(Poisson d'avril) Retour sur les terres rosées
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L'extrémité de tes cheveux nouée en une longue tresse dansait à l'arrière de ton dos proprement dressé, parfaite démarche de paire avec l'élégance du moment. Ton impulsive énergie s'éteignait dans les flots impétueux qu'offraient ses prunelles et tu réservais à Kaori ce sobre sourire qui embellissait tes traits. On trouvait un charme unique dans la douce accalmie qui remplaçait cette personnalité calamiteuse, et c'est à elle que tu le devais.
"C'est avec les fragrantes fleurs de cerisiers s'égaillant au ciel, un de ces soirs de printemps qui ne devraient jamais finir."
Il n'y a pas si longtemps, tu lui avais déjà partagé les vers de cet auteur—et ton regard coula vers elle pour capturer son expression faciale. Le tableau semblait idyllique. Une tenue plus légère suivait les généreuses courbes de ton corps, contrastant avec les larges tissu voilant les silhouettes alentours ; le contraste te plaisait. Démunie sans la sensation d'une arme, sa présence recouvrait tes instincts d'une étonnante placidité.
Même de jour, la lune paraît belle. Ah, j'aimerais tant t'inviter à danser !
"C'est avec les fragrantes fleurs de cerisiers s'égaillant au ciel, un de ces soirs de printemps qui ne devraient jamais finir."
Il n'y a pas si longtemps, tu lui avais déjà partagé les vers de cet auteur—et ton regard coula vers elle pour capturer son expression faciale. Le tableau semblait idyllique. Une tenue plus légère suivait les généreuses courbes de ton corps, contrastant avec les larges tissu voilant les silhouettes alentours ; le contraste te plaisait. Démunie sans la sensation d'une arme, sa présence recouvrait tes instincts d'une étonnante placidité.
Même de jour, la lune paraît belle. Ah, j'aimerais tant t'inviter à danser !
résumé : hi- akina débarque avec kaori
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Habituellement, je n’aurais jamais fait cela, après tout je n’avais aucun vêtement de la sorte – féminin – et bien que parfois l’envie me brûlait le cœur, je n’avais jamais sauté le pas – comme prisonnière de sa voix. Mais les douces sonates s’échappant de ta gorge, Kaori, m’avait convaincu – donné envie d’essayer – et sans une parole je t’avais laissé me préparer.
Un kimono blanc serré à l’aide d’un obi doré, un haori s’accordant à mes cheveux que tu avais attaché en une tresse sur le côté (et je ne pense pas avoir été aussi féminine une fois dans ma vie).
Je t’ai remercié d’un grand sourire.
Parce qu’en réalité, malgré la gêne qui m’enlaçait, j’étais heureux-heureuse – de pouvoir être ainsi aujourd’hui.
Alors en ta compagnie – et celle de Minami – j’ai porté mes pas sous les cerisiers, un regard vers les pétoles rosées, un sourire sur mes lèvres. D’un signe de main (et d’une petite voix certainement), je m’éloignais d’elles, afin d’attendre sous un arbre. C’était étrange, trop étrange.
Peut-être allait-il rire de mon apparence, auquel cas je le ferais aussi.
Mais Kaori, je le sais, à fait un bon travail (n’est-elle pas adorable, je suis heureuse d’être dans sa chambre).
Et du bout des doigts, je touche le tissu, c’est doux. Agréable.
Peut-être est-ce que ce sera une belle journée.
Un kimono blanc serré à l’aide d’un obi doré, un haori s’accordant à mes cheveux que tu avais attaché en une tresse sur le côté (et je ne pense pas avoir été aussi féminine une fois dans ma vie).
Je t’ai remercié d’un grand sourire.
Parce qu’en réalité, malgré la gêne qui m’enlaçait, j’étais heureux-heureuse – de pouvoir être ainsi aujourd’hui.
Alors en ta compagnie – et celle de Minami – j’ai porté mes pas sous les cerisiers, un regard vers les pétoles rosées, un sourire sur mes lèvres. D’un signe de main (et d’une petite voix certainement), je m’éloignais d’elles, afin d’attendre sous un arbre. C’était étrange, trop étrange.
Peut-être allait-il rire de mon apparence, auquel cas je le ferais aussi.
