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1, 2, 3, 4 Event #2 : Un dîner pas si parfait
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DÎNER PAS SI PARFAIT
There must be something in the water, 'cause everyday it's getting colder. And if only I could hold you, you'd keep my head from going under
Toujours à califourchon sur le banc, tu observes le professeur Tsukino retirer des points à Aritsune et lui confisquer son masque. Te rendant compte de ce que cela signifie pour Aritsune, tu te lèves, prêt à le rejoindre alors qu'il s'échappe de la salle, mais l'ordre du professeur Tsukino t'arrête en plein mouvement.
Tu regardes Aritsune dépasser les portes et tu ouvres la bouche, la refermes avant de te rasseoir, pas très sûr du comportement à adopter. Ce n'est qu'avec l'arrivée du directeur que tu glisses tes yeux vers lui, abandonnant définitivement ton si bon curry.
Aritsune s'installe de nouveau à vos côtés quelques instants plus tard et tu te penches en arrière, étires ton bras pour toucher son épaule, frôlant un peu Kagami par la même occasion. Un chuchotement passe la barrière de tes lèvres, attirant le moins possible l'attention des autres tables sur vous :
« Hé, Ari, ça va... ? »
Tu as un peu en travers de la gorge les dix points perdus pour la maison, mais tant pis, c'est plus son état qui t'inquiète désormais. Aritsune n'avait enlevé son masque qu'une seule fois avec toi, alors tu imagines bien le combat que c'est pour lui d'être ici sans lui.
Tu regardes Aritsune dépasser les portes et tu ouvres la bouche, la refermes avant de te rasseoir, pas très sûr du comportement à adopter. Ce n'est qu'avec l'arrivée du directeur que tu glisses tes yeux vers lui, abandonnant définitivement ton si bon curry.
Aritsune s'installe de nouveau à vos côtés quelques instants plus tard et tu te penches en arrière, étires ton bras pour toucher son épaule, frôlant un peu Kagami par la même occasion. Un chuchotement passe la barrière de tes lèvres, attirant le moins possible l'attention des autres tables sur vous :
« Hé, Ari, ça va... ? »
Tu as un peu en travers de la gorge les dix points perdus pour la maison, mais tant pis, c'est plus son état qui t'inquiète désormais. Aritsune n'avait enlevé son masque qu'une seule fois avec toi, alors tu imagines bien le combat que c'est pour lui d'être ici sans lui.
Tsugumi Tsugikuni
Citation : tsutsutsutsu
Age : trente
Rang : A2
Susanoo
Tsugumi Tsugikuni
un dîner pas si parfait
Les choses se tassent, se calment par les paroles d’un de tes collègues, Rajan. Intérieurement, tu le remercies du fond du cœur de son intervention – malgré les raisons qu’ils l’ont poussé à le faire – car tous retournaient à leurs places. Rapidement, Tetsuya s’éclipse et tu ne dis rien de plus, l’observant retourner à sa place en compagnie de son aîné.
Un nouveau soupir, ce dîner était terriblement épuisant et tu retournais rapidement à ta place, écoutant les mots d’Hidenori avant de laisser ta tête basculer en arrière.
«Intenables ces gosses. »
Ton regard se porte sur ton ami, Takamori, tu voudrais rire car il n’a aucunement abandonné son repas pour participer au foutoir qu’ils avaient – c’est le cas de le dire – foutu. Finalement, tu lâches un ricanement amusé, Takamori par sa nonchalance actuelle calme tes nerfs, qui s’étaient terriblement tendus avec ce problème.
«C’est bon au moins ? »
Un sourire teinte tes traits alors que tu commences enfin à manger un peu. Rapidement, tu remercies Rajan d’un signe de tête pour avoir « calmer » les élèves. Avant de porter une nouvelle fois ton attention sur Takamori.
«On parlait de quoi déjà ? »
Un nouveau soupir, ce dîner était terriblement épuisant et tu retournais rapidement à ta place, écoutant les mots d’Hidenori avant de laisser ta tête basculer en arrière.
«
Ton regard se porte sur ton ami, Takamori, tu voudrais rire car il n’a aucunement abandonné son repas pour participer au foutoir qu’ils avaient – c’est le cas de le dire – foutu. Finalement, tu lâches un ricanement amusé, Takamori par sa nonchalance actuelle calme tes nerfs, qui s’étaient terriblement tendus avec ce problème.
«
Un sourire teinte tes traits alors que tu commences enfin à manger un peu. Rapidement, tu remercies Rajan d’un signe de tête pour avoir « calmer » les élèves. Avant de porter une nouvelle fois ton attention sur Takamori.
«
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Tu le savais que toute cette agitation allait finir comme cela et la perte de points tomba comme une évidence pour tous et les voix des professeurs non content de tous cela ajoute une petite menace.
Sauf que ton regard et tes oreilles se sont vite tourné vers cette homme avec son entré qui évita la scène médiocre d'un pas élégant et d'un regard qu'on ne pouvait pas lire.
Tu le suivais du regard, dans l'attente de ses paroles et reprenant ton parchemin entre les mains avec la tonne de questions qui fussent dans ta petite tête de Kondo.
Les paroles furent clair et précis mais, surtout clair de sens; toi comme tes camarades allaient enfin savoir pourquoi les vacances avaient été annulé sauf que c'était quelque chose d'assez grand pour parler du pays...
Pourtant Hiroshi ne t'a rien dit sur un quelconque problèmes ni Daiki, pourquoi ils te cacheraient quelque chose ?
Ils sont pourtant très ouvert envers toi jeune maiko ou bien c'est plus grave donc c'est pour cela que Hiroshi rentre, inquiet pour toi plus qu'il ne le dit dans son parchemin...
Tout cela commence petit à petit à te couper l'appétit et des questions vont des va et vient dans ta tête brune.
Sauf que ce n'est pas le moment de s'enfoncer dans de telle questionnement pour se mettre un peu plus la pression que cette dixième te donne.
Tu regarde la table des Kitsune avec celui qui est encore un peu dans les nuages pas les mêmes que tu avais au début quand tu es rentré dans cette salle, tu décide bien malgré ta peur de l'autre de glisser vers lui et le secouer un peu.
- Tu devrais manger un peu, cela te ferrait du bien ?
Non pas que tu es compatissante avec lui, le coup il l'a clairement mérité sauf que tu devais bien l'aider un peu, tu ne peux pas vraiment le laisser tout seul dans son état un peu léthargique.
Sauf que ton regard et tes oreilles se sont vite tourné vers cette homme avec son entré qui évita la scène médiocre d'un pas élégant et d'un regard qu'on ne pouvait pas lire.
Tu le suivais du regard, dans l'attente de ses paroles et reprenant ton parchemin entre les mains avec la tonne de questions qui fussent dans ta petite tête de Kondo.
Les paroles furent clair et précis mais, surtout clair de sens; toi comme tes camarades allaient enfin savoir pourquoi les vacances avaient été annulé sauf que c'était quelque chose d'assez grand pour parler du pays...
Pourtant Hiroshi ne t'a rien dit sur un quelconque problèmes ni Daiki, pourquoi ils te cacheraient quelque chose ?
Ils sont pourtant très ouvert envers toi jeune maiko ou bien c'est plus grave donc c'est pour cela que Hiroshi rentre, inquiet pour toi plus qu'il ne le dit dans son parchemin...
Tout cela commence petit à petit à te couper l'appétit et des questions vont des va et vient dans ta tête brune.
