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1, 2, 3, 4 Event #2 : Un dîner pas si parfait
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Feat Merorin & les dépravés qui se donnent en spectacle
Event #2
L'heure du dîner.
Cette heure étrange. Cette heure où certains mangent le petit doigt en l'air tandis que d'autres s'empiffrent comme des gorets. Cette heure qui, malgré cette vision quelque peu horrifique de hyènes s'attaquant à la nourriture exposée, offre tout de même une pause qu'on ne peut refuser après une longue journée de travail. Cette heure à laquelle Merorin prend toujours soin d'être ponctuelle.
Toujours, ou presque.
Pas aujourd'hui en tout cas.
La faute à un niffleur s'étant échappé et qu'elle a dû chercher pendant de longues minutes avant de le retrouver et de pouvoir se rendre à la grande salle. Parce que oui, elle aussi peut ressentir la faim.
D'un pas assuré, un peu pressé, elle pénètre le lieu où se trouve le repas qui l'attend. Aux tables, voilà que ça se sert, que ça discute, que ça crie ; cris qu'elle fait taire d'un regard sévère.
L'heure du dîner.
Cette heure où Merorin s'assoit à sa table, se hâtant de voir une assiette pleine en face d'elle. Cette heure où elle va s'asseoir, bien droite sur sa chaise en regardant deux élèves se rouler la pelle du sièc...
Cette heure où elle se lève de sa chaise avant de n'avoir pu manger quoique ce soit.
Elle frappe du poing sur la table, un geste laissant derrière un léger écho, et se dirige vers les deux protagonistes de la scène du baiser. Le temps qu'elle arrive à eux, l'un a eu le temps de commettre une action qui, dans un futur très éloigné, lui aurait valu le surnom de Zizou.
Misère.
Elle accélère le pas, arrivant enfin à destination et tirant vers elle la victime du violent coup de tête, pour l'éloigner de son agresseur, qui était en fait le premier agressé par un baiser (enfin vous me suivez).
- La fête est terminée.
Un regard noir adressé aux deux gosses, et pas un seul mot pour s'enquérir de celui ayant succombé au coup de boule.
Il l'a cherché.
Tsugumi Tsugikuni
Citation : tsutsutsutsu
Age : trente
Rang : A2
Susanoo
Tsugumi Tsugikuni
un dîner pas si parfait
Quel fiasco, il n’y avait pas d’autre mot pour décrire la situation sous tes yeux. Un élève, Ange, était rentré et avait simplement embrasser un autre : Tetsuya. Tu n’avais tout bonnement pas réagi dans un premier temps, observant les yeux ronds ce qu’il se passait, avant de voir le brun s’agacer, s’énerver, et mettre un violent coup de boule à celui d’en face, fracassant certainement son nez au passage, prêt à en découdre un peu plus. Tu te lèves en sursaut, remarquant que Merorin elle aussi et qu’elle partait déjà en direction du problème, tu la suis de près, remarquant que le préfet des Tsuchigumo est déjà sur place pour éloigner les deux garçons, tu t’approches, attrapant Tetsuya et lançant un regard à Yori, lui faisant comprendre que tu prenais le garçon avec toi, c’était ton rôle après tout.
«Je peux savoir ce qu’il vous prend ?! »
Au fond, tu te doutais qu’il n’avait simplement pas aimé l’action idiote de l’autre garçon : mais il n’avait pas à lui rendre cela par un coup.
«Non, ne dites rien, quand bien même je me doute que vous n’étiez en aucun cas consentant à vous faire embrasser, ce n’est pas une raison pour frapper un autre élève ainsi, Miura. Pour cela, je retire huit points à votre maison. Alors maintenant calmez-vous au lieu de causer du tort aux autres par votre impulsivité. »
Doucement, tu poses tes mains sur les épaules du garçon, ton regard s’encre dans le sien, afin de lui faire comprendre qu’il n’a aucun intérêt à faire ou à dire quoique ce soit qui pourrait lui nuire.
«
Au fond, tu te doutais qu’il n’avait simplement pas aimé l’action idiote de l’autre garçon : mais il n’avait pas à lui rendre cela par un coup.
«
Doucement, tu poses tes mains sur les épaules du garçon, ton regard s’encre dans le sien, afin de lui faire comprendre qu’il n’a aucun intérêt à faire ou à dire quoique ce soit qui pourrait lui nuire.
Ange Ueda
Citation : risus abundat in ore stultorum -- à la bouche du sot, le rire abonde
Age : 17 (29/02)
Rang : 60/100 dsl
Amaterasu
Ange Ueda
kiss kiss fall in love
Tournure inattendue, l’arrogance l’a poussé à se sentir invincible - Ange bouffi d’orgueil qui mâchouille des lèvres indociles et Ange qui s’en mord les siennes un court instant plus tard. L’impact est rêche mais d’ores et déjà trempé d’hémoglobine, les os cèdent dans un craquement sinistre et la douleur, vive, envahit l’intégralité de son faciès. L’étourdi pousse une plainte vocale, couine sous la violence inhabituelle - immédiatement sa conscience fléchit, l’enfant détrôné titube et il se serait noyé dans son propre sang si le coupable ne l’avait pas rattrapé (quand bien même fût-ce pour aggraver ses plaies). Mains portées à son visage tuméfié, les larmes montent à ses yeux écarquillés d’horreur, voilés de semi-coma. Il exagère, mais peu lui chaut.