Mais Kaori, je le sais, à fait un bon travail (n’est-elle pas adorable, je suis heureuse d’être dans sa chambre).
Et du bout des doigts, je touche le tissu, c’est doux. Agréable.
Peut-être est-ce que ce sera une belle journée.
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pour la première fois de sa vie, florence allait pouvoir voir des cerisiers en fleur -les vrais, les seuls, pas en photo ni en mouvements plats, mais avec ses propres yeux, jusqu'à les sentir avec son propre nez.
autant dire que le trajet en train fût mouvementé, et que les dieux louent hiiro pour, à vous de choisir, sa patience sans borne ou son excitation tout aussi exacerbée par cette sortie surprise.
armée de sa baguette française (la pas bonne de la boutique, tristement), florence avait pioché dans ses réserves de fromages importés de france pour l'occasion et s'était fendue, dans le train même, d'explications beaucoup trop poussée sur chaque frometon et des moisissures qui les accompagnait. là, on pouvait dire qu'hiiro était spécialiste du comté, vu comment florence s'était extasié dessus (approximativement la moitié du trajet).
une fois arrivée -mais quelle merveille !
DU ROSE PARTOUT.
sans que ce ne soit tout à fait étonnant, florence en perdit ses mots à la vue de tant de cette couleur enivrante, si bien qu'elle en oublia de kidnapper quelqu'un pour l'accompagner -jusqu'à ce qu'elle s'en rende compte, le besoin impérieux de s'extasier (et d'être validée) prenant de plus en plus de place.
elle tomba (presque littéralement, le nez en l'air) sur sora qui, elle le décida, fera une victime merveilleuse. sora ! s o r a ! tu as vu cette couleur ? c'est magnifique ! et le vent dedans ! et quand ça tombe doucement ! et il y en a partout ! mais partout ! sur toutes les branches ! et ça sent teeeeeeellement bon !! ça donne envie d'en manger. ah, j'ai envie de mochi. j'en ai pas emmené. AH MAIS j'ai du fromage si tu veux ! et de la baguette dégueux. désolée. elle n'était pas le moins du monde désolée.
autant dire que le trajet en train fût mouvementé, et que les dieux louent hiiro pour, à vous de choisir, sa patience sans borne ou son excitation tout aussi exacerbée par cette sortie surprise.
armée de sa baguette française (la pas bonne de la boutique, tristement), florence avait pioché dans ses réserves de fromages importés de france pour l'occasion et s'était fendue, dans le train même, d'explications beaucoup trop poussée sur chaque frometon et des moisissures qui les accompagnait. là, on pouvait dire qu'hiiro était spécialiste du comté, vu comment florence s'était extasié dessus (approximativement la moitié du trajet).
une fois arrivée -mais quelle merveille !
DU ROSE PARTOUT.
sans que ce ne soit tout à fait étonnant, florence en perdit ses mots à la vue de tant de cette couleur enivrante, si bien qu'elle en oublia de kidnapper quelqu'un pour l'accompagner -jusqu'à ce qu'elle s'en rende compte, le besoin impérieux de s'extasier (et d'être validée) prenant de plus en plus de place.
elle tomba (presque littéralement, le nez en l'air) sur sora qui, elle le décida, fera une victime merveilleuse. sora ! s o r a ! tu as vu cette couleur ? c'est magnifique ! et le vent dedans ! et quand ça tombe doucement ! et il y en a partout ! mais partout ! sur toutes les branches ! et ça sent teeeeeeellement bon !! ça donne envie d'en manger. ah, j'ai envie de mochi. j'en ai pas emmené. AH MAIS j'ai du fromage si tu veux ! et de la baguette dégueux. désolée. elle n'était pas le moins du monde désolée.
résumé : florence est hyperactive, bcp trop hypée par la sortie ; dans le train elle est avec hiiro (à faire un exposé sur les fromages) et à la sortie elle phase out bc c'est trop beau et tombe sur sora
Juri Endo
Citation : La couverture d'un livre ne signifie rien, tout est dans le contenue !
Age : 25 (26/04/1973)
Rang : A3
Ryujin
Juri Endo
En sortant de ton appartement aujourd'hui, tu avais trouvé un livre sur un jolie panier d'osier, c'était clairement une invitation pour la sortie à Kyoto...
