il le fait, sans prendre le temps réfléchir à ses actions une seule seconde. mais quelqu'un le devance, un idiot se prénommant ange, qui portera quelques secondes ensuite encore mieux son nom. l'autre s'effondre, et hiroyuki admire la scène, bouche bée. pour la première fois, il vient de comprendre que fermer sa gueule sauve des vies.
Tout semble tourner au ralenti, alors qu'il se raccroche à Naomi, lui attrapant la manche dans sa chute. Dans un dernier souffle, les lèvres tremblantes, il exprime ses dernières sentences. « J'aurai tant aimé changer le destin de notre famille à tes côtés… Accomplis cela pour moi, s'il te plaît, je compte sur toi. » Une poigne qui enserre la main de son cousin ; mais qui faiblit, faiblit, pour finalement se relâcher définitivement. Plus jamais on entendra son rire cristallin. Sora Nishimura s'est éteint.
Quelle ne fut pas ta surprise; en la voyant au loin, si féminine ! Tout avait l’air, pour toi aussi, d’un rendez-vous… Alors tu arrives, lui adresses un sourire. « Himawari-san ! Tu es… ravissante, si j’avais su j’aurai fait un effort supplémentaire ! » Peut-être aurais-tu sophistiqué ton kimono blanc et or mais tu te réjouis d’avoir été plus sobre. Tu lui tends ton bras. Et vous marchez vers un endroit plus calme, tes yeux cherchant la silhouette de Yuuki; et dès que vos yeux se croisent, tu les détournent vers les sakura… « Le rose des pétales te va si bien, Himawari-san… » dis-tu d’une voix douce; avant de te stopper net devant le traitre en blanc; et tu serres son bras contre toi; tes yeux cherchent ta moitié; et ton amour; t’assurer que tout est sûr; et tu sors ta baguette.
Tout s’enchaîne si vite; et il apparaît à tes yeux comme un homme terrifiant et impitoyable; tu respires profondément et détournes la tête quand la nuque de ton élève particulier explose; et un haut-le-coeur survient; et tu te tournes vers elle. « Sors ta baguette; mais dis moi que tout ne va pas recommencer... » Tu cherches Takamori; le rejoins d’un pas pressé et discret; la main autour de celle de ta fiancée… Tu n’as pas les mots mais attends les ordres. Et là le drame se produit encore; et la rage monte, et tu te dresses finalement face à Rajan, la mnémésis familial : « Stupéfix! » lances-tu à l’Indien.
résumé : love avec hima (tente); rejoint takamori mais trop tard, stupéfix rajan.
- Dégagez, maintenant !!! Et prends autant de monde avec toi !!!
Mariko voit ton regard menaçant et fuit avec les deux petites, ton souffle se fait court maiko, ta colère est trop forte.
- ON VOUS A DIT DE PARTIR ALORS PARTEZ MONSTRE !!!
Et tu sort ta baguette définitivement, tes yeux ne sont que rage alors que le corps de ton camarade encore entre les doigt de cette chose, tu te fiche bien d’être la prochaine victime, cela te soulagera de tout tes poids présent.
Sauf que pour le moment tu dois sortir le corps de ton camarade des griffes de ce monstre.
Quand tu vois de tes souvenirs le plus jeunes des ueda, attaqué de front Seimei….
- Petrificus Totalus !
Tu ne sais absolument pas si ton sort va fonctionner, tu prends le corps inerte de ton camarade, retenant tes larmes et pousse le plus jeune.
- ON RESTE PAS LA !!!
Et tu court le plus vite que tu peux, tu ne pense même pas au Kondo dans cette situation, tu pense à cette famille que sont les Kitsune plus qu’autre chose.
hrp : Maiko péte les plombs, insulte bien trop gentiment Seimei, va récupérer le corps d'ange en attaquant Seimei et fait bouger Hotaru loin de la.
Mais au final, après être arrivé, il n'a pas pu trouver ses amis ni sa sœur Mai. Peut-être n'étaient-ils pas arrivés. Nao s'est donc reposé a l'ombre d'un cerisier et a somnoler. Seulement quelques instant plus tard un froid glaciale le réveille en sursaut, pour voir que le parc est plongé dans la panique. Seimei? Revenu!?
La couleur quitta son visage, il se mit alors en route pour retrouver Félix et Mai, tout en essayant d'éviter l'endroit ou le mal se trouvait. En voyant qu'il était assez loin de l'agitation, Nao se calma quelque peut et sorti sa baguette en cas d'attaque. Puis miracle, il vois enfin Félix, avec Kazu et une autre personne, qu'il ne reconnais pas.
Discrètement il s'approche de son meilleure ami.
- Félix tu vas bien ?
Dit-il en le plus doucement possible.
hrp: Nao profitait d'une petite sieste a l'ombre, lorsque Seimei débarque puis il rejoins son meilleur ami qui n’était heureusement pas loin.
Takeo se désespérait de ses plantes, pour ne pas changer ; Fuyuki se désespérait, tout court, pour ne pas changer non plus.
Ils le désespéraient. Pour ne pas changer.
« Arrêtez de vous plaindre. »
Et finalement, au milieu des pétales rosées qui commençaient, doucement, à lui donner la nausée, se dégagea une silhouette que l’infirmier aurait su reconnaître parmi des milliers : Seimei. Un regret vieux d’à peine deux mois se rappelle à lui, alors qu’il songe à tous les blessés dont il avait du s’occuper, au lieu de s’amuser.
Tirant déjà son sabre, il se tourne vers son compère habituel – celui qui se fiche autant des autres que lui-même ; pas Fuyuki, trop tendre pour ce monde.