Les jurons volent et Ange défaille, Tetsuya ramassé à la petite cuiller par deux ou trois inconnus ; ils s’agrippent à Miura et laissent Ueda choire au sol, tant empêtrés dans leur désir de punir l’impulsif qu’ils en oublient la victime. Alors un rire s’extirpe d’entre ses lippes poisseuses de fluide carmin, l’allure horrifique et l’amygdale à mi-chemin entre la peur et l’engouement. Les psychotropes encore en guerre dans ses artères prennent le relai, arrachent au démon un rire aux éclats cinglants - cocktail d’adrénaline et de dopamine injecté directement dans l’encéphale, et la surprise en cerise sur son gâteau mortifère. Il m’a pété le nez ! qu’il scande à tue-tête, effaré. Il m’a pété le nez et personne essaye de le réparer. Coup dur. Et, finalement, dans un dernier hoquet étranglé, le visage imbibé de sang, Lucifer s’effondre.
Les jurons volent et Ange défaille, Tetsuya ramassé à la petite cuiller par deux ou trois inconnus ; ils s’agrippent à Miura et laissent Ueda choire au sol, tant empêtrés dans leur désir de punir l’impulsif qu’ils en oublient la victime. Alors un rire s’extirpe d’entre ses lippes poisseuses de fluide carmin, l’allure horrifique et l’amygdale à mi-chemin entre la peur et l’engouement. Les psychotropes encore en guerre dans ses artères prennent le relai, arrachent au démon un rire aux éclats cinglants - cocktail d’adrénaline et de dopamine injecté directement dans l’encéphale, et la surprise en cerise sur son gâteau mortifère. Il m’a pété le nez ! qu’il scande à tue-tête, effaré. Il m’a pété le nez et personne essaye de le réparer. Coup dur. Et, finalement, dans un dernier hoquet étranglé, le visage imbibé de sang, Lucifer s’effondre.
bravo la non-assistance à personne en danger hein
Takamori Fujiwara
Citation : tu seras une pièce sans valeur sur le plateau de ma vie
Age : trente-et-un ans
Rang : a0
Susanoo
Takamori Fujiwara
plongé dans la découverte de son assiette de tonkatsu, admirant la panure parfaite du porc et la cuisson exceptionnelle du riz, écoutant seulement d'une oreille ce qu'on lui racontait, il avait tout juste noté que deux élèves s'étaient embrassés fougueusement avant que l'un des deux ne décident d'enfoncer violemment son os frontal dans le nez de l'autre. l'acte aussi soudain qu'imprévisible, laisse takamori perplexe. observant son ami et merorin réprimander le fauteur de troubles, il en vient à se demander pourquoi un tel geste. peut-être que le premier avait mordu la lèvre ou la langue du second, et que ce dernier, par réflexe, avait frappé son amoureux ? drôle de réflexe tout de même.
délaissant son repas pour regarder plus attentivement la scène, il se rend compte que les deux amoureux sont tetsuya miura, élève correct mais peu doué dans le noble art du maniement du sabre, et ange ueda, bien plus enclin à faire le pitre qu'à s'entraîner. un couple bien étrange à ses yeux, improbable même. mais qui est-il pour juger les voix impénétrables de l'amour ?
et takamori reprend son repas.
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un dîner pas si parfait
Merde. Ange avait agit. Il ne l'avait pas vu venir cela, mais pas du tout. Cela avait provoqué un chaos total, ce qui ne lui laissait guère de choix pour agir. C'était maintenant ou jamais. Alors qu'il était assied à côté de Kagami, le vieil élève se leva et prononça d'une voix solennel cette phrase.
« Mes amis, je suis désolé, mais je viens de perdre un pari ... et mon honneur est en jeu. »
Tel un prince, il s'éloigna de la table et remonta l'allée vers la table des professeurs. Il avait déjà honte, mais Ange l'avait pris au piège et il n'avait désormais plus d’échappatoire. Il avait déjà la boule au ventre à l'idée de faire ce qu'il allait faire. Retirer son masque devant autant de gens ... ça le rendait malade d'avance. Il avait l'impression qu'un requiem jouait en fond sonore, mais c'était uniquement dans sa tête. Allez hop, il se dépêche de grimper les marches de l'estrade et ne perd pas de temps. Vite avant que quelqu'un ne l'arrête.
D'un geste tremblant mais rapide, il retire son masque tout en continuant de marcher, fixant sans hésitation le professeur que Ange lui avait cité. Il pouvait le faire. Il pouvait le faire. Le voici devant lui et, comme Ange lui avait demandé, il papillonne des yeux, le visage chauffée par ses rougeurs, probablement dû à la honte, et ni d'une ni de deux, sans un mot, et clairement pas comme un pro, voici qu'Aritsune embrasse le professeur de vol, Rajan, tout ça à cause d'un fichu pari.
Paix à son âme, il sait déjà qu'il se fera défoncer.
Il en a même déjà les yeux qui piquent à cause des larmes qu'il retient.
versus le reste du monde
Azrael Nakagawa
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 33 (7/07/64)
Rang : 92
Susanoo
Azrael Nakagawa
Un dîner pas si parfait
▬ ft. plein de monde
C'est devenu le bordel absolu
Le dîner pouvait autant être un moment de détente que d’agitation. Il suffisait de voir certains élèves se jeter sur la nourriture avec appétit, tel des affamés. Néanmoins, il était rare d’avoir autant de remus ménage que ce soir-là.
Jusqu’ici, tu discutais tranquillement avec Kuro. En tout cas, vous commenciez seulement votre conversation, à laquelle tu t’apprêtais à répondre, que déjà les ennuis avaient débutés. Un élève se jetant sur un autre dans un baiser passionné avait suffit à figer toute la salle. L’ivresse de la jeunesse ne t’étonnait pas particulièrement : tu avais été adolescent toi aussi et même si tu ne t’étais jamais donné en spectacle au milieu de la grande salle, tu en aurais été parfaitement capable, soyons honnête.
