Event #8 : Au songe du trépas
Ritsuka Miura
Poiroter en attendant le début de la procession, ce n'était pas ce qu'il y avait de plus folichon. C'était la fin de l'année, enfin. Et pourtant, elle avait un goût étrange. C'était vraiment fini ? Allait-on avoir un semblant de vacances, coincé sous ce dôme ? C'était toujours mieux que rien. Au moins, je me réjouissais de la fin des cours. Déjà rien que ça, c'était une belle affaire. Une nouvelle année commencerait et progressivement je m'approcherais de la fin de mes études. Mais j'avais encore un peu de temps avant cela. Surtout que nous restions coincer pour une durée indéterminée...
Mais je penserai à cela plus tard. Mieux valait profiter.
J’aperçus mon meilleur ami et me frayais un chemin vers lui. C'était quoi cette espèce de tête maussade qu'il tirait avec ces fleurs dans les bras ?
- Mi-ka-do-chan ~
Je lui passais un bras autour des épaules tandis que je lui chipais une des fleurs.
-C'est très généreux de ta part de m'offrir des fleurs. C'est notre anniversaire, c'est ça ? Ça fait combien de temps maintenant ?
Il n'y avait pas besoin de compter. L'année dans laquelle on se trouvait nous servait de compteur.
Je m'écartais ensuite de lui, mais lui tendis la fleur pour la lui rendre. Je n'allais pas lui voler une partie de son offrande.
- Je sais que le soleil te manque, mais je n'aime pas te voir comme... Déprimé ?
Était-ce vraiment ça ? Mais tout irait bien. On allait faire la procession, s'amuser au matsuri, finir dans les onsen en toute fin de journée et dormir jusqu'à pas d'heure le lendemain matin . . .
Résumé : Ritsuka flirte avec Mikado
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Tout était si calme -malgré les enfants qui criaient en étouffant leurs rires remplis de coups fourrés. Hanae aimait ce genre d'accalmies même lorsqu'elles n'étaient pas synonymes de sérénité. Ça se sentait, tout autour, quelque chose d'un peu lourd sur toutes les consciences, et même ceux qui chahutaient ne pouvais ignorer la mer de Damoclès juste au-dessus de leurs têtes.
Hanae n'était pas tranquille non plus. Elle aimait les fins d'année. Elles avaient des libertés qu'elle n'a pu que rarement retrouver, et -ah, elle se rappelait de la sienne ! En mémoire, elle avait revêtu son uchikake, comme à l'époque, mais aujourd'hui elle portait en-dessous un de ces pantalons bien haut et un sobre haut noir assorti. C'était presque comme pour tourner la page. Faire un pied de nez au passé, et surtout à cette cérémonie qu'elle ne comprenait pas. Si elle appréciait les semestres qui se terminaient, elle ne comprenait toujours pas comment on en venait à remercier des yokai, d'autant quand ils rompent le seul pacte qu'il importait de garder sauf.
Alors, sur ses gardes, Morinaga observait. Attendait. Un mauvais pressentiment entre ses côtes.
Hanae n'était pas tranquille non plus. Elle aimait les fins d'année. Elles avaient des libertés qu'elle n'a pu que rarement retrouver, et -ah, elle se rappelait de la sienne ! En mémoire, elle avait revêtu son uchikake, comme à l'époque, mais aujourd'hui elle portait en-dessous un de ces pantalons bien haut et un sobre haut noir assorti. C'était presque comme pour tourner la page. Faire un pied de nez au passé, et surtout à cette cérémonie qu'elle ne comprenait pas. Si elle appréciait les semestres qui se terminaient, elle ne comprenait toujours pas comment on en venait à remercier des yokai, d'autant quand ils rompent le seul pacte qu'il importait de garder sauf.
Alors, sur ses gardes, Morinaga observait. Attendait. Un mauvais pressentiment entre ses côtes.
(Hanae regarde les gens, voilà, c'est tout)
Eirin Fujiwara
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18 ans
Rang : 76/100
Susanoo
Eirin Fujiwara
Au terme de sa convalescence, Eirin couvrait ses bras de gants de soie. L’un d’entre eux soutenait une ombrelle et la préservait du soleil ; l’autre, sans surprise, agrippait l’offrande qu’on lui avait confié. Elle avait pris un retard considérable, caressait l’excuse minable d’un mal-être à demi feint pour à tout prix éviter de croiser de familiers visages - au lieu de ça, l’araignée se traînait en fin de file et peinait à rattraper sa moitié.
