le temps se moquait d'eux.
le papillon s'était fait couper les ailes en plein vol. la domination du ciel ne serait désormais plus possible. mais voilà qu'il plonge, arme à la main pointée vers le cœur d'un maître d'arme qui n'avait pas prévu un retournement aussi abrupt. la lame de l'ennemi dégage un froid intense au contact du sabre légendaire de takamori. à nouveau, il embrasa son arme d'un feudeymon, réchauffant le métal qui commençait à se couvrir de givre. « je ne te pensais pas du genre à prendre des cours de rattrapage, rajan. », le ton était ironique, mais il refusait de se déconcentrer pour autant. leçon numéro une : faire perdre l'équilibre à son adversaire. par un rapide mouvement, le professeur s'accroupit et essaya de faire tomber rajan avec un balayage de la jambe, le sabre rougeoyant, quant à lui, se dirigeait tout droit vers la gorge.
Touché par ton sort, finalement, elle s’immobilise, vous laissant enfin l’opportunité de discuter réellement. Tu t’avances jusqu’à elle.
« Je ne peux pas m’empêcher de le vouloir. »
Sans avoir l’orgueil de t’en croire réellement capable, tu peines toujours à accepter l’idée de ne pouvoir protéger tout le monde. Voir les élèves blessés, tués, tu refusais d’y penser – depuis l’arrivée de Seimei, déjà, tu te retiens de songer à tes fils, afin de ne pas céder à la panique.
« Je t’ai toujours considéré comme une sœur, Shion. Si je ne peux sauver tout le monde, alors permet moi au moins de te sauver, toi. »
Abaissant ta baguette, cette fois suffisamment proche pour la toucher, tu déposes tes mains sur ses épaules.
hrp : az est ok pour se retrouver enfermé dans le cercle de flamme avec shion (pcq + d’intimité), la touche en essayant encore de la convaincre
Un professeur demande l'avenir à ses cartes. Il a des questions précises, des inquiétudes manifestes, et une terrible envie de savoir comment sortir de ce chaos. Tant de souhaits qui se bousculent dans sa tête, et si peu de temps pour un tirage.
Il pose les cartes sur le sol et les retournent une à une : soleil, pape à l'envers, mort, amoureux à l'envers, diable, mat. L'esprit de l'aîné tourne à toute vitesse pour comprendre le message. Qu'est-ce que cela veut dire ?
Tu étais sur tes gardes, attentif au moindre mouvement que votre adversaire pouvait faire. Tu t’étais donné une mission à toi-même et tu allais t’y tenir.
Quand le feu se mit à vous entourer, tes mains se serrent encore plus sur ton arme, prêt à bondir et heureusement le sort de ton tuteur atteignit sa cible. Même si vous étiez entouré de feu, tu n’avais pas peur Ashe… Tu savais que tu avais un objet qui pouvait vous être utile en dernier recours.
Mais tu étais quelqu’un de sage pour une fois, n’ayant pas complètement switché avec la mentalité de ton frère pour le moment.
Alors quand tu entendis qu’Azarël la considérait comme sa sœur, tu sentis ton cœur se fendre. Pourquoi est-ce que ces mots te touchaient autant… ?
Néanmoins, tu ne lui faisais pas confiance à cette ancienne professeure. N’allait-elle pas profiter de votre proximité ? Pestant un coup, tu les regardais tout en regardant autour de vous, surveillant les flammes.
« Je monte la garde. » Dis-tu au taquet en regardant le ciel, là où quelqu’un pouvait possiblement intervenir. Parfois les flammes si quelqu’un d’autre avait une protection…
Résumé : Ashe monte la garde et surveille les alentours en attendant qu'Az' résonne Shion.
Mais il ne fait pas confiance à la jeune femme...
La professeure, dans un éclair de génie, profite d'une ouverture dans le bouclier craquelé du directeur pour l'attaquer. Poignard planté dans le dos, coup bas peut-être désespéré pour retourner une situation qui ne semble pas à leur avantage. Hidenori laisse échapper une grimace de douleur, élément surprenant pour celui qui a toujours parfaitement maîtrisé ses émotions.
« Ta colère est si décevante, Kaede. »
Et sans attendre un instant de plus, il lève sa baguette en direction de son adversaire pour faire jaillir un torrent d'eau emportant l'astronome et les personnes derrière elle vers les arbres. L'aguamenti informulé les prend par surprise, la puissance du sortilège montre que la bête est encore loin de la défaite. Violemment projeté par les flots, cela donne quelques secondes au directeur pour reprendre son souffle.
Et tandis que des gouttes de sang s'échappent de la plaie, tous ceux présents peuvent ressentir une légère vibration venir de l'antre de la montagne.