Tu ne voulais pas trop y aller mais, le cuisiner lui pense que cela te ferait sûrement du bien.
Tu pourrais passer chez toi, Juri pour récupérer deux trois bricole dont tu as besoin à Mahoutokoro et peut-être déposer des fleurs sur la tombe de Kai.
Le chemin fut rapide, un peu ennuyant si tu n'avais pas apporter un livre avec toi, une fois arrivé à Kyoto les cerisiers en fleurs te firent doucement sourire.
Tu avançais avec les élèves pour le parc privatiser pour cette journée, tu porte une robe de ta mère pour l’occasion, une robe européenne, un peu courte pour la saison mais, tu voulais faire honneur.
De couleur rouge avec une veste blanche, de petite ballerines noirs, tes longs cheveux voltaient au gré du vent.
Une journée pour le moins calme sauf que tu devais rester sur tes garde, Rei n’était pas loin de toi non plus, très curieuse de ce repas géant.
hrp : Juri pas vraiment réjouis par la sortie et un peu obligé d'y aller à cause d'une certaine personne, fait honneur à sa mère en portant l'une de ses robes et compte profiter de cette journée avec Rei !
Tu ne voulais pas trop y aller mais, le cuisiner lui pense que cela te ferait sûrement du bien.
Tu pourrais passer chez toi, Juri pour récupérer deux trois bricole dont tu as besoin à Mahoutokoro et peut-être déposer des fleurs sur la tombe de Kai.
Le chemin fut rapide, un peu ennuyant si tu n'avais pas apporter un livre avec toi, une fois arrivé à Kyoto les cerisiers en fleurs te firent doucement sourire.
Tu avançais avec les élèves pour le parc privatiser pour cette journée, tu porte une robe de ta mère pour l’occasion, une robe européenne, un peu courte pour la saison mais, tu voulais faire honneur.
De couleur rouge avec une veste blanche, de petite ballerines noirs, tes longs cheveux voltaient au gré du vent.
Une journée pour le moins calme sauf que tu devais rester sur tes garde, Rei n’était pas loin de toi non plus, très curieuse de ce repas géant.
hrp : Juri pas vraiment réjouis par la sortie et un peu obligé d'y aller à cause d'une certaine personne, fait honneur à sa mère en portant l'une de ses robes et compte profiter de cette journée avec Rei !
Kayo Awataguchi
Citation : dans l'attente du printemps éternel
Age : dix-sept ans
Rang : C3
Seimei
Kayo Awataguchi
Extatique à l’idée de cette excursion sous les cerisiers du pavillon d’or, Kayo s’était glissée dans son kimono le plus doux, brodé tout du long de motifs floraux, et à peine descendue du train, elle s’était hâtée de rejoindre le parc, resplendissant sous la neige de pétales. La voilà installée sur un petit banc, fouillant frénétiquement dans le petit sac qu’elle avait emporté avec elle, d’où elle extirpe une boîte. En son sein, quelques daifuku qu’elle s’apprête à dévorer, avant d’apercevoir la silhouette familière de Florence. Alors, elle se redresse et se faufile jusqu’à elle, attrapant au vol quelques une de ses exclamations (du fromage ? ew). Florence, tu es là ! Tu vas bien ? J’ai des daifuku, t’en veux ? C’est à cet instant qu’elle remarque que le garçon qui se tenait à ses côtés est, en fait, extrêmement grand, et donc un peu intimidant pour la naine qu’elle est. Malgré tout, prenant son courage à deux mains, elle tend la boite entre eux, soufflant : Toi aussi, si tu veux.
(kayo se ramène avec des daifuku, repère florence et fonce sur elle, et entreprend de lui offrir, ainsi qu'à sora les dits daifuku)
(kayo se ramène avec des daifuku, repère florence et fonce sur elle, et entreprend de lui offrir, ainsi qu'à sora les dits daifuku)
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respire
ils avaient capturé pour eux la douceur des cerisiers -ange déjà adossé sur l'herbe, prêt à tâcher son si précieux kimono ; quelle idée, mamoru, de le lui donner
je crois qu'il aurait été encore plus ravi si tu lui avais prêter (c'est plus proche encore de toi)
et peut-être alors aurait-il été conscient de l'environnement -qu'importe !
