ooh djadja
Eirin Fujiwara
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18 ans
Rang : 76/100
Susanoo
Eirin Fujiwara
lujah | Et Sélène a ri dans les confins de la nuit quand auprès de la lune elle-même Eirin s'est recueillie. Eirin est belle - c’est un point clé. Car elle est d’une beauté singulière, contradictoire - à la lueur sauvage et indomptée de son regard s’oppose la posture, droite et attentive. C’est dans un paradoxe antithétique qu’elle s’épanouit depuis sa plus tendre enfance, cachant au-delà de ses délicates apparences une vipère si venimeuse qu’un simple coup de croc condamnerait le plus coriace des hommes. Eirin est superficielle - c’est un fait maintes fois prouvé. Elle savoure sa propre richesse et ne se couvre que de soie, laisse servantes et autres employés nouer les ceintures autour de sa taille et s’abreuve, s’enivre des regards à la dérobée qu’on lui lance alors. Eirin est belle, et elle le sait ; elle en use comme on se sert d’un langage, parvient à ses fins d’une innocente risette et d’un audacieux index glissé contre la peau. Eirin est cruelle - c’est une réalité insoupçonnée. Son profond égoïsme n’a d’égal que son absence de pitié. Nul obstacle ne saurait se dresser en travers de son chemin, pavé d’un or brut et serti de séculaires joyaux. Morale et mesure n’ont leur place contre sa langue perfide et Eirin, sombre serpent qu’elle aura toujours été, prend un soin particulier à effacer la trace de ses péchés. C’est à la démesure qu’elle voudrait s’abandonner, l’appétit vorace et l’âme insatiable. L’amour de l’excès se heurte à ses années de répression et Eirin, si fragile qu’elle est, succombe à l’un ou à l’autre selon ses humeurs. |
Si elle en connaît les moindres détails du bout de ses vicieux ongles, elle n'en a cure. Eirin n'apprécie que la légende de sa propre famille et méprise les yokais qui ne sont affiliés aux Kitsune.
the
rose
C’était une nuit pluvieuse.
A vrai dire, il s’agissait d’un orage d’une rare violence. On y voyait les arbres se tordre piteusement, les animaux confondus en plaintes impuissantes se mettre à l’abris et le vent, implacable, semblait bien décidé à tout terrasser sur son chemin. Au coeur de cette immensité sombre, vaguement éclairée par une poignée de lanternes et de lumos maxima à peine murmurés, une Fujiwara fut mise au monde.
Elle n’était pas un beau bébé - mais, là encore, aucun bébé ne l’était. On ne pouvait qualifier un nouveau-né de beau, à proprement parler ; ils n’étaient qu’un amas de chair et de peau fripée par la gestation, couverts de sang (entre autres fluides corporels).
Pourtant, lorsque Chihiro posa les yeux sur le fruit de ses entrailles, le souffle court et le corps encore endolori de la quantité invraisemblable d’efforts fournis, elle ne fut plus sûre que d’une chose: l’enfant allait être superbe. Aussi murmura-t-elle, éprise d’une indescriptible émotion, le nourrisson soigneusement glissé entre ses bras éreintés:
“Elle s’appellera Eirin.”
Et quelques sourires, joints à de tendres gloussements, couvrirent les premiers pleurs de la petite Eirin.
*
C’était une agréable journée.
A vrai dire, la canicule faisait déjà rage et les enfants, d’ordinaire vibrant d’une pérenne énergie, se voyaient en ces heures douloureuses traîner leur juvénile carcasse jusqu’à quelques cours cruellement donnés. Eirin, parmi eux, se tenait droite et impatiente, le derme rosé d’un adorable entrain ; elle nourrissait une affection particulière à l’égard des cours de musique, le contact rêche d’un violon entre ses doigts générant d’insoupçonnées passions. Et le regard de Mme Fujiwara, lorsque l’enfant jouait des morceaux appris de sa propre initiative, n’avait pas d’égal.
C’était une agréable journée et pourtant, au-delà du soleil brûlant la Terre, une pensée, viscérale. Où était donc son père ? Electre se serait alors bien ri d’elle, s’enroulant autour de sa colonne vertébrale pour gangréner jusqu’à sa moelle épinière. Shinobu Fujiwara brillait par son absentéisme tout au long de sa courte vie, tant et si bien qu’elle en aurait oublié son austère visage - s’il ne s’empressait pas de la toiser de touta sa déception dès lors qu’elle commettait une erreur en sa lourde présence.
