— MAHOUTOKORO
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car j'aimais tant l'aube, déjà
Shizue Tsugikuni
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Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : vingt-cinq
Rang : A2
Seimei
Seimei
Shizue Tsugikuni
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Shizue Tsugikuni
j'aurais sûrement dû taire parfois
l'envie si grande et menaçante
nom
prénom
âge
râce
poste
finances
maison
affiliation
animal
baguette
épouvantard
patronus
sort
yokai
tsugikuni
shizue
vingt-cinq
sang-pure
assist. prof. d'onmyodo
aisées
kitsune
gyokuji
faucons (moko & teto)
charme, plume d'aosagibi
un cadavre d'enfant
corneille
cura
suzaku
Son rire éclate comme une fausse note : ses lèvres se fendent largement pour dresser la grimace monstre d’un bonheur trop abîmé pour être sincère, et entre elles se meurt l’écho aigu et brisé d’une triste joie. Pourtant, ses yeux se plissent encore comme ils le firent autrefois, et tout son corps s’applique à mimer malgré elle ces chorégraphies millimétrées, exception faite qu’à la délicatesse d’une ballerine s’est substituée la simpliste rigueur d’un automate. Au lieu de pupilles agitées par la malice, telles qu’on les connaissait antan, s’animent à présent des iris ternis et assombris, fenêtres inquiétantes d’un visage tantôt sévère tantôt illuminé d’une absurde frénésie dans la tentative de s’accorder, encore, un soupçon de bonheur.

D’une rigueur extrême, elle se veut pareille à un fantôme rasant les murs, ombre nichée à l’angle d’une classe apposant sur les élèves un regard discret, sans doute froid et pourtant attentif. Femme de peu de mots, sa langue parfois est acerbe mais sa gorge aussitôt se noue—ah que n’aimerait-elle pas leur confier un souffle d’amour plus véritable ! Ses éloges sont rares, néanmoins emplis d’une sincérité toute entière, et sa dévotion, bien qu’entravée par ses propres difficultés à l’exprimer, est toute entière dirigée envers ceux-là pour qui elle n’espère qu’un avenir plus doux, plus tendre, plus chaleureux, que ces heures pénibles.

Là, le coeur gonflé de tout cet amour tu, de tous ces espoirs soigneusement pliés encore et encore sur eux-mêmes pour mieux les cloîtrer au secret de ses viscères, elle oscille entre une insensible retenue à laquelle elle s’accroche comme si son existence même en dépendait et une exubérance sans borne, tristement drapée de l’indifférence de ceux qui trouvent en la folie le prix de leur seule liberté. Vaine liberté, ah ! si vaine, à bien y songer—une hypocrite vanité de plus à laquelle s'agripper pour prétendre à une joie également factice.

(changeante; distante; curieuse; protectrice; inflexible; attentive; fantasque; exubérante; observatrice; singulière; cynique; absurde; imprévisible; mélancolique; responsable; étonnante; passionnée; secrète)
amor
elle ne hait rien davantage que le froid, enveloppée tout l’hiver durant dans d’épais manteaux de fourrure // s’efforce de se lever toujours avant le lever du soleil, intimement déçue lorsque celui-ci se dissimule derrière quelques nuages maussades // apprécie ses moments de solitude // sa voix est plus grave lorsqu’elle chante, néanmoins peu l’ont entendue chanter depuis longtemps // moins ouvertement joviale qu’auparavant // il est souvent peu aisé de savoir si elle fait preuve de sérieux ou non ; elle en joue volontairement // amoureuse de la littérature nippone // paraît souvent sévère aux yeux des élèves ; en vérité, elle est très attachée à eux et, si elle préfère conserver une certaine distance, il n’est pas rare qu’elle adresse un origami à l’un d’entre eux à l’issu d’un cours si elle remarque un changement d’attitude // plus enjouée auprès des plus petits, elle aime les gâter et rire de bon coeur avec eux // passe de longues minutes tous les matins à se parer de ses bijoux favoris // ne saurait l’assumer mais est une fervente adoratrice d’objets incongrus et kitsch, ceux-là qui sont beaux de par leur laideur et qu’on adore détester // n’évoque jamais sa fausse-couche, et à l’école, seule une très maigre poignée de collègues sont au fait de cet événement // certains murmurent qu’elle est dérangée // joue du shamisen // lors de ses années d’études à mahoutokoro, elle figurait parmi les bons élèves en termes scolaires, néanmoins son attitude lui a valu quelques heures de retenue // d’une politesse, une loyauté et un apparent respect infaillible envers ses supérieurs // sa chambre est envahie de curieuses plantes souvent en fleur aux senteurs enivrantes // seul son époux est au fait de son incapacité à s’endormir sans un tant soit peu de lumière à proximité // par ailleurs, son mariage bat de l’aile depuis de longs mois, si ce n’est depuis le premier jour ; elle lui voue une affection non feinte, et inversement, néanmoins sans doute n’est-ce pas là ce que tant nomment amour.
divination 4/5
sabre 4/5
sorcellerie 5/5
potions 3/5
vol 0/5
amor
Mon amour, tu me fus arraché. Je le sus avant même que le médecin n’eût agité des lèvres infâmes, et qu’au bout de sa langue n’eurent roulé de piteuses vipères. Je ne l’écoutai guère, sourde, abattue par ce que je connaissais déjà, et songeai seulement- ah ! combien de fois, et à combien de femmes, délivra-t-il auparavant ce même discours méchanique, pareil à un automate dont on dicte la conduite. Je ne trouvai en lui aucune compassion véritable, et à défaut de m’inquiéter de ses palabres creuses, je cherchai en ses yeux quelques reflets sincères, en vain. Je me trouvais seule face à ton absence, mon amour ; du reste, plus rien ne comptait. Longtemps, encore, je crus te sentir au chaud de mes entrailles, et les matins suivants je te parlais, te comptais la splendeur du soleil levant, te décrivais l’odeur des roses trémières et celle de mon thé favori, comme j’avais pris le pli de le faire. Mes doigts, par automatisme, venaient encore se poser sur mon bas ventre, comme sur un trésor tant chéri, et parfois même, je chantais.

