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1 ... 9 ... 14, 15, 16Event #8 : Au songe du trépas
Kaede Uehara
Citation : i will be the one to watch you fall
Age : trente-sept
Rang : 94/100
Susanoo
Kaede Uehara
au songe du trépas
Il fallait parler.
Il fallait expliquer, il fallait préciser, il fallait donner un rapport succinct, qui aille au but sans détour avec les éléments importants. On te demande comment tu te sens — tu ne ressens rien, tu ne ressentiras rien jusqu'à ce qu'il ne faille plus être en alerte. Tu es professeure, tu étais auror, tes émotions sont enfouies quelque part jusqu'à nouvel ordre. Kaede n'est pas nécessaire ; Uehara l'est, un pilier auquel on se raccroche.
Ils ont débarrassé Shion de tes bras, ils l'ont allongée parmi d'autres. L'image ne te fait rien, la scène ne te choque nullement — si fréquenté la mort que luisent dans tes yeux catacombes — qu'importe combien ils empilent, combien les draps se teintent de rouge, combien sont déchirés les corps.
Un origami.
Tu le lis. Quelqu'un a besoin de toi, d'une tutrice, d'un adulte, d'une personne avec les bons mots et les bonnes actions. Tu t'excuses, mais demande une minute à un de tes collègues — celui à qui tu octroies toute ta confiance — et susurre quelques mots à son oreille. Quinze ans d'attente, quinze longues années que tu en fantasmes de mettre terme à cette histoire, de rendre justice, de réaliser cette promesse. Satoshi Ueda est sans aucun doute un partisan. Son fils est blessé à l'instant, mais il témoignera. et oh tu aurais aimé le clamer dans d'autres conditions.
Tu sauvais Akira, enfin.
Grandes foulées, qu'il est étrange de ne plus sentir ta crinière caresser ton dos, de sentir le vent contre ta nuque. Est-ce une fin ou un début, qu'en sais-tu, le moment en a en tout cas la saveur.
Et tu le vois.
Enlacé par un jeune Ueda, Shigemori à leurs côtés. Il paraît si faible, si fragile, si détruit, trop jeune et trop innocent pour assister à la mort. Le visage bouffi par les larmes, les yeux rouges et vides, l'uniforme trempé de sang. Ta main fonctionnelle se pose sur son épaule.
Kiyoshi, je suis là.
Tu ne diras pas que tout ira bien — tout ira mal.
Son directeur, son professeur, ses camarades et un mage noir veulent sa mort pour son sang. Ils le tueraient comme ils ont tué Miura.
C'est la tranchante
et blessante réalité, que tu ne peux lui dire. Il ne saurait comment la vivre. Il ne saurait prendre bien tes paroles d'adultes, tes paroles d'auror. Tu ne ressens rien, mais lui il ressent trop.
Tu es juste là.
Tu ne peux faire autre qu'être là.
tdlr; balance que le chef ueda est certainement un partisan aux aurors (oops) pck ça fait 15 ans que kaede veut le foutre en taule + va s'occuper de kiyoshi
Il fallait expliquer, il fallait préciser, il fallait donner un rapport succinct, qui aille au but sans détour avec les éléments importants. On te demande comment tu te sens — tu ne ressens rien, tu ne ressentiras rien jusqu'à ce qu'il ne faille plus être en alerte. Tu es professeure, tu étais auror, tes émotions sont enfouies quelque part jusqu'à nouvel ordre. Kaede n'est pas nécessaire ; Uehara l'est, un pilier auquel on se raccroche.
Ils ont débarrassé Shion de tes bras, ils l'ont allongée parmi d'autres. L'image ne te fait rien, la scène ne te choque nullement — si fréquenté la mort que luisent dans tes yeux catacombes — qu'importe combien ils empilent, combien les draps se teintent de rouge, combien sont déchirés les corps.
Un origami.