Le coup de boule envoyé en retour t’étonnait déjà plus. Outch.
Tu songes qu’il est temps pour toi d’agir, mais deux de tes collègues te prennent de cours. Bénis sois Merorin et Eiji. Tu restes donc à ta place, tout en gardant un œil sur les évènements. Le poing sur la table de ta collègue a renversé ton verre, d’ailleurs. Zut.
C’est un mouvement dans la pièce qui attire ton regard et tu remarques Aritsune Kobayashi qui se dirige vers ta table, retirant son masque dans son élan. Tu sais d’avances que c’est mauvais signe. Aritsune ne retire ô jamais son masque. C’est d’ailleurs la première fois que tu le vois sans et tu ressens une certaine satisfaction en plus de ton étonnement.
Tu aurais peut-être dû l’arrêter avant, sentant le danger approcher, que déjà le visage de l’adolescent se dirige vers celui de ton collègue.
N o n .
Honnêtement, tu ne le pensais vraiment pas capable d’aller jusqu’au bout. Et il y a tant de pensées qui s’emmêlent dans ton esprit en cet instant. Mais qu’arrive-t-il à tous ces élèves ? Sont-ils ensorcelés ? Cette génération est-elle cinglée ? Est-ce le printemps approchant qui échauffe tous les esprits ? Tu te sens choqué et en même temps tu as l’envie de rire. Rajan se faisant embrasser par un gosse. Vraiment, il y a de quoi être hilare. Tu as déjà envie de le charrier, de lui demander quelle sensation ça lui fait.
Alors tu laisses échapper un rire, pour de vrai. Nerveux, surement.
« Eh bien, on peut dire que ton succès s'étend jusqu’aux élèves, Rajan. »
Tu te lèves et tu contournes la table pour te retrouver à côté de ton élève. Tu places ta main dans son dos, à la fois dans une tape affectueuse et à la fois pour le faire bouger de sa place.
« Bien joué, Kobayashi, je pense qu’il s’en souviendra toute sa vie. Quant à vous, vous vous souviendrez surement des huit points que vous venez de faire perdre à Yatagarasu et de la retenue que vous allez avoir. »
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DÎNER PAS SI PARFAIT
There must be something in the water, 'cause everyday it's getting colder. And if only I could hold you, you'd keep my head from going under
Tu commences à te servir le curry devant toi, souriant à Kagami à ta droite, jetant un regard à Aritsune à côté d'elle. Tu es silencieux ce soir, un peu perdu dans tes pensées, glissant quelques regards à ton poignet droit sans même y penser. C'est bête, un peu, ce qu'un souvenir peut faire à un corps un peu trop capricieux.
Mais tu n'y penses pas, tu chasses tes pensées, commences à manger. Puis de l'agitation alors que tu étais perdu dans tes pensées et tu relèves la tête. Ange le nez en sang, et un Tsuchigumo que tu ne reconnais pas forcément. Ah, si, sa tête te dit quelque chose.
« Qu'est-ce que... »
Ange le nez en sang. Tu te redresses brusquement, sans te lever de ta chaise pour autant. Tu n'es pas sûr que le professeur qui les accompagne accepte ton arrivée brutale. Puis c'est Aritsune qui se lève, s'excuse de vous quitter et tu lui lances un regard mi-septique mi-surpris. Tu le suis du regard, à califourchon sur le banc, prêt à quitter ton assise pour aller soit vers Ange, soit vers Aritsune et tu jettes un regard à l'un puis à l'autre pendant un moment.
Jusqu'à.
Un bruit étranglé t'échappe quand Aritsune embrasse le professeur Tsukino. Aritsune embrasse le professeur Tsukino. Ton mentor, ton idole, ton professeur. Tu t'étouffes avec ta propre salive, tousses et restes les yeux écarquillés sous la surprise.
Aritsune vient d'embrasser le professeur Tsukino.
Et tu restes là, choqué, sans savoir quoi faire, ayant l'impression que cette soirée part dans tous les sens sans même que tu ne puisses y changer quoi que ce soit.
Mais tu n'y penses pas, tu chasses tes pensées, commences à manger. Puis de l'agitation alors que tu étais perdu dans tes pensées et tu relèves la tête. Ange le nez en sang, et un Tsuchigumo que tu ne reconnais pas forcément. Ah, si, sa tête te dit quelque chose.
« Qu'est-ce que... »
Ange le nez en sang. Tu te redresses brusquement, sans te lever de ta chaise pour autant. Tu n'es pas sûr que le professeur qui les accompagne accepte ton arrivée brutale. Puis c'est Aritsune qui se lève, s'excuse de vous quitter et tu lui lances un regard mi-septique mi-surpris. Tu le suis du regard, à califourchon sur le banc, prêt à quitter ton assise pour aller soit vers Ange, soit vers Aritsune et tu jettes un regard à l'un puis à l'autre pendant un moment.
Jusqu'à.
Un bruit étranglé t'échappe quand Aritsune embrasse le professeur Tsukino. Aritsune embrasse le professeur Tsukino. Ton mentor, ton idole, ton professeur. Tu t'étouffes avec ta propre salive, tousses et restes les yeux écarquillés sous la surprise.
Aritsune vient d'embrasser le professeur Tsukino.
Et tu restes là, choqué, sans savoir quoi faire, ayant l'impression que cette soirée part dans tous les sens sans même que tu ne puisses y changer quoi que ce soit.
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Tu mangeais tranquillement sans réellement te soucier de ce qui se passait autour de toi sauf que tu remarqua bien vite la professeur de soins aux créatures magiques ainsi que le professeur de potion se dirigeaient vers la table des Tsuchi...
Que diable peut-il se passer à cette table pourtant tranquille ?