Et, tout comme Electre, Eirin avait un frère. Mais oh! Nul désir d’assassiner une mère dans sa vengeance, elle se contentait d’aimer l’enfant tout en le jalousant si facilement, si viscéralement. C’était une position inconfortable, que d’être l’aînée d’une fratrie ; accompagnée de pléthore de responsabilités, et de si peu d’avantages.
Ryuu, fier dragon qu’il était, récoltait tous les lauriers qu’Eirin confectionnait. Il vibrait sous le regard de Shinobu, voué à en devenir l’héritier alors que son joyau de soeur, de son côté, apprenait à devenir une épouse adéquate.
Chihiro était une bonne mère, à ses aveugles yeux. Elle chérissait sa première-née comme on s’éprenait d’une singulière trouvaille, savourait la finesse naturelle de ses traits et la louait, inlassablement. Elle avait - sans le vouloir ni le remarquer - implanté dans l’esprit d’une si impressionnable fillette de bien sombres idées. A force de compliments et d’ornements faufilés entre ses mèches, la douce mère Fujiwara transformait sa tendre Eirin en un monstre vorace, désespérément avide d’une inconditionnelle attention.
Le contraste était brutal. Là où le patriarche, à peine suffisamment présent pour qu’elle n’oubliât pas son ultime rôle dans la machine - tu épouseras un Tsukino, j’en fais le serment - faisait naître en son sein l’amer malaise d’une enfant indigne de son nom, la mère la couvrait de sa présence et de ses éloges - ah! ma douce Eirin, si belle de bon matin. Mange donc, le riz est encore chaud. Et Eirin se retrouvait alors clouée entre deux extrêmes ; tantôt bouffie d’une arrogance sans pareille, tantôt saturée d’un dégoût si profond d’elle-même qu’elle en rendait le contenu de son estomac, dans le secret des latrines privées.
*
C’était un jour maussade.
A vrai dire, Eirin s’ennuyait terriblement. Son treizième anniversaire s’était déroulé sans encombre, choyée par les présents de sa mère et pourfendue par les silences de son père ; sur ses lèvres s’était placardé un sourire-plastique, alors qu’elle hochait la tête distraitement face à quelque histoire contée par l’une de ses camarades. Et Lisa (belle étrangère fourrée dans ses quartiers pour une unique année) avait beau être diablement expressive, ses récits ne touchaient guère l’adolescente quand entre ses doigts gisait les mutismes paternel.
Elle s’était alors enflammée d’une haine sempiternelle envers l’homme, et son instinct avait pris les devants.
“Lisa, as-tu déjà embrassé quelqu’un ?”
C’était un jour maussade mais une poignée de baisers, échangés à la dérobée d’un dortoir endormi, avaient tiré Eirin de l’ennui.
Elle n’était jamais tombée amoureuse de Lisa - oh, non! lorsqu’elle s’emparait égoïstement de ses lèvres, c’était dans l’espoir de la faire taire. Trop jeune pour aimer, trop vieille pour ne pas mépriser ; elle savourait chez l’apatride élève son goût d’inconnu, de danger. Ni sang-pur ni homme, la pauvre symbolisait tout ce qu’Eirin, au cours de sa vie, se devait d’éviter.
Lorsque Lisa, pleine de bonnes intentions, glissa dans sa main une adresse aux caractères inconnus (et plaqua sur sa joue la bâcle d’un baiser mouillé), elle ne lui dit pas au revoir, ni même adieu. Le papier gisait encore dans un coin de sa chambre et si, de temps à autres, elle jetait quelques coups d’oeil au lit que la douce occupait, c’était simplement pour goûter au passé.
C’était un jour maussade, et Eirin se sentait vide.
“Tu es si arrogante, petite soeur.”
