Tsubomi
Tsugikuni
Race : Sang maudit mais aussi limpide que ses ancêtres; sang-pur.
Âge et date de naissance : 30 ans ; Année de la chèvre de feu, le 25 juillet 1967 dans les profondeurs de la nuit.
Situation financière : Fortune incommensurable.
Orientation : Discrète quant à ses relations, on supposerait qu’elle soit pansexuelle /Takumipanic/.
Affiliation : Protecteurs de Gyokuji
Ancienne Maison : Yatagarasu
Métier : Professeur attentive, elle se voue à l'éveil de la magie et à l'apprentissage des plus petits.
Baguette : 24,8 cm, tige fine d'un tilleul argenté qui en son coeur possède un cheveu de Ame Onna.
Niveau : après résultat
Patronus : Une colombe
Animal de compagnie : Deux lapins et une chèvre naine.
Épouvantard : Une innocence souillée.
Sortiège favori : Protego
Yokai favori : Elle s’entend naturellement avec les Yokais de part son tempérament. Elle a pourtant une grande affinité avec Ame Onna.
Matières préférées : Divination, Calligraphie, Onmyodo, Histoire de la magie
J’accepte que le staff puisse blesser mon personnage sans mon accord : Oui
aime les jardins et l’extérieur - joueuse de koto professionnelle et joue tous les jours (elle aime en faire sous un kiosque particulièrement) - a le vertige - déteste le sang - n’a pas la main verte mais admire ceux qui ont le don de la nature - apprécie le printemps et l’été, mais préfère le froid hivernal - aime le thé, le chocolat chaud et les fruits - se perd parfois dans ses pensées - préfère les plats chauds - elle aurait aimé savoir danser mais a préféré apprendre la musique - elle agit avec prudence et pense avec parcimonie, mais dévoile bien plus avec le temps - sa retenue se communique par sa froideur et sa timidité - son sens de la protection peut aller au-delà de toutes les conventions sociales - croyante, elle noue des liens très forts avec les prêtres de tout le japon et désire pour la fin de sa vie se confier à un temple - deuxième enfant du chef de la branche enchantement des tsugikuni - elle a fait un pèlerinage après ses années à mahoutokoro, découvrant tout le pays et ses temples - elle a travaillé pour sa famille auprès du ministère dans la division des accidents et catastrophes magique grâce à ses talents pour les barrières et autres enchantements de protections - elle a intégré l’école de mahoutokoro en tant que professeur à l'éveil de la magie.
The city is full
of flowers
- 5/5 divination
- 3/5 maniement du sabre
- 4/5 potions
- 4/5 sorcellerie
- 0/5 vol
Spring day
Compréhensive - Sens de la famille - Croyante - Pudique - Sociable - Mesurée - Emphatique - Éloquente - Fidèle - Libre - Calme - Réfléchie - Respectueuse - Pensive - Protectrice - Passionnée - Déterminée - Désordonnée dans ses affaires/rangements - Attentive - Indépendante - Sensible - Obstinée - Secrète - Accueillante
La parfaite fleur est une chose rare.
Nous passons notre vie à en chercher une
et cette vie ne sera même pas gâchée.
Coruscante aux yeux du monde, je dévoile cette candeur éparse de menthe et de narcisse;
Dans ma course légère, les fraîches écloses d’une nuit printanière, remplissent mon cœur de vagues dormantes.
Mes pensées parfois se retrouvent
dans des lieux, des songes, des odeurs embaumées.
Mes pensées parfois se perdent
dans le tumulte d’un air frigorifié.
Ma volonté est infrangible, incontestable, irréfutable. Dédiée à la déité, je confis ma lumière à son ombre, épuise mes efforts dans son ascension. La mesure de mes actions seront pour le flux brûlant de ma poitrine. La prière se tait, remue un moment mes lèvres, refuge d’une oraison. De mon rôle impétrant, je couve le monde de bienveillance, renie la violence, inspire l’indulgence.
Dragon endormi, je me préserve dans le coeur de la montagne;
je suis le braille du feu que personne n’entend, que personne ne soupçonne,
Douce et vocalne, je m’efface et m'astreins impunément.
Sur les eaux de la barbarie, je navigue
vers le large incrédule,
poussée par le vent libre
je vole sur la houle,
priant les messages du gardien de la voûte.
Je respire, me dissous
m’annule, me fonds dans la magie et la matière universelle.
J’apprécie le silence, me connecte avec l’harmonie et le chaos
la plénitude et le néant
le tout et le rien.
Je donne, je ne demande pas,
Désire mille et une choses, sans pour autant les souhaiter
je l’espère, un peu, beaucoup, assurément,
Dans le secret de mes simples méandres.
