Les cerisiers sont de nouveaux en fleurs et laissent le paysage se colorer d’une douce teinte rosée. Le souvenir du voyage scolaire de l’année précédente hante encore les esprits. Pourtant, nombreux sont ceux qui décident d’aller de l’avant, de ne pas se laisser abattre pour pouvoir profiter en ce mois d’avril de ce phénomène printanier. Élèves et civils se mêlent dans les jardins du Kinkaku-Ji, spécialement réservés pour les sorciers grâce à un sortilège repousse-moldus.
★ Les réponses ne doivent pas dépasser les 250 mots et doivent comporter un petit résumé de quelques mots à la fin.
★ Le parc de Kinkaku-Ji a été enchanté avec un sortilège repousse-moldu pour l'occasion.
★ L'évent se place dans le cadre d'un repas sous les cerisiers en fleurs. Tout le monde peut apporter de la nourriture.
★ Vous ne pouvez pas ouvrir de sujets se passant en même temps que l'évent.
Alors, plein de seum, mauvais perdant qu'il était, il avait décidé de ne plus adresser la parole à personne. Grossièrement habillé d'une tenue traditionnelle qu'il avait enfilé avec la délicatesse d'un rhinocéros bourré, il restait en retrait. Surveillait les élèves. Le tout, histoire de cacher sa solitude durement méritée.
Si seulement j'avais pu emmener Jeannette, mais le climat l'aurait tué...
Par réflexe, il chercha le boule rebondi de Natsuo au milieu de la foule d'élèves. Le climat, l'ambiance et la journée étaient tous idéaux. Il n'y avait plus qu'à attendre que les problèmes commencent, comme toujours.
résumé : boude
Tu as encore le souvenir amer de ce voyage scolaire qui a pris fin atrocement, tu arrange une mèche de cheveux qui vole et attrape par la même occasion un pétale de cerisier qui s’envole à travers le ciel bleu, libéré de ta main
Beaucoup de chose ont changé en une année quand même, tu as changé maiko, peut-être un peu trop… Tu aimerais aussi comme les pétales de cerisiers, t’envolait loin sauf que ce n’est pas possible.
Un soupir sort de ta bouche et tu va t'installer sous l'un des arbres, t'asseoir contre les troncs et observe les pétales tombaient les uns après les autres tout en essayant de profiter de cette journée.
hrp : maiko déprime sur l'année qui vient de passer (a encore le voyage de l'an passé ancré dans le coeur)
Je soupire et lève des yeux rêveurs vers les arbres enchanteurs et d'un coup je dis : J'ai pas pu venir l'année dernière, c'est incroyable ! Et mon visage se déchire d'espoir et de bonheur en un large sourire, que j'efface le temps d'embrasser sa tendre joue. Avec toi, en plus, quel plaisir. Est-ce que ton kimono me va bien ? Je ricane un instant contre sa peau tiède et ne recule que pour mieux contempler le spectacle, transi.
(résumé: ange est super gay)
>> Fall, fall little flower...
Une année…
Cela fait une année qu’elle est morte n’est-ce pas ? Que votre cauchemar à commencer, que tu n’es plus là et que sa vie était devenue un enfer, mais que la demoiselle se forçait à garder le sourire.
C’était dur, la vie était dure, n’est-ce pas ? Mais il fallait tenir, Ayumi devait tenir pour ce petit être qui devait encore grandir, son petit frère.
Une année qu’elle devait mentir…
La demoiselle ne pouvait qu’appréhender cette sortie, cette douleur, mais il fallait tout de même passer au-dessus, n’est-ce pas ? Avancer, ne pas se faire bloquer par le passé, sauter le pas et que ce désagréable souvenir s’efface en même temps que cette douleur pour laisser place à celle physique, n’est-ce pas ?
Doucement, ses pas l’avaient amené au milieu des cerisiers. Délicatement, un pétale vint se loger entre ses doigts.
C’était doux, c’était lisse et ses yeux cendrés se mirent à scruter autour d’elle. Qui allait venir ? Est-ce que le moment sera doux ?
Respirer quelques secondes ne ferait pas de mal, n’est-ce pas ?
Hrp : Ayumi est pas mal émo, salut.
C'était le week-end, un moment important dans la vie d'un écolier, celui de profiter des sorties !
Il avait choisit d'arriver décontracté pour cet événement. Arborant un skateboard à sa main droite.
Il était de retour au milieu d'un environnement urbain, une partie de son enfance flashait ses pensées présentes.
La légère brise venait déposer délicatement quelques pétales sur son chemin, le menant à la contemplation.
Les derniers événements en ces lieux n'avaient pas de quoi retenir un Félix affrontant l'avenir.
Cette année avait changée la donne: Il ne fallait plus reculer.
Balayant, de ses yeux dorées, le jardin, tout ses amis étaient réunis, toutes ses connaissances, bonnes ou mauvaises, pour, il l’espère, partager au moins le temps d'une après midi une pause florale.
Profitant du chemin encore dégagé, il était temps de faire rouler sa planche.