Tu le lis. Quelqu'un a besoin de toi, d'une tutrice, d'un adulte, d'une personne avec les bons mots et les bonnes actions. Tu t'excuses, mais demande une minute à un de tes collègues — celui à qui tu octroies toute ta confiance — et susurre quelques mots à son oreille. Quinze ans d'attente, quinze longues années que tu en fantasmes de mettre terme à cette histoire, de rendre justice, de réaliser cette promesse. Satoshi Ueda est sans aucun doute un partisan. Son fils est blessé à l'instant, mais il témoignera. et oh tu aurais aimé le clamer dans d'autres conditions.
Tu sauvais Akira, enfin.
Grandes foulées, qu'il est étrange de ne plus sentir ta crinière caresser ton dos, de sentir le vent contre ta nuque. Est-ce une fin ou un début, qu'en sais-tu, le moment en a en tout cas la saveur.
Et tu le vois.
Enlacé par un jeune Ueda, Shigemori à leurs côtés. Il paraît si faible, si fragile, si détruit, trop jeune et trop innocent pour assister à la mort. Le visage bouffi par les larmes, les yeux rouges et vides, l'uniforme trempé de sang. Ta main fonctionnelle se pose sur son épaule.
Kiyoshi, je suis là.
Tu ne diras pas que tout ira bien — tout ira mal.
Son directeur, son professeur, ses camarades et un mage noir veulent sa mort pour son sang. Ils le tueraient comme ils ont tué Miura.
C'est la tranchante
et blessante réalité, que tu ne peux lui dire. Il ne saurait comment la vivre. Il ne saurait prendre bien tes paroles d'adultes, tes paroles d'auror. Tu ne ressens rien, mais lui il ressent trop.
Tu es juste là.
Tu ne peux faire autre qu'être là.
tdlr; balance que le chef ueda est certainement un partisan aux aurors (oops) pck ça fait 15 ans que kaede veut le foutre en taule + va s'occuper de kiyoshi
Eirin Fujiwara
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18 ans
Rang : 76/100
Susanoo
Eirin Fujiwara
Si la vue de Ryuu presque intact la rassurait, celle, abominable, du cadavre encore chaud de sa cousine faisait monter dans sa bouche une bile acide ; elle y avait jeté un oeil dans un réflexe curieux, et pas un instant supplémentaire ne s'était-elle attardé sur l'horreur de ce spectacle. L'étreinte de Takamori, saturée d'un instinct paternel qu'elle n'aurait soupçonné—et peut-être même tâchée d'affection—n'eut pour effet que de lui serrer la gorge à outrance, dans un effort titanesque de refouler d'amers sanglots. Elle la lui rendit en gestes mécaniques, ses doigts fébrilement enroulés autour de ceux de Ryuu ; mais, aux ordres proférés, Eirin protesta. Attends, Takehiko. Je dois—je dois m'assurer de quelque chose.
Elle libéra un instant son frère de son inquiète prise et ses yeux voltigèrent, rougis par les vaisseaux éclatés, jusqu'à tomber sur une silhouette douloureusement familière ; Naomi sain et sauf, occupé par ses propres pairs. Si leurs regards ne se croisèrent, elle n'en resta pas moins soulagée—mais pas non plus satisfaite, car il manquait à ce funèbre appel celui à qui sa main avait été cédée. A peine trébuchait-elle sur les cailloux qu'il faisait son apparition, plus glorieux que jamais ; trop à fleur de peau pour s'embarrasser de fierté, Eirin se hâta à ses côtés et lui décocha un sourire si doux que fébrile, tirant de sa poche une fleur à demi écrasée—ton lys, murmura-t-elle avant d'en redorer l'apparence d'un reverte chuchoté et de le déposer précautionneusement dans sa main. L'iris se plongea alors dans celui de son promis, luisant des frêles larmes qu'elle se refusait à verser. J'ai eu peur qu'il te soit arrivé quelque chose.