Et là tu te retourne, ce que tu n'aurais clairement pas du faire... Un Kitsune plus jeune que toi le nez en sang qui gueule qu'on lui a pété le nez pour une raison qui te semble bien obscure.
Puis ton regard balaie la salle comme si tu cherchais autre chose à voir ce qui fut le cas... Si tu avais su tout cela, tu aurais été en salle commune plutôt que de prendre un repas pour garder ta joie au lieu de grimacer sur les événements bien plus étrange après...
Le mieux à faire dans ton cela, qu'est-ce que c'est déjà ?
Mais, oui tu es bête Maiko ! L'ignorance totale, rester sur son nuage de joie, finir son repas tranquillement et relire pour le centième fois cette phrase qui te faisait sourire et qui te faisait du bien au mental. Ignorer toutes ses personnes qui se donnent en spectacle juste pour un plaisir que tu ne comprend pas et que tu ne veux pas comprendre, cela pourrait te mettre en colère donc l’ignorance totale et mieux pour toi à ce moment précis.
Tant pis pour Aristune qui n'aura pas droit à cette bonne nouvelle que tu souhaitais lui dire, il s’attire des ennuies à aller embrasser le professeur de vol quand même surtout que le professeur de sortilèges est juste à côté, chapeau bas et cela te prouve que Hiroshi fait confiance à n’importe qui et que tu fais bien de ne pas donner ta confiance à tes camarades.
Franchement tu ne comprends pas certains de tes camarades, des bêtes de foires même en étant en Kitsune tu sais te tenir un peu enfin après tu te fiche de cela, ton repas va refroidir et tu as plus important en tête pour le moment, petite maiko.
Que diable peut-il se passer à cette table pourtant tranquille ?
Et là tu te retourne, ce que tu n'aurais clairement pas du faire... Un Kitsune plus jeune que toi le nez en sang qui gueule qu'on lui a pété le nez pour une raison qui te semble bien obscure.
Puis ton regard balaie la salle comme si tu cherchais autre chose à voir ce qui fut le cas... Si tu avais su tout cela, tu aurais été en salle commune plutôt que de prendre un repas pour garder ta joie au lieu de grimacer sur les événements bien plus étrange après...
Le mieux à faire dans ton cela, qu'est-ce que c'est déjà ?
Mais, oui tu es bête Maiko ! L'ignorance totale, rester sur son nuage de joie, finir son repas tranquillement et relire pour le centième fois cette phrase qui te faisait sourire et qui te faisait du bien au mental. Ignorer toutes ses personnes qui se donnent en spectacle juste pour un plaisir que tu ne comprend pas et que tu ne veux pas comprendre, cela pourrait te mettre en colère donc l’ignorance totale et mieux pour toi à ce moment précis.
Tant pis pour Aristune qui n'aura pas droit à cette bonne nouvelle que tu souhaitais lui dire, il s’attire des ennuies à aller embrasser le professeur de vol quand même surtout que le professeur de sortilèges est juste à côté, chapeau bas et cela te prouve que Hiroshi fait confiance à n’importe qui et que tu fais bien de ne pas donner ta confiance à tes camarades.
Franchement tu ne comprends pas certains de tes camarades, des bêtes de foires même en étant en Kitsune tu sais te tenir un peu enfin après tu te fiche de cela, ton repas va refroidir et tu as plus important en tête pour le moment, petite maiko.
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UN DÎNER PAS SI PARFAIT ⛛
ft. all (Event #2)
c'est fou comme les repas étaient source de conflit. ici, c'était le quotidien. qui a le drit de faire ou de ne pas faire ? qui est le réel maître incontesté de l'école ? quelle maison opprimera les autres par sa supériorité ? en gros, qui a la plus grosse. tu ne t'étais jamais adonné à ce genre de bêtises mais l'aspect colonie de vacances qui s'en dégageait alors te plaisait beaucoup. et encore aujourd'hui. car on peut te voir sourire, à la limite du fou-rire même. c'est un spectacle qui te divertit grandement et tu es curieux de savoir le pourquoi du bisou, le pourquoi de cette retournée acrobatique... le pourquoi de merorin ito.
c'était un sacré bout de femme, de caractère. et elle le démontrait, là encore. tu l'aurais bien applaudie ou sifflée, pas pour la draguer, pour la féliciter. c'était une belle action. elle qui est si tendre avec les bêtes... en aurait-elle perdue toute tendresse avec les humains ?
tu vois les élèves s'agiter, rigoler, s'affoler, être surpris. on dirait qu'ils ont libéré l'absolue entièreté de leur sentiments, sans filtre, sans valves, tout d'un coup. tout. et ça devient le défi du jour, qui embrassera qui. on aperçoit d'ailleurs kobayahsi qui... QUOI ?
et là. en voyant la tête de rajan tu ne peux t'empêcher. tu éclates de rire. tu jettes un œil à azrael, qui s'efforce d'être méchant et sévère et stricte. c'est du vent, il a une vraie tête de gentil. et il aime tous les enfants, surtout les siens. mais tous. à croire que s'il y avait conflit, il se rangerait du côté des gosses. enfin tu le penses. tu hésites à passer une annonce générale, mais tu n'es pas influant. alors tu cesses de rire, essuies les larmes qui coulent de tes yeux. tu aimerais leur dire. attention. tirez pas trop sur la corde, bande de mioches. alors tu le dis à voix basse pour toi-même. pour que peut-être azrael puisse le transmettre, avec un peu plus d'impact...
mais qui pourrait faire suffisamment peur pour qu'ils retiennent ? hidenori a-t-il cet impact effrayant sur les élèves ?
