A été convoqué un affilié de chacune des organisations suivantes : alliance Shuusei, protecteurs de Gyokuji et partisans de Yuutsu. A leurs côtés se tiennent plusieurs Anshin — ou non-affiliés —, que chaque représentant d'une affiliation se devra de convaincre.
L’issue de cette conversation devra donner, en aval, sur une décision des non-affiliés. L’ambition est d’étouffer pour toujours l’influence néfaste des partisans de Yuutsu sur la population du pays, de restaurer l’ordre et l’harmonie dans la communauté magique. Au terme des réunions, la neutralité sera donc considérée comme de la complicité.
Chacun a reçu des ordres. Rien ne sera plus jamais comme avant.
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★ L'objectif de cet évent pour votre personnage, s'il n'est pas affilié, est de prêter attention aux arguments des autres pour parvenir à un choix.
★ Les lieux des réunions ont été décidés par l'affiliation Shuusei, qui a pris l'initiative pour promouvoir son idéologie. Quant aux membres des autres organisations, c'est par leur supérieur qu'ils ont été convoqués pour participer à ces réunions.
★ Les non-affiliés ont entendu parler de ces réunions via la publicité communiquée par Shuusei.
« Bonjour tout le monde ! （っ・∀・っ)
J’ai apporté de quoi manger, j’espère que cela vous mettra à l’aise tout en discutant ! ~ » Dis-je de ma voix fluette en pointant les quelques collations posées sur une table.
« Bien ! Commençons donc notre conversation, voulez-vous ? » Mes mains venaient de claqués entre elles, devant moi, ce sourire toujours présent sur mon visage, se posant sur toi, Hiiro.
C’était amusant de voir que cette fois-ci, nous nous retrouvons sur un sujet si sérieux alors que normalement, ce n’était qu’amusement. Je ne te le dirais pas directement, mais j’espère que tu penses pareil que moi.
« Je vais prendre l’initiative de commencer. Vous ne m’en voudrez pas, hein ? ~ » Après tout, c’était Shuusei qui avait fait ce rassemblement.
« Je vais vous parler de pourquoi je suis à Shuusei, mes attentions, mes envies, mes désirs. Ah, ça pourrait en devenir si intimes… » Une main sur ma joue, un sourire et un rire.
« Trêve de plaisanterie. » C’est plus fort que moi, j’aime surprendre ceux qui me pense enfantin et reprendre ma voix grave quand je deviens sérieux.
« Shuusei est à la base créé pour l’égalité des sangs et c’est également ce que je désire.
Que sang-pur, sang-mêlé ou encore né-moldu aient tous leur part d’égalité dans le monde magique. Que plus personne ne soit tué ou rejeté à cause de son sang.
Notamment des enfants qui n’ont rien demandé.
Que chacun apporte leur connaissance. Un monde unit sans discrimination. Voilà pourquoi je suis à Shuusei, pour que le monde change. » Mon expression douce est enjouée était devenu bien plus sérieuse.
Je ne voulais plus voir des élèves mourir, des bébés tués car ils ne sont sang-pur ou encore des nés moldus discriminés et je me battrai pour cette cause jusqu’à que mon dernier souffle : même si je dois en mourir.
HRP : Akira fait son petit jeu habituel et a apporté de quoi manger ! Avant de devenir d'un coup sérieux pour reprendre l'attention. Il commence par expliqué pourquoi il est dans l’affiliation et le but qu'il se fixe. Il se sait surveiller, alors il fait attention.
Son collègue plein d’énergie semblait avaler la sienne et si le professeur était d’humeur frivole, le voilà les mains croisées dans son dos, droit comme un piquet et l’expression concentrée; les yeux tendres. Par respect, il écoute le cuisinier qu’il espère ne vous fera pas passer à la casserole.
« Mais, Hanaoka-san, je suis tout à fait convaincu de tes croyances et sais qu’elles sont fondées. Je t’avoue que j’espère un avenir uni et égalitaire pour tous, vous me connaissez, je n’ai nulle intention de nuire à quiconque...Compte-tenu des cataclysmes actuels - dois-je les citer ? - ma position envers Gyokuji s’est renforcée. Le Ministère est bien trop impliqué dans des affaires qui entraînent de plus en plus de menaces, et je refuse de laisser nos vies à des individus dont les agissements vont à l’encontre de notre sécurité, de nos droits et de nos vies. Plus que jamais, nous avons besoin de faire face au Ministère en affirmant la figure impériale, seule capable de s'y opposer, à la fois légalement, religieusement et publiquement. Je suis au service de Sa Majesté. »
Il finit sa tirade par un tendre sourire avant de sortir sa théière magique, bien rangée au fond de son sac tout de perles brodées sans fond. Tandis que les autres argumenteraient, il servira le thé.
HRP : Hiiro se positionne contre le Ministère.