J’avais inscrit à l’encre sur un calendrier le jour de ta naissance, celui auquel je m’étais longuement préparée, avec patience, amour et dévotion. Si j’avais épousé ton père par affection, je n’avais jamais douté qu’à toi, et à toi seulement, j’allais vouer une passion nouvelle, incommensurable. Quand le jour vint, je ne trouvai la force d’ouvrir les volets, et pour la première fois depuis longtemps je n’observai pas les premiers rayons du levant rasant les plaines et caressant la cime des arbres. L’obscurité se présenta à moi semblable à un cocon douillet. Je fermai la porte de ma chambre à clef, et pleurai.

Je n’avais, pour toi, versé aucune larme jusqu’à ce jour. Des trois mois précédents, je ne gardais que des souvenirs cotonneux, comme si je n’avais non pas vécu mais plutôt flotté, nagé dans un océan d’ignorance salvatrice. Le retour à l’abrupte réalité fut des plus difficiles, si ce n’est insurmontable car je crois qu’il s’agit là d’une pénitence qui me suivra, chape de plomb sur mes épaules, jusqu’au dernier jour de ma vie. Je revins à ma propre existence avec lenteur, bien qu’au départ il me sembla que c’était l’univers entier qui tournait avec trop de vélocité. Je fus muette quelques temps, mangeais peu et errais, apathique, entre les murs de la demeure, aussi bien aurais-je pu n’être qu’une tapisserie voilant les pierres, la chose n’aurait pas été bien différente.

Je songeai, par deux fois, à te rejoindre. Il m’aurait été aisé de le faire, et j’ai longuement énuméré les possibilités. La première fois ne fut qu’une pensée tortueuse, cynique, soufflée par quelque astre mauvais lors d’une nuit sans sommeil, la seconde se solda en échec. Je portai une curieuse culpabilité en mon fort intérieur, celle de n’avoir eu le courage de venir à ta rencontre, et d’être, quelque part, encore trop attachée à ma propre existence, bien que de maigre importance j’en conviens, pour y mettre un terme.

Je me résolus finalement à quitter les terres nippones, sans m’embarrasser de trop d’au-revoirs pour ne pas être tout à fait découragée. Je découvris les monts escarpés du tibet, le vent fouettant la roche et cet air si pur qu’on ne trouve qu’en ces lieux. La solitude fut un réconfort certain, car seule, enfin, tu me manquais moins. L’idée peut paraître saugrenue, pourtant, là, je compris qu’une vie en ton absence ne me serait pas impossible, quand bien même serait-elle douloureuse à m’en crever le coeur lors des nuits sans lune, quand bien même ta mémoire hanterait mes jours malgré le soleil de plomb. Je compris, enfin, qu’il allait me falloir chérir ton souvenir plutôt que le regretter, et que c’est en apprenant à embrasser cette vie que j'honorerai le mieux la tienne.

Adieu, mon amour,
Maman.

Un parchemin finement roulé, glissé au creux d’une tige de bambou, vogue entre les flots de la rivière. Plus loin, il rejoint les bras de la mer, et depuis la mer, l’océan. Là, il sombre.
j'ai dit moi je veux un enfant
avant de connaître l'amour
1972 Le vingt-trois avril mille neuf-cent soixante douze. Des lettres qui ne riment à rien, que pourtant je me suis souvent appliquées à tracer, presque religieusement, comme si j'en conservais quelque souvenir (calomnies). L'on raconte que ce jour neigèrent les dernière neiges de l'an, au matin calme, serein, de ma naissance. Qu'en sais-je—qu'importe.

