répugnant…. »
Il grommela en se redressant d’une énième roulade incontrôlée dans la pente. Une tentative de bien courte durée, puisqu’il retomba sur ses fesses aussitôt, constatant la douleur sourde dans ses membres écorchés par les pierres et la lourdeur de son crâne – qui n’était certainement pas dû à ce qu’il contenait.
Une psalmodie de plaintes et autre geignement suivirent alors la découverte de nombreuses blessures aussi superficielles que le comportement théâtralement stupide de l’adolescent, face à sa propre atteinte.
Pourtant, quand son professeur demanda si quelqu’un avait besoin d’assistance médicale, il prit son courage – inexistant – à deux mains et fit gonfler sa fierté pour se donner l’air digne et inatteignable – à comprendre : il cessa de jouer les victimes.
« Je vais bien… Aussi bien que possible, après avoir croisé un yokai taré. »
Cédant à la mauvaise humeur, il en oubliait le respect qui leur aurait justement évité ce désagrément.
Hrp : nael se plaint
Invité
Invité
Invité
La soyeuse capillarité muée en de dangereux reptiles qui enserraient ton cou, tes yeux plissés restaient fixés sur l'émissaire d'une telle violence, devenu immonde bête. Un sourire carnassier sur ton visage, dessiné à la vue d'une telle laideur, la brutalité de son geste coupa court à l'acerbe remarque que tu comptais lui glisser—et sans plus de formalités, le yôkai se retira.
Encore sonnée par la chute, tu ne réalisais pas de suite ce qui se tramait autour de toi. Outre la satisfaction d'avoir pu agir avec sincérité, les paroles alentours résonnaient comme une cacophonie. Tournant le dos à Hiroyuki, tu adressais un sobre sourire à l'attention de Nael, appréciant ses paroles comme une indirecte justification de tes imbécillités.
Pour l'heure, tu préférais ignorer les insultes qui t'étaient adressées : ton détachement constant te tenait loin des jugements—non sans que celui de Reimi, autrement plus mélioratif, ne te plaise—mais lorsque la réprimande vint du professeur, tu hochais la tête sobrement, acceptant ton châtiment mérité.
Oui.
Une réponse en toute docilité, mais que tu estimais nécessaire. Par ailleurs, Saburoo parlait beaucoup, et s'il était capable de captiver ton intérêt en des circonstances plus normales, la chute t'avait rendue inapte à suivre le fil directeur d'une si longue tirade. Il te fallut quelques longs instants pour parvenir à te relever ; l'équilibre instable, tu balayais ton regard embrumé sur les alentours.
Professeur, Misawa m'apparaît moins hideux qu'avant—je dois être touchée aux yeux.
Visage sculptée dans cette fausse expression de déception, tu adressais un sourire amusé à Reimi qui avait tant cherché à te défendre des commentaires de cette si désagréable compagnie. Si tu l'avais ignoré tout du long, tu n'avais pas su réprimer l'expressivité de tes nerfs désormais à fleur de peau—et comme une enfant, ta piètre performance se conclut d'un long soupir, comme une complainte.
Mieux valait t'en tenir à cette pique : après tes actes irresponsables, une bévue supplémentaire t'attirerait les foudres du professeur Ueda. Et, tout dramaturge qu'il soit, tu préférais éviter que votre rencontre se termine en tragédie.
Encore sonnée par la chute, tu ne réalisais pas de suite ce qui se tramait autour de toi. Outre la satisfaction d'avoir pu agir avec sincérité, les paroles alentours résonnaient comme une cacophonie. Tournant le dos à Hiroyuki, tu adressais un sobre sourire à l'attention de Nael, appréciant ses paroles comme une indirecte justification de tes imbécillités.
Pour l'heure, tu préférais ignorer les insultes qui t'étaient adressées : ton détachement constant te tenait loin des jugements—non sans que celui de Reimi, autrement plus mélioratif, ne te plaise—mais lorsque la réprimande vint du professeur, tu hochais la tête sobrement, acceptant ton châtiment mérité.
Oui.
Une réponse en toute docilité, mais que tu estimais nécessaire. Par ailleurs, Saburoo parlait beaucoup, et s'il était capable de captiver ton intérêt en des circonstances plus normales, la chute t'avait rendue inapte à suivre le fil directeur d'une si longue tirade. Il te fallut quelques longs instants pour parvenir à te relever ; l'équilibre instable, tu balayais ton regard embrumé sur les alentours.
Professeur, Misawa m'apparaît moins hideux qu'avant—je dois être touchée aux yeux.
Visage sculptée dans cette fausse expression de déception, tu adressais un sourire amusé à Reimi qui avait tant cherché à te défendre des commentaires de cette si désagréable compagnie. Si tu l'avais ignoré tout du long, tu n'avais pas su réprimer l'expressivité de tes nerfs désormais à fleur de peau—et comme une enfant, ta piètre performance se conclut d'un long soupir, comme une complainte.
Mieux valait t'en tenir à cette pique : après tes actes irresponsables, une bévue supplémentaire t'attirerait les foudres du professeur Ueda. Et, tout dramaturge qu'il soit, tu préférais éviter que votre rencontre se termine en tragédie.
akina se relève (sonnée) + répond à saburoo + rap contenders hiroyuki
Je tiens à m'excuser officiellement auprès de toute la communauté Monsta X.
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