Event #15 : Le cavalier mise tout
L'Éventail
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
L'Éventail
Les missions commanditées par Hidenori Kurosawa avaient été un succès. Les trois forfaits réalisés de mains de maîtres avaient permis de rassembler les deux derniers éléments nécessaires au rituel : le coffre de pierre et le nenju. Il fallait désormais attendre la bonne occasion.
Heureusement pour eux, elle ne tarda pas à se manifester. Le seigneur Sugawara avait été arrêté durant l’été. Officiellement, il était accusé de haute trahison envers le Shogunat, mais en secret, tout le monde savait qu’il s’agissait d’une manière pour Seimei de couper la tête à toute forme de résistance. Il faisait un exemple, et rappelait à la communauté magique que personne n’était au-dessus de sa volonté, pas même les clans sang-pur. Le Shogun y voyait également un autre moyen pour glorifier son régime, il avait donc décidé de tenir le procès non pas au tribunal mais devant son sanctuaire, à Kyoto. Tout le monde pourrait, ou plutôt devrait, assister à l’application stricte de la Justice.
L’espace était vaste et en plein air, le lieu parfait pour tenir un rituel aux proportions inconnues.
C’est pour cela que le directeur de Mahoutokoro avait envoyé des instructions à toutes celles et ceux qui avaient choisi de le suivre. Ils devaient venir au procès, s’infiltrer dans la foule le plus discrètement possible, et attendre le signal. Ensuite, il faudrait improviser. Seimei ne se laisserait sûrement pas faire, les Aurors et le Shinsengumi s’opposeraient également à eux. Des morts étaient à prévoir, c’était même inéluctable, mais sauver le monde méritait bien quelques menus sacrifices.
À quinze heures, devant l’entrée du sanctuaire de Seimei, le procès s’ouvrit. Une foule anxieuse se serra autour de l’estrade disposées spécialement pour l’événement. Le juge s’y tenait au centre, le seigneur déchu d’un côté, l’accusation de l’autre, et à l’arrière, trônant fièrement, Seimei surveillant tout. La machine judiciaire se mit en route, chacun prenant la parole à tour de rôle, tandis que le peuple regardait, silencieux.
★ Il y a de nombreux Aurors et membres du Shinsengumi sur et autour de la scène.
★ Les réponses ne doivent pas dépasser les 400 mots, et il doit y avoir un bref résumé à la fin.
Kaien Tsukiyomi
Citation : No mind to think. No will to break. No voice to cry suffering.
Age : 17 ans.
Rang : -
Ryujin
Kaien Tsukiyomi
Il y avait de cela quelques siècles – c'est du moins, l'étendue interminable que mon cerveau jaugea comme étant l'intervalle de temps depuis notre mission – je m'étais lancé, à l'issue d'un élan téméraire, dans la plus ingrate forme de travail existante, et ce depuis l'antiquité : l'esclav... le stage. Si une telle proposition m'apparaissait comme un bien maigre compromis, dans la mesure où nous allions sauver le monde, je comprenais désormais quelle erreur j'avais effectué.
La journée commençait tôt. Trop tôt, pour un sang-pur travailleur, qui ne rechignait jamais devant l'effort – et croyez-moi, je suis assez modeste.
Il fallait non pas être prêt, mais parfait, car avec Seimei, l'erreur n'était pas permise. Du moins, elle était punitive – et pour qui s'élevait en statut de déité, mieux valait que notre microscopique existence soit exempte de défauts.
En ces temps, le silence m'était salvateur.
De temps en temps, Seimei demandait mon opinion : je le soupçonnais de s'amuser de l'ignorance juvénile à laquelle il m'associait sans nul doute, sinon d'y associer une condescendante curiosité.
Pour autant, le travail me posait moins de difficultés que mon éducation me préparait à un tel futur, mais les impulsions souvent génocidaires de cet être jouaient sur mon confort personnel.
Nulle offense personnelle, messire Seimei.