Sauf qu’avec la foule, tu as perdu de vu ta nièce, tu t’es mise à courir un peu partout dans Iwomachi, endroit où vous vous êtes rendus toutes les deux mais, l’hyperactivité de la plus jeune a été plus forte que tes instruction donné avant de quitté l’école.
Cela te fait sourire tendrement maiko, tu sais qu’importe où elle atterrit, Nowaki sera prendre les bonnes décisions, rassurer par cela tu t’es mise à marcher à travers la ville, observant autour de toi, toutes sortes de personnes sont présentes, que ce soit des gens comme toi Maiko, ou bien ceux qui prêche la bonne paroles du ministère ou bien ceux qui essaie de vendre la divinité impérial.
Tu entends que toutes ne sont pas d’accord, évidemment avec les évènements récents tu comprends tout à fait et tu maintiens ta position de yuutsu, même si tu as un peu de mal encore à tout assimiler.
Et tes pas te mène dans un endroit dans lequel tu n’aurais jamais à remettre les pieds… Le bureau du ministère, tu regarde le bâtiment d’un œil mauvais en entrant, tu aperçois au loin des personnes que tu connais, que tu respecte sauf que… même si ta nouvelle curiosité t’a fait approché, tu croise les paroles, la colère monte en toi, les paroles des uns et des autres ne te plaisant pas.
- C’est sur qu’on a rien demandé et pourtant on subis !
Tu regarde le deuxième cuisinier, Monsieur Hanaoka, ce regard remplis de haine, que tu tourne vers ton professeur de vol.
- Votre groupe n’a rien fait non plus pour arranger la situation Monsieur Oikaze.
Tu ne connais pas la dernière personne, donc tu calme tes ardeur Maiko même si tu lâche quand même une dernière phrase.
- Tout cela n’est qu’une vaste blague.
Maiko ayant perdu Nowaki dans la foulé, laisse ses pieds la guidé, atterrit au bureau du ministère, entre à contrecœur, jette du sel sur Akira et Hiiro ainsi que sur les réunions des Shuusei
Peut-être aurait-on dû éteindre notre cigarette avant de rentrer, voilà ce à quoi l’on songe en voyant se tourner vers nous quelques regards inquisiteurs. En vérité, on est entré ici par simple hasard, au gré des balades dans le village et des affiches que l’on aura vu sur la devanture du bâtiment. Quelque chose qui intrigue à moitié, que l’on regarde de loin, car on ne comprend rien aux magouilles politiques et on ne s’y intéresse pas plus.
Et pourtant on est rentré, clope au bec et air lunaire sur les traits. Comme ça, on pourrait croire qu’on ne sait pas ce que l’on fait là. Et probablement est-ce vrai...
On écoute d’une oreille semi-distraite les différentes paroles, on n’aime pas les longs discours parce qu’on ne les comprend pas mais également parce qu’on ne parvient à les suivre - notre esprit finit toujours par s’envoler au loin, bloquer sur un terme, partir dans tous les sens ou réfléchir bien trop vite et au final on ne parvient qu’à capter la moitié des mots qui sont prononcés. On reconnaît Akira parmi ceux qui parlent, sans vraiment être étonné de sa position et peut-être considère-t-on les deux discours car l’on y entend des choses qui plaisent à notre condition de né-moldu. Mais c’est également pourquoi les mots de la dernière résonnent aussi - plus directs, plus clairs. La théorie et les beaux mots n’ont jamais obtenu notre grâce.
- C’est vrai que c’est bien joli vos beaux discours, mais concrètement ? Ça donne quoi ? (peut-être a-t-on encore causé trop vite, nos pensées souvent dépassent nos paroles et l’impulsivité finit par parler à notre place) Parce que ce que vous dites sur l’égalité et tout ça, c’est bien beau, je dis pas. Mais dans les faits, ça se ressent pas trop en vérité. Il y a toujours des problèmes, des inégalités, de plus en plus d’histoires pesantes. Et même si je sais que ça se fera pas en un jour, des exemples concrets seraient les bienvenues...
On tire un peu sur notre clope, une boule dans le ventre.
On ne voulait pas tant se faire remarquer.
HRP : Limite Aii arrive ici parce qu'il a vu de la lumière à travers les fenêtres, il comprend rien à la politique et comme les discours l'atteignent très difficilement, il demande plutôt de parler de concret.
« Faites tout de même attention à ce que vous dites ! N’oubliez pas que nous sommes dans leurs bureaux, d’accord ? Je n’aimerai pas que vos mots jouent contre vous. Neh ? Prenez des biscuits pour calmer vos nerfs, mademoiselle ! » Ai-je dit un doigt devant ma bouche, de ma voix fluette.
Le ministère n’aimait pas les traitres, les nuisances et s’il en voyait en vous, je ne donnais pas cher de votre peau et je ne voulais pas vous voir mourir.