moi je déplie la nappe, quadrillée de blanc et de jaune, en ce tout début de mois d'avril
c'est étrange que de ne pas avoir ses cheveux dans son champ de vision, c'est étrange que de sentir les barrettes parfois piquer ma peau et ah mamoru arrête de souffler, tu ne m'aura pas fait changer mon pull noir pour autre chose
qu'importe tes arguments
et alors que je dispose sur la table improvisée cette nourriture sensée nous caler (basée surtout sur des sucreries qui nous feront des caries), je lève les yeux vers toi -ah. désolé. je n'arrive pas à dissocier les fleurs de cerisiers à cette fois-ci, il y a quelques années,
tu sais.
t'y étais allé, l'année dernière, yume ? à kyoto ? moi les cerisiers ça ne me remue plus autant qu'avant -je les vois chaque année, et je me dis qu'on a bien de la chance, et maintenant ça me procure de la paix.
(hrp : dad!kiyo prépare la table, surveille les enfants, parle à yume)je crois qu'il aurait été encore plus ravi si tu lui avais prêter (c'est plus proche encore de toi)
et peut-être alors aurait-il été conscient de l'environnement -qu'importe !
moi je déplie la nappe, quadrillée de blanc et de jaune, en ce tout début de mois d'avril
c'est étrange que de ne pas avoir ses cheveux dans son champ de vision, c'est étrange que de sentir les barrettes parfois piquer ma peau et ah mamoru arrête de souffler, tu ne m'aura pas fait changer mon pull noir pour autre chose
qu'importe tes arguments
et alors que je dispose sur la table improvisée cette nourriture sensée nous caler (basée surtout sur des sucreries qui nous feront des caries), je lève les yeux vers toi -ah. désolé. je n'arrive pas à dissocier les fleurs de cerisiers à cette fois-ci, il y a quelques années,
tu sais.
t'y étais allé, l'année dernière, yume ? à kyoto ? moi les cerisiers ça ne me remue plus autant qu'avant -je les vois chaque année, et je me dis qu'on a bien de la chance, et maintenant ça me procure de la paix.
Fuyuki Awataguchi
Citation : Tout bois est gris quand il est réduit en cendres.
Age : 27 ans
Rang : A2
Susanoo
Fuyuki Awataguchi
Résumé : fuyuki a vrm trop chaud en noir, il veut crever pace que takeo bouge partout
Son skin du jour : JUSTE ICI
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Habillé d’un Kimono d’un orange clair parsemé de pissenlit et de tache blanche, coiffé et maquillé légèrement, tu avançais d’un pas gracieux yuki, un sourire clair sur ton visage, tu portais ton petit panier repas avec la grâce d’une grue.
Shinjo t’accompagnais sauf qu’aujourd’hui tu n’avais qu’un objectif et elle allait te gêner plus qu’autre chose…
Tu croisa ton objectif du regard déjà entouré de sa famille… Tu grimace en serrant l’anse de ton panier, toi qui avait tout préparer tôt ce matin… avec l’autorisation du cuisinier évidemment, tu était déçu de le voir déjà manger.
Tu t’installe non loin du groupe asahi, observant sujiro, voyant bien qu’il n’allait pas fort, tu le savais, à chaque fois qu’il parle de sa famille, il bafouille et tient des propos qui te font mal au cœur.
Pour le moment, tu installe ta nappe prévue pour cette journée à terre et t’installe dessus, en attendant la suite des événements.
hrp : yuki est déçu de voir sujiro loin d'elle, s'installe pas loin du groupe asahi et déballe le repas qu'elle a préparer
Kimono
Shinjo t’accompagnais sauf qu’aujourd’hui tu n’avais qu’un objectif et elle allait te gêner plus qu’autre chose…
Tu croisa ton objectif du regard déjà entouré de sa famille… Tu grimace en serrant l’anse de ton panier, toi qui avait tout préparer tôt ce matin… avec l’autorisation du cuisinier évidemment, tu était déçu de le voir déjà manger.
Tu t’installe non loin du groupe asahi, observant sujiro, voyant bien qu’il n’allait pas fort, tu le savais, à chaque fois qu’il parle de sa famille, il bafouille et tient des propos qui te font mal au cœur.