Sauf que ce n'est pas le moment de s'enfoncer dans de telle questionnement pour se mettre un peu plus la pression que cette dixième te donne.
Tu regarde la table des Kitsune avec celui qui est encore un peu dans les nuages pas les mêmes que tu avais au début quand tu es rentré dans cette salle, tu décide bien malgré ta peur de l'autre de glisser vers lui et le secouer un peu.
- Tu devrais manger un peu, cela te ferrait du bien ?
Non pas que tu es compatissante avec lui, le coup il l'a clairement mérité sauf que tu devais bien l'aider un peu, tu ne peux pas vraiment le laisser tout seul dans son état un peu léthargique.
Sora Nishimura
Citation : don't ever try to judge me dude
Age : 19 ans depuis le 7 aôût
Rang : 74/100
Orochi
Sora Nishimura
everything that kills me makes me feel alive
Musique — if you look into the distance, there's a house upon the hill guiding like a lighthouse to a place where you'll be safe to feel at grace 'cause we've all made mistakes, if you've lost your way, i will leave the light on - leave a light on // tom walker
Il était en retard, ce qui n'était pas son genre, mais il l'était. Il avait fait sa part, avait remonté les bretelles de ceux qu'il voyait encore traîner dans les couloirs, leur ordonnant presque de se diriger vers la grande salle. Sora ne savait pas vraiment pourquoi, mais il sentait qu'aujourd'hui il allait en baver, plus que d'habitudes. Et s'il ne devait pas être un préfet exemplaire, il aurait tourné les talons pour retourner dans sa chambre, sauter le repas qui ne lui faisait tout bonnement pas envie ce soir. Quelque chose pourtant au fond de lui, le faisait continuer. Une main sur la nuque, rangeant ses affaires dans son sac à bandoulière, le jeune homme regarde les alentours avant de pénétrer en silence dans la grande salle ; les gens qu'il avait rencontré tantôt étaient installé, il était encore le seul réellement debout chez les élèves... Quand un préfet est en retard, quel beau manque de discipline. Un soupir est lâché, une main dans ses cheveux ébènes qu'il ébouriffe lui ôte toute once de pensée négative. Ne plus penser à rien, juste s'assoir et subir en silence. C'est à côté de Yue qu'il s'installe, posant sa main sur son épaule pour pouvoir mieux s'installer sur le banc ((et pour le forcer au calme)). Sa jambe flottante refaisait des siennes ; mais il était persuadé Sora que ce n'était que d'ordre psychologique. Pas de quoi fouetter un chat. S'accoudant à la table, le jeune homme fait un signe de tête à Suzu, salut rapidement Hajime... Et son regard se pose sans crier gare sur Kagami... Mais aussitôt il détourne les yeux. Il le sentait Sora, ce repas allait être interminable. Il n'avait qu'une envie, se lever et partir.
Il était en retard, ce qui n'était pas son genre, mais il l'était. Il avait fait sa part, avait remonté les bretelles de ceux qu'il voyait encore traîner dans les couloirs, leur ordonnant presque de se diriger vers la grande salle. Sora ne savait pas vraiment pourquoi, mais il sentait qu'aujourd'hui il allait en baver, plus que d'habitudes. Et s'il ne devait pas être un préfet exemplaire, il aurait tourné les talons pour retourner dans sa chambre, sauter le repas qui ne lui faisait tout bonnement pas envie ce soir. Quelque chose pourtant au fond de lui, le faisait continuer. Une main sur la nuque, rangeant ses affaires dans son sac à bandoulière, le jeune homme regarde les alentours avant de pénétrer en silence dans la grande salle ; les gens qu'il avait rencontré tantôt étaient installé, il était encore le seul réellement debout chez les élèves... Quand un préfet est en retard, quel beau manque de discipline. Un soupir est lâché, une main dans ses cheveux ébènes qu'il ébouriffe lui ôte toute once de pensée négative. Ne plus penser à rien, juste s'assoir et subir en silence. C'est à côté de Yue qu'il s'installe, posant sa main sur son épaule pour pouvoir mieux s'installer sur le banc ((et pour le forcer au calme)). Sa jambe flottante refaisait des siennes ; mais il était persuadé Sora que ce n'était que d'ordre psychologique. Pas de quoi fouetter un chat. S'accoudant à la table, le jeune homme fait un signe de tête à Suzu, salut rapidement Hajime... Et son regard se pose sans crier gare sur Kagami... Mais aussitôt il détourne les yeux. Il le sentait Sora, ce repas allait être interminable. Il n'avait qu'une envie, se lever et partir.
Takamori Fujiwara
Citation : tu seras une pièce sans valeur sur le plateau de ma vie
Age : trente-et-un ans
Rang : a0
Susanoo
Takamori Fujiwara
son ami revient à côté de lui, tandis que le directeur s'est installé à sa droite, commençant un discours des plus intéressants, si seulement takamori n'était pas en train de manger. « c’est bon au moins ? ? », le jeune professeur ne prend même pas la peine de tourner la tête, trop absorber à manger ce qui restait dans son assiette, « excellent, comme toujours, tu devrais te dépêcher de manger tant que c'est encore chaud ». sacré takamori, toujours avec nonchalance et détachement, il semble loin des ces événements non parce que ça ne l'intéresse pas, mais parce qu'il ne voit pas ce qu'il pourrait faire pour résoudre le problème. s'il est doué pour écouter ou pour enseigner, il est incapable de faire des remontrances aux élèves à la manière de merorin ou eiji, ce n'est pas dans sa nature de perdre son calme et ce mélange de naïveté et de manque de réflexion qui fait son charme. « tu savais toi que miura et ueda étaient en couple ? moi j'aurai jamais deviné avant de baiser fougueux ... même si entre nous, je trouve que ce coup de tête est une manière plutôt étrange de montrer son affection », éclat de rire, pas à cause de la stupidité de sa question, plutôt un rire qui sous-entend « ah je me sens vieux soudainement ».
et puis, d'une oreille distraite, il écoute le directeur, et lorsque ce dernier prononce les mots « annonce à faire », il redresse la tête en sa direction et sort un discret mais néanmoins audible pour ses voisins « encore ?! », suivit du commentaire « et on était toujours pas au courant ! ».
Yori Hayashi
Citation : All is lost again but i'm not giving up
Age : 19 (16 mars)
Orochi
Yori Hayashi
Un diner pas si parfait
▬ ft. Plein de gens
Damned
Tu te sens amère.
Tu n’es jamais contre un peu d’animation, surtout quand les autres maisons se donnent en spectacle. C’est l’occasion d’offrir un peu de divertissement. De renouveler le quotidien de l’école. De te prouver une fois de plus à quel point les autres peuvent se montrer stupides, aussi. Tu te serais bien amusé si Tetsuya ne s’était pas retrouvé dans le lot. Si les choses n’avaient pas dégénéré de cette façon aussi.
Tu prends quand même un certain plaisir – et une certaine fierté, peut-être – à voir qu’il n’a vraiment pas loupé Ange. Viser le nez, ça ne loupe pas. Et un simple sort suffira à lui arranger ça, de toute façon, pas la peine de jouer les mélodrames.
Ton colocataire s’échappe de ton étreinte et tu ne le retiens pas. Tu te doutes qu’il n’ira pas plus loin et professeur Takagi s’approche déjà de vous. Tu le laisses faire son travail de professeur, même si ça te démange de lui demander de te laisser t’occuper de ça toi-même.
Tu n’es que préfet, Yori et tu ne peux décemment pas faire tout ce que tu veux pour la simple raison que ça te touche personnellement.