« Effectivement, c’est ce que les grandes familles majoritairement sang-pur nous font subir. Merci de relever ma phrase, demoiselle Kondo. » J’avais repris ma voix grave.
« Tu m’en vois ravi, Hiiro que nos pensées concordent, je ne cherche pas la guerre aux autres affiliations, loin de là ! Si nous pouvions tous nous unir, cela serait le paradis. Mais chaque chose en son temps. » Un léger sourire.
« Malheureusement, je ne peux que donner raison à demoiselle Kondo. Ces dernier mois, l’empereur n’a rien fait pour nous aider. Que cela soit à Mahoutokoro ou encore dans une égalité que je recherche. Ce n’est pas en restant les mains dans les poches que le monde changera en un claquement de doigt. » Désolé Hiiro, je n’ai pas tous ces mois et années à perdre…
Prenons place sur un sujet sérieux que tu venais de lancer Aiichiro, on se comprend encore, n’est-ce pas ?
« Je vais être honnête avec vous, je n’apprécie pas tout ce que le ministère fait, c’est pourquoi j’aimerai lui faire retrouver ses racines originelles : l’égalité des sangs. Un certain nombre d’allié Shuusei œuvres pour notre objectif regroupant tous les sangs. Des familles importantes chez les sangs-purs nous ont rejoint. Cela n’est-il pas un bon début ?
Mon acolyte et moi avons même eu le droit à un premier rendez-vous avec Madame Yamamoto !
Tout commence à petite échelle pour devenir plus influent. Que nos actions se fassent entendre, montrer que notre union fait la force et que le monde finira par changer.
Je ne me voile pas la face, je sais que cela prendra du temps. Mais seuls, nous n’y arriverons pas. Plus nombreux nous seront, plus nos chances grandiront. Je ne recrute pas pour Shuusei, mais pour mes convictions. »
Je prends un risque en vous disant ça, en ces lieux, mais je ne serais jamais un petit chiot que le ministère contrôlera, croyez-moi.
HRP : Akira essaie d'amener une ambiance moins lourde et calmer un peu Maiko.
Il est content de voir qu'Hiiro a le même fond de penser que lui et qu'il ne cherche pas la guerre aux autres affiliations.
Il avoue ne pas tout approuver ce que fait le ministère et qu'il veut lui faire retrouver ses racines originelles.
En fait, il raconte qu'il a réussi à réunir des Sang-pur, sang-mêlé et né-moldu à sa cause et que tout commence par un petit nombre pour devenir plus grand et influent.
Toute cette histoire était délicate et si déjà au commencement des échanges les tons s’échauffaient, qu’allait-il devenir de vous, broyés sous la peur, la colère et les limites de vos esprits. Si Hiiro avait été envoyé en tant qu’ambassadeur des Gyokuji - ce qui était à la fois un honneur et une responsabilité immenses - il lui était difficile de faire face au mécontentent du groupe. Chacun allait de ses accusations cachées, ou directes, de ses tirades propagandistes et lui-même sûr de ses convictions, Oikaze perdait le fil des mots.
« S-si vous me le permettez chez tous et toute, j’aimerai revenir sur le point concernant la passivité des Gyokuji. Je tiens à rappeler que le Ministère a ôté tout pouvoir à l’Empereur et qu’il n’est pas en droit, ni de formuler son opinion ni de décider. Je rappelle également que Gyokuji sert l’Empereur et le protège. Nous n’avons ni l’aptitude pour punir - juger les criminels - ni pour combattre - puissance militaire - à ce titre je vous demanderai de bien vouloir nuancer vos propos, s’il vous plaît. »
L’angoisse de froisser autrui vint tordre la bouche de l’oiseau qui baissa la tête sur la théière. Le thé tremblait dans les tasses mais chacune se logea dans les paumes de tout le monde. Ses mains étaient glacées et son coeur battait la chamade, pitié pas d’autres batailles.
« Et Akira, tu es bien dans une situation délicate à vouloir défendre Shuusei alors que tu reconnais tout ses torts et veux tout changer… Pourquoi ne pas avoir crée une nouvelle affiliation si cette dernière ne vous convient pas ? Je soulève juste le point suivant : est-ce que c’est parce qu’ils ne vous ont pas laissé d’autre choix ? » La voix douce et embarrassée, il baisse à nouveau les yeux sur ses doigts. « Je trouve cela très honorable de se battre pour ses convictions, mais je crois que nous n’avons pas tout ce temps de se battre pour des idées quand des menaces plus grandes arrivent… Désolé d’amener ce sujet mais, je ne pense que l’égalité de sang a son heure aujourd’hui. Je le regrette, elle viendra après les terribles choses qui vont survenir, mais… » Son regard cristallin se pose sur l’énergique Kondo. « Vous réglez les problèmes par des morts et laissez des innocents périr. Il est vrai… » Quel monstre deviens-je pour penser et dire ces choses là… « qu’il est plus aisé de laisser d’autres personnes être condamnés que de se positionner ouvertement Yuustu n’ayant pas commis de tels actes. Vous n’avez rien fait pour sauver ces innocents. Certains se sont terrés; vous trouvez cela noble ? Je ne tiens pas à accuser telle personne ou tel parti, croyez-moi bien j’en serai incapable; et bien que nous soyons dans une impasse aujourd’hui sur les marches à suivre, le plus important c’est de s’assurer que nous ne nous entretuerons pas pour ces idées quand adviendra le pire. Je réitère mon serment : je protégerai quiconque en aura le besoin et je mettrai tout en oeuvre pour protéger le plus grand nombre de personnes quoiqu’il advienne. Maintenant, si nous arrêtions d’attaquer chacun, pourquoi ne mettrions nous pas en lumière les avantages de chaque clan ? Car nous avons souligné leurs fautes, maintenant peut-être pouvons-nous surligneur leurs forces. » Il sourit doucement alors que sa gorge brûlait d’une bile infernale.