c'était un sacré bout de femme, de caractère. et elle le démontrait, là encore. tu l'aurais bien applaudie ou sifflée, pas pour la draguer, pour la féliciter. c'était une belle action. elle qui est si tendre avec les bêtes... en aurait-elle perdue toute tendresse avec les humains ?
ah ces gamins... et encore une fois, c'est ueda qui est derrière tout ça.
tu vois les élèves s'agiter, rigoler, s'affoler, être surpris. on dirait qu'ils ont libéré l'absolue entièreté de leur sentiments, sans filtre, sans valves, tout d'un coup. tout. et ça devient le défi du jour, qui embrassera qui. on aperçoit d'ailleurs kobayahsi qui... QUOI ?
et là. en voyant la tête de rajan tu ne peux t'empêcher. tu éclates de rire. tu jettes un œil à azrael, qui s'efforce d'être méchant et sévère et stricte. c'est du vent, il a une vraie tête de gentil. et il aime tous les enfants, surtout les siens. mais tous. à croire que s'il y avait conflit, il se rangerait du côté des gosses. enfin tu le penses. tu hésites à passer une annonce générale, mais tu n'es pas influant. alors tu cesses de rire, essuies les larmes qui coulent de tes yeux. tu aimerais leur dire. attention. tirez pas trop sur la corde, bande de mioches. alors tu le dis à voix basse pour toi-même. pour que peut-être azrael puisse le transmettre, avec un peu plus d'impact...
les prochains iront le voir, ça vous calmera.
mais qui pourrait faire suffisamment peur pour qu'ils retiennent ? hidenori a-t-il cet impact effrayant sur les élèves ?
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Les gens stylés arrivent en retard.
En vrai, t'es ni stylé ni vraiment en retard—juste un bigleux se trainant une léthargie post-sieste. La faim te manque, mais l'école t'oblige à poser ton cul sagement chaque repas. Au moins, ça te permet de voir du monde;
ou des choses que t'étais pas sur de vouloir croiser le regard.
Comme Aritsune embrassant le professeur de vol.
Sourcils haussés, impossible de se décoller de cette scène—la voilà imprimée dans tes rétines jusqu'à ton dernier souffle. Franchement, tu pensais que le professeur de sortilèges serait plus son style, mais qui es-tu pour remettre en cause les goûts et les couleurs des autres. Quoi qu'il en soi, tu remarques un de tes potes gisant à même le sol un plus loin. Personne dans la salle ne sait où regarder—à part le professeur Fujiwara qui connaît ses priorités.
Un gars est retenu par un autre gars et des professeurs.
Y a eu baston ou quoi.
Quelqu'un a péta la gueule d'Ange?
C h a u d
En sa direction, tu t'avances.
Un constat des dégâts—le nez ensanglanté, look how they massacred my boy, le mec vous a quitté pour une autre stratosphère—tu t'accroupis « Ange, t'as vraiment une sale gueule de merde là. » Les sillons rouges ne lui siéent pas trop au teint. Tes doigts viennent rencontrer sa joue en quelques claques gentilles, pas de réponse.
Oh.
Mon.
Dieu.
D'un air blasé, tu relèves ta tête vers l'amas de personnes occupés à retenir un autre gars en posant le bras sur ton genou. « Professeurs, j'crois qu'Ange est mort. »
Paix à son âme.
En vrai, t'es ni stylé ni vraiment en retard—juste un bigleux se trainant une léthargie post-sieste. La faim te manque, mais l'école t'oblige à poser ton cul sagement chaque repas. Au moins, ça te permet de voir du monde;
ou des choses que t'étais pas sur de vouloir croiser le regard.
Comme Aritsune embrassant le professeur de vol.
Sourcils haussés, impossible de se décoller de cette scène—la voilà imprimée dans tes rétines jusqu'à ton dernier souffle. Franchement, tu pensais que le professeur de sortilèges serait plus son style, mais qui es-tu pour remettre en cause les goûts et les couleurs des autres. Quoi qu'il en soi, tu remarques un de tes potes gisant à même le sol un plus loin. Personne dans la salle ne sait où regarder—à part le professeur Fujiwara qui connaît ses priorités.
Un gars est retenu par un autre gars et des professeurs.
Y a eu baston ou quoi.
Quelqu'un a péta la gueule d'Ange?
C h a u d
En sa direction, tu t'avances.
Un constat des dégâts—le nez ensanglanté, look how they massacred my boy, le mec vous a quitté pour une autre stratosphère—tu t'accroupis « Ange, t'as vraiment une sale gueule de merde là. » Les sillons rouges ne lui siéent pas trop au teint. Tes doigts viennent rencontrer sa joue en quelques claques gentilles, pas de réponse.
Oh.
Mon.
Dieu.
D'un air blasé, tu relèves ta tête vers l'amas de personnes occupés à retenir un autre gars en posant le bras sur ton genou. « Professeurs, j'crois qu'Ange est mort. »
Paix à son âme.
Tsugumi Tsugikuni
Citation : tsutsutsutsu
Age : trente
Rang : A2
Susanoo
Tsugumi Tsugikuni
un dîner pas si parfait
Finalement le mot « fiasco » te paraissait peut-être un peu trop doux. Comment d’un baiser cela pouvait tourner autant au vinaigre, sincèrement tu ne comprenais pas comment tout avait pu déraper aussi vite. Quelques secondes, à l’entente d’une voix dans ton dos, tu te retournes afin d’observer l’ampleur de la situation : celui qui auparavant avait déposer ses lèvres sur celle de l’autre était au sol, le nez tordu et ensanglanté, un piètre tableau. Un soupir, voilà tout ce qui s’échappe de ta gorge alors que tu lèves les yeux au ciel, fatigué, épuisé, tu ne sais pas quel mot te convient le mieux dans l’immédiat.