Ses sveltes jambes étaient soigneusement étendues le long de la couche, sa svelte taille ceinturée d’une robe de chambre carnée ; dans l’une de ses glorieuses mains trônait un exemplaire intact de The Great Gatsby, là où l’autre tenait une flûte de champagne, ses bulles encore assez vives pour conserver son intérêt. Elle ne prit la peine de lever le regard de son ouvrage, ses lèvres purpurines s’étirant d’un amer sourire - elle n’espérait rien de plus que son prompt départ.
“Foutaises. Et ne m’appelle pas ainsi, je suis plus vieille que toi.”
Mais Ryuu, dans sa glorieuse arrogance, ne fit que s’accroupir à ses fastueux côtés, glissant une main défiante dans la pâle chevelure de sa jumelle. Il ne fallut qu’une infime pression pour qu’elle tirât enfin les yeux de son divertissement, foudroyant l’héritier d’une iris menaçante.
“Tu ne joues plus avec moi, petite soeur. Je me languis de toi.”
C’était une compétition dans laquelle ils s’étaient lancés bien des années plus tôt, Ryuu par ennui et Eirin par jalousie. Lui s’attelait à l’arracher à ses activités, quand M. Fujiwara le laissait errer en âme en peine - elle persistait à l’ignorer, et quiconque abandonnait le premier se voyait perdant.
Jusque là, Eirin avait inlassablement échoué.
Ses débâcles n’avaient pour source un manque d’implication, ou de talent - loin de là, lorsque Eirin désirait quelque chose, elle l’obtenait. Mais Ryuu, du haut de ses longs cils et de ses sourires, de ses adorables risettes et de sa façon de l’engouffrer dans des étreintes aussi nécessaires que fortuites - Ryuu avait un pouvoir certain sur elle, et il s’en servait avec l’aisance d’un virtuose.
Théoriquement, Eirin était née la première. Une poignée d’heures les séparait, et le cadet n’avait même pas été prévu ; c’était un miraculé, une aubaine pour leur père en mal d’héritier et une compensation de la déception qu’avoir une fille en première-née. De ce fait, l’affront avait été camouflé - le grand public adulait Ryuu en aîné, grand frère dédié à la gloire et aux grandes choses.
“Hélas, je suis captive de cet effroyable livre, cher frère. Trouve quelque servante à charmer, je n’ai que faire de tes spleens.” A la sécheresse, il tressaillit.
Et peut-être regrettait-elle ses mots à l’échappée de sa trachée, peut-être savourait-elle l’impossibilité d’un court retour en arrière pour en adoucir le bord tranchant et couvrir d’une fausse tendresse l’amertume de sa condition - le regard blessé de Ryuu se ficha en dague de cristal entre ses côtes, à l’endroit même où son coeur muselé s’impatientait d’une embrassade inespérée.
L’instant fut fugace, juste assez long pour qu’elle clignât deux fois de l’oeil. Ses lèvres s’entrouvrirent sur d’inhabituelles excuses, leur goût déjà aigre à la pointe de sa langue - pourtant Ryuu rit, d’un de ces rires qu’on sait forcé mais auxquels on veut croire. Aussi les ravala-t-elle d’un même dégluti qu’elle chassait la salive nerveuse du fond de sa gorge, observant avec la fascination d’une proie condamnée son évanescence déclarée.
“Les servantes m’ennuient, elles n’ont pas ton esprit.”
Elle s’apprêtait à plier, rongée par une culpabilité étrangère ; encore une fois, elle n’en eut le temps. Un émissaire fit son entrée dans les quartiers des jumeaux, et les serres glissées dans sa crinière s’en délivrèrent sur un soupir. Si les yeux de l’apatride intru dansèrent le long de son élancée silhouette, une simple oeillade lourde d’écueils coupa court à ses contemplations muettes.
Eirin, lascive et consciemment protégée par l’ombre endémique de son frère, n’accorda au sous-fifre que l’ourlet d’un sourire saturé de fausse invitation - elle s’abreuvait sans honte des lorgnades voraces, confirmations addenda des louanges de sa tendre mère.
“Un message de votre instructeur, M. Fujiwara. Il déplore votre absence, et insiste pour que vous vous présentiez au plus vite.”
La tension d’un silence s’incrusta entre ses omoplates, vicieuse et glaciale ; prise d’un incompréhensible élan, Eirin se dressa, ses doigts s’enroulant en présence rassurante autour de ceux de Ryuu. Cils battus à outrance, une malicieuse risette rehaussant ses pommettes ciselées, elle roucoula.