Moitié qui se tenait près d’un oiseau de malheur ; Eirin fendit la foule et pourfendit son frère d’un regard sans équivoque, évitant délibérément de s’attarder sur leur cousin. Une fois son attention happée, elle prit la peine de traverser quelques pelotons d’élèves et ne ralentit la cadence qu’à proximité de sa tendre colocataire, tirant sur ses lèvres un sourire maussade. Akina, murmurait-elle, tu parais bien songeuse. Le paysage n’est pas à ton goût ? Dérision qu’elle ne s’efforça guère de dissimuler, persuadée que sans cet infâme linceul humide, on l’aurait délivrée de l’école.
(eirin se contente de >:( ryuu et de :3 akina)
Moitié qui se tenait près d’un oiseau de malheur ; Eirin fendit la foule et pourfendit son frère d’un regard sans équivoque, évitant délibérément de s’attarder sur leur cousin. Une fois son attention happée, elle prit la peine de traverser quelques pelotons d’élèves et ne ralentit la cadence qu’à proximité de sa tendre colocataire, tirant sur ses lèvres un sourire maussade. Akina, murmurait-elle, tu parais bien songeuse. Le paysage n’est pas à ton goût ? Dérision qu’elle ne s’efforça guère de dissimuler, persuadée que sans cet infâme linceul humide, on l’aurait délivrée de l’école.
(eirin se contente de >:( ryuu et de :3 akina)
Ishan Tsukino
Citation : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Age : 18 yo
Rang : 85/100
Susanoo
Ishan Tsukino
Les yeux plissés et tous ses sens éveillés, il transporte son offrande et maudit les dieux ; à quoi bon rendre hommage à ceux qui ne peuvent les secourir ? Ishan retient un soupir et distingue, entre deux amas ridicules d’élèves, ce qu’il pense être son père - les doigts serrés autour de l’amphore menacent de la craquer.
Et Xue en salvateur l’extirpe de ses pensées - l’iris saisit la silhouette familière, nue de toute couleur. C’est le gris qui les cercle et même l’eau paraît morose. Quelques gosses chahutent, lui dévisage ce frère chimère - cherche à le reconnaître, à déceler l’aura piteuse qui s’en dégage. Même moi j’arrive à capter que tu tires une sale gueule, ose-t-il en rire. Deux mois c’est trop de larmes. Mal dormi ? Fausse désinvolture, l’inquiétude évidente ; encore ? tait-il.
(ishan s’accroche à xue en bouée de sauvetage puisque c le seul vrai ds sa vie et yori et rajan ne pensent qu’avec leur queue :D)
Et Xue en salvateur l’extirpe de ses pensées - l’iris saisit la silhouette familière, nue de toute couleur. C’est le gris qui les cercle et même l’eau paraît morose. Quelques gosses chahutent, lui dévisage ce frère chimère - cherche à le reconnaître, à déceler l’aura piteuse qui s’en dégage. Même moi j’arrive à capter que tu tires une sale gueule, ose-t-il en rire. Deux mois c’est trop de larmes. Mal dormi ? Fausse désinvolture, l’inquiétude évidente ; encore ? tait-il.
(ishan s’accroche à xue en bouée de sauvetage puisque c le seul vrai ds sa vie et yori et rajan ne pensent qu’avec leur queue :D)
Ange Ueda
Citation : risus abundat in ore stultorum -- à la bouche du sot, le rire abonde
Age : 17 (29/02)
Rang : 60/100 dsl
Amaterasu
Ange Ueda
Revenu bredouille, la queue entre les jambes mais un nouvel objectif en tête - il presse sur la joue de Kayo un baiser reconnaissant, tiré d’un miasme d’idées noires par son simplissime engouement. Ah, Kayo, sans toi je meurs, Ange soupire. Le défi est lancé, chacun prend ses positions et l’angelot n’a dans l’esprit qu’une victime : Takamori.
Mais à peine songe-t-il à le désigner en cible rouge qu’il paraît l’entendre, sous quelque instinct qui tire dans la colonne du renard un indescriptible frisson. Wouah, m’sieur, comment vous avez deviné ?! Un éclat de rire insupportable, pauvre gosse pas encore foutu de contrôler le volume de sa voix. Oh vous savez, on est coincés ici de toute manière. Et tout le monde tire une de ces gueules ! Je préfère encore les heures de colles que la dépression autour.