Tu entends d’autres bruits, autour de toi. Visiblement, quelqu’un d’autre s’est fait remarquer, mais ton attention est préoccupée par l’intervention de Kuro. Tu aurais pu en faire le sujet d’une prochaine visite, mais… non. Ce n’est surement pas une bonne idée. C’est encore trop tôt. Surement.
Le contact de Tetsuya sur ton bras t’aide à te détourner du spectacle – mais surtout de tes pensées. Tu le suis et vous vous dirigez vers votre table. Tu as vaguement capté la menace de votre professeur de vol, bien que tu n’aies pas tout suivi sur les derniers événements. Tu ne sais pas si t’en as grand-chose à faire, mais c’est surement parce que tu as toujours l’envie irrépressible de tenir tête à ce professeur.
Tu hais sa matière, c’est viscéral. Et lui se prend un peu trop au sérieux avec un balai à la main.
Tu te sens agacé pour pas grand-chose, c’est fou. Ou habituel.
« Je sais, tu réponds à la confession de Tetsuya. Ce n’est pas pour les points que je m’inquiète. »
Oui, tu sais parfaitement qu’il le méritait à ses yeux. C’est pour ça que tu savais aussi que les choses allaient dégénérer, bien avant qu’il ne frappe Ueda. Et oui, tant pis pour les points. Bien sûr, ça t’importe en règle générale. Seulement, chaque maison venait de perdre des points, alors vous étiez à égalité. Et avec Yoshiro dans l’équipe, les Kitsune partaient déjà perdants. Tu es plus agacé par l’éventualité que Yatagarasu reste en tête.
Bref, peu importe. Tu as avoué à demi-mot que tu t’inquiétais plus pour ton camarade que pour les points. Tu regretterais presque cette faiblesse.
L’entrée de votre directeur suffit finalement à rétablir le calme dans toute la salle et plus personne ne semble oser bouger. Tu ne lui prêtes qu’une oreille semi-attentive, contrairement à tes habitudes, quand finalement les mots magiques sont prononcés : annulation des vacances ; explications.
Enfin.
Invité
Invité
Invité
DINER
Les absences reines de la fête, les parfums ambrés des mets valsant entre eux à la merci des harmonies. Regard vide sur la nourriture, l'appétit manquant, l'esprit divagant les pensées à l'image des vagues s'abattant sur le sable, insatiable. T'as le doigt nonchalamment posé sur le rebord de ton verre, tu songes à la noyade. Les repas au sein de l'école n'ont toujours été qu'une longue fresque que tu te contentes d'observer. Tu n'aimes pas parler, encore moins entourer, encore moins entrain de manger.
Et pourtant t'avais été béni de la présence de tes camarades de chambre, ambiance lumineuses là où les plumes ne pleuvent pas. T'avais cependant tant de discours à adresser aux cieux, tant d'offrandes à céder et des sourires à faire pardonner. Mais ton assiette demeure inlassablement vide.
Comme en manque, tu jettes un regard autre part, à la façon des hérétiques repentis et tu t'accroches à son regard ne prenant garde à aucune autre silhouette ; tu n'as que de yeux pour le sacré. Les minutes défilent jusqu'à l'ouverture de l'acte funeste.
Preuve d'amour angélique sortie de son contexte ; comme si les tragédies se dessinaient au rythme des battements de ton cœur affolé. T'avais inexplicablement la nausée, tu veux que ça s'arrête immédiatement et tu ne penses n'avoir jamais autant désiré. C'est à cet instant que l'étranger prend forme. Tu ne sais plus penser.
Regard figé et souffle coupé, à la recherche d'autres époques que tu n'as jamais aimé. Tu contemples le sang couler ; Eros et Thanatos de nouveau confronté et y'a quelque chose en toi qui se déchire, t'avais cru pouvoir aborder la passion de si près, t'en oublies le reste. Le baiser et le sang se mélange sans que tu n'aies pu l'appeler ; Ange.
Tu t'es adonné aux amnésies pour te consacrer à la haine, amie nouvelle, murmure à l'oreille tandis que les idées pulsent fiévreusement contre ta tempe. Baiser manqué ignoré, l'autorité fait son entrée néanmoins aucun fait ne prend forme. T'as juste ton cœur pour te guider, tu n'as de yeux que pour le sacré.
Tu voulais lui faire voir l'enfer. Tu te lèves.
Quelques pas suffit à achever la distance et tu tombes subitement de la violence, t'as abandonné ta sagesse à des fins fictives. Pourtant y'aurait presque quelque chose de délicat quand tes mains s'abat sur ta baguette, tu crois divinement pouvoir le juger, tu le pointes alors du bout de ton armes, Tetsuya Miura que tu ne connais pas.
Et pourtant t'avais été béni de la présence de tes camarades de chambre, ambiance lumineuses là où les plumes ne pleuvent pas. T'avais cependant tant de discours à adresser aux cieux, tant d'offrandes à céder et des sourires à faire pardonner. Mais ton assiette demeure inlassablement vide.
Comme en manque, tu jettes un regard autre part, à la façon des hérétiques repentis et tu t'accroches à son regard ne prenant garde à aucune autre silhouette ; tu n'as que de yeux pour le sacré. Les minutes défilent jusqu'à l'ouverture de l'acte funeste.
Preuve d'amour angélique sortie de son contexte ; comme si les tragédies se dessinaient au rythme des battements de ton cœur affolé. T'avais inexplicablement la nausée, tu veux que ça s'arrête immédiatement et tu ne penses n'avoir jamais autant désiré. C'est à cet instant que l'étranger prend forme. Tu ne sais plus penser.
Regard figé et souffle coupé, à la recherche d'autres époques que tu n'as jamais aimé. Tu contemples le sang couler ; Eros et Thanatos de nouveau confronté et y'a quelque chose en toi qui se déchire, t'avais cru pouvoir aborder la passion de si près, t'en oublies le reste. Le baiser et le sang se mélange sans que tu n'aies pu l'appeler ; Ange.
Tu t'es adonné aux amnésies pour te consacrer à la haine, amie nouvelle, murmure à l'oreille tandis que les idées pulsent fiévreusement contre ta tempe. Baiser manqué ignoré, l'autorité fait son entrée néanmoins aucun fait ne prend forme. T'as juste ton cœur pour te guider, tu n'as de yeux que pour le sacré.
Tu voulais lui faire voir l'enfer. Tu te lèves.
Quelques pas suffit à achever la distance et tu tombes subitement de la violence, t'as abandonné ta sagesse à des fins fictives. Pourtant y'aurait presque quelque chose de délicat quand tes mains s'abat sur ta baguette, tu crois divinement pouvoir le juger, tu le pointes alors du bout de ton armes, Tetsuya Miura que tu ne connais pas.
Akshar Tsukino
Citation : you son of a bitch, shut the fuck up
Age : dix neuf ans
Rang : A1
Susanoo
Akshar Tsukino
un dîner pas
si parfait
si parfait
Il semblerait que le calme ait prit la fuite à grande enjambée ce soir, dû moins, c’est ce que tu pensais à l’instant. Tu étais pourtant content, au début de ce repas, tu allais pouvoir te nourrir et prendre le temps de savourer ton superbe poulet au curry : mais non, le karma était peut-être contre toi quand bien même tu ne pensais pas avoir mal agit.
Hormis le fait que la copine de Tetsuya t’avait embrassé sans raison, bien-sûr, mais ce n’était en aucun cas de ta faute.