Par delà le sommeil bleu des rideaux illunés, j’agonise de ses sentiments. Sensibilité accrue, je vascille entre le désir brutal d’un corps frère ou l’amour éthéré d’une âme sœur. Quand bien même, je n’oserais l’avouer, retenant mes humeurs pour ne laisser que cette image chérubine. J’accueille à mes côtés, les peinés, les délaissés, les êtres esseulés ou fatigués, les enlace de tout mon saoul d’une caresse imaginaire, d’un instant alcyonien. Les commérages ne m'intéressent guère, mais je m’éprends d’un vif intérêt à écouter les bavardages, discuter, échanger. Je ne serai jamais un oiseau éclamé, et je voyagerai à travers la critique de mes propres inspirations. Une clarté tremblante se pose sur les ombelles des reines des prés, chargées d'eau; L'eurythmie mystérieuse des mondes me fascinera toujours.
Voile souillé, imbibé de vermeil,
je succombe à la vision clair de la haine, de la guerre, de la mort
discorde, la fureur empreinte mes pas
déteste la violence
renvoie à la désolation, toutes vies
qui tentent en vain de semer le désordre dans mon univers.
Je ne laisse jamais
l’impunité souiller mon destin.
Mon sang limpide et impure soit-il
ne m’appartiendra-t-il jamais.
Comment envisagez-vous votre vie de sorcier ?
Envisagée de bien des manières, elle se profile nouvelle à chaque tournant du destin. Secrète, je ne révèle point mes aspirations et décide de la direction. Seulement, les choses ne sont pas ce qu’elles sont. La liberté peut sembler idyllique, elle représente aussi un fardeau et sa condition. L’insécurité, sentiment infaillible, vient entacher mon vol. J’ai repoussé mes barreaux pendant de longues années avant de comprendre à quel point ils étaient la protection même que je pouvais donner aux miens. Je consacrerai la fin de mon existence à mes humbles croyances et offrirai le reste à mon clan, son nom et son sang maudit.
Comment percevez-vous la magie ?
Beauté d’une nature fragile, puissance d’un cosmos enragé, elle s’assouplit au fil des années et incarne les élans des hommes. Elle me fait frissonner à son doux contact et mon esprit assoiffé s’éprend de ses secrets. Éternel, elle vit en moi. À fleur de peau, elle navigue sur mon âme. Tout et rien. Infini et néant. Agonie et amour. Hymne de terreur et d’émerveillement. Son apprentissage méthodique résulte à bien des saisons mais sa maîtrise parfois équivaut à un talent inné. Quand la magie de la bonne entente disparaît, le spectacle devient terne et sans intérêt. Et ses funèbres desseins qu’elle sert me rend indéniablement attristée.
Quid de Seimei et du ministère ?
Qui peut-bien posséder un intérêt à mes yeux ? Leurs parfums s'inspirent de leurs putrides agissements en souffle pâmé de mes angoisses suprêmes. Il heurte ma sensibilité et se réduit à un simple affect de présence. Je ne peux dénier leurs puissances et me plie à leurs convenances si c’est la volonté de mon chef. Pourtant, aux jugements de mes simples avis, je n’y porte qu’un intérêt exempt de toute considération. Mon rôle et mon dévouement n'ont que peu de maîtres. Les dieux sont ma volonté et l’Empereur aura toujours mon soutien. Car c’est ainsi qu’il m’a été donné de voir.
PRÉFACE
Autrefois
gèle l’appel des âmes
Naissance froide.
Ciel fantasque, où, sur le fin bleu pers les nuages affairés couraient, j’avais vu le jour. Vision prospère, la maison flambait rouge comme l'œil de Vénus et sous l’éclat opalin de l’astre qui claquait pareil à un fouet, j’avais poussé mon premier cri de vie. Cadette, graine de de vie dans l’acceptation et la joie, mon sang pourtant maudit coulait dans les sillons grotesques de mes veines.
Le petit roseau fit frémir l’herbe haute,
tout le pré
et les doux saules du domaine.
Le petit roseau fit chanter la forêt.
Ceux qui passaient
dans l’antre du soir
ont pu entendre ses pensées.
Un jour, ce petit roseau serait cueilli par la détresse de ce monde;
et il continuera de chanter.
L’aube rosée
Sur les hautes pétales
Perles lumineuses
Années d’apprentissages, talents immarcescibles de ceux si forts, si solides, si gravés dans le présent qu’on ne peut ainsi dire n’avoir jamais besoin d’y penser. Croyance absolue, je me dédie à des forces suprêmes que seule dans ma vision je reconnais. Paroxysme, point culminant des connaissances, le nom m’apporte le savoir innée. J’avais déjà entre mes doigts naissants un pinceau, alors que mes yeux ne s’étaient point encore ouverts à l’expectation de ce monde. La magie coule dans mes veines, se matérialise autour de moi, sous cette aura que j’éprouve dans chacun de mes mouvements. Symbiose unique, je me fonds dans sa masse et communique avec le tout. Ma bravoure, mise au services d’autrui, m’instruit, m’indique, est le secret du séidisme qui m’habite. Je consacrerai mon existence à la sécurité de mon prochain. Humanisme et actions, je dévoue ma place - mon corps, mon âme- pour défendre et garantir.