Pour le moment, tu installe ta nappe prévue pour cette journée à terre et t’installe dessus, en attendant la suite des événements.
hrp : yuki est déçu de voir sujiro loin d'elle, s'installe pas loin du groupe asahi et déballe le repas qu'elle a préparer
Kimono
Sora Nishimura
Citation : don't ever try to judge me dude
Age : 19 ans depuis le 7 aôût
Rang : 74/100
Orochi
Sora Nishimura
retour sur les terres roses
hrp : sora kiff le moment avec florence et kayo, montre un étalage avec des mochis à la première et accepte l'idée de manger un daifuku de la seconde ; pour la tenue de Sora actuelle, c'est www ici mamamia
Naomi Fujiwara
Citation : la vengeance se mange froide
Age : 20
Rang : C2
Susanoo
Naomi Fujiwara
des sourires fanés qui se recroquevillent à la moindre solitude. les hanamis étaient jolis mais inondé par la mélancolie tu n'en saisissais la chaleur. parti chercher de l'eau tu t'aperçus que ton cousin n'eut à supporter longtemps le manque de compagnie. tu pus entendre comment sora s'adressa à l'une d'elle et se recousu une risette. un main sur son épaule pour signaler ton retour «jeune fille», les cerisiers t'ont-ils transformé en grand-père, sora? l’œil scrutait les deux filles, tu reconnaissais l'une des poursuiveuses kitsune et l'éternelle spectatrice des entraînements de quidditch. je suis naomi.
hrp naomi rejoint sora, kayo et florence cc.
hrp naomi rejoint sora, kayo et florence cc.
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Retour sur les terres rosées
tout au bout de nos peines cendrées
05.04.1997 (event ♥)
et parfois les couleurs suffisent à embellir les choses ; la solitude a le goût lassant des fleurs de cerisier mais il suffit d’ouvrir les yeux
((d’oser))
ah si vous saviez c’est compliqué en ce moment – il y a des origamis plein le ciel
et si l’un me rappelle masashige, je sais que les autres prendront la couleur des joues de mamoru ou des sourires de kiyo
et je crois oui, je crois – que c’est une trop belle journée pour rester seule à invoquer le passé
alors j’hâte mes doigts, alors je me relève après avoir plié le morceau de papier contre mon cœur, alors je viens vers vous.
vous êtes là – c’est un bout de chevelure rose comme un cœur et cette bouche qui se fend des paysages de mes terres natales, c’est cette enfant blanche que j’ai appris à aimer dans le secret d’une soirée improvisée ((la boulette de riz, ta cellule)), c’est ces chevelures noires et grises que je ne connais pas encore
c’est mes mains qui se tendent déjà vers la boîte de daifuku, Flo, kayo ! je peux vous en piquer un ? et un sourire maculé de rose à l’attention des deux inconnus Salut, moi c’est Marie-Jeanne ! Ou maria comme vous préfèrez. Enchantée en tout cas !
et la robe qui glisse contre mes jambes est blanche, blanche – et les pensées qui filent entre mes doigts sont si ternes parfois
ah ! souriez-moi, j’ai besoin de vous dessiner des étoiles.
hrp: marie-jeanne rejoint le groupe de kayo et se tape l'incruste oklm.
((d’oser))
ah si vous saviez c’est compliqué en ce moment – il y a des origamis plein le ciel
et si l’un me rappelle masashige, je sais que les autres prendront la couleur des joues de mamoru ou des sourires de kiyo
et je crois oui, je crois – que c’est une trop belle journée pour rester seule à invoquer le passé
alors j’hâte mes doigts, alors je me relève après avoir plié le morceau de papier contre mon cœur, alors je viens vers vous.
vous êtes là – c’est un bout de chevelure rose comme un cœur et cette bouche qui se fend des paysages de mes terres natales, c’est cette enfant blanche que j’ai appris à aimer dans le secret d’une soirée improvisée ((la boulette de riz, ta cellule)), c’est ces chevelures noires et grises que je ne connais pas encore
c’est mes mains qui se tendent déjà vers la boîte de daifuku, Flo, kayo ! je peux vous en piquer un ? et un sourire maculé de rose à l’attention des deux inconnus Salut, moi c’est Marie-Jeanne ! Ou maria comme vous préfèrez. Enchantée en tout cas !
et la robe qui glisse contre mes jambes est blanche, blanche – et les pensées qui filent entre mes doigts sont si ternes parfois
ah ! souriez-moi, j’ai besoin de vous dessiner des étoiles.
hrp: marie-jeanne rejoint le groupe de kayo et se tape l'incruste oklm.