D’autant plus que personne ne semble se bouger pour aider celui qui pissait le sang.
Personne.
Sauf quelques élèves, dont Masashige qui avait parlé, il n’avait pas tort, Ange semblait mal en point. En même temps, il venait de se prendre un sacré coup de boule dans le nez, ça ne fait jamais beaucoup de bien, au contraire. Un second soupir, ta voix s’élève, sèche.
«Il n’y a donc aucun médecin dans cette salle pour prendre en charge un élève blessé ? »
Ton regard se porte sur la table des adultes, espérant que l’un des deux infirmiers quitte son repas afin d’accomplir son devoir. Oh, Takamori n’avait pas oublié ses priorités, c’est bien la seule chose qui te ferait rire actuellement.
D’autant plus que personne ne semble se bouger pour aider celui qui pissait le sang.
Personne.
Sauf quelques élèves, dont Masashige qui avait parlé, il n’avait pas tort, Ange semblait mal en point. En même temps, il venait de se prendre un sacré coup de boule dans le nez, ça ne fait jamais beaucoup de bien, au contraire. Un second soupir, ta voix s’élève, sèche.
«
Ton regard se porte sur la table des adultes, espérant que l’un des deux infirmiers quitte son repas afin d’accomplir son devoir. Oh, Takamori n’avait pas oublié ses priorités, c’est bien la seule chose qui te ferait rire actuellement.
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UN DÎNER PAS SI PARFAIT ⛛
ft. all (Event #2)
on s'en occupe...
tu avais quitté la table, presque sauvagement, sautant par dessus cette dernière. tu avais sorti ta baguette, et avais presque hurlé aux autres élèves de s'éloigner de ueda. il ne semblait pas avoir d'autres blessures que celles à la tête. son nez coulait abondamment. on ferait les examens préliminaires après. ce n'était pas dans l'ordre des choses, mais bon.
la vue du sang te calma, presque instantanément, te raidissant. te paralysant. tu n'avais pas peur. c'était du dégoût. comme du mépris. pas pour ueda. non non ça tu avais appris à faire avec, on va dire. c'était plus le manque d'élégance qu'il manifestait. c'était répugnant. te salirais-tu pour le soigner ? il ne s'agissait pas de le sauver, loin de là il n'était pas non plus sur son lit de mort. mais c'était... si repoussant. tu luttais avec toi-même, tentant de garder ta main sous contrôle. tu n'avais pas fumé depuis un moment maintenant et le sang n'arrangeait en rien ton état de stress. il faut dire que tu stressais très facilement. c'était d'ailleurs pour ça que tu fumais beaucoup, pour te déstresser.
à genou auprès de ueda, tu t"inquiétais quand même pour lui. vous vous connaissiez bien.
oh ueda. oh ! ça va au moins ? bon tu bouges pas hein... tu connais, la routine.
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EPISKEY
tu lanças ce sort de soin mineur, principalement pour arrêter l'écoulement du sang. c'était trop dégoûtant. on vit alors le sang disparaître, petit à petit, comme s'il s'évaporait, ou qu'il remontait à sa source. comme si on faisait une sorte de retour en arrière de la gueule de ueda. comme si en fait, rien n'était arrivé. une micro-seconde, tu aurais espéré pouvoir contrôler de la magie de temps, pour voir ce genre d'événements se produire plus souvent.
tu jetas un œil en arrière, vers usui, ton collègue. ton binôme. celui avec qui, pour une fois, tu avais accepté de partager ton lieu de travail. toi qui ne l'avait jamais accepté auparavant. vous cohabitiez. c'était presque comme si, au final, chacun troublait la solitude de l'autre.
te te concentras un instant sur l'élève, assis. le visage revenu à la normal. certains élèves étaient surpris, d'autres contents. pour quelques jeunes, c'était presque terrifiant. tu rangea ta baguette, remis ueda debout et le fit s'asseoir, à a sa table.
fais plus de vague maintenant. tu restes assis, bien sagement, ok ?
sur ces mots, tu tournas les talons et te dirigea vers ta propre place, à la table des adultes. tu te remis devant ton assiette. un peu honteux, de t'être donné en spectacle. d"habitude tu faisais ça à huit-clos, dans l'intimité. quand il n'y avait que ton patient et toi. pas devant des centaines d'élèves... ni même devant tes comparses. la tête basse, tu bus une gorgée de ce qui ressemblait à du vin. c'était vraiment pas bon.
Rajan Tsukino
Citation : En politique, il n’y a pas de traîtres, il n’y a que des perdants.
Age : 37 ans
Rang : S0
Seimei
Rajan Tsukino
event / 2
Intenable. C’était un désastre des plus absolu pour ne pas dire que c’était le chaos. Comme beaucoup, tu pensais pouvoir profiter de ton dîner en toute tranquillité, mais évidemment, voilà qu’un duo commence une scène de ménage avant de la terminé dans une effusion de sang de la part de l’un deux. T’as l’impression de vous revoir pendants vos années passées à Mahoutokoro, cependant, là où tu avais tort c’était de croire que l’intervention de Merorin (que tu salues par ailleurs, tu trouves cette femme épatante) suffirait. Au contraire, ça n’a fait qu’enchainer puisque voilà qu’un élève que tu reconnaitrais parmi tant d’autre se permet de te voler un baiser. Ce qui a le don de te faire halluciner.
Si Azrael prend les devants (et tu sens son petit rictus dans sa voix, ah, ça allait te poursuivre cette histoire tu le sentais par avance), tu te permet d’y ajouter ta propre correction.