HRP : et tout mal; souligne que le plus important c pas les convictions politiques mais le courage de faire face au danger s’il se présente. Propose que chaque membre développe les points forts de leur affiliation car y’en a marre de dire qu’ils ont fauté.
- On ne m’achète pas avec cela Monsieur Hanaoka et ne mettez pas toutes les familles Sang-pur dans le même sac.
Oui, car même si tu étais une sang-pur Maiko, ta famille était très différentes des autres, il est vrai que comme tout sang-pur elle n’acceptait pas les née moldus sauf que bon nombre de personne que tu côtoie ainsi que tes cousines sont moldus ou bien sang-mêlé, cela n’a jamais gêné les Kondo au contraire, Umeko de son vivant avec sa neutralité légendaire, voulais que les Kondo respecte tout le monde.
Tu regarde maintenant ton professeur de vol, ses paroles te font sourire, ses accusations envers Shuusei sont tellement fondé que tu aimerais rire sauf que tu te retiens.
- Et puis s’il doit avoir égalité des sangs, comme vous le dites, pourquoi ne pas faire une égalité pour les Sang-pur aussi…
Tu soulève un point qui te fait toi depuis des années Maiko maintenant car, oui ta famille était faible et neutre, c’était sur sauf que comparé aux grandes familles voir au clans qui sont sous l’empereur depuis des millénaires, rien n’était égal, l’injustice était partout.
- Vous me voyez désolée d’avance si je n’arrive pas à comprendre vos points de vus…
Tu perds ton sourire et ton regard dur, tu grimace et baisse la tête maiko pour la première fois devant autrui alors que tu te cachais pour cela avant.
- Je vois bon nombre de mes camarades perdus, seul, quelque soit leur sang, même moi jusqu’à présent j’étais perdu sauf que j’ai trouvé une personne qui a su me parler et m’aider…
Oui, tu ne pourra jamais remercier comme il se doit Monsieur Tsukino pour l’aide qu’il t’a apporté Maiko, il t’a relever alors que tu abandonné, que tu sombrais dans ce monochrome qui te faisait jusqu’à maintenant. Tu regarde les trois adultes avec ce regard remplis de tristesse, tu ne sais pas quoi dire d’autre pour le moment.
Juge grandement Akira de vouloir l'acheter avec des biscuits et dit de pas mettre tout les Sang-pur dans le même sac, proclame aussi l'égalité entre les Sang-pur aussi, est désolée d'avance sur son incompréhension des idéaux de Akira et Hiiro, mets en avant ses camarades qui sont perdu comme elle l'était avant avant que Rajan l'aide.
C’est à se demander ce que l’on fait là, au milieu de tous ces gens qui semblent se battre bec et ongle pour défendre leurs affiliations, leurs maîtres et leurs valeurs, alors que l’on se trouve simplement au milieu de tout ça, neutre et sans de réel avis si ce n’est que tous arrête de nous voir comme une anomalie dans le système. Pour l’instant, les opinions de chacun peinent à être comprises, tout ce que l’on réussit à faire, c’est de mettre un groupe sur chacune des têtes ici-présentes.
Et on se retrouve avec une tasse de thé dans la main.
On ne boit pas de thé.
Mais on ne veut froisser personne.
Il est vrai que les valeurs de Shuusei nous attirent, mais pour l’instant outre les bons mots, les résultats espérés ne semblent pas être présents. Et les procès récents ne nous aspirent pas confiance, il faut bien avouer, mais on tait ces pensées en se bouffant la lèvre. On n’est pas une lumière mais l’on n’est pas assez idiot encore pour exprimer ces opinions à haute-voix ici-même. Et le fait de sans cesse évoquer ces “terribles choses qui vont survenir” nous tord l’estomac. En vérité, on ne souhaite qu’une chose : rester en dehors de toutes ces histoires, pacifiste à en crever, on ne veut que vivre notre petite vie tranquille en vérité.