Mais l'enfer avait désormais un nom.
Aussi, je portais ce masque d'impassibilité depuis un moment, à présent, me tenant à côté de Seimei – et l'éventualité d'une exécution m'était presque moins angoissante que le bureau du Shogun.
Vous, qui craignez la puissance de Seimei.
Soyez heureux. Soyez soulagés.
Car vous ne l'avez jamais connu bureaucrate.
La journée commençait tôt. Trop tôt, pour un sang-pur travailleur, qui ne rechignait jamais devant l'effort – et croyez-moi, je suis assez modeste.
Il fallait non pas être prêt, mais parfait, car avec Seimei, l'erreur n'était pas permise. Du moins, elle était punitive – et pour qui s'élevait en statut de déité, mieux valait que notre microscopique existence soit exempte de défauts.
En ces temps, le silence m'était salvateur.
De temps en temps, Seimei demandait mon opinion : je le soupçonnais de s'amuser de l'ignorance juvénile à laquelle il m'associait sans nul doute, sinon d'y associer une condescendante curiosité.
Pour autant, le travail me posait moins de difficultés que mon éducation me préparait à un tel futur, mais les impulsions souvent génocidaires de cet être jouaient sur mon confort personnel.
Nulle offense personnelle, messire Seimei.
Mais l'enfer avait désormais un nom.
Aussi, je portais ce masque d'impassibilité depuis un moment, à présent, me tenant à côté de Seimei – et l'éventualité d'une exécution m'était presque moins angoissante que le bureau du Shogun.
Vous, qui craignez la puissance de Seimei.
Soyez heureux. Soyez soulagés.
Car vous ne l'avez jamais connu bureaucrate.
hrp: se tient à côté de seimei, souffrant des PTSD de son stage
Ryuu Fujiwara
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18
Rang : 77/100
Orochi
Ryuu Fujiwara
La trahison avait un goût, indéfinissable. Si l’amertume était parfois agréable, elle avait acâriatreté d’une incertitude. Et toi Ryuu, tu étais incertain; souvent. Principalement parce que tu n’avais plus de réelle attache. Ta vie avait été dictée et si tu avais pensé tantôt que les choix que tu avais fais, déterminaient ton existence hors des normes imposées, tu te rendais bien compte que tu n’avais franchi aucune limite car tu n’étais qu’un pantin pour un seigneur; qu’il soit divin ou mortel.
Jamais maître de tes actes; bien que parfois horribles, jamais fort de tes mots; bien que pensés, tu agissais selon un présent relatif, au jour le jour, en prétextant voir un futur qui était inévitable.
Dans ton rôle de vice-capitaine, tu te tenais aux côtés de la déité et du pauvre stagiaire dont tu enviais secrètement (ostenciblement) la place. Voir le seigneur Sugawara sur la place ne t’évoquait aucun sentiment. S’il venait à mourir par soulèvement populaire, il ne serait qu’un dommage collatéral que personne n’aurait pu éviter. Sans allégence ni ressentiment à son égard, tu te tenais droit; parfait représentant du Shinsengumi. Et l’idée de te retourner contre les révolutionnaires venait faire sourire tes babines. Le chaos allait régner, tu en feras partie. Le combat était plus alléchant que le résultat final. Quitte à semer la panique, autant la foutre à tous. D’autant plus qu’en première ligne de tir face à Seimei, il n’était pas encore venu le temps où tu te sacrifierais pour la plèbe.
HRP : Ryuu remplit son rôle de vice-capitaine et souhaite pimenter l’évènement.
Takamori Fujiwara
Citation : tu seras une pièce sans valeur sur le plateau de ma vie
Age : trente-et-un ans
Rang : a0
Susanoo
Takamori Fujiwara
Heureusement, il était trop tard pour avoir des regrets.