Les paroles du professeur Tsukino semblaient calmer les ardeurs de certains, semblaient seulement car quelques secondes plus tard, tu vois Yue se lever afin de foncer vers Tetsuya, tu sens que l’affaire ne risque pas de se tasser tout de suite, clairement pas.
Pourtant ton poulet, lui, il refroidissait.
Et le directeur semblait, de son côté, avoir quelques annonces à vous faire.
Il faut croire que tu ne pouvais pas manger ton poulet en paix.
Hormis le fait que la copine de Tetsuya t’avait embrassé sans raison, bien-sûr, mais ce n’était en aucun cas de ta faute.
Les paroles du professeur Tsukino semblaient calmer les ardeurs de certains, semblaient seulement car quelques secondes plus tard, tu vois Yue se lever afin de foncer vers Tetsuya, tu sens que l’affaire ne risque pas de se tasser tout de suite, clairement pas.
Pourtant ton poulet, lui, il refroidissait.
Et le directeur semblait, de son côté, avoir quelques annonces à vous faire.
Il faut croire que tu ne pouvais pas manger ton poulet en paix.
Tsugumi Tsugikuni
Citation : tsutsutsutsu
Age : trente
Rang : A2
Susanoo
Tsugumi Tsugikuni
un dîner pas si parfait
Takamori ne lâche certainement pas son repas de ses priorités, il ne prend même pas la peine de te regarder quand il répond à ta question, tu aurais pu te sentir agacé de ce comportement, mais tu le connais depuis maintenant si longtemps que tu n’y fais plus vraiment attention, tu penses même que ça t’amuse de le voir si nonchalant. Ou terriblement naïf, tu ne sais plus trop pour le coup. Eiji, si tu ne le connaissais pas assez, tu te dirais que ton ami est terriblement idiot, ou bien qu’il ne réfléchît vraiment pas assez, ça revient certainement au même, au fond.
«Taka, sincèrement, tu penses qu’on donne un coup de boule si violent à quelqu’un quand on est en couple ? Au point de briser le nez de l’autre ? »
Un soupir t’échappe, tu l’observes quelques – longues – secondes avant de reprendre.
«Ils ne s’aiment pas, au contraire, ce que tu as vu était une querelle, pas une réaction étrange ou une dispute d’amoureux. Comment tu peux arriver à ce genre de raisonnement, sérieux ? »
Finalement, il est certainement idiot, mais tu l’aimes bien Takamori, c’est ton ami depuis des années et tu sais qu’il est une personne tout à fait sympathique malgré ses quelques idées peu logiques.
Comme un coup de boule amoureux.
«
Un soupir t’échappe, tu l’observes quelques – longues – secondes avant de reprendre.
«
Finalement, il est certainement idiot, mais tu l’aimes bien Takamori, c’est ton ami depuis des années et tu sais qu’il est une personne tout à fait sympathique malgré ses quelques idées peu logiques.
Comme un coup de boule amoureux.
Hidenori Kurosawa
Citation : Il est bon d'être de retour à la maison.
Age : 39 ans
Rang : Inconnu
Orochi
Hidenori Kurosawa
« Monsieur Watanabe, il va s’en dire que vous venez d’ignorer les instructions du professeur Tsukino (un de ses dévoué partisans), ce qui vous engage sur la perte de dix points pour votre maison. Vous pouvez y additionner moins quinze points pour menacer votre camarade avec votre baguette. Et puisque c’est la seule utilité que vous lui avez trouvée, elle vous est confisquée pendant un mois. D’ailleurs, il me semble que les enclos des hippogriffes du professeur Ito auraient bien besoin d’être nettoyé. Vous vous en chargerez jusqu’à pouvoir récupérer votre baguette. Vous me prierez de retourner immédiatement à votre place. »
Il adresse un sourire audit élève sur la fin de son discours, celui qui aborde souvent son visage (cette façade innocente). Puis, il se concentre de nouveau sur l’ensemble des personnes présentes. Il allait enfin pouvoir passer à ses explications. De vive voix, il reprend la parole.
« En ce début de février, comme vous le savez, nous avons été avec le ministre contraint d’annuler les vacances. Nous avons préféré vous laisser dans l’ignorance, pour vous éviter toutes inquiétudes. La situation s’étant améliorée, je prends aujourd’hui la liberté de tout vous raconter. Vous n’êtes pas sans savoir que dans notre pays, les sorciers et les moldus, ont de tout temps cohabité dans une paix relative suivant les époques. Or, parmi ces moldus, certains sont jaloux de notre magie et ne pouvant se l’approprier, ont commencé à vouloir nous chasser à l’image de leurs confrères européens. (Ryuusen.). C’est ainsi que des attaques, parfois d’une extrême violence, ont été perpétrée à l’encontre de certains des nôtres. (Ces idiots sont manipulés). Je vous rassure, le ministre a réussi à contenir la situation. Les Aurors sont parvenus à démasquer ces personnes et leur ont appliqué un sortilège d’oubliette. Au moment où je vous parle, les derniers membres de ce groupuscule sont en train d’être arrêté et cet incident ne sera plus qu’un vieux souvenir. (Ils se sont imaginés que leurs idéaux étaient réels.) »
C’est sur un air rassurant qu’il termine son discours. Il laisse quelques secondes s’écouler, le temps que le flot d’information parvienne aux élèves. Il tire alors sa chaise, prêt à s’assoir.
« Si vous avez des questions, je tâcherais de vous y répondre et bien évidemment, je vous invite à continuer votre repas. Bon appétit à tous. »
Il prend place tout en restant attentif à ce qui se passe autour de lui. Lui aussi allait pouvoir commencer son repas. Malheureusement, il n’avait pas beaucoup de temps.
hrp : Les yatagarasu perdent 25 points suite à l'intervention de Yue Watanabe.
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évent / kagami
love love
C'est de trop. Seulement lui. Et c'est de trop. Il n'y a qu'un bref regard échangé. Un morceau de ton âme que tu sens se briser. Incapable de le voir. Avant que tu ne fuis ; comme à l'accoutumée. Pour retrouver un souffle. Respirer à nouveau. Sora est trop près, mais le brouhaha alentour aide à oublier. À détourner l'attention. Cela ne te concerne pas, Kagami. Alors tu ne t'en préoccupe aucunement. Préférant regarder cette table ; fixement. Un long moment. Cherchant à disparaître en silence. Sans un bruit.
Il y a cette présence.
Insistante.
Un bref regard ; encore. Tu te maudis un instant. Et le directeur te sauve. Un homme de charisme et prestance. Il prend place en ces lieux. Pour s'expliquer sur les vacances. Cela aussi, tu n'en as cure. Alors un vague soupir s'échappe. Dans un silence de plomb. Des moldus contre la magie. C'est étrange comme tu ne te sens pas concernée ; encore. Un peu comme si les deux parties de ta personne, n'existaient pas. Un peu comme si, finalement, tu n'étais ni l'un, ni l'autre. Ni moldu, ni sorcière. Rien de plus que du vide. Tu relèves les yeux néanmoins, Kagami. Pour observer le monde alentour. Pour remarquer le visage de Suzu. Ses expressions et ses traits. T'assurer qu'elle va bien après ces aveux. Et surtout, tu regardes les siens. Voir s'il va bien.
C'est inéluctable.
Ces regards volés.
Il y a cette présence.
Insistante.