“Ne le blâmez pas. Ryuu me tenait juste compagnie - c’est que l’on s’ennuie si vite, entre ces murs moroses. Il rattrapera son retard sur leur prochaine séance, n’oubliez pas de le préciser à son instituteur.” Et, lorsqu’une protestation germa entre les crocs du serviteur, ceux de la Vipère se dévoilèrent dans un retroussement sinistre de sa lippe, l’étouffant dans l’oeuf.
Lorsque le coursier se rompit en une révérence contrainte et s’excusa finalement, Ryuu tourna vers sa soeur le plus prédateur des sourires, une lueur pédante scintillant dans l’oeil.
“Ah, ma tendre soeur. Que ferais-je sans ton aide ? Et, face au silence exaspéré, il reprit d’un ton chantant, guilleret. Peu importe. Sors-moi de ce sépulcre académique, tout me porte à croire que Père cherche à me tuer.”
Dans un soupir dramatique, il s’effondra dans les bras de sa jumelle, l’écrasant en dépit de ses sonores protestations. Il ne lui fallut que quelques secondes d’étreinte forcée pour que la familiarité s’enroule autour de la colonne vertébrale d’Eirin et ses bras de ses épaules ; pourtant, si elle avait espéré se pelotonner contre son frère, il n’en fut rien.
“Tu as encore maigri, Eirin.”
Et n’était-ce pas ironique, qu’à son impromptu geste de clémence, l’accusation s’échauffât contre son derme. Sa lame s’engouffra entre les côtes et vint y quérir des lambeaux de coeur, la monstruosité d’un sourire glacial déchirant d’un même instant ses traits harmonieux.
“Balivernes. C’est toi qui te laisse aller, petit frère.” La protestation fleurissait sur ses lèvres impies mais Mme Fujiwara, si terrible était son appel, parvint à gracier Eirin des inutiles remontrances ; son arrivée dans leurs fastueux quartiers fut, égale à tout ce que Chihiro faisait, discrète mais glorieuse.
“Eirin. Les nouveaux tissus sont arrivés, il est temps que tu les essayes.” Si le sourire était doux, le ton n’était prêt à souffrir nul refus. Aussi Eirin s’extirpa-t-elle bien vite de l’étreinte protectrice de Ryuu, s’échouant entre les exigeants bras de sa matriarche. Un “bien, Mère” ricocha dans le silence, bien vite suivi par le fracas de leurs talons.
Elle n’accorda pas le moindre regard à son frère.
*
Eirin haïssait la quiétude - son ascendance tonnait comme l’ennui et s’incrustait dans ses chairs en paresseux soupirs, troublant son esprit trop avide de débandade. C’était une soif qu’elle n’était jamais parvenue à étancher, subissant sans relâche les affres de la langueur ; aussi se débattait-elle entre le vide grandissant de son sein et l’ardent désir de ne jamais, ô grand jamais créer de remous dans l’océan de sa scolarité. Eirin tenait à sa réputation comme on s’attachait à une faible créature, et l’avait façonné avec le soin d’un orfèvre. Il n’y avait pas le moindre accroc et chaque année avait été soigneusement cousue - que le meilleur, pour la meilleure.
Alors, pour ne pas en abîmer la structure, elle se laissait aller dans le privé. A savoir, dans les confins de sa propre chambre, réfugiée derrière pléthore de draps et de rideaux de satin pour s’abandonner aux vices ; et là, seulement là, Eirin s’écroulait. Du haut de ses quatorze ans, les côtes et omoplates assez saillantes pour tirer la satisfaction d’un sourire à Mme Fujiwara et le froncement inquiet des sourcils de Ryuu, elle désespérait de ressentir quelque chose.
Car elle n’en avait guère eu l’occasion, si ce n’était à quelques mètres de son cousin Nishimura. C’était la saveur profondément interdite qui l’attirait, les années à enfouir la moindre de ses fièvres au fond de sa poitrine qui faisaient éclore en elle cette insatiable passion.
Elle n’avait trouvé que la géhenne pour s’expier de ses peines.