Takeo Shikibu
Citation : The easiest enemy. Can only deal 1 damage.
Age : 29 ans. 16/04/1968.
Rang : -
Seimei
Takeo Shikibu
C'est dans la difficulté que les vrais amis se révèlent : ce fut l'un des conseils de ses grands parents, et dans la terrible difficulté que représentait les fleuraisons d'avril, Takeo avait trouvé du soutien. Jeannette survivrait, il le lui avait assuré—et sa noble tentative de consolation lui arracha un sourire.
Bien entendu, Fuyuki aurait été plus efficace s'il cherchait une solution au problème plutôt qu'à déblatérer sur la chaleur, mais le botaniste ne lui en tint pas rigueur. Il éprouvait une tolérance logique à quiconque ne considérait pas ses problèmes comme le centre du monde.
Ta sollicitude me touche, mais tu n'es pas au cœur du problème, rappella-t-il.
L'égocentrisme, entre bien des choses, le révulsait ! N'avait-on pas idée de détourner ainsi le sujet vers soi-même, lorsque des éléments tels que Jeannette entraient en jeu ?
Jeannette est ma plante de poche. Je l'aurais bien emmenée, mais j'ai dû faire des sacrifices pour que le UNO rentre dans mon sac.
Il retint un sanglot, parfait jeu d'acteur troublé d'un éclat de rire étouffé—et, reprenant aussitôt son sérieux, Takeo désigna son sac de son pouce, lequel contenait un copieux repas.
J'ai pas d'amis alors... tu veux qu'on mange ensemble ?
Autour d'eux, les élèves s'activaient, cherchaient le réconfort de ce superbe panorama. Entre dépit et désillusion, Takeo perdit son sourire—la sérénité de tels instants ne durait jamais très longtemps.
Bien entendu, Fuyuki aurait été plus efficace s'il cherchait une solution au problème plutôt qu'à déblatérer sur la chaleur, mais le botaniste ne lui en tint pas rigueur. Il éprouvait une tolérance logique à quiconque ne considérait pas ses problèmes comme le centre du monde.
Ta sollicitude me touche, mais tu n'es pas au cœur du problème, rappella-t-il.
L'égocentrisme, entre bien des choses, le révulsait ! N'avait-on pas idée de détourner ainsi le sujet vers soi-même, lorsque des éléments tels que Jeannette entraient en jeu ?
Jeannette est ma plante de poche. Je l'aurais bien emmenée, mais j'ai dû faire des sacrifices pour que le UNO rentre dans mon sac.
Il retint un sanglot, parfait jeu d'acteur troublé d'un éclat de rire étouffé—et, reprenant aussitôt son sérieux, Takeo désigna son sac de son pouce, lequel contenait un copieux repas.
J'ai pas d'amis alors... tu veux qu'on mange ensemble ?
Autour d'eux, les élèves s'activaient, cherchaient le réconfort de ce superbe panorama. Entre dépit et désillusion, Takeo perdit son sourire—la sérénité de tels instants ne durait jamais très longtemps.
résumé : ne boude plus, propose à Fuyuki de manger ensemble
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Invité
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Incroyable, elle est seule.
Mais où est Suji...
Je ne le vois pas... Ah si, il est là.
Il a l'air bien occupé, entouré de beaucoup de personnes de différents âges: on doit être sur de la famille.
Dû la solitude de Yuki... à la fois je suis triste pour elle et en même temps contente pour moi.
Bon, finalement, on va avoir du temps pour nous, et ça c'est bien.
Yuki est venue en Kimono et ça lui va super bien !
D'ailleurs moi aussi je suis toute belle.
Ce travaille de préparation en équipe, en amont, a portée ses fruits.
Je suis fier du travail accomplit et du soin apporté.
C'était surtout aussi le moyen de me faire des cours de rappels sur les bases des critères de beauté et de mode.