« Dix points, Monsieur Kobayashi. Vous venez de faire perdre non huit, mais bien dix points à votre maison. Ça c’était le premier point. Et puisque votre masque ne semble pas retenir vos élans d’affections, je vous le confisque et évidemment, vous me ferez le plaisir de venir aider l’équipe de quidditch à nettoyer les équipements d'entraînement et ce, tous les soirs pendant deux semaines à partir de demain. »
Punition donnée, tu te lèves de ton siège. Puisque qu’il fallait devenir désagréable pour obtenir la paix (et seigneur, tu la désirais ce soir) tu allais jouer avec plaisir les professeurs tyranniques.
« Si dans les 30 prochaines secondes j’en vois encore un debout. Je retire 10 points à sa maison, sans aucune distinction victime ou non. A vos places, maintenant. »
Tu reprends place sur ton siège tranquillement et attendant qu'ils se dépêchent, parce que tu le ferais sans hésiter.
Si Azrael prend les devants (et tu sens son petit rictus dans sa voix, ah, ça allait te poursuivre cette histoire tu le sentais par avance), tu te permet d’y ajouter ta propre correction.
« Dix points, Monsieur Kobayashi. Vous venez de faire perdre non huit, mais bien dix points à votre maison. Ça c’était le premier point. Et puisque votre masque ne semble pas retenir vos élans d’affections, je vous le confisque et évidemment, vous me ferez le plaisir de venir aider l’équipe de quidditch à nettoyer les équipements d'entraînement et ce, tous les soirs pendant deux semaines à partir de demain. »
Punition donnée, tu te lèves de ton siège. Puisque qu’il fallait devenir désagréable pour obtenir la paix (et seigneur, tu la désirais ce soir) tu allais jouer avec plaisir les professeurs tyranniques.
« Si dans les 30 prochaines secondes j’en vois encore un debout. Je retire 10 points à sa maison, sans aucune distinction victime ou non. A vos places, maintenant. »
Tu reprends place sur ton siège tranquillement et attendant qu'ils se dépêchent, parce que tu le ferais sans hésiter.
Fuyuki Awataguchi
Citation : Tout bois est gris quand il est réduit en cendres.
Age : 27 ans
Rang : A2
Susanoo
Fuyuki Awataguchi
T’en avais déjà marre. T’en avais déjà plus que ras-le-cul de ces abrutis en puissance qui t’enroueraient et franchement, t’en étais à un stade ou t’en avais à foutre de risquer un renvoi. Tu ne sais pas pourquoi, ça a réveillé en toi un paquet de truc ; ça te répugne, ça te répugne de tout ton être et tu le rejettes.
C’est drôle qu’il porte le nom d’ange quand l’on sait ce qu’il advient d’Icare. Heureusement pour lui, tu n’étais pas le soleil ; malheureusement pour lui, tu n’allais pas lui brûler les ailes, mais les cramer.
Il pouvait remercier Yori, tout comme bien des élèves et tes professeurs qui t’arrête dans ta soudaine frénésie. Tu le relâches, tremblant, t’as les nerfs à cran et le voir couvert de sang ne change rien ; ça ne t’as ni soulagé, ni troublé. ET d’un geste brusque tu te dégages de l’emprise de ton préfet.
« C’est bon. »
Et maintenant, c’était le professeur Takagi qui s’y mettait et annonçait ta sentence : huit points de perdu pour ta maison. Est-ce que ça en valait le coup ? Carrément et s’il fallait recommencer, tu le ferais, mais maintenant, tu allais te tenir à carreau (enfin pour le moment). T’es loin d’être bête Tetsuya, parce que tu sais déjà que maintenant, tu as de quoi faire sa vie un véritable enfer et Ange allait rencontrer Lucifer.
« Désolé, ça m’a échappé. Menteur, ça te démange de lui en coller une autre, ta main te brûle et te répète de le cogner, alors tu serres les poings ; tu contiens et le garde pour toi. Si vous le permettez. »
Tu fais une courbette digne d’un bon élève que tu n’es plus et attrape Yori par le bras pour retourner à votre table et tu fais bien, vu la menace que le professeur Tsukino venait de prononcer (tu avais rapidement constaté du coin de l’œil que ça avait dérapé aussi plus loin, mais t’étais trop consterné par ta propre situation). T’avais pas envie d’essuyer la perte de dix à vingt points de plus.
« Je me rattraperais pour les huit points, désolé Yori, mais je ne les regrette pas. Il l’avait mérité. » Un murmure à demi-mot, presque un aveu.
Invité
Invité
Invité
Feat Merorin & les dépravés qui se donnent en spectacle
Event #2
Des baisers volés, des coups de boule d'une précision alarmante ; qu'on tourne la tête un instant et voilà qu'un élève embrasse un professeur, qu'on la tourne une fois encore et voilà qu'on nous dit qu'un élève est "mort".
Parfait. Tout va bien.
Merorin soupire. A ses pieds, la carcasse de l'élève évanouit trône tandis qu'elle reste sans voix devant la scène qui se passe devant ses yeux. Rajan s'est fait embrassé par un élève qu'elle n'aurait jamais cru faire une bêtise pareille. Peut-être surestime-t-elle tout simplement les élèves ? Elle penserait qu'ils auraient la jugeotte de faire profil bas, mais non. Et que ça part sur un second round de baisers, et que ça embrasse les profs. Aucune limite à la bêtise décidément.
Elle porte sa main à sa tempe, refrénant l'expression d'exaspération qui veut se dessiner sur son visage. Le professeur Takagi s'est chargé de faire appel aux infirmiers et Okumura a daigné s'atteler à remettre sur pieds la belle au bois dormant à qui il a conseillé de ne plus faire de vague. Malheureusement, le mal est fait et la sanction doit bien arriver. Elle revient vers l'ancien blessé.