Je suis comme le peuple imbelle
fuis la guerre âpre, sanguinaire et cruelle,
espère dans le silence la fin des tueries.
Par ma peau sanguinolente,
je dénonce
accuse
condamne les belliqueux.
Couvée par l’oiseau de la perception,
pattes multiples, oeil clairvoyant,
j’ai appris dans le calme d’une thébaïde
à détendre mes nerfs,
lénifier mon esprit,
encline aux tumultes de ces émotions souillées, humaines.
Le bien, le mal, bonté, jalousie, colère,
sentiments d’une guerre silencieuse
où les camps s'instaurent, factices.
J'exècre la passion inavouée,
la sauvagerie dissimulée,
la volonté de tuer.
Et je déplore la calamité des morts.
J’ai appris tant de choses, au-delà même de trouver la raison de mon existence sur cette terre mortelle.
Bourgeons sorties
De cette terre aride
Fleur des premiers pas.
J’ai abandonné la chaleur de ses plumes, la sécurité de son empreinte, le délice de ses années à ses côtés. J’ai quitté le nid, incertaine. Les bourrasques filaient entre mes ailes et ma liberté faisait vaciller mes espérances. Le futur se profilait inconnu, d’une saveur imprévisible. J’étais terrifiée, perdue dans l’immensité. Ma cage se résumait à ses murs.
Après tout cela,
l’envie de briller solitaire
m’a fait pleurer sur le ventre de la païenne
jusqu’à m’en écouler le bleu calme de l’iris.
J’ai cherché,
cette raison fugace, instinctive, primaire,
existence de ce monde, j’ai peiné avant de trouver
l’écho des sibylles, de ce refuge, où peut-être
je pouvais avoir le repos, à nouveau.
J’ai voyagé
puis je me suis arrêtée, nombre de fois incalculables pour refaire mes lacets
liant mon destin de ses chaînes amoureuses - à chaque fois - un peu plus à ma famille.
Mon voyage, ce pèlerinage, m’a conduit sur les traces de mes ancêtres. Je me suis recueillie sur les autels, rencontré leurs humbles servants. J’ai contemplé la beauté et la laideur des hommes, des prémices de l’univers à l’avenir que je pouvais à présent entrevoir. Plus je voyais le passé, plus le futur me paraissait diaphane. J’ai compris l’avenir et ses facéties. J’ai assimilé l’ordre des choses, la place qui me revenait. J’ai choisi cette existence. Ou plutôt, elle m’a été confiée. Et, je l'amènerai à sa pure finalité.
Pétales dévoilées
au gré du vent alizé
Destin mystérieux.
Je suis revenue auprès des miens. J’ai perçu les années alourdir par ses responsabilités les traits de mon frère. Lui allait hériter de ce que j’échappais. Pourtant libre de nom, je consentais à l’inéluctable prédiction. Je restais à la disposition de mon chef de clan. Ce Tsugikuni que j’avais vu jaillir des abysses, se tenait - à présent - avec vigueur, assimilant les tâches qu’on lui avait incombées.
Ma fidélité revenait
à ses contours luminescents.
Parce que, quelque chose dans les cieux
m’avait soufflé dans une brise natale
son ascension,
couvert de ma simple protection.
aussi futile qu’elle pouvait l’être, elle était son dessein.
Ivre de rêves héroïques, attirée par l’appel fugace des étendues,
j’enchantais mes sommeils de mirages dorés et naïfs.
Alors, que ma réalité se confondait dans le travail et l’impuissance d’un ciel ombré.
Chaque soir, espérant un lendemain meilleur, je notais la voilure,
un peu plus, couvrant mes yeux anéanties par sa direction.
Le temps tombe, ne s’arrête point et se relève vers sa fin.
Aujourd'hui
L’éclat vernal
Une renaissance chaude
Couronne vierge.
Un jour, l’éternité m’accueillera en son sein. L’infini s’écoule déjà, d’une lente agonie, se déversant dans le néant. Si je peux l’éclairer, le défendre, je m’y plierai avec volonté. Je reconnais la liberté en emprisonnant un de ses morceaux dans la chaleur sereine. J’observe et attends. J’inspire et souffle, lasse de cette violence inhumaine.
La vie commence et l'innocence m'interpelle
de cette expérience que j'ai tant animé,
je veux à présent l'enseigné.