Derrière lui se débattait Kaori, et la vision de sa cadette acheva de soulager Eirin, qui s'empressa de l'attirer entre ses maigres bras. Toi aussi ! Nous devrions rentrer. Kaori, se risqua-t-elle à susurrer, nous devrons nous voir, lors de ce mois de répit. Qu'importe le lieu, mais ne m'oublie pas. Elle conclut l'étreinte sur un léger baiser plaqué contre sa joue, et les tira tous les deux à sa suite.
(eirin s'assure que naomi est vivant, trouve ishvar et lui rend son lys + hug kaori et les tire pr qu'ils la rejoignent avec tt ce beau petit monde)
Elle libéra un instant son frère de son inquiète prise et ses yeux voltigèrent, rougis par les vaisseaux éclatés, jusqu'à tomber sur une silhouette douloureusement familière ; Naomi sain et sauf, occupé par ses propres pairs. Si leurs regards ne se croisèrent, elle n'en resta pas moins soulagée—mais pas non plus satisfaite, car il manquait à ce funèbre appel celui à qui sa main avait été cédée. A peine trébuchait-elle sur les cailloux qu'il faisait son apparition, plus glorieux que jamais ; trop à fleur de peau pour s'embarrasser de fierté, Eirin se hâta à ses côtés et lui décocha un sourire si doux que fébrile, tirant de sa poche une fleur à demi écrasée—ton lys, murmura-t-elle avant d'en redorer l'apparence d'un reverte chuchoté et de le déposer précautionneusement dans sa main. L'iris se plongea alors dans celui de son promis, luisant des frêles larmes qu'elle se refusait à verser. J'ai eu peur qu'il te soit arrivé quelque chose.
Derrière lui se débattait Kaori, et la vision de sa cadette acheva de soulager Eirin, qui s'empressa de l'attirer entre ses maigres bras. Toi aussi ! Nous devrions rentrer. Kaori, se risqua-t-elle à susurrer, nous devrons nous voir, lors de ce mois de répit. Qu'importe le lieu, mais ne m'oublie pas. Elle conclut l'étreinte sur un léger baiser plaqué contre sa joue, et les tira tous les deux à sa suite.
(eirin s'assure que naomi est vivant, trouve ishvar et lui rend son lys + hug kaori et les tire pr qu'ils la rejoignent avec tt ce beau petit monde)
Ieyasu Masamune
Citation : — "I'm not angry", he says angrily.
Age : 19 (02/11)
Amaterasu
Ieyasu Masamune
Et Ieyasu qui a la crainte à la bordure de ses dents ; qui est mu par d’atroces et interminables humiliations ; qui se voit consacré en improbable pilier ; ne peut empêcher le rire qui écharpe ses lèvres face aux assurances effrontées que nulle honte ne couvre, son corps inlassablement lié à celui de Kyōsuke que la fébrilité éprend : Ah ! C’est un très bon programme ça, mon épaule est tienne. Le bref éclat d’un instant il tangue dangereusement en malheureuse adéquation à son comparse. Attends juste— ce sont les bras tremblants que le roux en assure sa prise sur le corbeau, le corps voûté et harassé à l’affreux tumulte qui n’avait eu de cesse d’échoir sur leurs carcasses miséreuses en averse chaotique, avant de se redresser sous le joug d’un impromptu aplomb.
Tsukino—il en interpelle Akshar, la voix assurée d’une hardiesse nouvelle : je pars avec Kyōsuke chercher de quoi le soigner et nous rejoindrons le tramway. Le son sec d’un rire si tant aride à l’instar du sable de déserts perdus qu’il en ébranle son souffle. Si je respire encore, il en va de même pour Ishvar. Mes salutations à ton frère, nous ne reverrons sur le chemin, ou si les dieux ont l’âme charitable après cette débâcle, que bien plus tard. Érigé en chant du cygne vacillant sous le soutient qu’il offre au corbeau, et le gosier avide d’un échappatoire inespéré, Ieyasu adresse vague et ultime salutation à ses camarades d’infortune avant de mettre les voiles vers des horizons qu’il fantasme plus sereins.