« Le premier qui aide les élèves a perdu. »
Et sans prendre plus de temps, Natsuo se dirige jusqu’à l’ancêtre – qui a déjà pris le temps de faire craquer plusieurs élèves ; pas dans le sens que l’on aimerait entendre.
« Eh, grand-père ; tu t’es barré sans qu’on n’ait le temps d’en finir, la dernière fois. »
hrp : natsuo est hype par le retour de seimei, défi takeo de n'aider personne et part provoquer le vieux
Un petit blond dresse sa baguette face au grand seimei. Quel petit mignon petit enfant. Il s'accroupie face au petit bambin et lui retire sa baguette des mains. Il lui adresse un doux sourire. Mais qu'il est mignon, j'ai presque envie de t'adopter. » Et il dépose un baiser sur le front du jeune Hotaru.
qu'à sa suite est volé ton dernier souffle.
hrp naomi meurt avec sora bisou.
Elle sautait de celui-ci, Kaito dans ses bras, remarquant Takamori au sol.
Elle riait doucement, avant de porter son attention à Rajan.
C’est tout un capharnaüm qui habite mon oreille : ce silencieux vacarme qui heurte le méat acoustique dans un bruit de fin du monde et la sonorité désormais connue de vies qui s’échouent. Et le choc, interdit d’abord, le frémissement miséreux de rêves inachevés —Oh l’enflure tu vas vite lever tes mains sales de mes enfants ! Cri de rage qui se meurt quelque part à mi-chemin de mes bronches, la douleur incisive et l’épinéphrine d’une bestiale panique perdue entre la chute de quelques pétales. Nul de mes enfants ne sera laissé aux mains de cet despote et—ARG COMMENT OSES-IL BAISER SON FRONT, SEIMEI L’ENFOIRÉ : Lui aussi m’appartient tu peux dire adieu à tes lèvres de débauché pédéraste ! Oscausi !
>> Fall, fall little flower...
Ayumi était tranquille dans son coin en train de penser à la nostalgie et se morfondre à la mort de sa mère. Mais la demoiselle n’eut pas le temps de respirer que voilà qu’un ennemi venait de s’apparaitre, le même que ce précédent événement qui l’avait marquée.
Sans perdre une seconde, la jeune femme se mit à courir dans la foule, cherchant si son frère n’était pas ici, il semblait que tu lui avait dit vouloir participer à cet événement, tu étais en danger et c’était hors de question qu’Ayumi te laissait tout seul.
Tu étais en compagnie de Félix et une autre personne qu’elle ne connaissait pas. Sans bronche, elle sortit sa baguette pour se mettre devant les plus jeunes.
« Il va falloir partir et rapidement, ça devient trop dangereux »
La mort était autour de vous, elle se propageait comme la peste, alors, on ne perd pas de temps. Elle choppa ta main, regarda les deux autres et prête à partir avec ce petit monde.
Hrp : Ayumi en mode protection yolooo
Il courait alors jusqu’à Hiiro, l’attrapant dans ses bras musclés afin de le porter (comme une princesse tjrs, on s’en doute) et lui voler une baiser (well, un vrai).
ils tombent, les uns après les autres, et les entrailles qui se libèrent contre les lèvres tremblantes, et les serres acérées du yokai, et -
ah, est-ce qu'on venait vraiment de lui offrir du rouge à lèvres ?
marie-jeanne se recule, ok, elle empoigne kayo et florence par le bras, bon, vous savez quoi ? seimei peut aller se mettre un balai dans le cul
et c'est en usant de tous ses talents de sorcière et de son énorme (cmb) maitrise de la magie que marie-jeanne transforma un caillou en licorne, et qu'ils s'en allèrent sain et sauf au loin de leur démon préféré.
hrp: ils se cassent à dos de licorne bisou.
Fatigué, il soupira et se dirigea vers les toilettes les plus proches, trébuchant sur le corps d'Ange au passage—AH Pardon monsieur adressé au grand méchant à la soyeuse chevelure qui semblait en plein acte pédophile, mais quelqu'un qui portait un tel haut de forme ne pouvait être clean.
Sortant le petit oisillon de sa cage, il libéra les chutes du Niagara en un soupir nécessaire—ah, que la douce sensation lui avait manqué. Les élèves n'avaient qu'à regarder ailleurs, à l'image de la préfète Tsuchigumo qui avait eu la brillante idée de rouler une pelle à son amie aux cheveux océans. Enfin, peut-être pas ami, du coup.
NATSUO, t'utilises du PQ blanc ou rose ? Non parce que, le blanc, je pardonne pas.
Un zip aussi clair que dangereux pour la présence capillaire de cette partie sensible et, se lavant les mains (LAVEZ-VOUS BIEN LES MAINS) soigneusement avec l'après-shampooing piqué dans la poche de Seimei et sa nappe de pique-nique, il rejoignit ses deux collègues pour un UNO. Assis en tailleur, et jeta un regard triste à l'homme seul au milieu de la foule, que tout le monde évitait.
EUH EXCUSEZ-MOI !
...Vent. Ah non, il a entendu.
Oui, vous. Vous êtes partant pour un UNO ?.
pisse, regarde Akina emballer Kaori et propose un UNO à Seimei
Ca va, mais je vais couvrir la fuite de tout le monde, désolé.
Kazu, fonce immédiatement !"
Félix Voyait qu'il était accompagné, ça le rassurait.
Il se pris d'une soudaine concentration, c'était son moment, ca y est, l'heure d'être un chevalier !
Il ferma les yeux, baguette en main, il se mit a imaginer qu'il était revêtu d'une armure, resplendissante, reflétant une aura d'un soleil bienfaiteur.
Il était grand, et fort.
Ca y est, c'était le moment de défendre SON monde
Il ouvrit les yeux, prêt a se battre !
Le voici !
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