Et pourtant, il semblerait qu’il faille se positionner.
Dure réalité.
- Si l’on est obligé de se positionner dans l’un de vos groupes, comme ça semble de plus en plus le cas... (on toussote, dieu ce que l’on déteste parler, surtout de ce genre de sujet que l’on ne sait maîtriser) C’est vrai qu’apprendre à vous connaître serait un bon départ. Certains d’entre nous ne vous connaissent qu’à travers les “on dit” et les rumeurs, et les guéguerres verbales n’aident en rien. (certains d’entre nous, ceux qui ne souhaitent se positionner mais qui y seront un jour bien obligés) Alors entendre à chacun vos arguments et vos projets pourraient aider à se positionner non ?
On lorgne un instant sur la tasse de thé que l’on tient entre les mains. On n’y a pas encore touché, et en vérité on ne compte pas la boire ne serait-ce que pour une gorgée.
- C’était pas le but de cette réunion ?
HRP : Aii a le cul entre deux chaises, il sait toujours pas ce qu'il fout là, son opinion se rapproche de celle de Hiiro, ça clashe rapidement que ça sert à rien de se tirer dans les pattes comme des gamins et il demande à entendre parler des affiliations directement par leurs membres plutôt que par des rumeurs.
Des biscuits, du thé et une situation qui ne plaisait à aucun.
Un sourire doux en coin à l’annonce de tes paroles, Hiiro. Protéger le plus grand nombre, une pensée que nous avions en commun.
« Très bien ! Reprenons donc depuis le début sur une touche plus positive, d’accord ? Présentons nos affiliations et nos convictions ! Oh et Hiiro, je ne suis absolument forcé en rien. Je suis prêt à laisser ma vie pour mes convictions. » Ai-je dit en combinant les propos des deux hommes à mes côtés.
« Je m’appelle Akira Hanaoka, sang pur. Je prône l’égalité car je ne veux voir d’autres élèves ou adultes perdre la vie dans des conflits inutile.
Je ne cherche pas la guerre entre les affiliations, mais un droit égalitaire, en paix entre tout sorcier. L’égalité entre les sang-pur en fait partie demoiselle Kondo car eux aussi subissent des lois qu’ils n’apprécient pas. Abandonner leur enfant, ne pouvoir se marier avec qui ils le désirent. Ne désirez-vous pas avoir la liberté sur vos choix et non guidé par les lois des sang-purs ? » j'ai demandé en espérant touché un point sensible.
« Shuusei est en lien avec le ministère et l’affiliation la plus influente et contrôlante de nos jours et depuis, des changements se sont déjà opérés, une femme est à la tête du ministère. N’est-ce pas une preuve d’un avancement ? Une égalité, une avancée qui continuera de grandir grâce aux dévouements des nouvelles générations car se sont eux notre futur et qui changerons le monde. » Ai-je continué à parler.
« Si une affiliation à le pouvoir de faire changer le monde magique, c’est bien eux. Croyez-moi, je ne suis pas sans soutien majeur. » Un doigt devant ma bouche, comme signe de secret.
« Peut-être que vous allez me trouver trop idyllique, mais comme j’aime le dire -Sans rêve, il n’y a aucun espoir. Sans espoir, il n’y a pas de vie. Et cet espoir, je veux le transmettre aux autres, aux plus hauts placés et leurs faire ouvrir les yeux sur la réalité. »
HRP :Akira souligne des mots de Maiko et Hiiro car ils lui ont fait dire ce qu'il n'a pas dit.
Il explique le pourquoi il est dans Shuusei. "Ils ont déjà permi du changement, une évolution" et il veut que ça continue. Que c'est les plus influents/ils contrôlent le monde magique. Alors c'est dans cette affiliation que le changement est le plus possible.
Il souligne aussi qu'il ne veut pas la guerre aux autres affiliations, une uni. Mais sait que c'est trop idyllique.
Il est prêt à donner sa vie pour ses objectifs.