Les premières entailles troublèrent, pendant quelques jours, la douceur homogène de son derme. Elle n’avait pu jouir que d’une poignée d’heures avant que la fatale attention de sa mère ne fît s’effondrer son audacieux royaume. Elle fut plus mesurée sur les suivantes, ne balafrant que les endroits les plus secrets - ne plongeant jamais la lame au-delà du superficiel. La douleur, frivole, faisait office de placebo à la liberté. Qu’ils m’enchaînent, songeait-elle alors, ils seraient impuissants face à mon trépas.
Elle nourrissait alors d’invraisemblables rêves, se fantasmant indispensable à la vie de son putride entourage. Cajolait sa mère pour en tirer de nouvelles flatteries, embrassait la tempe suspicieuse de son frère dans l’espoir d’en apaiser les tourments ; et, sous ses seins, juste au-dessus d’une cage thoracique inéluctablement vide, les piqûres de rappel la rendaient vivante.
Sa gorge la faisait souffrir. Un repas trop copieux, des bouchées trop piteuses, excusée aux latrines pour la fois de trop. L’index et le majeur plongés jusqu’à sa glotte, y taquinant d’infâmes réflexes pour espérer annihiler les néfastes effets de leur dîner ; elle cracha dans la cuvette jusqu’à ce que la bile brûlât le bout de sa langue et essuya le coin de sa bouche du revers d’une main tremblante. Placardant la fausseté d’un sourire sur ses lippes, elle se jugea prête.
Sho Fujiwara venait de mourir, et elle ne tirait de cette tragédie qu’un sentiment triomphal.
Kaori Tsukiyomi
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 17 ans
Rang : B4
Ryujin
Kaori Tsukiyomi
B o n j o u r très chère, où est-ce pour épouser cette dulcinée.
Puis Taeyeon quoi ; et ta plume quoi, snif, de toute beauté, j'ai hâte de lire la suite
Rebienvenue à toi petit Ange !! Au moins tu auras rejoins et les Tsukino et les Fujiwara et les Kashiwagi, sans compté le lien de parenté avec les Nishimura pour les Ueda, toussaaa, ouhlala.
Des papouilles
Puis Taeyeon quoi ; et ta plume quoi, snif, de toute beauté, j'ai hâte de lire la suite
Rebienvenue à toi petit Ange !! Au moins tu auras rejoins et les Tsukino et les Fujiwara et les Kashiwagi, sans compté le lien de parenté avec les Nishimura pour les Ueda, toussaaa, ouhlala.
Des papouilles
Yori Hayashi
CETTE BEAUTÉ
(aussi bien pour le perso + le chara design + irl + ta plume + ce code) (+ toi en général) (combo fatal)
(aussi bien pour le perso + le chara design + irl + ta plume + ce code) (+ toi en général) (combo fatal)
Kaien Tsukiyomi
Citation : No mind to think. No will to break. No voice to cry suffering.
Age : 17 ans.
Rang : -
Ryujin
Kaien Tsukiyomi
cet avatar & ce code, just wow uwu
Invité
Invité
Invité
mais c'est giga beau, à l'aide ça devrait être interdit des persos comme ça je fond moi après.
l'avatar est magnifique, le code aussi. tout. est. parfait. et ta plume wow, c'est juste hyper prenant et bien écrit. eirin, c'est clairement le genre de personnage que je trouve fascinant et que j'aime beaucoup.
je lirai la suite du coup
l'avatar est magnifique, le code aussi. tout. est. parfait. et ta plume wow, c'est juste hyper prenant et bien écrit. eirin, c'est clairement le genre de personnage que je trouve fascinant et que j'aime beaucoup.
je lirai la suite du coup
Takamori Fujiwara
Citation : tu seras une pièce sans valeur sur le plateau de ma vie
Age : trente-et-un ans
Rang : a0
Susanoo
Takamori Fujiwara
les fujiwara vaincront
eirin arrive au meilleur moment en plus c'est trop bien
je t'aime
eirin arrive au meilleur moment en plus c'est trop bien
je t'aime
Ieyasu Masamune
rien à battre que ne je ne sois même plus validée il fallait que dfjhsdq amen
j'ai littéralement et instinctivement gémi : le code est superbe (tu vas finir par me faire apprécier le rose et c'est un non catégorique, stop) et ta manière d'écrire c'est si fluide et si prenant bordel avec toki c'était mon cœur que tu avais arraché mais bien évidemment ne t'arrêtes pas sur cette lancée
et : fujiwara.