J'ai travaillé, perfectionné, donné, pour un monde que je vois à présent si impur.
tout recommence et se change,
se modifie et s'explique.
Les petites pousses forgeront ce monde
et leurs éducations, leurs envies de découvrir cette magie,
je la désire plus que tout.
L'apprentissage ne m'avait jamais interpellé jusqu'alors. Je maîtrisais la magie d'une forme innée, à une puissance que je ne peux consacrer à la mort mais bien à la vie absolue. J'ai compris qu'au-delà des apparences, je souhaitais la tranquillité et la naïveté. Les graines sont les arbres de demain. Et, je dois leur montrer la marche à suivre, la saveur de la pureté et de la douceur. Je serais à la hauteur de cette mission que j'annonce d'ores et déjà difficile. Ils seront - pour un temps de ma vie - mon idéologie. J'insufflerai chez eux la vision de cette essence et de cette sagesse, de cette gentillesse et de cette patience. Il le faut. J'aiderai à éveiller la magie si divine à leurs yeux, et aux miens.
J’ai parcouru, survolé, entendu tant d’êtres
trop peut-être pour mon jeune âge.
Les échos de mon enfance résonnent lointain
les pages lues, dépassées par les flots me quittent.
Les saisons fiancées se lient.
Sur les ailes des oiseaux,
sur toute chaire accordée,
je grave mon chemin.
Je reste spectatrice, et m’immerge
dans ces nouvelles eaux.
On naît ici,
On meurt ici,
Et moi, je rêve.
D’un avenir, d’une fin
que je tente d’apercevoir entre les lignes
de mon propre fardeau;
Celui de voir ceux que les autres ne peuvent apercevoir.
edit : OMG MA FUTURE FEMME QU'ELLE EST BELLE OOOOOOOOOOOOOF
quelle femme !! il nous faudra parler lien i guess hihi
re bienvenue <3
pourquoi
les tsugikuni
sont tous
SI HOT
et encore une tsutsu ptdr j'adore
bref besoin qu'elle me roule dessus inrp merci
j'adore tout tout tout et omg vrm y'a de ces LIGNES que je ne me sors pas de la tête vrm juste...
rebienvenue ofc!!
et ce rythme ? cette plume ?? cette douceur ??? SEND HELP
Merci à tous ! Bon sang ! Je suis trop heureuse merci à tous !
Hâte de rp avec vous et d'avoir des liens ! Merci !
fin.Sens de la famille
plus sérieusement,
Dragon endormi, je me préserve dans le coeur de la montagne;
je suis le braille du feu que personne n’entend, que personne ne soupçonne,
Douce et vocalne, je m’efface et m'astreint impunément.
Sur les eaux de la barbarie, je navigue
vers le large incrédule,
poussée par le vent libre
je vole sur la houle,
priant les messages du gardien de la voûte.
big crush sur ce paragraphe, et sur elle dans son ensemble (nonobstant le simp absolu qu'est ce feat, le caractère est parfait)
elle est douce et réfléchie, et c'est tout à fait la mentalité que j'avais en tête, parce qu'on sent que ses manières cachent une force de caractère très intéressante (et j'adore ce genre de dynamique) et qu'elle n'est pas limitée qu'au calme et à la timidité.
rien à dire sur le personnage (et la fiche) qui n'aurait pas su mieux convenir à l'esprit de la famille - pour ma part, je valide totalement
Ooof ma femme. Enfin- FUTURE FEMME.Comme tous, tu auras ton rang un peu plus tard.
Tu sais déjà que je l'aime terriblement, et mon dieu, la faire prof d'éveil à la magie, je trouve ça incroyable elle a trop une vibe douce qui fait très prof avec des jeunes. Elle est superbe, que dis-je incroyable, et dieu que je l'adore déjà. Ta plume est trop belle, et j'ai hâte d'enfiN RP AVEC TOI. D'autant plus qu'avec la maj, tu vas pouvoir poster avec Takumi, si tu voIS CE QUE JE VEUX DIRE.
BREF. JE T'AIME et je cours te valider.
DES PAPOUILLES.
Toutes tes informations ont été recensées. Je t'invite quand même à vérifier qu'on n'ait pas fait d'erreur pour ton avatar ou les autres éléments.
Tu peux désormais créer ta fiche de liens en utilisant le modèle. Créer ta boite d'origami pour envoyer et recevoir des messages. Ouvrir un journal intime si le coeur d'en chante. Pour finir, nous te conseillons de remplir ton profil avec tes sorts, objets et liens ! Enfin, lorsque tu seras pleinement lancé, n'oublie pas de recenser tes RPs dans la chronologie générale !
Enfin, n'hésite pas à nous rejoindre sur Discord si ce n'est pas déjà fait.
|
|
|