ieyasu avec kyōsuke à son épaule dit hasta la vista
Tsukino—il en interpelle Akshar, la voix assurée d’une hardiesse nouvelle : je pars avec Kyōsuke chercher de quoi le soigner et nous rejoindrons le tramway. Le son sec d’un rire si tant aride à l’instar du sable de déserts perdus qu’il en ébranle son souffle. Si je respire encore, il en va de même pour Ishvar. Mes salutations à ton frère, nous ne reverrons sur le chemin, ou si les dieux ont l’âme charitable après cette débâcle, que bien plus tard. Érigé en chant du cygne vacillant sous le soutient qu’il offre au corbeau, et le gosier avide d’un échappatoire inespéré, Ieyasu adresse vague et ultime salutation à ses camarades d’infortune avant de mettre les voiles vers des horizons qu’il fantasme plus sereins.
ieyasu avec kyōsuke à son épaule dit hasta la vista
Naomi Fujiwara
Citation : la vengeance se mange froide
Age : 20
Rang : C2
Susanoo
Naomi Fujiwara
au songe du trépas
Ce n'est pas grave, Sora. L'important est que rien de grave ne te soit arrivé. Je suis arrivé alors que tu essayais tant bien que mal d'aider ici. la simple pensée de sa mort. elle te tue. tu aurais préféré t'ôter ta propre vie à cette nouvelle. de ton propre gré. plutôt qu'à l'ordre d'un furieux chef. Si tu avais été avec moi, tu te serais retrouvé sous les décombres du temple et je doute que ce soit mieux. un sourire. demi-rassuré. demi-peiné. par ces funestes heures. par ce retour. par les mauvais présages. libérés du dôme le ciel s'abat sur vous.
un rire à son cura. à sa réponse de sale gosse. le sortilège est bienvenue la douleur disparaît. tu pourras te déplacer normalement sans peine. ta main ébouriffes sa chevelure puis presse son crâne pour qu'il s'abaisse. il est trop grand. et parfois tu veux juste lui rappeler que c'est toi. le grand. Je crois que ça ira, pour l'instant. Il y a sûrement des blessés dans un pire état de que moi. et sûrement. la pensée te mortifie. des pauvres qui ont perdu la vie. des pauvres qui pleurent leurs pertes. des personnes qui n'ont pas ta chance.
à sa proposition tu hausses des épaules. tu pourrais rejoindre des amis. tu pourrais rejoindre une autre famille. mais ta place n'est nulle part désormais. il ne te reste que les côtés de sora. ça te suffit. tu n'espères pas grand chose de la vie. la présence de ton cousin est déjà trop. Mes talents en magie curative sont risibles, mais je pourrais certainement aider autrement.
encore un sourire. tu le regardes. encore un ébouriffage. Tu es remonté sur un balais, je suis fier de toi.
hrp se casse avec sora aider natsuo
Ange Ueda
Citation : risus abundat in ore stultorum -- à la bouche du sot, le rire abonde
Age : 17 (29/02)
Rang : 60/100 dsl
Amaterasu
Ange Ueda
Les doigts crispés autour de son sabre, il halète un instant et sent la pression menacer de s'échapper par ses omoplates, comme une paire d'ailes qu'on aurait coupée—alors il la retient dans une inspiration fébrile, conscient qu'au moindre relâchement c'est sa raison qui s'effondrera. Mais voir Mamoru, sentir son visage sous sa main déchire celui du renard d'un sourire soulagé à outrance ; il l'étreint et le serre et pendant quelques douces secondes rien n'a plus d'importance. L'esprit à vif incapable de se concentrer manquerait presque la fuite de Yume et celle de Kiyo—mécanisme de défense enfouit ces drames dans un coin de son crâne, consacre sa conscience en lambeaux à un amour fugace.