vilipendons le mariage, stp amène-moi au lit direct
j'ai littéralement et instinctivement gémi : le code est superbe (tu vas finir par me faire apprécier le rose et c'est un non catégorique, stop) et ta manière d'écrire c'est si fluide et si prenant bordel avec toki c'était mon cœur que tu avais arraché mais bien évidemment ne t'arrêtes pas sur cette lancée
et : fujiwara.
vilipendons le mariage, stp amène-moi au lit direct
Eirin Fujiwara
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18 ans
Rang : 76/100
Susanoo
Eirin Fujiwara
@kaori tu l'épouses quand tu veux je suis totalement chaude pr le 1er mariage lesbien des fujiwara (j'entends déjà taka rigoler en mode "mdr tas cru bitch")
merci lov & oui tu remarqueras que je fais vrm partie des #meilleurs prochaine étape les hayashi ;)
@yori & yet j'atteins pas ton niveau... un idéal perpétuel
@haiko <333 lov u bibi
@kyoko si eirin te fait fondre.... je pense que c symptomatique de qqch de grave,,,, mais merci hihi t'es soft mouack
@taka jspr que jme planterai pas lol
je t'aime +
@ieyasu .... je sais pas si tu réalises à quel point j'adore te voir être vulgaire JKND
ce message me remplit vrmt d'amour j'ai besoin de te hug de nouveau en fait ????? et MON DIEU sache que ma nouvelle mission dans la vie c'est de te faire aimer le rose
et j'y parviendrai.
alors là pas besoin de le dire 2 fois prépare-toi à être soulevée ma douce princesse ;)
merci lov & oui tu remarqueras que je fais vrm partie des #meilleurs prochaine étape les hayashi ;)
@yori & yet j'atteins pas ton niveau... un idéal perpétuel
@haiko <333 lov u bibi
@kyoko si eirin te fait fondre.... je pense que c symptomatique de qqch de grave,,,, mais merci hihi t'es soft mouack
@taka jspr que jme planterai pas lol
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@ieyasu .... je sais pas si tu réalises à quel point j'adore te voir être vulgaire JKND
ce message me remplit vrmt d'amour j'ai besoin de te hug de nouveau en fait ????? et MON DIEU sache que ma nouvelle mission dans la vie c'est de te faire aimer le rose
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alors là pas besoin de le dire 2 fois prépare-toi à être soulevée ma douce princesse ;)
L'Éventail
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
L'Éventail
Takamori Fujiwara
Citation : tu seras une pièce sans valeur sur le plateau de ma vie
Age : trente-et-un ans
Rang : a0
Susanoo
Takamori Fujiwara
Je me devais de te valider. Essentiellement parce qu'Eirin est une Fujiwara, mais aussi parce que cette fille est géniale. J'adore le personnage, sa relation avec son père qui attend énormément d'elle mais n'est que déçu de son comportement, sa mère qui l'a trop protégé et son jumeau qui m'a tout l'air d'être du même style qu'Eirin. C'est une véritable tragédie grecque en devenir la vie de cette enfant, piégée entre ses envies, son devoir et sa volonté d'être aimé par son père qui ne la voit que comme un bout de viande. De toute manière avec une famille comme les Fujiwara on ne peut pas être sain d'esprit, suffit de voir les éléments déjà présents. Mais trêve de bavardage, tu connais la chanson, je file te valider.
Toutes tes informations ont été recensées. Je t'invite quand même à vérifier qu'on n'ait pas fait d'erreur pour ton avatar ou les autres éléments.
Tu peux désormais créer ta fiche de liens en utilisant le modèle. Tenir à jour une chronologie de ton personnage, et des différents rps, est un bon moyen de ne pas te perdre et de faire connaître ton personnage aux autres membres. Ta carte du sorcier est obligatoire pour participer à certains évents, elle indique ton niveau et les différents sorts que tu maîtrises.
Enfin, n'hésite pas à nous rejoindre sur Discord si ce n'est pas déjà fait.
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