★ Hidenori a la main profondément entaillée.
★ De très légères secousses peuvent être ressenties.
★ Kaede, et les personnes derrière elle, sont emportées par l'eau et se cognent contre les arbres, elles sont légèrement blessées et sonnées.
Le choc fût douloureux—mais tu avais connu pire.
Les eaux te réunirent avec Rajan—et un frisson de dégoût te traversa en repensant à lui et toi—et ta main eut un réflexe, s’écrasa fort et violemment contre sa joue puis serra son menton et souleva son beau visage. Souviens-toi du temps où je t’emmenais au septième ciel lorsque Takamori t’enverra six pieds sous terre. tu lui confias d’un susurre suave mais aride avant de repousser cet odieux corps auquel tu avais un jour cédé vers son adversaire. Pardonne-moi d'avoir touché à ta proie, Takamori, c’était personnel. et ta baguette se pointa sur le professeur de maniement du sabre Revigor. sur ces mots, le corps se reposa quelques instants contre l'arbre, le temps de récupérer ce corps secoué par ce qu'il venait de subir.
Une vibration se fit sentir, mauvais augure, comme pour indiquer que ce duel ne pouvait s’éterniser. Tu t'adresses à tes alliées, sonnées, s'il vous est possible de me protéger quelques instants Et parce que ça t'avait crevé les yeux—son état fatigué, sa magie réduite, son spasme de douleur—alors tu captes ses yeux et se formule silencieusement legilimens.
tldr; le bras estropié prend une bonne partie du choc + claque dans la gueule de rajan et revigor pour takamori + va sonder l'esprit fatigué d'hide
event 8
la panique te résumes désormais
(mais tu n’as plus le temps, il fallait faire ça avant)
(ton cerveau s’active mais la solution t’échappe, elle glisse entre tes doigts et serpente au coin de tes yeux mais tu ne la voit pas évidemment ça ne marche pas comme ça mais,)
il y a tant d’urgence (le cercle de feu, az et shion, seimei, les élèves enfuis et ceux qui les ont poursuivis tsubaki, tsubaki faux traître toujours allié en danger (tu as peur pour tous) et l’île tremble et la tempête se lève (elle emporte encore un bout de tes espoirs de victoire) et l’école brûle (et fait cramer le peu qui demeuraient) et problème numéro un deux trois un trois un deux-
mais surtout, momo s’est enfuie.
car tu n’es pas assez
pas assez dépendante, pas assez prévoyante, pas assez forte, pas assez douée même en ta spécialité, ah, pourquoi es tu venue ici (les tournesols ont coulés) (et pourtant tu dois t'accrocher, car on les a fait poussé pour toi)
un bariyer qui ne tiendra pas longtemps sous les vents perçants (mais assez pour entendre ‘Momo est dans l’école’ et assez pour qu’hotaru te soit confié (un autre enfant pour qui donner sa vie)
tu attrapes sa main (celle avec le katana) et la serre un peu (peut-être un peu trop fort) les mots précipités
“Il va s’en sortir, il est entre de bonne mains, Maeda va s’en occuper, mais-”
mais les vagues déferlent. ton bouclier explose et tu te fais emportée (secouée, les flots te ballottent et t'écrasent contre un arbre (tu as mal, tu penses, mais tu n’as plus le temps de penser)
tu te relèves péniblement et tu vas trouver hotaru, le saisi par les épaules, fermement. (cette fois, tu ne le lâches pas.)
‘accio, balais’
“Je sais que tu es inquiet,
(mots autant pour toi que pour lui)
mais faisons leur confiance, d'accord ? Tu vas voler avec moi, pour prévenir ceux à l'intérieur du feu. Allez.
tu le pousses sur ton balais, tu ne lui (te) laisse pas le temps de t'arrêter, de regretter.
(et si les prières sont une perte de temps, tu essaie de les enfouir au fond de toi (et pourtant elle résonnent, car un bout de ton cœur reste avec ceux qui se battent en bas.)
Sonnée mais pas assez pour rater Asagao qui s'envole -les kami soient loués, qu'elle soupire, en les remerciant de la plus simple des façons : honnêtement.
Le temps n'était cependant pas à la contemplation. Redressée, tremblant de concert avec cet amas de pierre, Hanae s'exécuta. Bariyer, qu'elle lança, d'une voix décidée. Le calme ne durera pas.nae se fait emporter par le sort d'hidenori, aperçoit asagao partir, se place toujours en soutien de kaede avec un bariyer, juste à côté d'elle
(ange est couvert de sang et se force à se calmer pour aider natsuo à sauver tsubaki, vu que tout le monde est qd même sacrément OCCUPE)
« Il faut que tu sois vif et surtout que tu n’hésites pas. Est-ce que tu es sûr de pouvoir le faire ? »
Ce n’est pas du courage que tu veux, mais de l’assurance. C’est une vie qui se trouve entre vos mains – et ça a sûrement plus de valeur à ses yeux qu’aux tiens.