Se reconcentrant sur le procès, une pensée lui vint : voir le seigneur Sugawara mené à l'échafaud était un crève-cœur. Takamori aurait tant voulu lui faire une dernière remarque avant de lui trancher lui-même la tête. Le vieillard s'était cru plus malin que les autres en ne prenant pas partie pour Seimei, en défendant ostensiblement l'Empereur et en se croyant ainsi intouchable. L'honneur l'avait mené à sa perte, et son incommensurable égo lui servirait d'urne dans quelques jours. Les Fujiwara avait peut-être été vicieux en prenant part au coup d'Etat, mais au moins ils avaient traversé le changement de régime sans problème. En retournant sa veste au dernier moment, le seigneur Fujiwara était persuadé d'avoir fait le bon choix. Sinon n'aurait-il pas été lui aussi sur cette estrade ?
Changer d'allégeance au gré des rapports de force. Trahir pour mieux survivre à l'Histoire. N'était-ce pas là le plus beau des principes ?
Agrippant le pommeau du sabre qui pendait à sa ceinture, l'homme chercha du regard les autres membres de son clan. Tous avaient été armé par ses soins, avec des lames provenant du trésor familial. Ainsi, en cas d'affrontement, ils pourraient survivre. Ne restait plus qu'à attendre, en espérant que le directeur trouve rapidement une ouverture.
HRP : taka rumine dans sa tête et il est content de voir papy mourir.
Hiiro Oikaze
Citation : Cui cui cui
Age : 42
Rang : 85
Susanoo
Hiiro Oikaze
L’annonce du jugement avait sonné comme un poignard dans le coeur du moineau. Plus dévasté par la nouvelle du Seigneur Sugawara que par la possible révolution, Hiiro avait la mine grave lorsqu’il vînt seul. Sa famille à la maison, il était plus concentré en l’avenir noir qui se profilait.
Le professeur de vol ne volait pas haut lorsque les larmes lui montèrent déjà aux yeux, face au Seigneur dont il admirait les convictions, il s’avança tout devant l’estrade, le coeur tout lourd. Seimei devant eux, lui parraissait être un monstre. Si Hiiro était conscient des enjeux, il ne craignait pas pour sa vie (quoiqu’un peu) mais pour celle des autres. L’issue injuste avait pris forme dans les combattants féroces qui s’étaient proposés à l’initiative. Il craignait les jeunes morts, comme il avait pleuré sur les précédents, il avait peur des traitres, enrôlés dès le plus tendre âge, il avait peur des autres seigneurs, plus égoïstes que Seimei. Il redoutait l’issue qu’il ne pouvait éviter.
Sa main écrasait sa besace, renfermant son fidèle compagnon de bois, les yeux rivés sur la Cène. Il était venu armé, comme préconisé, mais seulement de son balais. Loin d’être doué dans les combats rapprochés, il préférait s’en tenir aux cieux, qui en sus, étaient déjà gardés. Plus équipé sur un balais que sur les pieds, il avait prévu de s’envoler avec pour protéger les airs. Il ne prévoyait que la défensive dans un premier temps.
HRP : Hiiro prévoit seulement une défensive dans les airs; alors qu’il est tout chagrin. Il est au premier plan du public.
L'Éventail
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
L'Éventail
Le procès avait suivi son cours à une vitesse effrénée. Il était clair aux yeux de tous que la Justice était restée non seulement aveugle mais également sourde aux arguments de la défense. L’accusation avait minutieusement et consciencieusement bâti le portrait d’un chef de clan corrompu, à l’esprit révolutionnaire et anarchiste, cherchant par tous les moyens à faire tomber le shogunat, et instrumentalisant l’image sacrée de l’Empereur pour cacher ses méfaits.
Des mensonges. Toutes personnes saines d’esprit le savaient. Mais qui pour s’opposer à l’autorité suprême ? Seimei surveillait depuis son trône l’assemblée et sa seule présence menaçante suffisait à calmer la moindre velléité.