Aujourd'hui, il y avait le choix, y compris d'être plus traditionaliste.
Hop, on remet tout cela en place, on respire un grand coup et c'est partit !
"Yuki ! Contente d'avoir pu te retrouver.
M'autorise tu a me joindre a toi ?"
Je lui fait ma petite moue classique mais mimi, pour lui montrer que je n'ai pas oubliée ses leçons et ses précieux conseils.
resume: Shinjo profite de la solitude de yuki pour la rejoindre, lui présentant tout le soin apporté a son image.
Mais où est Suji...
Je ne le vois pas... Ah si, il est là.
Il a l'air bien occupé, entouré de beaucoup de personnes de différents âges: on doit être sur de la famille.
Dû la solitude de Yuki... à la fois je suis triste pour elle et en même temps contente pour moi.
Bon, finalement, on va avoir du temps pour nous, et ça c'est bien.
Yuki est venue en Kimono et ça lui va super bien !
D'ailleurs moi aussi je suis toute belle.
Ce travaille de préparation en équipe, en amont, a portée ses fruits.
Je suis fier du travail accomplit et du soin apporté.
C'était surtout aussi le moyen de me faire des cours de rappels sur les bases des critères de beauté et de mode.
Aujourd'hui, il y avait le choix, y compris d'être plus traditionaliste.
Hop, on remet tout cela en place, on respire un grand coup et c'est partit !
"Yuki ! Contente d'avoir pu te retrouver.
M'autorise tu a me joindre a toi ?"
Je lui fait ma petite moue classique mais mimi, pour lui montrer que je n'ai pas oubliée ses leçons et ses précieux conseils.
resume: Shinjo profite de la solitude de yuki pour la rejoindre, lui présentant tout le soin apporté a son image.
Seimei
Citation : Notre heure arrive.
Age : Inconnu
Rang : Inconnu
Seimei
Seimei
Que serait les festivités sans de grands invités. Un légère brise se lève et une part du paysage de déforme, un sort de transplanage. La douceur des cerisiers se retrouvent soudainement glacée par la présence de cet homme de si mauvaise augure. Un sourire finement tiré sur ses lippes, nul aucun doute il s’agissait bien là de Semei. Il s’avance alors de l’intention se porte sur lui et sa voix s’élève. « Eh bien, eh bien, quelle charmante petite assemblée. J'ai été quelque peu déçu et triste de ne pas recevoir d'invitation. »
Akihiro Mori
Citation : Maybe I'm nothing. But it's still something anyway
Age : 30 ans
Rang : B2
Seimei
Akihiro Mori
Une brise printanière agite les cerisiers dont les feuilles s’agitent et déposent parfois des pétales. Akihiro s’est préparé à célébrer l’évènement. Un moment de partage et d’unification, un symbole qui dans la tradition ancre quelques instants de paix. Bien que les lieux ne soient pas autorisés aux non mages, il y trouve satisfaction de voir autant de têtes réunies. Toutes les excuses et prétextes sont bons pour y participer. Le sien ? Depuis la veille il préparait des bentos surprises. Chacun y trouvera surement quelque chose de différent, mais la composition reste la même : pâtisseries traditionnelles aux goûts différents de la couleur annoncée afin de tromper les papilles et susciter la stupeur dans les regards. Il ne s’inquiétait pas quant à la saveur appréciée ou non. Un repas composé : entrée sous forme d’amuses bouches, plat principal, chaud ou froid, du riz en accompagnement ainsi que diverses sauces préparées par ses soins et emballée dans des sphères comestibles par magie. Chaque bento est unique, malgré l’apparence de la boite qui elle reste la même. Le contenu varie et le cuisinier se fait une joie d’y voir là un moyen de communiquer, d’échanger. Quoi de mieux après tout que l’appel de l’estomac pour échanger ce qui plaira ou non avec d’autres ? Tout n’est qu’une question de goût et peut-être d’affinité. Quelques bouteilles et boissons sont également disposés sur une nappe à côté de celle des boites. Le tout effectué gratuitement pour l’occasion.