"Clak !" Un pied lançant la cadence, il prit rapidement une vitesse de croisière.
Cheveux au vent, feuilles soulevant et traînée quadrillant sa course à l'événement.
Il riait, à l'idée d'être l'un des rares sorciers a se passer de quelques règles de conduites pour assumer la culture Moldu.
Il riait, à l'idée de s'aventurer, loin, devant tout le monde, faire le tour de toutes les beautés présentes.
Il riait, à l'idée de voir toutes la palette des émotions aujourd'hui.
Il riait, à l'idée d'être ici, vivant, joyeux et joueur.
Il riait, de rire
Il riait.
Resume: Félix, est joyeux et en profite pour rire et sortir son skate !
Trois mois, déjà.
Aucun regret conglutiné au cœur, l'abandon de ta chair ne le froissait aucunement ; pas même à la vision nostalgique. Une avancée vers ton cher ami aperçu au loin, s'égare de tes lippes une joie certaine alors qu'elles clament Azrael! et un sourire fin éclot à cette retrouvailles Comment vas-tu ? Ah, sais-tu où se trouve Kiyoshi ?
hrp kaede turn up dire coucou
C’était la dernière année pour Yori, il allait sûrement partir avec Jian et tu te retrouveras seule sauf que tu n’allais pas te faire manger par le désespoir.
Les nombreux cerisiers présent dans le parc te rappelle que le printemps se répète éternellement, tu vois ce printemps avec les lentilles qui te donne les yeux bleu, comme le ciel aujourd’hui. Tu t'étais habillé d'une tenue plus confortable que l'uniforme pour ce jour aussi, tu voulais être en accord avec les cerisier même si ce n'est que tes accessoires à cheveux qui sont assortis au cerisier, tu avais opté pour une robe à manche longue crème.
Tu souris, tu es heureuse Kazami et tu avais un peu hâte de cette journée aussi, un petit panier avec des friandises à l’intérieur en plus du repas organisé par l’école, tu pouvais sourire tranquillement et profiter peut-être d’une journée paisible.
hrp : Kazami, toute pipou, va profiter de sa journée sous les cerisiers
tu as toujours aimé les belles histoires et ah – c’est à toi que je songe dans mes bonheurs, c’est à toi que je pense dans ma splendeur et cette envie étrange
de te tenir la main
de t’enfermer dans un monde où la nuit ne lacère pas les étoiles ((la paix))
aujourd’hui les feuilles de cerisier sont roses comme une jolie aube
ça doit être ainsi que le soleil renait du printemps
et peut-être que si tu n’étais pas moldu peut-être que si tu étais né avec les pouvoirs qui sont miens peut-être que si tes lèvres s’étaient fendues des mille joyaux de mahoutokoro, j’aurais pu t’emmener avec moi
alors je te danserais Kinkaku-ji.
c’est la décision qui germe sous mon crâne, c’est le désir décadant que de transformer pour toi mon absence en conte de fée c’est cette constellation que je veux tracer au creux de tes lèvres et tu sais ah, tu sais achilles
c’est un peu égoïste mais : je crois que je ne t’aimerais jamais assez
((tout donner pour te voir sourire ; c’est là
la plus belle magie qu’on m’a jamais apprise)
alors mes jambes s’étendent sous l’astre d’or nimbé et j’écoute – la solitude salvatrices les étoiles qui ruissèlent des murmures les prunellidae qui germent sur les branches corail des cerisiers
alors je t’écris – entre mes mains, un papier tiré de mon sac et cette plume dont je ne me sépare jamais.
tu me manques déjà.
hrp: marie-jeanne est assise dans un coin à peu près tranquille ; elle pense à son frère ; elle lui écrit une lettre.
Ouais c'est le mot que j'utiliserais pour définir comment je suis.
Mitigée.
Je vais suivre Yuki pour cette journée, fin c'est ce que je pensais: Avoir un peu de temps a passer avec elle.
Pour une fois que l'on pouvait se coordonner, ben non, il y a Suji.
Suji, c'est le genre de garçon spécial.
Fin moi je le connais pas plus que ça, mais Yuki beaucoup plus...
De toutes façons les garçons avait beau faire partis de nos sujets de discussions, même si elle mettait des barrières grâce a son expérience, clairement je n'en n'était pas friand.
Qu'est ce qu'elle pouvait lui trouver à lui plus que les précédents...
Donc me voila, à surement tenir la chandelle cette après midi.
Je m'était bien habillée pour l'occasion.
Avec Yuki, on a prit le temps de voir ce qui pourrait s'accorder au mieux avec mon teint, mes cheveux et les cerisiers.
A la dernière mode Moldu bien entendu !
Une fois mon corps, mes courbes sublimées, on était passée aux maquillages.
Là, malgré les années, Yuki était la bosse.
.
Oui c'est tout beau, oui c'est tout grand, mais alors qu'est ce que ça va être long si je reste avec eux.
Soit j'isole Yuki, soit je me trouve un groupe auquel me raccrocher.
Hum.. voyons voir...