Le juge ne se retira même pas pour délibérer. Il réfléchit quelques instants avant de prononcer la sentence : la mort. Et qui mieux que le Shogun en personne pour appliquer la peine capitale. Seimei se leva, fit apparaître une arme dans sa main droite et s’arrêta devant un Asanaga maintenu à genoux par les gardes du Shinsengumi. Un sourire mauvais se dessina sur son visage, tandis que son aura se faisait de plus en plus impressionnante. Sans crier gare, la lame trancha l’air et sépara d’un coup net la tête et le corps du chef déchu. La première s’envola rouler un peu plus loin sur l’estrade, tandis que le second s’effondra sur place. Asanaga n’était plus.
Et ce fut à ce moment précis, ironie de l’histoire, qu’Hidenori Kurosawa lança une série d’éclairs dans le ciel. C’était le signal. Le directeur monta sur l’estrade, faisant face à la divinité, tandis que la foule s’agitait. Les partisans du complot se mettaient en place, attaquant aurors et membres du Shinsengumi, se protégeant mutuellement, attendant que le rituel commence. Seimei, de toute sa grandeur, contemplait le chaos. Il n’y avait plus la moindre trace d’humanité sur son visage, simplement une colère divine et effrayante. La terre se mit à gronder, le sol à onduler, faisant tomber ceux présents. « Comment osez-vous vous opposer à moi ? » Sa voix tonitruante s’infiltrait dans les têtes. Ce n’était que les prémices de l’affrontement le plus rude qu’ils n’aient jamais connu.
★ Vous n'êtes pas dans l'enceinte du sanctuaire de Seimei, mais devant.
★ Il y a de nombreux Aurors et membres du Shinsengumi sur et autour de la scène.
★ Les réponses ne doivent pas dépasser les 400 mots, et il doit y avoir un bref résumé à la fin.
Hiiro Oikaze
Citation : Cui cui cui
Age : 42
Rang : 85
Susanoo
Hiiro Oikaze
Depuis que le moineau était revenu sur ses terres, le sang et les pleurs avaient d’avantage arrosé les plantes que l’eau de la nature et cet ordre renversé l’avait toujours inquiété. Mais de là à en être témoin direct, ça, jamais Hiiro ne l’avait envisagé tandis que le Mal avait pris forme humaine.
Au premier rang, les poings serrés devant sa bouche, le professeur retenait sa respiration, lui qui veillait pourtant à ce que ses élèves ouvrent leurs poumons, lui voulait fermer tout jusqu’aux yeux mais la sentence les lui fit écarquiller. Perdu et bousculé au milieu de la foule, il ne put s’empêcher de lâcher un cri, strident, de peur, d’horreur, d’effroi, et il n’eut pas le temps de s’attarder que les éclairs furent le signal.
Dans la mêlée, il n’aurait su dire comment il eut le réflexe, mais sa main plongea dans sa besace, et en une seconde, il décollait déjà. D’un accio discret, il fit recouvrir les membres de son Seigneur avec la bile au bord des lèvres. Il avait vu l’ignominie des hommes, il venait de voir celle des dieux.
Lorsque ce dernier s’infiltra dans les esprits; Hiiro se sentit secouer mais ne tomba pas de son balais; il avait les mains sur ses oreilles, dans l’espoir de chasser la voix insupportable de perfidie et de danger. Il était pour l’heure immobile dans les airs, la tête grimaçante de douleur et le coeur saignant de pleurs.
Il cherchait, malgré tout, du regard, les alliés à aider depuis les airs.
Hrp : Hiiro pousse un cri et pleure tandis qu’il décolle, il est dans les airs. Fait recouvrir les deux parties d’Asanaga.
Kazuha Hayashi
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 38 - 12.10.1959
Rang : S1
Seimei
Kazuha Hayashi
Le cavalier mise tout
05 ➜ 09 ➜ 1998 ➜ Ft. 
“Quand l'oiseau est près de mourir, son chant devient triste ; quand l'homme est près de mourir, ses paroles portent l'empreinte de la vertu.”