Un bref regard ; encore. Tu te maudis un instant. Et le directeur te sauve. Un homme de charisme et prestance. Il prend place en ces lieux. Pour s'expliquer sur les vacances. Cela aussi, tu n'en as cure. Alors un vague soupir s'échappe. Dans un silence de plomb. Des moldus contre la magie. C'est étrange comme tu ne te sens pas concernée ; encore. Un peu comme si les deux parties de ta personne, n'existaient pas. Un peu comme si, finalement, tu n'étais ni l'un, ni l'autre. Ni moldu, ni sorcière. Rien de plus que du vide. Tu relèves les yeux néanmoins, Kagami. Pour observer le monde alentour. Pour remarquer le visage de Suzu. Ses expressions et ses traits. T'assurer qu'elle va bien après ces aveux. Et surtout, tu regardes les siens. Voir s'il va bien.
C'est inéluctable.
Ces regards volés.
Invité
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un dîner pas si parfait
Hajime est toujours aussi adorable, si bien élevé, à demander si tout se passe bien après le moindre incident. Aritsune ne peut que l'apprécier; comment pourrait-il en être autrement ? Alors il lui décerne un faible sourire pour accompagner ses yeux rougis par la tristesse. D'une faible main, il joue avec la nourriture grâce aux couverts, dessinant quelques chemins à travers le riez, sauçant son cœur dans une activité d'enfant. Mais une peine ne vient jamais seule. Alors qu'il ne faisait aucunement attention à ses camarades, Yue a droit à un sort de voltige artistique muet, le tout accompagné d'une jolie intervention du directeur. C'est une soirée bien agitée; les choses ne vont pas biens. Tout le monde le sait, mais personne n'ose vraiment le dire.
Il prend son verre pour boire, s'adoucir la gorge et l'humeur. Il écoute le discours de Kurosawa et. Il ne sait pas. Il y a quelque chose qui se casse. Son cœur, peut-être. A moins que ce ne soit son verre. Il ne ressent que très peu de douleur alors qu'un morceau écorche sa lèvre et que les autres tombent ou s'écrasent et croustillent entre son poing. Car cette main à peine tremblante de tristesse était devenue poing de haine.
Ils étaient tous là. Dans ce château d'argent, à ne rien savoir du monde, à ne rien avoir pu faire alors que leur famille avait tous couru un grave danger. Tous. Tous des incapables qui n'avaient rien vu venir, n'avaient rien fait si ce n'est écouter des cours, des rires, manger ou bien dormir. Enfants incapables de savoir, qu'on se sent obligés de protéger. Il n'avait rien vu venir. Il n'avait rien vu du tout, même, malgré le fait que les choses se passaient. Lui qui se pensait était médiocre. Lui qui se pensait bien entouré était peut-être désormais seul.
Il ne sait pas.
Il ne sait pas car il ne prend jamais de nouvelles. Il ne demande pas comment vont ses parents, ne les a même pas prévenu du pourquoi il ne rentrait pas. Il ne dit rien, ne parle, mutisme insoutenable symbolisant une rébellion familiale. Un remerciement, qui sait, car s'il n'y a pas de mots, il ne peut pas non plus y avoir de mal.
Il n'a pas d'appétit. Il n'a pas d'envie. Il se sent juste malade. Le ventre serré, c'est l'esprit plus que le corps qui prend. Il en tremble. Il passe sa main sur son visage, se fichant bien de savoir s'il risque de bouger son masque de fortune, oubliant les quelques fragments de verres plantés dans sa main, qui lui griffent le visage.
versus le reste du monde
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DÎNER PAS SI PARFAIT
There must be something in the water, 'cause everyday it's getting colder. And if only I could hold you, you'd keep my head from going under
Rien ne va, rien ne fonctionne. A peine un sourire, un regard, puis plus rien. Et tu te réinstalles correctement, jettes un regard à Sora en haussant les épaules, comme pour lui dire que tu ne sais plus trop quoi faire. Cette soirée tourne au vinaigre. Et puis, c'est Yue qui s'y met. Yue qui se lève, Yue qui sort sa baguette, Yue qui menace. Et l'intervention du directeur te coupe ; coupe tout le monde dans la salle et le silence s'installe. Froid, brûlant. Un silence un peu pesant, en attente des réponses.
Et vous les avez enfin, vos réponses.
Tu jettes un regard à Yue, un autre à Sora. Puis tu balaies du regard la table, passant par les plus vieux, t'arrêtant sur les plus jeunes. Et la voix du directeur continue, continue, continue. Explique avec lenteur, explique avec douceur. Et pourtant, ça te fait le même effet que la nouvelle que t'a annoncé l'infirmier il n'y a pas si longtemps.
On s'attaque aux sorciers. Et tu sens l'agitation de la salle, les élèves qui se redressent, qui se regardent. La panique, chez certains, l'indifférence, chez d'autres. Et toi, toi tu es là, en plein milieu, comme tu l'as toujours été, parce qu'Hajime, t'es moitié moitié. Moitié moldu, moitié sorcier. Tu appartiens aux deux mondes, avec une préférence pour le second. Mais tu penses à ton frère, à ta sœur. Ont-ils étaient visés, étant donné que tu es un sorcier ? Ne s'en étaient-ils pris qu'aux sorciers, ou aussi à leur famille ? Tu aurais reçu une lettre, si ça avait été le cas, n'est-ce pas ? Est-ce que l'absence de leurs nouvelles est dû à ça ? Ne t'auraient-ils pas prévenu ?
Puis un verre qui casse, et tu te retournes vers Aritsune, la main ensanglantée qui vient glisser sur son visage. Tu te penches sur Kagami, la bouscules un peu sans le vouloir, entres dans son espace vital pour arrêter la main abîmée. Un peu comme tous les cœurs déchirés.
« Aritsune, arrête ça. »
Ta voix est ferme, froide, peut-être un peu plus brutale. Mais t'es secoué, Hajime, par tout ce qu'il se passe, par tout ce que tu ne comprends pas. Peut-être même que ta poigne est un peu trop forte sur son poignet, alors tu la desserres légèrement.
« Ça va aller, okay ? »
Ça va aller, Hajime, ça va s'arranger.
Un regard vers Suzu, un autre vers Sora. Sora. Toujours Sora, cet ami, cette bouée dans la tempête, cette ancre qui tient le bateau droit.
« Ça va aller. »
Tout va bien se passer, c'est terminé, désormais.
Et vous les avez enfin, vos réponses.
Tu jettes un regard à Yue, un autre à Sora. Puis tu balaies du regard la table, passant par les plus vieux, t'arrêtant sur les plus jeunes. Et la voix du directeur continue, continue, continue. Explique avec lenteur, explique avec douceur. Et pourtant, ça te fait le même effet que la nouvelle que t'a annoncé l'infirmier il n'y a pas si longtemps.
On s'attaque aux sorciers. Et tu sens l'agitation de la salle, les élèves qui se redressent, qui se regardent. La panique, chez certains, l'indifférence, chez d'autres. Et toi, toi tu es là, en plein milieu, comme tu l'as toujours été, parce qu'Hajime, t'es moitié moitié. Moitié moldu, moitié sorcier. Tu appartiens aux deux mondes, avec une préférence pour le second. Mais tu penses à ton frère, à ta sœur. Ont-ils étaient visés, étant donné que tu es un sorcier ? Ne s'en étaient-ils pris qu'aux sorciers, ou aussi à leur famille ? Tu aurais reçu une lettre, si ça avait été le cas, n'est-ce pas ? Est-ce que l'absence de leurs nouvelles est dû à ça ? Ne t'auraient-ils pas prévenu ?