Ses lèvres se déforment dans une moue révulsée, l’enfant du soleil n’a autour de lui que des nuages. Finalement son attention retourne sur ses deux complices, un rictus mauvais sur la tronche. Ok, bon, pas un prof alors, sinon vous allez aussi vous faire coller et dire que c’est de ma faute. On a qu’à jouer à je vois avec mes yeux ? Genre, par exemple, il se met à crier, volontairement, je vois avec mes yeux un malaise ! Mais pas n’importe quel malaise, oh non, un malaise 2000 !
Ses cheveux virent au noir et sa peau brunit un instant, juste le temps d’assister son imitation de M. Tsukino. Oh madame Fujiwara, vous avez l’air bien triste. Est-ce que vous cours d’histoire sont aussi chiants que vous êtes belle ? Non, ne répondez pas, la magie s’efface dès que vous mentionnez les mêmes dates pendant cinq ans d’études. Il ricane comme un con, et soupire : ew, l’histoire de la magie.
(ange embrasse kayo sur la joue, note les malaises alentours et prend l’apparence de rajan quelques secondes pour prôner sa haine des cours d’histoire de la magie
et aussi pr dire que shion est belle)
Mais à peine songe-t-il à le désigner en cible rouge qu’il paraît l’entendre, sous quelque instinct qui tire dans la colonne du renard un indescriptible frisson. Wouah, m’sieur, comment vous avez deviné ?! Un éclat de rire insupportable, pauvre gosse pas encore foutu de contrôler le volume de sa voix. Oh vous savez, on est coincés ici de toute manière. Et tout le monde tire une de ces gueules ! Je préfère encore les heures de colles que la dépression autour.
Ses lèvres se déforment dans une moue révulsée, l’enfant du soleil n’a autour de lui que des nuages. Finalement son attention retourne sur ses deux complices, un rictus mauvais sur la tronche. Ok, bon, pas un prof alors, sinon vous allez aussi vous faire coller et dire que c’est de ma faute. On a qu’à jouer à je vois avec mes yeux ? Genre, par exemple, il se met à crier, volontairement, je vois avec mes yeux un malaise ! Mais pas n’importe quel malaise, oh non, un malaise 2000 !
Ses cheveux virent au noir et sa peau brunit un instant, juste le temps d’assister son imitation de M. Tsukino. Oh madame Fujiwara, vous avez l’air bien triste. Est-ce que vous cours d’histoire sont aussi chiants que vous êtes belle ? Non, ne répondez pas, la magie s’efface dès que vous mentionnez les mêmes dates pendant cinq ans d’études. Il ricane comme un con, et soupire : ew, l’histoire de la magie.
(ange embrasse kayo sur la joue, note les malaises alentours et prend l’apparence de rajan quelques secondes pour prôner sa haine des cours d’histoire de la magie
et aussi pr dire que shion est belle)
Koyoi Tsukino
il restait dans un coin de la scène, spectateur désabusé face aux mines déconfites des gosses qui jouent. drôle de comportement pour un gamin qui n'en mène par large également. hiroyuki ne savait plus quoi faire. l'année dernière il avait profité du matsuri pour repérer des proies, dresser une liste des victimes pour remplir l'étui d'oboles. aujourd'hui l'envie était absente, et la nécessité de remplir son ventre durant le mois à venir ne suffisait plus à réaliser son labeur.
vivement que tout ça se finisse.
vivement demain.
Takamori Fujiwara
Citation : tu seras une pièce sans valeur sur le plateau de ma vie
Age : trente-et-un ans
Rang : a0
Susanoo
Takamori Fujiwara
« monsieur ueda, votre comportement est plus prévisible que vous ne le pensez. mais puisque vous n'avez aucun problème à faire des heures de colles, je vais plutôt vous demander une dissertation expliquant l'importance des différentes étapes de conception d'un sabre pour l'enchantement de celui-ci. bien entendu j'attends de vous un travail parfaitement exhaustif que ce soit dans les phases de fabrication ou les différents enchantements que l'on peut appliquer à un sabre. », menace puis exécution. les conditions de vie étaient peut-être difficiles depuis deux mois, cela ne changeait rien. « je le veux le jour de la rentrée avant midi, sur mon bureau. », un mois, c'était suffisant pour un travail qui lui prendrait au moins la totalité de ses journées de vacances ainsi que plusieurs mètres de rouleau. « et n'espérez pas vous dérober. ce travail comptera triple dans votre moyenne de maniement du sabre de l'année prochaine. », le clou était enfoncé. au moins un élève travaillerait pendant ses vacances.