Le monde n’était pas toujours juste, les partitions se déchiraient dans un hymne qui dérangeait les oreilles du musicien.
Aujourd’hui, c’était le cas, mais il n’avait le droit de le faire signaler, pour le bien de sa famille qu’il voulait protéger.
Les bras croisés, a aucun moment Kazuha n’avait détourné le regard, jusqu’à que lame soit levée et abaissée pour couper court à une mélodie qui n’était pourtant prête à se terminer.
Il t’avait compté parmi ses amis, alors c’était pour ton respect qu’il observa jusqu’à la dernière de tes notes, une partition qui ne méritaient pas de se terminer ainsi.
Cela serait mentir de dire que l’Hayashi ne ressentait pas une pointe de culpabilité, il avait fait partie de ce plan… Mais malheureusement, qu’était une vie comparée à des milliers ? -Et surtout celles de ses oisillions-
Des éclairs se mirent à jaillir du ciel, signe que le chant de guerre venait de commencer, Hidenori venait de lancer la première mesure.
Arc à la main, instrument non loin, il resta aux côtés de Naoyuki, toujours là en soutien. Le plus important était de protéger les innocents, une berceuse c’était déjà éteinte aujourd’hui, il ne voulait pas en voir d’autres s’envoler à leur tour, eux qui n’avaient rien franchi.
« Dirigez-vous par ici ! Nous vous aiderons à trouver un lieu sûr. » Éleva l’Hayashi sans pour autant dire son camp, pour le moment, il n’était qu’un protecteur parmi tant.
Mais si ouverture pour aider Hidenori s’ouvrait, ils seraient prêts à lui venir en aide.
Les cœurs s’affolaient, les rythmes désordonnés pouvaient donner mal à la tête et pourtant… Le plus grand hymne de guerre ne faisait que commencer et malheureusement, Kazuha s’y était préparé.
Faisons en sorte que cette partition soit le moins tâchée de sang d’innocent possible
Aujourd’hui, c’était le cas, mais il n’avait le droit de le faire signaler, pour le bien de sa famille qu’il voulait protéger.
Les bras croisés, a aucun moment Kazuha n’avait détourné le regard, jusqu’à que lame soit levée et abaissée pour couper court à une mélodie qui n’était pourtant prête à se terminer.
Il t’avait compté parmi ses amis, alors c’était pour ton respect qu’il observa jusqu’à la dernière de tes notes, une partition qui ne méritaient pas de se terminer ainsi.
Cela serait mentir de dire que l’Hayashi ne ressentait pas une pointe de culpabilité, il avait fait partie de ce plan… Mais malheureusement, qu’était une vie comparée à des milliers ? -Et surtout celles de ses oisillions-
Des éclairs se mirent à jaillir du ciel, signe que le chant de guerre venait de commencer, Hidenori venait de lancer la première mesure.
Arc à la main, instrument non loin, il resta aux côtés de Naoyuki, toujours là en soutien. Le plus important était de protéger les innocents, une berceuse c’était déjà éteinte aujourd’hui, il ne voulait pas en voir d’autres s’envoler à leur tour, eux qui n’avaient rien franchi.
« Dirigez-vous par ici ! Nous vous aiderons à trouver un lieu sûr. » Éleva l’Hayashi sans pour autant dire son camp, pour le moment, il n’était qu’un protecteur parmi tant.
Mais si ouverture pour aider Hidenori s’ouvrait, ils seraient prêts à lui venir en aide.
Les cœurs s’affolaient, les rythmes désordonnés pouvaient donner mal à la tête et pourtant… Le plus grand hymne de guerre ne faisait que commencer et malheureusement, Kazuha s’y était préparé.
Faisons en sorte que cette partition soit le moins tâchée de sang d’innocent possible
Résumé : Kazuha triste, mais protège les civils innocents sans montrer son camp, mais prêt à aider Hidenori au besoin.
|
|
|