« Quand je te dis d’y aller, je veux que tu tires la lame vers le haut d’un coup sec. Le but, c’est qu’elle ne fasse pas plus de dégât en ressortant qu’en étant entré. »
Et toi, pendant ce temps, tu pointes ta baguette sur l’abdomen, prêt à agir dès lors que le sabre en sera retiré.
« Prêt, gamin ? Maintenant. »
hrp : natsuo a no shame d'user d'un gosse de 16 ans pour lui faire retirer une lame de l'abdomen de son cousin
Les secondes qui précèdent le signal s'étendent à en tirer un frisson, unique, de son bras. Ange le repousse, retient son souffle et, un instant plus tard, arrache la lame de son fourreau de chair ; plus longue qu'il ne l'avait calculé, l'équilibre faiblit mais ses bras persistent, muscles bandés sur un moment qui lui paraît tant douloureux que pérenne. Une éphémérité qui se grave dans sa mémoire comme le jour où il aura sauvé—ou bien condamné, il ne le sait encore—un de ses pairs.
Ses mains agrippées à l'arme, ses jambes lâches ; il chute et observe, impuissant.
(ange retire la lame le plus vite possible mais étant un ADOLESCENT inexpérimenté dans l'art de sauver des vies, il galère un peu .)
Comme un réflexe, sans vraiment y penser il se laisse emporter, son dos cogne sur l'arbre salvateur, et le bruit sec des os perdus dans l'intention ne lui arrache pas même un cri. Un filet de sang qui s'échappe de ses lèvres, et cette silhouette danse devant son regard vacant.
Hotaru se laisse porter, porter par ces fins bras et ce fin bout de bois. Il lui faut ce brin de peur, cette vue des hauteurs pour qu'il ne se réveille, ses mains serrent sa taille pour ne pas mourir maintenant ; car c'est un devoir, celui de profiter de cette douleur méritée et de la si longue agonie de ce qui lui reste de fierté. Il n'aura même pas ce loisir, trop inquiet et attristé, s'accrochera à ces bons sentiments pour se persuader croire qu'il ne vaut pas encore moins que cet ancêtre qu'il est déjà parvenu à détester.
Il peut marcher, c'est déjà une victoire. Il descend vers les terres de feu avec ce qui lui reste d'assurance, car cet apitoiement ne doit pas servir d'excuse à son inaction. Une grande respiration comme un préambule à cette longue, si longue thérapie, et il se sent prêt à y aller. Un regard en arrière avant qu'il ne s'élance, et il trouve la force de s'adresser à Asagao.
Merci... merci de m'avoir aidé. Je vais de ce côté-là. Vous....?
(malgré son envie de mourir, Hotaru se fait emmener par Asagao et rejoint le groupe 10 donc, cya)
Faire semblant d'être ennemis, tu acceptes sa stratégie – mais tu seras prêt à agir, si elle se met en danger.
« Alors, attaque-moi. »
Tu lèves ton sortilège, d'un finite informulé, pointes ensuite ta baguette en direction des flammes.
« Elemento. »
Et les flammes deviennent air, vous libérant de votre prison brûlante.
Autour de vous, le combat fait toujours rage.
hrp : az et shion ont fini leurs affaires donc az la libère de son immobilus + transforme les flammes qui les entourent en air. demande à shion de l'attaquer
Tu avais bien fait d’attendre, Ashe tu avais bien fait car devant toi, c’était une scène positive qui se passait. Finalement ta professeure ne voulait pas se battre, elle faisait semblant et vous entendant parler, tu compris vite que tu allais être inutile, que tu allais les gêner car toi, tu ne pouvais faire semblant, tu sais que tu paniqueras trop rapidement.
« Je ne vais pas rester à vos côtés, je m’éloignerai une fois le cercle disparu. Je ne vais que vous gêner et j’ai confiance en toi, Azraël. »
Autant le dire tout de suite, mais tu espérais ne pas regretter ton choix… Mais tu étais un adolescent parmi les adultes, est-ce que tu pouvais y faire grand-chose hormis du soutiens ?
Mais alors que le cercle de feu disparaissait, c’est un tremblement que tu sentis. Encore un ? D’où est-ce qu’il venait ? Était-il naturel ?
Non, la dernière fois qu’un tremblement c’était produit, un dôme était apparu. Avais-tu besoin d’en avoir le cœur net ?
Complètement.