- Si vous pensez échapper à votre punition car vous vous êtes pris un coup de tête, vous rêvez. Moins huit points pour les Kitsune, lance-t-elle sans ciller.
Les points sont retirés à une vitesse éclaire, et de son côté Rajan ne fait plus dans la demi-mesure menaçant quiconque encore debout d'une perte de points.
Il est rare qu'elle le voit aussi autoritaire. Impressionnant.
Elle se redirige vers sa place, rejoignant les autres adultes et faisant un signe de tête à Kuro pour le remercier de son intervention. Avant de s'asseoir et -d'enfin- peut-être manger, elle ajoute bien haut :
- Et j'ajoute que si, pendant le repas, vos lèvres effleurent autre chose que la nourriture qui vous est présentée, je me ferai une joie d'également vous donner des seaux entiers de veracrasses à embrasser.
S'ils ne peuvent garder leur lèvres pour eux, qu'ils aillent embrasser des pauvres petites bêtes mal-aimées de tous.
Parfait. Tout va bien.
Merorin soupire. A ses pieds, la carcasse de l'élève évanouit trône tandis qu'elle reste sans voix devant la scène qui se passe devant ses yeux. Rajan s'est fait embrassé par un élève qu'elle n'aurait jamais cru faire une bêtise pareille. Peut-être surestime-t-elle tout simplement les élèves ? Elle penserait qu'ils auraient la jugeotte de faire profil bas, mais non. Et que ça part sur un second round de baisers, et que ça embrasse les profs. Aucune limite à la bêtise décidément.
Elle porte sa main à sa tempe, refrénant l'expression d'exaspération qui veut se dessiner sur son visage. Le professeur Takagi s'est chargé de faire appel aux infirmiers et Okumura a daigné s'atteler à remettre sur pieds la belle au bois dormant à qui il a conseillé de ne plus faire de vague. Malheureusement, le mal est fait et la sanction doit bien arriver. Elle revient vers l'ancien blessé.
- Si vous pensez échapper à votre punition car vous vous êtes pris un coup de tête, vous rêvez. Moins huit points pour les Kitsune, lance-t-elle sans ciller.
Les points sont retirés à une vitesse éclaire, et de son côté Rajan ne fait plus dans la demi-mesure menaçant quiconque encore debout d'une perte de points.
Il est rare qu'elle le voit aussi autoritaire. Impressionnant.
Elle se redirige vers sa place, rejoignant les autres adultes et faisant un signe de tête à Kuro pour le remercier de son intervention. Avant de s'asseoir et -d'enfin- peut-être manger, elle ajoute bien haut :
- Et j'ajoute que si, pendant le repas, vos lèvres effleurent autre chose que la nourriture qui vous est présentée, je me ferai une joie d'également vous donner des seaux entiers de veracrasses à embrasser.
S'ils ne peuvent garder leur lèvres pour eux, qu'ils aillent embrasser des pauvres petites bêtes mal-aimées de tous.
Hidenori Kurosawa
Citation : Il est bon d'être de retour à la maison.
Age : 39 ans
Rang : Inconnu
Orochi
Hidenori Kurosawa
Mais ce soir-là, lorsqu'il fit, comme à son habitude, une entrée remarquée en ouvrant les lourdes portes de la grande salle, le spectacle qui se dessina sous ses yeux le surpris. Il le fut tellement qu'il haussa un sourcil mi choqué, mi amusé, mais surtout troublé. Un groupe d'élèves au milieu du passage, l'un avec le nez abîmé et l'air passablement sonné, et des professeurs visiblement agacés retirant des points à tout va. Il aurait pu se mêler à l'histoire, démêler le vrai du faux, mais il demanderait plutôt aux enseignants ce qu'il en était. Contournant la scène, il traversa la pièce d'un pas rapide pour rejoindre sa place au milieu du corps enseignant, entre les professeurs Otsuka et Fujiwara.
Il ne s'assit pas. Debout, devant sa chaise, plus proche du fauteuil avec son haut dossier et ses accoudoirs, il dominait la salle de son regard froid. Un sourire se dessina sur son visage, et d'une voix puissante qui semblait résonner dans toute l'école il dit : « Je vous serez gré d'appliquer au plus vite les consignes des professeurs Tsukino et Ito », il s'interrompit un instant, observant les derniers élèves presque courir vers leur place, « Maintenant que le calme est revenu, j'ai plusieurs annonces à faire concernant l'annulation des vacances du mois dernier ». A nouveau une pause, quelques secondes pour ménager un certain suspens ajouter de la théâtralité à la scène, « Il est l'heure de vous donner les explications que je vous ai promis sur la situation du pays (son plan est en marche) ».
hrp : la suite du discours arrivera demain, vous pouvez bien sûr répondre en attendant.
Invité
Invité
Invité
un dîner pas si parfait
Les points, c'était ok. Il comprenait à 100%. Le masque, il comprenait moins. Alors ok, dans trente secondes Rajan ne le voyait plus assied. Les yeux en larmes, Aritsune se barre. De l'estrade, oui, mais aussi de la grande salle. Il se casse dans les toilettes, messieurs dames, déjà pour pleurer un peu, honteux, mais aussi pour autre chose.
Il ne sait pas combien de temps cela prend, mais en fait c'est assez rapide. C'est parce qu'il a utilisé le sort tempus stoppus inrpus, qui signifie que le temps n'a pas d'importance inRP. (hein)
Le voilà donc de retour dans la grande salle, retournant à sa place pile pour entendre qu'il était questions des vacances annulées. Il était prêt à écouté. Oui, il était ouï, malgré le papier toilette qui était enroulé autour de son visage et dans lequel il avait fait deux trous pour les yeux et une fente pour manger.
C'est pas un masque si ça vient des chiottes.
versus le reste du monde
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