Le presque trentenaire soupire en fermant les yeux, appréciant les rayons d’un soleil paresseux, néanmoins fort généreux d’avoir fait acte de présence. Il ouvre un œil, sourit derrière son masque en reconnaissant les visages, se délectant des sourires communicatifs et de la présence des plus austères. Lui considère cet endroit et ces gens, inconnus ou non comme une grande famille et que la réciproque soit vraie ou fausse lui importe peu tant que le sentiment réchauffe à l’abris des regards son cœur battant.
Résumé : Bentos surprises composés d’un plat principal (chaud ou froid), riz et sauce (au hasard), pâtisseries traditionnelles en trompe l’œil (au hasard). Boissons à disposition et un cuisinier heureux
Le presque trentenaire soupire en fermant les yeux, appréciant les rayons d’un soleil paresseux, néanmoins fort généreux d’avoir fait acte de présence. Il ouvre un œil, sourit derrière son masque en reconnaissant les visages, se délectant des sourires communicatifs et de la présence des plus austères. Lui considère cet endroit et ces gens, inconnus ou non comme une grande famille et que la réciproque soit vraie ou fausse lui importe peu tant que le sentiment réchauffe à l’abris des regards son cœur battant.
Résumé : Bentos surprises composés d’un plat principal (chaud ou froid), riz et sauce (au hasard), pâtisseries traditionnelles en trompe l’œil (au hasard). Boissons à disposition et un cuisinier heureux
Maiko Kondo
Citation : Les fleurs tombées ne retournent pas à leurs branches.
Age : 18
Rang : C3
Amaterasu
Maiko Kondo
Cette voix, horripilante te fait lever Maiko, le printemps que tu tolère habillé d'une simple robe rouge te fait frisonner de colère et de combat sauf qu'à tes côtés...
Mariko te regarde avec de grand yeux alors qu'elle protège junko et hina qui se joint à vous le temps du repas...
Ton cœur bat bien trop vite et malgré que Mariko soit armé de son sabre et malgré que vous êtes les aînées, tu as peur maiko, peur de ce qui est arrivé fin janvier recommence...
Que dois-tu faire ?
Plus tu réfléchis, plus rien ne te vient à l'esprit, sauf de protéger tes jeunes cousines, tes espoirs pour les Kondo et surtout ne pas prendre de décision trop dangereuse.
- au moindre pas de cet homme, tu fuis avec les petites, mariko, compris ?
Mariko sait que tu ne plaisante pas, et doucement, tranquillement, tu sort ta baguette.
hrp : Maiko arrête la déprime, la colère monte, fait entrer en pnj ses charmantes cousines à qui elle dit de fuir au moindre pas de Seimei
Mariko te regarde avec de grand yeux alors qu'elle protège junko et hina qui se joint à vous le temps du repas...
Ton cœur bat bien trop vite et malgré que Mariko soit armé de son sabre et malgré que vous êtes les aînées, tu as peur maiko, peur de ce qui est arrivé fin janvier recommence...
Que dois-tu faire ?
Plus tu réfléchis, plus rien ne te vient à l'esprit, sauf de protéger tes jeunes cousines, tes espoirs pour les Kondo et surtout ne pas prendre de décision trop dangereuse.
- au moindre pas de cet homme, tu fuis avec les petites, mariko, compris ?
Mariko sait que tu ne plaisante pas, et doucement, tranquillement, tu sort ta baguette.
hrp : Maiko arrête la déprime, la colère monte, fait entrer en pnj ses charmantes cousines à qui elle dit de fuir au moindre pas de Seimei
Sora Nishimura
Citation : don't ever try to judge me dude
Age : 19 ans depuis le 7 aôût
Rang : 74/100
Orochi
Sora Nishimura
retour sur les terres roses
Car voilà qu'il arrive, cet homme imposant, à l'aura massacrante. La chair de poule naît sur la peau du préfet qui se dresse automatiquement comme un bouclier, comme un rempart devant son cousin et Florence. Une phrase, de celle qui cloue au sol, qui donne envie de prendre ses jambes à son cou. Mais non, il reste la, la main à l'entrée de son Kimono, prêt à dégainer sa baguette. « La charmante petite assemblée ne veut pas de vous ici. » Il était prêt à en découdre s'il le fallait.
hrp : sora kiffait sa vie mais seimei est arrivé et now il est devant son groupe de pote en mode grande muraille de chine pour pas qu'il leurs arrivent quoi que ce soit.
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