Puis un verre qui casse, et tu te retournes vers Aritsune, la main ensanglantée qui vient glisser sur son visage. Tu te penches sur Kagami, la bouscules un peu sans le vouloir, entres dans son espace vital pour arrêter la main abîmée. Un peu comme tous les cœurs déchirés.
« Aritsune, arrête ça. »
Ta voix est ferme, froide, peut-être un peu plus brutale. Mais t'es secoué, Hajime, par tout ce qu'il se passe, par tout ce que tu ne comprends pas. Peut-être même que ta poigne est un peu trop forte sur son poignet, alors tu la desserres légèrement.
« Ça va aller, okay ? »
Ça va aller, Hajime, ça va s'arranger.
Un regard vers Suzu, un autre vers Sora. Sora. Toujours Sora, cet ami, cette bouée dans la tempête, cette ancre qui tient le bateau droit.
« Ça va aller. »
Tout va bien se passer, c'est terminé, désormais.
Sora Nishimura
Citation : don't ever try to judge me dude
Age : 19 ans depuis le 7 aôût
Rang : 74/100
Orochi
Sora Nishimura
everything that kills me makes me feel alive
Musique — if you look into the distance, there's a house upon the hill guiding like a lighthouse to a place where you'll be safe to feel at grace 'cause we've all made mistakes, if you've lost your way, i will leave the light on - leave a light on // tom walker
Tout part en vrille aujourd'hui, tout s'accélère, semble glisser à la dérive. Et lui, il reste là, accoudé à cette table, le regard perdu sur son assiette qu'il ne souhaite pas remplir. Kagami et ses réactions, rien n'arrangera les choses ; parce que tu es "toi" Sora. Cette phrase restera dans ta tête, tu es "toi" donc elle va mal, donc elle est à l'agonie ; mais tu ne sais pas ce que ça signifie. Juste que c'est là, ancré en elle, le détruisant lui. Sora est comme une phrase en suspend, à la traîne ; à la traîne avec Kagami, sur le banc avec Yue, qui se lève et il n'a pas eu le temps de réagir ; un train de retard, sa main vole pour le rattraper, mais elle ne fait que brasser l'air. Les yeux tombent sur le sol, les dents croisent le fer, encore une fois ça va partir en steak. Une main sur la nuque, il reste assis, sachant pertinemment ce qui allait se passer ; il aurait pu le prédire... Et le directeur agit, aussi vif que l'éclair, lui envoyant un sort pour le désarmer... Qu'est-ce que c'était que ce repas ? Cette soirée ? Sora reste assis, la jambe tremblante, sautante, les nerfs sont là et il ne supporte pas être dans un tel état.
Le coeur se serre
Les mots restent figés
Au plus profond de sa trachée
Et ça l'éviscère
Un profond soupir plein de lassitude, il attend que Yue revienne s'assoir pour poser sa main sur son épaule, lui envoyant à la fois un regard dur et plein de compassion malgré tout. Il n'avait pas assisté à tout à cause de son retard, mais jamais son ami n'aurait fait cela sans raison. Haussant les épaules en se tournant ensuite vers Hajime, la voix du directeur le sort de cet instant complice avec ses comparses.
Et l'annonce tombe
Aussi violente qu'une balle
Bien plus tranchante qu'une lame
Il espère mal entendre, avoir des problèmes de compréhension, mais non. Il entend bien. Et encore une fois, comme à son habitude, même si à l'intérieur de lui, tout est emporté par ses sentiments, son faciès reste imperturbable... Pourtant, ses sourcils froncés ne mentent pas. L'énervement est là, tape contre ses tempes, brûle ses veines, lui donne envie de gueuler à gorge déployée que ce ne sont que des conneries... Mais non, Sora se force au calme, putain de préfet exemplaire qu'il est... Et son regard voit perlé une goutte de sang, du coin de l'oeil Sora bondit, encore une fois avec un temps de latence, mais Hajime arrive à temps. Se laissant tomber de nouveau sur le banc, le préfet serre les poings sous la table, dans ses poches, à l'abri des regards ; mensonge dissimuler par un visage déformé. Aritsune est au plus mal et l'ambiance s'assombrit indubitablement autour de la table. « Connerie... » Un mot, murmuré, lâché, sans pour réfréné cette envie d'exploser. « On se fout de nous, c'est obligé... On nous a caché la vérité, comme ça, alors que... » Reprendre contenance, ne pas se laisser abattre, sourire malgré la dur réalité. Dans un élan de bienveillance, le jeune homme pose sa main sur celle de son ami et compagnon de chambre, tentant de le réconforter, de le soulager ((c'est ça aussi, son rôle.)) « Ari', ça va aller, d'accord ? Alors ne te mets pas dans cet état s'il te plaît, on va avoir d'autres réponses, je te le promet. » Son regard tombe sur Suzu, à ses côtés. « Faudrait qu'un des infirmiers lui soigne ça, je pense pas pouvoir m'en occuper, tu crois que tu peux demander un coup de main ? » Il n'ordonne pas, il propose juste ; car Sora ne s'impose pas, jamais. Même s'il ne veut pas être confronté à l'infirmier Kuro Okumura, il pourrait faire un effort pour son ami.
Et son regard tombe de nouveau sur elle, sur Kagami, mais l'heure n'est pas aux questions, ni au règlement de compte ((et encore moins à la dépression.)) Pas le temps pour ça, il devait s'occuper de cette famille, les soutenir ; être un pilier.
Mais la roche
i n d u b i t a b l e m e n t
s'effrite
comme l'écorce
« Tout vas bien se passer. » Il essaye de s'en convaincre Sora, vraiment.
Tout part en vrille aujourd'hui, tout s'accélère, semble glisser à la dérive. Et lui, il reste là, accoudé à cette table, le regard perdu sur son assiette qu'il ne souhaite pas remplir. Kagami et ses réactions, rien n'arrangera les choses ; parce que tu es "toi" Sora. Cette phrase restera dans ta tête, tu es "toi" donc elle va mal, donc elle est à l'agonie ; mais tu ne sais pas ce que ça signifie. Juste que c'est là, ancré en elle, le détruisant lui. Sora est comme une phrase en suspend, à la traîne ; à la traîne avec Kagami, sur le banc avec Yue, qui se lève et il n'a pas eu le temps de réagir ; un train de retard, sa main vole pour le rattraper, mais elle ne fait que brasser l'air. Les yeux tombent sur le sol, les dents croisent le fer, encore une fois ça va partir en steak. Une main sur la nuque, il reste assis, sachant pertinemment ce qui allait se passer ; il aurait pu le prédire... Et le directeur agit, aussi vif que l'éclair, lui envoyant un sort pour le désarmer... Qu'est-ce que c'était que ce repas ? Cette soirée ? Sora reste assis, la jambe tremblante, sautante, les nerfs sont là et il ne supporte pas être dans un tel état.
Le coeur se serre
Les mots restent figés
Au plus profond de sa trachée
Et ça l'éviscère
Un profond soupir plein de lassitude, il attend que Yue revienne s'assoir pour poser sa main sur son épaule, lui envoyant à la fois un regard dur et plein de compassion malgré tout. Il n'avait pas assisté à tout à cause de son retard, mais jamais son ami n'aurait fait cela sans raison. Haussant les épaules en se tournant ensuite vers Hajime, la voix du directeur le sort de cet instant complice avec ses comparses.