D’avant en arrière, Hiiro se balance comme un pendule; sous les doigts de divinités farceuses et bien embêtantes. La situation le mettait mal à l’aise; le ton lancé par la jeune fille lui faisait tirer la moue. « En toute objectivité, si vous ne voulez prendre parti à aucune de ces convictions, cher Monsieur, je vous propose les Gyokuji. Effectivement, ils ne sont pas les plus actifs puisqu’ils n’ont rien fait mais pour ce que faire revient à causer des morts, ma foi je dirai qu’il est préférable de se ranger sous notre Empereur dont la place est divine et rayonne de la vive lumière d’Amaterasu-sama; pour rappel. Ils se placent à l’encontre du Ministère qui a récupéré tous les pouvoirs; et malgré l’avancée d’une femme au pouvoir, il semble que le gouvernement a reculé avec les décisions judiciaires. Les Gyokuji souhaitent le retour de l’Empereur au pouvoir pour éviter ce genre d’incident. De lignée divine, l’Empereur ne peut cacher la vérité ou la façonner selon ses intérêts puisque ces derniers se tournent vers le peuple nippon. Ils ne s’opposent évidemment pas aux idées égalitaristes que vous prônez, Akira-kun. Enfin, cher Monsieur… » s’adresse-t-il à Aiichiro encore. « Nous voulons juste respecter un ordre divin établi, la famille impériale est descendante du divin, envoyée pour gouverner le Japon. Pourquoi lui reprendre ses droits et devoirs ? Peut-être pour imposer ses convictions…Quoiqu’il en soit, je vous laisse seul juge de votre avis mon brave, je n’aimerais pas être dans votre situation ! » Une gentille main vient se poser sur son épaule, un sourire chaleureux égaie enfin le visage d’Hiiro.
HRP : se souhaitant pas se confronter à Maiko, ne relève rien; explique les gyokuji simplement et souhaite bon courage à Aiichiro pour la suite.
Si tu n’était pas au ministère, tu aurais clairement annoncé que tu étais des yuutsu, que ce sont eux qui t’ont sauvé alors que tu étais au bord du gouffre, même si tu ne le montrais pas, personne n’est venue vers toi…
Alors que ta famille t’acculais pour savoir qui aller te remplacer comme héritière vu que tu n’étais plus bonne pour ce rôle à cause de ton mariage qui est tombé à l’eau, par ta faute en plus, de ce que les rumeurs Kondo le disent…
Tu n’as pas revu Ritsuka mais, il doit le savoir aussi et doit peut-être te détester pour cela… Vous vous étiez confié mutuellement et tu abandonné tout cela Maiko, pas vraiment par égoïsme, plus pour ta liberté que tu désirais et que réussi à acquérir dernièrement.
Tu regarde les murs du ministère, des gens qui auraient pu te sauver comme l’a fait Rajan Tsukino sont mort, innocemment, juste parce que le ministère veut régner par la peur, tu le vois bien à l’école aussi, que certains ont peur, d’autres s’en fichent et d’autres veulent se battre…
Mais, pourquoi ?
Tu le sais un peu Maiko, parce que pour le moment aucune affiliation ne s’entend, elles s’ignorent mutuellement, tu préfère ignorer un peu cela, parce que même si tu as rejoins yuutsu, tu doute encore trop de toi pour te mettre en avant.
Et surtout tu as des projets, que tu as remis en place avec Mariko donc tu préfère ne pas faire de commentaire acerbe sur les paroles des deux adultes et laisser le troisième adulte faire son choix même si ce ne sera pas Yuutsu.
Maiko devient muette, trouve stupide le nouveau tour de présentation, aurait clairement annoncé qu'elle est yuutsu si elle se trouvais pas entre les murs du ministère, pense au peu à son passé de véritable Kondo, Regarde autour d'elle en pensant aux gens INNOCENT mort entre les murs du ministère, gagne un sourire en pensant à ses futurs projets
Nous voilà deux à devenir muets, on se contente de fixer le fond de notre tasse de thé sans vraiment savoir quoi penser, encore, de tout ce qui nous est présenté. Encore et toujours, sans savoir où se placer, car les idées exposées plaisent toutes deux.
Shuusei et ses idées d’égalité, bien sûr l’on est tenté car toute notre vie, on a subit nos origines dans ce monde, jamais vraiment à sa place que ce soit chez les sorciers ou les moldus, coincé entre ces deux mondes. Mais les liens avec le Ministère inquiète, ses derniers agissements sont loin de nous mettre à l’aise, les derniers évènements également car on vit avec une légère boule dans le fond de l’estomac depuis ces quelques mois. A-t-on vraiment envie d’avoir affaire avec eux ? Ou préférerait-on en rester loin ? On ne sait pas trop. Pas encore.
Gyokuji et ses idées de liberté et de neutralité, voilà encore quelque chose qui attire notre regard et notre attrait. Et puis l’égalité tant recherché n’est pas une exclusivité des pensées de Shuusei, il est vrai. L’aspect divin de toutes ces affirmations nous font légèrement pincer des lèvres, car on ne s’y intéresse tout simplement pas, mais on peut parfaitement faire l’impasse sur ce genre de détails. Beaucoup plus facilement que sur les agissements récents du Ministère, en tout cas.
Quant à Yuutsu, on ne s’en occupe pas vraiment.
Leurs idées ne plaisent pas, tout simplement.
- Moi non plus, j’aime pas être dans ma situation... (on marmonne ces quelques mots toujours en fixant le fond de notre tasse de thé, elle refroidit entre nos mains, on ne la boit toujours pas) Nous autres, Anshin, on se sent de plus en plus oppressés par vos différentes affiliations, on se sent de plus en plus poussés à faire un choix alors que l’on a pas forcément envie pour diverses raisons. C’était bien là le but de cette réunion, n’est-ce pas ? Nous pousser à faire un choix ? Pour ma part...