1980 J’appréhendais l’école comme on appréhende chaque étape importante d’une vie ; j’appréhendais ces murs hauts, impénétrables, ces yeux inconnus et pourtant, à la mesure de mon appréhension et avec la même intensité, j’étais aussi guidée par ce vif désir, cette brûlante envie d’en découvrir tous les aspects, d’en parcourir tous les corridors, et de m’entourer de tous les regards. Je n’eu, faut-il qu’il m’en souvienne, aucun mal à y lier des amitiés, et il serait mentir que de nier que je fus assez populaire sous le toît de l’école—de la popularité toute banale d’une étudiante aux ris si larges et à l’assurance si certaine que la présence en est complexe à ignorer quoi qu’il en soit.

1984 Je tendis des lèvres rieuses et des prunelles assaillies par la curiosité vers des bras et des mains, et un nez, qui me paraissaient chacun d’une petitesse exceptionnelle, tant et si bien qu’à peine osai-je les saisir entre mes doigts, bien qu’adroits, et tâcha de faire preuve d’une patience et d’une prudence qu’on m’avait jusqu’alors peu connues. C’est à la naissance d’un être plus jeune et plus frêle que moi que je pris pour la première fois conscience de mon prix, du sien, et de celui, plus large, de la vie qui nous était donnée—et quelle merveille, cette vie, que j’embrassai tout doucement déjà.

1992 Je n’entrevoyais qu’une évidente réussite, incontestable et inéluctable, dans toute la simplicité de ce que ma destinée allait être. Vinrent mes fiançailles la même année que celle où j’obtins mon diplôme, et ainsi j’entamai mon apprentissage d’onmyoji, tandis que l’héritage auquel je me prédestinai me paraissait si acquis que jamais je ne le questionna. Je me rappelle mon coeur gonflé à l’aube de ce qui m’apparut comme une ère nouvelle ; adulte, enfin, car c’est à cet instant que je compris que je l’étais, un monde nouveau s’offrait à moi et une infinité de possibilités avec lui.

1993 Voyez, de mon fiancé je n’avais nulle aversion.Toutefois, lorsque vint le jour du mariage et que je le retrouvai, une curieuse évidence s’installa en moi : je ne l’aimais point. La pensée ne fut ni pénible ni chaleureuse, elle ne portait aucune incidence véritable et je la laissai courir en mon esprit, s’installer entre nous et l’acceptai, docilement, et presque même avec apaisement, car à défaut d’amour je n’éprouvais non plus de haine. Et ainsi, le fiancé devint époux, qu’aujourd’hui encore j’affectionne, avec quelque doucereuse amertume pourtant—pardonne moi mon époux de n’avoir pu, de ne pouvoir encore t’offrir le fruit de notre calme union. Je fus la première à le désirer si ardemment, pourtant nous voilà deux à le regretter à présent.

1995 J’aimai mon enfant avec une telle dévotion que je crus n’avoir jamais aimé auparavant, et je haï l’univers lorsqu’on me l’arracha plus que je n’aurais cru pouvoir haïr, d’une haine qui dépassait ma misérable carcasse d’humaine. Aussi, plus rien ne m’importait. Plus rien, non, si bien que j’échappai de justesse à ces abysses dont on ne revient pas. Pour vivre un peu, encore, je partais l’année suivante, guidée par un besoin irrépressible d’aller là où je ne connaissais personne et où tous m’ignoraient.

1997 J’avais quelque peu anticipé cette décision, toutefois je fus touchée par la considération du professeur Awataguchi, et sous son aile, à l’aube d’un mois de septembre dont j’avais nerveusement préparé la venue, je retournai sur l’île que j’avais longuement foulée des années auparavant. Je craignais l’atmosphère sordide, hantée par des murmures inquiets et par les ombres de désastres encore trop récents, et je me trouvais par avance consternée de savoir de si jeunes êtres déjà victimes de monstruosités telles qu’elles ne devraient avoir lieu. Là, je me fis la promesse muette de prodiguer une éducation juste, fût-elle pénible, et sincère, fût-elle sévère.
Comment envisagez-vous votre vie de sorcier ?
Toutes mes évidences, de paires avec mes tranquilles espérances, se sont effondrées. L'avenir tout tracé que je croyais mien n'existe pas ; n'existe pour personne. Je me suis échouée, pareille à la dernière onde d'un océan aride contre la grève. Mes attentes se sont tues, mes désirs se sont couchés. Et si j'ose, insolente, aspirer à une seule chose encore, c'est à la morne quiétude d'une vie sans accroc.
Comment percevez-vous la magie ?
Il y a en la magie un trésor inestimable qu'il est du devoir de tout sorcier de chérir, avec raison toutefois, et je porte en moi ce don avec tendresse, je le crois.
Que pensez-vous du retour de Seimei et de la position actuelle du ministère vis-à-vis de l'école ?
Ah ! vastes tragédies, débordement d'une magie, ici, déraisonnée. Ces temps me paraissent bien sombres pour notre humanité, et il me tarde que les choses recouvrent un ordre meilleur.
tc de mayo, vous pouvez évidemment la blesser puisqu'après tout je suis venue ici pour souffrir, also jvm (c'est totalement uc jsp si je vais garder tt ce que j'ai écrit hihi incertitude/10)


