RAJAN.

Il n'était pas nu, cette fois, mais les formes de son corps ressortaient clairement au travers de son t-shirt blanc trempé par les larmes des élèves alentours. Meruem jeta un regard condescendant à la belle bande d'empotés qui paniquait dans le parc. Le journaliste avait entendu (pas comme Hoshi) de source sûre que Seimei serait là, et donc Rajan, par extension conjugale, et l'heure était venue pour lui de réaliser son voeu le plus cher.

D'où tu date Seimei avant moi ?????????????

Il lâcha un coup de pied à un élève paniqué qui s'accrochait à son balai afin de le lui piquer, et s'élança dans les airs. Une fois à portée de son cousin, il se jeta sur lui et le fit tomber dans l'herbe avec lui, abdos gloire et beauté.

Je m'en branle de la légalité prends-moi sous les deux genres.

Les mots étaient dits...............................................

rajan x meruem c bon

En voyant Félix passer en mode chevalier, prêt a défoncer toutes les baraques,  Nao reprit courage et c'est un grand sourire au lèvres, et sans plus se soucier de cet imbécile de Seimei, qu'i leva le bras avec joie.

-Yosh! Fidèle chevalier Félix, je serais votre écuyer! Alors défendons la veuve et l’orphelin! Et bottons les fesses de ce vieux Seimei!

La baguette et le sourire dehors Nao se prépara au combat! Pour se sentir plus fort il s'imagina avec 20 centimètres de plus et des muscles en bétons et enfin, l'heure du Fight est arrivé!

hrp: Felix et Nao, protecteurs de la veuve et l'orphelin!

Il n'y avait que silence autour de lui.

Oui il le sentait, cette force...

"Oui Nao, Allons défendre la veuve et l’orphelin..."


Ses mots étaient plus grave, le paysage commençait a changer autour de lui
En face, il y avait un monstre, un kaiju et ses rejetons.

Et comment on combat un kaiju ?

Félix le savait... Il va falloir botter des culs.

*Musique épique et invocation du Mécha !"

- Moi je prend le robot rose avec des fleurs dessus car c'est tropppp choupiii!

Aussitôt dit aussitôt fait. Nao posa ses fesses sur le siège conducteur et referma le cockpit. Il y avait beaucoup de Kaiju, notamment un qui était vert. Quelle couleur répugnante! A MORTTT!

Le monstre, apeuré, s'envola dans l'espace, Nao activa les réacteurs  et poursuivit le fugitif a travers les étoiles. Il ne savait pas si Félix l'avait suivit mais peut importe, il saurait se défendre!

Et c'est ainsi que Nao s’envola verts d'autre cieux, peut être qu'il reviendra un jour, mais pour le moment, nul ne le sais...

FIN

Le regard ferme, Akina observait Kaori s'approcher en sa direction. Ses yeux se plissèrent de méfiance alors que la demoiselle rompait la distance.

Oh? So, you're approaching me? I-

Et Kaori l'embrasssa sur la joue. Surprise, elle porta sa main à sa joue, rougissant comme une collégienne tirée d'un shojo - si elle s'attendait à ce que son rêve se réalise aussi rapidement ?

K-Kaotaro ? Dans ce cas...

Vous l'attendiez.

ZA WARUDOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO

Le temps s'arrêta aussitôt après cette divine exclamation que chacun attendait avec impatience. Encore 5 secondes Elle s'écarta et s'approcha des adultes en pleine partie d'UNO. Sortant des ciseaux d'on ne sait où, elle coupa les cheveux de Seimei en une coupe au bol. Encore 4 secondes - elle retourna auprès de Kaori et l'attrapa par les épaules : Encore... oh et puis nique le temps reprend

C'est donc avec la délicatesse d'un Jean-Pierre Polnareff que cette chère Akina avait emballé Kaori. Il y avait clairement des façons plus appropriées de le dire, mais bon, vous connaissez Takeo.

fuck

Et finalement les pétales de cerisier volent au loin, détachant tes longs cheveux, t’habillant d’une robe blanche parsemé d’étoiles rose, une ombrelle que tu tient d’une main et un mouchoir d’un blanc aussi éclatant que ta robe.

Tu avance parmi la foule, caché du soleil par ton ombrelle en dentelle blanche au motif respirant la joie et l’amour.

Au loin Kazami, tu vois félix, à bord d’un drôle d’engin que tu reconnais sans mal et tu comprends que ton ami, celui pour qui tu pourrais avoir des sentiments s’envole loin de toi sauf que pour lui dire adieu tu n’es pas seule.

Le vent souffle dans tes cheveux alors que tu ferme ton ombrelle, une main se pose délicatement sur ton épaule alors que tu agite ton mouchoir blanc en direction de ton ami, lui disant adieu vu que tu ne savait pas quand il reviendrais.

Tu te tourne tes yeux doré vers l’homme et dépose un doux baiser sur ses lèvres alors qu’au loin tu entend la voix d’un enfant qui t’appelle maman, tu le prends dans tes bras et disparaît dans une traîné de pétale de cerisier avec l’homme de tes rêves et l’enfant que tu as avec lui, cette scène est trop idyllique pour être vrai sauf que tu y crois Kazami.