On se bouffe la lèvre inférieure.
- Qu’importe l’influence des uns et des autres, je ne veux pas être complice d’agissements immoraux.
Avoir l’esprit tranquille.
Ne rien avoir à se reprocher à soi-même.
HRP : Aii dit clairement qu'il apprécie pas l'idée de devoir choisir alors qu'il se considère neutre et il explique le pourquoi du comment, il veut juste être tranquille avec sa conscience et éviter de soutenir des actions qu'il considère pas morales quand bien même il serait pas "directement" impliqué
« Honnêtement, si la situation ne devenait pas aussi tendue, je te conseillerais de rester neutre, mais si quelque chose devait arriver… Cela sera plus dur de trouver une protection. » Moi je n’ai pas peur de mourir, j’ai appris à vivre avec.
« Je rejoins ton avis, Aiichiro. Je ne veux pas me porter garant d’agissements immoraux, c’est pour cela que je tiens à préciser que tu n’es pas obligé d’accepter tous les agissements d’une affiliation, mais une partie. C’est actuellement ce que je fais. » Mes yeux se sont doucement tournés vers toi, Hiro.
« Je n’ai rien contre l’empereur, au contraire. N’y a-t-il pas moyen de lui faire retrouver puissance et autorité ? S’il peut apporter soutiens à mon initiative de remettre à l’ordre du jour l’égalité des sangs, je ne pourrais que m’en montrer positif puisqu’il ne semble pas y être opposé. » Je rebondissais sur tes paroles.
« S’il ne peut en rien influencer ou changer, je continuerai ma lutte à Shuusei car ce n’est pas en ne faisant rien que quelque chose changera. » Je tiens à le souligner une nouvelle fois.
J’ai lâché un gros soupir en croisant les bras.
« Ces histoires d’affiliations sont stressantes. Tout le monde ne devrait pas y être mêlé… L’ampleur semble devenir plus grandes, j’ai peur que quelque chose éclate. Et honnêtement, je n’ai pas envie de me battre contre vous. » Mon visage devait avoir pris une teinte plus triste.
« Je ne donne pas ça comme un argument, mais une mise en garde. Si une lutte devait arriver, penser que nous serons peut-être obligés de nous affronter. Alors… Pensez aux personnes qui seront à votre opposé car aucunes affiliations ne sera épargnée. » J’avais détourné les yeux, on pouvait aisément entendre que les mots que j’avais prononcé ne me plaisaient pas.
C’était mon devoir de vous le souligner.
Parce que je ne veux pas me battre contre mes amis et je ne le ferai pas, mais cette pensée me faisait peur…
HRP : Akira continue de donner des arguments en lien avec ses idéaux, mais souligne aussi qu'il a peur de se battre contre ses amis si cette dispute d'affilation prends plus d'ampleur... Et que si quelque chose se passe, il faut une protecteur aux personnes neutres et qu'anshin n'est pas la meilleure solution, malheureusement.
La pesanteur des menaces imprégnait l’air d’une suffocation atroce. « Y a-t-il des fenêtres que nous pourrions ouvrir ? » Il étouffait. Et puis, les épaules abaissées, tel un pelage tombé, Hiiro s’affaisse sur une chaise. « Vous savez, mes chers compagnons magiques, je suis déjà las de lutter pour faire accepter des idées. Cher monsieur, faites attention à votre sécurité, soyez cependant certain que les partisans de Gyokuji seront là quand vous en aurez le besoin; en tout cas je vous assure que je serais une aide quoiqu’il arrive. Alors fiez-vous seulement à vos instincts. Kondo-san et Hanaoka-san, pareil. Peu importe vos affiliations et vos idées, je serai là pour vous épauler. J’espère seulement que la sécurité du Japon magique sera bien maintenu par l’équilibre de tous… Je ne suis pas certain que ce soit dans l’adversité que l’on rencontrera ses ennemis; on s’y créera des liens très forts et nous ressortirons de cette mauvaise situation un peu plus tard. Cela étant, cher monsieur Okano; je tiens à rappeler que l’Empereur n’a rien d’immoral et je vous demanderai de faire la part des choses entre une personnalité divinement amorale de groupes humains aux agissements dangereux. De plus, je ne comprends pas très bien votre venue puisque la réunion a fait l'objet de publicité et de propagande assez diffusée pour que l'ensemble de la population répondre présente pour un débat autour des questions d’affiliation et de politique... j'ai alors beaucoup de mal à comprendre votre hostilité envers nos avis... Vous êtes bien venu de votre plein gré assister à cette réunion...