Comment vérifier ça ? En essayant de trouver la source. Il était où le petit Ashe complètement perdu ?
Pour le moment, effacé, le courage de son frère l’avait surpassé ou était-ce le siens ?
« Je ferais attention, promis. »
Lançant un dernier regard à ton paternel, ce fut en reculant que tu te mis à courir en direction de l’école.
Le feu ? Ça te faisait peur. Mais qu’est-ce qui te faisait encore plus peur ? De perdre quelqu’un, de te retrouver seul, sans famille.
Alors tu voulais être utile, Ashe, tu voulais être utile en essayant de trouver des informations, un indice, n’importe quoi pour les aider.
C’est ainsi que tu pris la direction du sous-sol pour rejoindre le Champ de lycoris rouge
Résumé : Ashe fait confiance à Az' concernant son plan et ne veut pas le gêner. Il veut se montrer utile et qu'il soit fier de lui. Alors il cours en direction du bâtiment pour se rendre dans Champ de lycoris rouge pour essayer de découvrir l'origine "des" tremblement de terre.
Utiliser la legilimencie contre le directeur est un acte inqualifiable, un outrage sans nom. Mais lorsque le directeur acquiert le statut de traître la conclusion est toute autre. Il n'y a rien à attendre de ceux qui se complaise dans la fange du monde, pense peut-être la professeure d'astronomie, ainsi donc pourquoi se retenir.
En d'autres circonstances, le sort n'aurait eu aucun effet, la puissance mentale d'Hidenori est telle qu'il peut aisément contrer ce genre d'attaque, même de la part d'un professeur. Après tout il est le plus puissant sorcier du pays. Mais tout est différent aujourd'hui. Il est plus affaibli que d'habitude, plus lent dans ses gestes. Ce n'est pas grand chose, un infime retard de quelques dixièmes de secondes tout au plus, mais cela lui coûte cher. Dans un tel affrontement, le moindre détail fini par être important.
Un flash, tel un écho en provenance d'un passé décontextualisé, c'est ce que peut saisir Kaede. Elle y voit Hidenori baissant respectueusement la tête devant une silhouette ressemblant physiquement à Seimei, il est triomphant, satisfait d'avoir enfin accompli le but de son existence. Le lieu est un clair obscur : le directeur se tient dans l'ombre d'un édifice, tandis que Seimei baigne dans une douce lumière. Une odeur de bois, d'encens, d'humidité. Fin.
« Ce n'est pas très correct de s'immiscer dans l'esprit des autres Kaede. Tes parents ne t'ont donc rien appris ? »
De la voix du directeur semble poindre un léger agacement, entre deux respirations qui se font haletante. D'un coup de baguette, il immobilise Kaede dans un Incarcerem, et puis soudain, cette dernière commence à s'enfoncer dans le sol, de plus en plus profondément. Avec aisance, Hidenori vient de transformer une partie de la terre sous les pieds de l'astronome en eau, changeant le sol en marais boueux.
★ Hidenori a la main profondément entaillée.
★ De très légères secousses peuvent être ressenties.
★ Kaede s'enfonce dans de la boue et risque de se noyer si elle ne se sauve pas. Par ailleurs, elle est ligotée.
★ Hanae, qui est juste derrière Kaede, s'enfonce également dans la boue.
Vous aviez été tout deux prit dans l'aguamenti ayant projeté Kaede quelques mètres plus loin et c'est un réel bonheur que de sentir sa douce main venir s'écraser contre ta joue. Mordante, comme à son habitude. Tu saisies son poignet avant d'approcher ton visage du sien avant de souffler. Toujours aussi belle lorsque tu te tords de douleur. Et tu te redresses reculant de quelques pas pour lancer sur Takamori un Crystallitatio tellustris. Faisant jaillir de longue colonnes de glace sous ses pieds.
De quoi l'occuper un instant, celui qu'un origami ne vienne se dresser devant toi. Bordel. T'as pas le droit à l'erreur et encore moins le temps de te laisser distraire. Je m'occupe de toi tout de suite, mon doux Fujiwara. Tu survol le papier avant de le laisser s'embrasser entre tes doigts. Tu siffles aussitôt pour que ton aigle ; Shiro ne pointe le bout de son nez et te ta poche tu ne lui jette dans le bec qu'un objet. Il savait ce qu'il avait à faire et toi, tu t'apprêtais à reprendre ce duel sérieusement.
Résumé : Rajan remplace les sabres par des brindilles, se manque taka + kaede a cause de hide + fais du fanserivce à kaede + envoie des colonnes de glaces sur taka pour l'occuper un peu le temps de s'occuper d'envoyer un truc à son fils qui à pas compris que ct COMPLIQUE EN CE MOMENT + encore du fanservice
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