Evidemment qu'il brillait fort, j'ai tant pensé à toi, qu'il murmure contre sa peau, à peine suffisamment lucide pour apercevoir les lycoris qui la font rougir. Et c'est un demi-mensonge, d'abord préoccupé par l'agonie de son aîné ; il avait fallu que le pendentif heurte sa poitrine pour qu'il y pense, et le silence buté de son cousin pour qu'il s'inquiète. C'est quoi, ça ? Guère le temps d'articuler une réponse, ses lèvres happées dans un baiser—il rit entre deux danses, tente de s'exprimer. C'est rien—il t'embrasse—une égratignure—et encore—ça me fait—un autre, s'il te plaît—même pas mal. Il ne s'écarte que pour mieux te regarder, et conclue dans un sourire trop large : viens passer les vacances chez moi.
(ange embrasse mamoru à peu près 103 fois et lui propose (le supplie) de venir chez lui pour les vacances)
Evidemment qu'il brillait fort, j'ai tant pensé à toi, qu'il murmure contre sa peau, à peine suffisamment lucide pour apercevoir les lycoris qui la font rougir. Et c'est un demi-mensonge, d'abord préoccupé par l'agonie de son aîné ; il avait fallu que le pendentif heurte sa poitrine pour qu'il y pense, et le silence buté de son cousin pour qu'il s'inquiète. C'est quoi, ça ? Guère le temps d'articuler une réponse, ses lèvres happées dans un baiser—il rit entre deux danses, tente de s'exprimer. C'est rien—il t'embrasse—une égratignure—et encore—ça me fait—un autre, s'il te plaît—même pas mal. Il ne s'écarte que pour mieux te regarder, et conclue dans un sourire trop large : viens passer les vacances chez moi.
(ange embrasse mamoru à peu près 103 fois et lui propose (le supplie) de venir chez lui pour les vacances)
Azrael Nakagawa
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 33 (7/07/64)
Rang : 92
Susanoo
Azrael Nakagawa
AU SONGE DU TREPAS31.01.97
Cette pseudo guerre, qui a déjà trop durée – ça ne fait que commencer.
Cette journée, aux nombreux morts et blessés – il y en aura d’autres.
Cette année, où vous n’avez servi que de pantin – ce n’est qu’un renouveau.
Seimei n’a toujours pas été arrêté.
Les partisans de Yuutsu n’en ont pas terminé.
Kaede avait géré : rassemblant les troupes, t’entraînant jusqu’au quai – elle avait récupéré le corps inanimé de Shion, tandis que tu emportais celui qui avait créé cette mascarade – joignant ses efforts à ceux de ses collègues. Hidenori entre leurs mains, ton amie emportée, il t’avait fallu quelques instants pour te remettre en mouvement.
Tu avais finalement rejoint l’entrée du tramway, encourageant les derniers élèves à y entrer. Tu avais donné forme, toi aussi, à un patronus, rameutant les plus éloignés, apaisant les plus inquiets. Tu avais cherché tes fils, avait étreint Seiwa et Kaisei, avant de les sommer d’aller s’installer.
Et lorsque tout le monde fut rassemblé, seulement, tu y entrais à ton tour.
Tu y trouvais Ashe et venais l’enlacer.
Et dans tes pensées, Shion restait ancrée.
hrp : az a attendu que tout le monde soit dans le tramway pour y entrer à son tour, a hug ses trois fils, mais reste assombri par cette journée
Kaori Tsukiyomi
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 17 ans
Rang : B4
Ryujin
Kaori Tsukiyomi
Triste tableau baignée par les rayons solaire. Les larmes roulent sur les joues pâles des enfants et des blessés ; et il y a cette odeur qui lui comprime le coeur. Sa tête lui fait mal, ses paupières se ferment un instant et des visions étranges la happent, elle revoit ses mains baignées dans le sang de sa tendre tante ; et elle se noie légèrement dans ces souvenirs qu'elle aimerait raviver.
Inspiration. Elle revient à la réalité.