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AU SONGE DU TREPAS
31.01.97
31.01.97
Bouteille de saké, entouré d'un ruban rouge, ton regard attrape la silhouette des jumeaux Fujiwara et tu les observes un instant à peine ; ton regard glisse sur celle de Ryuu, puis d'Eirin, et tu détournes le regard, l'ennui peint sur ton visage.
Tu ne prends pas la peine de t'accrocher à n'importe quel groupe, comme chaque année, tu seras seul à ce moment qui semble si important pour un trop gros nombre de gens.
hrp : takehiko est juste là
Kayo Awataguchi
Les rires difficilement contenus ne tardent pas à se transformer en grands éclats retentissants – l’imitation effectuée avec brio par Ange est trop bonne pour ne pas être saluée et vient vite effacer la déception d’avoir vu leur plan avorter lamentablement face à la perspicacité de leur professeur. Les facéties de son complice allègent l’ambiance trop morose à son goût, et elle s’apprête à se prendre au jeu – c’est sans compter sur M. Takamori, toujours aux aguets. Kayo ne perd pas une seconde, en le voyant s’approcher, pour attraper Nael au passage et se glisser derrière un gaillard plus grand qu’elle d’une bonne tête. Couarde un jour, couarde toujours, elle quémandera le pardon d’Ange plus tard. « Shht, je crois qu’il ne nous a pas vu. » Elle souffle, le visage moins amusé quand elle entend la punition que le professeur assène à son tendre ami. Elle hésite un instant : elle pourrait tout à fait lui venir en aide et le défendre corps et âme, mais à quoi bon si c’est pour finalement écoper de la même punition ? Malgré tout, c’est Ange. « Tu crois qu'on devrait l'aider ? » Elle soupire lourdement, les joues gonflées, avant de finalement céder et de venir se planter aux côtés de son compagnon de larcins. « Il a rien fait m'sieur, et puis faut bien avouer que c'est pas bien drôle tout ça. Et soyez indulgent, il arrivera jamais à rendre un tel devoir... »
résumé: kayo fuit mais se ravise finalement et vient défendre ange avec 0 arguments si ce n'est trop d'honnêteté
résumé: kayo fuit mais se ravise finalement et vient défendre ange avec 0 arguments si ce n'est trop d'honnêteté
Yori Hayashi
AU SONGE DU TREPAS31.01.97
« Prêt à fêter cette journée ? »
Tu profites de pouvoir le dire, fêtant davantage votre chance d'être encore enfermé sur cette île – rares doivent être ceux qui considèrent, comme vous, cette situation comme une chance.
Attentif, malgré tout, à la foule, ton regard se reporte à nouveau sur Tetsuya et Kiyoshi, puis dévie encore sur d'autres étudiants, jusqu'à s'arrêter sur Ieyasu, pas si loin de vous. Tu lui lances un regard, attendant de capter son attention.
« Ieyasu, je crains que tu ne sois en train de te consumer. »
Référence à ses bâtons d'encens, mais plus encore à ses traits tendus.
Yume Ueda
AU SONGE DU TREPAS31.01.97
Panier de victuailles dans une poigne, tu lui désignes l'autre, tenant un bouquet de lys.
« Je ne suis pas certain que leur signification soit la plus appropriée, mais… »
Tu hausses les épaules.
Les yokai connaissent-ils seulement le langage des fleurs ? Dans tous les cas, ils recevaient un peu tout et n'importe quoi, durant cette journée.
Joignant finalement le bouquet à ton panier, tu lui tends ta main désormais libérée afin de lier vos doigts.
Nael Hayashi
AU SONGE DU TREPAS31.01.97
« Encore faudrait-il qu'on en ait, des vacances, tu grommelles, à voix basse. »
Et Ange confirme ta pensée, avec plus de franchise – d'insolence, diraient les adultes. Alors que l'angelot se retourne sur Kayo et toi, c'est le rire qui remplace ton expression renfrognée, à son imitation. Amusement de courte durée, encore une fois perturbé par la même personne. Et tandis que ton amie t'entraîne à l’écart, tels les deux lâches du groupe, tu te retiens de rire à la punition, ne désirant certainement pas en hériter à ton tour.