Et l'annonce tombe
Aussi violente qu'une balle
Bien plus tranchante qu'une lame
Il espère mal entendre, avoir des problèmes de compréhension, mais non. Il entend bien. Et encore une fois, comme à son habitude, même si à l'intérieur de lui, tout est emporté par ses sentiments, son faciès reste imperturbable... Pourtant, ses sourcils froncés ne mentent pas. L'énervement est là, tape contre ses tempes, brûle ses veines, lui donne envie de gueuler à gorge déployée que ce ne sont que des conneries... Mais non, Sora se force au calme, putain de préfet exemplaire qu'il est... Et son regard voit perlé une goutte de sang, du coin de l'oeil Sora bondit, encore une fois avec un temps de latence, mais Hajime arrive à temps. Se laissant tomber de nouveau sur le banc, le préfet serre les poings sous la table, dans ses poches, à l'abri des regards ; mensonge dissimuler par un visage déformé. Aritsune est au plus mal et l'ambiance s'assombrit indubitablement autour de la table. « Connerie... » Un mot, murmuré, lâché, sans pour réfréné cette envie d'exploser. « On se fout de nous, c'est obligé... On nous a caché la vérité, comme ça, alors que... » Reprendre contenance, ne pas se laisser abattre, sourire malgré la dur réalité. Dans un élan de bienveillance, le jeune homme pose sa main sur celle de son ami et compagnon de chambre, tentant de le réconforter, de le soulager ((c'est ça aussi, son rôle.)) « Ari', ça va aller, d'accord ? Alors ne te mets pas dans cet état s'il te plaît, on va avoir d'autres réponses, je te le promet. » Son regard tombe sur Suzu, à ses côtés. « Faudrait qu'un des infirmiers lui soigne ça, je pense pas pouvoir m'en occuper, tu crois que tu peux demander un coup de main ? » Il n'ordonne pas, il propose juste ; car Sora ne s'impose pas, jamais. Même s'il ne veut pas être confronté à l'infirmier Kuro Okumura, il pourrait faire un effort pour son ami.
Et son regard tombe de nouveau sur elle, sur Kagami, mais l'heure n'est pas aux questions, ni au règlement de compte ((et encore moins à la dépression.)) Pas le temps pour ça, il devait s'occuper de cette famille, les soutenir ; être un pilier.
Mais la roche
i n d u b i t a b l e m e n t
s'effrite
comme l'écorce
« Tout vas bien se passer. » Il essaye de s'en convaincre Sora, vraiment.
Fuyuki Awataguchi
Citation : Tout bois est gris quand il est réduit en cendres.
Age : 27 ans
Rang : A2
Susanoo
Fuyuki Awataguchi
C’était ta soirée. Tu avances fermement continuant de tirer Yori comme si c’était normal et ce n’est qu’une fois à ta place, à la table des Tsuchigumo, que tu relâches ta prise. Tu pousses un soupire, comme si ce simple souffle était capable de te détendre. Ça t’en donne au moins un peu l’illusion. Et puis, il y a cette phrase. Cette attention de Yori avant qu’il ne s’inquiète pas pour vos points. Pourtant, c’est votre préfet. Non. C’est justement parce que c’est votre préfet, qu’il s’inquiète plus pour toi que pour ces stupides points. Ca te fait presque sourire, parce que, tu l’as toujours dit qu’il pouvait être agréable quand il le voulait.
Pourtant tu n’as pas le temps de prononcer le moindre mot que te voilà la seconde suivante face à une baguette. Il t’avait suffi de lever les yeux pour sentir cette envie de te faire vivre une descente aux enfers. Tu ne le connaissais pas, mais lui avais gradé ton visage dans ta mémoire. Tu lui lances un regard noir et lève le visage daignant d’un certain ose, si tu peux. Tu n’as pas besoin de mot pour lui faire comprendre, t’as pas besoin de le dire pour faire passer la note. Tu sais qu’il en sera rien.
L’instant suivant la baguette s’envole. T’as senti cette magie te caresser la joue avant de projeter dans les airs la menace qui pesait sur toi. C’était lui, qui te faisait peur. Ce directeur qui sans un mot et d’un simple geste venait de faire valser l’objet. T’as le souffle coupé et t’en frisonne discrètement.
Tu te détourne de ton assaillant, l’air de rien après que le directeur ait annoncé sa sentence. Tu ne fais qu’y ajouter un. « Tu l’as entendu. » Au fond, Tetsuya, t’es pas si serein. Tu t’en donnes juste l’air.
« Bordel. »
T’as juste envie de partir. De claque la porte et de ne plus rien calculer. De retourner ta chambre et de les oublier. T’as envie d’effacer cette sale journée.
Pourtant, elle est loin d’être finie. Voilà l’instant des révélations. Tu ne te sens qu’à moitié concerné, si ce n’est moins. T’es entre les deux monde, mais l’un a fini par bouffer l’autre jusqu’à qu’il n’ait plus rien. A vrai dire, tu n’es même pas sûr de porter les moldus dans ton cœur, ils ont créé en toi une certaine noirceur dont t’es pas capable de te défaire, à l’image de ta mère. Pourtant, tu avais grandi au milieu d’entre eux, avec Kiyoshi. Tu te souviens, tu réalises. Tu ne l’as pas vu depuis un moment, alors tu le cherches dans la salle, mais impossible de l’apercevoir. Il était où bordel.
« Je vais devenir fou. »
Tu t’adresses à toi-même, à Yori, à personne.
T’arrivais plus à suivre.
Ange Ueda
Citation : risus abundat in ore stultorum -- à la bouche du sot, le rire abonde
Age : 17 (29/02)
Rang : 60/100 dsl
Amaterasu
Ange Ueda
kiss kiss fall in love
Ah -- les yeux révulsés et le souffle court, inconscience lente et résolue qui le happe et l'arrache au spectacle qu'il a lui-même causé. Quelques bribes de dialogues s'offrent a ses oreilles inattentives lorsqu'on le ramène sur Terre, Angelo balloté d'un monde à un autre ; il perçoit vaguement l'inquiétude de l'infirmier et oserait reconnaitre les mélodieuses remontrances de Mme Ito. Immédiatement les paupières se rabattent et la lumière agressive de la grande salle l'éblouit, exempt de toute douleur Ange défie son propre corps et se redresse dans les sinistres craquements de ses articulations endolories. Ça va, ça va, du calme. Reconnaissance encochée dans un sourire qu'il offre à Okumura, une main curieuse passée sur le visage réparé. Ah. Joli travail !
Et dès lors que son attention s'effrite, il s'aperçoit enfin de la présence de Masashige. T'as vu ? Est-ce que c'était aussi bien que je l'ai vécu ? L'œil dément, l'adrénaline toujours profondément injectée dans ses artères. Qu'il parle de son exploit ou de ses conséquences - lui-même ne saurait le dire. Son attention effritée se pose subtilement, un tendre instant, sur Miura. La battante d'un cœur chamboulé qui s'exhorte entre la lascivité d'un baiser et la violence d'un coup de boule. Soupir, il titube sur ses guibolles maladroites et laisse finalement l’infirmier le guider jusqu’au territoire de sa maison - fermement assis, sur des fausses promesses de contrôler ses pulsions idiotes. Dieu sait qu’il se serait levé, si les professeurs n’avaient pas exprimé leur désaccord ; si le directeur ne les avait pas finalement honoré de sa présence. Immédiatement le sang quitte son visage et un Ange à l’oeil fou se renfrogne sur son siège, juste assez recroquevillé pour espérer passer inaperçu. Divertir les élèves était une chose, provoquer le courroux du principal en était une toute autre.