Le myocarde en émoi, ses vêtements se froissent sous sa main tremblante et elle suit son aîné qui cherche son frère ou sa promise. Et parmi cette foule en pleurs, elle entend le nom de sa lune bien-aimé ; elle s'est enfuit en compagnie de son cadet. Oeillade jetée vers son soleil noir (il est tombé tel Icare), et elle se mord tendrement la lèvre en le voyant endormi ; si seulement elle pouvait s'en approcher et murmurer un doux cura pour le laver de ses péchés. Elle l'avait tant admiré et il s'est effondré.
Son attention finalement saisi par la douce Fujiwara qui s'approche d'elle, l'étreinte la surprend et c'est dans ses bras qu'elle se perd un instant. L'iris attentive à l'apparence de la demoiselle, comment se fait-il que la belle semble si fatiguée, exténuée, alors que la seule chose qui embête Kaori, est ce sable dans ses souliers. Elle acquiesce d'un sourire à ses douces paroles et elle mêle ses doigts aux siens pour la suivre jusqu'au train ; vivement demain.
(Elle entend le nom de Rajan et Ishan qui se sont enfuit, elle est triste de voir Hidenori dans un sale état alors qu'il est si beau. Et pourquoi Eirin est toute fatigué, alors qu'elle est toute pimpante, mais elle la suit gentiment en mêlant ses doigts aux siens)
Inspiration. Elle revient à la réalité.
Le myocarde en émoi, ses vêtements se froissent sous sa main tremblante et elle suit son aîné qui cherche son frère ou sa promise. Et parmi cette foule en pleurs, elle entend le nom de sa lune bien-aimé ; elle s'est enfuit en compagnie de son cadet. Oeillade jetée vers son soleil noir (il est tombé tel Icare), et elle se mord tendrement la lèvre en le voyant endormi ; si seulement elle pouvait s'en approcher et murmurer un doux cura pour le laver de ses péchés. Elle l'avait tant admiré et il s'est effondré.
Son attention finalement saisi par la douce Fujiwara qui s'approche d'elle, l'étreinte la surprend et c'est dans ses bras qu'elle se perd un instant. L'iris attentive à l'apparence de la demoiselle, comment se fait-il que la belle semble si fatiguée, exténuée, alors que la seule chose qui embête Kaori, est ce sable dans ses souliers. Elle acquiesce d'un sourire à ses douces paroles et elle mêle ses doigts aux siens pour la suivre jusqu'au train ; vivement demain.
(Elle entend le nom de Rajan et Ishan qui se sont enfuit, elle est triste de voir Hidenori dans un sale état alors qu'il est si beau. Et pourquoi Eirin est toute fatigué, alors qu'elle est toute pimpante, mais elle la suit gentiment en mêlant ses doigts aux siens)
L'Éventail
Citation : La goutte de sang tomba, et l'estampe se dessina
Age : Vieux
Personne
L'Éventail
Le dernier jour de l’année est enfin arrivé. Il s’agit d’un de ces jours uniques, qui restera gravé dans les mémoires. Mais il ne serait pas heureux. Dès le début, ils auraient dû le remarquer, mais personne n’avait conscience du danger. Combien de blessés, de morts, et d’esprits brisés par leur ignorance ? Il est trop tôt pour le dire. L’île doit d’abord être passée au peigne fin pour éliminer toute forme d’opposition, humaine ou yōkai.
Déjà la rumeur fait son chemin, et raconte à qui veut l’entendre que la ministre a promis des mesures fortes pour la jeunesse magique, que tout sera mis en œuvre pour que les cours reprennent à la date prévue. Viennent également des informations plus funestes : certes Hidenori Kurosawa a été capturé et mis aux fers, mais Seimei et quelques uns de ses partisans ont réussi à fuir vers une destination inconnue.
Le vent dans les arbres tente d'apaiser les âmes chavirées. Mais là au haut, le palais de jade crache des torrents de flammes. Soudain un craquement sinistre résonne, la majestueuse ploie sous les assauts répétés, et casse, emportant dans une épaisse fumée embrasée mille ans d’histoires. Une même pensée traverse alors tous les esprits : rien ne serait plus jamais pareil, à Mahoutokoro.
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