Enfin, je ne m’attarderai plus trop puisque nous restons sur nos positions. N’oubliez pas, je suis là pour vous, n’hésitez pas à m’envoyer un origami si vous ressentez l’envie de discuter ou de débattre plus calmement sans enjeux; mon bureau est toujours ouvert et j’adore toujours autant me balader ou prendre le thé au salon de thé. »
Il attend le retour de ces camarades de fortune avant de songer à s’en aller calmement, reprendre un peu d’air.
HRP : Hiiro est fatigué d’essayer de convaincre; promet qu’il ne sera pas une menace pour quiconque et qu’il n’a aucune animosité envers les autres affiliation.
- Ce n’est pas que je m’ennuie à vous écoutez Messieurs sauf que je dois retrouver un membre de ma famille.
Parce que tu n’avais plus besoin d’entendre toutes ses paroles en l’air, cela ne te servais à rien, tu avais déjà choisis ton camp, ton regard se perds sur les murs de l’endroit où tu t’es retrouvé par hasard.
- Et si vous ne l’aviez pas deviné déjà, j’ai choisi mon affiliation, celle qui m’a libérer de mes ténèbres.
Libérer d’une famille oppressante, à la fausse neutralité, qui n’a aucune croyance, qui ne pense pas aux futurs de leur génération, tu avais abandonné tout cela Maiko et cela t’avait fait un bien fou.
- L’élève perdu que j’étais a été sauvé par un homme considérer comme traite maintenant sauf…
Qu’il a pris le temps de t’écouter, de voir ton malheur même si tu le cachais, ta chères familles ne cachait en aucun cas dans l’enceinte de l’école le fait qu’elles te recommençais à te déteste.
- Peut être que si j’avais parlé avec vous avant, je ne l’aurais pas rejoins mais, c’est trop tard.
Trop tard, oui, tu es libre de cette cage, tu n’as pas de compte à rendre, surtout pas aux personnes qui n’ont rien vu de ton mal être avec la mort de la matriarche Kondo.
- Je vais donc prendre congé, et je vous souhaite bonne chance pour choisir une affiliation Monsieur.
Tu n’avais pas vraiment retenu le nom de famille de l’homme qui posait des question, cela t’importais peu maintenant, tu n’avais plus rien à faire au Ministère, tout ce qui t’importais maintenant c’était Nowaki.
Maiko s'ennuie donc décide de partir, adresse quelques mots avant de partir chercher Nowaki et avoue à demi-mots être yuutsu et que c'est Rajan Tsukino qui l'a sauvé.
On retrousse les lèvres, fronce les sourcils et montre les crocs face aux affirmations qui semblent fuser de part et d’autre, tous craignent l’arrivée d’une guerre civile et personne ne semble avoir l’envie d’en arriver à ce point. Alors pourquoi s’entêter ? Pourquoi continuer à refuser la discussion, laisser la situation s’empêtrer jusqu’à ce point de non-retour ? On a du mal à comprendre, peut-être, que les choses ne sont pas forcément aussi simples que l’on espère...
Mais on finit par nous interpeler, notre nom fuse entre les lèvres de l’un des inconnus - comment l’a-t-il su ? On pose sur lui un regard de chouette, on s’étonne presque de sa question car dans notre esprit, la réponse est plus qu’évidente. La raison de notre venue ? demande-t-il.
- Bah pour comprendre. (on lâche ces mots sans parvenir à retenir le “bah” de l’évidence, la condescendance pulse dans notre ton, de même que l’impolitesse notoire sans pour autant que l’on ne s’en rende compte) Ça me semble être une raison suffisante, non ? (haussement d’épaule, dans nos main la tasse est désormais froide - on n’en aura pas bu ne serait-ce qu’une goutte - et on tourne finalement notre regard sur Akira) J’ai une dernière question : si lutte il y a, que penses-tu qu’il adviendra des perdants ? Qu’importe que l’on ait soutenu ou non l’entièreté des actes d’une affiliation, aux yeux des autres, ce sera du pareil au même, tu ne penses pas ? “Avec ou contre eux”, c’est bien ce qu’il se dit, non ?
Oh, ça on l’a bien compris, car les paroles de ces groupes sont bien belles et bien menées, et quand bien même on ne renie les mots d’aucun d’entre eux - ils ne souhaitent se battre, disent-il - tout le monde ne pense malheureusement pas de la sorte. Les procès récents du ministère n’en sont-ils pas une simple preuve ?
- Vous ne voulez pas vous affronter et je veux bien vous croire, je pense la même chose que vous pour le coup. (pacifiste à en crever, encore une fois) Mais malheureusement, tout le monde ne pense pas pareil que vous, et ce sont plutôt ces gens que je crains.
HRP : Aii dit qu'il est venu ici pour comprendre, il veut bien entendre que l'on puisse ne pas soutenir entièrement une affiliation ou que personne ici n'ait envie de se foutre sur la gueule si jamais une guerre éclate, malheureusement il craint que tout le monde ne pense pas pareil qu'eux
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