Ishvar Tsukino
tyki
Citation : I hate everybody
Age : 19.
Rang : A3
Orochi
Orochi
Ishvar Tsukino
https://mahoutokoro.forumactif.com/t583-we-all-make-choices-but-in-the-end-our-choices-make-us-ishvar
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Ishvar Tsukino
AZULA
TA PLUME
MAIS 10/10 PAR ICI
JE VEUX T'EPOUSER ????
Invité
Invité
Invité
Anonymous
Illégal
Juste illégal
Écrase moi quand tu veux bae
Invité
Invité
Invité
Anonymous
je l'aime tant je t'aime tant quel bonheur qu'elle soit dans ma famille je
vive toi
Saburoo Ueda
oui
Citation : How call someone with no body and no nose? Nobody knows.
Age : 46 (05/06)
Rang : S1
Orochi
Orochi
Saburoo Ueda
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https://mahoutokoro.forumactif.com/t1424-salve-regina
Saburoo Ueda
cette lettre je-


ta plume mon dieu, ce perso fada, s'il te plaît épouse-moi
Eirin Fujiwara
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Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18 ans
Rang : 76/100
Susanoo
Susanoo
Eirin Fujiwara
https://mahoutokoro.forumactif.com/t748-ooh-djadja
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Shizue Tsugikuni
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Age : vingt-cinq
Rang : A2
Seimei
Seimei
Shizue Tsugikuni
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Shizue Tsugikuni
@ishvar tsukino par pitié oui épouse moi donc

@setsuna tsukikage ok je vais t'écraser avec tendresse watch me

@akina tsukino je t'aime plus encore

@saburoo ueda r-rendez-vous demain à l'hôtel de ville (j'espère que tu es ok avec les ménages à trois, cf ishvar ci-dessus)

@eirin fujiwara jss sincérement dsl mec veuillez recevoir mes excuses les plus plates

(bref vous êtes tous tlmt pipou jvm merci x1000)
Kaori Tsukiyomi
car j'aimais tant l'aube, déjà L9g9VrI
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Age : 17 ans
Rang : B4
Ryujin
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Kaori Tsukiyomi
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Kaori Tsukiyomi
Félicitations !Shizuuueee ; déjà, cette lettre me fend tellement le coeur, surtout à la fin où elle signe avec un petit « maman » ; j'ai la gorge qui s'est serré. L'amour d'une mère, c'est vraiment quelque chose de puissant et ça se ressent réellement dans cette lettre, on sent que c'est une étape qu'elle traverse et qui plus est, difficile.
Puis ta plume dear, as-tu réellement écrit la fin de ta fiche en étant pompette, non parce que je veux bien être pompette si ça peut me permettre d'écrire aussi bien que toi. Et quel plaisir aussi de te compter un peu parmi les Tsukiyomi, il faudra qu'on s'entretienne pour un lien ma douce.
PUIS AZULA ; on en parle ?? Elle convient tellement bien à Shizue, je ne peux qu'approuver ce choix d'avatar qui est merveilleux.

Sur ce, je cours te valider pour lire de magnifiques rps avec cette merveilleuse dame ; tu es de niveau 91 !
Et bien sûr : rebienvenue parmi nous sweety !

Toutes tes informations ont été recensées. Je t'invite quand même à vérifier qu'on n'ait pas fait d'erreur pour ton avatar ou les autres éléments.

Tu peux désormais créer ta fiche de liens en utilisant le modèle. Créer ta boite d'origami pour envoyer et recevoir des messages. Ouvrir un journal intime si le coeur d'en chante. Pour finir, nous te conseillons de remplir ton profil avec tes sorts, objets et liens ! Enfin, lorsque tu seras pleinement lancé, n'oublie pas de recenser tes RPs dans la chronologie générale !

Enfin, n'hésite pas à nous rejoindre sur Discord si ce n'est pas déjà fait.
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