« Je crois qu'il faut un sacrifice, pour le bien du groupe. »
Mais Kayo, plus loyale que toi, se poste aux côtés d’Ange, te résignant à faire de mal – avec la grimace.
« C'est vrai, m'sieur. Le résultat va être tellement déplorable que vous aurez même pas le courage de corriger son devoir. »
Invité
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Aujourd'hui, je ne veux voir personne, parler à personne, penser à personne. Mais la situation m'y oblige. Au milieu d'inconnus, évitant ainsi quiconque susceptible de m'adresser le moindre mot, je fais la technique de l'arbre dans la forêt afin de passer inaperçu.
Akshar Tsukino
au songe du trépas
Le soleil lui manquait, bien plus qu’il ne le croyait, lui qui aimait trainer : ne pouvait plus que soupirer. Agacé, la mâchoire bien souvent crispée, Akshar avait l’impression de ne plus pouvoir se reposer. Sa chambre était d’un enfer qu’il ne pouvait supporter (il aimerait demander à son frère de lui céder un peu de place dans son lit, mais il ne pouvait entrer) alors, il taisait la rage qui grondait en lui.
Une offrande dans les mains, bien qu’il aimait habituellement cette festivité, il n’y trouvait cette année que peu d’amusement. Akshar était un homme ayant besoin de rire, il était rare qu’il cède à l’énervement (il le cachait subtilement), mais ces temps-ci, il se sentait tout simplement irritable.
Il avait certainement, comme beaucoup d’autres, simplement besoin de vacances.
Une offrande dans les mains, bien qu’il aimait habituellement cette festivité, il n’y trouvait cette année que peu d’amusement. Akshar était un homme ayant besoin de rire, il était rare qu’il cède à l’énervement (il le cachait subtilement), mais ces temps-ci, il se sentait tout simplement irritable.
Il avait certainement, comme beaucoup d’autres, simplement besoin de vacances.
résumé : akshar est là, agacé, mais il le montre pas, et franchement il veut juste des vacances.
Hanamaru Sugawara
au songe du trépas
Elle le regardait tendrement, avant d’observer l’horizon. Elle n’avait plus réellement d’avenir, son nom désormais effacé, que pouvait-elle devenir, elle se le demandait. Être mère, être sa femme, elle ne voulait pas être si désespérée, désireuse de retrouver une vie. Dans un premier temps, donner vie à notre enfant.
Doux sourire, elle caressait à nouveau son ventre.J’aimerais travailler, mais je ne sais pas si je veux rester professeure ici. Son regard s’abaissait. J’aimerais élever notre enfant, être présente pour lui, pas comme l’étaient mes… Elle ne parlait plus, son sourire effacé. Je n’en ai plus. Doux rire (cœur brisé). Et toi ? Que vas-tu faire ? Rester professeur ?
Doux sourire, elle caressait à nouveau son ventre.
elle répond à rajan
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AU SONGE DU TREPAS
31.01.97
31.01.97
Main dans la sienne, ton regard parcourt la foule ; la voix de Yori atteint tes oreilles, mais tu te contentes de rester là, d'observer les autres, et finalement, d'être le chevalier servant que tu as toujours été.
hrp : jian reste avec yori parce que yori
Tsugumi Tsugikuni
au songe du trépas
Son regard se portait sur les jeunes kitsunes, il était impossible de les rater avec le bruit qu’ils faisaient, un sourire ornant ses lèvres face aux réprimandes de Takamori. Tsubaki y remarquait son cousin, se demandant quelle bêtise avait-il fait pour se faire punir ainsi par son professeur : il finirait bien par l’apprendre. Son regard se portait sur l’horizon, observant le dôme sans y prêter une réelle attention, habitué sans vraiment l’être à sa présence (angoissante et rassurante). Une grande respiration, il tentait de calmer ses palpitations, un sourire bienveillant ornant ses lèvres.
Une voix, il se tournait vers l’origine, un sourire tout aussi complice déformant le précédent, un fin rire lui échappant.Oui, des souvenirs qui se font de plus en plus lointain. Enfin, plus pour toi que pour moi Az. Espiègle, il observait à nouveau le dôme. Effectivement, on ne risque pas la pluie. Ses épaules se soulevaient, nonchalant. Sauf si le dôme craque, sacré déluge en vue.
Une voix, il se tournait vers l’origine, un sourire tout aussi complice déformant le précédent, un fin rire lui échappant.
tsubaki répond à azrael & fait une "blague" vrmt pas drôle
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