Ps: Shinjo est toute belle, a la dernière mode, mais va se chercher un groupe, ou isoler Yuki, plutôt que de tenir la chandelle...
Un petit moment de détente ça ne faisait pas de mal, n’est-ce pas ? Ce parc qui avait été privatisé, ses pétales qui étaient en train de tomber. Respirer un coup, se détendre, se changer les idées.
Alors pourquoi avais-tu ce petit air de tsun sur le visage, Ashe ? Tes petites joues rouges, ce petit regard tourné, gêné et discret. Dans une de tes mains, tu tenais un panier, car vous n’alliez pas simplement rester les bras croisés, non ? Même si tu avais accepté un peu à la dernière minute, comme si tu avais peur de quelque ch-
« Atchoum ! »
Eh bah bravo Ashe, pourquoi tu éternues d’un coup… Serais-tu devenu allergique à quelque chose ? Tournant la tête sur le côté, ce fut sur Ritsuka que tes yeux furent posés, un peu perturbé par ton éternuement, mais détournant à nouveau vite le regard, les joues à nouveau rosées. Tu t'étais attaché les cheveux en natte haute et mis un kimono pour l'occasion. Tu ne voulais... Pas faire tâche, n'est-ce pas ? Timidement, tu cherchas sa main pour la prendre dans la tienne et ainsi la serrer, fixant un champ de fleur pas très loin. C’était vous les coupables à le faire éternuer ???
Ah, tu essaies de te calmer, n’est-ce pas ? Aller Ashe, arrête de faire ton tsun deux secondes et profite de cette journée qui se veut reposante !
Hrp : Oh bah tiens, Ashe a le rhume des foins... ~ et il arrive avec Ritsu' !
-Tu as pris froid ?
Les températures étaient pourtant revenues à la hausse... Je le vois alors tourner le visage vers moi. Lui aussi semblait... Cependant, il m'avait malgré tout pris la main, provoquant un certain malaise en moi. Comment réagir ? Accepter ou la lui refuser. Comment me décider alors que sa tête ne semblait pas en accord avec ses gestes... Je poussais un soupir et m'arrêtais en le fixant, mains sur les hanches, reprenant ainsi ma main que je lui avais laissé pourtant un court instant.
-Ashe, arrête d'être comme mal à l'aise. Sinon je vais finir par le devenir moi aussi. D'accord ?
Un peu dur, je finis ma phrase avec un ton plus doux et un sourire. Puis je repris le marche. Autant trouver un endroit où se poser pour pouvoir profiter du lieu.
Résumé : Ritsuka arrive avec Ashe.
-Féliiiiix !! T'as pu prendre ton skate ? C'est trop cool !
Bonne humeur de façade. Sourire de façade. Mais avec cet ami, tout cela allait devenir des vrais, n'est-ce pas ?
-Tu peux m'apprendre ?
C'était un bon moment pour ça, non ? Peut-être pas l'endroit le plus approprié, mais ce n'était qu'un détail...
Résumé : Kazuki déprime mais décide de ne pas se laisser abattre et va vers Félix pour se changer les idées.
Je n'avais pas trouver le courage de l'aborder avant de venir. Je n'avais pas non plus trouver le courage d'aller vers lui une fois arrivée ici.
Je le vis au loin. J'avais à nouveau envie de tourner les talons et de l'éviter. Pourtant, il n'y avait eu aucun mal entre nous deux. Vraiment aucun. Alors pourquoi je l'évitais à ce point ?
Je levais les yeux vers le ciel. Tout irait bien. Retrouvant ma résolution, j'allais à sa rencontre.
-H-Hisao...
Et soudain mon coeur s'emballa. Je détournais les yeux, j'avais balbutié... J'étais gauche...
-Je.... Et si on parlait... ? Ça fait longtemps... non ?
Finalement, je relevais la tête vers lui.
Et si on cessait de se fuir ? C'était le message que je voulais lui faire parvenir.
Résumé : Satsuki va vers Hisao, parce qu'ils doivent se parler
Ce n’est pas souvent qu’un représentant à la chambre des sorciers fait grâce au peuple, avec sa chère famille, de sa présence dans un endroit si accessible. Ce genre de manifestation est le moment idéal pour que le monde sorcier ne se sente pas trop déconnectée de ses représentant, tout en faisant constater à ces gens la différence de moyen conséquente entre une famille qui réussit et une autre qui ne vaut finalement rien.
Sujiro se tient assis là, droit et bien coiffé dans des vêtements traditionnels haut-de-gammes, au milieu de ses frères et face à son père, sa mère et sa belle sœur. Beaucoup de gens rêveraient d’être à sa place, ne serait-ce pour goûter les délicieux mets qui s’offrent à lui, mais ces gens-là se rendent pas compte à quel point il étouffe. Les regards ponctuels de son père et la vanité incessante de son frère lui rappellent sans arrêt qu’il est surveillé et qu’au moindre faux pas les répercussions seront terribles.
résumé en gros les asahi se la pètent et suji risque à tout moment de faire une crise d'angoisse
Résumé : ishvar il profite de sa meuf autour d'un bento ok
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