Il tourne un visage embué de larmes floues vers la jeune Kondo, qui propose si gentiment qu’il se nourrisse. Hochement de tête inhabituel, le calme si singulier aux alentours de l’hyperactif. Il ne comprend simplement pas - la réaction de Miura, la haine qui dégoulinait des vers scandés comme l’hémoglobine du nez fracturé. C'est là que le drame, exagéré par les yeux exorbités du séraphin: Yue se dresse en dépit des remontrances et une protestation meure dans la gorge d’Ange, la gorge serrée et les lèvres mordues. Merde. Ca lui échappe, ça glisse entre ses doigts comme de l’eau, comme du sable - Yue s’est levé, Yue si calme aujourd’hui fou d’une rage silencieuse. Ah. C’est ma faute, non ? Les points sont arrachés à la maison et le chaos s’apaise - un court instant.
Il faudrait être éperdument stupide pour ne pas sentir la tension ; les mots du directeur lui échappent, clamés à la volée et maladroitement captés par l’enfant si lent, si lent. Il n’en saisit qu’une partie, les yeux perçants fixés sur les réactions alentours pour en comprendre la teneur ; finalement le regard s’écrase sur Shigemori, l’égarement injecté dans la rétine. J’ai pas compris. Pointe de désespoir - il a essayé, il le jure, il a tenté. Masa, j’ai pas compris. Pourquoi tout le monde est… Comme ça ? Ah. Il a échoué.
Et dès lors que son attention s'effrite, il s'aperçoit enfin de la présence de Masashige. T'as vu ? Est-ce que c'était aussi bien que je l'ai vécu ? L'œil dément, l'adrénaline toujours profondément injectée dans ses artères. Qu'il parle de son exploit ou de ses conséquences - lui-même ne saurait le dire. Son attention effritée se pose subtilement, un tendre instant, sur Miura. La battante d'un cœur chamboulé qui s'exhorte entre la lascivité d'un baiser et la violence d'un coup de boule. Soupir, il titube sur ses guibolles maladroites et laisse finalement l’infirmier le guider jusqu’au territoire de sa maison - fermement assis, sur des fausses promesses de contrôler ses pulsions idiotes. Dieu sait qu’il se serait levé, si les professeurs n’avaient pas exprimé leur désaccord ; si le directeur ne les avait pas finalement honoré de sa présence. Immédiatement le sang quitte son visage et un Ange à l’oeil fou se renfrogne sur son siège, juste assez recroquevillé pour espérer passer inaperçu. Divertir les élèves était une chose, provoquer le courroux du principal en était une toute autre.
Il tourne un visage embué de larmes floues vers la jeune Kondo, qui propose si gentiment qu’il se nourrisse. Hochement de tête inhabituel, le calme si singulier aux alentours de l’hyperactif. Il ne comprend simplement pas - la réaction de Miura, la haine qui dégoulinait des vers scandés comme l’hémoglobine du nez fracturé. C'est là que le drame, exagéré par les yeux exorbités du séraphin: Yue se dresse en dépit des remontrances et une protestation meure dans la gorge d’Ange, la gorge serrée et les lèvres mordues. Merde. Ca lui échappe, ça glisse entre ses doigts comme de l’eau, comme du sable - Yue s’est levé, Yue si calme aujourd’hui fou d’une rage silencieuse. Ah. C’est ma faute, non ? Les points sont arrachés à la maison et le chaos s’apaise - un court instant.
Il faudrait être éperdument stupide pour ne pas sentir la tension ; les mots du directeur lui échappent, clamés à la volée et maladroitement captés par l’enfant si lent, si lent. Il n’en saisit qu’une partie, les yeux perçants fixés sur les réactions alentours pour en comprendre la teneur ; finalement le regard s’écrase sur Shigemori, l’égarement injecté dans la rétine. J’ai pas compris. Pointe de désespoir - il a essayé, il le jure, il a tenté. Masa, j’ai pas compris. Pourquoi tout le monde est… Comme ça ? Ah. Il a échoué.
rip
c 1 peu long donc voilà le topo si y a la flm
- Spoiler:
- il se réveille et a pas vrmt capté que mero lui avait enlevé des points (ds ma 1ere rep il s'agenouillait dvt elle :// mais bon) dcp il demande à masa si ct cool lol
perturbé par yue + coupable as FUCK psk il réalise que c la merde et que c sa faute
flippe face au dirlo psk eh il est pas si con
mais il a pas suivi le discours dc il est perdu hihi
(also il a pas remarqué ari snif pd ressaisis-toi)
bye
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Un léger sourire à ton camarade Kitsune qui n'a pas l'air si mal que cela au vu de ses paroles puis tes yeux se concentre à nouveaux vers le directeur.
Les paroles de celui-ci font l'effet d'une bombe dans ton esprit... Adieu petit nuage de bonheur pour ce soir, tu te rends compte qu'on t'a mentis pour te tenir en sécurité surtout ce sont tes deux grands-frères qui t'ont écrit...
Daiki était sûrement en première ligne pour cela, travaillant au ministère...
Tu as l'impression qu'une pression monstre a atterris sur tes frêles épaules, tu vois que tu commence à trembler légèrement... Tu dois cacher cela, tu n'es pas le genre de personne à réagir comme cela !
Tu es plus forte, tu es surtout neutre pourtant tu a envie de te laisser allé, de savoir que Hiroshi pourrait apparaître là par transplanage et te prendre dans ses bras pour te rassurer, dire que tout va bien, te murmurer que tu peux te laisser aller que personne ne jugera ton comportement.
Sauf que tout cela n'arrivera pas, alors tu sers tes mains aussi fort que tu peux et te concentre sur cette phrase qui te fait du bien à ce moment précis, qui t'aide à voir au delà de des émotions qui veulent prendre le dessus après un tel discours.
Tu as définitivement perdu tout appétit, tu regarde ton assiette avec dégoût et la pousse vers le centre pour poser ta tête sur la table, tu ne sais plus trop quoi penser de cette soirée... Elle qui commençait plutôt bien pour toi avec l'arrivée de ce parchemin voilà qu'elle s’achève dans une douleur violente qui t'écrase autant le cœur que la tête, petite maiko.
Les paroles de celui-ci font l'effet d'une bombe dans ton esprit... Adieu petit nuage de bonheur pour ce soir, tu te rends compte qu'on t'a mentis pour te tenir en sécurité surtout ce sont tes deux grands-frères qui t'ont écrit...
Daiki était sûrement en première ligne pour cela, travaillant au ministère...
Tu as l'impression qu'une pression monstre a atterris sur tes frêles épaules, tu vois que tu commence à trembler légèrement... Tu dois cacher cela, tu n'es pas le genre de personne à réagir comme cela !
Tu es plus forte, tu es surtout neutre pourtant tu a envie de te laisser allé, de savoir que Hiroshi pourrait apparaître là par transplanage et te prendre dans ses bras pour te rassurer, dire que tout va bien, te murmurer que tu peux te laisser aller que personne ne jugera ton comportement.
Sauf que tout cela n'arrivera pas, alors tu sers tes mains aussi fort que tu peux et te concentre sur cette phrase qui te fait du bien à ce moment précis, qui t'aide à voir au delà de des émotions qui veulent prendre le dessus après un tel discours.
Tu as définitivement perdu tout appétit, tu regarde ton assiette avec dégoût et la pousse vers le centre pour poser ta tête sur la table, tu ne sais plus trop quoi penser de cette soirée... Elle qui commençait plutôt bien pour toi avec l'arrivée de ce parchemin voilà qu'elle s’achève dans une douleur violente qui t'écrase autant le cœur que la tête, petite maiko.
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